La quête du Lait [PV]

« … Cette carte… Devrait te plaire... »

Elle se souvenait. C’était il y a un mois. Ingrid Vivier à l’époque était une maid au service d’un riche et puissant comte, qui avait fait fortune en donnant des potions qui permettaient aux femmes d’être plus belles encore. Ingrid n’avait jamais trop su ce que faisait exactement ses potions… Quoiqu’il en soit, elle avait toujours été proche de son maître. Elle l’avait aidé dans les dernières années de sa vie. Elle l’avait maintenu à flot, alors que la maladie l’emportait peu à peu. Ses femmes s’étaient battus pour sa fortune, et lui avait tout volé. A la fin, il ne lui restait qu’à peine de quoi payer son luxueux manoir, devenu beaucoup trop grand et vide… Mais elle était restée. Jusqu’au bout, elle était restée pour son maître. Jusqu’au tout dernier jour, où elle avait été chassé par le mourant. Celui-ci ne voulait pas qu’elle le voit mourir. Ingrid avait accepté, et avait donné un dernier baiser sur le front… De l’homme qu’elle avait aimé, malgré les difformités physiques provoqué par la maladie, et la vieillesse.

Depuis, il était mort. Mais avant de mourir, il avait donné le secret de sa richesse. Une source miraculeuse qui pouvait permettre aux femmes d’être encore plus belle. Ingrid avait toujours regretté la taille de ses seins, trop petit, trop ridicule… Et bien, avec la source, elle pourrait avoir les seins qu’elle voudrait. Son maître lui avait juste expliqué de ne prendre que d’infime dose… Une infime dose, et c’est tout. Il ne voulait pas qu’il lui arriver des choses… Déplaisante, avait-il dit. Même si, si cela arrivait, avait-il expliqué, cela ne serait pas très grave, elle serait heureuse. Mais là, malheureusement, ce n’était pas le cas. Elle n’était pas heureuse. Elle avait perdu le but dans sa vie. Mais la quête de cette source… Cela pouvait être un nouveau but à sa vie. Avec son énorme sac à dos, elle partait à l’aventure, en quête de cette fameuse source… Passant alors devant le manoir où elle avait passé une bonne partie de sa vie, elle déclara, au temps pour le manoir que pour elle-même.

« Au revoir maître... »

***

La jungle était vraiment atroce. Sa robe de maid n’était pas du tout adaptée à ses terrains… Mais bon, elle n’avait pas le choix. Elle se devait d’avancer. Bon sang, quand même ! C’était pas pratique ! Mais elle avait gardé sa robe de maid en hommage à son maître, après tout… Elle avait quand même fait cette mission en l’honneur de son maître. Et de ses seins. Elle était contente de penser que le dernier cadeau de son maître allait la rendre comme une femme magnifique, splendide… C’était très superficiel, elle le reconnaissait… Mais c’était chouette, aussi, un peu de superficialité. Après tout, elle n’avait pas besoin d’être toujours aussi sérieuse. C’était l’une des raisons pourquoi elle n’avait aucun ami… On disait toujours « tu es trop sérieuse », « tu ne sais pas t’amuser » et d’autres commentaires du genre… Bref, elle se disait qu’elle pouvait un peu augmentée sa superficialité, comme ça, elle aurait plus d’amis… ? Elle n’en savait rien…

Mais s’il y avait ça d’un côté… De l’autre côté… Ingrid était assez méfiante. C’était un secret qu’elle jalousait de tout son cœur… De l’autre côté, elle savait que si une autre personne décidait de trouver la source, et qu’elle la trouvait… Et bien, elle ne pourrait rien faire. Mais bon, elles pourraient partager ! Après tout, c’était une source, elles pourraient se baigner à deux. Oui, notre fameuse Maid ne pensait plus du tout à ce qui avait été dit avant. Maintenant, elle pensait qu’elle devait avant tout se baigner. Après tout, ouais c’était logique. Comment une petite dose pourrait aider ses seins ? Non, c’était pas logique, mieux valait aller directement dans l’eau. M’enfin bon, là, cela restait que des propositions, des suppositions tant qu’elle n’était pas encore arrivée, elle-même, là bas… Mais une fois qu’elle serait arriver… Là, elle allait en profiter. Bref, elle continuait à avancer dans cette jungle.

Peu à peu, alors que sa dague coupait dans les lianes et les feuilles touffus… Et bien, elle arriva à sa destination. Le cadre était enchanteur, mais bien caché. Franchement, à part le hasard, la carte, ou bien une connaissance, elle ne voyait pas comment elle aurait pu arriver ainsi. Ce qui était assez inquiétant, c’est qu’autour de la source, et bien, il y avait une multitude de cachette qui pouvaient être parfaite aussi bien pour des hommes que pour des fauves. Mais la source… Bon sang… La source… Elle était magnifique. Elle était d’un blanc immaculée, d’une perfection. Rien ne poussait dedans, ni nénuphar ni plante aquatique… C’était d’une blancheur parfaite. Elle regardait cela, et elle pensait qu’elle avait trouvé un endroit magnifique. Parfait. Bref, elle déclara alors, à haute voix, impressionnée par ce spectacle...

« C’est donc là, la fameuse source... »

Elle ne se souvenait plus du tout de la fameuse mention donné par son maître. Là, l’idée lui venant en tête était de plonger dans la source… Mais avant toute chose, elle attendait… Elle ne voulait pas y aller de suite… Peut-être que des gens pouvaient l’observer. Bien que l’emplacement de la source soit « secrète », enfaite, cela faisait des années disaient son maître autrefois, que la source était connu d’un petit nombre de personnes. Mais à chaque fois qu’elle demandait pourquoi tout le monde n’était pas devenu riche, en en profitant… Il faisait un petit sourire en disant qu’en abusant « ils ne pouvaient plus en profiter ». La source avait des particularités spéciales, qui mettaient du temps à s’enclencher, disait-il, mais qu’une fois dans la source, bien que cela soit progressif… Et bien, les femmes étaient prises aux pièges et ne pouvaient plus en sortir, car elles ne voulaient pas. Tout était lent, disait-il, assez lent… mais efficace. Mais tout cela, Ingrid n’y pensait plus… Elle regardait autour d’elle, méfiante.

Ayame Kirutsabe était une samouraï d'Edoras. Elle travaillait au sein de la famille Kaguya. Elle n'était pas une de celle avec un haut rang mais elle s'accoutumait à sa vie. Mais, Ayame avait un gros soucis de taille, dans Edoras, même si elle travaillait très bien, elle était ce que l'on appelait une planche à pain ce qui n'était pas grave en soi. Mais, dans ce royaume, toutes les femmes possédait une belle et généreuse poitrine et de ce fait, elle sentait un sentiment d'infériorité vis à vis de ses congénères. Déjà qu'être une kitsune n'était pas évident mais il fallait qu'en plus un deuxième attribut physique la dévalorise.

Il s'avère qu'un jour un marchand peu scrupuleux remarqua ce détail et décida de lui vendre une carte y indiquant une source miraculeuse faisant agrandir la poitrine d'une femme. Oh, il lui avait vendu cela comme un produit de beauté, rien de plus. Bien sûr, le marchand travaillait en réalité pour une bande d'esclavagiste mais Ayame n'était pas au courant de cette histoire. Elle d'ailleurs contente d'avoir récupéré une telle carte surtout qu'elle n'avait pas coûté trop cher et le marchand avait insisté pour que cela reste secret car peu de monde connaissait la source. De toute manière Ayame n'allait pas se vanter devant tout le monde d'avoir trouvé un remède. Elle attendit qu'elle ait quelques jours de repos pour partir d'Edoras.

Suite à quoi, elle se retrouva au bout d'un semaine à marcher au beau milieu de la jungle. Il y faisait chaud et on transpirait à grosses gouttes mais elle ne devait pus être bien loin de sa destination. Elle pensa à tout ce qu'elle pourrait faire une fois qu'elle aurait une grosse poitrine. Elle pourrait peut être même plaire à des hommes ou à des femmes. De ce qu'elle savait, les gens préféraient les grosses poitrines.

Au détour d'un arbre, elle vit alors le blanc immaculée de la source et s'en approcha. Elle était magnifique. Sa simple vue était à couper le souffle Quand tout à coup, elle entendit la voix de quelqu'un. Elle n'étais pas seule elle porta la main sur son arme car Ayame savait s'en servir. Puis elle se rendit compte, qu'une jeune femme de son âge habillée comme une maid était là. Elle constata aussi que la jeune femme n'avait pas une grosse poitrine. Elle s'approcha d'elle à pas feutrée et s'exclama.

- Bonjour, je vois que vous venez aussi pour la source. Je ne m'attendais pas à tomber sur quelqu'un. Désolée si je vous ai fais peur, je suis aussi là pour la source. Je m'appelle Ayame Kirutsabe, enchantée. Bon, euh, je suppose qu'on va devoir partagée? La source est suffisamment grande pour nous deux. Euh... C'est un peu gênant mais euh... Vous venez aussi pour ses vertus?  Je veux dire son pouvoir?

Elle attendit une réponse de la maid et puis elle commença à se déshabiller pour rester en sous-vêtement puis elle posa son arme et ses vêtements au bord de la source et y rentra. L'eau était chaude et succulente. On s'y sentait bien, c'était comme si on oubliait ses soucis. Elle regarda ses seins. Ils n'avaient pas encore grossis. Il fallait certainement attendre un peu pur qu'ils grossissent.

-Vous venez? Elle est chaude et elle est bonne!

Après qu'elle ai dit cela Ayame s'avança de plus en plus profondément dans l'eau pour que son corps soit immergée dedans. Mais, elle ne savait pas alors à quels dangers elle s'attardait. D'ailleurs, même si elle le savait, dans quelques minutes, elle l'aurait oubliée. Elle regarda alors la jeune femme pour voir ce qu'elle allait faire.

Elle semblait être seule… Parfait. Elle n’avait pas spécialement envie d’être avec quelqu’un. Elle se regarda, elle et sa poitrine plutôt plate, et pensa… Bientôt, elle serait aussi séduisante que toutes ses femmes se vantant de tout cela… Bref, elle allait devoir se préparer… Elle supposait qu’elle devait se mettre dans la tenue d’Eve. Oui, cela serait logique. Après tout, pourquoi on resterait habiller, quand le but était justement de voir sa poitrine grossir. Puis de toute façon, on ne se baignait pas habillée. C’était pas logique… Elle allait commencer à se changer, enfin, retirer ses vêtements, quand elle put voir alors une personne arriver. Celle-ci semblait être une terranide… mmh… Une kitsune visiblement. C’était des créatures vénérables, et elle portait un Katana. Sans doute donc, non seulement une Kitsune, mais aussi une Samouraï. Elle porta rapidement au cas où sa main à sa dague, mais rapidement, elle put comprendre que sa future interlocutrice n’avait aucune attention belliqueuse. Tant mieux, elle n’avait nullement envie de se battre.

- Bonjour, je vois que vous venez aussi pour la source. Je ne m'attendais pas à tomber sur quelqu'un. Désolée si je vous ai fais peur, je suis aussi là pour la source. Je m'appelle Ayame Kirutsabe, enchantée. Bon, euh, je suppose qu'on va devoir partagée? La source est suffisamment grande pour nous deux. Euh... C'est un peu gênant mais euh... Vous venez aussi pour ses vertus?  Je veux dire son pouvoir?

« Quel hasard... »

Elle regardait d’un mauvais air la fameuse nouvelle venue. Elle n’avait pas spécialement envie de partager la source avec quelqu’un. C’était l’héritage de son maître, aucunement d’une kitsune qui venait d’on ne sait où. Et elle venait pas du Manoir de son maître, cela, elle en était sûr, car sinon, elle l’aurait reconnu. Mais malheureusement, à moins de tenter un conflit ouvert, il était maintenant inutile pour elle d’espérer gagner ce petit jeu, et d’avoir la source pour elle toute seule. En effet, mademoiselle Ayame, donc, si c’était bien son nom, peut-être avait-elle mentie ? Bref, mademoiselle Ayame retira alors presque tout ses vêtements, et entra dans l’eau. Elle pu admirer presque entièrement le corps de celle-ci, étant donné qu’elle avait gardé ses sous-vêtements… Maintenant, Ingrid hésitait… Devait-elle, elle aussi, entrer dans l’eau… Ou bien, devait-elle partir, et revenir plus tard, quand elle pourrait être seule ?

-Vous venez? Elle est chaude et elle est bonne!

« … Bien. »

Finalement, les hésitations prirent fin. Après tout, il était vrai que la source était suffisamment grande pour les deux femmes, et donc, cela ne servait à rien de se battre pour tenter de l’avoir. Elle retira alors progressivement tout ses vêtements, et se retrouve nue, comme au jour de sa naissance. Contrairement à la kitsune, elle ne voulait que du tissu puisse avoir un impact donc sur sa transformation. Elle faisait ça pour son défunt maître… Tout devait alors être parfait. Grande différence néanmoins, étant donné qu’elle ne respectait pas la règle numéro 1 de ce qui avait été dit… Mais passons sur ce point. Elle entra alors progressivement dans l’eau, et comme son interlocutrice, elle se sentit immédiatement bien… Les effets de la source en matière de relaxation étaient en tout cas parfait. Elle regarda sa poitrine qui ne semblait pas changer… Elle déclara alors à la samouraï

« En effet, elle est plutôt bonne. Il paraît que l’effet est plutôt lent, que c’est progressivement que notre poitrine va se mettre à pousser... »

En effet, cela, son maître l’avait bien prévenu. Le tout était progressif, et il ne fallait pas être trop impatient. Il fallait au contraire, profiter de cela… Se laisser se détendre. Elle s’approcha de la kitsune. Elle ne voulait pas rester constamment à regarder sa poitrine… Et donc, avoir une interlocutrice à regarder avait le grand avantage ainsi de ne pas devoir constamment surveiller sa propre poitrine. Elle avait un témoin. Elle fit un léger sourire, même, en constatant à quel point son interlocutrice en avait besoin de cette source… En effet, elle n’avait presque aucune poitrine. On pourrait presque la prendre pour un garçon… Ok, elle reconnaissait qu’elle-même n’était pas la femme à la plus grosse poitrine du monde, mais quand même… Bref, elle regardait son interlocutrice, s’étant mis proche d’elle… Quand soudainement, elle se rappela qu’elle avait manqué de la plus respectable étiquette. Elle ne s’était même pas présentée… Franchement, c’était pas terrible, elle se devait d’au moins se présenter. Ainsi, elle déclara :

« Je m’appelle Ingrid. Ingrid… Ingrid… Je… Ingrid. »

Elle n’arriva pas à dire son nom de famille… Ou pire, elle n’arriva pas à se rappeler de son nom de famille. Ce fut littéralement le trou noir. C’était stupide, pensa-t-elle… Pourquoi elle ne se souvenait plus de quelques choses d’aussi simple… ? Et oui, vous avez compris… La source avait aussi ses points négatifs, et progressivement, Ingrid commençait à être touché… Le premier point qui était attaqué, par les vapeurs, c’était la mémoire. Progressivement, aussi bien Ingrid qu’Ayame allait perdre entièrement leur mémoire, les rendant vierge de tout souvenir. Pas même leur nom ne resterait… Ainsi, leurs seins grossiraient, mais leur mémoire disparaîtrait… Mais ce n’était pas tout. Mais le reste arrivera dans un second temps, et donc, il fallait encore attendre un peu… De toute façon, les deux femmes étaient là pour un bon moment, non ?

Le moins que l'on pouvait dire, c'était que la source avait réellement des propriétés relaxantes. Depuis qu'Ayame y était, elle se sentait bien. Elle fut d'ailleurs contente que sa compagnonne de fortune la rejoigne. Cette dernière d'ailleurs s'approcha d'elle complètement nue. Elle constata qu'elle aussi avait besoin de cette source même si elle avait plus de poitrine qu'elle à la base.  

-Ah... Je n'étais pas au courant que ça prenait du temps... Cela aurait été bizarre que l'effet prenne immédiatement...

Oui, si sa poitrine aurait atteint un bonnet D ou E immédiatement, cette source aurait été beaucoup plus recherché et tiendrait plus de la sorcellerie. Donc, elle était pas étonnée que sa poitrine n'est pas triplée en une minute. Elle avait tout son temps et de toute manière, elle se sentait bien ici. Et, puis,  elle n'était pas seule ce qui était rassurant quelque part. En fait ça aurait été un peu creepy d'y aller seule et d'attendre.

Ingrid se présenta même si elle paraissait un peu hésitante. Bon, elle était timide c'était pas grave. Ayame l'était un peu aussi à certains moments mais là en ce moment précis, pas du tout. Elle était plutôt dans un cadre apaisant et qui lui faisait du bien donc elle n'avait aucune raison de stresser. Elle se sentait d'ailleurs en sécurité. Elle était un peu gênée de voir Ingrid nue mais il fallait bien reconnaître qu'elle avait un jolie corps, même si sa poitrine laissait un peu à désirer mais bon elles étaient là pour palier à ce problème.

-Enchantée, Ingrid. Je viens d'un endroit... un village ou un gros village... où toutes les femmes ont une grosse poitrine et... moi, je voulais une grosse poitrine pour être comme les autres... Tu viens d'où, toi?

Oulah, elle savait pas ce qu'elle avait mais il lui était un peu plus difficile de réfléchir. Elle ne se rappelait plus tous les détails de son pays d'origine. Bon, c'était pas grave sur le moment. Tiens, d'ailleurs elle constata qu sa poitrine avait augmenté et faisait désormais un bonnet C. Ingrid aussi avait les seins qui avaient augmentés. D'ailleurs, désormais, Ingrid était tutoyé, c'était naturel pour elle.

Elle fut très contente de cette découverte et soupesa sa nouvelle poitrine. Elle était bien plus ferme que tout à l'heure mais elle était encore un peu petite à son goût. Elle voulait une poitrine plus grande et plus ferme, une de celle que l'on touchait presque par inadvertance. Là, elle avait une poitrine commune à la normale, ce n'était pas encore assez comparées aux autres femmes.

-Ouah! Tu as vu? Regarde, ça fonctionne, nos seins ont grossis, c'est super! C'est vraiment bien! Ouah! On va avoir de beaux seins. C'est... les autres qui seront contentes! Moi en tout cas, je suis contente pour toi! Tu peux toucher la mienne si tu veux!

L'effet pervers de la source avait frappé sur Ayame et elle devenait un peu plus superficielle et stupide au fil du temps qui s'écoulait mais certainement qu'Ingrid en ressentait aussi les effets? En touts cas, Ayame était moins accaparée par ses problèmes. Elle était plus concentrée sur sa poitrine et sur sa nouvelle amie. D'ailleurs, elle était contente qu'elle ait un point commun, une future grosse poitrine. C'était sympa de parler avec quelqu'un qui avait autant d'attraits que soi-même. Elle ferait bien un jeu avec elle comme s'arroser un peu, c'est vrai que ça pourrait être marrant.

-Dis, tu veux pas qu'on joue? Je te mouille et tu me mouille, ça a l'air marrant, non?

La poitrine grossissait certes mais maintenant Ayame disait tout ce qu'elle pensait dans sa tête. Et, elle n'avait aucune raison de partir, sa poitrine n'était pas suffisante pour elle. Encore, se disait-elle, je la veux encore plus grosse. En tout cas elle souriait béatement à sa nouvelle amie, l'air un peu malicieux dans les yeux.

Tout était paisible autour des deux femmes. Il n’y avait rien qui semblait vraiment les menacer ou les mettre dans une situation délicate. Vraiment rien ? Oui, vraiment rien. Enfin, du moins, en apparence. Dans un sens, c’est vrai qu’au final, quand elle y réfléchissait, et bien… Elle était plutôt contente d’être avec quelqu’un. C’était mieux d’être avec une personne quand on se baignait… Car bon, elle avouait qu’elle se serait pas senti à l’aise, à l’idée de se baigner seule, comme ça, sans protection… Finalement, l’arrivée d’Ayame était une chance, étant donné qu’elle pouvait donc être avec quelqu’un. C’était tant mieux, et elle pouvait être sûre qu’elle ne risquait rien… Enfin, en théorie. Puis, son interlocutrice était une Samouraï. Les samouraï savaient se battre, en général, cela était un grand avantage…

-Ah... Je n'étais pas au courant que ça prenait du temps... Cela aurait été bizarre que l'effet prenne immédiatement...

« Totalement. »

Après tout, la source était déjà bien mystérieuse… Il y avait l’eau qui avait un effet, vu que son… Son… Qui déjà ? Elle avait oubliée. Bref, en tout cas, ses seins n’avaient pas grossis énormément, atteignant des tailles démesurées… C’était relativement logique. Elle écouta alors la suite des déclarations de son interlocutrice.

-Enchantée, Ingrid. Je viens d'un endroit... un village ou un gros village... où toutes les femmes ont une grosse poitrine et... moi, je voulais une grosse poitrine pour être comme les autres... Tu viens d'où, toi?

« De… D’un grand manoir. »

Dans un premier temps, elle trouva la description du lieu de vie de son interlocutrice… Disons plus qu’imprécise. Après tout, il manquait de nombreux renseignements, vu que c’était très vague… Mais quand elle tenta de penser à où elle vivait… Elle pensait… A… A une grande maison… ? Oui, c’était une grande maison elle croit… Une très grande maison, mais avec pas beaucoup de gens… Il y avait une personne, elle croit… Une vieille personne… Qui était… Très vieille… C’était difficile d’en savoir plus… Qui était cette personne ? Son père ? Un frère ? Non, elle n’était pas vieille elle… Mais elle ne savait plus, c’était extrêmement handicapant… Elle tentait de se remémorer, se concentrer sur ses souvenirs… Cela marchait presque, mais malheureusement, ou heureusement penseraient certains, elle fut coupée dans ses reflexions par les déclarations de son interlocutrice :

-Ouah! Tu as vu? Regarde, ça fonctionne, nos seins ont grossis, c'est super! C'est vraiment bien! Ouah! On va avoir de beaux seins. C'est... les autres qui seront contentes! Moi en tout cas, je suis contente pour toi! Tu peux toucher la mienne si tu veux!

« C’est… Très gentil... »

En effet, elle voyait que son interlocutrice avait maintenant un bonnet qui avait bien augmentée… Ses seins, eux-même, avaient maintenant grandis. Elle avait l’impression d’avoir des beaux melons,  si vous voulez voir ce que je veux dire. Et ils continuaient de grandir… mmh… Elle se demandait si genre, ils ne s’arrêteraient pas, tant qu’elle resterait dans la source… Elle ne savait pas, elle ne connaissait pas trop les limites de la source… De toute façon… D’où connaissait-elle cette source ? Alors ses seins commençaient à lui peser, sans qu’elle sache pourquoi… Et bien, elle commençait à réfléchir peu à peu à ce qu’elle faisait ici… Sauf qu’elle ne se souvenait plus ! Elle ne se souvenait plus des raisons qui l’avait poussé à se baigner avec cette dame… Elle écouta alors la suite des déclarations de celle-ci…

-Dis, tu veux pas qu'on joue? Je te mouille et tu me mouille, ça a l'air marrant, non?

« Je… Je sais pas… Je me sens bizarre… J’ai du mal à réfléchir… C’est louche… Je… Qui suis-je… ? »

La première phase de l’attaque des vapeurs était maintenant achevé pour Ingrid. Ca y est… Elle avait TOUT oublié. Tout ses souvenirs. Elle ne se souvenait plus de rien. Ni de sa vie antérieur, ni même des souvenirs extrêmement récent, étant donné qu’elle regarda avec des yeux étonnée son interlocutrice. Qui était-elle ? C’était une Kitsune, visiblement… Mais qui c’était… Bon, elle supposa que cela n’avait pas d’importance. De toute façon, là, pour le moment, elle était bien tranquille dans la source… Et puis, elle était vraiment bien, ses seins continuaient de grandir, et elle était confortablement installée. Cependant, peu rassurée quand même, elle s’approche d’Ayame,  bien qu’elle ne se souvenait plus du tout du nom de cette dernière. Qu’importe, de toute façon. Le nom, de toute façon, elle n’en n’avait pas visiblement… Donc, voilà ! Elle commençait à la mouiller, tranquillement, sans trop savoir… Bref, elle déclara alors tranquillement :

« J’ai une impression de vide... »

Ca y est, les vapeurs commençaient à s’attaquer maintenant à ses connaissances. Peu à peu, elle allait perdre l’intégralité de ses connaissances, jusqu’à devenir plus bête encore que le dernier des bêtas. C’était la phase ultime de protection de la source. Ceux qui en abusaient perdait toute intelligence, mise à part des fonctions de bases, comme parler, manger, respirer etc. Bref, un peu comme des animaux parlant… Suivant la personne, le caractère pouvait être différent. Certains pouvaient être plus amorphe, d’autres plus joyeux… Cela allait dépendre des deux femmes ici présente… Bref, le piège était totale sur les deux, étant donné qu’elle ne pouvait plus sortir, vu qu’elle ne voyait pas la raison. Elles étaient littéralement deux femmes, condamnées à avoir, pour le prix des gros seins, toute leur intelligence être effacée, tous leur souvenir… Bref, deux vaches stupides et incapables, qui étaient là, au milieu de l’eau, à se regarder devenir totalement stupide… Leurs caractères allaient cependant être visiblement quelques peu différents… Comment cela allait-il se passer ?

L'effet de la source avait fait oublié totalement comment Ayame s'était retrouvée là mais elle était bien trop occupée à jouer avec son amie pour se préoccuper de ce genre de détail. Ayame n'avait jamais été quelqu'un qui se souciait des problèmes, elle laissait l'instinct agir. Par conséquent, bien qu'elle fut complètement bête, son corps s'exprimait de lui même mimant des positions suggestives et volontairement plaisant. Car, Ayame ne savait plus que trois choses, ses seins grossissaient, elle était contente et son amie était super sympa.

D'ailleurs, Ayame ne savait même plus comment elle s'appelait, c'est pour dire. Et, on l'aura compris elle n'essayait même pas de s'en rappeler. Chaque souvenir effacée était un tracas de moins mais elle n'avait pas la sensation de perdre quelque chose au contraire elle se sentait libre d'un poids et du coup elle en était contente.

-Ah ah ah... Ne te tracasse pas, on est bien ici. Tu es marrante et j'aime bien tes seins... On est amis, toi et moi!

C'est ce qu'elle disait en répercussion au sentiment de vide qu'Ingrid ressentait. Elle continuait à lancer des gerbes d'eau. Ses seins avaient maintenant une bonne taille respectable que l'on pouvait qualifier de forte poitrine. La source avait aussi finit la première état sur Ayame. Si bien qu'elle en oubliait complètement sa maîtrise au katana et ses compétences martiales. En revanche, l'instinct de survie qu'elle avait acquise était restée et elle très bien faire ce qu'elle peut pour se nourrir et vivre.

Elle plongea alors dans l'eau pour nager vers Ingrid puis elle remonta brusquement en face d'elle. Ses seins touchèrent alors les seins d'Ingrid. Et, elle se frotta de droite à gauche.

-Rooooohhhh, tu as vu? On a tellement de gros seins qu'on peut même pas se serrer l'un contre l'autre. Attends, j'essaie!

Maladroitement, Ayame tentait de jouer avec sa grosse poitrine pour prendre Ingrid dans ses bras. Elle y parvint plus ou moins mais les deux poitrines s'étaient collées l'un contre l'autre. Ayame lui souriait stupidement tandis qu'elle parvint à poses ses mains dans le dos de la jeune femme.

-C'est bon! Je te tiens! Hahahahahaha.... Vas-y! Essaye, toi aussi de t'approcher!

Ayame était alors collée à Ingrid et la regardait sensuellement. Elle se demandait si son amie voulait continuer ce jeu ou en passer à un autre. Elle ne savait pas ce qu'elle ferait, mais elle s'en fichait. De toute manière, elle était vachement sympa. Elle la connaissait depuis super longtemps et tout donc forcément c'est normal qu'elles aient un profond attachement l'une pour l'autre. Ayame ne se serait pas ce qu'elle ferait sans Ingrid pour jouer avec elle. D'ailleurs, ça l'aurait rendu super triste si Ingrid était partie. Ingrid, quand à elle que pensait-elle? Ou plutôt comment réagissait-elle aux effets de la source?

Ingrid, enfin, celle qui s’était appelée Ingrid, étant donnée qu’elle avait complètement oubliée, était perdue, confuse... Elle n’avait aucun souvenir, et peu à peu, les vapeurs de la source commençait à s’attaquer à ses connaissances. Les connaissances les plus complexes étaient entrain de commencer à disparaître, peu à peu. Celle des travaux manuels, elles, allaient disparaître un peu après. Cela allait assez vite. Elle était déjà incapable maintenant de lire, quelques soit le texte. Elle ne pouvait pas s’en rendre compte, n’ayant pas de textes sous la main... Elle aurait du écouter son maître ! Celui-ci l’avait bien mis en garde... Peut-être aurait-il du dire les effets de la source ? Ingrid n’aurait jamais voulu avoir des énormes seins, au prix de son intelligence... Mais maintenant, c’était trop tard. Sans intelligence, Ingrid n’avait aucune raison de tenter de sortir de la source, même pour préserver le peu qui lui restait...

-Ah ah ah... Ne te tracasse pas, on est bien ici. Tu es marrante et j'aime bien tes seins... On est amis, toi et moi!

« Oui... Amie... ! »

C’est ça. Elle n’avait pas à s’inquiéter. C’est vrai qu’elle se souvenait de rien -ce qui n’était pas normal, pensait-elle, mais, voilà, quand même ! Elle avait son amie, elle avait... Elle ne savait pas comment elle se nommait, mais elle avait son amie, et elle était toujours là. Donc, elle n’avait pas à s’inquiéter. Tant que son amie resterait avec elle, et bien, elle serait à l’abri, et elle pourrait profiter de cette merveilleuse source. Heureusement qu’elle était là ! Sinon, cela serait très inquiétant, et elle serait totalement perdue, elle ne pourrait rien faire. Mais tant qu’elle était là, elle avait une amie, un soutien, une présence qui lui rappelait que non, elle n’était pas toute seule. C’était... Ouf ! Elle pouvait en profiter et se rassurer... Elle écouta donc la suite des déclarations de cette dernière, rassurée sur sa situation.

-Rooooohhhh, tu as vu? On a tellement de gros seins qu'on peut même pas se serrer l'un contre l'autre. Attends, j'essaie!

En effet ! La fameuse Ayame -bien que celle-ci visiblement avait complètement oubliée elle aussi son nom- venait de tenter de s’approcher de la fameuse Ingrid. Elle tentait de s’approcher le plus proche possible, mais malheureusement -ou heureusement-, les deux femmes étaient maintenant dôté d’immense poitrine. Pour tout dire, celle d’Ingrid avait vraiment énormément augmentée. Ce n’était plus des melons qu’elle avait à la poitrine mais des pasthèques, littéralement... Et c’était à peine de l’exagération ! Elle avait vraiment une poitrine énorme, et qui ferait jalouser d’envie la plupart des femmes, tandis qu’au contraire, elle ferait baver d’envie la plupart des hommes. Assez peu l’inverse, mystérieusement... Mais cela serait possible, qui sait. Il ne faut jamais dire jamais ! Bref, alors, Ayame lui proposa quelques choses :

-C'est bon! Je te tiens! Hahahahahaha.... Vas-y! Essaye, toi aussi de t'approcher!

« Je... Je tente... »

Contrairement à Ayame, on sentait que la source avait des effets différents sur elle. De son côté, c’était fini. Elle avait perdue toute son intelligence. Elle ne savait véritablement plus rien. Avant, Ingrid avait été une maid intelligente, qui dirigeait ses équipes, et qui pouvaient largement être considérée comme une intendante. Cela avait bien changé. Maintenant, on lui donnait un crayon, elle n’était même plus capable de faire un calcul, un simple 1+1. Oh, mais encore pire, elle ne savait même plus comment tenir un crayon... Elle ne savait même plus ce qu’était un crayon... Elle ne savait même plus ce qu’était des vêtements. A son sens, maintenant, tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle était une fille, elle pouvait parler... Mais rien de plus. Elle n’avait aucune connaissance, la stupidité incarnée. Et même parler, on sentait que cela était difficile... D’ailleurs, il y avait autre chose qui était difficile pour elle, d’ailleurs, parlons-en.

« C’est... Difficile... »

Mais que diable était-il si difficile à faire ? Et bien, s’approcher de son interlocutrice. En effet, ses seins avaient tellement grossis, que maintenant, elle se retrouvait avec une taille de poitrine absolument immense, qui empêchait de serrer véritablement contre elle son interlocutrice. Mais elle tentait, comme elle avait reçu l’ordre... C’était la principale différence entre Ayame et Ingrid, sans doute liée à leur vie. Ayame avait un comportement encore quelques peu dominateur, alors que le fait qu’elle était devenue stupide, avait rendue la fameuse Ingrid complètement passive. Maintenant, elle se considérait comme encore plus obéissante qu’elle avait jamais été... Soudain, Ingrid commençait à gémir alors qu’elle se serrait, et ses seins commencèrent, à force d’être pressé, à libérer du lait... beaucoup de lait. Elle était telle une vache productrice. Elle gémissait, car ça lui donnait beaucoup de plaisir... Cependant, cela lui fit déclarer :

« Mais... Que sort... De nos seins... ? C’est... Blanc... »

Et oui... Quand je vous dis qu’elle a tout oubliée ! Elle ne savait même plus ce qu’était que le lait... Pour tout dire, elle savait encore manger, mais elle ne savait plus ce qu’était comestible... Cela allait être difficile pour elle de vivre. Quel était le cas d’Ayame ? Peut-être qu’elle avait mieux résister à la source que sa collègue. Quoiqu’il en soit, peu à peu, la source devenait de moins en moins accueillante. Alors, elle était toujours aussi magnifique, je dis pas... Mais moins rassurante, dans le sens, on commençait à entendre des bruits... Des gens, ou des animaux, se cachaient dans les fourrées autour du lac... Des humains visiblement. Des humains qui s’approchaient telles des bêtes sauvages cherchant leur proie, les proies étant ses deux femmes, stupide et entièrement nues, qui étaient là, en ce moment, au beau milieu de la source... Avaient-ils des vocations amicales, ou au contraire, voulaient-ils récupérer ses deux femmes pour des intérêts... Plus personnels ? Ou formaient-ils un groupe, bien plus organisés et intelligent qu’on croit... Malheureusement pour les deux femmes, c’était la dernière réponse la bonne. Ce n’étaient pas des simples esclavagistes, mais une corporation prête à dresser ses deux femmes.

Ayame sentit effectivement beaucoup de plaisir à ce simple contact, ses seins réagirent instinctivement en laissant échapper une substance blanche de son côté. Ingrid de son côté le lui indiqua. Elle se contenta de ramasser la substance et d'y goûter, c'était bon et sucré. Elle aimait bien le goût qu'y en sortait et elle souhaitait en goûter plus.

-Hmmmm... C'est trop bon, laisse moi goûter à la source!

Ses lèvres se rapprochèrent alors d'un téton d'Ingrid et elle le téta pour en absorber le contenu. Avec cette méthode, elle aurait plus faim, c'était une bonne nouvelle. Quand elle en absorba une bonne quantité, elle recula sa tête du liquide blanc coulant de la commissure de sa bouche jusqu'à sa gorge. Elle souriait béatement.

- Goûte toi aussi, c'est bon et ça fait du bien!

Effectivement, le pincement de son téton lui procurait une grande joie, son corps se chauffait tandis que son corps laissait échapper le liquide blanc par son téton qui pointait. Sa poitrine était si lourde que cela la soulageait de se faire absorber par son amie. Elle ouvrait la bouche et gémissait. Elle ne comprenait pas pourquoi son bas-ventre devenait douloureux mais elle caressa la tête de son amie d'une manière protectrice comme si elle voulait prendre soin d'elle.

- Mmmmhhhh.... Tête-moi... Nourris-toi..... J'aime quand tu têtes. Cela me fait du bien.... Mmmmhhhh....

Pendant ce temps, une unité de cinq hommes et d'une femme se baladait dans la jungle. Ils avaient des motivations très sombre. Ils étaient au courant qu'Ayame serait dans la source et contait bien la capturer. Les hommes avaient ramenée avec eux une autre esclave qu'ils avaient capturés. Son rôle était simple, elle devait les appâter pour les faire sortir du lac.

La femme qui ressemblait à une neko se retrouva donc au bout du lac et leur fit de grands signes de la main. Elle était elle aussi stupide et ayant une grosse poitrine. Ses maîtres lui avaient dit qu'elles pouvaient avoir deux copines donc elles étaient contente. Comment réagirait Ayame et Ingrid à cette situation?

Plus aucune intelligence... C’était fini, la fameuse Ingrid ne se souvenait de rien... D’abord ses souvenirs avaient disparus, emporté par le flot de la source... Ses souvenirs avaient été précieux, mais malheureusement, ils étaient partis. Elle ne se souvenait plus de son maître, de ses années en temps que maïd, bref... De plus rien. Mais ce n’était pas tant ça qui était le plus problématique... Le plus problématique, c’était le fait qu’elle n’avait plus aucune intelligence. Comment récupérer après cela ? Comment vivre ? Tout cela étaient des bonnes questions, auxquels les esclavagistes avaient une bonne réponse : les offrir à des maîtres. Après tout, c’était ainsi qu’elles pourraient être occupés et bien traité ! C’était du bon traitement ! Ainsi, ils étaient les gentils de l’histoire... Enfin, bon... Gentil est un bien grand mots. Disons qu’ils aidaient contre rénumération ! Ouais, c’est mieux ça comme déclaration !

-Hmmmm... C'est trop bon, laisse moi goûter à la source!

« Bien... »

Mais reconcentrons-nous sur nos deux femmes piégées. Ainsi, maintenant qu’Ingrid venait de découvrir qu’elle avait du lait qui sortait de ses seins, et bien, de suite, sa fameuse interlocutrice s’était intéressée à cela... Elle s’était alors penchée, et avait commencée à têter la fameuse Ingrid. De suite, elle fut parcourru par un frisson de plaisir ! Elle ne savait pas exactement ce que faisait son interlocutrice mais elle aimait ça ! Et elle avait envie que cela continue. Elle continua un bon moment, faisant gémir de plaisir la fameuse Ingrid, qui appréciait particulièrement cela ! Malheureusement, toutes les bonnes choses avaient une fin, étant donné que finalement, son interlocutrice Kitsune termina, et se remit devant sa collègue, un léger filet de lait coulant de sa bouche. Elle déclara alors :

- Goûte toi aussi, c'est bon et ça fait du bien!

Oh... Elle en faisait elle aussi... Et oui ! Notre fameuse Ingrid, au départ, n’avait pas pensée que c’était possible, et tout à fait logique même, que si elle produisait du lait à cause de la fameuse source... Et bien, il était presque probable que l’autre aussi en produise. C’était logique. Sauf qu’on parle de logique et d’Ingrid... Donc, il ne fallait plus en espérer beaucoup. Avant, cela se serait mieux passé... Mais maintenant, il fallait plus lui en demander beaucoup. Au contraire, même, il fallait espérer qu’elle n’ait pas trop à réfléchir à la fois, car sinon, c’était mal barré pour tout le monde. Mais bref, là, elle était bien guidée, donc, elle pouvait le faire sans trop de difficulté. Ainsi, bien guidée, elle pu commencée à têter son interlocutrice, qui déclarait alors qu’elle buvait avec grand plaisir...

- Mmmmhhhh.... Tête-moi... Nourris-toi..... J'aime quand tu têtes. Cela me fait du bien.... Mmmmhhhh....

« Bien... mmh... »

Elle obéissait bien sagement. Elle têtait avec un grand plaisir... Mmmh... Elle commençait à comprendre pourquoi elle avait tant apprécié, quand cela avait été l’autre qui avait bu son lait... Le lait était si bon... Elle adorait cela, c’était si bon... Elle continuait à teter avec énormément de plaisir, elle continuait de boire le lait... C’était délicieux. Elle n’avait jamais bu un lait aussi bon. Elle ne savait même pas que c’était du lait, mais elle commençait à apprécier cela... Mmh... Elle en voulait plus, donc, elle prit ses mains pour traire son interlocutrice, en pressant le plus possible le sein... Elle fit ça pendant un bon moment, appréciant particulièrement le moment, mais elle arrêta au bout d’un moment. Elle av ait assez bu pour le moment. Elle se releva, et regarda autour d’elle... Quand soudainement, elle déclara :

« … Il... Il y a quelqu’un... »

Elle déclara cela calmement... En effet, elle venait de terminer de boire le lait à sa source, et elle vit quelqu’un... Une femme. C’était une neko, visiblement, et elle était entièrement nue. Enfin, non. Il faut bien comprendre que la fameuse Ingrid ne se disait pas « Elle ressemble à une neko ». Pour elle, c’était juste une autre femme à gros seins. C’était plaisant, cela lui faisait plaisir d’en voir d’autres. Elle fut tentée de s’y diriger, pour la rencontrer... Mais elle s’arrêta. En effet, elle ne savait pas si elle pouvait le faire. Elle avait besoin de savoir si elle avait l’autorisation. Et oui, notre fameuse Ingrid était bien obéissante ! Donc, elle se tourna, timidement, avec toujours son air béa que cela soit au niveau de ses yeux ou de sa bouche, et elle déclara :

« Doit-on y aller... ? »

On sentait que la disparition de son intelligence avait fait que la fameuse Ingrid avait grandement perdue ses capacités à prendre des décisions. Elle demandait avant tout à son interlocutrice si elle pouvait aller voir... Après tout, elle n’avait pas de cerveau, elle devait se reposer sur les autres pour savoir si elle avait le droit ! C’était très important. Sans l’autorisation des autres, et bien, elle ne pouvait pas forcément s’autoriser à faire quelques choses. Voilà pourquoi elle demandait l’autorisation à son interlocutrice. Elle avait très envie d’aller voir l’autre personne. Après tout, elle semblait comme eux, comme dit précédemment. Peut-être était-elle une amie ? Encore une fois, la fameuse Ingrid n’avait aucune idée des risques qu’elles prenaient. Car les esclavagistes eux, n’attendaient que les femmes pour les éduquer, les élever... Dans leur entrepot, où elles auraient beaucoup à faire.