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The Witch and the Werewolf (PV)

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

The Witch and the Werewolf (PV)

dimanche 08 octobre 2017, 23:32:15

nope
« Modifié: jeudi 10 octobre 2019, 21:35:30 par Yulia Vesselovski »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 1 lundi 09 octobre 2017, 00:27:21

Cassandre Luna était une jeune fille très normale pendant sa jeunesse. Pour son malheur, cette jeune femme aux cheveux argentés avait été un jour victime d’un mal redoutable, qui effrayait beaucoup les villageois : la lycanthropie. Un mal qu’elle avait attrapé en se faisant mordre par un loup blanc venant de loin alors qu’elle revenait de la cueillette de champignons et d’herbes dans la forêt. Mais, comme elle était la fille de la guérisseuse locale, une femme qui était de plus en plus mal vue depuis qu’un religieux était arrivé, et avait détourné les villageois des rites et des croyances anciennes, le maléfice de Cassandre avait été vu comme une punition divine. Elle avait dû fuir son village natal en voyant sa mère brûler sur un bûcher. Depuis lors, Cassandre avait vécu en recluse, et avait rejoint le loup blanc, celui-là même qui avait fait d’elle une Lycane. Contrairement à la croyance populaire, un loup-garou ne changeait pas de forme spécifiquement à la pleine lune. Mais Cassandre avait choisi de rester sous sa forme animale. Elle avait couché avec le grand loup blanc, avant de prendre le contrôle de sa meute. Il s’était avéré que, en devenant Lycan, Cassandre avait hérité de puissants pouvoirs magiques liés aux loups, lui permettant de se faire obéir sans peine... Et elle tuait les plus réfractaires.

Pendant plusieurs années, Cassandre avait vécu dans la forêt, s’éloignant de son village natal, en oubliant presque son humanité... Puis ils avaient débarqué. Des envahisseurs venant de loin. Jusqu’à présent, en mélangeant son intelligence humaine et ses sens d’animal, Cassandre avait pu échapper aux battues. Elle dirigeait une puissante meute, mais cette meute avait été impuissante contre les envahisseurs. Ils avaient enflammé la forêt, massacré sa meute. Cassandre s’était vengée en les attaquant, et avait été à l’image de sa réputation. « Croc-Blanc », l’appelaient les humains. Elle avait fondu sur les Longues-oreilles, et en avait tué plusieurs, impossible à arrêter, avant de s’élancer vers la femme qui menait le groupe... Et cette dernière l’avait vaincu à l’aide de sa puissante magie. Un premier coup avait repoussé Cassandre sur le sol, et, au même moment, deux de ses loups, suivant sa stratégie, avaient attaqué la femme dans le dos, bondissant par surprise, dissimulés dans des flocons de neige. Une stratégie impossible à faire pour de simples loups, mais qui, pour une Lycane, était classique.

Hélas, les gardes de la Sorcière avaient empêché cette dernière de mourir en se sacrifiant. Croc-Blanc avait attaqué à nouveau, évitant des éclairs, et avait failli égorger la Sorcière. Las, cette dernière s’était téléportée, et avait attaqué encore, en commençant probablement à réaliser que Croc-Blanc était tout, sauf un adversaire ordinaire, et nullement un simple animal. La femme avait à nouveau bondi sur sa proie, prête à frapper au plus vif... Mais s’était à nouveau reçue de puissants sortilèges, déclenchant en elle une douleur qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant.

Croc-Blanc s’était attendue à mourir... Mais, à sa grande surprise, elle s’était réveillée dans des appartements luxueux. Nerveuse, panique, elle avait tiré sur ses liens, avant de constater que les chaînes étaient solides, et que, pour une obscure raison, elle n’arrivait pas à reprendre sa véritable apparence. Elle vit ensuite la Sorcière approcher, et grogna à son approche, montrant les dents... Mais comprenant très bien ce qu’elle disait.

Certes, Cassandre n’avait pas repris une forme humaine depuis des années, mais, comme elle avait toujours usé de sa matière grise, elle n’était pas devenue plus bête. Et, même si elle n’avait pas parlé depuis longtemps, elle n’avait jamais véritablement oublié le langage, en espionnant les humains, en les écoutant, et en parvenant ainsi fréquemment à les piéger. Parler, en revanche, était plus difficile, et elle se racla la gorge, en fixant cette mystérieuse femme.

« Rrrrr... Moi... Tuer toi... Libre ! » grogna-t-elle.

Les mots venaient difficilement, mais on pouvait comprendre ce qu’elle voulait. Être libre... Ou elle la tuerait. En revanche, elle ignorait encore comment elle le ferait, mais... Cassandre n’aimait tout simplement pas être enchaînée !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 2 lundi 09 octobre 2017, 13:45:47

Cassandre était une fière Lycane, qui ne supportait pas de voir ses loups enchaînés. Elle s’était toujours battue contre ceux voulant la capturer, et, là, face à cette femme, à cette Sorcière, elle se dandinait sur place, grognant et sifflant, essayant de se transformer, de briser les chaînes la retenant... Mais sans aucun succès. Tout ce qu’elle contribua à faire, c’est amuser sa geôlière, qui patienta plusieurs minutes, avant de lui expliquer sa position. Sa liberté ? Mais elle était en pleine mer, et ce mot ne manqua pas d’effrayer Cassandre. La mer... Elle et les siens s’en étaient toujours éloignés, car ils ne savaient pas nager. Cassandre avait toujours vu l’eau comme un rempart infranchissable, un mur aquatique. Elle en avait même la phobie, alors, quand la Sorcière ouvrit la porte, et que Cassandre vit les flots déchaînés... Ses yeux s’écarquillèrent sous la peur, et elle tenta de battre en arrière en couinant, en sentant des embruns éclater sur son visage. La mer était démontée, et il pleuvait à torrent. De l’eau s’infiltra, ainsi qu’un vent très violent, puis la Sorcière referma la porte, avant de lui expliquer que, même si Cassandre arrivait à se libérer, elle n’avait aucun endroit où aller.

Ne sachant pas quoi faire, Cassandre fixa la femme avec des yeux assassins, et grogna encore quand cette dernière indiqua être sa « Maîtresse ». La jeune femme avait encore du mal à comprendre tout ce que sa geôlière disait, mais elle saisit l’idée, une idée qui provoquait en elle une profonde révulsion.

« Grrrrrr... Ksssssssssssssst... !! »

Jamais ! Elle était sûre de son fait ! Elle, se soumettre à cette Sorcière ?! Elle était chef de meute ! Elle grogna encore quand la Sorcière tira sur ses cheveux, et claqua vainement des dents, cherchant à mordre ses doigts, furieuse d’être réduite au statut de simple objet. Autant dire que, pour la dompter, la Druchii allait devoir employer les grands moyens... Et c’est d’ailleurs ce qu’elle fit. Cassandre ne la voyait pas dans son dos, mais entendit une série de cliquetis métalliques... Cassandre serra nerveusement les doigts, et...

...Un coup terrible frappa alors son dos, et elle écarquilla les yeux sous la douleur, et ne put retenir la douleur d’éclater en elle :

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Quelle était cette chose ? Cette douleur terrible ? Elle sentait des crocs dans son dos, comme si des loups venaient de la mordre, ou, plutôt, de la griffer, mais avec un contact métallique qu’elle ignorait. Quand Anertha écarta son martinet barbelé, du sang se mit à couler le long des plaies de la Lycane, qui serra nerveusement les poings. Lors de la bataille, Anertha avait pu noter que la jeune femme disposait d’incroyables facultés régénératrices. Certains Lycans en étaient dotés, ce qui était le cas de Croc-Blanc. Le sang coulait, et Cassandre gémit encore... Puis le fouet s’abattit encore, et zébra son dos de pointes ensanglantées et de trous.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! »

Cassandre ne pouvait rien faire d’autre qu’hurler en sentant une douleur terrible la transpercer, déchirant sa chair, faisant encore ruisseler son sang, tout en massacrant son dos. Sa chair éclatait à chaque coup. Le magnifique dos de Cassandre en devenait méconnaissable, car  ses plaies s’élargissaient à chaque coup, empêchant toute forme de cicatrisation. Cassandre en vomit même du sang à un moment, n’arrivant plus à hurler. Elle avait déjà souffert dans sa vie, et la seule scène lui rappelant la douleur qu’elle ressentait actuellement, c’était cette fois où elle avait affronté une meute de loups, seule, et avait été mordue à de multiples reprises.

La Lycane ferma les yeux, serrant les dents, le sang coulant le long de ses seins, et un autre coup la frappa encore, arrachant finalement un lambeau de peau, exhibant ses omoplates sanguinolents, les os perçant, nimbés de rouge. Cassandra tremblait nerveusement, et la marque ultime de sa souffrance, ce fut son humiliation quand des larmes coulèrent le long de ses joues. Des larmes de douleur, mais aussi de rage et de frustration, face à sa propre impuissance.

Cassandre ne pouvait tout simplement rien faire contre la Sorcière...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 3 lundi 09 octobre 2017, 21:08:10

La douleur était terrible, omniprésente. Le sang ruisselait partout, dégoulinant le long du dos de la femme, tombant sur ses jambes, sous le regard ravi et excité de la Sorcière. Cassandre n’avait jamais souffert autant. La douleur était telle qu’elle avait l’impression que son dos n’était plus qu’un champ de ruines... Ce qui n’était que l’exacte vérité. Anertha avait massacré le dos de la femme, le rouant de déchirures, arrachant des lambeaux de peau, exhibant plusieurs pointes osseuses, permettant de voir même sa colonne vertébrale par endroits. Les yeux de Cassandre en tremblaient, et elle entendait un bourdonnement sourd et dur dans ses oreilles. Ses yeux se voilaient de points noirs, et Cassandre cracha encore du sang, se refusant à tomber dans les pommes.

Entendant des cliquetis autour d’elle, elle vit la femme se rapprocher d’elle, en lui montrant l’arme du crime. De longues chaînes métalliques rouges, avec, ici et là, des bouts de peau collés. Ce truc rappelait à Cassandre les clôtures de certains enclos, quand elle tentait de manger les vaches à l’intérieur, et qu’elle se coupait sur les barbelés. Elle regarda encore la Sorcière, et entendit cette dernière lui parler... Et frémit quand elle sentit la botte ensanglantée de la femme se poser contre ses lèvres intimes. Malgré la torpeur qui assaillait son corps, et les terribles picotements qu’elle ressentait dans le dos, un frisson la parcourut. Elle avait déjà été assaillie ici par plusieurs mâles, et se rappelait de la terrible douleur qu’elle avait ressenti. Mais, à chaque fois, elle avait réussi à se défendre. Ici, elle ne put que sentir les pointes caresser sa peau.

En réalité, Anertha commençait sans doute à réaliser que, face à une telle rebelle, sauvage et dure, la douleur serait le seul moyen de la soumettre. Une douleur qui devrait s’inscrire dans la durée, et ce encore plus si elle voulait la convertir au culte de Slaanesh, un culte masochiste et cruel qui prônait le plaisir à travers la souffrance. Elle déglutit devant cette femme, mais, contrairement à ce qu’on pouvait penser, Cassandre n’était pas idiote. Elle était abandonnée en pleine mer, devant la Sorcière et son armée entière, avec la perspective de devenir un vulgaire animal de compagnie.

Alors... Mourir lui semblait être la seule perspective viable. Tout ce qu’elle avait à faire, c’était de faire comprendre à la Sorcière qu’elle ne se soumettrait pas. La mort, plutôt que l’humiliation ! Et, quand la femme demanda à ce que Cassandre la supplie, la réaction de cette dernière fut immédiate. Elle avait du mal à parler, tant elle souffrait... Mais elle répondit autrement.

Elle lui cracha à la figure. Un jet de salive tacheté de sang éclata sur la joue de la femme, et Cassandre la regarda en fronçant les sourcils, tâche d’autant plus difficile à faire qu’elle souffrait le martyr.

Jamais !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 4 mardi 10 octobre 2017, 13:20:49

Pour éduquer Cassandre, il ne fallait pas y aller doucement. Elle était une femme forte, rebelle, endurante, qui préférait la mort à la soumission. Mais ça, Anertha l’avait anticipé, et en tirait même plaisir. Des hurlements, elle en eut, car, malgré la fatigue que la Lycane commençait à ressentir, quand la Sorcière s’attaqua à son sexe, la douleur explosa en elle, et elle hurla encore, se crispant sur ses liens, poussant de nouveaux hurlements, à s’en rompre les cordes vocales. Cette douleur, cette douleur ! Elle n’aurait jamais pu imaginer concevoir une telle souffrance, une douleur qui remontait en elle, et la mettait dans un état terrible, à la limite de la démence. Elle se tortilla encore faiblement sur place, avant que la Sorcière ne relâche la pression. Elle avait mutilé le sexe de Cassandre, qui manqua s’écrouler sur place. En réalité, sans les chaînes pour la retenir, elle se serait écroulée sur le sol. Du sang coulait abondamment de ses plaies intimes.

La Sorcière s’écarta alors, et Cassandre resta silencieuse, l’esprit toujours embrumé, se sentant encore partir... Mais les sensations revinrent quand elle sentit un liquide sur son dos. La Lycane se mit à frémir, et se pinça les lèvres en sentant une saine chaleur dans son dos. La mixture, alliée à sa constitution lycanthrope, fit des merveilles, en permettant de cicatriser très rapidement sa peau. Ses plaies béantes se refermèrent  en quelques instants, mais ce soulagement eut aussi d’autres conséquences. Cassandre soupira en sentant sa peau aller mieux, ressentant une étonnante vague de plaisir, qui se heurtait toutefois à la souffrance terrible qu’elle ressentait à hauteur de ses cuisses.

« Hnnnn... Hnnnnn... »

Bien sûr, elle ne pouvait pas savoir que la mixture de la Sorcière était faite en usant de magie rose. Il ne s’agissait pas uniquement de soigner, mais aussi d’habituer les esclaves à un mélange de plaisir et de douleur, le tout porté à un très haut niveau. Et la Lycane était bien plus réceptive que n’importe quel autre humain. Étant une Lycane, elle avait un sens du toucher bien plus important que de simples humains, et la potion de la Sorcière était donc très efficace sur elle... Tant et si bien que sa fleur intime se reconstruisit également.

Mais la Sorcière n’en avait pas encore fini, et, semblant constater que sa proie reprenait du poil de la bête, entreprit d’utiliser du fil barbelé sur son corps. Cassandre se débattit encore, mais il s’agissait clairement d’oppositions formelles. La femme lui assura qu’elle ne comptait pas la laisser mourir, et la Lycane, suffisamment intelligente pour avoir peur, secoua la tête.

« N-Non... Non... Nooooooooooonnn... !! »

C’est tout ce qu’elle arrivait à dire pour exprimer son refus. Il s’agissait là de biens vaines paroles, car la Sorcière entreprit de poser les barbelés sur son corps, imprimant sa chair, la faisant saigner. Les fils passèrent sur ses seins, le long de son ventre, passant ensuite entre ses cuisses. Une véritable séance de bondage sanguinolente, où la douleur était omniprésente. Mais l’effet de la mixture continuait à agir, plaçant Cassandre dans une situation assez inexplicable.

La jeune femme réalisait intuitivement à quel point douleur et plaisir étaient les deux facettes d’une même pièce. Après tout, c’était les deux éléments permettant de se dire qu’on vivait. Il fallait bien comprendre que la douleur ne devenait pas plus supportable, ou moindre, mais qu’elle s’accompagnait de curieuses sensations... Et, quand la Sorcière vint à serrer les barbelés sur son corps, et à les planter dans sa chair, Cassandre hurla de douleur, tout en sentant sa mouille commencer à couler, se mélangeant à la douleur et au sang.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! »

Retrouvant sa vitalité, Cassandre hurla alors, tandis que son dos fut à nouveau roué de coups, la Sorcière ne cherchant en aucun cas à la ménage. Les coups de fouet se multipliaient, et Cassandre hurlait et pleurait... Mais, au fur et à mesure que les coups pleuvaient, son corps se crispait... Et elle finit par avoir un orgasme, relâchant d’épais filaments de mouille le long de ses cuisses.

Que lui arrivait-il ? La Lycane n’y comprenait plus rien !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 5 mercredi 11 octobre 2017, 01:10:17

Ce... Ce n’était pas possible ! C’était sûrement un sortilège ! Cassandre ne voyait aucune autre explication, son corps ne pouvait pas la trahir comme ça. Elle était une fière guerrière, elle était Croc-Blanc, la Louve légendaire qui déchiquetait les corps de ses ennemis, les mettait en pièces, et hurlait à la lune. Et, pourtant, la Sorcière l’avait battu, humilié, et, tout ce que son corps avait réussi à produire, c’était un orgasme. Car, bien sûr, Cassandre savait très bien ce qu’elle ressentait. Des orgasmes, elle en avait souvent eu en se faisant saillir par les mâles de son clan. Mais là... Elle n’avait encore jamais ressenti, jamais ressenti des sensations aussi opposées. Alors qu’elle tremblait sur place, et que son corps en lambeaux se cicatrisait à nouveau, les barbelés cinglèrent à nouveau son dos, pendant que la Sorcière lui hurlait dessus, se moquait d’elle, essayant de lui faire admettre l’impensable. La Lycane secoua la tête devant les propos de la femme, et releva son visage.

Elle allait lui répondre, mais le fouet frappa son visage, coupant sa joue, et la fit hurler. Pour autant, ses yeux fixèrent rageusement, et elle répéta, quitte à hurler, le seul mot qui lui venait à l’esprit :

« N-Nooonnn... Nooonn... NOOOONNNN !! »

Non, non, non. Non à tout ça, non à toute cette folie, non à ce corps qui la trahissait, à ce sortilège qu’elle ne comprenait pas. Non au ton moqueur de cette femme, à son rire machiavélique, à cette lueur de plaisir démente qu’elle voyait dans les yeux de cette femme... Qui la fouetta alors. Le coup atteignit Cassandre au nez, et elle hurla encore, avant que les coups ne se remettent à pleuvoir. La Sorcière serra même encore plus fort les barbelés situés sur sa peau, entaillant parfois sur plusieurs millimètres de profondeur la chair de la femme, qui hurla encore, les yeux s’écarquillant parfois, en se dandinant... Mais remuer ne faisait que provoquer davantage de douleur, et, paradoxalement, encore, davantage de plaisir.

Le fouet claqua alors, ceignant ses fesses, puis ses chevilles, arrachant un morceau de chair, la déstabilisant. Sans les chaînes la retenant, Cassandre se serait effondrée sur le sol, et elle sentit ensuite le fouet claquer contre ses bras, les tuméfiant, aspergeant le sang. L’arme frappa ensuite sur son front, semblant ne devoir épargner aucune partie de son corps, et la Sorcière frappa à plusieurs reprises ici, jusqu’à ce que le sang n’aveugle la femme.

« Nooooonnnn... !! »

Et un autre coup la frappa aux lèvres, tranchant sa langue, faisant vomir encore du sang. Druchii, Anertha était une experte de la douleur. Elle savait précisément où frapper pour faire mal, sans trop endommager les organes vitaux. La torture, mine de rien, était tout un art, car il fallait combiner douleur et durée. Si la douleur était trop forte, le corps humain finissait par se relâcher, et, dans un réflexe ultime d’autodéfense, tombait dans le coma. On pouvait certes retarder ce moment, le prolonger, mais, sans expérience, il finissait toujours par finir. Là, Anertha veillait à répartir la douleur, afin de frapper les zones du corps qui commençaient à cicatriser. Tout était fait pour que Cassandre ait mal partout.

Pendant cette longue séance, le plaisir continuait à venir, encore et encore. À chaque fois que les plaies de Cassandre se cicatrisaient, elle ressentait son corps aller mieux. Est-ce qu’elle aimait vraiment ça ?

*Pas possible... Ce n’est pas possible...*

Mais elle ne savait plus ! Cassandre raisonnait comme un loup, ou, plutôt, comme un animal, se fiant d’abord à ses instincts corporels, puis ensuite à ses capacités de réflexion. Autrement dit, elle avait une confiance totale dans les réactions de son corps. Et là, son corps était en contradiction avec ses émotions. Elle n’avait jamais été aussi désorientée, jamais autant paniquée, ce qui fit qu’elle se mit à pleurer, tout en sentant un orgasme revenir, car les coups de fouet se multipliaient.

La Sorcière serra les barbelés sur son corps plus fort que jamais, et, quand le fouet claqua sur ses fesses, elle sentit l’orgasme la traverser encore. Cassandre resta ensuite inerte, complètement désarticulée. Les dents de Cassandre claquaient nerveusement. Même avec sa constitution surnaturelle, elle était à bout, à la limite de ce que son corps pouvait endurer. Les barbelés se retirèrent alors lentement de son corps, craquelant légèrement sa peau. Ils étaient recouverts de sang, et, quand ils tombèrent, le résultat n’était pas spécialement beau à voir.

Le corps de Cassandre était parcouru de traînées rouges, des lignes qui marquaient sa chair. Elle reprenait peu à peu sa respiration, et entendit encore la femme claquer les talons, se mettant devant elle. Elle rangeait ses armes, lui tournant le dos, et, très lentement, se déshabilla. Cassandre la regarda silencieusement, sans rien dire... Et la vit se déshabiller intégralement. Lentement, la femme se délesta de tout ce qu’elle portait, ôtant sa jupe rouge, puis son soutien-gorge écailleux, et ses longues bottes, avant de se retourner vers elle.

Cassandre déglutit. Elle aimait ce genre de corps. Quand elle était Croc-Blanc, il lui arrivait parfois de capturer des humains, belles comme elle, et de les saillir. Bien sûr, elle n’avait pas de verge, mais elle disposait de son corps, de ses crocs, et les léchait fermement, ou les offrait à ses mâles... Et, quand la frustration était trop forte, elle dévorait ses proies, et c’était alors à ce moment qu’elle ressentait un plaisir féroce. Inconsciemment d’ailleurs, si les tortures d’Anertha avaient si bien marché, c’était parce que, au fond d’elle-même, Cassandre avait toujours aimé la violence, car elle était, sexuellement parlant, horriblement frustrée.

La femme observa les fesses de la Sorcière, ses longues jambes, puis ses seins, et cette dernière se glissa ensuite dans son dos. Le corps de Cassandre commençait déjà à aller mieux, mais restait encore couvert de sang. Ses tétons s’étaient reformés, et en étaient devenus sensibles. Quand les doigts fins et élégants de la Sorcière se posèrent dessus, Cassandre se mit à gémir.

« N-Nnnnnnnn... Nnnnooonnn... Noooooonnn... »

C’est tout ce qu’elle arrivait encore à dire, péniblement, mais, vu le durcissement de ses tétons, Anertha comprendrait sans peine que, là encore, Cassandre ressentait une pointe terrible d’excitation. Son corps la trahissait, là encore, et ce n’était même pas tant la faute de la mixture de la femme, que du fait que, depuis des années, Cassandre était restée sous sa forme de Lycane. Elle n’avait jamais pris soin de s’occuper de son corps, ce qui avait justifié en grande partie l’agressivité dont elle faisait habituellement preuve.

Et là, dans son état de faiblesse, elle ne pouvait tout simplement rien faire que de gémir faiblement, essayant en vain de lutter contre le torrent de plaisir qui se déversait en elle...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 6 jeudi 12 octobre 2017, 07:49:21

Cassandre ne s’était jamais sentie aussi faible, et aussi impuissante. Cette femme... Elle n’avait rien à voir avec tout ce que Cassandre avait connu ! Elle avait pourtant affronté des humains pernicieux et redoutables, mais... Rien de comparable à elle ! La Sorcière lui faisait horreur, elle avait envie de la tuer, de la déchiqueter, de la massacrer... Mais, en même temps, elle revoyait encore ses formes langoureuses, et songeait encore à ce que son corps avait tenté de lui dire. Car son corps avait aimé cette punition. Et Cassandre réagissait davantage comme une louve que comme une humaine. Or, quand un loup-Alpha tombait sur plus fort que lui, il se soumettait instinctivement... Ou était tué. Dans la Nature, il n’y avait pas de place pour les faux-semblants, tout simplement. Et Cassandre commençait à réaliser qu’elle était totalement impuissante face à la Sorcière. Elle avait confondu « fierté » et « arrogance » en la défiant ainsi. Dès el moment où la Sorcière l’avait vaincu, Cassandre aurait dû reconnaître sa supériorité.

Elle gémit alors quand la femme la doigta, tout en l’écoutant parler. Ça aussi, elle ne pouvait pas le nier... Les délicieux mordillements de la femme, son maigre corps se heurtant au sien, ses lèvres lui infligeant de la douleur, une douleur exquise, et ses doigts, ses doigts qui... Cassandre gémit encore. Elle n’avait jamais ressenti un tel doigté. Quand elle faisait l’amour sous sa forme animale, c’était vraiment très différent, rien à voir avec ça, avec ces sensations jouissives incroyables qui se diluaient en elle.

« Gnnnnn... !! »

Cassandre glapissait et gémissait lentement, tout en voyant les doigts de la Sorcière remuer devant elle, montrant sa mouille. Cassandre rougit en soupirant, ses seins toujours très durs. Comment nier l’évidence même ? Elle sentit ensuite la Sorcière recommencer à lui faire du bien, et, cette fois, il n’y eut plus de « non ». Pour la jeune Lycane, ça faisait tout simplement trop.

« Hmmmmmm... Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaa... !! »

Cette fois, Cassandre gémissait clairement de plaisir, mais, rapidement, elle sentit les doigts de la Sorcière s’arrêter, l’empêchant de jouir, ce qui la fit couiner. Elle se débattit encore, furieuse d’arriver si près du plaisir suprême, de tout ce que son corps réclamait. Elle en grogna même, et gémit encore quand la Sorcière recommença à la masturber. Petit à petit, Cassandre tombait complètement sous son contrôle, sans pouvoir sérieusement espérer lutter contre elle, et, encore une fois, la Sorcière la frustra, en lui reufsant son plaisir.

« Grrrrr... Gnnnnnnnnnnnnn... !! »

De vains soupirs, encore une fois, car la Sorcière attendait que Cassandre la supplie. La jeune Lycane ferma les yeux, comprenant très bien ce que la Sorcière voulait... Mais c’était bien à cause de son aveuglement qu’elle en était là. Elle avait perdu, et elle ne pouvait pas nier ce simple état de fait. Elle soupira donc encore, et parla, lentement, d’une voix faible et épuisée :

« Pi... Pitié... Maî-Maîtresse... ! »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 7 samedi 14 octobre 2017, 17:47:38

Confus, confus... Tout était brouillé ! Elle n’arrivait pas à réfléchir, elle ne comprenait pas... Comment pouvait-elle passer d’une extrême douleur à des sensations pareilles ? Son corps ne lui répondait plus, réagissait sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Tout ce qu’elle savait, en ce moment, c’est qu’elle avait soif, très soif à hauteur du sexe. Elle voulait que la Sorcière la libère de sa souffrance ici, et, dans cet état de confusion, avait donc supplié cette dernière. Mais Cassandre, dans sa situation, réalisait-elle vraiment la portée de son engagement ? On était très largement en droit d’en douter... Mais, au-delà de son trouble sexuel, Cassandre était réellement marquée par la Sorcière. Elle n’avait pas pu la prendre au sérieux, au début, vu son corps maigre, sa faible constitution. Pour Cassandre, ces éléments faisaient de la Sorcière une proie plus qu’autre chose, mais la Sorcière l’avait vaincue, et l’avait humiliée. Cassandre ne pouvait nier sa puissance, tout simplement.

Et, maintenant qu’elle s’avouait vaincue, elle couina encore en sentant la Sorcière lui faire du bien, venant la pousser jusqu’à l’orgasme. Cassandre ne fit évidemment rien pour s’y opposer, bien au contraire. Tout son corps frémissait sous les assauts digitaux de la femme. Elle retournait glisser ses doigts, et la Lycane gémit encore, encore et encore, succombant devant ce plaisir exquis.

« Haaaaa... Mraaaaawwww... »

Aussi douce qu’une petite chatte, Cassandre ne pouvait pas lutter. Oui, elle n’avait jamais ressenti ce genre de sensations, d’émotions... Et tout ça la maintenait en transe, dans un état proche du craquage. La Sorcière recommença à la titiller, et glissa un nouveau doigt. Les glapissements de Cassandre s’accentuèrent, s’approfondirent... Et une terrible vague de plaisir vint à la submerger, se diluant dans tout son corps. Elle en frémit sur place, avant de brusquement se relâcher, atteignant un nouvel orgasme, mais qui fut bien plus intense que les deux autres, puisqu’elle n’avait plus de barbelé martelant sa douce peau. Cet orgasme-ci fut un orgasme de plaisir, qu’elle eut dans un long cri, avant de se sentir partir pendant de longues secondes, crachant de multiples filaments de cyprine sur la main de la femme.

Cassandre jouit donc, et tout son corps se détendit ensuite. Épuisée, elle semblait avoir perdu toute combativité, et entendit ensuite la Sorcière lui parler, pendant qu’elle lui montrait sa main et son avant-bras couverts de sa mouille. Devant ce curieux spectacle, Cassandre rougit, tout en reprenant ses esprits, et sans oser parler. La Sorcière se releva ensuite, et se plaça devant elle, lui rappelant ce que Cassandre avait dit, et lui expliqua que, si elle se montrait douce, la Sorcière serait gentille avec elle. Mais, dans le cas contraire, ce qu’elle avait subi tantôt ne serait qu’un avant-goût, et la Sorcière n’hésiterait pas à la jeter à la mer.

La Lycane était intelligente, suffisamment pour comprendre qu’elle n’avait rien à gagner à s’opposer à la femme, si ce n’est recevoir des coups. Elle déglutit donc, un peu effrayée, et vit ensuite cette dernière se rapprocher, exhibant son corps magnifique devant elle. Cassandre avait toujours aimé les belles formes de femmes, les longues jambes... La Sorcière, en réalité, sans sa magie, aurait sûrement été l’une de ses meilleures concubines, tant elle était belle. Cassandre gémit et soupira en la sentant écarter un peu ses bras, tout en posant ses cuisses sur elle. La Lycane grogna un peu, sentant le poids de la Sorcière sur ses épaules, et constata qu’elle s’était assise sur elle, plaquant contre son visage son sexe.

« Haaaaa... »

Elle pouvait mordre, et l’idée lui traversa même l’esprit... Mais la prudence préféra ensuite s’imposer à elle. Elle sentit les cuisses de la femme contre son nez, sa peau se heurter à la sienne... Et elle lécha. Sa langue fila dans l’intimité de la Sorcière, et elle la remua, tout en restant calme. Cassandre, toutefois, ne savait vraiment pas comment s’y prendre. Le clitoris ? Pour elle, c’était une grande inconnue, elle ne voyait qu’une fente à lécher pour prodiguer du plaisir, et c’est ce qu’elle fit.

La Lycane se mit à lécher, activement, remuant sa langue, autant qu’elle pouvait le faire...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 8 jeudi 01 février 2018, 00:53:46

Cassandre soupirait lentement, confuse, très confuse. Cette femme, cette sorcière... Elle l’intimidait, elle l’effrayait. Cassandre en avait une sainte horreur, tout en l’idéalisant aussi. Elle ne savait plus quoi penser. Cette femme était cruelle, terriblement puissante... La magicienne qu’elle était effrayait Cassandre, qui n’avait jamais été à l’aise avec ce genre d’individus. En d’autres circonstances, si Cassandre avait été mieux éduquée, moins sauvage, elle aurait sans aucun doute pu résister davantage à la sorcière, mais, là, elle était... Tout simplement humiliée. Pour l’heure, Cassandre était vaincue, mais on ne pouvait pas exclure que, tôt ou tard, sa fierté naturelle reprenait le dessus. Pour l’heure, elle frissonnait au contact des cuisses de la sorcière, et se crispait sur place, frissonnant en sentant ses plaies cicatriser petit à petit, et continua à lécher, fourrant sa langue entre ses cuisses. Inexpérimentée, elle sursauta légèrement en sentant de la mouille couler le long de ses lèvres.

« Hmmmm... !! »

Oh, que c’était bon ! Yeux clos, Cassandre continuait à lécher cette partie du corps de la femme, de sa Maîtresse, et frémit en sentant ses mains se poser sur, sa tête, son maigre corps heurter le sien, se balançant lentement d’avant en arrière. Ce contact onctueux la faisait frémir, contrastant fortement avec toute la douleur qu’elle ressentait depuis le début de sa séance ici. Elle n’en était nullement gênée, bien au contraire, ressentant une joie féroce qui se propagea dans tout son corps, faisant chauffer son sexe. Cassandre ne savait pas trop comment s’y prendre, du reste, et elle léchait frénétiquement et avidement l’intimité de la femme, sans vraiment y réfléchir, simplement en enfonçant sa langue, et en récoltant de la mouille. Vu les couinements d’Anertha, elle soupçonnait que tout ça lui plaisait plutôt bien.

Les minutes passèrent donc, dans ce contexte reposant et excitant, jusqu’à ce que la porte ne s’ouvre. Cassandre ne le réalisa même pas sur le coup, semblant comme électrifiée par le plaisir de sa Maîtresse, et, quand elle prit conscience de la présence du soldat, elle gronda dangereusement, faisant cliqueter ses chaînes, ressentant l’envie furieuse de dévorer l’homme qui était en train de lui priver de son bonheur avec sa Maîtresse... Cassandre réalisa à rebours sa réaction, et ne sut pas si elle devait en être gênée ou paniquée... Mais, quand Anertha indiqua qu’elle avait fini, et s’écarta, Cassandre couina, en essayant d’avancer sa tête pour la lécher.

« Nyuuuu... ! »

Anertha se déplaça alors, et la détacha légèrement, mais sans totalement la libérer, attachant ses poignets avec des menottes solides... Et elle couina en sentant, après que sa Maîtresse les attacha, des pointes s’enfoncer, venant entailler sa chair, lui arrachant un soupir. Toute confuse, Cassandre était partagée entre le plaisir, la douleur, l’incertitude... Son corps lui semblait ne plus être en mesure de réagir, et elle se laissa docilement faire, rejoignant une sorte de sarcophage... Que la femme ouvrit alors, avec un sourire sardonique et cruel...

Cassandre déglutit en voyant toutes les pointes, et écarquilla les yeux, avant de faiblement se reculer.

« Maî-Maîtresse, noon... »

Mais sa Maîtresse n’écouta rien, et la poussa alors. Cassandre hurla, et se retourna face à la femme. Elle sentait les pointes caresser son dos, et vit la main de Maîtresse sur la porte du sarcophage, et soupira encore, se pinçant les lèvres... Puis cette dernière tendit sa main, et une onde d’Air repoussa Cassandre... Qui hurla en sentant les pointes s’enfoncer dans sa chair, puis vit ensuite le devant du sarcophage se rapprocher.

« Maîtresse, nnn... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Un terrible hurlement la traversa quand les pointes de devant s’enfoncèrent également en elle. Les piques en acier se plantèrent douloureusement dans sa chair, et elle sentit les pointes se planter fermement, hurlant encore... Même à travers le sarcophage, on l’entendait hurler, et se tortiller sur place. Mais personne n’était là pour la libérer. Cassandre était sortie de sa douce torpeur, dans laquelle les caresses intimes de Maîtresse l’avaient plongé, et une douleur sans nom se diffusait en elle.

Cette fois, les larmes ruisselèrent, tandis qu’elle sentait les pointes percer son estomac, son dos, ses cuisses, ses fesses, ses jambes, ses seins... Tout son corps ne devenait plus qu’un atome de douleur, et le sang commençait à couler. Le pire étant que, à chaque fois qu’elle bougeait, la douleur explosait encore, la faisant hurler de nouveau. Son corps se couvrait de lignes ensanglantées, de zébrures écarlates, et, tandis que Cassandre se dandinait sur place, elle ressentait, encore une fois, les effets pervers de cette huile... Car la douleur s’accompagnait de la sensation de plaisir, qui remontait en elle, la mettant dans un état très troublé.

La Lycane hurlait encore, et, sans même qu’elle ne comprenne comment, sentit le plaisir se mélanger à la douleur, sa mouille s’accompagner à son sang... Et les orgasmes venir, la trahissant, et la damnant à chaque jet...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 9 lundi 19 mars 2018, 00:43:23

Si on avait dit à Cassandre qu’elle n’avait passé « que » deux heures là-dedans, elle ne l’aurait jamais cru. Pour elle, ces deux heures furent un supplice sans fin, où elle oscillait dans un état second. La douleur la dominait entièrement, et elle n’arrivait pas à s’expliquer comment elle pouvait ressentir du plaisir. Elle avait mal, terriblement mal, et ce même malgré ses facultés de régénération. Le plus dur, ce fut sur la durée. La douleur persistait, sans jamais diminuer, s’accroissant au contraire. Elle était bien incapable de s’y habituer, et ne se rappelait tout simplement pas un seul moment où elle avait pu souffrir à ce point. Ce qu’elle ressentait dépassait tout ce qu’elle avait jamais pu imaginer, une souffrance insoutenable. Quand, enfin, la lumière vint, quand, enfin, sa Maîtresse ouvrit le sarcophage, Cassandre ne put même pas répondre. Elle était... Comateuse, tout simplement. Du sang coulait abondamment de ses plaies, et elle avait également craché des gerbes de sang depuis sa bouche.

Lentement, Maîtresse Anertha la retira, et Cassandre serait tombée au sol si sa Maîtresse n’avait pas été là pour la retenir. Les pointes retirées, tout son corps saignait, et Cassandre cligna des yeux à plusieurs reprises. Ses oreilles bourdonnaient, elle couinait encore, et tomba finalement au sol quand sa Maîtresse s’écarta. Anertha n’avait toutefois pas envie de patienter, et, pour encourager Cassandre à la suivre, remit autour de son cou un collier à pointes très particulier. Chaque fois que la laisse se tendait à son maximum, les pointes s’enfonçaient dans la nuque de l’esclave.

« Hnnnn... !! »

En sentant les pointes, Cassandre couina, et se releva alors. Néanmoins, elle n’avait pas la force de se tenir debout, sur ses pattes arrière, et avança donc à quatre pattes. Son corps n’était plus qu’un atome de douleur, mais, avec les pointes en moins, son corps se régénérait. Toutefois, vu le nombre de plaies, il y avait une très grande surface à soigner, de sorte que tout son corps frissonnait sur place, et pompait toute son énergie. C’est ce qui expliquait pourquoi la Lycane était très fatiguée. Elle suivit sa Maîtresse sans rien voir, sans savoir où elle allait, jusqu’à approcher d’une grande pièce avec de l’eau. Cassandre, qui ne savait pas nager, et qui avait jadis plusieurs fois failli se noyer, eut un léger frisson d’appréhension, surtout que l’eau était bien plus chaude que l’eau de la rivière où elle avait pour habitude de chasser... Puis sa Maîtresse la tira alors, et Cassandre tomba dans l’eau.

Elle remonta rapidement, l’eau la réveillant, mais lui faisant également mal, ses plaies n’ayant pas eu le temps de cicatriser. Elle s’agrippa au rebord, et vit alors sa Maîtresse se déshabiller. Parlant peu, la Lycane la regarda alors, et cette dernière lui rappela le souvenir où elle avait léché son intimité, où elles avaient commencé à se faire l’amour, à lui faire du bien. Silencieuse, Cassandre était brisée. Elle n’osait pas parler sans invitation, surtout qu’elle ne voyait pas quoi dire. Sa gorge était un peu sèche, son corps fatigué, et elle laissa sa Maîtresse la rejoindre dans l’eau.

« Nyuuu... » fit-elle quand elle sentit le corps de sa Maîtresse dans son dos, se blottissant à elle, et son éponge glisser sur son corps.

Des frissons traversèrent le corps de la femme. Elle gémit doucement, sentant les caresses de sa Maîtresse lui faire du bien, et se pinça les lèvres. Ses griffes sortirent légèrement sous l’effet de ce plaisir subit, et... Quelque chose de très inattendu se passa. Le corps de Cassandre frissonnait nerveusement, ce qui se traduisit, concrètement, par... Des ronronnements. Des vibrations sonores qui s’accentuèrent, tandis que ses tétons durcirent, et que les doigts de sa Maîtresse s’approchèrent de sa fleur. Avec son éponge, elle avait tout nettoyé, échauffant Cassandre, mais refusa ensuite de continuer, tout en lui expliquant combien elle lui était précieuse. Et ça, Cassandre voulait bien le croire.

Elle frémit donc, et se pinça les lèvres, ses joues retrouvant leur couleur. Des rougeurs se formèrent en effet dessus, et elle tourna la tête vers l’intéressée, qui continuait à la titiller, à la provoquer, lui demandant de la « supplier » de continuer à la caresser. Chose difficile à faire, Cassandre ayant un vocabulaire très limité, mais ce que sa Maîtresse lui faisait était... C’était tout simplement magnifique ! Elle lui faisait tant de bien, et ce après toutes les souffrances qu’elle avait subi...

« Pi-Pitié, Maîtresse, je... J’ai si mal, haaaa... Pitié, soulagez-moi, nyuuu... Haaaa... Maî-Maîtresse, nyyyuuu... »

Il n’y avait plus rien de la courageuse et fière Lycane en elle en ce moment. Cassandre était juste une chatte terrorisée, espérant que sa Maîtresse allait enfin lui faire du bien.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 10 mardi 06 novembre 2018, 20:55:31

Il y avait deux éléments qui se jugulaient ensemble pour expliquer la résistance de Cassandre. Il y avait sa constitution améliorée de Lycane, pour commencer. Cette constitution améliorée n’était pas à négliger, car elle lui permettait aisément, en temps normal, de survivre à bien des blessures qui auraient été mortelles pour des humains ordinaires. C’était cette constitution qui lui avait indéniablement permis de survivre aux mauvais traitements d’Anertha. Mais il y avait aussi autre chose. Il y avait sa capacité de régénération exceptionnelle. Ces deux éléments expliquaient aisément comment Cassandre avait pu devenir la Lycane-Alpha de sa meute, alors même qu’elle n’était qu’une femelle. Telle une mante religieuse, elle tuait les amants qui venaient la saillir, et avait ainsi réussi à s’imposer. Anertha, en lui montrant toute sa cruauté, et en faisant découvrir à Cassandre des sensations inattendues et incompréhensibles pour elle, avait placé la jeune Lycane dans un état de grande confusion, une situation dont Anertha profitait pleinement pour poser son empreinte sur le corps et sur l’esprit de Cassandre.

Celle-ci, après l’épisode de la douloureuse vierge de fer, reçut alors une incroyable récompense. La douleur avait mis son corps à vifg, ce qui fit que les caresses d’Anertha étaient déjà, en tant que telles, incroyablement agréables... Mais le sortilège magique que la femme utilisa acheva totalement Cassandre. Elle sentit toutes ses forces l’abandonner, retrouvant une sensation qu’elle n’avait ressentie qu’une fois, le jour où elle avait reniflé des fleurs aphrodisiaques dans une jungle. Elle avait alors senti son esprit se perturber, sa concentration se compliquer, tandis que son esprit était envahi d’images perverses avec son amant de l’époque, et qu’elle avait mal à hauteur de son sexe. Là, elle ressentait une forte douleur à hauteur de ses seins, et... Et une terrible chaleur entre ses cuisses.

Puis, quand Anertha glissa ses doigts pointus... Cassandre ferma les yeux en sentant des vagues indescriptibles de plaisir l’envahir. Un plaisir immense et totalitaire vint l’envahir, tandis que la voix suave de sa Maîtresse résonnait près de son oreille.

« Haaaa... Maî-Maîtresse... »

Ce fut tout ce que Cassandre arriva à dire, tandis que Maîtresse Anertha jouait à la perfection avec son corps. Elle faisait hurler Cassandre quand elle le voulait en pinçant son téton, caressant les endroits les plus sensibles de son corps, ses zones érogènes, faisant découvrir à Cassandre un plaisir qu’elle n’avait jamais atteint auparavant, et qu’elle n’aurait jamais pu imaginer atteindre. Elle continuait à soupirer, se tortillant sur le sol, sentant le corps fin de sa Maîtresse, qui continuait à la titiller, à la masturber doucement, serrant son clitoris, pinçant son bouton de plaisir, arrachant à la femme des hurlements supplémentaires.

Tout son corps se tendait au fur et à mesure que le désir la submergeait. Ses mains se posèrent nerveusement sur les genoux de sa Maîtresse, se crispant dessus, tandis que ses jambes remuaient frénétiquement sur le sol. Cassandre s’avérait bien incapable de lutter contre de telles vagues, contre ce plaisir qui affluait furieusement en elle.

« Haaaaa... Haaaaaaaaaannn... !! »

C’est ainsi qu’un formidable orgasme la traversa. Tout son corps se contracta sur place, et elle gémit longuement, jouissant ensuite généreusement en se relâchant contre les doigts de sa Maîtresse. Un long et ténu orgasme, un plaisir inouï, surclassant tout ce qu’elle avait jamais pu ressenti, et qui la laissa ensuite pantoise. Étalée sur le sol, elle vit Anertha s’écarter.Elle alla sur le rebord de son bain, et fit signe à Cassandre de venir, désignant son sexe.

La Lycane la regarda silencieusement, reprenant ses esprits... Définitivement ses esprits. Elle se retourna alors, et marcha à quatre pattes, la tête basse, puis glissa sa tête entre les cuisses de la femme. Sa langue jaillit alors, et, machinalement, elle lécha al doucereuse intimité de sa Maîtresse. C’était doux, c’était très bon, humide et glissant.

« Hmmm... »

Cassandre se détendait de plus en plus, sentant sa Maîtresse se faire plaisir... Ce qui l’amena alors progressivement à ouvrir les yeux, et à réaliser qu’elle était en train de se soumettre. La Lycane savait son geste futile, car elle n’avait aucune occasion de s’évader, et Anertha l’avait fait souffrir... Mais elle avait après tout réussi à tenir bon à ses attaques, aux actes de torture que la jeune louve avait subi. Qu’est-ce qu’Anertha pouvait lui faire de pire ? Elle lui avait ôté sa liberté, et elle tentait de briser sa fierté !

Quelque chose changea alors dans le corps de Cassandre. Ses yeux se durcirent, et elle poussa un grondement... Puis planta alors ses crocs entre les cuisses d’Anertha. Le contact de la mouille de sa Maîtresse avait agi comme un électrochoc, car l’idée d’insuffler du plaisir à cette femme monstrueuse était inacceptable, tout simplement insupportable. Ses dents serrèrent donc fort, et elle poussa en avant, renversant Anertha dans le bain, puis gronda encore, furieuse, et bondit à la poursuite de la femme, cherchant à la tuer dans l’eau, toute sa rage refluant sur place !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 11 lundi 24 décembre 2018, 13:34:27

La perspective de devenir l’esclave de cette femme s’était imposée à elle, et avait justifié cette violente morsure. Cassandre grognait encore quand Anertha se retira, avant de l’immobiliser avec le collier. Le spectacle pathétique de Cassandre s’acharnant sur le sol telle une bête enragée était ensuite peu commode. Ses griffes lacéraient le sol, grattant sur le carrelage, tandis qu’elle crachait et sifflait, amenant à chaque fois les pointes du collier à se serrer sur elle... Mais, alors que l’instinct de survie aurait dû amener Cassandre à cesser ses mouvements, elle continuait au contraire à se débattre, empoignant le collier, tirant vainement dessus, telle une bête hystérique cédant à ses plus bas instincts. Inconsciemment, la Lycane avait pris la décision radicale d’abandonner la lutte. Paradoxalement, elle se battait, mais en sachant qu’elle ne retrouverait jamais sa liberté. Elle avait fait le choix entre la servitude et la liberté, et, pour l’heure, la soumission lui était insupportable. Vivrte uniquement dans l’humiliation, telle une bonne petite chienne muselée, était impensable pour elle. Elle était une Louve-alpha, une femme qui avait battu, tué, et massacré pour devenir la femme qu’elle était actuellement, une chef de meute. Elle n’était pas une esclave ! La mort plutôt que la soumission ! Elle ne se soumettrait jamais, et cette horrible sorcière n’aurait d’autre choix que de la tuer ! Or, il était difficile pour elle de mourir, car elle disposait de fortes capacités autorégénératrices, faisant d’elle une femme immortelle...

Des tentacules jaillirent alors, immobilisant douloureusement ses bras. Le sang coulait lentement de son collier, et Cassandre, qui en avait du mal à respirer, voyait des points noirs danser devant ses yeux. Elle sifflait lentement, essayant de reprendre ses forces, tout en se retrouvant alors dans une autre salle de torture. Suspendue en l’air, Cassandre peinait à réagir, à comprendre ce qui lui arrivait. La peur la saisit toutefois quand Anertha la mit en position couchée, et approcha des pinces de sa bouche. Elle ferma les lèvres, mais sans succès, et la femme expliqua qu’elle avait un élixir capable de bloquer les effets régénérateurs de son organisme.

« Rrrrrrr... »

Reprenant peu à peu ses esprits après le blocage respiratoire, elle comprit alors que la femme comptait lui arracher toutes ses dents, et écarquilla les yeux à cette idée. Elle se débattit encore, ce qui amena les tentacules à se serrer encore davantage, broyant ses muscles, l’immobilisant totalement. Les pinces s’agrippèrent alors à chacune de ses magnifiques dents, et les arrachèrent sans la moindre grâce.

Des hurlements déchirants retentirent. Au début. Une douleur ignoble la saisit, indescriptible, incommensurable, s’exprimant en une série de cris glaçants et terribles, qui résonnèrent dans toute la pièce. Cassandre hurla donc au début, puis de moins en moins. Quand Anertha arracha une incisive, elle brisa au passage un nerf situé sous la mâchoire, et les yeux de Cassandre se révulsèrent dans son orbite. Sans ses capacités régénératives, elle était dans une situation particulièrement inédite pour elle, mais surtout satisfaite d’avoir obtenu ce qu’elle voulait. La Lycane ne se débattait même plus, et préféra se laisser aller.

Quand le tentacule d’Anertha s’enfonça dans une bouche gorgée de sang, du sang qui s’enfonçait dans la gorge de Cassandre, celle-ci n’était déjà plus du tout en état de réagir, plongée dans le coma... Et destinée à mourir, sauf à bénéficier de soins médicaux urgents.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : The Witch and the Werewolf (PV)

Réponse 12 mardi 29 janvier 2019, 21:14:25

Brisée en mille morceaux, violée de manière atroce, massacrée sur place, Cassandre était dans un état second. Elle entendait sa Maîtresse lui parler, mais sans comprendre ce qu’elle lui disait. Même si la magie d’Anertha l’empêchait de mourir, sa conscience était disloquée, ruinée, dispersée dans son esprit. Elle n’arrivait plus à comprendre, ni même à enregistrer quoi que ce soit, et, quand Anertha la relâcha, Cassandre s’effondra mollement. Il fallut la traîner, car elle n’était même plus capable de se redresser, semblant en état larvaire, presque catatonique. Elle fut ainsi traînée dans une salle commune, couverte de sang, de croûtes séchées, méconnaissable, et balancée au milieu d’une grande pièce. Ses yeux fixaient vaguement le vide, sans réaction, et la tournante commença.

Cassandre était dans une situation où son système nerveux était inerte, comme atone, ce qui fit que, quand une queue massive la pénétra sur le pilori, elle n’émit à peine qu’un couinement, avant de continuer à se faire baiser. Son corps se soulevait et s’abaissait, tandis que les violeurs ricanaient, l’entourant en se gaussant d’elle.

« Quelle humiliation pour Anertha, gloussait un convive, elle qui espérait avoir son familier... Elle se retrouve finalement avec une pute sans intérêt.
 -  Disons plutôt qu’elle s’est encore énervée... Mais c’est ça qui lui donne son charme. Regarde-moi cette loque, encore une sauvageonne qui s’est crue plus maligne que nous...
 -  C’est une humiliation pour Anertha... Et une jouissance pour moi. »

Peu à peu, les drogues d’Anertha cessaient de faire effet. Un Orc plus courageux que les autres se risqua, au bout d’un long moment, à fourrer sa grosse verge dans sa bouche. Le corps de Cassandre se crispa, et la jeune femme poussa quelques soupirs instinctifs, avant que l’Orc, avec sa queue poisseuse et sale, ne finisse par jouir en elle. Les autres Druchiis se gaussaient doucement, et s’amusaient plutôt à humilier la femme. Cassandre sentait régulièrement des coups de fouet labourer son dos, creusant sa chair, ainsi que des jets d’urine réguliers. On s’amusa également à lui pisser dans la bouche.

Et, pendant ce temps, Cassandre reprenait ses esprits, jusqu’à mieux sentir les claques sur son cul, les griffures, les éclaboussures, les meurtrissures... Puis plusieurs gobelins vinrent s’attaquer à elle, l’humiliant, la mordant, pinçant et mordillant ses seins. Ricanant grassement, l’un d’eux fourra sa queue dans sa bouche, tirant sur ses cheveux.

*Cette odeur puante...*

Le corps de Cassandre se reconstruisait en même temps que son esprit. Elle sentait la douleur sur tout son corps, mais, surtout, une sorte de peur panique, à l’idée que sa Maîtresse ne soit pas là... De plus, et pour ne rien arranger, les gobelins étaient habituellement ses proies. Indéniablement, se faire ainsi torturer semblait avoir brisé Cassandre, mais la Lycane n’en restait pas moins une Lycane... Et son grondement fut imperceptible dans l’euphorie ambiante...

Ses beaux yeux clairs se mirent alors à jaunir, et une épaisse fourrure commença à émerger... Puis Cassandre mordit tandis que son museau s’élargit, tranchant la queue du gobelin comme un couteau s’enfonçant dans du beurre.

« HIIIAAAAARRRGH... !! »

Le pilori se mit soudain à trembler, à vaciller sur place, tandis qu’un grondement terrifiant traversa la pièce. Le corps de Cassandre s’épaissit, et les liens du pilori ne résistèrent pas. Elle se redressa alors dans un hurlement monstrueux, et griffa les gobelins autour d’elle, avant de hurler encore. La femme venait d’adopter sa forme lycane. Elle hurla encore, et un Orc, surpris, ne put rien faire quand la Lycane bondit sur lui, lui ouvrant le ventre d’un coup sec, faisant vomir ses entrailles.

D’aucuns auraient pu croire qu’elle cherchait à ce moment à s’évader, mais, sous cette forme, son instinct devenait encore plus féroce, et elle tourna alors sa tête vers un Drachii, en grognant. Elle cibla alors un Drachii, l’un de ceux qui s’étaient moqués de sa Maîtresse. Même dans le cirage, Cassandre avait tout entendu, et, alors qu’elle reprenait tous ses esprits, tout cela lui venait à l’esprit. Elle gronda devant l’Elfe Noir, qui paniqua en la voyant s’approcher.

Elle bondit brusquement en avant, renversant plusieurs gardes au passage, tandis que el Drachii lui tourna le dos, battant précipitamment en retraite. Elle s’abattit violemment dans son dos, plantant ses griffes dans sa chair, et grogna en attrapant sa tête entre ses crocs, et tira alors, tira violemment en plantant ses griffes dans ses épaules. Les convives purent entendre le bruit déchirant des os et des tendons du Drachii, qui cessa d’hurler. Elle le décapita sur place, le sang fusant de son cou comme un geyser, et, au milieu des hurlements, tint dans sa gueule la chevelure ensanglantée du rebelle, puis s’avança rapidement.

Sous cette forme, ses narines étaient bien plus sensibles, son odorat bien plus développé. Elle ouvrit violemment la porte, et grimpa les marches rapidement, filant dans les entrailles du navire, laissant derrière elle un sillon de traces ensanglantées. Elle rejoignit ainsi sa cible en ouvrant violemment une double porte, et retrouva sa Maîtresse.

À quatre pattes, Cassandre resta sur le devant de la porte pendant quelques secondes... Puis relâcha alors la tête de l’Elfe Noir, qui tomba au sol... Puis, dans une scène surréaliste, la Lycane plia les pattes, et poussa avec son museau la tête décapitée, la faisant rouler sur le tapis, tout en s’inclinant respectueusement, et en couinant doucement, les oreilles basses.

Difficile de se méprendre sur le fait qu’elle venait de lui faire une offrande.


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