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Dévouement maternel [Momoko Hanna]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Dévouement maternel [Momoko Hanna]

lundi 02 octobre 2017, 01:06:10

Masao Hanna se réveilla pour une nouvelle journée ordinaire, après une nuit particulièrement agréable. Après tout, sa mère lui avait enfin acheté un nouveau sommier, bien plus confortable que l’ancien, plus ferme, plus moelleux, et plus grand aussi. Il se réveilla seul, et sourit légèrement, avant de regarder autour de lui. La porte était entrouverte, et une délicieuse odeur s’échappait de la cuisine de leur petite maison. Sa mère était en train de travailler, comme chaque jour. Elle savait que son fils avait faim le matin, et se dévouait corps et âme à son bonheur. De quoi lui faire oublier la mort de son petit-frère... Et le nouveau lit l’aidait beaucoup, en tout cas.

Alors qu’il émergeait, Masao attrapa son téléphone portable, et vit qu’il avait reçu plusieurs messages. Il sourit alors, en organisant, comme à chaque matin, le planning de la journée de sa mère. Celle-ci n’était bonne qu’à faire plaisir à son fils, qu’à le satisfaire, qu’à vivre pour lui. Elle était incapable de se trouver un travail. Avant le divorce, elle avait un emploi, bien sûr, mais, pendant le divorce, et suite au décès de son fils, sa mère avait été licenciée. Depuis lors, trouver un emploi, pour une mère de famille quadragénaire, divorcée au Japon, n’était vraiment pas facile. Alors, forcément, au bout d’un moment, l’argent commençait à manquer, et ce surtout que sa mère, malgré tout l’amour que Masao lui portait, n’était guère une lumière. Mais Masao avait veillé à lui trouver un emploi durable, en rapport avec la seule qualité dans laquelle elle excellait : forniquer.

On aurait pu dire que c’était, pour Masao, une manière de se venger de cette mère faible, qui avait laissé son frère mourir... Mais il y avait autre chose aussi. Une sorte de complexe œdipien très fort. Masao n’avait jamais aimé son père, un autre bon-à-rien, qui avait maintenant sombré dans l’alcool, ne versait aucune pension alimentaire. Il avait toujours estimé qu’il était indigne de sa mère, indigne de son corps de rêve, ce corps qui faisait fantasmer tous ses amis. Masao avait donc trouvé un moyen de gérer le corps de la femme, et, depuis lors, sa vie allait nettement mieux. Sa mère était littéralement son esclave, se soumettant au moindre de ses désirs, et il prenait un plaisir terrible à l’humilier. En réalité, c’était même sa principale passion : trouver chaque jour des activités plus perverses les unes que les autres pour sa salope de mère.

Cette dernière finit par revenir, portant un plateau-repas contenant son petit-déjeuner, un chocolat chaud avec du pain chaud et du beurre, ainsi que deux croissants au beurre... Le tout dans un séduisant tablier de cuisine rose pastel, l’une des nombreuses tenues que Masao lui avait acheté.

« Ah, enfin ! soupira Masao. Je commençais à avoir faim, salope ! »

Comme toujours, Masao s’adressait à sa mère en l’insultant, en la rabaissant, en ne cessant de l’humilier.

« Je regardais les vidéos de ta performance hier, ce gang-bang dans le gymnase avec l’équipe de football... Tu t’es surpassée, ma chienne ! Tu as de plus en plus de fans sur ta page Instagram, et tellement de clients potentiels que je devrais presque embaucher une secrétaire pour gérer tout ça ! »

Masao la regarda alors.

« Mais, avant ça... Ton Maître veut te dire bonjour ! »

Le rituel était toujours le même : elle posait le plateau-repas à côté, et filait ensuite sous la couverture, afin de s’occuper de l’érection matinale de son fils. Ils baisaient toujours le matin. Pour être honnête, Masao était un amant redoutable, infatigable, qui couchait régulièrement avec sa mère. Il suffisait de la voir, si bonne, si belle, pour ne pas pouvoir se retenir longtemps. Alors, chaque matin, elle se devait au moins de le sucer.

Son « Maître », ce n’était ni plus, ni moins, que sa queue en érection, qui attendait les lèvres de sa chienne...
« Modifié: vendredi 08 décembre 2017, 07:28:24 par Princesse Alice Korvander »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Dévouement maternel [Momoko Hanna]

Réponse 1 samedi 09 décembre 2017, 14:30:58

Masao était extrêmement proche de sa mère depuis que son frère avait accidentellement perdu la vie. Un rapprochement qui avait fini par avoir des effets pervers, car, inconsciemment, Masao avait toujours tenu sa mère pour responsable de cette mort... Il lui en voulait donc autant qu’il avait paradoxalement besoin d’elle. Surmonter la mort de son frère avait été une épreuve très difficile, et sa mère l’avait longuement câliné et réconforté. Pour autant que Masao s’en souvienne, c’était comme ça que leur relation avait commencé. Ils avaient fini par dormir ensemble. Des sommeils innocents au début, dont le but était d’éloigner les cauchemars de l’homme, mais, au fur et à mesure que Masao grandissait, les cauchemars de la mort de son frère étaient remplacés par des rêves résultant de sa puberté naissante, où il voyait sa mère en train de l’embrasser, de le sucer, elle et ses nichons énormes...

Le cercle vicieux était maintenant arrivé à son terme. Masao n’avait plus appelé sa mère « Maman » depuis plusieurs années. Elle n’assumait pas le rôle de mère, mais était une esclave, l’esclave de sa queue, et, comme chaque matin, sa queue se réveillait durement en pensant à elle. Et, paradoxalement, il était à la fois très excité que sa mère se soit fait passer dessus pour toute l’équipe de football, et jaloux pour les mêmes raisons. Pourtant, c’était bien Masao qui lui avait ordonné de faire ça, et voir les vidéos n’avait pas manqué de le faire sévèrement bander. Rien n’était logique, mais, dans la relation perverse qui les unissait, ça n’avait, somme toute, rien de bien surprenant.

« Vas-y, suce-moi, sale pute... »

Momoko obtempéra, et un frisson parcourut l’homme quand il sentit les délicieuses lèvres de sa mère sur son membre. Le « Maître » était heureux de la voir, ravi. Masao avait une vitalité sexuelle exceptionnelle, qui résultait sans doute du fait que sa mère l’avait formé, sexuellement parlant. La première fois que Masao avait eu une érection, c’était sa mère qui l’avait masturbé, et ainsi de suite. Elle le masturbait même pendant son sommeil, et, à force, la queue de Masao avait fini par devenir bien dure, et lui très endurant.

« Hmmmm, ouais... Vraiment, y a rien de mieux pour se réveiller qu’une petite pipe ! Allez, fourre-là au fond de ta gorge, je sais qu’elle te manquait ! »

La main de Masao se serra sur les cheveux de la femme, plaquant la tête de la femme, optant pour une longue gorge profonde. Sa mère aussi avait fini par devenir, sexuellement parlant, d’une efficacité surhumaine. Elle pouvait tenir une gorge profonde pendant longtemps, et, pendant qu’elle le suçait, lui mangeait tranquillement. Il avalait ses tartines jambes écartées, voyant la couverture remuer, et sa queue avait enflé, jusqu’à devenir longue et élancée, dure et tendue, assoiffée...

Et, quand Masao eût fini son plateau-repas, il le jeta au sol, et tira sur la couverture, dévoilant le corps de sa mère, et rompit la fellation. Bien sûr, il aurait pu jouir dans sa bouche, mais il était maintenant très excité, et se redressa.

« À quatre pattes, ce matin, on opte pour le circuit complet, ma salope ! »

Parfois, il se contentait juste de jouir dans sa bouche, mais là... Masao était tout simplement trop excité depuis cette soirée.

« Tu as adoré te faire baiser par eux, hein ? Tu souriais comme la Reine des putes à la fin, une vraie chienne en manque de bites ! Sentir ces mecs jouir sur toi, te pisser dessus, te défoncer le cul... Je suis sûr que ta rondelle ne s’est pas encore totalement refermée. Je n’arrive pas à croire que tu puisses être une telle pute, Mamako... »

Dès que la femme se mit en position, Masao se glissa dans son dos, et s’empressa de la sodomiser, pinçant ses fesses, et les giflant. Masao était dominateur, brutal, injurieux, jaloux, violent... Et un amant terrifiant ! Sa queue heurta violemment les fesses de Mamako, la prenant sans la moindre préparation, et il s’empressa d’attraper ses cheveux d’une main, tirant dessus pour soulever le corps de Mamako, et, surtout, la faire hurler. Car, plus que tout le reste, Masao adorait faire hurler cette femme !

C’était sa salope, après tout...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Dévouement maternel [Momoko Hanna]

Réponse 2 lundi 09 avril 2018, 00:54:37

Momoko était délicieuse, et il adorait la baiser. Ce n’était évidemment pas la première fois qu’il la prenait, et, aujourd’hui, il avait très soif. Avec sa salope de mère, Masao aimait se frustrer, en la filmant, et en passant une bonne partie de la nuit à monter des vidéos, qu’il diffusait ensuite sur le site Internet qu’il lui avait fabriqué. « Bitch-Momoko », comme il avait appelé ce site. Il y avait des séances de streaming, des vidéos en location, des abonnements, la possibilité de réserver Momoko... Masao était un véritable proxénète pour elle, et il avait encore très envie de jouer avec elle, de l’humilier et de la souiller davantage. Il adorait également regarder avec elle ses propres exploits, généralement le soir, en ordonnant à sa mère de le masturber. Il la baisait ensuite sèchement. Leur train-train était très routinier, et très intense.

« Hmmm... Putain, haaaa... Je... Ton cul de sale pute, hmmm... ! »

Elle hurlait de plaisir, poussant des cris stridents en se faisant enculer sur sa moquette. Masao avait tout un programme pour elle aujourd’hui. Même quand il allait au lycée, il utilisait son téléphone portable pour la suivre, par le biais de son application, et lui donnait des instructions par SMS. Ses mains se crispèrent sur ses fesses, et il la gifla encore, furieusement, avant de jouir en elle. Dans un grognement, Masao se relâcha copieusement, et termina en attrapant les cheveux de sa mère, et tira dessus, soulevant son gros corps aux formes proéminentes, serrant fermement sa chevelure, et se relâcha donc en elle. Lèvres serrées, il cracha la purée, et la relâcha ensuite.

Momoko tomba lourdement au sol, et Masao soupira énergiquement. Pour tenir face à elle, il devait régulièrement prendre des drogues et des injections qu’il récupérait à Mishima. Il observa le corps de sa mère vautré sur le sol, et grogna alors, avant d’envoyer son pied frapper ses fesses.

« Tu crois que ma bite va se nettoyer toute seule ? Allez, salope ! Tu sais très bien que j’aime encore me soulager après avoir baisé ton cul de sale nympho’ en manque ! »

Le ton était toujours très autoritaire, et, tandis que sa mère s’exécutait, léchant son sexe, il réfléchit, empoignant encore ses cheveux entre ses mains. Lorsque la femme goba à nouveau son sexe, il se concentra alors, et relâcha donc un autre liquide, plus jaune, plus acide... Et lui pissa dans la bouche. Et, comme à chaque fois, Masao pissait longuement, grognant de plaisir. À force, il avait perdu l’habitude d’uriner dans les toilettes, et se relâchait toujours en elle. Il faisait même exprès, en cours, de se retenir, et, dès qu’il arrivait à la maison, la prenait en levrette, et lui pissait dessus.

« J’ai... Tout un programme de prévu pour toi aujourd’hui, ma salope ! Des voisins vont venir te sauter régulièrement, bien sûr... Mais, ce soir, tu auras une vraie surprise ! Maintenant... Garde ma pisse dans ta bouche, et prépare-moi des crêpes ! »

Il n’ajouta rien de plus, préférant laisser le surprise, et descendit nu, laissant sa mère le suivre. Ils allèrent ainsi dans la cuisine, et, là, Masao récupéra un fouet qui pendouillait près des gants de cuisine et des serviettes. Il aimait la mettre à l’épreuve, et, pour ça, le meilleur moyen était de la forcer à conserver sa pisse dans sa bouche, pendant qu’il la battait, jusqu’à ce qu’elle ne finisse par hurler.

« Alors, combien de temps crois-tu pouvoir tenir cette fois, ma chienne ? La dernière fois, tu as bien tenu dix minutes, non ? »

Masao enclencha le chronomètre, et, juste après ça, abattit le fouet sur son cul.

*TCHAAAC !*

Puis l’arme claqua à nouveau, provoquant des sons sourds qui résonnèrent dans la cuisine.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Dévouement maternel [Momoko Hanna]

Réponse 3 dimanche 23 septembre 2018, 12:16:16

Cette relation incestueuse était terriblement jouissive. Jamais Masao et Momoko n’avaient été aussi proches que depuis le jour où sa mère avait décidé de faire tout ce qui était en son pouvoir pour que son fils daigne à nouveau la regarder. Depuis, ils vivaient une vie intense, où ils ne se cachaient rien. Masao exerçait sur Momoko une forte emprise, mais, pour autant, il ne la gardait pas que pour lui. En un sens, il restait très possessif, car il considérait Momoko comme sa chose. Et c’était, somme toute, bien normal ! Elle était sa mère, elle ne vivait donc que pour lui. Son unique rôle, dans la vie, était de se sacrifier pour son fils, de tout faire pour lui... Comme en ce moment. Masao l’humiliait, la fouettait, la battait, pour lui rappeler ces règles essentielles, ces principes fondamentaux.

Il s’amusa donc pendant plusieurs minutes, se délectant de la voir remuer d’avant en arrière. Évidemment, avec sa pisse dans sa bouche, il ne pouvait pas l’entendre hurler, mais ce n’était pas très grave. Le fait qu’elle contienne sa pisse était en soi une grande satisfaction. Tandis qu’il continuait à l’humilier, Momoko se redressa soudain brusquement, et recracha sa pisse dans le lavabo. Masao soupira lentement, et regarda sa montre, arrêtant le chronomètre, avec une belle érection.

« Oui... Tu es très décevante, sale chienne. Il va falloir que je reprenne ton éducation si je veux que tu sois au niveau. »

En tout cas, les crêpes étaient prêtes. Masao s’installa donc sur son siège, et laissa Momoko retourner pomper son sexe. Pendant ce temps, lui commença à manger les crêpes, mettant du sucre dessus, avant de les plier lentement, puis les avala, l’une après l’autre. Il y allait calmement, sans aucune précipitation, conscient que rien ne pressait. De son côté, Momoko était entre ses cuisses, venant se faire pardonner en apposant sa bouche sale sur sa grosse queue. Pour son bonheur, Masao était un amant extrêmement endurant, et torturer sa mère l’avait considérablement excité. Il avait donc une belle trique, un joli morceau pour sa mère.

Cependant, ce dévouement, et son talent à faire des crêpes, ne pouvait pas faire oublier à Masao la déception qu’il avait eu en voyant l’échec de sa mère.

« Il est clair qu’il y a eu un relâchement dans ta formation, et que j’en suis à l’origine... »

Masao avait normalement cours aujourd’hui, mais il était un absentéiste régulier. Que craignait-il ? Sa mère n’avait pas la moindre autorité sur lui, et, comme ça, il restait près d’elle. Cet après-midi, d’ailleurs, beaucoup de visites étaient prévues. Masao avait prostitué sa mère, et, pour éviter qu’il y ait trop de gens à la maison, cette prostitution avait lieu dans un petit studio proche que sa mère avait loué, officiellement pour les études de son fils. Mais, en réalité, ce studio servait de lupanar, accueillant les nombreux clients que Masao avait trouvé pour baiser sa mère. Aucun n’était toutefois aussi doué que lui, et il ne pouvait donc que faire le constat qu’il avait failli dans la formation de sa mère.

Sa grosse queue continuait à se durcir, semblant bien incapable de se relâcher dans la bouche de Momoko. Comme toujours, son fils avait une sacrée trique. Masao faisait durer le plaisir, tout en envoyant des SMS à ses camarades et aux futurs clients à venir. Il tenait un registre, un carnet où il notait toutes les passes de sa mère, notant ainsi les habitués et les nouveaux-venus.

« Et bien, tu as intérêt à être en forme, ma chienne, il va y avoir du monde cet après-midi... Tu te souviens de Sacha ? Il vient avec son petit-frère, qui a 15 ans, et qui vient d’arriver au lycée... Tu as intérêt à te montrer plus compétente que ce matin. Les jeunes puceaux, il faut les fidéliser pour qu’ils reviennent plus vite. »

Masao continuait à faire son décompte, jusqu’à ce que le plaisir ne finisse, malgré tout, par le submerger. Sa main serra alors les cheveux de sa mère, et il se mit à jouir en elle, balançant plusieurs filaments de foutre dans sa belle bouche. Il retira alors son sexe, et, comme d’habitude, la laissa se rapprocher, faisant la belle, tête relevée en l’air. Elle ouvrit la bouche, montrant que le sperme était toujours là, puis l’avala ensuite.

Masao hocha ensuite la tête, puis récupéra un collier avec une laisse, et la mit autour du cou de la femme.

« Bon... Je ne vais pas aller en cours ce matin. Il faut que je te forme mieux pour cet après-midi, alors... Je vais te baiser toute la matinée. Tu es contente que ton Maître s’occupe si bien de toi, hein, ma petite chienne ? »


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