Gwynt coquin [PV] [FINI]

Le minotaure continua de pilonner la jeune fille. Ce qui était remarquable avec lui et elle en fin de compte, c’est qu’il ne se fatiguait pas, il martelait le vagin de l’elfe toujours aussi fort, voir même plus fort depuis quelques instants. Il faut dire que la bête n’avait pas eu la chance de fourniquer avec pareille créature depuis des lustres et une ange qu’il avait gardé chez lui pendant des semaines afin de se satisfaire. La pauvre était ressortie de la tanière de Thorin méconnaissable, toute maigre, quelques os cassés et rampante, elle avait été ramassée par des humains qui l’avaient sans doute abusé aussi. Tout ça pour dire que c’était étonnant que le corps d’Oriana tienne autant et si longtemps, ça faisait plus d’une demie heure maintenant, et la chambre était sans dessus dessous. Il y avait du verre brisé partout, les cadres et les peintures accrochés aux murs étaient par terre, les sièges étaient à l’envers, le lit gigantesque était cassé. Et ce n’était que le début …

Ses griffes rentraient toujours un peu plus dans la chair d’Oriana, il décida comme tout à l’heure de rentrer son doigt, qui avait quasiment la taille d’un pénis humain, dans l’autre orifice de cette dernière, il le rentra complètement d’un coup sec, puis il en ajouta un autre, il le rentra tout aussi violemment et commença les va et vient, tout en continuant de la surélevée et d’entrer et sortir son pénis à l’intérieur du sexe de cette dernière.

Il entendit des gens crier en bas, il était même persuadé qu’il y avait des clients de l’auberge qui écoutait à la porte de leur chambre. Ça ne le dérangeait pas outre mesure, de nature bestiale, il avait l’habitude de se montrer dans pareille situation, puis il se sentait tellement puissant, que la moindre gêne n’était pas un problème, il pouvait s’en occuper très rapidement.

« VOUS EN VOULEZ ENCORE !? » cri-t-il.

Ni une ni deux, il retourna Oriana, toujours en la surélevant, mais cette fois elle était face contre le mur, le minotaure mis sa grosse patte contre le visage de cette dernière afin qu’elle reste bien collée. Il lui écarta ses magnifiques fesses, prit dans sa main son énorme pénis et rentra d’un coup sec à l’intérieur de son anus. Il avait eu la réaction escomptée, car Oriana se mit à crier, sans doute plus de surprise que de douleur, mais en tout cas ça le faisait rire et les habitués du bar pouvait crier de plus belle eux aussi.

Thorin se concentra pleinement sur Oriana, il lui agrippa les hanches, et asséna des vas et vient de plus en plus violents et rapides. Les griffes de celui-ci rentrait dans la chair des fesses de l’elfe. Sa tête vint au niveau du coup de cette dernière, il pouvait alors voir que ses seins débordaient de chaque côté du mur, étant donné qu’elle était plaquée contre lui, il profita qu’elle tourne sa tête vers lui, pour l’embrasser de nouveau. Il roula sa langue épaisse et longue autour de celle de sa partenaire.

*Décidément cette femme a quelque chose de plus. Je pensais la relâcher après ça, mais il est évident qu’il est hors de question que je la perde … Je la ferai mienne !* pensa-t-il.

Quand vint l'aube, Oriana se faisait encore pilonner par le Minotaure. La Fée n'en revenait pas : elle savait que ces créatures avaient une endurance à toute épreuve mais jamais elle n'aurait cru que ce fut à ce point. Le pénis aux proportions monumentales restait toujours en érection, aussi solide qu'une grosse branche d'arbre, crachant de la sève à chaque fois que Thorin avait un orgasme. Entre les mains - ou plutôt entre les griffes, pour être exact - la petite Fée semblait un jouet avec lequel il jouait sans vergogne, la manipulant dans tous les sens, pétrissant ses seins et sa chair frémissante.

Il avait des ongles effilés et durs mais la Fée possédait une peau résistante si bien qu'il parvenait à peine à entamer son épiderme qui portait néanmoins quelques ecchymoses, mais rien de méchant à vrai dire.

A un moment donné, elle se leva et, les mains sur les hanches, du sperme coulant encore le long de ses cuisses, toisa le Minotaure d'un air furieux :

- Qu'est ce que c'est que ce capharnaüm ?! hurla-t-elle, faisant un grand geste de la main pour désigner les meubles et la vaisselle brisés ainsi que  les quelques pans de mur qui avaient été enfoncés par le Minotaure au cours de leurs ébats. Une troupe de barbares n'aurait pas fait mieux ! Tu es vraiment un vandale...

Ces propos étaient surprenants : cela ne la gênait pas qu'on la pilonne comme un taré mais qu'on transforme une chambre en champ de bataille, ça la mettait dans tous ses états !
Elle prononça une formule magique et aussitôt les meubles se réparèrent d'eux-mêmes, ainsi que les tableaux, la cruche contenant de l'eau fraiche et les morceaux de maçonnerie. En quelques secondes la chambre redevenait comme elle était avant que le couple y entra.

- Je propose qu'on aille dans un endroit où l'on pourra continuer nos ébats sans que tu casses tout et sans qu'on nous entende... fit-elle d'un air pensif en déposant quelques pièces de monnaie sur le buffet à l'intention de l'aubergiste.

***

Une demi-heure plus tard, Oriana - qui avait remis ses vêtements - et Thorin arrivèrent enfin dans une clairière de la forêt, à quelques lieues de l'auberge. L'endroit était idyllique : une cascade alimentant une grande mare avec en son centre un ilot aussi grand qu'une nappe de pique-nique ; aux alentours des arbres centenaires qui étendaient leurs branches et leurs feuilles, dispensant ainsi une ombre bienfaisante.

- Ce sera parfait ici ! s'écria-t-elle en enlevant ses vêtements tout en courant vers l'onde pure. Elle y plongea avec délectation restant sous l'eau pendant quelques secondes avant de réapparaître brusquement dans une explosion de gerbe d'eau.

- Tu viens ? Elle est super bonne ! dit-elle d'une voix enjouée, invitant le Minotaure à la rejoindre.

Il était temps de partir et elle avait raison, le minotaure s'il continuait à culbuter la Fée dans cette pièce, il n'allait  rien y rester et la femme de chambre aurait beaucoup trop de travail. C'est pourquoi il acquiessa presque sans broncher, car oui, il avait quand même son énorme pénis en érection qui ne demandait qu'à se vider. Thorin enfila son pagne et suivi la jeune fille jusqu'à dans la forêt, pour enfin arriver à un jolie lac. Il la vit enlever ses vêtements et plonger dans l'eau, ça l'avait amusé, d'autant que l'eau sur les parfaites formes de cette dernière la rendait encore plus magnifique.Sans enlever son pagne il se dirgiera à sa rencontre, entrant délicatement dans l'eau et arriva juste devant la jeune fille. Son pagne était relevé et légèrement de côté, car le sexe de la bête était tel qu'il était impossible de le cacher. En s'approchant d'Oriana, il fit exprès de la toucher avec.

« Je n'ai pas l'habitude de le faire dans des endroits aussi beaux » dit-il en regardant autour de lui. « Mais l'idée est géniale quand on y réfléchi. »

Thorin entoura la jeune fille avec ses bras, la souleva pour que sa tête arrive au niveau de la sienne et lui lâcha un baiser. Sa longue langue enroula celle de cette dernière. Tout en l'embrassant, il sentit que son sexe était à présent entre les deux seins de la jeune fille.

Il enleva sa langue de la bouche de la Fée et regarda son sexe posé, entre ses seins.

« Il y a quelque chose que tu as pas fini de t'occuper il me semble et qui ne demande que ça. » dit-il en regardant à présent Oriana dans les yeux.

Le Minotaure répondit à l'invitation d'Oriana de la rejoindre dans l'eau, y entrant à son tour. Comme il était de haute taille, il avait pied - enfin sabot - l'eau lui arrivait jusqu'à la taille. La moitié de son pénis, toujours dressé, dépassait de la surface et Oriana le regardait s'avancer, fascinée par cette démonstration de virilité.

Il semblait que leur relation avait pris une autre tournure car la bête la prit doucement dans ses bras amenant son visage jusqu'au sien avant de l'embrasser. La Fée répondit avec fougue et passion à ce baiser et leurs langues s'entremêlèrent, celle du Minotaure était monstrueuse tandis que celle d'Oriana paraissait minuscule à côté.

- Il y a quelque chose que tu as pas fini de t'occuper il me semble et qui ne demande que ça, fit le Minotaure, montrant du regard son pénis énorme niché entre les seins d'Oriana.
- D'accord ! sourit-elle d'une voix espiègle. Allons sur la verge, euh... je veux dire la berge !

Et riant doucement de sa "fourchelangue", elle prit par la main son colossal amant, l'amenant sur la rive. L'herbe y était tendre et douce et le parfum de la terre et des fleurs embaumait l'air. Bref l'endroit parfait pour une Fée : au contact de la nature les membres de ce peuple voyaient leur vitalité s'accroitre et leur énergie se régénérer rapidement ; qui plus est, ils semblaient plus vivants, leurs corps semblant vibrer, comme s'il était en harmonie avec les forces de la terre et du ciel.

Elle s'allongea sur le sol et releva les cuisses de manière à offrir à son partenaire la vision de son intimité bien ouverte, prête à accueillir son membre viril.

- Viens... fit-elle d'une voix douce.

Le minotaure regardait à présent la jeune fille nue, se déplacer dans l'eau. Il remarqua que l'eau ne bougeait pas à chacun de ses mouvements. Cela pourrait-il qu'elle ne fasse qu'un avec la nature, étant donné ses origines ? Ses doutes grandirent lorsqu’elle se coucha sur le sol et que l'herbe se mit légèrement à pousser et les fleurs fleurirent. Mais le spectacle était bien plus intéressant du côté de la jeune fille. Il la vit écarter les cuisses et ne put s'empêcher de courir dans l'eau à sa rencontre. Une jolie vague, des gouttes d'eau et un bruit assourdissant accompagna les mouvements du minotaure. Rien à voir avec la légèreté et la douceur d'Oriana.

Il sortit alors de l'eau et fit face à la belle. L'eau faisait ressortir sa musculature parfaite. Son pénis toujours en érection, était lui aussi mis en valeur. Des veines ressortaient du phallus, tandis que de l'eau coulait le long de son gland. Il se mit à genou, de la fumée sortait de ses narines. Il approcha sa tête de l'intimité d'Oriana et sorti sa longue langue, pour venir la toucher. Elle avait toujours ce petit goût de fraise, mais un peu différent. Puisque la fraise, généralement, ne lui donnait pas envie de baiser la première venue. Or, le goût, la chaleur, ce qui émanait d'Oriana était plus fort que ce simple parfum. Comme si elle arrivait à sécréter un puissant filtre d'amour.

Mais Thorin, avait déjà sa bouche collée au sexe d'Oriana. Il pourrait le lui bouffer pendant des jours et des jours tellement elle était parfaite. Il était tellement excité. Si bien, que son phallus avait réussi à faire un trou dans le sol. C'était trop, Thorin se releva, faisant bomber son torse. Avec sa main droite, il dirigea son énorme bite vers l'intimité d'Oriana. Il l'entra cette fois-ci en douceur. En effet, il se demanda encore une fois, comment une bite comme la sienne n'avait pas encore réussi à déchirer l'intérieur de la Fée. Amusé, il regardait son pénis rentrer, petit à petit, entièrement. Elle était toujours aussi serrée …

Une fois entrer, il se coucha sur Oriana, ses seins touchant le torse du colosse, étaient à présent écrasés sous son poids. Il lui lâcha un baiser. Un filet de bave reliait leur deux bouches, une fois que Thorin releva la tête. Sans crier gare, Thorin commença les vas et vient par un puissant coup de hanche, qui fit légèrement trembler le sol. Il continua son mouvement pendant plusieurs minutes.

« Hmmff ... » lâcha-t-il, de la fumée sortant une nouvelle fois de ses narines. Il n'y a pas à dire. Oriana était parfaite.

Durant de nombreuses heures, Thorin et Oriana copulèrent ensemble. La sueur, le sperme, la cyprine, il y en avait partout. Le minotaure avait tellement jouis, que son sperme recouvrait la totalité du corps d' Oriana. Sans parler de l'intérieur de son vagin …

Les deux amants d'un jour, firent une pause, aux alentours de 20 heures. La nuit était clair, la Lune leur faisait face, comme si, quelqu'un l'avait positionné ici afin de leur donner un peu de lumière. On y voyait pas comme en plein en jour, mais assez, pour voir Oriana préparer de jolies fraises très appétissantes et en offrir à Thorin. Il faut bien l'avouer, la brute, n'avait pas l'habitude de ses mets. Mais une fois goûter, il en demanda beaucoup plus. Une fois, leur banquet improvisé, terminé. Thorin s'assit sur le ventre d'Oriana. Il fit passer son énorme bite entre ses seins et l'arrêta juste devant sa bouche.

« On continue ? » dit-il, en laissant éclater ses belles dents à la lumière de la Lune.

C'est ainsi, qu'il sentit Oriana le masturber et le sucer pendant de longue minutes. Il la remplit plusieurs fois de son sperme. Une fois terminé, il la retourna et rentra violemment son chibre dans son anus. Pendant de longues heures il la pilonna sauvagement.

Thorin se réveilla le lendemain vers deux heures de l'après-midi. En ouvrant les yeux petit à petit, il se souvint qu'ils s'étaient couchés tous les deux, vers huit heures du matin. Ils avaient bien profiter l'un de l'autre. Un sourire en coin, il voulu remettre le couvert avec elle. Il se tourna alors vers la gauche, mais il n'y avait  plus personne, à droite pareil. Aucun trace d'elle. Comme s'il avait rêvé. Il expira un grand coup, sourire aux lèvres. Rêve ou pas, il avait prit beaucoup de plaisir et c'était ça qui comptait. Il se releva, ses vêtements étaient déjà sur lui, alors qu'il était persuadé d'avoir dormi nu. Il commença alors à s'en aller, il mit la main dans une de ses poches. Et senti quelque chose d'un peu mou à fond. Il ressorti la petite chose, et remarqua que c'était une fraise.

Sourire en coin, il la posa sur son cœur, en regardant le ciel. Peut-être se reverront-ils un jour ...