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Chanteuse contre Psycho [Leona]

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Ayano Aishi

Humain(e)

Chanteuse contre Psycho [Leona]

dimanche 06 août 2017, 18:10:31

Ayano avait reçue un bien étrange message, mais pour le moment elle est occupée sous la douche.   

Elle prend la sienne dans les douches communes du lycée pour une fois, elle a la flemme de faire le chemin jusqu'à chez-elle après les cours de sports. Et puis, elles sont faites pour ça, alors autant en profiter. 

Après avoir nettoyer ses cheveux et sa peau, elle se rince, se  sèche et se rhabille en vitesse. L'obscurité du lieu montre bien la personnalité dérangée d'ayano, car elle n'a même pas prise soin d'allumer la lumière. Son portable sonne encore une fois, elle peste. 

-Bon sang, qui peut-bien me harceler comme ça. Laisse moi le temps de me coiffer.   

Oui, elle parle à son téléphone et non elle n'est pas folle, enfin peut-être que si finalement.  Qu'importe, après avoir enfin attrapée son sac et recoiffé ses cheveux elle sort des douches et consulte son téléphone. Un message inquiétant est spammé en boucle. 

"Rendez-vous à 23h sur les toits du lycée". 

Une rivale ? Une camarade de classe un peu téméraire ? De toute évidence, celle-ci voulait quelque chose à Ayano et même si ça sentait le piège à pleins nez, elle s'en fichait. Le seul moyen de savoir : se rendre sur place.

Bien que le couvre feu soit passer, elle brave l'interdiction comme à son habitude et doit crocheter l'accès au toit, car celui-ci est fermé après le couvre feu.   

Ayano tourne la tête à gauche, puis à droite. Ce qui est sûr c'est qu'il fait nuit noire et elle ne voit personne pour le moment, à moins qu'elle se cache dans l'obscurité où bien qu'elle est en retard à son propre rendez-vous ?   

-Bon, où est-ce qu'elle est ?

Leona

Humain(e)

Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]

Réponse 1 dimanche 06 août 2017, 18:57:06

La nuit brille sur le toit du lycée, un lieu interdit auquel j'ai facilement accès grâce à mes relations. Elèves comme professeur tout le monde a ses secrets et personne ne peut me résister une fois que je les découvre. C'est le cas de Ayano Aishi, une véritable folle pour ainsi dire, moi à coté je n'étais rien. Un faux pas me couterait même peut être la vie, et avec un peu de chance elle ne me torturerait même pas avant... Mais j'étais confiante, ej n'avais pas peur, j'aimais les défis et grâce au numéro de téléphone sur son dossier scolaire j'avais spammer sa boite à sms. " rendez-vous à 23H sur le toit du lycée " Un message inquiétant quand on ne connait pas l'expéditeur, surtout lorsque celui-ci est écrit en boucle. Elle est pourtant là, dans sa parfaite tenue de lycéenne, alors que je suis tapis dans l'ombre en la toisant de mes yeux ciels, entourés d'un maquillage obscur et intense. Des ténèbres s'alliant parfaitement avec mon rouge à lèvre sulfureux et ma peau légèrement pâle. Et je ne vous parlait même pas de ma tenue. Vous pensiez peut-être que j'étais dans mon uniforme ? C'est mal me connaitre. Ma tenue scolaire à moi, dans ces cas là, était plutôt composé d'une robe en latex noire, moulant parfaitement ce cul divin et bien roulé qui se dandinait à l'intérieur, dans l'agréable sons grinçant de la tenue. Je ne connais personne à ce jours qui n'avait pas fantasmer à l'idée d'y coller les mains. Ma poitrine toute aussi bombée est délicieusement enfermée dans cette matière faites pour les dominatrices. Vous ne seriez même pas étonner de savoir que je portais la longue paire de gant qui allait avec ainsi que les longues cuissardes aux talons claquant sévèrement, alors je peux vous le confirmer... c'est bien ce que je porte là.

Donc c'est toi la ptite pute dont je dois me méfier comme la peste ? T'as l'air d'une gamine.

Oui je l'avais provoqué uniquement car une de ses victimes rescapés m'avait parlé d'elle comme une personne bien plus dangereuse que moi. Je me devais donc de lui montrer qui était la véritable reine de la terreur dans cet établissement.

Moi je vais te montrer ce que c'est qu'une vraie psychopathe. A coté, t'auras l'air d'une sombre merde, tu vas juste lécher mes pieds en pleurant

Je sors de ma cachette pour lui dévoiler mon physique et mon visage. Une beauté envoutante et froide, dangereuse comme le plus grand des poison. En parlant de poison, je lui crache copieusement la fumée de ma cigarette au visage comme pour marquer mon territoire, saisissant mon portable en sa direction pour prendre une photo.

Ca, c'est la dernière photo qu'il restera de toi avant que tu devienne ma chienne.

Les hostilités étaient ouvertes et je lui balançais comme ultime provocation le déchet de ma cigarette terminée, dont le bout était brulant... en plein visage. J'avais de quoi la calmer dans ma poche, mais je voulais d'abord voir son répondant.

Ayano Aishi

Humain(e)

Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]

Réponse 2 dimanche 06 août 2017, 19:18:30

Ayano entend une voix sortir de l'obscurité, finalement elle était déjà là, mais cachée dans l'obscurité comme, elle l'avait imaginer. Elle était tellement prévisible, qu'elle ne cachait même pas son jeu. Elle décida de répondre à ses provocations. Elle profita de l'obscurité pour cacher un couteau dans son dos et tenir le cellulaire de l'autre main.  

-C'est possible, par contre ne me demande pas qui, car j'ai oubliée.  

Première provocation lancée à la face de cette dominatrice, ayano ne comptait pas non plus opposer aucune résistance au début. Ce serait trop facile sinon. Tenant toujours son cellulaire à la main, son visage était éclairer par ce dernier. Ne montrant ainsi : aucune émotion. Les rumeurs étaient donc vraie la concernant.  

-Désolé de te décevoir ma grande, mais je ne sais pas ce que c'est pleurer.

Lorsqu'elle se révéla à Ayano celle-ci gardait en effet un visage neutre, presque froid ne laissant paraitre aucune émotion. S'en était presque une démone.

Voyant qu'elle prit son téléphone elle aussi, Ayano eu le même réflexe et dégaina le sien également en guise de provocation. Les deux flashs de téléphone furent comme deux éclairs éclairant un peu le toit du lycée un bref instant.  Puis elle rangea son cellulaire la photo en poche.  

-Je garderais un souvenir de toi. Avant que tu ne sois... Différente.  

Elle esquiva la cigarette de Leona et s'approcha doucement d'elle dans l'espoir d'avoir une portée avec son couteau cachée derrière son dos. Les hostilités étaient lancées en effet et ayano se fichait bien que celle-ci soit en tenue de dominatrice.  


Leona

Humain(e)

Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]

Réponse 3 dimanche 06 août 2017, 19:45:57

Je sourcille à peine au flash, et encore moins lorsque je vois la lame brillante en acier, que je contemple de mon regard le plus froid. Je m'en fiche totalement, je m'allume une autre cigarette que je porte divinement entre mes lèvres rouges cerise. Comme si je savais pas qu'elle serait armée, avec tout ce qu'ont entends sur elle.

Range ça tu va te blesser chérie.

Une nouvelle bouffée de fumée sur son visage. Mais ce qu'elle ne sait pas, c'est que la clope que j'allume n'est qu'un moyen de détourner l'attention. Mon autre main se faufile dans ma sacoche accrochée à la taille et attrape un petit tiser que je dissimule dans ma main gantée. Autant dire que l'ambiance allait devenir électrique.

T'as pas à t'en faire on est différentes. Moi je vais pas te tuer, je vais te garder en vie pour que tu porte mes affaires à ma place le matin, pour que tu vienne nettoyer avec ta langue toutes les saletés que je pourrais faire.

Je l'imaginais déjà me suivre comme un toutou en m'appelant maitresse Leona, avec son sourire anxieux de me désobéir, de me mettre en colère comme une déesse que l'ont ne voulait surtout pas contrarier sous peine de disparaitre. J'allais juste briser sa volonté à être celle qu'elle était... du moins, juste en ma présence. Pour les autres je m'en fichais un peu, elle pouvait continuer à faire son affaire. Dans tous les cas je me rapprochais de mon plan en collant ma main contre son bas ventre d'un geste vif. Elle n'avait pas besoin de comprendre pourquoi, un choc électrique allait lui faire lâcher la lame au sol grâce à ce tiser que j'avais voler à un professeur. Le geste suivant fut un bon coups de poing dans l'abdomen, puis un second, et enfin un troisième pour être sure de bien la faire souffrir.

J'aime qu'ont essaye de se défendre contre moi, alors je vais te faire une faveur. Je te laisse choisir ta sentence. Je continue à te battre comme un punch-in ball ? Ou tu préfère un tours en laisse dans tout l'établissement ? Si tu choisit pas, ce sera les deux.

Je profite de sa faiblesse pour attraper ses cheveux et balancer son corps sur le sol, appuyant la semelle fermement contre sa joue, l'agressant sous la semelle et le talon dur en latex.

Tu ne sais pas ce que c'est que pleurer dis tu ? je vais te l'apprendre dans ton éducation...

Ayano Aishi

Humain(e)

Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]

Réponse 4 lundi 07 août 2017, 14:04:44

À ses mots, elle comprit aussitôt qu'elle était grillée, alors plus la peine de cacher le couteau. Elle le sort face à l'autre lycéenne avec une expression faciale des plus neutre malgré la bouffée de fumée de cigarette.  

-Fumer est interdit tu sais et c'est dangereux pour la santé.  

Petite provocation, elle aimait bien en rajouter une couche quand c'était comme ça, maintenant les deux étaient de plus en plus prêt l'une de l'autre. Ayano elle s'apprêtait à la planter dans le dos avec son poignard non dissimulé, à noter qu'elle place quand même un coup dans le dos. Du moins, elle essaie. Avant même qu'elle puisse atteindre par dessus son épaule, elle sentit un choc électrique. Sa vision devint flou. Un Taser ? Comment cette pute avait-elle bien pu mettre la main sur cette arme dangereuse ?

À moitié sonnée et désarmée le couteau tomba par terre sur un bruit de fracas métallique et elle tomba par terre. Par contre les coups elle s'en fichait bien. Même si elle en avait reçue trois à présent elle avait l'esprit brouillé.  Elle se sentit soulevée par les cheveux mais comme elle ne sentait pas la douleur, elle continuait d'afficher une mine neutre. Choisir son châtiment ? Qu'importe.  

-Tu peux tout aussi bien me promener par la laisse, je m'en f-fiche.  

Elle bafouille un peu ses mots, mais vu les coups qu'elle a prise c'est parfaitement normal, elle se fait jeter au sol et le pied écrase sa joue l'empêchant ainsi un peu de respirer.  

-Permet moi d'en douter.  Personne ne m'a fait sentir quoi que ce soit.

Ayano regarde la dominatrice vers le haut vu qu'elle est au sol pour en voir son ensemble. Son cartable est posé quelque mètre plus loin, il est tombé pendant la bagarre. Elle devrait se racheter un uniforme, celui-ci était un peu déchiré et présentait des traces de luttes.   Plus utilisable pour quoi que ce soit pensait-elle.
« Modifié: lundi 07 août 2017, 14:10:34 par Ayano Aishi »

Leona

Humain(e)

Re : Chanteuse contre Psycho [Leona]

Réponse 5 lundi 07 août 2017, 14:55:10

Cette brave petite chienne ne se laissait pas abattre, bien, c'est ce que je voulais, ce serait bien plus amusant de la briser dans ces conditions. Elle ne connaissait pas la douleur ? Alors elle connaitrait d'autres formes de punition qui allait la dérouter. Mon pied se lève, je sors une petite corde fine mais solide de mon sac pour lui lier les deux poignets l'un à l'autre devant son corps, laissant un peu de mou pour qu'elle puisse marcher à quatre pattes d'une manière très serrée, mais rien de plus. J'en fais de même avec les jambes avant de sortir un sac plastique et une nouvelle ficelle du sac. La balader comme une chienne dans tout le lycée oui, mais seulement ? Non.

Hé brave petit toutou, j'espère que t'as une bonne endurance.

J'ouvre le petit sachet en plastique transparent et lui enferme la tête à l'intérieur, liant l'ouverture en maintenant la ficelle nouée vers son cou, sans l'étrangler. Non il ne fallait pas serrer son cou, il fallait qu'elle puisse conserver sa capacité à respirer pour souffrir d'avantage et s'épuiser dans ce sac plastique, dans lequel respirer deviendrait au fil des secondes, au fil des minutes, une vraie torture. Ce même fil autours de son cou me servit de laisse dont je pouvais tenir le bout dans mes mains. Comme ça si elle avançait pas assez vite je pouvais toujours la trainer au sol comme le vulgaire animal de compagnie qu'elle était.

Je t'explique ce qui va se passer maintenant. Tu vas respirer et recracher le même air en boucle, confiner dans ce sachet en plastique qui entoure ta tête. Plus tu le feras, plus cette oxygène sera usé.  On verras si tu es toujours aussi difficile quand je te laisserais suffoquer sur le sol.

La descente des escalier se fit en douceur, pour le dernier étage par contre je l'envoyait bien valser en avant d'un grand coups de pied au cul. Outch, quel dégringolade, je n'aurais pas aimé être à sa place.

Relève toi, il faut aller faire ta balade. Lui dis-je en écartant la ficelle autours de son cou pour laisser une brève ouverture sur le sachet. Pas pour la laisser respirer, surement pas, mais pour cracher quelques bouffés de cigarettes à l'intérieur.

Une fois refermer, son visage était désormais prisonnier non seulement de cette prison de plastique étouffante, mais était de plus enfermé avec ce nuage blanc, néfaste, et chaud qu'était la cigarette, l'étouffant d'avantage. J'en éprouvais une joie malsaine, la voir s'étouffer ainsi dans le sac, de plus en plus, tout en enfonçant mon talon aiguille dans son cul lorsqu'elle n'avançait plus... c'était superbe.

Bientôt nous arrivâmes dans la cours de l'école. Le sac en plastique dans lequel il n'y avait plus d'air, collait à la peau de la pauvre Ayano. La condensation avec la chaleur de la cigarette avait humidifié tout le revêtement du sachet et désormais respirer était tout bonnement impossible, elle ne pouvait que suffoquer comme une chienne jusqu'à en convulser....

Pense à toute celle que tu as maltraité pendant ton châtiment, moi, je ne m'en lasse pas de te regarder.

Une justicière ? surement pas. Seulement un prétexte pour lui en faire baver.

Si tu veux pas t'asphyxier pour de bon, urine contre cette arbre comme la chienne que tu es et revient te coller à mes pieds.

Un violent coul de talon droit entre ses fesses la fit voler contre l'arbre, pendant que je m'étais assise sur le banc, contemplant son visage moulé par le plastique qui empâchait toute arrivée d'air. Cruelle ? Peut-être bien, mais c'était rien par rapport à ce qu'elle avait fait subir à d'autre.


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