Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Pourquoi les vieux sont en kiff sur les jeunes filles ? (avec Ikki)

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Violette Baudelaire

Humain(e)

Un battle pouvait s'annoncer difficile et on en ressort jamais vainqueur par moment, tout peut se jouer, dans le cas de Violette, elle est vraiment une trouble-fête, passant son temps a sécher les cours, elle n'en tirera rien de mieux que de glander, le lycée de Seikusu est assez grand et vaste avec un pan de structure de quatre étage, il n'y a que l'embarras du choix pour savoir ou traîner. Violette avait une sainte horreur de gratter les papiers, elle joue a ds jeux sur son tel en traînant près d'un casier, des élèves passaient en devant celle-ci en murmurant tous bas (et bien que miss Baudelaire le remarqua plusieurs fois déjà), elle ne levait pas un œil dans leur direction pour les interpeller, parce que ce sont des gens faibles et ignares, il aurait suffit qu'elle leur lance coup de pression pour les brutaliser et casser leur morale bien que franchement elle perdait son temps, elle les laissa donc courir sans suite. Tôt dans dans la matinée, elle avait voulu monter sur le toit pour se faire péter un joint mais manque de bol, il y avait une meuf qui l'a devançait et qui jouait un air solo avec une guitare de ses morts ! Il y avait très peu de fille qui pouvait avoir la "grosse tête" mais pour ce qui est d'être garçon manqué, seule miss Baudelaire peut se permettre de se la jouer comme elle veut pour l'instant, le problème et il fallait bien faire décamper cette femme de son nid. Violette commença alors a monologuer avec cette dernière mais aux premières constatation, il est clair que l'inconnue ne sembla nullement impressionner et l'ignora même royalement ! La provocation fut à sa limite, la brunette lui attrapa l'instrument et le cassa volontairement contre le sol comme le ferait un rockeur. Bien que le dénouement allait bientôt prendre fin, Violette se remémora la dernière scène, peu avant la fin de la confrontation:

J'avais eu un petit moment de répit lorsque Blondie était partit se changer, je n'avais pas trop compris pourquoi elle avait eu des vêtements de rechange, avait-elle prévu de se battre ? Ne serais-ce que j'eu repris un peu d'énergie, le problème fut qu'elle se jeta sur moi, me faisant tomber sur le ventre et frappant mon dos.

Je serra les dents et les poings de douleur, de fines larmes commencèrent à monter, mais je me devais de ne rien montrer. J'étais à la merci de mon adversaire, mon dos me faisait de plus en plus mal, ma cicatrice allait-elle s'ouvrir ? Aucune idée. Avoir eu une petite pause ne m'avait pas permis de récupérer de l'énergie.

Mes yeux commençaient à se fermer, mon corps devenait de plus en plus lourd, il ne devenait plus qu'un pantin sans vie. A ce moment la, j'étais sûre de ne pas gagner ce combat, je n'avais pas assez de force ou du moins, mon corps refusait de m'en donner.

"Alors ? C'est tout ce que t'a ?! "


En colère contre moi-même, de ma faiblesse, j'avais craché ces mots. Je respira longuement sous les coups de la blonde. Mes yeux se fermèrent doucement, ma respiration devint calme, et je sombra dans le sommeil.
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Volette la vit déclarer forfait, elle sembla présumée de ses forces puisse qu'elle s'évanouit sans tenir le coup, pour Violette ce fut une déception et elle en fut totalement dégoûtée, elle refusa de prendre cet abandon en tirant profit comme d'une victoire, une victoire facile ? Hors de question ! ça ne pouvait en être autrement cependant... Une idée lui traversa alors l'esprit, elle se mit à califourchon sur son assaillante qui paraissait endormie comme la belle au bois dormant, les seins se trouvant sous son bustier noir toucha alors la poitrine de la fille en s'écrasant sur les siennes, ses cheveux dorés et désordonnées caressa le visage de la sauvageonne, elle approcha ensuite son visage du sien et se mit à l'embrasser langoureusement en tournoyant sa langue sur celui d'elle en ondulant sa tête de léger mouvement comme si elle lui faisait un "french kiss" pendant dix bonne minute et se releva doucement d'elle avec un vilain sourire en biais du coin des lèvres.

Allez debout, gamine ! tu tiens déjà ta victoire et je ne te pardonnerais jamais si tu refuse de saisir cet ouverture que t'offre !

Elle vit alors le bout d'un bâton de bois cassé provenant du balai de la taille d'un couteau de chasse non loin d'elle, elle la saisit et le plaça sur la main droite de la fille en prenant soin de bien refermer ses doigt sur sa prise, elle resta au-dessus de son abdomen en attenant qu'elle se réveille, elle se lissa le talon gauche jusqu'au bout rond tout en caressant sa poitrine opulente à travers les rayons du soleil. Et oui c'est donnant-donnant ! malheureusement, personne ne s'accorderait une victoire facile après avoir viser un point faible si le combat n'est pas correctement terminée pour ce qui concerne l'adversaire d'Iori, elle lui donna sa chance de se rattraper elle n'avait pas intérêt à abdiquer.
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Perdu dans mon esprit, la désagréable sensation d'un baiser me fit faire une légère grimace de dégoût. C'était encore Blondie, qu'avait-elle encore ? Me voir presque abandonner le combat ne lui suffisait-il pas ? Il en fallait qu'elle en rajoute une couche ? J'en fit d'autant plus surprise par ses mots et le bout de bois qu'elle me mis entre les mains.

Bien que mon corps était engourdit, je remarqua qu'elle était toujours sur moi, qu'elle me faisait encore une fois un contact physique, chose que j'abhorrais. Je la regarda dans les yeux avant de pousser un cri de rage en lui balançant mon poing toujours fermer sur le bout de bois dans sa mâchoire. Sa tête se penchant d'un côté, j'utilisa son point d'appui maintenant sur le côté pour la renverser sur le dos.

"Espèce de petite conne, c'est la dernière fois que tu m'embrasses et me touches, c'est clair !"


Je lui asséna un second coup de poing, puis saisi le bâton fermement et l'enfonce dans l'abdomen de mon adversaire. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle m'avait "aidé" en quelque sorte, théoriquement elle avait gagné le combat. J'arrête de me poser des questions sur son acte, d'un geste rageur je lui pris ces cheveux et l'a tira vers la porte avant de la balancer contre celle-ci. Ma main lui pris brusquement sa mâchoire, et je la fixa d'un regard froid, neutre.

Un léger sourire apparu avant que je reprenne le bout de bois et que je le lui assène dans l'estomac de toutes mes forces qui m'étaient données pour l'instant. Mes poings suivirent, puis je me releva, le corps de Blondie gisant au sol, mon pied vint s'écraser sur son estomac avec rage une dernière fois.

"La prochaine fois, je n'aurais pas besoin que tu me réveille pour te faire bouffer le sol."




Je pris les restes de ma guitare que je posa délicatement dans sa housse, avant de me diriger vers la porte et donc de la délinquante. Ma cigarette en bouche, je prie la direction des escaliers. La sale garce m'avait amoché, vachement même. Je ne l'a regarda pas pour autant, me contentant de l'ignorer et de reprendre mon air froid. Lorsque je fus descendu, j'avisa un surveillant qu'une élève se trouvait sur le toit et qu'elle n'était pas au mieux de sa forme. D'un côté, ce combat avait été passionnant, je devais m'entraîner plus. Et m'acheter une nouvelle guitare par la même occasion.
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Violette songea un instant qu'elle avait gagner la bataille mais elle s'était réjouie un peu trop vite et apparemment l'intruse n'avait pas perdue connaissance et la pilote de ligne avait commit l'erreur de lui laisser le bout de bois dans la main car celle-ci s'en servit justement pour lui donner une méchante tape au visage, la douleur cinglante la fit déséquilibrer, elle crut voir alors durant une fraction de seconde quelque chose de blanc qui sortit presque de sa poche, c'était une carte d'identité et le nom de la joyeuse fille en question fut Sidney Crisis et vu comment elle réagi à son insu, cette garce ne fut probablement ou certainement pas le genre de fille qui accepterait de recevoir un baiser de la part d'une autre fille (ce qui explique sa réaction). La jeune femme n'en attendit pas moins d'elle et puis ce n'était pas la fin du monde si elle avait embrasser une fille en plein sur la bouche mais si elle avait un certain penchant pour l'amour d'un sexe non opposé comme le terme de lesbienne qui se désigna si bien.

"Elle mérite bien son sur nom de sauvageonne, celle-là ! vu comment elle est brutale, j'ai raison de le dire"

Violette fut terrasser et se retrouva sur le dos, la position la plus inconfortable durant une lutte, n'importe qui peut alors alors aisément prendre le dessus, ce qui revient a une position de vulnérabilité ouvert a l'ennemi ! Iori reçut un coup si terrible dans le creux ventrale que la pilote de ligne en perdit presque connaissance même que le bout de bois s'y ficha sans bouger de son abdomen vers un coté, la jeune femme plaça encore sonné par le coup plaça ses mains sur l'objet pour tenter de l'extraire doucement d'elle mais son adversaire fut plus rapide qu'elle et lui attrapa les cheveux désordonné et la fit heurter méchamment une porte, elle eut assez mal mais heureusement que le crane ne fut pas fendue sinon quoi tous l'hémoglobine aurait couler de sa blessure et elle aurait sans doute finie a l'hosto... A travers un halètement saccadée, ses yeux s'agrandirent quand elle vit que l'intruse avait saisit le bout de bois et l'enfonça une nouvelle fois dans le ventre, elle prit un malin plaisir a s'acharner sur son point faible et ce fut encore un coup de chance énorme que l'estomac de Iori n'en fut pas transpercer par le geste cruel de Sidney, elle vomit une dernière fois une belle flaque maronnasse avant que celle-ci ne devienne transparente en étant imbibé de salive et ne put s’empêcher de rire sadiquement comme si elle l'incitait à continuer.

"C'est tout ce que tu as chère amie ? visiblement tu n'a rien dans le ventre"

Les coups successifs arrivèrent comme de la pluie, Iori ne put bénéficier d'aucun répit puisque le geste interdit qu'elle avait commise ne pouvait être pardonnable alors que sa superbe mini-veste noire fut taché par la poussière du béton et son jean Bootcut cirait le sol sous les mouvement de ses jambes, elle tenta d'administrer un coup de talon Patent sur son ennemie mais Sidney colérique comme elle était la devança et dans sa hâte à vouloir répliquer une attaque, elle avait totalement oublier que le bout de bois avait laisser une belle trace stomacale (car il était encore debout), le coup de pied fut correctement centrer sur l'instrument qui s'enfonça en profondeur, voire presque à la transpercer mais non, elle n'en mourra pas mais elle fut mise totalement hors-jeu par un fulgurant "Knock Out" la jambe de la fille toucha le bout de bois qui pénétra la chair de la miss avant de toucher son estomac et de la faire s'évanouir avec un important filet de salive qui en sortit de sa bouche qui resta entrouverte, ses yeux se révulsèrent en arrière et son corps devint inerte comme un cadavre.


Violette ne s'était jamais autant amuser par le temps en générant un premier conflit personnel mais qui n'avait rien de dangereux dans ce quel venait de faire ce fut la première fois qu'elle avait déclencher une embrouille et c'était bien réussi ! La jeune pilote toussa bruyamment en clignant des yeux a cause du soleil qui commençait presque a se coucher, elle ne sut pas combien de temps elle fut rester étaler sur le sol mais la sale garce avait foutu le camp depuis belle lurette, elle se releva un peu difficilement en vomissant un peu en regardant le sol puis les alentours et parti rejoindre sa piaule sans en sortir un commentaire, il est sure que si elle devait encore croiser le chemin de Sidney , elle prendra grand plaisir à lui monter la tête car cette fille fut devenue une amie assez particulière pour elle. Un surveillant fut alors informé de l'incident ayant eut lieu sur le toit plusieurs heures, en remontant vite sur les lieux, il vit que celle que la déchet et au lieu de la conduire a l'infirmerie, il l'a souleva comme si il avait devant un cadavre de cerf et l'a laisser tomber sur un canapé en velours, il leva les mèches de la blondasse punk qui s'est teinturiser les cheveux endormie et lui cracha au visage avant de s'en éloigner, son sort est a présent entre les mains du grand chef ! Miss Baudelaire ne savait pas que le surveillant l'avait conduit directement dans le bureau du proviseur, ce dernier ne s'y trouvait pas encore mais il ne tarderait surement pas a revenir (se trouve t-il dans une salle au fond de son bureau a faire des papiers ?) et une fois qu'il aura identifier cette salope avec sa dégaine de pute, il est certain qu'il ne lui fera pas de cadeau. Aussi afin que la garce ne puisse s'échapper, le surveillant a verrouiller la porte derrière lui et maintenant la voici prise au piège ! Qui sait ce qu'il adviendra d'elle maintenant ?...

 



 

 

Iki Ota

Humain(e)

Les rebelles, il n’y avait pas plus irritant pour le proviseur Iki Ota, il avait une sainte horreur de ces jeunes qui se pendaient intéressant parce qu’ils savaient, selon eux, se battre et se pensait au dessus des règles. Alors qu’au final ce n’était que de petites merdes qui une fois jeter au milieu des vrais gangsters se feraient dans la culotte. Et le vieil homme savait cela, il en avait mâter des soit-disant rebelle au cours de sa longue carrière dans l’éducation, il fallait avouer que ses méthodes étaient plutôt expéditives et faisait comprendre aux petites teigne la véritable échelle de la délinquance. Se battre avec ses camarades de classe, souvent plus faible, c’était une chose mais se retrouver attaché dans une cave et abusé par des dizaines de pervers, ça faisait relativiser.

Mais avant de passer à ce stade là te la rééducation, Iki aimait employé des méthodes tout aussi peu orthodoxe. Le vieil homme de soixante-dix ans était encore très bien entretenu et il savait se battre et utilisait très bien ses poings et comme les petites frappes du lycée aimait se battre, il se faisait un plaisir de leur détruire la face pour leur montrer comment ça se passait quand on était de l’autre coté des poings. 

Il était en train de régler certaines affaires dans le fond de son bureau lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir, un bruit de chute sur le canapé se fit entendre puis la porte se refermée et le verrou enclenché. C’était encore un pion qui lui amenait un déchet qui avait besoin qu’on lui remette les idées en place, il soupira en espérant que ce serait une fille, qu’il puisse se défouler d’une autre manière que de la frapper. Il rangea ses dossier pour aller rejoindre la raclure qui lui était apporté.

Il soupira en voyant la jeune fille qu’on lui avait servi, c’était une sacré cassos et il avait envie de lui apprendre les bonnes manières depuis longtemps. Il s’assit sur son bureau, face à elle et se servi un verre de mauvais whisky et lui envoya au visage pour la faire réagir :

« Dis-moi pourquoi t’es là, ou je t’allume la tête jusqu’à ce que tu ressemble à Ghost Rider. »

Toujours la même finesse dans ses propos mais au moins il lui laissait le temps de s’expliquer même s’il n’avait pas grand mal à imaginer la raison pour laquelle elle se retrouvait dans son bureau. Il savait aussi très bien comment ça allait terminé mais il avait envie de s’amuser un peu en voyant comme elle oserait lui tenir tête.

Violette Baudelaire

Humain(e)

Cette toupie grotesque ne plaisantait pas et fut bien plus forte qu'elle sur le plan de l'agression comme pour la force, le lycée de Seikusu n'avait pas fini de dévoiler son lot de brigande et de caïd en tous genre... Si au tour suivant, miss Baudelaire ne faisait pas preuve de prudence et de vigilance, elle ne tardera pas a rejoindre ses vieux dans le territoire des ombres. Un "SPLASH" sonore l'a tira de son sommeil de pomme, elle s'éveilla en sursaut s'attendant à en découdre a un autre connard mais au lieu de ça, elle tomba sur un vieux briscard qui la matait depuis une surface de son bureau avec une allure de "Big boss" en la toisant fixement s'attendant à une réponse rapide de la part de sa victime probablement. Elle avait encore un peu la tête qui tourne mais ça ira, par contre une chose l'intrigua, quelque chose s'écoula d'une mèche blonde à sa tempe, elle cru que c'était de l'eau mais en y voyant que la couleur brune qui couvrit la transparence de l'eau, elle sut que c'est de l'alcool ! Elle promena son doigt à sa joue et la goûta en le léchant. Elle adore le whisky pure feu ! Elle adressa un chaleureux regard au patron de l'établissement sans le quitter des yeux tout en se levant sans geste brusque et se dirigea vers la porte de sortie a reculons, alors que celle-ci tourna le loquet en poussant la porte, elle constata avec stupéfaction quelle fut verrouiller de l’extérieur... Ne s'attendant pas à cette surprise, elle se tourna vers lui en radoucissant les traits de son visage en tenant le loquet.

Inutile de parler aussi grossièrement Monsieur le proviseur... Restons civilisés, voulez-vous ? Je m'appelle Violette et je dois vous avouer non plus que je ne sais pas ce que je fais ici mais peut-être que si m'ouvriez la porte, vous n'aurez pas qu'a faire semblant de rien, comme si rien ne s'était passé et de mon coté, je disparais en me faisant discrète, qu'en dite-vous ?

Elle prit soin de bien jouer la comédie de la petite fifille parfaite avec des airs de sainte-nitouche en trop afin de le duper, ainsi ça sera dans la poche et elle pourra peut-être s'en tirer sans trop de magouille. D'ailleurs, c'est bien la première fois qu'elle visite le local du directeur alors qu'avant, elle n'a jamais été convoquer sauf que ce coup-là, les circonstances se sont jouer contre son insu. Tout va bien de toute manière, miss Baudelaire mène la danse donc pas lieu de s'inquiéter. Une autre question lui apparu mentalement, quel genre d'homme est le proviseur ? Un sale type sadique ? Un chic bonhomme au cœur d’artichaut à l'intérieur de lui mais avec une carapace de macho a l'extérieur ou encore un putain de pervers qui s'est faite s'ga des lycéenne en privé dans son antre ? Qu'est-ce que ça changera a l'affaire ? Violette n'aura pas forcément l'intention de lui cracher le morceau, ni de lui dire ce qui s'est passer ce matin. Elle se mit a toquer du talon en attendant qu'il lui donne l'autorisation de sortir de son bureau, si jamais le vieux papi voudrait se la jouer dure, et bien pas de problème, miss Baudelaire la fera se jouer en mode Hard afin de se faire entendre comme pour le comprendre.

 

Iki Ota

Humain(e)

Iki aimait qu’on lui résiste lorsqu’il jouait avec quelqu’un mais en même temps il n’aimait pas qu’on entre pas dans le rang, c’était un peu paradoxal mais il faisait avec. Visiblement, la petite ne savait pas à qui elle avait à faire à agir ainsi devant le proviseur, il est vrai qu’elle n’était jamais encore venue dans ce bureau mais c’était car Iki voulait la cueillir alors qu’elle se sentait en position de supériorité. Et c’était ce qu’elle semblait penser, qu’elle était en posture pour discuter avec le vieil homme qui pouvait faire ce qu’il voulait d’elle comme il le voulait en vérité. Si elle semblait feindre d’être une gentille fille, lui se faisait passer pour un frêle vieillard mais comme on ne dit l’habit ne fait pas le moine.

Le proviseur soupira devant tant d’impudence de la part de la jeune fille qui se retrouvait piégée dans son bureau comme elle pouvait le voir en ayant voulu ouvrir cette porte verrouillée. Il se permit de se servir un verre de whisky, un meilleur que celui qu’il avait gâcher en le lançant au visage de la fille, et bu d’une traite sans cesser de la regarder :

« Vois-tu ma petite. Tu n’es pas vraiment en posture pour négocier quoi que ce soit. Le problème avec les déchet dans ton genre c’est qu’ils pensent être fort et ne reconnaissent pas quand ils sont face à plus dangereux qu’eux. »

Et pour le coup, il était le danger dans cette pièce, elle pouvait bien essayer de se battre avec lui mais elle réaliserait bien vite que malgré ses sept décennies, le grand-père savait cogner et qu’il cognait fort. Il se leva de son bureau pour se rapprocher d’elle et l’attrapa pour l’immobiliser en clef de bras :

« Je ne sais pas encore, si je te fais apprendre la discipline en te défigurant ou si tu me servir de toi comme serpillière suffira. Dans tous les cas, rien de tout cela ne ce sera produit dans mon  bureau, n’est-ce pas ? »

Violette Baudelaire

Humain(e)

Non mais sérieux, dans quel monde vivait ce vieux bison ? Il savait au moins de quoi il parle ? En terme de force (même si la demoiselle ne fut pas au mieux bâtie qu'un athlète émérite), l'ado avait de quoi se défendre, pour aller aussi insouciamment, il aurait du vérifier que dans son dossier, la jeune fille pratiquait le karaté et quelle pu être en mesure de se défendre. Bien qu'a la carrure du grand patron de cette établissement, il fut bizarrement large alors que le costard sur lui le resserrait un peu trop mais tout homme sur terre n'a qu'un seul point faible, il suffit de viser juste et le tour est joué ! Avec un coup aussi indécent, il ne se relèvera pas c'est certain. Ce qui est étonnant, c'est qu'il l'a isoler exprès de l'extérieur afin de lui couper tout échappatoire possible et en osant lui manquer de respect... Si ce vieux soulier devait tenir tête a Jean-claude Van Damme, le Full Contact qu'il est (après avoir autant d'exploit et de tourner nombre de films connus) lui aurait briser la tête ! Il a l'audace de la comparer comme une sous-merde... Ce n'est pas parce que le lycée de Seikusu en est peupler que tous les gens sont pareils. Violette ne savait pas combien d'élève comptait son école et le nombres de jeunes racailles que ça soit des mecs ou des nanas qui furent exclues pour x motif ou raison sont passer par le bureau du directeur. Bien qu'il avait l'air repoussant et d'aspect dominant dans un sens, miss Baudelaire ne le craignait pas, d'après elle il se sous-estimait et avait tendance a se défiler, il ne faut pas oublier qu'il est vieux et qu'en cas de faux mouvement, il se pète lui-même un os !

Bon... Ma patience est a bout et j'en ai marre de tes remarques stupides, d'ou tu te permet de m'insulter comme tu veux ? Encore je te tutoie mais c'est la limite que je t'accorde en restant respectueux.   

Violette marcha vers son bureau en claquant de ses escarpins Patent qui brisa de peu le silence, sans le quitter des yeux, elle attrapa la bouteille de whisky non pas pour le casser sur la tête du vieux mais pour le boire, elle le but en le fixant du regard. Le vieux chef devait encore avoir pas mal de stock de cet alcool dans la pièce voisine donc ça ne devrait pas lui poser problème pour aller se resservir. Ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas bu d'alcool cul sec ni en incorporant de mélange pour que le gout soit moins agressif...

TEeuhheuuuu... Kof.. Kof... Putain de ces morts mais elle tue cette saveur ! T'as pas autre chose a me servir que ce décapant vieux Polichinelle ?! 

Elle se permit de poser son fessier sur le bureau du proviseur en croisant les jambes et en faisant balancer son pied talonné. Elle sortit un paquet de Marlboro qu'elle s'est dégoter pour cinq euros et oser fumer devant lui en l'allumant, comme si il s'agissait d'une marque de défi. Elle n'avait pas peur de lui et comme elle justement en face du point faible de l'homme (d'ou le fait qu'elle est juste a proximité), elle pouvait le saisir rapidement en déformant le tissu en textile qui recouvre le bas-du-corps et le tordre fortement quitte a faire souffrir le vieux dégénéré de douleur.


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