Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Récit d'un chevalier qui a tiré une étoile (PV : Almarik / Edrusba)

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Almarik

Humain(e)

Un long voyage, cela faisait combien de temps désormais que j'avais quitté cette bonne vieille Terre pour arriver dans ces plaines où l'on s'adonnent à l'aventure, au combat et surtout aux mésaventures. Un constat simple, si dieu existe il paraît avoir un grand dessein pour moi. Et vue le nombre de chose étrange que j'ai croisé ici je préférais avoir un signe avant de me jeter les pieds dans le plat. Mais un signe ça commence à être long à attendre, si bien que je m'agenouille devant une pierre sur un sentier de pierre, de gravier et de terre comme un autre.

Fixant le ciel en joignant mes mains au niveau de mon visage je me demandais s'il y avait le moindre espoir d'avoir une réponse.

"Ô mon père tout puissant qui êtes au ciel, daignez indiquer la voir à votre serviteur, parce que tout cela commence à être long comme attente, surtout qu'à la base j'avais rien demandé"

Voilà comment au lieu de prier je me retrouvais à engueuler un possible bonhomme inexistant. Mes cheveux furent battus​ par le vent qui rafraîchissait ma tête en train de sur-réflechir depuis que je m'étais mis à genoux devant un caillou...Dit comme ça ça peut avoir l'air con mais c'est hyper sérieux ! Mission divine ...merde
« Modifié: samedi 22 avril 2017, 19:43:57 par Almarik »

Edrusba Snes-non

Dieu

Terre, terra, l'hésitation de la déesse était grande, occupée qu'elle fût dans son autre dimension à regarder ces deux planètes tourner. Laquelle choisir ? Elle s'était déjà pas mal amusée sur Terra, à se prendre pour une aventurière de renom. Mais aussi sur la Terre à jouer des farces aux créatures qui n'y avaient pas leurs places. Toujours posée à l'envers, défiant toute forme de gravité, elle flottait avec sa chaise, regardait autour d'elle sans trouver de réponse satisfaisante. Elle ne pouvait s'en remettre au hasard, c'était son pire ennemi ! Aussi elle passa un temps long, très long à méditer la question, chaque monde avait ses avantages, mais finalement la question fut tranchée assez facilement. En bas un homme priait, elle vit la prière passer dans le flot insensé des requêtes de mortels pour leurs dieux. C'était comme un fil divin qui reliait ce monde et le leur, enfin, lui pour sa part était entre les deux. Elle n'aimait pas faire affaire avec les mortels, encore moins avec les dieux, aussi elle restait dans une dimension entre les deux plans. Finalement comme dit, parmi toutes ces prières, une attira son attention.

Souriante, un sourire pervers, presque diabolique, elle quitta sa chaise, chaise qui disparut sans rien dire. Elle sourit un peu plus encore, écouta la fin de la prière et sauta alors dans le sol. Elle le traversa comme s'il était intangible, puis elle chuta droit vers la planète Terra, une chute digne d'un météore, sans les effets néfastes pour l'environnement. Elle tomba alors du ciel, quoi que descendit était plus approprié. Elle marchait dans les airs, comme si un escalier invisible le lui permettait. Elle avait une grande robe gothique noire, très révélatrice sur sa féminité, des cheveux blancs, des yeux rouges sang luisant... Et avec cela un collier muni d'un authentique crâne d'elfe de maison bouillit. Elle se posa sur le rocher, son chapeau fut alors affecté par le vent, les plumes dessus se plièrent aux lois de la physique, comme le reste de sa robe et ses cheveux. Le contact avec la terre en était le déclencheur, elle sourit à l'homme qui se tenait à genoux.

- Désolé, le tout "puissant" est actuellement occupé, mais moi j'ai du temps libre !

Elle sourit un peu plus, ses dents blanches d'un blanc nacré bien visible. Ses lèvres étaient d'un rouge assez prononcé, elle sauta alors hors du rocher, et atterrirent sans déplacer une once de poussière. Cet homme cherchait donc le chemin, c'est ce qu'il semblait en tout cas, elle le regarda fixement, pénétrant son esprit pour mieux comprendre ce qu'il voulait. Un signe ?

- Ohh, je vois, fâcheuse habitude de ce petit gars-là haut, oublier de montrer à ses disciples le chemin.

Elle leva alors une main, et une ligne de fumée colorée fonça dans la direction d'où venait Almarik, comme si elle regardait tout le chemin déjà accompli. Puis la déesse rabaissa sa main approcha du mortel et se stoppa quand leurs visages furent assez proches pour sentir son souffle.

- Almarik, tu as fait un bout du chemin, mais je sens qu'il te reste encore beaucoup à accomplir, bientôt une épreuve te tombera dessus, tu devras faire des choix difficiles.

Elle se recula alors un rien, puis fit apparaitre une pomme, rouge, normale, de belles tailles et juteuse certainement

- Croque ce fruit, et j'exaucerais l'un de tes souhaits quel qu'il soit, sauf être à toi pour l'éternité, j'ai mieux à faire quand même...

Oui sur cette précision on sentait le vécu, l'expérience négative de suivre une vie avec un mortel et d'attendre qu'il meure pour être libre à nouveau. Bien sûr il se pouvait que l'idée de croquer le fruit ne plaise pas à ce croyant d'un autre dieu, mais n'était-ce pas là un signe qu'il venait de demander ?

Almarik

Humain(e)

Comment dire, plus le temps passait lors de la descente de cet être plus la mâchoire aurait dû se décrocher... Alors qu'après toute mes péripéties et mon voyage à travers l'espace. Je n'étais plus à un ou deux étonnement près donc bof, et puis rien ne me disait qu'il ne s'agisse pas d'un tour de magie comme un autre. Aussi je la laissais déblatérer au sujet du père tout puissant qui est au ciel et qui doit observer toute ses créatures pour savoir si elle est sage ou pas pour décider d'où elle va finir son éternité.

"Alors, de une, bien que cela soit très tentant d'avoir une déesse à mes côtes jusqu'à ma mort je n'en aurai pas envie, après tout je passe suffisamment de temps à faire des choses impies pour ne pas avoir une personne qui me regarde à chaque instant."

Cette histoire de souhait me turlupinait...Dans le bouquin de mon père il y avait quelque chose sur une femme ayant manger une pomme et ayant mené l'humanité à quitter l'Eden. Cela ressemblait à s'y méprendre à une tentative de piège. Mais bon, vu qu'il était fort probable que cela soit l'accomplissement d'un mage gourmand de tâter de mon épée plutôt que d'une réelle apparition divine je me prêtais au jeu.

Mes dents croquèrent le fruit offert à mes lèvres avant de relâcher un puissant soupire. J'avalais le morceau arraché et me rendait compte que je n'avais pas la moindre véritable idée de ce que je pouvais demander... Alors je lançais à la volée

" Je souhaite avoir un ecuillier pendant les prochains jours qui me mènera à la suite de ma quête et me servira à réaliser mes prouesses pendant un temps, en plus ce serviteur serait le bienvenue pour entretenir mon équipement, c'est un peu long tout seul. Et pourquoi pas accomplir quelques menues travaux supplémentaires. "

Sur le coup je disais ça pour la mettre en pétard, un peu comme un sale mioche parce que je me jouais de sa restriction. J'avais pas spécialement vu sur le long terme, effectivement...

Edrusba Snes-non

Dieu

La déesse écouta donc l'homme, évidemment qu'une compagnie de tout instant n'était pas plaisante, mais elle ne voyait pas la chose en ce sens. Dans ses souvenirs on l'avait déjà fait être l'esclave sexuelle de tout un groupe de pervers durant une vie entière, eh oui, sa vengeance fut terrifiante. L'enfer, n'était qu'un paradis à côté de ce subirent ces jeunes gens... Elle resta souriante, puis se recula à peine de lui, tendant le flirt interdit, une simple pomme rouge au gout succulent synonyme de tentation. Elle entend son voeu, quelques jours seulement ? Dieu que cet homme était pieux, sans doute en avait-il un de coincé là où le soleil ne brille jamais. Mais bon, elle savait les hommes de certains dieux très prude et abstinent. Il devait en faire partie, aussi elle joua le jeu.

- D'accord, je serais cet écuyer que tu désires ardemment.

Bon pour le côté ardent ça sonnait faux, mais il semblait profondément vouloir cette aide dans la vie de tous les jours. Lustrer son épée, ferrer son cheval, faire à manger et s'entrainer... C'est les principales choses qu'elle parcourait dans son esprit pieux, il oubliait clairement toute la partie intime qu'il obtiendrait...

- Je vais t'offris le meilleur écuyer qui soit, obéissant, sage, servile, et surtout qui ne pourra absolument rien te refuser jusqu'à la prochaine lune !

Ce qui tombait rudement bien ! Car la pleine lune c'était hier qu'elle se finissait ! Ça lui donnait donc un mois lunaire de pur plaisir en compagnie d'une écuyère de talent. Mais qui ne pouvait rester sous cette forme, aussi elle se reposa au sol, des fleurs poussèrent très rapidement, et puis la silhouette de la déesse sembla briller, un blanc nacré. Elle allait changer de forme et cherchait actuellement ce qui correspondait le mieux à ce rôle, ni trop jeune, ni trop vieux. Pas trop forte ou musclée non plus, une femme simple, une roturière asservie serait idéal... Et durant cette recherche elle sembla perdre toute conscience de ce qui l'entourerait, lui pour le moment ne voyait qu'une lueur capitavante et douce alors que la silhouette semblait presque prendre une forme définitive...

Almarik

Humain(e)

Si l'ironie devait porter un nom il allait falloir la nommer par le nom de cette situation. Tapis dans l'ombre, des silhouettes c'étaient rapprochés, au départ dans l'intention d'enrôler ce grand homme bien bâti dans un groupe.

Puis quand cela commençait à prendre une tournure très ésotérique, voilà que les ombres se sont armées, de masses et d'épées, à peine trois silhouettes terrées dans les angles morts des deux interlocuteur. Une sorte de mage et un étrange homme bien bâti comme dit plus haut, des proies de choix pour une arène, et de l'argent à la clef. Aussitôt dit, lorsque la lumière commença à s'élever, devenir aveuglante un premier coup sonna la tête d'un des deux participants puis un deuxième.

Des bandits faisant fits des lois et contraintes venaient de trouver leur nouveaux joujoux.
Une voix s'éleva pour demander la suite du programme. Alors lorsque la lumière disparue un deuxième coup de massue fut donner au hasard dans la tête d'une autre forme que celle adoptée auparavant par le mage. Les corps furent ramassés. Rire gras et salaces furent au rendez-vous en attendant que les deux êtres finissent par se réveiller. On leur jeter des bouts de rognures de pommes au visage en leur hurlant de se réveiller. Les deux âmes étaient désormais dans une fosse boueuse avec une arme de chaque côté.

" Allez les gars, prenez les paries !"

Edrusba Snes-non

Dieu

Edrusba n'avait rien vue venir, d'ailleurs en y pensant elle n'avait pas encore donné son vrai nom à l'homme. Aveuglé par la lumière divine il n'avait pas vu venir les malfrats, elle encore moins. Une fois la lueur calmée et sa forme humaine prises, la déesse fut sauvagement frappée. Elle s'effondra jouant la jeune humaine en péril, ses pouvoirs étaient encore actifs, aussi elle décida d'en sceller une partie pour jouer la comédie des humains. Abattue elle fut emportée comme lui, direction un drôle de lieu... Un camp de bandit le plus simple du monde, des barricades, des maisons de fortunes et des feux de camp. C'était un endroit parfait pour s'attirer des ennuis. La déesse resta assommée un moment, elle vit pourtant tout ce qui arrivait, surprise qu'elle fût de ne pas être violée d'ailleurs... Réveillée pour de bon par des coups de pierre et de fruits rouges, quelle douce ironie... Elle se redressa, vêtue d'une robe rouge grenat intégrale, avec quelques plus noirs cela dit, c'était bon pour danser, mais surement pas pour se battre.

Elle regarda donc Almarik, resta perplexe, elle comprit très vite qu'il ne la reconnaissait pas, sans doute même pensait-il affronter une simple roturière. La déesse sourit un peu, intérieurement tout du moins, car son visage actuel était plutôt terrifié. Elle tenta de prendre l'arme, une épée de fabrique assez grossière... Trop lourde pour ses petits bras, elle parvenait à peine à la soutenir sans perdre l'équilibre... Elle regarda le guerrier opposé à elle... C'était un match à sens unique, pourquoi même devoir le faire ? Elle fixa son opposant, tenta de tenir son épée comme il faut et le regard avec rage, après tout pour une humaine normale, si elle perdait c'était la mort... Mais rien ne disait que ça ne serait pas pire avec les brigands... L'un deux hurla d'ailleurs à la donzelle qu'elle pouvait toujours avoir un remplaçant balaise, mais faudra qu'elle se fasse passer dessus par tout le camp... Ca les faisait rire, mais pas elle ! En garde, ou du moins comme pouvait avec une épée trop lourde, elle tenta d'attendre le cavalier priant pour pouvoir au moins parer un coup.

Almarik

Humain(e)

Putain de journée de merde...Déjà petit un, je me tape des hallucinations. Petit deux, je me fais capturer. Petit trois je me réveille dans la boue et dois...Petit quatre...Décider ou non de mettre à mort une femme qui n'a rien demandé à personne. J'étais dans l'impasse...Me demandant de quelle façon s'en sortir rapidement, mes muscles se réveillaient un à un. L'arme dans mes mains fut vite brandit dans la direction de la donzelle. Pour ma part je fus étonné que des bandits de bas étage décide de voir une exécution plutôt qu'un combat. Je l'aurais bien aidé si elle n'avait pas eut la désagréable idée de venir lever son arme dans ma direction. De toute façon même si elle gagnait, il était peut probable pour que le demoiselle s'en sorte. Alors qu'un gaillard...Qui sait. Bref...Une fois que je m'étais justifier auprès de moi même j'abattis de toutes mes forces l'arme que l'on m'avait prêté en voyant que tu tentais de parer...Inutile, le simple coup emporta ta parade car tu la tenais mal...Ton corps fut sectionné puis tranché en deux, pour m'assurer de ne pas te faire souffrir le mouvement suivant planta ma lame dans ton cervelet. Avant de me dirigeais comme promis vers la porte. La porte s'ouvrit presque par crainte qu'elle ne me retienne pas. Je préférais laisser cela de côté et reprendre la route, direction la pierre en me demandant si je n'avais pas plutôt rêver.

Edrusba Snes-non

Dieu

Ce fut un match rapide, la pauvre demoiselle ne faisait pas le poids, elle vit le chevalier charger, était-il si cruel ? Elle espérait au moins une once de compassion, un "je suis désolée" ou autre... Mais rien, en silence il leva son épée et bien qu'elle tenta de bloquer le coup ce fut fatal. Coupée en deux, elle perdit instantanément conscience, le corps chuta et fut encore frappé dans la chute. Pourtant la déesse souriait, jubilait de voir cela, cette douleur incroyable qu'elle venait de sentir. Elle regarda le corps tomber au sol, puis l'y laissa. Elle pourrait revenir immédiatement, mais quelque chose lui disait qu'il existait un moyen plus amusant de le faire. Après tout le pauvre bougre ignorait que la jeune femme qu'il a tuée n'était autre que la déesse sous une apparence mortelle. Déesse qui était encore présente en ce lieu sous forme d'esprit, invisible imperceptible et déphasée de la réalité pour ne pas l'affecter. Elle regarda donc l'homme, sortir victorieux du combat, mais quelque peu perturber, personne n'osa le retenir.

Elle le fixa donc, le suivit alors sans se manifester. Elle le vit retourner à la pierre ou il avait prié un peu plus tôt. Souriante elle se matérialisa dans son dos, sous les traits de la jeune femme qu'il venait de tuer, elle s'approcha doucement et lui dit alors :

- Vous avez fait ça vite maitre ! Je n'ai même pas senti la douleur.

Avait-il entendu une voix, une folie ? Elle souriait presque amusée de la situation, elle l'avait appelée maitre pour qu'il comprenne à qui il avait à faire, on ne sait jamais. Mais cela ne suffira peut-être pas allez savoir, de plus elle était sous forme humaine, donc moins de pouvoirs perceptibles autour d'elle. Pas de fleur poussant subitement, pas de déformations dans l'air ou les décors alentour.

Almarik

Humain(e)

Merci à vous père qui êtes au ciel, quand on vous demande le chemin vous nous envoyer à la mort ou bien tuer une innocente. Putain ! Vos voies peuvent peut-être être impénétrables mais, normalement il faut faire preuve d'un minimum de tact. Pauvre Josef, j'imagine que lui non plus n'a pas eu le droit à du tact lorsqu'il a apprit que vous aviez engrossé sa femme parmis toutes les vierges qui pouvaient y avoir à l'époque. Mais quel salaud.

"...."

J'étais là à me morfondre sur ma journée, à me dire que quand même j'aurai sans doute du rester au lit pour m'éviter des problèmes. Lorsqu'une voix féminine m'interpella.

"Oh non ! Tu étais morte ! Pouce ! Stop ! Je reviens "

Je saisi l'arme pendant que la nuit tombait délicatement, la colère au poing. Il me fallait absolument relâcher ma colère, et heureusement que la nuit tombait. J'emportais avec elle les âmes et les cris des bandits qui m'avait fait tuer une pauvre femme. Au début c'était seulement pour m'assurer que son cadavre s'y trouvait bien mais plus j'avançais plus je redécouvrais une colère qui m'habitait...Et lorsque je fis éclater le crâne du dernier je me sentais légèrement mieux. Il ne feront plus de mal, eux.

Enfin je jetais mon regard dans la fausse...Elle s'y trouvait bien, coupée de l'épaule au bassin et un trace dans le crâne, tout enveloppé de sang que j'étais je finis par retourné sur la roche ou la demoiselle m'avait visiblement attendu avant de faire le lien avec ma blague de ce matin

"ooooooooooooh d'accord !"

Bon, l'information fini par rentrer bien gentiment. Je posais mes doigts sur sa tête, comme pour vérifier qu'elle soit réelle, m'agenouille pour caresser son bassin puis remonte jusqu'à son épaule

"Quoiqu'il en soit ...Il faut se mettre en route..J'aurai peut-etre pas perdu la journée. J'ai mis la main une épée de belle taille"

En effet, mais il n'y avait pas que cela à prendre en compte. Je te jetais une dague dans les mains avec un sourire charmeur, il valait mieux que tu sois armée et au vu de ta prestation de tout à l'heure j'avais mauvais espoir que tu me protèges à l'espadon.

"J'ai également receuilli un atout, et une destination ! "

C'est alors que je sortis de ma pauvre lourde et ensanglantée, un papier poussiéreux et enroulé. Il s'avérait assez clair que le contenue du papier allez être utile.

"Une chasse au trésor ? Ça te dit...Euh...C'est quoi ton nom ? "

Edrusba Snes-non

Dieu

Bien sûr qu'elle était morte ! Mais visiblement l'entendre lui avait fait subir un drôle de choc. Il s'en alla, elle ignorait trop pourquoi, ne le suivit pas non plus et ne chercha pas à savoir. En fait quand le temps passa elle se posa sur le rocher, observa autour un peu lasse. Que faisait-il ? Il était parti en direction du camp des bandits, elle sourit un peu. Elle avait compris et profita de ce temps seule pour sceller une autre partie de ses pouvoirs, histoire de ne pas attirer tous les mages de la région. Elle le vit finalement revenir, lui toucher la tête, puis le bassin, elle le regard sans un mot. Avant de l'écouter et hocher la tête, avant de sauter hors du rocher et se mettre à le suivre.

- Je suis à vos ordres maitre, ravi de voyager et vous servir !

Elle semblait dire la vérité, elle l'écouta encore et hoche de nouveau la tête contente qu'il voie en cela une bénédiction. Elle l'écouta encore, puis chercha un nom qui pourrait être plus facile que le sien.

- Appelez-moi Claire, et faites de moi ce qu'il vous plait jusqu'à la prochaine lune.

Elle sourit et alla regarder autour, mais aucuns cheval, aucun sac n’a porté pour l'aider dans sa tâche. Elle répondit ensuite à sa proposition que ça sera selon ses souhaits, mais pourquoi des trésors, a-t-il une direction ? Elle approcha pour regarder son bout de papier, hoche encore la tête et pointe la direction à prendre :

- En route maitre ! Il y a peut-être encore de l'or dans les coffres !

Almarik

Humain(e)

Alors que je commençais à avancer quelque chose te frappa...Bizarrement nous ne nous dirigeons pas tout de suite vers la bonne direction, au contraire, il y avait comme un choix délibéré de se rendre dans s une partie bien définie de cette région.

Pendant que mes pas nous amener dans un coin reculée d'une vallée il y avait comme une odeur chevalier dans l'air. Rapidement, un petit troupeau sauvage semblait gambader près de nous, tournant un peu autour de nous pendant que je préparais une corde

"Tu vas m'aider à en attraper un, lorsque j'aurai réussi à lui mettre le grappin dessus je compte sur toi pour le calmer, quitte à mettre la main à la tâche. J'ai des objectifs à remplir alors je me fiche de comment tu y parviens."

Ni une ni deux le lassot fini par atteindre l'un d'entre eux que je bloquais, le con tirais comme une bête sur la corde et fut surpris lorsque je l'etalais par terre d'un coup d'épaule bien placé.

Rapidement je t'appelais et te lâchais un sourire sadique en sachant très bien ce qu'impliquait la capture d'un mal.

Dans cette plaine verdoyante allez commencer ta descente en chute libre dans l'humiliation.

"suces le, claire"

Je n'avais pas besoin de te connaître depuis plusieurs jours mais tu m'appartenais le temps de la bénédiction, aussi j'avais bien l'intention de parvenir au dessin que l'entité suprême pouvait avoir pour moi.

Edrusba Snes-non

Dieu

Elle se mit donc en route avec lui, jouant la comédie de la petite servante adorable. Elle le suivit et comme lui remarque les chevaux dans la plaine, voilà de bien belles futures montures ! Encore fallait-il en attraper une ! Cela était certainement une tâche compliquée, même à deux, elle hoche la tête se disant que pour elle ça serait simple. Mais elle préféra ne pas le laisser paraitre, elle le regarda jeter le lasso, tirer comme un dingue et étaler le cheval ? Cet homme était dingue ? Un cheval ne doit jamais se coucher à terre, sauf s'il est malade et encore, cet animal dort même debout ! Elle l'observe donc et voit le cheval se redresser doucement, heureusement le pauvre ne semblait pas avoir de pattes cassées, chance. Elle l'approcha, lui caressa la joue et le calma déjà un petit peu, la bête semblait répondre favorablement, nul doute qu'elle sera vite docile avec un peu de nourriture. Elle entendit alors son maitre lui parler, voilà bien une demande étrange.

- Très bien, si vous pensez cela nécessaire.

Puis elle calma encore un peu l'animal, alla vers son flanc et continua de le caresser pour le garder calme. Enfin elle lui caressa le ventre, le torse, puis doucement s'accroupis pour être à bonne hauteur. L'animal restait calme, et se mit à frémir quand elle lui caressa la verge. La déesse n'en était pas plus gênée que cela, après tout pour elle ce n'était qu'un ordre parmi tant d'autres à venir. Elle lécha enfin la verge tendue, puis continua de la branler à deux mains tout doucement. Le cheval parfaitement calme se laissait faire, elle prit alors l'avant de sa verge en bouche, s'enfonça dessus et lécha avant de ressortir et la lécher.

- Hmm maitre, je pense qu'il fera une bien belle monture pour vous !

Elle continua de sucer ensuite sans dissimuler un certain amusement, le cheval lui sembla regarder un instant le chevalier, puis lui fit un clin d'oeil et un sourire. Ou alors le chevalier venait-il de rêver ?

Almarik

Humain(e)

J'aurai été tenté de me mettre à avoir un mouvement de panique pendant que le cheval, qui est génial, me fit ce que je pris pour un clin d'œil mais étrangement rien de tel ne se passait dans mon esprit. J'étais tout simplement content que cela se fasse dans le calme. Ce qu'elle faisait n'était pas spécialement mes affaires alors pour m'occuper je prenais le lassot d'une main pour lui retirer du cou et commencer à découper la corde ...À la défaire un petit peu par endroit avant de sangler légèrement l'animal noble avec. Ceci était fait, il ne tarderait pas à lui cracher au visage, à ce que je sache un mâle mettait quelques secondes une fois tendu à fond.

Pour ce qui m'intéressais le voyage devait ensuite passer par la ville, dans laquelle je comptais bien nous acheter une ou deux armures en cuir. Je ne voulais pas spécialement que l'atout qui m'était offert ne souffre à cause d'un mauvais équipement.
Je comptais bien m'en occuper, quand bien même elle doive réaliser quelques menus travaux. Une fois ma sangle préparée! je vous laisser. Partant à la recherche du repas de cette nuit, chose simple à obtenir lorsque l'on se trouve en plaine. Quelques fleurs pour le goût, une ou deux dizaines de baies extrêmement sucrées qui pétillaient comme des bonbons acidulée dans la bouche. Et pour finir un serpent dont je coupais la tête et vider les boyaux pour ne pas pourrir la chair avant de le rentrer de nouveau dans sa mue, histoire de bien l'isolé.

Une fois ce moment chasse et pêche (En l'occurrence ceuillette et meurtre mais chhhht) terminé je m'en allais retourner vers le lieu où j'allais récupérer mes biens. Pas à pas dans l'herbe pendant que le vent me fouette l'arrière du crâne,je te rejoins après cinq bonnes minutes de marche supplémentaires avant de serrer ton corps frêle contre le mien d'un bras

"Je te remercie de ce que tu fais pour moi, allons-y."

Je n'allais pas m'attarder en remerciement, il était fort probable pour qu'un vendeur de carotte accepte d'en céder une, une fois arrivés en ville bien sûr. Alors je soulevais ton frêle corps assez facilement pour le placer sur le cheval et je grimpais par la suite en tentant au mieux d'éviter de blesser ma bête. Je saisissais la corde pendant que tes cheveux rougeoyants tombaient sur mon épaule et l'animal se mit à trotter. Au début, un peu comme il voulait, puis il se mit à comprendre les gestes que je réalisais vainement avec la corde avant de réussir à nous faire prendre la bonne direction.

Le voyage dura, le soleil venait épousé l'horizon bien trop rapidement à mon goût, si bien qu'à la moitié du chemin je pris la décision de nous arrêter pour la nuit, avec les bandits de la matinée je commençais à être méfiant avec les routes. Nous nous installions sur un bord de montagne en grimpant légèrement, et j'y érigea brièvement un petit muret avec des cailloux pour éviter que nous soyons repérer par le feu que j'allumais rapidement et sans trop de difficultés avec le bois mort et sec  trouvé sur le sentier. Rapidement j'attachais la monture en lui laissant de la manoeuvre tout de même mais à flanc de montagne...Cela devenait compliqué de ne pas tomber si on y voyait rien, il pouvait paître tranquillement pendant que je m'installais au coin de feu pour y faire griller le corps du serpent qui dégageait une odeur bien particulière...

Tout était en place, visiblement je n'aimais pas trop bavarder même si cela ne me dérangeait pas plus que cela. Je tournais enfin mais yeux vers toi avant de réaliser que c'était à toi de faire cela.

"désolé je te pique ton boulot, une habitude."
« Modifié: lundi 24 avril 2017, 14:47:56 par Almarik »

Edrusba Snes-non

Dieu

Qu'il ait rêvé ou pas, elle termina rapidement de s'occuper du cheval, quelques minutes à peine et ce dernier lui juta en pleine bouche et sur le visage. Elle soupira un rien, puis frotta les traces sur son minois avant de se retirer de sous le cheval. Son travail, si elle pouvait le nommer ainsi, était accompli. Lui en profitait pour équiper l'animal de sorte de pouvoir le diriger sans aucun doute. Elle était toujours intriguée par l'ingéniosité humaine, c'est que ces petits gars savaient se débrouiller. Enfin il partit, sans prévenir, mais sans doute pour un besoin solitaire. Elle resta donc proche du cheval et continua de le brosser de ses doigts, le temps sembla être long tout d'un coup. Finalement il rentra avec son équipement et de la nourriture, elle hoche la tête et le laisse la tirer vers lui. Elle l'observe sans piper mot et puis monta avec son aide sur le grand cheval, les deux partirent donc direction la ville proche sans doute.

Et une fois le soleil couchant il descend encore, prépara le camp et elle pour sa part resta à ne rien faire dans les parages, s'il voulait tout faire lui-même après tout... Mais aurait-il sucé le cheval lui même ?Voilà une question qu'elle était intéressante pour la déesse. L'observant elle hausse les épaules, s'il n'avait pas besoin d'elle pour autre chose que séduire un cheval et bien... C'était bien son droit.

Almarik

Humain(e)

Les couleurs du soir sont souvent chatoyantes lorsque l'on prend le temps de les regarder. Bien vite l'obscurité vient figer ce souvenir dans la mémoire pour la nuit.

Ainsi debuta notre silencieux repas, je ne savais vraiment pas quoi penser d'elle. Malgré les efforts fournies pour rendre ce serpent appétissant, elle ne semblait que faire la fine bouche et se retenir de manger. Comment lui en vouloir. Cependant lorsque je m'étirais j'avais une agréable sensation, celle de tes yeux sur moi. Que voulaient-ils dire ? Si tentés qu'ils veuillent signifier quelque chose. Pour le moment tout était bien agréable, cela faisait en plus, quelques mois que je n'avais pas eu de si belle compagne de voyage.

Je me surprenais à venir lui caresser le visage en voulant sentir ses cheveux rouges entre l'index et le majeur, une douce caresse infini se produisit en moi au fur et à mesure que je descendais le long de ta tignasse. Je lui aurais volontier demander si c'était de famille mais, de toute façon il était probable qu'elle soit un ange. Et donc qu'elle n'ait​ pas de parent. Alors pour tout mots réconfortants je la rapprochais de moi pour éviter qu'elle n'attrape froid à cause du vent qui se levait, une bise funeste venue exprès pour que le moment soit bien glacial. L'une après l'autre. Lorsque mon épaule devint froide c'est moi même qui m'approchais de son corps, comme pour fuir cette agression de fraîcheur.

Mes yeux se tournèrent ensuite vers elle, la découvrant désormais sous un autre aspect, à la lueur du feu elle me paraissait étrangement délicieuse.


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