Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Let me go... (with Funny Turtle)

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Enjou Sakuya

Humain(e)

Let me go... (with Funny Turtle)

mercredi 25 janvier 2017, 22:51:02

Quel journée franchement et pas un jour ne passe sans que la guerrière-incantatrice ne tombe sur quelque chose de bien entre le fait de rester bloquer dans une fosse marécageuse en se faisant violer pendant une semaine par des limaces géantes ou pénétrer par mégarde dans un caveau abandonné depuis des années en compagnie de zombies repoussant adepte du sexe qui ne voudrait que baiser ou encore atterrir dans une grotte garni d'alien par manque de prudence et devenir mère pondeuse après avoir était féconder par un espèce de "Face-hugger" avant de pouvoir pondre les œufs. Il n'y a pas a dire mais Enjou en aura baver avant d'avoir pu trouver un moyen de s'échapper de son piège si bien que son mental en aura prit un sacré coup et que son humanité même si elle demeure encore présente vu qu'elle en est bien une humaine, figurez-vous qu'elle commence a se voir comme un monstre assoiffé de sexe, sa psychologie, son mental s'en prend un coup alors inutile de lui poser la question pour savoir si elle se souvient encore de son passé et de sa sœur Seika (elle ignore également que cette dernière a fugué depuis un moment déjà de l'église). La guerrière-incantatrice n'en restait pas cependant faible et elle est toujours aussi forte et peut se montrer redoutable en combat rapproché car tout ce qui touche au contact de son katana qui devient magique quand elle psalmodie une formule est tranché net (que la forme de vie soit humaine, alien, ou monstrueuse, rien ne résiste a l'arme blanche mais a condition que l'ennemi en question ne soit pas balèze ou puissant mais dans la limite du possible. l'ancienne bonne sœur avait étrangement prit gout au sexe et du viol en collectif (genre gang-bang comme on dis) malgré qu'elle persiste a le refuser comme de l'admettre mais elle n'y pouvait rien une fois que la sensation fut forte en émotion et intense au plaisir, autrement dit quand elle se fait piéger ou capturer, elle ne ressent que de l'embarras et de la gène mais plus la scène érotique se poursuit et plus la scène de pénétration et d'insistance perverse prendra de l'ampleur si bien qu'elle finit par capituler et cesse toute lutte vaine en s'adonnant a cœur-joie et avec la conscience corrompue en elle en faisant l'amour.

Sakuya fut sur un la piste de démons ailés qui avait attaquer une petite communauté isolé dans une contrée inconnue, elle du se remettre au travail mais visiblement une épéiste féminin l'avait visiblement devancer et avait déjà éliminer plus de cinq de ces bestioles mineurs maléfique, la Munen songea alors a refaire demi-tour mais elle remarqua pas loin de la colline qui surplombe la vallée d'ou elle se trouve un démon qui devait être l'unique survivant de son groupe se terrer derrière des buissons et avait attendre le départ de la fille en armure portant une claymore mais se trouvant hors de portée du village, Enjou pouvait facilement le buter sans risquer d'attirer l'attention, elle prit une inspiration et avec l'agilité d'une "Kunoichi", elle bondit sur le monstre et lui sentant une ombre planer derrière lui se retourna et eut la peur de sa vie quand il vit la lame rouge et brillante se rapprochant dangereusement de sa position et eut juste le temps de déplier ses ailes et de les déployer pour esquiver le coup mais manque de pot, Sakuya s'agrippa fermement a sa patte griffue, Enjou ne s'avoua pas vaincue malgré que la terre ferme se faisait de plus en plus petit vu du ciel (en plein vol aérien). La ballet aérien exécuté par le démon novice dura plus de trente minute et Sakuya avait perdu son arme durant le vol mais elle pourra toujours le faire matérialiser par invocation a condition qu'elle se trouve sur terre et non en plein air mais elle connaissait des formules magique d'immobilisation comme des sorts paralysant pour faire figer sa proie pendant qu'elle l'achève, le monstre voyant clair dans son jeu avait anticiper son plan et préféra l'attaquer en se servant des éléments naturels comme l'air. Tout humain respire de l'oxygène mais si celui-ci se retrouve dans les airs a plusieurs milliers de mètres d'altitude, il finira par manquer d'oxygène et mourra comme asphyxié, le démon vola plus haut encore. la Munen sentit que l'air se raréfiait et qu'elle commença a tousser et elle ne quittait au plus vite le couloir aérien, elle périra en souffrant et c'est pourquoi elle lâcha prise, elle crut qu'elle tomba d'une montagne tellement la chute paraissait longue et le contact avec la surface liquide fut si cinglante qu'elle cru que tout fut terminé pour elle puis ce fut le trou noir... Le corps d'Enjou flotta a la surface de la mer comme un bout de bois à la dérive, elle ne savait pas ce qui s'est passer et elle souffra d'hypothermie a cause de son bain froid et non chaude mais visiblement la mer ne voulait pas d'elle et l'avait rejeter sur la berge d'une plage ne figurant sur aucune et comme une baleine échoué, elle s'était évanouie sans savoir ce qui se trouve autour d'elle et elle reprendra conscience après quelques heures passés probablement mais en attendant, elle apparaîtra au yeux des gens qui vivent sur cette île comme le cadavre d'une naufragée.

Tortue Géniale

Humain(e)

Re : Let me go... (with Funny Turtle)

Réponse 1 vendredi 27 janvier 2017, 16:19:08

Il fallait bien comprendre une chose : si le Maître des Tortues avait, depuis des lustres maintenant, élu domicile loin du monde, c'était pour éviter qu'on ne vienne l'emmerder. Un bout de terre sablonneuse en guise d'île, juste assez grande pour supporter une maison et un palmier et offrir de l'espace pour une table de jardin et un barbecue, une barque pour aller pêcher et c'était marre. Les conflits qui agitaient Terra, Tortue Géniale n'en avait plus rien à faire depuis longtemps. Seules lui importaient les livraisons par avion de ses revues érotiques et les courses qu'il était évidemment condamné à aller faire une fois tous les mois en retournant vers le continent.
Le reste du temps, le vieillard ne se souciait que de la cuisson de sa viande et des horaires de diffusion des quelques programmes tekhans que son archaïque poste de télévision pouvait capter, qui lui rappelaient qu'à travers le monde se trouvaient nombre de jeunettes à la souplesse exemplaire qui auraient bien mérité l'attention de la Tortue. En somme, de quoi satisfaire assez sa libido un peu endormie par la longue inactivité à laquelle elle était soumise et se distraire l'esprit (et la main gauche) pendant son exil volontaire.

Autant dire donc que lorsque sa tortue de mer parlante l'apostropha depuis les flots pour lui dire qu'elle avait trouvé une personne à secourir de toute urgence, Tortue Géniale manqua de répondre dans un flot d'insultes. Sous l'insistance de son familier, le Maître daigna toutefois quitter le confort de sa villa rosâtre pour aller voir de quoi il retournait... Et il ne fut guère déçu.
Car sur la carapace de sa vieille amie brunâtre gisait le corps alangui et fort dévêtu d'une beauté abusivement bien roulée, dont la vue des formes plus qu'opulentes terriblement serrées dans une tenue limitée en tissu le firent instantanément réagir.


- Maître, il faut aider cette jeune femme !
- O-oui ! TU AS TOUT A FAIT RAISON ! Rentre la à l'intérieur, nous allons l'allonger dans le canapé !

La tortue s'empressa (à sa vitesse, quoi...) d'obtempérer à la consigne et en quelques minutes la pauvre rescapée se retrouva placée dans le confort d'un canapé moelleux, alanguie et sans défense face à Tortue Géniale qui, sous l'excitation, n'avait eu d'autre choix que de se coller d'épais morceaux de feuilles de sopalin dans les narines pour éviter de perdre la majeure partie de sa contenance sanguine. De derrière ses lunettes fumées, le vieux pervers observait avec insistance le corps majestueux de la Munen, ravalant la salive qui lui pendait aux lèvres.
Il FALLAIT qu'il fasse Paf-Paf avec ces loches surdimensionnées, mais la tortue l'en empêcherait en invoquant le respect et l'éthique... La bonne blague ! Des mamelles laiteuses comme celles-là ne méritaient jamais qu'une bonne dose d'Hentaï-force et Tortue Géniale ne comptait certainement pas s'en priver. Ainsi, s'essuyant fébrilement la bouche du dos de la main, il s'adressa à son familier du ton le plus sérieux qu'il pouvait adopter -et ce malgré L’ÉNORME mandrin qui tendait depuis un moment déjà son vieux short délavé.

- Ecoute, Tortue. Nous n'avons pas de quoi nous occuper d'elle ici. Va vite vers le village du continent et achète quelques médicaments pendant que je veille sur la jeunette ! Vite, vite, avant que son état n'empire !

Et la tortue, aussi gentille qu'elle était bonne pomme, hocha le bec et se dépêcha de rejoindre l'extérieur de la maison et l'océan qui s'y étendait à perte de vue. Même en nageant vite, son trajet laissait au vieux pervers un jour et une nuit pour profiter des charmes de l'inconnue. Largement suffisant !

Après avoir regardé la tortue s'éloigner à l'horizon, le Maître retourna à l'intérieur de la maison et verrouilla la porte derrière lui avant de se frotter les mains. Son visage était déformé par un large sourire aussi niais qu'excité, qui répondait à la tension vigoureuse qui agitait sa queue douloureusement enfermée dans le short. A pas feutré, le vieillard s'approcha du canapé et s'assura que la rescapée était encore inconsciente. Et puisque c'était apparemment le cas, l'homme laissa passer un rire bêta en agitant les doigts avant de plaquer carrément ses paumes ouvertes sur les pastèques de chair, qu'il serra durement avant de les tapoter vicieusement.

- Paf paf, paf paf, PAF PAAAAAAAAAAAAAAAAF !

Enjou Sakuya

Humain(e)

Re : Let me go... (with Funny Turtle)

Réponse 2 mardi 14 février 2017, 16:46:43

Enjou manquait de vitamine et toute femme qui se respecte doit impérativement se nourrir et veiller sur son bien-être en soi mais pour le cas de Sakuya, elle vivait au jour le jour en ruminant de son passé plutôt que de tourner la page, elle ne savait pas pourquoi une prètresse-incantatrice comme elle ait pu accepter l'idée de partir en mission en négligeant sa fille. C'est vrai que dans la logique d'Enjou, l'on se rapproche plus de l'inceste qu'à une preuve de fraternité et dans le cas échéant, la guerrière ne se voyait pas tellement comme une grande sœur mais se considéra désormais comme une mère-poule concernant l'éducation de la nonne de l'église Kamori Seika dont elle n'a d'ailleurs plus de nouvelles voici deux ans. Après ayant un penchant pour les relations lesbiennes mais sans avoir approcher une femme jusque maintenant pour en bénéficier d'une première expérience en la matière, elle ne pu que l'imaginer en rêve quand elle en la possibilité. La jeune femme aux cheveux gris-argent se trouva dans une salle au décor mural blanc, il n'y avait pas de meuble aux alentours si ce n'est qu'un lit deux place de bonne taille, pas de porte sauf une unique fenêtre donnant sur l'extérieur et ou y baignait une lumière de fin de matinée ensoleillée dans un beau pré en ce jour de début de printemps et de fin d'hiver. Munen se trouva dans un lit confortable au matelas doux mais pas seule en compagnie de sa charmante convive qu'est Sayaka la jeune Traqueuse-combattante ! Elle qui n'a jamais oser partager une couche de plaisir en sa compagnie du temps ou elles résidèrent toutes les deux au sein de l'église et c'est en tout cas possible dans le monde inaccessible aux vivants et imaginaire dans le monde des rêves et des cauchemars... La brune se retrouva a plat-ventre sur la jeune femme en la regardant comme une salope avec un petit sourire en coin des lèvres, Sakuya transpira comme jamais et son corps fut emplie d'une pénible sueur comme une nomade se trouvant dans le désert, après c'est la faute du lit dont l'emplacement fut exposer devant la fenêtre grande ouverte qui réchauffa la pièce comme dans un four.

(...)

Cela ne dérangea aucunement sa fille qui avait cesser de lui lancer des regards attendrissant et passait a présent à l'action ! La mère fut terriblement embarrassée et tourna sa tête de coté en fixant le coussin blanc avec le visage rouge de gêne, déjà de sentir une opulente poitrine se faire malaxer par des  mains caoutchouteuse puis d'entendre des bruits de succions de langue sur son justaucorps de latex nacré ne fut pas dans les habitudes de l'ex prêtresse-incantatrice. Elle garda les bras étendues le long de son corps sur le drap sans les bouger, elle ne faisait rien d'autre que de laisser faire et la compagnonne qu'elle eut en face d'elle n'est pas un monstre tentaculaire comme elle l'aurait désirée mais une être humaine comme elle. Le haut de sa poitrine remua un peu car elle inspira et expira de l'air via les poumons et gémit tout doucement entre chaque mouvement, brusquement une vilaine douleur se fit ressentir comme si sa fille voulait se montrer plus "dominatrice" et sauvageonne qu'elle ne l'est actuellement, ses seins semblèrent en proie a une souffrance, ses mains serrèrent ses nibards comme avec une éponge qu'on viderait de son eau avant son utilisation. Sakuya redressa son visage en levant presque sa poitrine avant de rester inerte devant la présence familière qui se mit alors a tapoter les melons sans savoir qu'enfaite, c'est dans la réalité que se déroula la scène avec un vieux pervers et non sa fille adoptive aux commandes des manœuvres.


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