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Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

mercredi 14 décembre 2016, 00:27:42

Ugundan était une impressionnante cité ashnardienne bâtie à la lisière d’une forêt particulièrement épaisse, la vaste forêt d’Eriendor. Eriendor faisait partie de ces forêts ancestrales qui s’étalaient sur des milliers d’hectares, et Ugundan était l’une des colonies ashnardiennes les plus avancées dans cette forêt. Ugundan se situait ainsi à l’emplacement des arbres millénaires, gigantesques arbres, s’élevant si haut qu’ils en masquaient le soleil. Cette forêt ancestrale ruisselait d’une magie si puissante qu’il y avait bon nombre de communautés druidiques, de sanctuaires elfiques... Et également des monstres redoutables. C’était un endroit sauvage, mais Ashnard y tenait, vu que, justement, on y trouvait quantité de produits magiques d’exception. Pétales de mandragore, herbes magiques, racines puissantes... La colonie était à l’origine de tout un important commerce, et respectait, dans la mesure du possible, la Nature. Auparavant, les Ashnardiens avaient essayé de s’imposer en force, mais Eriendor, au moins dans les profondeurs, faisait encore partie de ces endroits imprenables. Des nuées de dryades, d’elfes, d’Alraunes, défendaient les lieux, commandant aux animaux et à la Nature. Les Ashnardiens ayant tenté de déloger par la force ces créatures sylvestres en avaient payé le prix, et, depuis lors, l’Empire était parvenu à un accord avec le Hiérophante de la région, soit le chef des communautés druidiques, porte-parole de la Nature. Suite à cela, des accords avaient été passés.

Sylvandell était l’un des pays qui recevaient le plus d’artefacts de la part d’Ugundan, en ayant besoin pour leurs élixirs et leurs fioles. C’est à ce titre qu’une délégation militaire était venue. Ugundan se militarisait, car le Commandant de la colonie craignait que le nouveau Hiérophante, plus belliqueux que l’ancien, ne cherche à les chasser de là. Pour désamorcer la situation, qui était remontée jusqu’au Conseil Impérial, une délégation diplomatique avait été envoyée, et Alice en faisait partie. Elle avait, pour l’occasion, enfilé une tenue diplomatique plutôt courte, vu qu’il faisait chaud et humide, se composant de bottes militaires bleues avec des jarretelles, une minijupe bleue, un plastron bleu sombre, et un couvre-épaule.

Aujourd’hui, elle s’aventurait avec son cheval, car elle avait... Une curieuse chose.

*Comme... Comme un pressentiment, un appel...*

Elle s’était très légèrement éloignée de la zone de sécurité, mais, si jamais des endriagues se rapprochaient, ou des wyverns, son cheval, Éclipse, le sentirait, et elle s’enfuirait. Depuis qu’elle était arrivée ici, elle avait ce curieux sentiment, comme si... Comme si quelque chose se tramait dans l’ombre. Alice n’avait pas encore eu l’occasion de rencontrer le Hiérophante, et avait assimilé, pendant un temps, ce pressentiment à l’aura magique qui régnait par ici. Mais, cette nuit, Alice avait fait un étrange rêve, où elle s’aventurait dans la forêt, suivant un sentier menant jusqu’à des buissons qui s’écartaient sur son passage... Et, en se levant ce matin, elle avait eu le pressentiment de devoir se rendre là-bas, car, dans son rêve, elle partait depuis le camp, et ce songe avait été tellement réaliste qu’elle avait fini par se laisser tenter.

D’aucuns pouvaient trouver cette expérience mystique délirante, mais Alice, elle, croyait aux forces supérieures, divines... Et elle suivait donc cette idée, partant sans garde, ce qui déclencha l’ire de plusieurs. Mais la petite blonde était butée, et avait juste expliqué vouloir faire sa promenade matinale, fuyant ainsi la garde encombrante et collante de son père. Elle vit alors un signe de son rêve : une souche d’arbre à un carrefour, avec de l’eau sur le sol, émanant d’un proche ruisseau.

*Oh...*

Elle se pencha vers son cheval, et caressa sa crinière, avant de lui parler, comme si elle pensait que le cheval allait lui répondre :

« Tu vois ? C’est la souche dont j’ai rêvé ! »

Alice sourit, ravie de voir qu’elle ne devenait pas complètement folle. Oh, bien sûr, tout ça pouvait juste être un piège, mais elle ne le pensait pas. Samara, une puissante Archimage démoniaque, faisait également partie de la délégation, et avait inspecté les environs, établissant, avec certitude, qu’il n’y avait aucun mage noir. Il devait donc s’agir d’une force surnaturelle qu’elle avait perçu... Ou d’une Alraune qui l’appelait.

Se pinçant les lèvres, elle sauta de son cheval, et lui fit signe de l’attendre près de la souche, puis s’aventura dans la forêt, la main sur le pommeau de sa dague. Elle s’avança droit devant elle, voyant des racines remonter le long du sol, et poursuivit son chemin, jusqu’à apercevoir...

*Les buissons !*

Alice soupira encore, rougissant légèrement, un peu nerveuse, et regarda autour d’elle, s’attendant presque à voir des endriagues redescendre le long des troncs d’arbre. Du fait de l’épaisseur des feuillages, il faisait très sombre, mais son instinct lui soufflait de s’approcher, et de ne pas avoir peur. Et elle ne se pensait pas particulièrement envoûtée, alors... L’idée de rebrousser chemin la traversa, mais elle la chassa tout aussi vite, et marcha encore.

Elle s’approcha des buissons, posa ses mains dessus, et sentit ces derniers s’écarter... Puis vit de fins rayons de soleil, et de multiples papillons.

*Oh...*

Et elle passa de l’autre côté du miroir...

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 1 mercredi 14 décembre 2016, 10:29:44

Difficile de parler d'altruisme envers la végétation et la vie qui y sommeille quand la religion et l'alchimie se mêlent au commerce et à la politique. Mais à chacun sa manière de survivre et l'échange reste un moyen sur pour Ugundan, la grande citée forestière, qui ne bénéficie plus de la protection des êtes surnaturels enfouis hors de ses frontières. Frontières qui ont subitement cessés d'être repoussés avec l'arrivée d'une nouvelle présence mettant en déroute les bâtisseurs quand ils s'éloignent de leur domaine. En effet les créatures dont les noms sonnaient encore comme légendaires récemment, même pour les résidents de l'orée, se sont mis à persécuter et à repousser quiconque tente de s'enfoncer un peu trop loin avec de mauvaises intentions. On déplore de nombreuses pertes de mémoire, d'orientation, des troubles. Certains disparaissent pendant des jours et reviennent un peu hébétés, complètements nus et tenant d'étranges discours sur un Temple caché en souriant.

C'est suite au manque de forces en présence et pour que la citée n'en subisse pas les contrecoups immédiats qu'une campagne de recrutement armée se mit en place afin de rétablir l'équilibre avec les partenaires commerciaux, qui n'hésiteraient pas à raser chaque brindille pour rafler les trésors de ces lieux. Les quelques Druides aillant reçu la permission de s'entretenir avec les plus hauts membres du très récent Temple du Roi Cerf tentèrent de les convaincre que la citée doit absolument continuer de s'agrandir si elle souhaite pérenniser mais cette volonté expansionniste a déjà commencé à étouffer les résidents ancestraux qui se souviennent du petit hameau qu'était Ugundan il y a tant d'années. L'ordre du Cerf, porte-parole de la vie en ces lieux, du plus humble ver de terre au plus vénérable des Ents, refusa de continuer à les soutenir.

C'est la mort dans l'âme que le Hiérophante en place préféra passer le flambeau à un Prêtre bien plus impétueux mais aussi bien plus enclins à s'émanciper de la protection enchantée qui jadis permis à la ville d'exister. Il commença par affirmer de nouveau haut et fort aux habitants que la citée était et sera toujours protégé par les êtres sylvestres. Si la vérité venait à être découverte il ne faudrait pas beaucoup de temps au lieu pour être investis par les militaires d'autres nations.



Mais bien loin de toutes ces considérations politiques. Bien loin de l'inquiétude des Hommes. Bien loin de son propre Temple. Il médite.

Il a ressentis la présence de la frêle forme comme il ressent la présence de toute vie dans son domaine. Il a ressentis sa volonté et a subtilement dessiné un chemin pour qu'elle parvienne à ses fins. La voici à présent, elle qui ne viens pas de la forêt, elle qui n'est pas non plus un pèlerin.

A son regard enfantin se révèle le sanctuaire le plus mystique de l'immense forêt. Cette minuscule clairière nimbée de soleil au sol étincelant de rosée iridescente délicatement posés sur des feuilles et des plantes encore jeunes. Un vent tiède emporte avec lui le fumet délicat de l'herbe, des feuilles, de l'écorce, de la sève, il tourne un instant dans la clairière et s'en échappe par la trouée que la jeune fille viens de percer en faisant virevolter ses vêtements. Les feuilles bruissent encore un instant avant que ne reprenne le chant des oiseaux et les murmures des dryades, le rire des fées au loin.

Et au centre d'un cercle formé de racines pulsants de magie il se lève et s'étire, dos à la nouvelle venue. Ses muscles puissants roulent sous sa fourrure animale à chaque mouvement, il est serein. Lentement les grands bois qui ornent le sommet de son crane perdent de leur iridescences et en bout de course il se retourne enfin une main sur la hanche. Le Roi Cerf fait face à la Princesse dans son plus simple appareil, un sourire avenant sur le visage, son regard mi-clos la perçant comme si elle était nue face à lui. Sa grande main se tend, l'obligeant à entrer dans la zone de lumière pour la prendre. Le lieux est si emplis de magie qu'elle sera bien surprise d'en ressentir la force ancestrale. Si son cœur résiste à cet afflux d'émotions alors elle sera vraiment bienvenue.

"Laisse tes craintes au seuil de ces lieux."

La voix du Cerf est grave, profonde. Elle résonne et pourtant c'est comme si il chuchotait. Comme si sa voix faisait partis intégrante du décor et caressait tout autant que la brise perçant par moment les hautes cimes.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 2 mercredi 14 décembre 2016, 17:34:41

Une créature se tenait au centre de cette petite clairière paisible. Un Terranide ? C’est ce qu’Alice aurait, instinctivement, pu croise, mais elle rejeta instinctivement cette idée. Le frisson qu’elle sentit le long de son échine lui rappelait ce même sentiment qu’elle avait eu quand, rejoignant le Sanctuaire des Dragons, elle avait communiqué avec le Dieu de Sylvandell, le puissant Patriarche. Alice vit une massive silhouette se dresser, lui tournant le dos, et écarquilla les yeux, tandis que, dans son dos, les buissons se refermaient. Le corps immense se retourna ensuite, et l’air de surprise continua encore à se dessiner sur le visage de la Princesse.

*Mais... Qui est-ce ?*

D’épais muscles saillants ornaient une poitrine doucement velue, le corps parcouru d’une fourrure qu’on devinait douce et chaude. Elle vit la main du colosse se poser sur sa hanche, dans un geste décontracté, vit ses longues cornes, des bois élégants et dressés, son regard marron et avenant... Et, bien entendu, son épaisse verge, très grosse, très dure, qui amena sur les joues d’Alice quelques rougeurs. Elle ne savait pas quoi dire, en comprenant à qui elle avait affaire.

*Lui... Il est de la même nature que le Patriarche, c’est pour ça que je l’ai ressenti ! Le sang du Dragon coule dans mes veines...*

À Sylvandell, le Patriarche était le chef de la colonie des dragons, un puissant dragon doré. Cependant, outre cela, le Patriarche était surtout l’Avatar du Dieu des dragons, Batrok, un puissant dragon doré qui avait combattu, en des temps ancestraux, les hordes du Chaos. Le Patriarche était à la fois son fils et son Avatar. Alice ne savait plus quoi dire, tant elle était troublée... Mais pas effrayée. Elle vit alors le cerf se rapprocher d’elle, et, même s’il était bien plus épais qu’elle, elle ne sentit toujours pas la peur la saisir. Non, en réalité, Alice se sentait... Intimidée. Un peu comme si elle venait de déranger un être puissant par sa curiosité.

Le cerf l’observa en fronçant les sourcils, et tendit sa main vers elle, lui parlant ensuite d’une voix chatoyante, l’incitant à la rejoindre. Elle se racla la gorge, et posa doucement sa main, finement nacrée d’un gant blanc, sur la sienne. Alice sourit alors, et se rapprocha davantage. Ses seins caressèrent son torse, et elle sentit le phallus de l’être heurter ses cuisses.

« Vous... Je n’ai pas peur, noble cervidé. Je... Je redoute surtout de vous déranger. Je m’appelle Alice, et je... J’ai sentivotre présence, car... Je suis moi-même attachée à une divinité, le Dieu Batrok. »

Batrok était une divinité que les elfes vénéraient, une divinité ancienne... Mais peut-être que ce cerf le connaissait ? Ce n’était pas impossible, car, tout en étant un Dragon, et pouvant donc embraser les forêts, Batrok était un défenseur de la Nature. Alice se pinça les lèvres, relevant la tête, croisant son regard avec celui de l’homme.

« Je... Je ne voudrais pas vous déranger pendant votre... Votre méditation. »

Elle rougissait de gêne... Mais pas uniquement pour le fait d’être là... Elle rougissait aussi en sentant cette masse de chair qui tapait entre ses cuisses, et qui témoignait de la vitalité visiblement extraordinaire de cet être à l’essence divine...

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 3 vendredi 16 décembre 2016, 01:05:19

Le grand Cerf ne brusqua pas sa jeune invitée et repris la parole après l'avoir attentivement écouté, sans que son visage ne trahisse le moindre désintérêt. L'être aux grands bois buvait chacune de ses paroles à la source. Sa main au bout d'un bras musclé se glissa dans le dos de l'Humaine et s'y posa calmement pour l'inviter à rester contre lui, malgré une gêne évidente qui amusa le souverain habitué à cette réaction de la part des pèlerins novices accédants au Temple et n'aillant encore jamais vécu sans leurs précieux atours.

"Je peux le sentir dans tes veines jeune fille."

Le dos de sa main libre agréablement chaude et douce caressa la fine joue troublé de rouge jusqu'à suivre le chemin d'une veine le long de son cou en l'effleurant à peine. Dehilahy ferma un instant les yeux et sourit un peu plus d'un air amusé.

"Bien que je m'en sente flatté, je n'ai cependant rien d'une divinité. Ce n'est pas ainsi que j'aime à me définir. Je me nomme Dehilahy Tandroka et tu te trouve au cœur de mon domaine."

Il pris avec douceur les bras de son invitée entre ses mains et s'écarta à peine pour qu'elle puisse voir un peu mieux son visage en levant le siens. Bien sur ce simple geste eu pour effet de faire frotter son incroyable appendice génital aussi lentement que surement contre le bassin de la jeune femme. Loin d'être naïf à ce sujet la créature virile lui jeta une œillade malicieuse nantis d'un petit clin d’œil complice.

"Toi et moi sommes les enfants d'une même nature, Alice, nous sommes beaucoup plus proches toi et moi que tu ne te le figure."

Le sourire du cervidé et son regard exprimèrent une joie calme, comme s'il se plaisait à énoncer une vérité évidente à une enfant tel le pédagogue appréciant de partager pour le plaisir simple d'un regard émerveillé en retour. Ses mains relâchèrent leurs prise, l'une d'elle allant chercher la main de la délicieuse enfant pour l'entrainer à sa suite une fois qu'il s'en fût un peu écarté, se révélant une fois de plus à sa vue.

"Je suis le protecteur de ces lieux et j'ai le loisir de choisir mes invités. Toi qui est parvenu jusqu'ici sans ma bénédiction je serais honoré d'en apprendre plus à ton sujet, Alice. Si ma compagnie te sied pourquoi ne pas prendre place et partager quelques instants afin échanger un peu de nos vies."

Bien que la phrase laisse le choix, les gestes du Roi semblent ordonner à leurs manières subtile, trahissant son désir de converser et de partager ce moment avec une jeune femme aussi belle qu'intrigante.

"Je ne te demanderais qu'une chose."

Son air grave, impérial et implacable quand il la fixa se transforma en un instant en un air charmeur, naturellement aguicheur alors que son index glisse sous la couture de son petit haut en effleurant sa poitrine.

"Laisse prestement tomber ce qui encombre le magnifique corps que t'a offert la nature."

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 4 vendredi 16 décembre 2016, 15:59:32

Pas un Dieu ? Peut-être, mais... Alice sentait en tout cas quelque chose de clairement supérieur en lui. Il n’était sûrement pas un Dieu au sens où l’Ordre Immaculé l’entendait, mais il n’était pas non plus un simple Terranide. Alice, qui était une femme très cultivée, car ayant lu énormément de livres, savait que les forêts étaient un vivier à espèces. Sur Terra, on n’y trouvait pas que des animaux ou des insectes. La magie était très forte sur sa planète natale, et les forêts témoignaient de cette puissance, en recelant quantité de créatures extraordinaires, des Alraunes aux fées, en passant par les dryades, les naïades... Et, visiblement, les esprits de la forêt, comme semblait l’être Dehilahy. Dans une aussi vaste forêt que celle d’Eriendor, qu’on disait être l’une des plus vieilles forêts de Terra, voir une telle chose était loin d’être impossible. Alice était donc stupéfaite, mais son état de surprise était, néanmoins, peu à peu en train de se diluer.

Il fallait dire que Dehilahy n’avait rien d’austère. Avec son épaisse poitrine velue, sa fourrure tendre et chaude, Alice se sentait frissonner de plaisir à son contact. Elle sentait en lui différentes émotions, un mélange de solennel et... De chaleur, de générosité. Il lui expliqua être le « protecteur de ces lieux », parlant d’une voix calme, forte, mélodieuse. Elle l’écoutait silencieusement, frissonnant encore quand la main du cervidé glissa sur sa joue, la faisant délicatement rougir. Dehilahy lui avoua être curieux à son égard, mais lui demanda, avant toute chose, de... Se déshabiller.

Les rougissements d’Alice s’accrurent, et elle se mordilla les lèvres. C’était comme si toute velléité de résistance s’était envolée en elle, au profit d’une sensation diffuse, mélange d’hésitation, et de plaisir refoulé. Il avait prononcé ça sur un ton se voulant plus sérieux, et elle sourit ensuite, surtout en sentant son doigt se glisser contre son couvre-épaule, là où il y avait un léger espace de démarcation entre la tenue souple et le plastron métallique.

« Haaa... Co-Comme vous voulez... C’est votre domaine, après tout, je dois me plier à vos règles. »

Délicatement, Alice commença par retirer les attaches de son plastron, et des épaulières. Dans des cliquètements métalliques, ces pièces d’armure tombèrent au sol, suivies par les jambières. Sans ces dernières, Alice arborait une tenue extrêmement sensuelle, largement ouverte à hauteur du ventre, avec un beau soutien-gorge bleu électrique qui moulait une partie de ses seins. Elle le défit également, et retira... Tout. Tout simplement.

Finissant ainsi toute nue, elle releva la tête, et fixa Dehilahy, écartant légèrement les jambes, serrant les poings. Nue, Alice présentait un corps qui en aurait fait saliver plus d’un. Outre sa généreuse poitrine et son sexe parfaitement épilé, elle présentait également des hanches magnifiques, de longues jambes fuselées, un estomac très légèrement rebondi. Belle, voilà le seul qualificatif qui s’appliquait pour la désigner.

Se tenant face à Dehilahy, elle lui sourit alors, et glissa ses mains dans ses cheveux, les rabattant en arrière, puis observa la verge de l’homme, se pinçant encore les lèvres.

« Et puis, rajouta-elle ensuite en minaudant, pour bénéficier de votre protection, il faut bien que je m’en montre digne... »

Elle ne se faisait pas vraiment d’illusions sur ce que l’homme voulait. Il suffisait de voir la manière dont ses seins étaient lourds, et dont ses tétons pointaient, pour constater son excitation, palpable.

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 5 lundi 26 décembre 2016, 03:43:31

      Une fois la belle enfant nue face au sylvestre paternel, quelques branches s'écartèrent pour laisser passer d'agréables rayons de soleil sur cette peau d’albâtre dénuée de fourrure. Dehilahy pris son temps pour que son regard pénétrant parcoure l'ensemble de l'être vulnérable dont les courbes scintillent d'un halo doré sous la lumière naturelle. Il prend le temps de l'apprendre, de la découvrir, de faire grimper le désir naissant par des gestes simples. A commencer par son corps approchant du siens sans plus d'hésitations. Le souverain viril jette une œillade aux alentours et remarque de curieux spectateurs. La nature n'est pas aussi prude que les Hommes, l'union de ses enfants est un acte que tous apprécient sans malice. L'expression déterminée d'Alice cache encore un peu de ce qui fait d'elle une demoiselle, une étiquette difficile à arracher, ou plutôt à occulter le temps du rêve éveillé dans lequel elle est entrain de se fondre.

      Pourtant le Roi Cerf n'a aucunement l'intention de s'isoler en sa compagnie. Que les animaux et les fées derrières les branches se plaisent à profiter de la vue, il n'en chassera aucun. Bien qu'ils soient relativement cachés à l'extérieur de la clairière il ne doute pas que la jeune fille ait remarquée leurs vagues mouvements.

"Ne soit pas nerveuse Alice. Ce n'est pas une question de dignité." Il murmure tout proche en exhalant son haleine d'une douce fragrance boisé. "C'est un désir partagé..."

     Le sourire du souverain est de miel mais sa posture torse bombé s'apparente bien plus à celle d'un simple Terranide en pleine parade. Il hume longuement l'air ambiant en relevant subtilement le museau pour profiter du fumet si particulier des phéromones dansant un peu partout. Quand il baisse de nouveau les yeux il a approché encore d'un pas et sa verge se presse de nouveau contre la belle sans qu'il n'y ai le moindre tissu cette fois. Le membre imposant tique légèrement comme électrisé par le contact, un petit choc délicieux que l'être sauvage goûte en fermant les yeux. Ce plaisir se répand à travers ses nerfs et toute la clairière semble s'éclaircir le temps ce simple petit éclat physique. L'empathie de la nature envers son avatar est telle que chaque créature présente peux sentir un petit pincement au cœur.

     Les grandes mains aux doigts sombres du Roi glissent le long du dos qu'il enlace tendrement. Il en apprend les courbes, jouant avec ses muscles et ses frissons pour naviguer entre sa colonne et ses reins, ses cotes et ses omoplates, ses épaules, sa nuque qu'il devine tendu et qu'il apaise de quelques pressions. Ses doigts se perdent alors dans les longs cheveux détachés en frôlant sa peau à la racine de ces dernier. Quand sa course reprend c'est pour atteindre les petites fesses qu'il agrippe entre ses deux mains pour que le réflexe de la Princesse soit de se presser plus vigoureusement encore contre sa verge dont le désir ne cesse de croitre lentement au fil des délicats préliminaires. Mais sous chaque geste, chaque caresse, chaque ondulation sensuelle de leurs corps fiévreux se cache une envie dépassant allègrement la subtilité. Un désir bestial et sauvage, instinctif, tribal, qui n'est réfréné que pour mieux exploser quand le seuil de tolérance du Cerf sera brisé par sa jeune invitée.

"Ne retiens aucun soupir." Tout en plissant les yeux, mutin, le Cervidé baisse une de ses mains pour qu'elle passe des fesses à l'entrecuisse de la petite Humaine, qu'il caresse de manière très osée avec un talent et une envie digne de son rang.
« Modifié: jeudi 29 décembre 2016, 02:53:27 par Dehilahy Tandroka »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 6 jeudi 29 décembre 2016, 01:34:43

Nue, Alice put rapidement constater qu’ils étaient loin d’être seuls. Outre des cerfs ou des biches approchant leurs museaux entre les arbres, elle put également apercevoir de petites fées, des dryades, des naïades, se couchant lascivement le long des branches, esquissant des sourires en voyant leur seigneur en compagnie d’une dévote. Nue, Alice ne se sentait néanmoins nullement gênée par le fait d’être nue, mais impatiente à l’idée de faire l’amour avec cet être. Il se dégageait de son corps une force surnaturelle, un charisme incroyable, ce qui ne manquait pas de furieusement l’exciter. Les frissons traversaient le corps de la jeune fille, qui posa ses mains sur son torse, et laissa l’homme la caresser.

Ses grosses mains, chaudes et sensuelles, glissaient sur les courbes de son corps, palpant sa peau, frottant sa chair, et elle pouvait sentir la pointe de ses ongles glisser sur sa peau, ne manquant pas de la faire frissonner. Cet individu était un expert en la matière, et elle gémissait, yeux clos, en rougissant légèrement, non pas de honte, là encore, mais bien de plaisir. Un plaisir qui se diluait dans son être au fur et à mesure que les magnifiques mains de l’homme effleuraient sa chair, remontant pour caresser ses longues mèches de cheveux, filant jusqu’à la racine, tirant délicatement dessus.

« Haaaa... »

Les légères pointes de douleur que la Princesse ressentait ne contribuaient qu’à l’exciter, et ce d’autant plus qu’elle pouvait sentir la puissante verge de Delihaly se redresser contre ses cuisses, tapant contre son ventre, heurtant son nombril... Puis ses mains redescendirent, et heurtèrent les douces fesses d’Alice, qui poussa un petit cri, apposant sa tête contre son torse, crispant ses doigts sur sa fourrure, tout en remuant lentement, de gauche à droite, en sentant les solides doigts palper ses fesses, les soulevant et les malaxant.

*Oh, il me fait tellement de bien...*

Alice n’avait même pas réfléchi, même pas hésité. Dès qu’elle l’avait vu, elle avait senti toute méfiance s’envoler, et c’était presque naturellement qu’elle s’était dénudée, suivant les ordres de sa voix mélodieuse, lui offrant son corps sans opposer aucune forme de défense. Ses joues continuaient à rougir, sa respiration s’accélérait, s’alourdissait, au fur et à mesure qu’il continuait à explorer son corps. Il lui demanda finalement de ne retenir aucun soupir, et elle sourit, en relevant son visage, apposant son menton contre son torse.

« Je n’en ai nullement l’intention, mon Seigneur... »

La jeune femme se hissa sur la pointe des pieds, tout en sentant les doigts de l’être surnaturel caresser ses cuisses, se rapprochant de son entrejambes. Ses mains se posèrent autour de son cou, et, tout en se hissant sur ses pieds, elle alla l’embrasser sur les lèvres, enfonçant son corps contre le sien, et se leva encore, usant de son agilité pour enrouler ses jambes autour de ses cuisses. Son baiser dura de longues secondes, jusqu’à ce qu’elle ne le rompe, un sourire sur les lèvres, glissant de haut en bas, frottant ainsi la virilité de son amant contre sa peau.

Alice reprenait peu à peu du poil de la bête, ce qui se manifestait par un certain entrain., et une belle capacité à agir pour exciter et stimuler la libido de son partenaire.

« Mais... Je veux que vous me preniez avec toute la force dont vous êtes capables. J’ai beau être une Princesse, mon corps n’éprouve qu’un désir en ce moment... »

Elle se pencha dans le creux de son cou, léchant sa peau, la mordillant même un peu, pour remonter contre l’une de ses oreilles, où elle y frotta son nez, puis sa langue, avant de glisser quatre ultimes mots :

« ...Que vous me baisiez ! »

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 7 mercredi 22 mars 2017, 15:05:34

Certaines des créatures arboricoles juchés sur les plus hautes branches avaient vu des civilisations s'effondrer et renaitre. Certaines, nées du cœur de Terra, arpentaient ce monde depuis des centaines de vies d'Hommes. Beaucoup, éternelles, ne vivaient plus que par habitude, sans passion ni désir. Toute la clairière retenait son souffle à présent. Tant de vie en ces lieux, de cœurs battants, tant de désirs naissant ou renaissants se mêlant les uns aux autres. Chaque nouveau soupir de l'avatar de la nature donna l'impression d'être un souffle de vie porté sur une braise à peine rougeoyante qui ne demande qu'à redevenir flamme, feu, brasier. Le lieu mystique se plia lui aussi à cette atmosphère passionnée, laissant danser les reflets de lumière sur le sol. Une lumière se faisant cuivré, tamisé, au fil du lent déclin du soleil derrière la cime des immenses arbres aux feuillages bruissants langoureusement sous la fine brise des hauteurs.

Dans cette ambiance de plus en plus intime, le grand cerf ferma les yeux un instant pour essayer de se souvenir depuis combien de temps il n'avait plus éprouvé une telle sensation. Son réveil avait été pénible, et depuis il n'avait cessé de voyager jusqu'à découvrir ce domaine. Et malgré le lien avec ses suivants il n'avait pas encore pris le temps d'apprécier de nouveau la délicieuse saveur d'un moment aussi simple que celui-ci.

Quand il ouvrit de nouveau les yeux après avoir humé avec plaisir le parfum si particulier de la jeune femme c'est pour partager un long baiser. Tel le roc, le souverain puissant ne bougea pas, restant droit et digne quand la Princesse se hissa, il l'y aida seulement en glissant une grande main sous ses petites fesses. Sa verge n'en devenait que plus dure, ses veines parcourant le membre en érection palpitants d'un sang embrasé par l’excitation. Le long de son échine un nouveau frisson glissa comme une caresse, une promesse, le vestige d'une sensation oubliée renaissant soudain. Ses mains puissantes se fermèrent un peu par réflexe en serrant les fesses de la belle aux yeux mutins qui le dévorait à présent de ses lèvres gourmandes.

Le grand roi ne sourit pas à ses paroles cette fois-ci. Le désir au creux de son ventre commençait à bouillonner, lui-même luttait contre ses racines bestiales les plus primaires pour que ce moment dure juste assez, juste un peu. Jusqu'à ce que la belle d’albâtre ne souffle ces quelques mots qui finirent d'attiser la braise. Dehilahy aux paupières tombantes braqua son regard intense dans celui de la jeune femme comme s'il perçait son âme en réponse à son désir. Toute la force dont il est capable...

Sans ajouter un mot le grand souverain gardant un posture impériale pris sa verge en main, soulevant la petite créature aux yeux bleus de l'autre. Ses gestes lents donnèrent tout le temps à la jeune femme de réaliser ce qu'il allait se passer. Son large bout de son membre frottait à présent contre la fine fente humide juste au dessus. Il la maintint encore quelques secondes le temps de l'y frotter doucement quelques fois sans lâcher son regard. Soudain le bras qui retenait encore Alice en hauteur s'effaça pour la laisser s’empaler de tout son poids. La différence de circonférence étant telle qu'elle ne tomba pas si facilement. Le Roi pût apprécier avec délice la petite intimité s'ouvrir lentement, de plus en plus. Si largement qu'elle enferma le membre férocement malgré la cyprine tentant vainement de lubrifier l'imposante virilité. Un râle sauvage de plaisir fît trembler toute la clairière, roulant depuis la gorge du grand Cerf qui n'offrit aucun répit à la petite humaine glissant lentement à présent sur son pieu de chair en l'élargissant.

Il n'en faudrait que peu, trop peu, pour que le Terranide aux bois sacrés se fasse aussi sauvage que la nature elle-même. Trop peu pour qu'à l'instar d'un animal il devienne en rut et prenne la magnifique femelle jusqu'à en faire trembler les cieux. Si peu... Alors que son gland disparu à peine dans l'antre tiède de la belle en arrachant un nouveau râle exalté.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 8 lundi 27 mars 2017, 00:57:33

Un frisson parcourut le corps de la belle blonde quand les puissantes et duveteuses mains du cervidé s’appuyèrent sur ses fesses. Dehilahy était un mâle très impressionnant, qu’on pouvait volontiers qualifier de viril. Là, plaquée contre lui, Alice sentait toute la force de ses muscles, toute son excitation. Ses seins caressaient son torse, s’enfonçaient dedans, et elle avait une main en appui sur sa nuque, l’autre caressant sa peau. Sous la fine fourrure, elle sentait l’épaisseur de ses muscles, et, au-delà de l’attrait mystique que Dehilahy exerçait sur elle, Alice tremblait surtout en imaginant ce que la séance qui suit allait être. Le sexe n’était plus une donnée taboue chez elle, et elle l’imaginait très librement... Ce qu’elle venait d’ailleurs de faire.

Elle perçut ainsi rapidement les réactions de la créature surnaturelle quand elle l’invita à la baiser. Son membre se dressa, et elle put sentir une caresse contre ses cuisses, venant de ce bâton de chair qui, sous l’effet d’une excitation ancestrale, était en train de défier les lois de la gravité pour se hisser près de la femme. Elle s’en pinça les lèvres, son pouls venant aussi à s’accélérer sous l’effet de l’impatience et de l’anticipation. Dehilahy ne parlait plus, comme s’il estimait que le temps des paroles était révolu, et que seuls les actes devaient maintenant pouvoir s’exprimer.

*J’ignore quelle force m’a pris pour me retrouver comme ça si rapidement, mais... Je ne veux pas qu’elle parte !*

Le feu du désir s’était allumé en elle, et brûlait dans son estomac. Il la consumait de l’intérieur, remontant dans sa poitrine, dans son être. Elle s’en pinça les lèvres, gémissant à nouveau, et sentit ce membre heurter sa chair intime, tapant contre ses parois, avant de progressivement se forcer un passage.

« Haaaaaa... Hnnnnn... !! »

Elle fermait les yeux, serrant les dents, tout en enroulant ses jambes autour des hanches de Dehilahy, et en appuyant dessus, comprimant son corps contre le sien.

« Hmmmmm... »

Ses doigts se crispaient également, et elle soupira encore, accompagnant les mouvements de l’homme, sentant ainsi, progressivement, cette grosse queue rentrer en elle, jusqu’à s’enfoncer largement dans sa fleur, tapant contre son utérus. Alice gémit à nouveau, les joues rouges de plaisir, et continua à remuer sur lui, de plus en plus vite, frottant son corps au sien. Elle se frottait contre sa fourrure, glissant très facilement dessus, tout en soupirant et en gémissant, exprimant ainsi son plaisir, poussant même parfois de petits cris.

« O-Ouuuui, haaaa... Hnnnn... Ouuuiiii, hoooo... En-Haaaaaaa... »

C’était une magnifique symphonie qui accompagnait les mouvements qu’elle faisait sur le corps de Dehilahy.

Pour le dire simplement, elle adorait ça !

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 9 lundi 17 juillet 2017, 03:08:52

Premier mouvement d'une improbable Sonate, les premier chœurs cherchent l'harmonie. A tâtons l'un joue de l'autre jusqu'à ce que le plus animal par nature, prenne la baguette du chef d'orchestre. Il est temps pour lui de revenir à ses racines, de rappeler qu'il n'est pas moins enfant de Terra que tout ceux qui vivent sous le ciel de cette merveilleuse planète. Avatar resplendissant d'une force incommensurable, mais aussi Terranide Cervidé que la Princesse tout contre lui est Humaine.

Comme une plume fragile il dépose cette poupée dos contre le sol moussu de la clairière sans jamais lui laisser loisir de reprendre son souffle, empalée par sa virilité jusqu'à un rude extrême. Le mâle au souffle bien plus rauque surplombe la créature, son ombre l'enveloppe quand il se penche sur son cou pour le dévorer de baiser jusqu'à atteindre ses lèvres à la forme si simple comparé aux siennes. C'est pourtant très naturellement que le baiser qui survint se prolongea longuement, étouffant nombre de soupirs quand le grand Cervidé commença à jouer du bassin. Son membre parcouru de nervures saillantes comme des lianes sur un tronc, glissa hors du petit couloir pour mieux s'y engouffrer de nouveau avec assez de force pour ébranler tout le corps de la belle. Ses mains se refermèrent délicatement sur les hanches de cette dernière et fondirent jusqu'à atteindre sa belle poitrine, ne pouvant rester immobile sous les gestes qui suivirent au plus profond du petit être immaculé. Il les empoigna d'abord pour les laisser glisser comme de l'eau entre ses doigts, massant et caressant uniquement par la forme parfaite des deux magnifiques rondeurs cherchant à retrouver leur aspect. Puis au fil des murmures, se fît moins doux, plus amant, plus complice et joueur en cherchant à malmener quelque peut les petits bouts roses pointés vers le ciel.

Le temps des prémices passa après seulement quelques minutes de râles et de soupirs doucereux. Le regard du Terranide devenait sauvage. Il ne fît plus aucun doute quand le premier véritable gèste sans retenue frappa à l'intérieur du corps d'Alice, qu'elle avait joué avec une flamme dangereuse. Dehilahy s'était reculé de nouveau, quittant l'intérieur tiède et humide si délicieux pour mieux s'y enfoncer avec un appétit renouvelé. Même ses mains allèrent en ce sens bestial en maintenant le bassin ainsi malmené en place contre le sol pour l'interdire de profiter du moindre recul. Un nouveau coup de rein porta, puis un autre, encore et encore sous l'acclamation des râles de plaisir d'un Cerf déjà conquis. Peu à peu les phéromones du mâle en rut saturèrent l'endroit. Des phéromones si puissantes que pendant quelques instant il fût difficile de respirer, obligeant chacun et chacune à prendre de grandes bouffées de cet aphrodisiaque naturel qui, par réaction en chaine déclencha les phéromones de tout les êtres présents aux alentours.

Pour ne rien arranger sa verge commença à secréter du liquide pré-séminal allant se mêler à la cyprine, se collant à l'intimité de la belle pour mieux relier leurs corps de filaments scintillants offrants des bruits toujours plus pervers aux deux amants. La verge du souverain après ces quelques préliminaires pris encore du volume pendant même qu'il la pénétra jusqu'au point de pouvoir admirer une légère inflation le long de sa course, sous la fine peau de la princesse aux cheveux de feu. Son excitation ne faisait qu'aller crescendo, et son souffle sortant de ses naseaux commençait à fumer légèrement sous la chaleur intense du moment. Le grand cerf commençait tout juste à rendre honneur à sa visiteuse à renforts de larges et intenses mouvements de bassins dignes de son aura impériale.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 10 lundi 17 juillet 2017, 08:35:28

Entre elle et Dehilahy, ce puissant cerf, les évènements s’étaient précipités à toute allure. Dès qu’elle était entrée dans son bosquet, Alice avait senti comme une force surnaturelle venir la happer, la transportant. Elle n’avait pas pu lutter contre cette énergie, cette force qui s’était emparée d’elle au contact de l’homme. Et, maintenant, elle était là, couchée sur le sol, avec Dehilahy qui venait la pénétrer durement, durement et puissamment. Il s’étalait sur elle, en la couchant sur le sol, et elle se mit à gémir. Le puissant corps de l’homme venait l’immobiliser, mais ses mains purent, malgré tout, réussir à se poser sur son torse, non pas pour le repousser, mais pour sentir sa musculature, sa puissance, la force de ses coups de reins...

« Hmmm... Haaaa... »

Parler devenait difficile, si ce n’est impossible, tant son amant la dominait, et l’écrasait. Et son trouble, déjà constant, s’aggrava encore quand, sous l’effet du désir qu’il ressentait, le puissant mâle relâcha une dose supplémentaire d’aphrodisiaques, que la jeune femme inhala à pleins poumons... Elle en hoqueta, écarquillant les yeux, avant même d’éternuer, et sentit tout son corps frissonner, comme si elle avait une fièvre montante. Une torpeur qui vint la saisir, remontant dans son esprit, tandis que ses joues se mirent à rougir furieusement.

« Haaaannn... »

Dehilahy sembla redoubler d’énergie suite à cela, tout comme Alice, qui se montra encore plus accueillante (si tant est que cela était possible). En tout cas, ses soupirs et ses cris vinrent remplir le bosquet, regroupant Dehilahy. Autour du couple, les animaux, curieux, n’hésitaient pas à jeter un regard curieux. Ils regardaient leur protecteur et seigneur fourrer la jeune femme, qui continuait à hurler et à gémir.

« Ouiii... Hmmmm... En-Encore, haaaa... P-Plus profondément, haaaa... !! Hoooooo... !! Hnnnnnnnn... !! »

Les gémissements onctueux d’Alice étaient sans aucun doute un véritable régal pour son amant, une magnifique symphonie. Elle était écrasée sous le corps puissant et duveteux de cet homme, qui avait, de plus, une belle verge, un magnifique appareil qui s’enfonçait profondément en elle, et la faisait grandement mouiller. Le désir éclatait tout simplement en elle, tandis que les minutes fondaient comme si elles se transformaient en secondes, et que son premier orgasme (car elle comptait bien en avoir plusieurs) approchait également, le tout au milieu de soupirs et de multiples gémissements.

S’il continuait à ce rythme soutenu, soulevant et abaissant même parfois son corps, il allait assurément la pousser dans ses derniers retranchements !

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 11 vendredi 09 février 2018, 03:44:50

Le léger roulement au fond de la gorge du grand Cerf se transforma en râle de plaisir aussi puissant et soudain qu'un rugissement, au moment même où il se planta au plus profond de la créature d’albâtre. La jouissance du puissant Roi emplis l'intimité de la princesse à grands flots en faisant pulser les nervures bien enflées autour de son membre imposant. Le liquide divin porteur de vie ne trouva suffisamment d'espace pour s'échapper tant la virilité du Roi étirait déjà la seule porte de sortie. En quelques secondes de délicieux orgasme le ventre fin de la belle s'en trouva déformé jusqu'à ce que de son pouce le maitre des lieux écarte légèrement la petite intimité enfermant son sexe pour le laisser dégouliner sur le sol de la clairière. Bien entendu la sécrétion n'avait rien de commun, c'est comme si les phéromones aphrodisiaques déjà étouffants étaient cristallisés, condensés à l'extrême dans ce liquide. Si les fines particules avaient déjà un effet particulièrement intense, le liquide à même l'intérieur du corps était indescriptible. Il porta son regard langoureux sur la petite en glissant sa main sur sa joue pour la rassurer quand au trouble violent qu'elle allait devoir endurer.

Si d'ordinaire le moment suivant l'orgasme appel au répits, c'est tout le contraire ici, il ne fait qu'amplifier à en crever le plafond. A peine le temps d'une caresse que le Roi cerf se remet en mouvement en chassant le liquide comme un piston d'un seul coup violent. Oui, violent. La bête reviens en force en sachant le surplus de désir qu'il a causé et ne se retiens pas pour agripper l'épaule de la frêle princesse pour la retourner et pouvoir s'enfoncer à nouveau dans sa petite fente palpitante en levrette cette fois. A genoux, il la retiens au niveau du bassin à sa hauteur ce qui l’empêche d'avoir les genoux au sol tout en lui cambrant le dos pendant qu'il la pénètre durement en grognant de plaisir. Son jus fini de s'écouler jusqu'au sol à gros filets, il est prêt pour une seconde salve et il espèce qu'elle aussi car le désir sauvage qui l'emplis risque bien de durer. Et pour un être qui ne peut s'épuiser, la durée peut facilement devenir excessive.

Le claquement des fesses contre le bassin du Roi résonne dans les lieux formant comme une pièce juste pour eux. Chaque nouveau coup porté viens de loin et ce sont de très larges mouvements qui font balloter la délicieuse poitrine qui ne touche pas toujours le sol. Les assauts s'enchainent et ne se ressemblent pas malgré la position restant la même, Dehilahy modifiant subtilement sa vitesse ou sa force, sa posture ou la texture même de son membre pour ne pas tomber dans la répétition et ne laisser aucun répits aux sens en alerte. Ses veines se gonflent de nouveau soudain pour emplir encore une fois la belle invitée lors d'un orgasme tout aussi puissant que le premier si ce n'est qu'il se retire bien vite pour caresser la petite fente et récolter un peu de jus d'amour affreusement aphrodisiaque sur ses doigts. Penché dans le dos de son amante, une main courant le long de sa colonne, il lui présente son pouce qui en est recouvert devant ses lèvres. Osera t-elle porter à sa bouche ce breuvage déjà si enivrant que nombre de créatures fragiles ont fini par tourner de l’œil tout autour d'eux sous le trop pleins de sensations.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 12 lundi 12 février 2018, 00:48:48

Le Roi-Cerf était largement à la hauteur des espérances d’Alice, plongeant cette dernière dans un océan d’extase et de sensations. Elle peinait encore à comprendre ce qui se passait, comment cette simple patrouille anodine en forêt, classique séance de détente pour elle, qui aimait l’équitation, avait pu finir en... Ça. Mais, bien évidemment, elle ne s’en plaignait pas. Oh que non ! Alice avait une sorte de confiance indélébile en cet être, cette créature musculeuse sortie de la forêt. Il se répandit une première fois en elle, mais le Roi-Cerf ne s’arrêta évidemment pas là, retournant Alice, et la prit dans une position de levrette assez particulière. Alice sentit la force de Dehilahy s’abattre sur elle, ses solides mains se posant sur ses hanches. Il la souleva donc, de sorte qu’Alice ne put même pas s’appuyer sur le sol, et sentit le pilon revenir en elle, l’épaisse et terrible virilité de l’homme retournant s’enfoncer dans son corps.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Un cri de plaisir déforma ses lèvres, véritable hurlement guttural qui s’intensifia pendant quelques secondes, avant de se transformer en soupir. Ses mains s’appuyèrent sur le sol, ses doigts gantés s’enfouissant dans l’herbe, en arrachant des mottes, tandis qu’elle se dandinait en arrière, son corps claquant contre le corps de l’homme. Malgré sa belle queue, le Roi-Cerf était doué, suffisamment expérimenté pour diversifier le rythme, optant pour une série de coups de reins rapides, avant de ralentir le rythme, crispant et bandant ses muscles. Alice couinait alors sur place en se dandinant, sentant sa verge coulisser lentement et longuement en elle. Les parois vaginales de la jeune blonde étant bien dilatées, il devait être très facile pour lui de se glisser ainsi.

Alice soupira encore, fermant les yeux, les joues rougies par le plaisir. Le plaisir, lui, s’insinuait en elle, s’emparait de son corps, la traversait, l’emportait, l’envolant dans le firmament. Elle décollait avec, se brisant la voix, gémissant longuement, accompagnant les coups de reins de l’homme, se sentant pleine, entière... Délectable, jouissive, exquise sensation ! Elle fut loin d’en rester de glace, et sa mouille affluait. Les orgasmes l’accompagnèrent, car le Roi-Cerf ne fut pas le seul à jouir. L’atmosphère enchanteur de cette forêt, les capacités et les qualités de son amant...

« Hmmmmm... Haaaaaaaaaannnn... !! »

Il finit par se répandre encore en elle. Elle le sentit jouir, et frémit sur place, une partie de ses cheveux barrant la moitié de son visage, lui donnant l’air d’une véritable furie, hyène déchaînée et passionnée. Reprenant son souffle, elle sentit la main de ce dernier se glisser à hauteur de leurs sexes, puis il approcha son pouce de ses lèvres. Alice sourit, et le regarda brièvement, non sans rabattre au passage ses cheveux derrière son visage.

« Oh... »

Elle le regarda avec malice, puis le suçota lentement... Et trouva ce sperme très appétissant. Elle sentit une chaleur pointer dans sa gorge quand elle l’avala, puis se diffuser ensuite dans tout le reste de son corps. Alice ferma les yeux en soupirant longuement, et se retourna brusquement, comme attirée par ce goût, par ce liquide.

« Votre sperme est... Vraiment fabuleux, Roi-Cerf. Je crois que... Que j’en veux plus ! »

Alice se pencha alors vers lui, et posa sa main sur la base de sa hampe de chair, puis approcha son visage. Sa respiration s’accentua, son souffle sur le vit de l’homme... Puis elle commença à le prendre en bouche, et s’y attaqua sensuellement, en gémissant et en donnant une série de coups de langue dessus.

Dehilahy Tandroka

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Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 13 mardi 14 août 2018, 03:38:00

Si la belle petite blonde prend des airs plus sauvages il en est de même pour celui qui pourtant en porte l'apparence naturellement. Le Roi Cerf commence à avoir les poils de sa fourrure qui se rassemblent par endroits, collés par la transpiration par dessus ses muscles congestionnés. Ses grands bois aux pâles reflets iridescents sont plus scintillants sous l'afflux sanguin de l'avatar au cœur chavirant. Un regard de braise accueille l'initiative de la princesse à la peau d’albâtre, suivi d'un roulement sourd quand elle force le membre à palpiter sous sa délicieuse petite langue gourmande. Le liquide chaud et épais continue de couler un peu au bout, répandant son odeur et sa vitalité, le sol qui s'en couvre absorbe rapidement cette panacée et bien que personne alentours n'ait la tête à y prêter attention, la végétation de la clairière rajeunis.

Mais l'effet sur Alice est tout autre car ce liquide peut devenir une drogue si elle se montre trop imprudente. L'Avatar agrippe une poignée de cheveux blonds dans sa main et sans forcer attire la belle jusqu'à ce qu'elle dévore l'objet de son désir. La sensation est merveilleuse, douce et intense à la fois poussée par une envie sincère de prendre et d'offrir un plaisir toujours plus intense. Le lien se renforce quand le grand Roi porte sa seconde main de l'autre côté de la tête de la princesse enivrée pour bouger subtilement son bassin entre ses fines lèvres. L’œil perçant de Dehi goutte chaque vision de rêve. Une goutte de sueur perlant depuis la joue jusqu'à être rejoins au bout du menton par une goutte de sperme s'échappant de la bouche. Un battement de cœur un peu trop fort quand sa verge palpite en faisant gonfler ses veines à l'intérieur. Un regard, éperdu, pervers et avide auquel il répond par un sourire remplis de promesse en se mordant la lèvre.

Une fois que la belle a fini de se régaler avec prudence de ce jus aux effets extrêmes, le grand Cerf s'avance un petit peu pour se placer légèrement au dessus d'elle ce qui fait pénétrer d'avantage son membre imposant en forçant Alice à se cambrer le visage tourné vers le haut. Il l'a laissée s'amuser, maintenant c'est à son tour de rendre les choses encore plus intenses. Sans se presser il glisse contre les parois buccales, frottant sa peau sensible autant contre la langue moite que contre le palais, puis lentement il viens cogner contre sa glotte jusqu'à ce qu'elle s'habitue à la sensation. La mâchoire largement mise à l'épreuve, le Roi impose son pieu plus loin, perçant la pauvre résistance de la gorge se refermant autour de son gland bien gonflé. Sa descente s'accompagne de râles de plaisir et de soupirs d'extase, son regard dur et enivré ne lâchant pas une seconde celui de la blonde dont il empale la gorge lentement jusqu'à la trachée. Le temps parait infini, lui coupant le souffle quelques secondes d'éternité tout autant que celui de la princesse. Les doigts de velours caressent doucement la bosse qui soulève la peau de sa fine gorge avant qu'il ne daigne lui laisser un peu d'espace pour reprendre son souffle. Et comme s'il avait retenu son souffle tout du long, Dehi ne peut retenir un long souffle avant de le reprendre en se crispant un peu.

"A toi..."

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Des forces ancestrales [Dehilahy Tandroka]

Réponse 14 dimanche 19 août 2018, 22:05:55

Alice était face au puissant Roi-Cerf. Agenouillée devant lui, elle s’attaquait avec envie à son sexe. Son gros chibre s’était planté dans sa bouche, et, fermant les yeux, Alice soupirait doucement. La jeune tête blonde ignorait encore clairement comment elle avait fait pour se retrouver dans une telle situation, comment une simple promenade dans un bois pouvait se tourner en une séance de sexe torride avec un puissante Terranide-cerf régnant sur la forêt. Agenouillée devant lui, Alice avait eu l’occasion de sentir son sperme dans son corps, et sentait bien qu’elle allait encore y goûter. Elle pompait tendrement son dard, et sentit les puissantes mains de Dehilahy se poser sur ses cheveux. Alice frémit doucement, fermant les yeux, et continua à lécher sa queue avec sa langue. Elle se reculait en gémissant, glissant le long de son membre, et retournait ensuite dessus, goûtant longuement à sa queue. Son membre turgescent gonflait dans sa bouche, et elle creusa ses joues, aspirant l’air, suçant son membre.

Les minutes défilaient, le temps tournait, tandis que la jeune Princesse, renonçant à tout ce qu’il y avait de princier en elle, continuait à le sucer. C’était un geste très intime, une délicieuse fellation. Alice s’en occupait avec joie, et s’amusait régulièrement à relever les yeux, regardant son amant, attentive aux signes de plaisir qu’il laisserait s’échapper.

« Hmmm... »

Elle soupira doucement, la bouche déformée par ce membre. Dieu, que sa queue était grosse ! Le Roi-Cerf méritait, sur ce point, bien d’être considéré comme un Roi ! Elle pompait son dard, jusqu’à le prendre pleinement en bouche. Elle recula en effet la tête, et, reprenant sa respiration, s’enfonça d’un coup sec en elle. Elle gémit en sentant ce membre remonter jusqu’à sa gorge, Alice le prenant jusqu’à la garde, et déplaça ensuite sa main, caressant avec ses doigts les testicules de l’homme. Tout en lui était lourd, fort, montrant une forte énergie, une puissante sauvagerie qui le caractérisait. Alice était concentrée, respirant par le nez, conservant sa queue le plus longtemps en elle, recouvrant son membre de sa salive, sentant ses poils pubiens contre son nez et son menton, puis recula ensuite, soupirant encore.

La jeune femme continua ainsi, montrant à son amant ses talents buccaux, son expertise en matière de sexe oral. Alice se concentrait donc, sentant la queue de Dehilahy grossir encore, jusqu’à approcher du point de rupture. Les doigts de l’homme se serrèrent sur ses cheveux, et il se relâcha finalement en elle, jouissant copieusement. Alice, qui avait chaud entre les cuisses, se masturbait alors, caressant son sexe avec ses doigts, se soulageant, et le sentit donc ensuite jouir. Un très bel orgasme, la queue du Roi-Cerf tressautant dans sa bouche. Sa hampe de chair se relâcha, et le liquide blanc éclata en elle.

Alice soupira ensuite, et avala ce sperme, relevant ensuite la tête, respirant lourdement.

« Vous avez une de ces queues, mon Roi... ! »

Il l’avait épuisé, et elle cligna des yeux, avant d’entendre l’homme lui dire d’y aller. Une courte phrase mystérieuse, qu’Alice interpréta comme elle le voulait. Elle le regarda brièvement, pendant quelques instants, puis se retourna ensuite, et se mit à quatre pattes sur le sol, lui tournant le dos, bombant ses fesses vers lui.

« Je vous offre mon corps, Roi-Cerf... Venez le prendre, là où bon vous semble ! »

Comme pour le motiver, Alice roulait des hanches, bombant ses fesses vers lui. Un geste obscène, assurément, mais, après tout, Dehilahy lui avait à moitié violé la gorge, alors... Autant dire qu’ils n’étaient plus à ça près ensemble, maintenant !


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