Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Abysse [PV Lily]

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Rachele Florenza

Humain(e)

Abysse [PV Lily]

mardi 08 novembre 2016, 23:54:56

Loin au large de la baie d'Azuky, un bateau vient de couper ses moteurs pour se laisser dériver lentement sur l'eau tel un requin dans l'onde. A son bord, deux hommes en costume noir et blanc discutent et fument une cigarette autour d'une jeune femme entièrement nue assise sur un siège. Ses mains sont liées dans son dos, un sac en toile couvre sa tête et ses pieds son plongés dans un bloc de ciment durcit.

"mmm" gémit la prisonnière.

"Ta gueule sa pute." répond le Yakuza en la giflant.

" C'est bon, c'est le bon endroit. Ya pas plus profond." Ajoute l'autre.

"MMMM !" Gémit à nouveau la prisonnière visiblement bâillonnée sous son sac de toile.

Le yakuza lui arrache le sac, Rachele a les cheveux en bataille, un épais morceau de scotch sur la bouche et est rouge de honte de se trouver nue devant ces deux ennemis. Elle ne se rappel plus comment elle en est arrivée là. Elle se rappelle être sortie seule pour s'amuser et... trou noir... elle se rappel simplement s'être réveillée en entendant le bruit d'un moteur puissant et l'écume tiède de l'eau sur sa peau nue.
En voyant la vaste étendue d'eau qui l'entoure et le bloc de béton qui lui emprisonne les pieds, Rachele assiste impuissante à un spectacle qu'elle a déjà vue un millier de foi, mais dans le rôle du bourreau.

"MMMM ! MMMM !"

Elle gesticule et se débat dans l'espoir de se libérer les mains, mais les liens qui la tiennent sont parfaitement bien tressés. En la voyant faire, les deux japonnais rigolent.

"Sale petite pute occidentale, tu croyais que tu pouvais voler le pain des samurai ?" Dit l'un en la levant brusquement de son siège pour tirer jusqu'au bord du bateau. Rachele essai de se débattre, mais incapable de lui résister, elle se met à le supplier du regard.


" Dommage que nos frères et soeurs n'aient pas eu une aussi belle gueule que la tienne pour te supplier. Ils auraient peut être eu la chance que je vais te donner. Je vais te laisser vivre encore quelques minutes de plus pour que tu puisse faire ce que tu auras du faire depuis toujours."


Ajoute t'il en empoignant sa chevelure pour l'obliger à baisser la tête jusqu'à son entrejambe. Ce qui lui fait bomber les fesses en arrière vers l'autre yakuza.

"Si j’entends un mot sortir de ta bouche je te balance direct à la flotte."

Dit il en baissant sa braguette pour laisser sortir sa queue courte et épaisse. Il arrache le scotche de la bouche de Rachele qui le foudroie du regard, avant de plisser les yeux de dégout en prenant son gland entre les lèvres. Pendant ce temps le second s'approche à son tour des fesses galbée de la prisonnière pour venir passer une mains entre ses fesses.

"Mmmm !?"

Le yakuza presse sur sa tête pour l'obliger a avaler sa queue jusqu’à la garde. Puis il la tient par les cheveux pour la faire aller et venir de plus en plus vite, provoquant un bruit de sussions répugnant. Rachele sent les doigts de l'autre homme venir jouer entre ses lèvres pubiennes, elle se met à gémir en sentant son sexe se lubrifier et sa mouille se mettre à couler le long de ses cuisses.

La torture dure pendant de longues minutes jusqu'à ce qu'enfin le yakuza libidineux jouisse dans sa bouche et l'oblige à boire en faisant de grandes déglutitions. Rachele aussi fini par venir à son tour sous les assaut des doigts du second homme.

Sans autre forme de procès, le premier reprend le rouleau de scotche.

Non atten *scratch* MMMMM !

Il commence à pousser le bloc au bord du bateau pendant que le second continue de jouer avec les lèvres de la jeune femme terrorisée qui se débat désespérément.

"MMMMM !"

Il commence à pousser, Rachele, les yeux exorbités se sent basculer dans le vide.

"M !..."

Son hurlement est coupé net quand elle s'enfonce dans l'eau, entrainée vers le fond de la mer par un énorme bloc attaché aux pieds. Pendant toute la descente, elle se débat et retient sa respiration dans les ténèbres jusqu'à ce que finalement elle atteigne une étrange clairière sous marine, tapissée d'algues légèrement luminescentes.


Lyli

Créature

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 1 mercredi 09 novembre 2016, 14:29:32

Un tas de choses sombre au fond des océans pour y finir leur vies comme de silencieux secrets, ces secrets qu'ont ne retrouveras jamais dans ces profondeurs abyssales. Il s'agissait parfois de joyaux d'une autre époques au fond d'un galion centenaire coulé durant les grandes guerres, parfois ce n'étaient que de simples navires marchand remplis de tissus pourrissant dans les abysses. Mais plus rarement, il s'agissait de certains colis plus spéciaux, de choses dont on ne voulait absolument qu'ont ne retrouve jamais la trace. Dans ce lot des sacs de drogues, des armes et autres preuves compromettante. J'étais pourtant loin de me douter du cadeau qui allait couler jusqu'à moi aujourd'hui et qui me réveilla en sursaut.

Dans une clairière d'algues lumineuse, à une profondeur vertigineuse, un bruit sourd fend le sol rocheux et perturbe mon léger sommeil. Yeux ouverts, je ne remarque rien devant moi puis les referme aussitôt avant de capter les faibles gémissements étouffés. Des gémissements que je reconnais bien et que j'ai l'habitude de côtoyer bien qu'un détail me perturbe avant même de me retourner. Que fait un être vivant aussi profondément sous l'eau ? Un simple regard en arrière me suffit à le comprendre par ses mains liées et le bloc de ciment à prise rapide. Compréhension qui passe très vite au second plan devant ce derrière divin qui m'est offert en image et le spectacle de cette chevelure ondulante sous l'eau comme une pieuvre bien dressée. C'était un jolie balais de danse de ma position.

Pourtant il allait falloir agir vite au vu de la pression qu'exerçait une telle profondeur sur le corps. C'était même incroyable qu'elle soit encore consciente après une descente si longue. Le poids de la dalle en ciment avait bien du aidé même si j'imaginais aisément qu'elle devait être à bout de souffle.

C'est la première fois que je vois une si jolie sirène dans cette posture... Dis-je en me dévoilant lentement à la belle brune, tournoyant autours de son corps comme un requin chassant sa proie.

La voix était sensuelle et lente, le rire presque irréel tant il raisonnait dans l'immensité de l'océan alors que la demoiselle en détresse déjà en mal d'oxygène après une telle plongée devait surement croire à une illusion. Quoi de plus normal à une telle profondeur et un manque d'oxygène aussi critique ?

On a fait de vilaines choses pour se retrouver ici ? Moi aussi j'ai fais pleins de vilaines choses alors je peux comprendre, et je peux même t'aider... mais...

Je me pose finalement devant son visage un large sourire à moitié enjoué et carnassier. Ma main se pose sur son menton et je soutient son regard faiblissant et à moitié ouverts, toisant de mes pupilles violettes et envoutantes les grappes de bulles qui se détachent de ses narines, dans une explosion d'air qui s'envole encore hors de son corps. D'une pression des doigts, je lui lèvre la tête vers le haut pour lui montrer à quel point la surface est loin, et lui faire comprendre qu'elle est bien loin d'une petite virée à la plage.

... Mais regarde plutôt, même si je te détache à quoi bon nager ? La surface est beaucoup trop loin pour toi. Il ne te reste plus qu'à accepter ton sort... A moins que...

Cette main rabaisse son regard vers mon visage pour que j'y dépose un bref baiser à travers le morceau de scotch. Ma main libre quant à elle toise délicatement son ventre, puis sa succulente poitrine sans aucune pensée sexuelles. Je constatais seulement à quel point son corps avait froid au fond des abysses dans sa tenue d'Eve. Si la noyade ne l'emportait pas ce serait vite l'hypothermie qui se chargerait d'elle. Enfin, son corps n'aurait surement pas le temps d'en arriver là, les joues rouges de la belle et mystérieuse brunes commencent à doucement s'empourprer pour désigner le seuil critique d'oxygène dans son organisme. Comme un cadeau inespéré, je lui retire ce morceau de scotch collant avec aisance grâce à l'eau de mer, pour y dévoiler ses parfaites et délicieux lèvres rouges, contre lesquels je me presse avec une sensualité sans pareil pour offrir un de ces baisers dont on oublie jamais le gout.

Envoutant et revigorant, il ne fait plus le moindre doute que je ne suis pas un mirage tant l'air que je lui apporte à travers ce baiser est vital et bon comme le plus pur des nectar. Chaque expiration entre ses lèvres et un nouveau souffle de vie pour la brune malchanceuse qui peut récupérer ses esprits peu à peu.

Ca aura bien évidement un prix...

Sans en dire plus j'enlace le corps de la belle puis la soulève comme si la dalle en béton n'existait pas. L'eau me procurait assez de force pour la tirer ainsi contre moi jusque dans l'un de mes repères proches, qui n'était autre qu'une cavité sous marines menant à une poche d'air en forme de dôme naturel en roche. Les parois étaient éclairées par le reflet de l'eau sur les murs et une petite crique rocheuse permettait de sortir de l'eau. Le plafond devait culminer à 2 mètres 50 environs tandis qu'elle n'avait pas plus de 6 mètre d'espace entre le cul de sac de la grotte et l'eau qui conduisait vers le fonds. Pas très grand mais au moins elle pouvait respirer et jouir d'une faible luminosité malgré le lieu très humide. Concernant le bloc de ciment, je m'en chargerais plus tard.

Je ne sais pas encore comment je compte te faire payer ta survie mais quelque chose me dit que ta vie vaux son pesant... Alors je vais te laisser me raconter pourquoi on t'as envoyer faire de petites bulles au fonds de l'eau, ça m'aideras peut-être à me décider.

A mon tours je sors de l'eau pour m'asseoir sur le rebord, ne frissonnant pas un instant à cette température fraiche à laquelle mon corps est habituée. Seule un maillot deux pièces d'une couleur mauve assortie à mes yeux cache l'essentiel de mon corps bien que le haut ne parvient pas à dissimuler l'érection de mes tétons. Ben quoi ? Elle avait beau être en fâcheuse posture son corps n'en était pas moins diablement bien dessiné !

Au fait tu va même me dire tout ce qu'il y a à savoir sur toi si tu ne veux pas refaire un gros plongeons. Même si je sais qu'au fond, un tas de question sur moi doit te bruler les lèvres.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 2 mercredi 09 novembre 2016, 21:33:15

Quand elle touche enfin le fond, Rachele se débat toujours comme une diablesse et offre sans le savoir un ravissant balais à la sirène qui règne ici bas. Mais elle commence peu à peu à perdre la bataille faute d’oxygène quand une voix irréelle et mutine résonne à ses oreilles comme si on lui parlait à l'air libre. Une femme apparait devant ses yeux et la jeune gangster se fige, stupéfaite, les yeux écarquillés.

C'est fini... je suis morte... et elle va m'emmener en enfer... Se dit elle, l'esprit suffocant et délirant à cause du manque d’oxygène. Mais la sirène ne semble pas la pour l'entrainer ou que ce soit mais pour jouer avec elle dans ses derniers instants. Elle l'entend rire, elle la vois tourner autour d'elle comme un requin autour d'une proie qui se vide son sang. Rachele recommence à gigoter faiblement, ses poumons se sont complétement vidés de leur air et son visage vire au cramoisi.

Quand la main glacée de Lily se pose sur son ventre, elle se fige à nouveau et pousse un petit gémissement de terreur en tentant de lui échapper. Mais ses mains et ses pieds emprisonnés ne lui permettent pas de faire autre chose que de petits soubresaut qui font rebondir ses seins et ses fesses.

La sirène joue avec sa tête et lui montre l'étendue de sa condamnation, Rachele perd ses derniers espoir de survivre et commence à s'abandonner à l'ivresse de la mort. Quand les lèvres de la sirène se posent sur les siennes au travers du scotch, la mafieuse ferme les yeux et frotte ses cuisses l'une contre l'autre en sentant l'orgasme final monter en elle. Le gout et l'odeur de la mouille se rependent dans l'eau autour d'elles quand  les paroles de la créature la ramène à la raison. Elle lui offre une échappatoire. Rachele sent les première goute d'eau salé lui ravager les sinus et descendre vers ses poumons, à cet instant elle est prête à tout accepter pour vivre, simplement vivre. Elle fait oui de la tête en toute hâte.

Lily lui retire le scotch et lui offre ses lèvres en un baiser fougueux d'où s'écoule une vie nouvelle. La sirène expire et gonfle les poumons de la jeune femme qui tout à l'ivresse et à l'euphorie de son sauvetage, en oubli toute retenue et acquisse e la tête quand sa sauveuse lui dit qu'il y aura un prix à payer. Elle l’enlace alors et l'entraine à une vitesse folle au milieux des trombes d'eau vers un repaire secrêt. Quand Rachele traverse enfin la surface, elle se rend compte qu'elle n'est pas à l'extérieure, mais dans une grotte sombre et humide.

Elle tousse et crache l'eau salé qui s'est infiltrée par ses sinus avant de prendre de grandes inspiration au point d'en avoir la tete qui tourne. Elle essai de se trainer loin du rebord, mais elle se rappel d'un coup que ses jambes sont prises dans le ciment. Incrédule, elle regarde ses longues jambes, toujours couvertes de ses ravissantes cuissardes, plongé dans la pierre grise.

L'étrange créature parle parfaitement bien sa langue. Mais Rachele préfère ne pas lui révéler qui elle est vraiment. Il ne manquerait plus que la jeune femme soit une bonne samaritaine ou une justicière qui irait fissa la livrer a la police après son sauvetage.

"Merci pour tout mademoiselle. Merci infiniment. Je suis enquêtrice à Tokyo, je travaillais sur un trafic d'esclave sexuelles tenu par les Yakuza et je me suis faite prendre au piège. C'est pour ça que c'est un de leur bateau qui m'a jetté ici. Il voulaient me faire disparaitre. Vous m'avez sauvée et avec moi, plus d'autres personnes. Je vous en prie, ramenez moi à la surface que je puisse sauver toutes ces pauvres filles."

Lyli

Créature

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 3 dimanche 13 novembre 2016, 19:06:58

Peut-être qu'il s'agit d'une femme belle et savoureuse, peut-être que je suis un peu sous le charme de cette beauté indéniable mais son petit baratin ne fonctionne pas avec moi. Son discours sonne faux et donne simplement l'impression que la bonne brune a hâte de s'échapper, comment lui en vouloir en même temps ? Au fond d'une profondeur abyssale et coincée dans une grotte après avoir été sauvée d'une noyade certaines, n'importe qui faisant office d'un peu de bon sens voudrai regagner la surface. Un espoir futile que je ne comptais pas lui offrir si facilement car c'était bien connu; Tout ce qui tombait au fond de l'océan appartenait à l'océan et par définition à moi !

Oh comme c'est remarquable, risquer sa vie pour les autres... Il faut vite que je te ramène vers la surface alors des vies sont en jeu... C'est bien ce que tu espérais entendre n'est-ce pas ?

Un rire éclate d'entre mes lèvres alors que je me place à quatre patte au dessus de son corps, la regardant droit dans les yeux en me léchant le contours des lèvres. Comme pour la menacer, mon regard se baisse vers l'arrière en même temps que mon pied qui pousse le bloc de ciment vers l'eau. La menace était clair " tu vas retourner à l'eau " et elle y était d'ailleurs plus qu'à quelque centimètre, de s'y faire emporter par le poids. Pourtant bien qu'elle n'était pas censé le savoir, je n'étais contrairement à ses ravisseurs pas prête à tuer quelqu'un et le bloc de ciment qui coulait doucement dans l'eau fut arrêter par quelque chose de mou sous l'eau. Ce n'était autre que le tentacule de ce cher gardien des mers, ce céphalopode géant que j'avais moi même dressé et qui vivait dans l'une des autre cavité de cette caverne. Pour autant il ne se montrait pas, et seule une longue tentacule sortait de sa tanière rocheuse pour venir s'enrouler avec puissance autours du bloc de ciment et l'exploser en morceau, au bout de quelque dizaines de secondes. Maintenant au moins je pouvais admirer toute l'étendu de ses belles cuissardes jusque sur la pointe des talons.

Je crois que tu mens mais comme tu es jolies je vais te laisser une autre chance. Cependant vois tu, je me sens vexée... si tu as réellement mentit ça veut dire que tu es pressées de t'en aller... que ma compagnie t'ennuie... Et je suis profondément déçue. A tel point que je vais devoir t'obliger à respecter un peu plus ta sauveuse même si ça me fait beaucoup de mal de te punir...

Beaucoup de mal ? j'y prenais un réel plaisir en réalité et je savais déjà comment j'allais la punir. Son petit début d'orgasme sous l'eau n'était pas passé inaperçu et maintenant que j'étais à quatre patte j'en était même sure. Cette légère odeur de cyprine qui était la sienne avait été produite par son orifice pendant qu'elle était en train de se noyer. Rien d'étonnant en réalité, certaines personnes étaient capable de ressentir un orgasme les parcourir lorsque l'organisme était privé d'air trop longtemps... et visiblement elle faisait partie de celles-là. Une vraie aubaine !

Je me disais que tu pourrais retourner faire un petit plongeon, l'endroit est parfait non ? La surface n'est pas loin tu ne risque pas grand chose...

Bien entendu mon animal de compagnie sous marin ne serait pas de la partie, il était bien trop tôt pour dévoiler toute mes cartes et celui-ci resterait bien planquer au fond de son long trou lugubre. Quant à la punition elle devait surement déjà avoir compris que je n'avais rien d'une humaine et qu'elle n'était absolument rien au fond de l'océan comparé à moi. Il y avait donc des chances pour qu'elle m'obéisse assez facilement au début...

Mais avant de te réjouir attends plutôt les règles. Tu devras tenir le plus longtemps possible et je t'autoriserais à remonter que lorsque tu te sera infliger un bel orgasme, et au dernier moment. Tu as bien compris ? Je veux que tu mette ton corps à rude épreuve, essaye de remonter respirer trop tôt et je te garanti que cette grotte sera ton dernier sanctuaire.

Et le pire dans tout ça c'est que je n'étais même pas sure qu'elle m'avait menti ! Ce n'était qu'une petit intuition mais dans le doute... au moins...

Ensuite tu me raconteras à nouveau ton histoire et on verra si elle tient la même version avec toute la vérité !

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 4 mercredi 23 novembre 2016, 18:43:35

Le bloc de béton se brise et Rachele sent que ses petits pied endoloris sont encore engoncés dans ses talons hauts, si bien qu'elle ne porte plus que ses cuissardes et ses chaussures. Mais la sensation du ciment n'est remplacé que par une matière gluante et froide qui lui retient les chevilles avec une force titanesque. La jeune femme tente de battre des pieds mais rien n'y fait, elle ne parvient pas à ce libérer et son corps tout entier glisse doucement vers l'eau.

Elle remarque que l'eau est tiède dans cette grotte, elle ne risque pas de mourir d’hypothermie, mais les menaces de la sirène prennent tout leur sens... elle peut jouer au jeu de la noyade avec elle aussi longtemps qu'elle le désir. Elle implore la belle jeune femme juchée au dessus d'elle du regard.

"Non... je vous en prie ! ne faite pas ça... je vais tout vous dire... je ferrai tout ce que vous voudrez."

Rachele porte fébrillement ses mains vers son sexe et se met à rougir de honte, elle n'arrive pas à croire qu'elle doit se masturber devant cette inconnue pour ne pas subir un supplice horrible. Elle hésite et ose à peine se toucher.
Jusqu'à ce que cuisses basculent lentement dans l'eau et qu'elle sente son corps sur le point de basculer de la berge souterraine. La panique lui fait perdre ses moyens, elle ne parvient pas à trouver son petit clitoris caché entre les plus de sa chaire, elle essai maladroitement de se pénétrer, mais cela lui fait plus mal qu'autre chose, et inexorablement le tentacule la traine vers l'eau. Au moment ou ses ses touchent la surface elle se met à hurler, cédant à la panique.

"Non !! Pitié non ! Je fe..."

Sa tête vient de passer sous la surface et sa chevelure flotte autour de son visage comme une ravissante anémone. Lyli voit le regard de la jeune femme levé vers elle, déformé par l'angoisse. Elle en oublie totalement les directives de sa nouvelle maitresse et se met à battre des mains dans l'espoir de remonter, mais le kraken la retient fermement à quelques centimètres de la surface.

Au bout de quelques instants, l'étrange sensation de désir pervers induit par le manque d’oxygène et la mort imminente transforme ses gestes violent de survie en mouvement lassifs et érotique. Ses doigts glissent de la surface pour venir caresser son propre corps, pendant que sa première main s'attarde sur ses seins qu'elle commence à masser, l'autre descend vers son vagin qu'elle commence à doigter lentement.

Ses yeux lentement se révulsent et rougissent à mesure que ses lèvres bleuissent. Même son vagin prend la couleur bleuté de l’asphyxie tans il est chargé de sang vicié. L'odeur capiteuse de la cyprine se repend dans l'eau et Lyli peut entendre les gémissement sourds de la jeune femme résonner dans son élément aquatique.

Partagée entre convulsion involontaire et frissons lassif de plaisir, elle sent le plaisir monter en elle pendant que sa bouche s'ouvre et que ses poumons se remplissent d'eau. Pour elle, il est trop tard, elle a finie par faire ce que lui demandais la sirène mais son corps déjà s’emplit d'eau et fait gonfler sa poitrine, colorant l'auréole de ses tétons de la même teinte azure... elle jouit sous les yeux de sa nouvelle maitresse, et meure à petit feu...

Lyli

Créature

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 5 jeudi 27 avril 2017, 12:06:57

Voir ses jambes gigotées dans ses longues cuissardes et son corps s'affoler devient vite un spectacle captivant. Tremble d'elle par l'irrépressible et folle envie de respirer face au manque d'oxygène ?  Ou les spasmes guidant ses mouvements sont ceux de l'ivresse d'un orgasme ? Surement un peu des deux pour former un délicieux cocktail à en faire perdre pied. A moitié dans les vapes son esprit semble pourtant avoir choisit son camp et remonter n'es plus la première solution qui occupe son esprit, elle préfère s'atteler à sa tâche, se doigter en s'asphyxiant sous la copieuse quantité d'eau qui perce sa garde, jusqu'à l'obliger à écarter ses lèvres pulpeuses pour engloutir ce siphon d'eau salé. Inutile de se demander ou va toute cette eau quand on la regarde gigoter partout en balançant sa lourde poitrine, ralentit par l'eau qui l'entoure comme une prison à la fois souple et lourde. Il devenait évident que la belle italienne ne remonterait pas toute seule dans son état, ses yeux papillonnaient déjà ailleurs et ses mouvements se ralentissaient sous les pulsions d'un puissant orgasme.

C'est le sort qui arrive aux vilaines menteuses. Lui dis-je en allant tirer sa longue chevelure noir pour lui sortir la tête de l'eau.

Tirée d'affaire ? Pas vraiment, ce petit jeu cruel m'avait tout simplement mise en appétit et je lui enfonça aussitôt la tête sous l'eau de nouveau, lui faisant faire à plusieurs reprise le yoyo entre la surface si salvatrice et l'eau si suffocante. le mélange des ces deux mondes ou l'air existait et devenait absent en quelque secondes ne devait pas l'aider à reprendre son souffle, surtout avec un tel rythme qui lui faisait plus boire la tasse qu'autre chose. Ce n'est qu'à bout de force que je remonte son corps une ultime fois, pour la hisser finalement sur la corniche, ou elle pourrait gesticuler autant qu'elle le voudrait pour reprendre son souffle.

Moi, je crois plutôt que quand l'ont essaye de se débarrasser d'un si jolie visage... Ce n'est pas sans raison. Tu as du être vilaine, très vilaine. Mais te laisser te noyer aurait été du gâchis. A la place, c'est moi qui me chargera de ta punition.

Même dans son état et avec le visage tirant vers un rouge foncé et intense l'humaine reste des plus agréable à regarder. De bas en haut, de ses cuissardes serrées contre ses cuisses par l'eau et offrant à mes oreilles un doux sons de cuir grinçant, jusqu'à sa lourde poitrine, et jusque sur la dernière pointe de sa chevelure, noire comme les ténèbres, elle était surement l'une des créatures les plus en beauté que l'océan avait engloutit. Après tout, peut-être que cette grotte n'était pas assez bien pour une proie de telle qualité, peut-être méritait-elle au moins assez de considération pour que je ne l'entraine dans mes appartements sous-marin. Là bas, nous pourrions bien nous y amuser et surtout avec plus d'aisance que cette grotte bloquée entre 4 parois rocheuses humide. Oui, peut-être bien... mais la cyprine qui s'était largement diluée dans l'eau de mer, juste devant le repaire, avait attisé l'appétit du monstre tentaculaire jusqu'à exciter ses sens animal. l'odeur semble à son gout et l'enivre, agit comme des phéromones. Si je veux la faire sortir de cette grotte, elle va d'abord devoir passer entre les tentacules de cette chose, se faire purement violé par un monstre marin à la forme bien loin d'un humain...

Ca devait être terrifiant et humiliant au vu de la carrure imposante et de ses caractéristiques animales. Une belle femme comme elle, finir en proie à une pieuvre géante et aux tentacules aussi souple que lourde et massives... C'était surement loin des palaces 4 étoiles dans lesquels elle pouvait s'offrir un bel homme... en compagnie duquel elle dictait surement les règles, la plupart du temps.

Décidément l'eau et toi c'est une grande histoire d'amour aujourd'hui, tu es déjà reparti pour un nouveau plongeon.

Un pieds contre sa poitrine l'écrase partiellement comme pour l'aider à vider les dernières goutent d'eau salées qui hantent ses poumons. Ils fallait mieux que ceux-ci soient bien vidés pour disposer de a toute la place nécessaire, elle en aurait surement besoin au vu de la prochaine coulée... plus intense.

Surtout que le monstre marin ne peut lui plus attendre et se laisse guider par ses instinct animal, enroulant une fois de plus ses tentacule autours de ses cuisses , prenant son temps pour lui montrer la nature de ce qui l'avait précédemment attiré cette fois-ci. La suite n'est qu'un grand splatch qui entraine lourdement son corps sous l'eau, une fois de plus... Mais le monstre lui n'est pas aussi conscilliant que je peux l'être et écarte déjà ses deux cuisses en les maintenant fermement ouvertes, tirant de ses deux tentacules puissances pendant qu'une troisième fonce pour s'enrouler autours de son ventre, l'enserrant avec une poigne de fer tout en rampant entre ses lourds sein ronds. Si elle n'as pu voir que les tentacules jusqu'à présent l'énorme tête du céphalopode se dessine petit à petit à travers un large trou, dont l'oeuil brillant et jaune en est le premier cauchemar. Un long trais noir passe au travers, ce n'est autre que la pupille féroce de la créature.

S'il était effrayant ce monstre marin était toutefois aussi très bien dressé par mes soins. Lorsque que la charmante Italienne manquerait de souffle, ou du moins... qu'elle n'en manquerait trop, son instinct animal ressentirait la pression du danger et lui sortirait la tête de l'eau quelques instant. La seule chose dont elle devait se soucier maintenant donc, était la lueur e dignité qui lui restait lorsqu'elle céderait à ses orgasmes sous marins...

Un sort inévitable qui se rapproche de la brune suffocante, tandis que le tentacule fini de s'enrouler autours d'elle comme un boa autours de son cou. Nul doute qu'elle ne respirerait pas si elle n'était pas déjà en apnée forcée. Mais l'oxygène était-il le cadet de ses soucis quand un quatrième tentacule profitait de ses divines fesses sans gardes ? Pour s'y glisser dans un violent coups sec en profitant de son attention tirée ailleurs ? Le corps de la jeune femme allait être mis à rude épreuve.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 6 vendredi 28 avril 2017, 00:20:43

- C'est le sort qui arrive aux vilaines menteuses.

Dit la sirène avant de lui sortir la tête de l'eau en la tirant par son épaisse et luxuriante tignasse. Instantannement, Rachele vomi toute l'eau qu'elle avait commencé à respirer. Mais avant qu'elle ne puisse reprendre son souffle, sa tortionnaire l'y replonge. La belle captive à à peine le temps de pousser un gémissement de refut avant que ses suppliques ne se transforment à nouveau en quelques bulles qui remontent à la surface.

Puis elle en ressort de nouveau, prend une rapide inspiration avant que la sirène ne recommence. Rachele connait très bien ce type de torture, pour l'avoir elle même infligées à ses victimes. Elle sait qu'a force de la faire suffoquer et de la faire respirer violemment quand elle sort de l'eau, elle va la forcer à s'hyperventiller, littéralement se saouler avec son propre oxigène.

Mais la belle n'a pas la force de lutter ou de maitriser sa respiration. Elle se laisse entrainer dans le piège vicieux de Lyli et au bout de quelques instants sa tête tourne et elle ne parvient plus à réfléchir de manière cohérente.

Quand elle la hisse pour de bon sur la corniche, Rachele est épuisée et dans un état second, sa tête dodelone de droite à gauche, sa bouche entre ouverte laisse échapper un filet de salive et ses yeux sont légèrements révulsés. Elle entend vaguement que la sirène lui parle, mais son cerveau surchauffé ne parvient pas à la comprendre, elle se contente de la regarder d'un air à la foi hagard et terrifié.

Elle sent la texture froide et humide du pied de Lyli se poser sur entre ses seins et presser pour extirper les dernières goutes d'eau, Rachele revient alors à elle, mais sa tête tourne toujours et ses pensées sont lentes et désordonnées.

Quelque chose de visqueux et de collant s'enroule autour de sa cheville et remonte vers sa cuisse. Rachele écarquille grand les yeux, Lyli peut y lire toute l'horreur et la peur qu'elle ressent.

- Nn!

Elle n'a pas le temps de finir son mot que son corps glisse  à nouveau tout entier dans le lagon de la caverne. Les tentacules du céphalopode serpentent sur ses cuisses en épargnant miraculeusement ses ravissantes cuissardes  noires. Ils s'enroulent enfin autour du millieu de ses cuisses et de ses molets et les lui écarte sans peine malgré la force que rachele déploie pour protéger sa dignité des désirs bestiaux du monstre.

Rachele frappe la matière visqueuse des tentacule avec ses poings, griffe leur gélatine de ses ongles acérés, se débat comme une diablesse. Mais un troisième tentacule vient s'enrouler autour de sa poitrine et lui emprisonne les bras comme si elle portait une camisole de force.

Réduite à l'impuissance, elle continue d'agiter la tête en tout sens pour mondre le monstre de toute ses dents et se libérer enfin de son emprise avant qu'il ne face ce qu'elle ne veux pas imaginer qu'il va faire...

Un dernier tentacule serpente dans son dos et s'enroule autour de son cou et le serre. La bouche de Rachele s'ouvre grand, mais aucune bulle d'air ne s'en échappe, désormais, la bête contrôle sa respiration en décidant quand lui écraser la gorge, ou quand la libérer juste ce qu'il faut...

Comme prisonnière d'un anaconda sur le point de la dévorer, le corps de la belle captive n'est plus agité que par de longs mouvement du bassin ou des épaules qui font plus penser à une proie, ligotée dans un cocon d'araignée.

Ses jambes s'écartent encore jusqu'à ce qu'elle soit presque en grand écart et son regard fou de terreur se focalise soudain sur un long apindice tentaculaire qui remonte vers le galbe superbe de son cul. Elle tente de hurler, de gémir, de grogner, mais la prise sur sa gorge est si ferme qu'elle reste muette comme une carpe, la bouche grand ouverte et les yeux exorbités.

Après un suspens interminable, la bête atire brutalement le corps de sa proie sur son sexe animal et l'empale si profondement que Rachele crois un instant qu'il va la transpercer de pare en pare.
La douleur explose en elle à mesure que la chaire caoutchouteuse du tentacule lui dilate le muscle anal et remonte en elle, déformant son ventre comme si un vers gigantesque s'y tortillait.

Paralysée par la prise implacable des tentacules, Rachele ne peut qu'ouvrir plus grand les yeux et fixer la sirène, les lèvres toujours grandes ouvertes dans un hurlement silencieux. Pendant des secondes qui semblent durer des heures, il remonte toujours plus loin en elle, enfonçant toujours plus de sa chaire dans son petit trou déformé qui se contracte désespérément pour tenter de le chasser.

Puis il commence à ressortir enfin, provoquant chez la captive un sentiment de soulagement et de libération telle qu'elle crois défaillir. Mais avant qu'elle n'ait la chance de sombrer dans les ténèbres bienveillantes de l'inconscience, la bête recommence à la bourrer de sa viande visqueuse et elle recommence à hurler en silence.

Confortablement installée sur sa corniche, Lyli peut admirer le ballet qui commence, les vas et viens se font lent au début, puis un peu plus vite, jusqu'à ce que Rachele et la pieuvre atteigne une forme de cadence lassive et brutale. Parfois la tête de la belle prisonnière perce l'onde et le tentacule autour de son cou ramoli l'espace de quelques secondes pour qu'elle puisse soit inspirer, soit expirer, mais jamais les deux, pour qu'a aucun moment, elle n'ai le luxe de pouvoir hurler à gorge déployée comme elle voudrait tans le faire.

Au bout de cet interminable ballet de douleur, Rachele sent la chaire de la bête palpiter et convulser. Elle gigotte entre ses tentacules en plissant les yeux de dégouts. Elle reconnait ce moment, tout les mâles le partage, cet instant où le plaisir vient, où l'orgasme commence, où les testucles crache avec violence leur semence dans le fragile receptacle de son ventre.

Tout ses tentacules se contracte d'un seul coup au point que Rachele en est presque écrasée, ses seins jusque la entourés des ventouses de la bête, jaillissent d'entre les membres de la créature sous la pression abominable qu'ils exercent. Ils sont gonflés et rouge sombre et ses tétons pointent comme d'énormes groseilles bien mures. L'estrêmité de deux tentacules viennent les coiffer et Rachele sent de grosses ventouses se coller à sesmamelons pour les traire avec violence.

La soulevant alors pour que tout le corps de Rachele sorte de l'eau juste sous le nez de sa maitresse sirène, mais sans libérer sa gorge pour la laisser respirer, il commence à jouir en elle...

Rachele ouvre à nouveau les yeux à l'extrême en sentant une énorme rasade de fluide épais, visqueue et froid déferler dans son cul pour le remplir comme une outre. Des la première éjaculation, Lyli voit le ventre de sa prisonnière s'arrondir légèrement. Puis la seconde vient et les yeux de Rachele se mettent à fixer le plafond de la caverne en se chargant de larmes nouvelles alors qu'elle sent sa peau et ses muscles se distandre pour laisser place au sperme du monstre, son ventre gonflant encore comme si elle était enceinte de six mois.

A la troisième éjaculation, la douleur devient si intense que Rachele recommence à gigotter malgré l'étaux écrasant des tentacules, craignant d'exploser sous la presion du fluide qui lui déforme maintenant le ventre comme si elle était enceinte detriplets.

Le céphalopode convulse à nouveau et Lyli entend un petit bruit de chaire étrange entre les jambes de la captive. Rachele devient livide et se met à trembler, les yeux révulsés et l'écume aux lèvres toujours grandes ouvertes. Le foutre de la bête s'est accumulé entre son membre et le muscle torturé de son anus jusqu'à ce que celui-ci ne lache et ramollisse.

La sirène admire alors le triste spectacle de la jeune femme brisée jusque dans sa chaire, le ventre horriblement distandu et couvert de vergetures, désormais incapable de retenir le contenu de son cul qui se met à couler entre ses jambes écartés vers l'eau du lagon.
« Modifié: samedi 29 avril 2017, 00:42:33 par Rachele Florenza »

Lyli

Créature

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 7 mercredi 09 janvier 2019, 15:05:17

La belle italienne n'est qu'un pantin entre les tentacules puissantes et large du monstre marin. Ecrasée sous le poids de ces lourdes appendice rose, l'animal monstrueux n'as aucune difficulté à l'étrangler et à la maintenir en place pendant que son corps n'est plus qu'une cuvette demandant à être remplie. L'une par dessus l'autre, les éjaculations noient son ventre dans une violence et des décharges de semence extrêmes. Elle gonfle à vu d'oeuil, formant une bosse de plus en plus proéminente qui vient clouer ce spectacle, déjà bien entamée par les douces réactions de son visage, perdu entre plaisir et horreur. Sa bouche grande ouverte qui appelait silencieusement de l'air dans des sifflements qui ne passaient pas sa gorge serrée, ses joues empourprées d'oxygène vicié, ses yeux perdus et peut-être à moitié délirant dans le flou... Il ne fallait pas plus que quelques tentacules pour avoir raison d'elle. Seules ses jambes étaient restées libres de mouvement pour le simple plaisir personnel de les voir gesticulées à l'intérieur de ses longues et élégantes cuissardes. Et elle voulait me faire croire qu'elle était une reporter ? Rien qu'avec ses chaussures digne d'une dominatrice j'imaginais aisément le reste de sa tenue. Elle n'avait pas été jetée au fond de l'océan par hasard.

Tu devrais te voir, t'es dans un de ces états. Peut-être que je vais te garder ici pour toujours qui sait.

Non aucun doute, c'était la méthode des Yakuza le coup de la dalle en ciment au fond de l'eau. Si je n'avais pu sauver tout le monde, il m'était arrivé de volé aux abysses la mort promises à certaines de ces femmes et hommes jetés par les fonds. Au fil des histoires que j'avais entendu de leur propres bouches, il s'agissait bien souvent de gangster rivaux, ou d'histoire d'argent, de vengeance. Jamais ils ne se seraient donné autant de mal pour une simple reporter, surtout s'il s'agissait d'une affaire d'esclavage... Vu la beauté de cette perles aux long cheveux ébènes, ils auraient voulu en faire le fruit de leurs prochaines ventes.

C'était ce mensonge que je n'avais guère apprécié. Qu'elle soit la pire gangster au monde ou une pauvre fille victime d'une injustice je m'en contrefichais. Les affaires des humains n'étaient pas les miennes après tout, et quel que soit son identité la pauvre aurait eu le droit à la même punition. Punition qui aurait été moins virulente avec un soupçon de vérité de sa part.

En plus je paris que tu es une très... très vilaine fille en réalité !

Comme un vulgaire galet sur ma route, mon pied s'étale sur son bas ventre rond. Je le savais distendue, mais pas au point d'être si ferme. Combien de litres de semence chaude il y avait à l'intérieur ? Le simple fait d'appuyer semblait la mettre dans un état second de douleur, son corps se secouait de spasmes comme un anguille. Naturellement, je ne me privais pas de presser d'avantage ce ventre devant une danse si cruelle de son corps. Je pressais encore et encore, enfonçant bien mon pied dans cette bosse molle mais ferme dans lequel je sentais tout le liquide visqueux remuer. Puis, un coups de pied plus violent qu'un autre la fait rouler sur le côté, à deux doigts de la faire tomber dans la flotte. Heureusement que je n'ai pas frapper plus fort, elle n'aurait jamais su remonter à la surface avec ces litres de semences alourdissant son corps... Tiens, peut-être que ce serait amusant en fait de la voir gesticuler avec désespoir ainsi ! Enfin, j'avais une autre idée en tête. Je comptais bien savoir qui elle était vraiment ne serait-ce que par pure fierté de ne pas me laisser bernée plus longtemps. La belle allait subir un interrogatoire.

Tu devrais me dire qui tu es vraiment et pourquoi on t'as jeté au fond de la flotte pendant que tu t'en souviens encore...

Une menace effrayante mais bien réelle, je pouvais toujours la torturer en la droguant avec certaines algues toxiques plus dangereuses que les drogues terrestres. La végétations que j'avais ramener de Terra n'était pas la même. Toutefois avant d'avoir recours à des artifices trop poussés, je voulais tester une méthode de punition, ou plutôt de tortures qu'utilisaient certains gang dans le milieu. Si elle était une de ces mafieuse ou vilaines femme du milieu, elle allait de suite reconnaitre avec terreur avant même que ça ne commence.

Je lui ligote fermement les deux mains dans le dos, puis je me laisse retomber lourdement sur son bas ventre, le transformant en joli siège de fortune pour mon derrière. Par la suite, je lui dépose un chiffon en tissus épais sur son visage, celui-ci recouvrant toute la partie inférieure.

Il parait que c'est pire que de se noyer.

Un claquement de doigt, puis un tentacule sort délicatement de la surface avec une quantité d'eau dans le creux d'une ventouse. L'appendice rose tangue au dessus de son visage et se penche lentement pour lui faire comprendre l'ampleur de la torture suivante. Peu à peu, l'eau se déverse sur le chiffon et épouse parfaitement sa bouche et son nez. Imbibé d'eau, la belle ne peut que suffoquer et gesticuler dans tous les sens. Lorsqu'elle bouge trop, je la rappelle à la réalité en écrasant fermement son bas ventre d'un coups de fesse, en ne déliant jamais nos regards. Je me délecte de la voir tousser, suffoquer à gorge déployée dans ce tissus noyé d'eau. Que ce soit son nez ou sa bouche, il est maintenant bien trop collé et seule ma main peut la libérer pour que ses belles lèvres pulpeuses recrachent enfin l'eau.

C'est vrai que c'est plutôt amusant, je sais pas pourquoi mais tu sembles plutôt résistantes à ce genre de tortures, comme si tu t'y connaissais. Ca ne me donne que plus envie de continuer... Puis...

C'est déjà la troisième fois que je sens ses cuisses tremblées et son corps être au bort de l'orgasme quand elle s'étouffe. Je l'avais remarqué dès cet instant ou elle avait touché le fond de l'océan.

Puis tu sembles aimer ça d'une certaines manière... S'il n'y-a que ça pour te faire plaisir tu peux le dire à ta maitresse ah ah ! Mais d'abord revenons en à cet interrogatoire. Qui es-tu vraiment, et pourquoi on voudrait jeter une si jolie créature au fond de l'eau.

Si elle ne répondait pas, j'étais prête à recommencer le coups du tissus, jusqu'à ce qu'elle réponde.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 8 samedi 12 janvier 2019, 00:35:33

Alors qu'elle pense ne pas pouvoir endurer pire sans mourir, Rachele sent soudain les orteils et la plante vicieuse du pied de la sirène se poser sur la rondeur lisse de son bas ventre. Elle se tortille à nouveau de plus belle en comprenant ce que Lyli va faire et hurle en silence, la gorge toujours prise dans le tentacule du monstre des profondeurs. Rachele lance un regard fiévreux et plein de suppliques à sa tortionnaire. Mais celle-ci reste sourde à ses plaintes et commence à presser...

-Ggnnnnnnn

La captive pousse un long gémissement de douleur, instinctivement elle écarte grand les cuisses pour laisser passer un flot de sperme glacé qui jaillit de son petit trou distandu. Honteuse, Rachele rachele sent des larmes couler sur ses joues à mesure que son ventre déformé se dégonfle pour ressembler à celui-ci d une femme qui vient d accoucher.

Rachele sent que la fin est proche, la douleur et l'étouffement sont en train de la tuer, déjà elle se sent froide et entend son coeur ralentir. Mais un violent coup de pied dans le ventre la libère des tentacules de la bête et des griffes glacées de la mort.

Elle roule sur le dos, son corps est parcouru de frissons et de hoquet de douleur, Lyli a une vue sur son anus, le monstre l'a si bien ravagé qu'il baille encore alors que le sperme continue de s'en échapper.

Quand Lyli lui attache les mains dans le dos, Rachele reste les bras ballants et les jambes écarté adossée à la parole du rocher. Quand la sirène s'installe nonchalamment sur son ventre, la prisonnière pousse un nouveau gémissement de douleur alors qu'un flot de semence visqueuse gicle à nouveau de son cul.

Mais c'est quand Lyli lui plaque un tissu mouillé sur le nez et la bouche que la belle revient à elle et commence à gesticuler. Hélas pour elle, il est trop tard pour se défendre, des bras lié dans le dos l'empêchent de se débattre et le corps de Lyli l'écrase contre le sol. Pour la sirène, le corps de sa prisonnière est comme une sorte de petit siège à matelas gonflable qui remu tout seul, inconfortable, mais chaud et doux au toucher. Et la vue de sa vulve et de ses jambes parfaites, engoncé dans ces ravissantes cuissardes et un spectacle des plus excitant.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Rachele de son côté à parfaitement comprise ce que sa tortionnaire va lui faire. Elle le sait car c'est une de ses tortures préféré. Elle a toujours adoré regarder le corps de ses propres victimes convulser et luter désespérément contre leur lien dans l'espoir d'arracher une bouffée d'air.

Mais elle ne parvient pas à défaire ses liens ou à chasser Lyli de son abdomen en souffrance avant que le supplice ne commence...
Quand l'eau coule sur son visage, Rachele bouge la tête de droite à gauche en gémissement de réprobation, mais elle ne parvient pas a retirer le tissu de son visage. Elle essaie de garder son calme, elle retient son souffle, une petite minute s'écoule avant qu'elle ne puisse plus se retenir et essai d'inspirer. A ce moment, le tissu mouillé se plaque instantanément contre son nez et sa bouche pour former une sorte de masque qui épouse à la perfection la forme de ses narines et le dessin de ses lèvres. L'air ne passe pas, ou si, mais il est si chargé d'eau que la jeune femme à l'impression de se noyer. Immédiatement, elle convulse et se contracte maladivement, comme possédée par un démon, mais la sirène tient bon et reste sur sa soumise. Pire, quand Rachele proteste avec trop de force, elle écrase encore plus son ventre pour la faire souffrir alors que le semence fini de couler de son cul.

-C'est vrai que c'est plutôt amusant, je sais pas pourquoi mais tu sembles plutôt résistantes à ce genre de tortures, comme si tu t'y connaissais. Ca ne me donne que plus envie de continuer... Puis...

La prisonnière réalise que sa geôlière sait... qu'elle a compris de quel monde elle venait, elle a échoué à lui mentir... et elle en paie le prix. Mais elle ne veux pas lui dire qui elle est vraiment. Si elle lui révèle qu'elle est Rachele Florenza, la mafieuse connue sous le nom de Max, celle qui a pris le contrôle des docs de la cité et qui a recommencé à polluer les mers dans lesquelles vie la sirène en y jetant les pires déchets de l'industrie nippone... ce sera pire...

Alors elle lutte, douloureusement, pendant de nombreuses minutes, arrachant quelques bouffées d'aire qui lui emplissent les poumons d'eau, elle suffoque et convulse, encore et encore. A un moment, elle perd la tête et il lui semble même qu'elle jouit involontairement, expulsant cette fois ci l'eau de mer resté piégée dans son vagin. Patiemment, Lyli rajoute de l'eau sur son bandeau pour faire durer le supplice, encore et encore, jusqu'au moment où...

-GAAAA ! Max ! Je suis Max ! Rachele Florenza... la baronne du crime... la Dame noire de Seikuzu... Max... kof kof... pitié ! de l'air !!

Lyli

Créature

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 9 vendredi 01 février 2019, 14:19:42

Lorsque l'ont est au pied du mur il devient plus difficile de mentir. Torturée par un chiffon imbibé et noyant ses voix respiratoires, la belle brune craque, dévoilant ce qui semble être son véritable nom et statue. Une baronne du crime ? Rien que ça ! J'imagine qu'à la surface son nom doit être connu et faire trembler bien des jambes. Mais ici, à des profondeurs vertigineuse, le prénom de Rachele n'est rien de plus que celui d'une poupée vouée à être maltraitée. De toute façon, elle a du faire souffrir un tas de monde avant de leur offrir l'ultime châtiment. Alors même si elle ne m'as rien fait, sa punition n'était pas volée, autant en profiter.

Jamais entendu parler. Les affaires des humains ne m'intéressent pas. Je te trouve gonflée cependant de quémander ma pitié, si j'en crois le poste que tu occupes tu ne dois pas en éprouver beaucoup à l'égard de tes victimes.

Bien sure, si je savais que j'avais en face de moi la responsable de la recrudescence de la pollution maritime à Seikusu, j'aurais pu m'emporter de manière dangereuse et l'étouffer pour de bon. Heureusement pour elle, je ne connaissais pas l'identité des coupables et tous les noms des mafieux, pas assez renseignée pour cela.

Puis franchement, si tu te voyais. Tu te targues d'être une baronne du crime et pourtant tu semble terrifiée. Bien pire encore, tu jouis comme la pire des pucelles sans que j'ai besoin de te toucher...

Mon genoux écrase son ventre bien trop gonflée, écrasant cette élasticité semblant à toute épreuve pendant que je me penche sur elle, toisant ses prunelles terrifiées avant de murmurer à ses oreilles l'amère vérité... Celle que je viens enfin de comprendre.

Notre chère criminelle ne serait-elle pas une grosse masochiste ? tes sales cuisses puent la mouille, même mélangée à l'eau de mer.

Elle crie pitié mais en quelque sorte une partie de son corps semble y prendre un plaisir malsain. Plus je la privait de son oxygène longtemps, plus elle se souillait, et ses cuissardes suintaient déjà jusque sur le bout de ses talons. Ses longues et belles jambes ainsi chaussées devaient faire tourner bien des têtes à la surface, je n'imaginais même pas le reste de sa prestance une fois toute vêtue. Ca devait être un régal pour les yeux et je ne doutais pas de ses capacités à mettre en valeur cette grosse poitrine aux tétons fièrement dressés comme deux dès à coudre bien solides.

Enfin tant mieux pour toi si ça te file des frissons, parce qu'ont ne fait que commencer là. Maintenant que je sais que tu viens du milieu noir de la mafia, je vais te soutirer pas mal d'informations... certaines de vos petites combines ne me font pas trop plaisir tu vois.

Peut-être qu'elle, elle saurait me dire qui se servait des plages de seikusu comme un déversoir à merde, et une manière fiable de filer une bonne leçons aux coupables. Pourtant je ne lui demande rien, pas tout de suite, comme si mon instinct était persuadé qu'il fallait d'abord offrir un exemple digne de ce nom pour lui passer l'envie de mentir. Et puisque j'avais éprouvé un certain plaisir à l'étouffer sous ce tissus, je le lui remet sur la moitié inférieur du visage avec un grand sourire peu engageant, en soutenant son regard. Mon autre main recommence aussitôt ce supplice éprouvant et n'y va pas de main morte sur l'eau qui se déverse très vite en continue. Pas une seconde de répit, pas même la douce petite lueur d'une échappatoire possible... la cascade d'eau salée engloutit son visage autant qu'elle semble pouvoir le supporter, sous mon regard toujours carnassier qui ne la lâche pas. Au point ou elle en est, autant dire qu'elle n'est plus qu'un simple jouet gigotant comme une anguille en dehors de l'eau, sous les convulsions causées par l'asphyxie. Quand ses yeux se révulsent lentement, ma main libre empoigne un de ses gros seins et le lui tord pour lui rappeler de rester bien éveillée. Qui sait combien de temps ce petit jeu dure, je sais que je ne l'arrête cette fois qu'à l'ultime moment ou le tissus s'aspire entre ses lèvres dans une dernière tentative de respirer autre chose que de la flotte. Seul les quintes de toux à moitiés noyées prouvent encore son état de conscience surement très proche de s'envoler.

Cependant, il serait triste de perdre un tel joyaux, et j'ai encore un tas de question à lui poser alors... elle peut au moins se rassurer d'enfin pouvoir respirer lorsque j'enfonce mon doigts dans le tissus, au niveau de la bouche, lui créant ainsi une ouverture pour respirer un filet d'air. Aussi mince soit-il.

Oups, tu vois moi aussi ça m'excite... j'ai jouis contre toi à force de m'y frotter doucement. Mais bon tu as besoin d'une petite pause, tes poumons doivent être douloureux à force.

Et malgré ces paroles je retourne à ce coffre en bois renfermant tous les objets de son supplice. J'en sors un deuxième tissus similaire au premier, et un oeuf vibrant assez gros pour se loger dans les chaires qui ont été étirées par le céphalopode géant. Bien évidement ce dernier disparais dans son sexe si humide que le jouet y glisse d'une déconcertante facilité, formant une petite bosse à l'intérieur. Il vibre, comme sa fonction le veut, de quoi la stimuler pendant que je recouvre également le haut de son visage avec le deuxième tissus. Ainsi, la voilà plongée de le noir total alors qu'une ball-gag rouge jonchée de trou scelle ses lèvres cramoisies.

J'ai besoin de quelque chose, je n'en ai que pour une heure ou deux. Essaye de profiter.

Une dernière salve d'eau imbibe les tissus pour former une véritable prison humide sur toutes les formes de son visage, comme une seconde peau qu'ont ne peut retirer. Scellée ainsi dans le noir totale de ce masque de fortune, elle aura tout le plaisir de perdre la tête avec ce jouet vibrant et la partie inférieur du masque qui l'étouffera à moitié, les trou pour respirer étant plutôt petit. De mon côté, de grandes éclaboussures indiquent le plongeon de mon départ vers un océan plus profond, le but étant d'aller y récolter tout un tas d'algues et autres coraux aux propriétés toxiques, dont je me servirait pour créer de diverse drogues. De quoi faire durer son supplice et l'utiliser comme un sujet de test, certaines de ces drogues allaient être expérimentales après tout.

*J'espère juste qu'elle sera pas assez conne pour tomber à la flotte.*

Oui c'était bien là ma seule crainte car même si elle arrivait à se défaire miraculeusement de ses entraves s'échapper était impossible. Admettons même qu'elle arrive à échapper au gardien tentaculaire de ces grottes sous marines, il lui faudrait encore des capacités pulmonaires hors normes... J'imagine que je ne devais pas me faire de soucis de ce côté là, de toute façon j'étais bientôt sur le retour.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Abysse [PV Lily]

Réponse 10 samedi 02 février 2019, 12:56:34

La sirène cesse d'ajouter de l'eau sur le chiffon, Rachele continue de se battre pour arracher quelques bouffées d'air, ses poumons sont en feu, mais c'est déjà un peu plus facile. Sa respiration, lente et profonde fait gonfler sa poitrine luisante de sueur. La moiteur de la grotte donne à la peau et à la cyprine de la prisonnière une saveur et une odeur puissante et sensuelle.

- Jamais entendu parler. Les affaires des humains ne m'intéressent pas. Je te trouve gonflée cependant de quémander ma pitié, si j'en crois le poste que tu occupes, tu ne dois pas en éprouver beaucoup à l'égard de tes victimes.

Intérieurement, Rachele pousse un soupir de soulagement, l'ignorance de sa geôlière vient de lui sauver la mise. Elle n'ose imaginer ce qu'elle lui aurait fait si elle avait su...

Mais le soulagement est de courte durée. Le genou de Lyli s'enfonce dans son ventre, générant une nouvelle vague de douleur, de sensation d'oppression sur son vagin et son utérus et une excitation malsaine. La sirène l'a remarqué et s'en amuse, mais Rachele en éprouve une honte mêlée de peur, car ce sont ses instincts d'esclave sexuelle qui ressurgissent. Les automatismes et les pensées débilitantes et soumises qui lui avaient été inculquées par son oncle pendant son conditionnement psychologique. Ce désir masochiste et cette peur de la torture avaient fait d'elle une petite chose fragile et obéissante qu'elle avait dû combattre des années durant pour devenir "Max".




- Enfin tant mieux pour toi si ça te file des frissons, parce qu'on ne fait que commencer là. Maintenant que je sais que tu viens du milieu noir de la mafia, je vais te soutirer pas mal d'informations... Certaines de vos petites combines ne me font pas trop plaisir tu vois.

Le calvaire recommence alors pour ne plus s'arrêter...

Des que les premières goûtes d'eau salé pénètrent le tissu, Rachele se remet à se contracter violemment et à gesticuler comme une démente dans l'espoir d'arracher quelques bouffées d'air. Elle force tant sur ses liens qu'elle s'en marque la peau, les cordes lui laissant de petits sillons rouge sur les poignets et les bras. Elle secoue la tête dans l'espoir de chasser le liquide que Lyli rajoute sans cesse, plissant les yeux de douleur, gémissant de désespoir, expectorant l'eau accumulée dans ses bronches.

Le calvaire dur jusqu'à ce que les quelques gouttes dans ses poumons ne transforment pas sa suffocation en noyade. La sirène remarque alors les prémisses de la fin sur le visage de sa victime. Ses lèvres sensuelles et appétissantes gonflent et forme un ravissant motif sur le chiffon, coiffant le trou béant de sa bouche grand ouverte.

Ses yeux commencent à rouler dans ses orbites et de fins vaisseaux de sang saillent dans le blanc de ses orbites.

Rachele est perdue dans sa souffrance, elle commence à se sentir flotter, son corps devient plus lourd et son esprit si léger, elle sent que c'est la fin, qu'elle va pouvoir arrêter d'être... Enfin...

Les doigts de la sirène percent un trou dans son bâillon de souffrance et l'air s'y engouffre si violemment que l'Italienne reprend connaissance en poussant un rale de surprise. Le monde retrouve sa netteté et sa cruauté, la douleur de vivre déferlent à nouveau dans sa chaire, le désir, l'excitation qu'il provoque en elle également.

Lentement, elle redresse la tête, reprenant de longue et lentes respirations pour emplir son sang d'oxygène. C'est alors qu'elle voit le gros objet sphérique que Lyli tient entre les mains.

- Ooonnnn...

Gémit-elle la bouche grande ouverte, incapable de prononcer autre chose tant son corps réclame chaque bouffée d'air. Mais elle n'a plus la force de se défendre ou de serrer les cuisses, lentement et sans grande difficulté, le sexe toy glisse entre ses lèvres et s'enfonce dans son vagin.

- Hannn...

Elle pousse un petit grognement quand l'objet disparaît à l'intérieur de son ventre, que sa vulve se referme sur lui et que les muscles de son vagin se contractent tout autour. La sensation est à la fois délectable et insupportable, comme si ce corps étranger la violait par sa simple présence tout en comprimant chaque paroi sensible de son intimité.

Lyli approche alors le second chiffon mouillé du visage terrifié de Rachele. Les yeux exorbités par l'horreur, elle suit la masse noire du tissu jusqu'à ce qu'elle se pose sur son visage et ne l'aveugle totalement.

- Non... non... n...gueuuu... guuoooooo !

Le gag Ball met fin à ses applications pendant que le sexe toy commence à vibrer dans sa chatte, transformant ses mots en gargouillements et en gémissements de plaisir.

Pendant que Lyli quitte la grotte, les hurlements de désespoir et les cris de Rachele l'accompagnent et résonnent dans la caverne.

Pendant plusieurs longues heures, Rachele croit devenir folle furieuse. Elle se débat comme une diablesse, au point de s'en faire saigner les poignets à force de tirer sur ses liens. Mais rien n'y fait, elle reste fermement attachée en position de "fauteuil pour sirène" pendant que l'asphyxie et la torture sexuelle lui font perdre la tête. Prisonnière de l'obscurité, les souvenirs de son passé refont surface, elle se remémore ses longues nuits enchaînée au lit de son oncle Jucio, cagoulée comme une bête, attendant qu'il rentre pour se faire baiser salement contre le sol.


Elle se souvient de la souffrance, elle se souvient des folie, de la simplicité de sa vie d'esclave nymphomane, elle se souvient des orgasmes incroyables qu'elle a ressenti. Jamais elle n'avait éprouvé telle jouissance qu'entre les doigts libidineux de son oncle. Alors que son esprit chavire de plus en plus vers la démence, la petite esclave nymphomane qu'elle était refait doucement surface...

Quand Lyli revient finalement de sa récolte... Les cris de refut et de contestation de sont mus en gémissement de jouissance.


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