De retour au manoir des Meïsa.( PV kamui)

Une fois le portail franchit, je me trouvai devant la porte du manoir où habite ceux qui mon manquée, j'approche ma mains de la porte, mais hésite à l'ouvrir, Mistile posa sa main sur ma mienne et m'oblige, avec douceur, à l'ouvrir. C'était silencieux, presque mort, on entendais ni le tapage quotidien de celle que je considérais comme mes petite sœur, mais peut être que venir à minuit y était pour quelque chose. Je monte à l'étage, toujours suivit de Mistile qui retenait des bruits d'ébahissement devant la splendeur du manoir.

J'ouvris avec douceur la porte où devait dormir les deux petite et les vit sur le lit serrée l'une contre l'autre, avant je dormais entre les deux et elles me seraient avec beaucoup de force, comme pour me retenir. Mistile attendit au pied de la porte et moi je caressais le visage de ces petite anges.

La plus jeune se réveilla et vit mon regard, aussitôt je montra dans ma main le collier rouge avec la clochette. La petite comprit vite que j'étais Fiela et réveilla son ainée qui comprit elle aussi.

- GRANDE SOEUR !!!!!! Tu es bien Fiela ?

Elles m'enlacèrent tellement fort que j'aurais put être étouffée, mais les voir me serrer ainsi me fit chauds au cœur et je verse quelque larmes.

- Oui, je suis bien votre chianlie de grande sœur ! Je suis de retour et je ne vous quitterais plus, c'est promit.

Mes ailes enlacèrent les deux jeune fille, Mistile s'approche et posa une main sur mon épaule, je desserre leur étreinte et leur dit.

- Voici Mistile, c'est une amie qui m'a aidée, pendant mon absence. Comme elle est assez proche de moi, j'aimerais que vous l'acceptiez.

La démone s'inclina.

-Je serais ravie de vivre ici et d'y faire ce que vous me demanderez.

Les deux servantes étaient la clés pour savoir si elle serais acceptée, ces deux fille avait tendance à faire tout un foin quand une personne qu'elles acceptaient ne pouvait pas venir habiter ici. Les deux servante se regardèrent, s'approchèrent de Mistile et l'examina sous toute ces couture. Mistile eut une mine gênée, il faut dire que ce n'est pas tous es jours que deux gamine regardait le moindre détail de son corps. Puis elles enlacèrent la démone en souriant.

- Est-ce que Kamui est là ?

Les servantes se regardèrent et dit.

- Il est partie dans sa cachette pour déprimer, il avait faillit venir te chercher quand il a eut le message de Malfiore, mais ce dernier est venu lui parler seul à seul, et depuis il a des moments de déprime et va dans sa cachette pour se ressourcer. Il ne devrais pas tarder, normalement.

Je murmura une idée et les deux jeune fille regardèrent Mistile avec des regards qui prédisait une surprise pour elle. Elle plus moi, sautèrent sur la démone pour lui retirer ces affaire et lui enfiler une tenue de servante.

Je sentit le fragment de mon aura approcher. Nous nous plaçâmes toutes les quatre devant la porte et quand elle ouvrit, nous nous inclinâmes en dirent ensemble.

- Bienvenue à la maison Kamui.

Mistile c'était inclinée et dit la phrase avec un train de retard.

Un an avait passé. J'en étais jusqu'à compter les jours. J'étais assis sur le bord d'une cascade, vêtu d'un habit de moine, mes cheveux atteignant maintenant le bas de mon dos, le bras droit et le torse enrobé de bandellettes et un pansement sur la joue. Rien de grave et mon gant de bandelettes cachait un tatouage alchimique que je ne voulais pas nécessairement laisser voir. Derrière moi, habillée de son maillot de bain, ma nouvelle esclave de cinq ans me massait les omoplates de ses petites mains. L'innocence infinie des enfants avait un don pour calmer mes nerfs et le bruit de la cascade était revigorant et c'était drôle de voir la petite faire la nage du chien, maintenant que je la laissais se baigner. Quand elle en eut assez, elle sortit de l'eau et je posais une couverture. Pour la fillette, j'étais une sorte de maître très gentil doublé d'un grand frère. Ce titre qu'elle m'accordait à chaque fois qu'elle était heureuse me faisait rire. Amélia était aussi une enfant que Don avait agressée et elle avait des problèmes quand elle avait envie d'aller au petit coin, ses muscles qui lui permettaient de se retenir avait été salement endommagés par les traitements de l'homme et personne n'a prit la peine de lui apprendre avec patience la propreté, responsabilité qui m'est revenue, comme lui faire aussi prendre son bain, manger correctement, etc. Heureusement, elle sait s'occuper des fleurs et c'est suffisant pour moi, je la gardais donc à mon service.
 
Nous marchions donc vers la maison puisque je me sentais capable de vivre ma journée. Les roses blanches sans épine couvrait maintenant une grande partie de terrain, car je rêvais, en les regardant, de ma belle Abigaëlle. Je m'inquiétais sans cesse pour elle et j'ai cru mourir quand le sceau sur mon front s'effaça. Si Malfiore ne m'aurait pas envoyé ce message, je serais mort depuis un moment, puisque j'aurais cru qu'Abigaëlle avait cesser de m'aimer et que je n'aurais plus le goût à la vie. Maintenant, j'étais plus vivant, car je savais que très bientôt, mon aimée sera chez moi et je ne m'en portais que mieux. Lorsque j'ouvris la porte de mon manoir, je fus accueilli par quatre personnes et le cri de surprise de la gamine derrière moi. Je reconnus mes deux servantes, une bonne que je ne me souvenais pas avoir engagé et...

-Abigaëlle...

N'en croyant pas mes yeux, je m'approchai de la femme. C'était pourtant son visage, ses lèvres, ses yeux, mais elle avait tant changé. Dans mon coeur, je savais que c'était elle, mais comment avait-elle changé autant? Je la pris doucement par la main, l'attira contre moi et, avec amour, je m'emparai de ses lèvres. Je reconnaissais ce goût de cerise et cette manière d'embrasser, c'était bien la femme de ma vie que je serrai contre moi. Brisant ce baiser, je me mis à trembler sous mon soulagement et ma joie de la revoir. Je ne posais pas de question sur sa nouvelle apparence, je m'en fichais, je voulais juste la serrer contre moi. Mon coeur battait la chamade.

-Je ne sais pas si c'est un rêve... J'espère que ce n'en est pas un... tu m'as tellement manqué...

Je remarqua qu'il y avait une enfant qui ne devait pas dépasser les six ans avec Kamui. Mon amour me prit dans les bras et m'embrassa devant tous le monde, il tremblait, moi j'arrivais à retenir mes tremblements. Mistile s retourna en rougissant et les deux petite fille se mirent à glousser.

- Si c'est un rêve alors dit toi qu'il sera éternel.

Mistile s'approcha de nous avec une lettre tendu vers Kamui.

- Voiçi un message de Peste Malfiore.

Kamui put lire dessus.

Bonjour Meïsa Kamui, comme promit je te la ramène saine et sauve. Pour ce qui est de l'apparence, ne te vexe pas, tu sais que le monde des démons engendre des transformations et Fiela ne dérange pas à la règle. Je lui est apprit l'alchimie démoniaque, ainsi que la plupart des sort de démons. Elle a toujours pensée à toi.

Je dois te prévenir de deux chose déjà ma servante Mistile veux rester avec Fiela, je te prierait donc de l'accueillir comme tu accueillerais une jeune femme. La seconde chose est au sujet du nom de Fiela.

Dans notre monde elle est la princesse qui succédera à ma mort, qui risque de venir rapidement, les démons ont vu du mauvaise œil que j'accorde trop d'importance à elle. Si tu entends un démon rechercher Malfiore Reiseijou, tue le immédiatement, car il s'en prendra à ta bien aimée. Ne la laisse sortir que la nuit.

Les nuits de pleine lune réveille sa haine et sa colère enfouis, dans cette états le sceau de limitation sur son front essaiera de diminuer sa puissance, mais elle pourra toujours faire énormément de dégât. D'après ce que je sais, elle s'attaquera en priorité aux esclavagiste, bien fais pour eux,  mais il se pourrait qu'elle suce le sang des esclave. Quand la lune blanche la frappe elle a besoin de sang et le prend sur ces victimes.

voilà c'est tous ce que j'avais à dire. Adieux

Je ne regardais pas car je savait ce qu'il y avait d'écrit, Malfiore me l'avait laisser lire. Je me mit à genou en tendant ma mains vers la petite nouvelle. Mon visage bien que froid montrai une chaleur maternel.

- Elle s'appelle comment ?

Apparemment, le fait que je sois émotif en a fait réagir, mais peu m'importait. Je l'avais enfin et je n'ai pas l'intention de la laisser s'enfuir une nouvelle fois, quitte à la suivre partout, où qu'elle aille. Mon cœur se remettait à battre d'un vrai rythme enfin depuis un an. En effet, pour le moment, j'étais submergé par des émotions que mon impatience avait engendrées et amplifiées, mais bientôt, je serai plus calme et mes tremblements s'arrêteraient. Je souris aux enfants en leur disant qu'un jour, elles auraient un petit copain et elles feront la même chose. L'expression sur leur visage m'arracha un sourire. Elles vont changer de refrain dans pas longtemps, ça, j'en étais sur.

En lisant la lettre de Peste Malfiore, j'ai eu une sorte de dégout juste à la tenir dans ma main. En lisant, je compris qu'il parlait d'Abigaëlle de par son nom originel, mais bon, je lisais et c'est tout. Je compris qu'elle avait pensé à moi, ce qui me fit sourire. Je regardai Mistile et je me jurai d'avoir une petite discussion avec la nouvelle habitante de cette maisonnée. Avec le temps, j'étais devenu plus strict envers les autres, mais je voulais protéger les enfants sous ma responsabilité et je devait me méfier des inconnus, même si je les ai rencontré auparavant. En lisant l'avant dernier paragraphe, j'ai compris que je devrai créer une porte de l'enfer à la mort de Malfiore pour permettre à Abigaëlle de répondre aux demandes de son titre, ce qui n'était pas pour me plaire. J'avais compris qu'elle avait appris l'alchimie démoniaque. Heureusement que je contrôles celle de l'ombre, parce que lors de la pleine lune, le contraire aurait pu mettre mes servantes en danger.

D'ailleurs, je recherchais les parents des petites pour les renvoyer chez elles, car peu importe mon attachement pour ces gamines, je n'ai pas le droit de les garder. Ma réussite à trouver ceux des deux plus vieilles m'avaient convaincu de l'amour d'une mère pour son enfant, la mère de Kayla, quand je l'ai informée, a éclaté en sanglots de soulagement quand je lui ai dit que sa fille était bien portante. Dans une semaine, Kayla rentrait chez elle. Lorsque je lui ai appris la nouvelle, elle ne savait plus si elle voulait rentrer ou rester ici. Cependant, elle finit par céder. Lily était peut-être plus jeune, mais elle avait compris que je ne pouvais m'occuper d'enfants comme le feraient de véritables parents et n'a pas tardé à accepter de rentrer. La mère d'Amélia allait bientôt venir pour prendre un emploi ici et s'occuper de sa fille.

Enfin, bref, j'en parlerai plus tard avec Abigaëlle, qui observait la plus jeune, la main tendue vers elle. Je souris.

-Elle se nomme Amélia.

Encouragée parce que je faisais confiance à la demoiselle et par le regard qui lui rappelait sa mère, l'enfant prit la main tendue et va même jusqu'à lui faire un câlin. J'en souris, car mettre cette enfant en confiance a été un vrai défi, au départ, mais elle adorait déjà Abi, certainement à cause des commentaires de ses camarades de chambres à son sujet. Décidément, la Princesse Démone ferait une bonne mère, j'en étais sur. Je regardait mon aimée avec douceur, parce que je me demandais si avoir des enfants faisait partie de ses plans, car, à la voir, la tâche de mère serait faite pour elle. Je regardai alors Mistile puis je lui souris.

-Je te souhaites la bienvenue chez moi.

J'entendis le nom de la petite, mais je perçus que Kamui me cachais quelque chose, mais je lui parlerais de mes doutes plus tard. Je laissa la petite prendre ma mains et je put lire dans ces yeux que malgré mon apparence, cette fille pouvait lire ma douceur dans les yeux, ainsi que mes blessures, c'est sans doute ce dernier point qui la poussa à me faire un câlin. Je lui murmura dans l'oreille.

- Vie longtemps Amélia.

Elle resserra un peu son étreinte et je posa ma main sur son dos pour la calmer. Je voulus me relever, mais elle tenait à rester en mode câlin, aussi je la prit dans les bras, comme un mère le ferais. Mistile eut la bienvenu de Kamui, celle-ci s'inclina et dit.

- Je vous remercie de votre générosité, aussi, si vous me le permettez, j'entrerais au service de Reiseijou pour m'occuper des fonction de la princesse et vous laisser un maximum de temps libre avec votre épouse. Comme me la demandé maître Malfiore.

Les deux servante se mirent dans mes pattes, c'était de vrais chaton, elles ne pouvaient pas rester sérieuse deux seconde, elles me dirent.

- Tu nous rendras visite hein ?

Puis l'ainée boucla le bec à la cadette. Je sus que mon intuition n'avait pas fais d'erreur. Aussi je prit un visage souriant et regarda Kamui.

- Je pourrais discuter avec Kamui deux minutes ? Mistile, occupe toi d'eux et de la petite, elle vient de s'endormir alors reste près d'elle au cas où elle se réveillerait.

- Bien comme tu le voudras. Venez il ne faut pas les déranger, il vont parler du passée et cela serait très irrespectueux de les écouter.

Ma "sœur" amena les enfants loin, car elle savait que si je m'énervais il y aurait du grabuge et que ma voix pouvait porter loin. une fois hors de porter je me retourna vers Kamui.

- Je pourrais savoir ce qui se passe pour que la petite me dise ça.

Mon ton étais doux, mais une réponse s'imposait.

- Je me suis occupée d'elles pendant un certain temps, j'estime être mis au courant.

Mon aura apparut, même si j'étais un tous petit peu, mais vraiment un chouille, énervée, mon aura apparaissait et ce n'était pas un aura émeraude mais un mélange de noir et de dorée.

L'innocence de Lily était une véritable protection du ciel, car je savais que sa demande n'était pas prononcée pour malfaire, mais par pure curiosité. Lorsque les lieux furent évacué des enfants, je regardais Abi. Ce n'était pas du tout sur ce pied que je voulais que son retour se passe. Effectivement, elle avait le droit de savoir, mais j'étais sur que, vu le ton qu'elle prenait, ça n'allait pas lui plaire du tout. Aussi je m'accotai au mur, laissant échapper un grognement de douleur en m'appuyant sur ma brûlure. Définitivement, les blessures faites par la magie noire étaient très douloureuses en plus de guérir lentement, malgré mes dons de régénération. Je laissa un soupir s'échapper et je regardai Abigaelle.

-À la demande des filles, j'ai entamé des recherches pour trouver leurs parents et... je leur ai proposé d'y retourner... cette idée ne me plait pas vraiment, mais je ne crois pas que je saurais m'occuper d'elles comme un parent. J'ai beau tout faire, chercher sans cesse, il y a toujours un truc qui cloche avec moi. Je me suis attaché à ces enfants, mais je ne peux pas les garder et... après avoir vu la mère de Kayla pleurer de joie en sachant sa fille vivante, cachant bien sûr son viol par Don, eh bien... ce serait injuste de la garder alors que sa mère l'aime et veut la récupérer.

Je baissai la tête. Juste à y penser, je frémissais, parce que j'avais peur que cela ne finisse mal et que je ne termines ma journée à la cascade. Je connais l'attachement que porte la princesse à ces enfants, et je me doutes qu'elle va m'en vouloir. En fait, c'était surtout de voir à quel point une mère aime son enfant et le désespoir qu'engendre sa perte est ravageur en plus de contagieux. Je relevai la tête et regardai la femme de ma vie. Comment allait-elle réagir?

J'écoute son explication et j'ai mal au coeur, je prit une chaise et m'assis tout en essayant de reprendre un souffle moins rapide, plus normal. Je regarda Kamui et dit de ma voix chaleureuse.

- J'avais pensée que cela aurait été plus grave. Que tu n'avais pas de quoi les nourrir et que tu les avais placé dans des famille d'accueils. Pendant tout cette année je me suis demandé si tu aurais al volonté de t'occuper des petites.

Mon aura devint celui que Kamui connaissait, émeraude, mais l'on sentait dans l'air un parfum de joie et de peine.

- Au moins, elles doivent être heureuse de rencontrer leurs mère biologique. Si elles veulent rejoindre leurs mère, je ne peut en aucun cas m'interposer.

Je pris un temps de silence. Cette nouvelle me fendais le coeur, mais si elles seraient heureuse cela me conviendrais.

- Je ne sais pas si je vais allez les voir, je doute que leurs mère accepte qu'une humaine-démone voit leurs filles.

Je me demandais même si je pourrais après ne serais-ce que passer dvant leurs maisons, si les petite me voyaient, elle voudront me présenter et c'est à ce moment que je risque de les blesser par ma présence et surtout par ma nouvelle nature. Je me leva, fit face à un mur et y mit un point furieux, ne le défonçant pas, mais laissant une belle marque perlée de sang, on visage traversé de larmes.

- Pourquoi le destin est aussi cruel envers moi, pourquoi à ce moment je ne t'avais pas dit d'accepter et  ... Que je n'avais pas fuis. C'est un comble, je peut figer le temps, le ralentir, mais je ne peut pas revenir en arrière.

Je me dirigea vers Kamui et posa ma tête sur ces épaule en pleurant, l'espace d'un instant j'étais redevenue la Abi pleurnicharde.

- Peu importe ma puissance, je reste faible devant le destin.

Ce que j'ai dit lui a fait du mal. Je m'en voulais terriblement. Ainsi contre moi, elle se mit à pleurer. Elle ne voulait pas perdre les petites et d'un autre coté, je ne le désirais pas plus qu'elle. En fait, j'aimerais les garder, moi aussi. Avec elles, j'ai pu expérimenter le rôle de père et à force de passer des moments avec elles, je m'y suis attaché. Leurs rires, leurs pleurs, leur innocence d'enfant et leur pureté, qui voudrait que de telles petites merveilles s'en aille?

Je pris doucement le visage d'Abigaëlle dans mes mains, la regardant dans les yeux pendant un moment, me perdant dans ses pupilles, comme pour voir au travers et chercher un moyen de la rendre heureuse derrière. Avec amour, je l'embrassai sur les lèvres. Je ne voulais pas que ces enfants partent, je voulais aussi qu'elles restent avec nous. Pour Abigaëlle, pour le bonheur de cette femme que j'aime depuis plus de deux ans, je pourrais trouver un moyen pour que les trois enfants que j'ai accueilli sous mon toit restent avec nous. Je plaçai doucement la demoiselle contre le mur et je l'enlaçai.

-Je ne peux pas retourner en arrière, mon aimée, mais je peux toujours essayer de changer l'avenir. Le destin n'est pas fixé, il est décidé par nos actions et ceux des autres. Si ton coeur réclame de garder Kayla, Lily et Amélia avec nous, alors, je ferai tout pour découvrir cette faille du destin qui nous permettrait de les garder.

J'étais sincère. Mes intentions sont claires et mes envies tout autant. Je l'embrassai une nouvelle fois, plus passionné, plein de ferveur, scellant cette promesse comme celle d'un mariage. D'ailleurs, parlant de mariage, il faudra bien un jour que j'épouse Fiela, le concubinage n'est pas permis sur Terra. Mais cependant, je doutes qu'elle veuille décerner son mariage à une déesse quelconque, maintenant qu'elle est princesse du royaumes des démons, et encore moins que moi. Je brisai ce baiser doucement et je la regardai dans les yeux en lui souriant.

-Je te le promets, mon Abigaëlle.

Il ma prit mon visage, avec  la douceur que je connaissais de lui. Puis il déposa un baiser sur mes lèvres, je pus à cet instant me rendre compte à qu'elle point ces baisers me manquait. Ces lèvres avait un gout indéfinissable, mais me faisait du bien.

Kamui me plaqua contre un mur mais comme ci au moindre choc j'allais me briser et m'enlace avec ces bras et ces mains, même les caresses était revigorant et me prouvais encore que cela me manquait.Puis il me dit que si je voulais vraiment les garder, qu'il ferais tout pour y parvenir. Jelui posa mon index droit sur ces lèvres.

- Non, ne fais rien. Il faut leurs laisser le droit de choisir, si elle veulent connaitre leur mère et vivre avec, c'est leur choix et non le notre. Nous pourrions de toute façon laisser notre porte ouverte, au cas où elle voudrait nous voir.

Je caressa de ma main le visage et entendis Mistile revenir, je sortit en douceur de son étreinte et regarde les filles revenir. Lily m'enlaça la hanche en disant.

- Ne t'énerve pas avec grand frère, je te présenterait à maman et si elle ne veut pas t'accepter alors je viendrais te voir quand je pourrais.

Sa remarque calma mes dernier doutes, elles voulaient connaitre leur mère, mais en même temps voulais que leur grande sœur ne soit pas triste de les voir partir. Je posa ma main droite sur la tête de la petite et dit.

- Sachez que je serais toujours là pour vous, si vous voulez parler à quelqu'un autre que votre véritable mère, je serais présente. N'hésiter pas à venir me voir, cela me fera toujours plaisir de vous accueillir.

J'avais beau paraitre démon de l'extérieur, mon cœur était toujours celui d'une humaine. Je regarda Kamui avec un regard qui signifiait "Laissons les partir". J'avais moins de doute à propose de leurs mère biologique, si les fille étaient franche, toute mère saurais nous remercier de les avoir  protégés et gratifier de notre amour pendant tous ce temps.

Abigaëlle avait vraiment changé. Je fus pris de nostalgie un moment, la voyant prendre ses positions devant les enfants. Je savais qu’elle en avait le droit, mais la voir parler sans me lancer des regards pour savoir si elle avait le droit de dire telle ou telle chose m’étonnait, mais d’un certain coté, ca me soulageait, car c’est ce que j’ai voulu, auparavant. Je m’écartai doucement, évitant de peur de heurter une des gamines qui s’était glissée derrière moi, soit Lily.

Je souriais aux enfants et Amélia me fit elle aussi un grand sourire, car elle pouvait rester, puisque sa mère voulait travailler pour moi, en échange d’un logement et d’un peu de nourriture quotidienne en suffisante quantité pour nourrir son enfant et elle-même. Cette femme n’en demandait pas beaucoup et aujourd’hui, j’aurais voulu lui donner plus en échange de sa parole de rester ici avec sa fille. En regardant le visage maternel de mon aimée, je me jurai de lui donner un enfant à elle qu’elle pourra aimer et cajoler à son content, peut-être plus si elle le veut.

Bien sûr, j’ai accepté, mais j’ai aussi réclamé qu’Amélia garde ses habitudes qu’elle avait lorsqu’elle vivait avec moi, soit qu’elle continue son fabuleux travail auprès des fleurs. J’ai placé beaucoup de confiance en cette enfant de 5 ans et elle est capable de prendre des initiatives sans que je me voie forcé de l’aider. Dotée d’une grande débrouillardise et d’une saine indépendance, elle sait s’arranger pour ne pas se mettre les pieds dans le plat et quand elle était malchanceuse, la première chose qu’elle faisait, c’est venir me voir, mais dans un calme que j’appréciais. Et comme quoi il m’est totalement impossible de refuser quoi que ce soit à ses beaux yeux noisettes, elle n’hésite pas à me déranger pour arranger les choses. Mais comme elle a cinq ans, elle est sensible aux tons de voix et comprend très bien leur signification. Si on monte trop haut quand on lui parle, elle pleure. Il y a deux choses que je ne supporte pas : Qu’Abigaëlle soit triste et les larmes. Si je vois l’un des deux, je fais tout pour y remédier et les deux en même temps, je fais des folies.

Je regardai Abigaëlle un moment puis j’entendis le majordome annoncer aux enfants l’heure d’aller au travail. Comme les gamines aiment leurs tâches, elles poussèrent de petits cris de joie et se précipitèrent à leurs chambres pour s’habiller, sous mon regard souriant malgré les exclamations. Il semble que le retour d’Abigaëlle m’ait rendu plus tolérant et j’en avais même oublié le livre ouvert dans ma chambre. Lorsque les enfants furent sorties, je me suis assis sur une chaise en laissant un grondement quitter mes lèvres. Mon corps était une vraie plaie, par la faute de cette maudite brûlure. Je regardai la princesse démoniaque et je souris, comme si cette blessure n’était rien à mes yeux, mais en fait, c’était un vrai supplice à vivre.

Mais bon, faut vivre avec, puisque je ne suis pas mage, je ne peux pas contrer ça. La magie peut être apprise, comme l’alchimie, mais la magie est le chemin de la facilité… malgré qu’en ce moment, je n’ai rien à foutre de mon éthique, c’est douloureux et je n’ai pas l’habitude des blessures qui perdurent. Je levai un regard sur la servante de celle que j’ai l’intention de demander en mariage.

Contrairement à ce qu’elle pensait, je n’ai jamais eu la chance de faire ma demande, car j’étais soit occupé soit en voyage, sinon, le courage me manquait au moment de le faire, je n’arrivais alors qu’à faire ce qui s’en rapprochait le plus, soit la câliner et l’embrasser. Je me demande si elle se serait enfuie si je l’avais fait auparavant… Enfin bref, je ferai ma demande une fois seul ensemble, elle sera ainsi libre de dire non, si elle le souhaite.

-Mistile, j’ai une tâche pour toi. Serais-tu capable de guérir ceci?

Je me levai, leur tournant le dos avant de retirer le haut de mon vêtement, dévoilant une horrible trace de brûlure encore aussi rouge qu’au moment où cela s’est produit. La magie en elle l’empêchait de calmer la douleur et j’en souffrais pas mal.

-Parce que j’aurais besoin de me débarrasser de cette souffrance. Ca s’est passé il y a huit mois, au moins et j’ai de plus en plus de mal à la supporter.

Puis un majordome que j'avais connut depuis toujours dans le manoir, surtout pour m'apprendre un peu à faire le ménage d'un manoir, dit au enfant qu'il était l'heure de travailler. Au vue de leur joie, je me doutais bien que tous cela leurs plaisaient et donc, cela ne m'inquiète pas. Kamui semblait lui moins bien s'amuser, il dégustait à vrais dire. Il demanda à Mistile si elle pouvait guérir et nous la montra, à ce moment je porte ma main sur ma boche pour camouflé un cris de surprise et de frayeur. Mistile et moi nous savions ce que c'était.

- Monsieur, vous savez que vous êtes chanceux, normalement se sort est combiné à un compte à rebours, qui cause une mort foudroyante et peu plaisante. Je peut le soigner, mais il va falloir que Reiseijou m'aide aussi.

Elle me murmura ce qu'elle voulait que je fasse et je hocha la tête, je voulais retirer cette saleté le plus vite possible

- Cela risque de faire un peu mal, donc serez les dents.

Je déposa des baiser sur toute la blessure; celle-ci brilla un moment et revint à la normal. Puis Mistile utilisa un sort démoniaque de soin de malédiction, car cette magie là entrain dans cette catégorie. Le blessure se régénéra en même pas une seconde. Puis pour être sur qu'il ne reste pas de magie à l'interieur je lui déposa un baiser sur les lèvres et attendis dix seconde, avnat de le briser et de dire.

- Comme tu peus le constater Kamui j'ai découvert d'autre pouvoir pendant le temps où j'étais là-bas. Je peut contrôler le temps de l'avenir, guérir n'importe quel blessure, poison et même faire revenir à la vie avec mon corps.Bien que le pouvoir de résurrection je le dois à Mistile qui m'a transmit ce pouvoir en voulant me sauver. J'en ai d'autres, mais comme je ne sais pas les utiliser correctement, je les scelle pour l'instant.

Je regarde sur une table et vit ... des roses blanche. Je my dirige en souriant, ayant le comportement d'une gamine et en déposa un dans mes cheveux. Mistile qui se sentait de trop dit.

- Je vais vous laisser, si vous me chercher je suis dans le jardin, j'ai vue quil y avais des mauvaise herbe qui poussait par là-bas.

Kamui était le seul à comprendre que Mistile avait vue son intention de vouloir rester seul avec moi, nul doute que sa justification était sans doute vrais, mais fausse aussi. Elle claqua la porte avec douceur et ma laissa seul avec Kamui.

- Même si un an est passé, je me sent comme avant, une maison pleine de vie, où il est assez dure d'avoir des moment de calme, et il y a toi qui te fais toujours mal quelque part.

J'avais finit ma phrase avec un petit rire, pour montrer que ma dernière phrase était sous le ton de la moquerie, oui, j'aimais bien taquiner de temps à autres Kamui et ça rien ne pourra le changer. Au moment où ilaalit dire quelqeu chose, je lui pose mon index sur ces lèvres pour lui dire de ce taire, je m'approche et lui murmure.

- J'aimerais me marier tant que cela est possible. Autant avoir une autres bonne nouvelle à annoncer à tous le monde à leur retour.

Je me recule et en m'inclinant je dit.

- Kamui veus-tu m'épouser ?!

Grâce à cette blessure, j'ai pus voir de nouvelles capacités qui avaient apparus chez cette femme dont je suis fou, mais au sujet de la mort quim'attendait, je le savais déjà, mais bon, j'ai tellement de volonté que je doutes avoir atteint le seuil de la mort avant au moins deux ans. Chaque baiser sur ma blessure m'apportait un peu de douleur et frissons. Lorsque tout fut fini, je regardai Abigaëlle, admiratif. Elle avait changé, mais je savais que son coeur était toujours comme il l'était lorsque nous nous sommes séparé. Mistile nous annonca qu'elle allait s'occuper des mauvaises herbes dans le jardin, qui était aussi le point d'origine des pousses de roses blanches, là où mes fleurs favorites poussaient le plus, mais je savais qu'elle voulait nous laisser seuls. Elle me dit que cette maison était comme avant qu'elle la quitte et que j'étais encore celui qui se faisiat toujours mal quelque part. À cela, je réponds.

-Je suis peu être un masochiste refoulé et mon subconscient me pousse à me faire mal pour assouvir ses étranges désirs ^^

Mais je pris un visage des plus sérieux. Avec une grande inspiration, je tentai de trouver une manière de faire ma demande, celle que je voulais faire depuis si longtemps, ma demande en mariage. Mais alors que je ne prononcais que son nom, elle m'arrêta et me dit qu'elle voulait se marier avec moi et me fit elle-même sa demande. Une lueur un peu surprise naquit dans mes yeux, mais cette fille a toujours été capable de lire dans mon coeur. Doucement, je la relevai et je l'embrassai avec amour. Cela changeait un peu mes plans, puisqu'elle me faisait la demande. Je murmurai à son oreille.

-Moi qui trouvait enfin le courage de te le demander, voilà que tu me fais cette demande qui me hante depuis pratiquement deux ans. Abigaëlle, je te veux pour épouse, mais pas pour prononcer une bonne nouvelle, mais parce que je suis fous de toi et que je te veux à mes côtés.

Je frotte doucement mon nez au sien. J'aime cette femme de tout mon coeur, et dans la poche de mon pantalon, je sortis une bague en orichalque. Il m'a fallu une demi-année de recherche pour la trouver. Ce métal était si dur que rien, pas même la magie, ne peut le briser et c'était justement ce que je voulais.

-Cette bague... je l'ai faite pour toi, il y a deux mois.

Je lui souris avant de l'embrasser à nouveau, déposant la bague dans sa main. L'objet était encore chaud, mais d'une chaleur confortable. Mes mains se posèrent sur ses hanches, l'attirant davantage contre moi. Sa peau était aussi chaude que mes souvenirs me le rappelaient. Je l'aimais, ma future épouse, et j'en ai le corps tout frémissant de désir.

J'eus un sourire, j'avais bien vue qu'il voulait me faire sa demande et je l'avais devancée, non pas par plaisir, pour montrer mes sentiments retenus pendant un an. Si j'ai accepté de rester dans le monde des démon, c'est pour avoir une force, la force de le protéger ainsi que ceux qui me sont proche. Le prix à payer est ma douleur tous les nuits de pleine de lune, mais je ne regrette pas.

Mon corps fut irradier de bonheur, quand j'entendis Kamui me dire qu'il acceptait de m'épouser et m'offrit une bague ... En orichalque, d'après mon expérience d'alchimiste. je serre un peu ma main pour sentir la chaleur de la bague me traverser et laisse Kamui me prendre par les hanche et réduire l'écart de nos deux corps.

J'approche ma tête prêt de l'oreille de mon futur époux et lui murmure.

- J'ai aussi un cadeau, mais il faudra attendre un peu. Elle est fini, mais elle est assez timide, je suis sur que tu l'aimeras, comme tu m'aimes.

Il s'agissait de quelque chose que Malfiore m'avait aidé à finaliser, car je n'avais, à l'époque, pas suffisamment de connaissance en alchimie, mais je ne dirais pas plus, car sinon la surprise serait gâchée.

- Sache que je ne l'ai pas faites seule, un alchimiste très expérimenté, m'a surveillée.

Pourquoi j'avais dit ça ? Car connaissant Kamui il se serait inquiété et le fait de dire cette phrase avait des chance de le rassurer. Pour l'heure je posa mes mains autour de son cou et donna un baiser plein d'amour et de désir. une minute passa, puis deux, pendant ce laps de temps le temps se figea nous laissant partir dans un baiser où les langues s'entremêlèrent et offrais du plaisir aussi bien à l'un qu'à l'autre. Je brise ce moment magique et le temps revint à la normal.

- Mais si tu veus que je te la montrer tous de suite c'est d'accord, mais tu devras me laisser deux minute pour aller la chercher.(rire)

Je lui souris tendrement. Elle aimait mon cadeau et mon coeur en était ravit. Lorsqu'elle me dit qu'elle m'avais "fait" un cadeau, j'ai compris qu'elle voulait dire qu'elle s'était servie de l'alchimie. Mon visage ne prit pas d'expression de sentiments négatifs particuliers, mais je conservais mon sourire. Oui, j'aurais pu me facher, mais qu'est-ce que cela m'aurait-il apporté de le faire? Qu'elle parte encore une fois? Je ne veux pas la perdre. Une fois m'a suffit pour comprendre à quel point j'ai besoin d'elle et à quel point elle était chère à mes yeux et à mon coeur. Je l'aimais trop pour m'engueuler encore une fois avec elle pour de pareilles futilités. Elle ajouta qu'un autre alchimiste très expérimenté était avec elle, alors, je me détendis, bien qu'un brin de jalousie s'était éveillé en moi. Elle me dis que je l'aimerais autant que je l'aime elle puis que si je le voulais maintenant, elle pouvait aller me le chercher. Alors qu'elle allait le faire, se retournant, me connaissant comme quelqu'un de si curieux qu'il peut en paraître impatient, mais cette fois je l'attirai contre moi et je l'embrassai dans le cou.

-J'ai été forcé de me passer de toi pendant un an, Abigaëlle. Tu crois que je vais te laisser filer cinq minutes de plus? Je ne te laisserais même pas monter dans ton ancienne chambre sans moi.

Je mordillai maintenant son oreille droite, remarquant sa taille plus longue, mais c'est loin de me déplaire, puisque je la mordille sur toute sa longueur, serrant tendrement ma future épouse contre moi. Mon corps voulait le sien, mais je n'ai pas envie d'être brusque alors que nous sommes enfin seuls. Je veux juste la caresser, l'avoir dans mes bras et l'embrasser. Avant de rencontrer Fiela, j'ai toujours eu une préférence pour les humanoïdes et maintenant, elle en avait l'apparence. Son ancienne apparence me plaisait aussi, mais je trouves que ce corps est un peu mieux. Mais son âme... mes yeux voyaient son âme inchangée, bien qu'un peu dérèglée, certainement à cause de cette histoire de transformation de pleine lune, mais elle était aussi belle de l'intérieur qu'elle ne l'est à l'extérieur, sinon plus.

-Abi... est-ce que tu m'en voudrais si je me laissais aller à mes pulsions?

Comme réponse il voulut me garder contre lui, comme une mère garderais son enfant, il était vrai que un an s'était écoulé, mon sentiment n'avais fait que croitre au fils des mois, mais n'est plus aussi fort, car pour m'occuper du cadeau j'ai du pendant un moment oublier mon moi passé, pour m'axer sur le moi présent. Kamui a toujours une manière particulière de donner des baise, assez de pression pour prouver sue ce baiser existait, mais pas trop pour ne pas donner l'impression que le sexe c'était ... du sexe. Pour moi c'est une valse sentimental et corporel.  Ces baiser sur mon cou, me donne des frisson, même si j'avais oubliée cette douceur, mon corps, lui, s'en rappel très bien.

Il me dit qu'il avait attendu trop longtemps pour se séparer encore de moi ne serai-ce que cinq minute et me mordit gentiment l'oreille droite, il resserra encore son étreinte et je mit mes mains le long de son dos, pour le tenir aussi, des larmes de l'ancienne Fiela coulèrent sur mes joues, c'était si bon ressentir ce contact, sentir son odeur et sa chaleur, si pendant toute mes épreuves j'ai put tenir c'est en grande partie grâce à lui. Puis il me demanda si il pouvait se lâcher, laisser ces pulsions. Je lui répondit , en partie, avec un baiser sauvage, mais très doux.

- Tu as attendu trop longtemps, il est normal que tes pulsions revienne, je ne t'en voudrais pour rien au  monde. J'ai comptée chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde du temps qu'il restait avant de pouvoir revoir mon aimé et après je t'offre ton cadeau. Hi !Hi !

Je lui souriait, c'était assez bizarre de sourire, même "elle" m'en avais fais la remarque. Mon visage étant assez froid, c'était un peu déroutant de me voir sourire son arrière pensée. Je lui redonna un baiser et cette fois ma langue chercha la sienne. Heureusement qu'elle n'était pas là, ni les enfants, Mistile devait s'amuser avec les petite, elle avait toujours voulut protéger les plus faibles en échange d'une aide pour certaine tâche. Les petites seraient aussi ravit de voir un nouvelle.