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A Monster At Night [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

A Monster At Night [PV]

jeudi 08 septembre 2016, 01:20:41


Endoriël

« Fuyez, Majesté ! Ils sont après nous ! »

Le temps qu’Anthraïn, son plus fidèle capitaine, prononce ces mots, une flèche fusa vers lui, et lui transperça la gorge, l’envoyant dévaler l’escalier, et la douce Niriëm écarquilla les yeux, blême de terreur, plus effrayée qu’elle ne l’avait jamais été auparavant, en voyant le corps sans vie de l’invincible capitaine, celui-là même qui l’avait protégé contre les loups, une fois où elle se promenait dans les jardins royaux en hiver, rouler jusqu’à elle, les yeux révulsés, du sang s’échappant de sa trachée.

Puis elle entendit les hurlements, et vit ses gardes, en-haut des marches, repousser l’archer qui avait réussi à tuer Anthraïn, mais d’autres hommes se pressaient, leurs ombres déformées par les reflets des flammes.

« Le Roi est mort ! Le Roi est mort !
 -  Protégez la Princesse à tout prix ! »

Figée sur place, Niriëm finit par sentir le sang revenir dans ses jambes, et se retourna précipitamment, dévalant les escaliers, et courut rapidement dans le couloir, ce petit tunnel qui filait le long de la montagne, une poterne discrète pour rejoindre la forêt. Elle n’avait jamais couru assez vite, refusant de croire que Père et Mère étaient morts. Au moins, son petit-frère, encore un bébé, était parti dans le chariot, et, tout ce qu’elle pouvait espérer, c’était que le convoi avait réussi à sortir de la région sans tomber sur des insurgés. Retenant ses larmes, Niriëm courait donc.

Ce soir, elle aurait dû perdre sa virginité. Un mariage avec le fils du royaume voisin avait été célébré hier, et la nuit de noces avait eu lieu aujourd’hui. Mithrandil était un amant parfait, poète, un bon guerrier, diplomate connaisseur des coutumes, ayant fait des études de droit. Le meilleur parti dont on puisse rêver, et elle lui avait offert sa virginité ce soir. Tout aurait dû être parfait, il y avait eu un second banquet magnifique, après celui organisé hier au sein de la famille de Mithrandil. Et puis, la révolte avait été éclaté. Mithrandil avait été tué sous ses yeux, tandis que la ville toute entière, aux pieds du château d’Endoriël, sombrait dans le chaos.

Une crise économique ravageait le royaume, suite à un hiver particulièrement rude et long. Beaucoup de récoltes avaient été perdues, et, pour ne rien arranger, Endoriël avait dû sensiblement hausser les impôts, afin de financer une guerre lointaine contre des peuplades orcs. Tous ces éléments avaient profondément appauvri le Trésor, mais Niriëm n’aurait jamais imaginé qu’une révolte si virulente puisse éclater. La ville était composée majoritairement d’humains, qui accusaient les elfes de les voler, de vivre grassement à leurs dépens. La foule était en fureur, et le château était assiégé de toutes parts, tous les nobles se faisant occire et dépouiller dans les parties hautes de la ville.

Niriëm courait rapidement, entendant des hurlements derrière elle. Elle courait avec la peur au ventre, cette peur qui vous donnait des ailes, sa fine robe bleue transparente suivant son corps gracieux et délicieux.

« Elle est partie par là !
 -  Ne la laissez pas se barrer, il nous la faut ! »

Elle avait peur, bien entendu, car elle savait ce que ces gens la traqueraient, et la massacreraient... Probablement après l’avoir violé. Niriëm arriva donc au bout du tunnel, et grimpa un escalier pour rejoindre une porte, qu’elle ouvrit, débarquant ainsi dans une grotte reculée, et s’élança dans la forêt.

De l’autre côté d’Endoriël, on pouvait voir, par-delà les arbres et la cime des montagnes, des reflets dorés s’élevant haut dans le ciel, signe de la ville en train de disparaître sous les flammes.

*C’est horrible...*

Elle s’aventura à travers les bois. On lui avait dit de les traverser pour rejoindre le fort elfique d’Eveniur, mais elle doutait d’y arriver. Perdue, la jeune femme avançait lentement, retenant difficilement ses sanglots, en entendant des bruits de pas dans son dos.

*Oh non !*

La jeune femme courut davantage, sans voir où elle allait, e qui l’amena à heurter une branche d’arbre, et à tomber sur une petite pente.

« Hîîîîîî !! »

Guère débrouillarde, la jeune elfe poussa des petits cris, ce qui amena ses poursuivants à l’entendre.

« Elle est par là ! »

Les bruits de pas se rapprochèrent, tandis que la belle elfe se redressait en vain, tentant à nouveau de courir. Un homme glissa sur la pente qu’elle avait dévalée, tenant sa hache. Ils n’avaient en réalité pas envie de la violer. Non, leurs intentions étaient bien plus simples.

Ils voulaient juste la tuer.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 1 jeudi 08 septembre 2016, 13:33:59

A la différence de nombreux royaumes elfiques, où les forêts et les autres endroits épargnés par l'influence de l'homme étaient des sanctuaires, Endorïel avait depuis longtemps abandonné tout espoir de pouvoir pacifier ses zones plus sauvages, qui étaient véritablement infestées de monstres. Les loups, les ours ou les araignées géantes n'en étaient qu'une partie, et parmi les moins dangereuses, et après avoir perdu bien trop de soldats dans ces tentatives de nettoyages, le royaume avait adopté une politique moins coûteuse: celle de sécuriser uniquement les routes, et de laisser la nature à son état.

La princesse Niriëm toutefois se trouvait bien loin des routes à présent. Il lui aurait suffit de bifurquer dans une autre direction à la sortie du château pour ne pas se trouver en plein territoire sauvage, mais sans doute aurait-elle alors foncé droit sur d'autres révoltés qui lui auraient fait la peau. L'un dans l'autre, une seule chose était certaine, un destin tragique attendait cette belle princesse, qui sortait pour la première fois de sa tour d'ivoire.

La ville était en feu, les combats violents, mais toute cette agitation était bien trop éloignée pour d'avantage intriguer la créature qui vivait dans une profonde grotte sur le territoire de ce royaume, bien trop éloignée à la fois de la cité et des routes pour que quiconque se risque à y entrer. Qu'était donc cet amas informe de tentacules, de bouches, et d'yeux, dont la forme semblait changer perpétuellement ? Impossible à dire, mais il s'agissait d'une aberration qui s'était installée dans cette contrée depuis déjà bien des années, et qui se nourrissait d'autres formes de vies en les assimilant pour grandir, et évoluer.

Bien que sauvage et particulièrement vicieuse, la créature était aussi pourvue d'une certaine forme d'intelligence, même si elle était majoritairement dominée par ses instincts primaires, car elle avait eu au cours de son existence eût l'occasion d'assimiler quelques humains et elfes, dont la matière grise était plus développée, et lui donnait une certaine forme de conscience. Avec cette conscience de lui même, le monstre avait également vu ses désirs basiques évoluer, dont celui de reproduction, qu'il n'était toutefois pas à même de pouvoir réaliser....du moins, jusqu'à maintenant.

Le sursaut d'activité dans les environs ne passa pas inaperçu à ses multiples yeux et oreilles, et du fond de sa grotte, dont l'obscurité et l'humidité lui servaient à se camoufler en l'attente de proies, la créature perçut de multiples humanoïdes se rapprocher de la direction de sa caverne. Les spécimens masculins, bien qu'ils ne l'indifféraient pas, lui semblèrent toutefois secondaires par rapport au spécimen féminin qu'ils semblaient poursuivre. Il pouvait sentir la peur de l'elfe, et la colère ainsi que l'envie de meurtre de ses poursuivants, qu'elle essayait de distancer. De ses multiples bouches, le monstre poussa de délicats râles, la femelle l'intéressait grandement, elle était en pleine force de l'âge, jeune, parfaitement apte à se reproduire, mais les éléments d'humanité qu'il avait intégré depuis des années lui donnait également des envies moins basiques, et plus axées sur le pur plaisir sexuel qu'il ressentirait en possédant cette elfe.

S'aidant de ses multiples tentacules, la créature se hissa au plafond rocheux et sombre de sa caverne, là où il serait invisible, et où ses émanations gluantes et humides se confondraient avec l'humidité ambiante de la caverne, qui donnait à son fond sur une source d'eau. L'elfe était présentement une proie, paniquée, incapable de réfléchir correctement, et dont le premier réflèxe serait de courir dans cette caverne pour essayer de se dissimuler à la vue de ses prédateurs, qu'elle amènerait sans aucun doute possible à la suivre.

Tous allaient y passer, tous allaient se jeter dans ses gueules, et même si le monstre demeurait silencieux, inaudible, il ressentait une sorte d'excitation perverse à l'idée de posséder cette femelle, et d'assimiler en même temps plusieurs humains. Autant dire qu'il s'agissait pour lui, d'une excellente journée.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 2 jeudi 08 septembre 2016, 14:49:51

Les légendes d’Endoriël parlaient de l’époque avant l’arrivée des elfes, et décrivaient ce monde comme ravagé par la guerre, la sauvagerie, le chaos, et les monstres. Et puis, les grands navires aux voiles blanches et aux mâts dorés des elfes étaient arrivés, apportant leur magie protectrice, et leur civilisation. Ils avaient repoussé les monstres, les créatures sauvages, tout en pacifiant les humains, de solides guerriers, et en les utilisant pour construire et pour bâtir, tout en les éduquant, mettant ainsi fin aux longues guerres claniques qui existaient en ce monde depuis des siècles. Cependant, le monde restait encore très sauvage, a fortiori dans les terres d’Endoriël. De multiples campagnes militaires avaient été menées pour pacifier les forêts profondes, mais, à chaque fois, les monstres revenaient. Et il y avait pire, bien pire, que les ours, les tigres à dents-de-sabre, ou les mammouths peuplant les lointaines montagnes. Les aberrations datant de l’Ancien Temps vivaient, disait-on, dans les profondes grottes du sud d’Endoriël. Après tout, Endoriël était le dernier royaume elfique avant les Terres Sauvages, au sud, des steppes montagneuses et acérées où on ne trouvait rien d’autre que la mort et la désolation.

Mais, en ce moment, Niriëm ne songeait plus aux légendes anciennes, elle ne pensait qu’à fuir, et à sauver sa peau. Les humains continuaient à la traquer, furieux, assoiffés de sang. Elle s’était relevée, malgré la douleur à sa cheville, et fila entre les arbres, perdue, toute désolée, jusqu’à s’approcher d’un petit ruisseau, une rivière qui remontait jusqu’à une grotte. Déglutissant, la Princesse elfique s’y précipita, courant le plus rapidement possible.

*Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir...
Alors, COURS !
*

Suivant cette sage voix, la jeune femme réussit à rejoindre la grotte, et s’y aventura, le cœur battant la chamade. Près du ruisseau, les humains regardaient autour d’eux, recherchant la trace de la Princesse. Ils percevaient son odeur, une délicieuse odeur, car, pour donner à son mari de l’appétit au lit, Niriëm avait mis sur son cou un parfum très érotique, mais qui restait, et qui était facile à renifler.

« Elle était là, putain !
 -  Elle peut pas être bien loin ! »

Ils s’avancèrent lentement, regardant autour d’eux, jusqu’à apercevoir la grotte.

« Là, une grotte ! Conne comme elle est, elle a dû se réfugier dedans... »

En les entendant, Niriëm, qui s’était tassée au fond de la grotte, rougit furieusement, avant de les entendre se rapprocher, et ferma les yeux, adressant une prière silencieuse aux Esprits, à Ceux qui veillaient sur elle. Comment les choses avaient-elles pu dégénérer à ce point ? Terrorisée, elle vit les lueurs de leurs torches, puis les hommes rejoignirent l’entrée de la grotte, les flammes illuminant toute la grotte, et permettant de la voir.

Des ricanements s’échappèrent de leurs gorges.

« Putain, ce qu’elle est bonne, cette salope...
 -  Tout d’un coup... J’me dis que ça serait dommage de gaspiller une telle beauté... Surtout que cette salope est encore vierge...
 -  Tu déconnes... ?!
 -  Pi... Pitié... »

Elle parlait d’une toute petite voix, totalement paniquée, et les larmes ruisselaient sur son visage, tandis que les hommes discutaient entre eux, des érections commençant à pointer. Ils s’approchèrent alors, et un homme la saisit à la main. L’elfe hurla, tenta de se débattre... Et se reçut une violente gifle au visage, qui l’envoya sur le sol, gémissant silencieusement.

« Elle se préservait pour son bellâtre de mari... Et on a attaqué en pleine nuit de noces...
 -  Noooooonnn... ?! »

L’idée sembla beaucoup les faire rire, et on tira alors sur Niriëm, qui hurla.

« Non ! Non ! Lâchez-moi, pitié !
 -  Ta gueule, salope ! »

Une main alla claquer sur ses fesses, la faisant hurler. Elle se débattit encore, mais des étaux la soulevaient. Ces hommes étaient bien trop solides, et la mirent à quatre pattes, tandis qu’une main grasse tirait sur sa robe, la soulevant.

« Merde ! Elle a pas de culotte, cette salope ! »

Niriëm rougit encore, en pleurant. Mithrandil la lui avait retiré... Juste avant qu’un garde ne tambourine à la porte, en annonçant que la révolte avait éclaté. À une heure près, Niriëm aurait perdu sa virginité, et découvert le plaisir suprême, dans sa magnifique chambre, dans un lit superbe, et avec le plus bel époux du monde. Et maintenant... Maintenant, elle allait se faire violer dans cette grotte putride, et mourrait.

Elle ne pouvait donc que pleurer, pendant que, dans son dos, l’homme retirait son pantalon, et approchait sa queue sale et puante de son corps.

Elle avait envie de mourir !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 3 jeudi 08 septembre 2016, 19:05:30

Que ça soit l'elfe qui rentra la première, et qui se dissimula dans un coin de la grotte, ou les cinq humains qui la suivirent peu après, aucun n'avait songé à regarder juste au dessus d'eux. La créature qui avait élu domicile dans cette caverne s'était engluée au plafond, et contractée sur elle même, de façon à avoir une envergure qui soit bien moins aisée à repérer dans l'obscurité. De ce fait, sa peau noire et humide ne faisait pas tâche avec la roche qui dégoulinait en permanence d'eau. La créature observa avec quelques uns de ses yeux la superbe elfe entrer dans sa tanière, effrayée, paniquée même, mais sa beauté stimulait les sens de la créature qui comptait en faire sa femelle. Techniquement, du fait de son ADN adaptable à volonté, ce monstre pouvait s'accoupler et engendrer une descendance avec n'importe quelle espèce, mais il s'était découvert une préférence nette pour les humanoïde depuis qu'il avait absorbé en lui quelques spécimens mâles, ce qui était d'ailleurs la raison pour laquelle certains de ses tentacules se terminaient par des mains, avec cinq doigts et des pouces opposables.

Maintenant qu'elle s'était enfoncée aussi profondément dans la caverne, l'elfe n'avait aucune chance d'échapper au monstre, qui sentait parfaitement son parfum, sa délicieuse odeur, qui l'excitait et réveillait ses pulsions sexuelles. Mais il y avait plus que simplement cette elfe, la créature attendit que les hommes la poursuivant rentrent eux aussi, car ils étaient à eux cinq une source particulièrement abondante de matériel génétique, et leurs cerveaux avaient des connection neuronales bien plus développées que les animaux que la créature avait l'habitude d'assimiler. Le monstre, même avec son intelligence limitée, était néanmoins poussé par l'instinct, celui de vouloir évoluer, de grandir en compréhension...et après, il s'accouplerait avec la femelle.

Les hommes rentrèrent, et malgré leurs torches, ils ne remarquèrent pas la créature qui était engluée au sommet, ils étaient trop concentrés sur l'elfe, leur excitation sexuelle les rendait aveugles, au point d'oublier que dans ces zones, les cavernes étaient des endroits dangereux. Mais cette imprudence allait faire l'affaire du monstre qui se terrait là. Tandis qu'ils étaient maintenant dans une position parfaite, occupés à maintenir l'elfe à quatre pattes, l'aberration commença à doucement faire descendre ses tentacules, et en matérialisait même d'autres depuis son "corps" principal. Les hommes s'apprêtaient à la violer, mais ils ne savaient pas que déjà, une créature bien plus puissantes qu'eux avaient des vues sur la belle elfe.

Les tentacules, une fois en position, frappèrent donc. Le Monstre s'attaque premièrement à l'homme qui se trouvait juste derrière l'elfe, et qui s'était apprêté à la pénétrer. Le tentacule pénétra dans son corps comme dans du beurre, s'enfonçant dans son dos pour ressortir de l'autre côté, perforant sa cage thoracique, et aspergeant au passage l'elfe du sang de l'homme. Au bout du tentacule, qui ressortait de l'homme, une bouche édentée, qui s'ouvrit, faisant face aux quatre autres, et qui poussa un long hurlement inhumain.
Dans la panique qui suivit, les hommes tentèrent, soit de fuir, soit de combattre, mais aucun ne parvint à se sortir du piège que la créature avait mis en place. Ses tentacules les entouraient, elle en tua deux, les trois autres elle les maintint en vie, se contentant de les avoir prisonniers dans ses tentacules. Quand à l'elfe, qui avait été de toutes manière paralysée de peur, elle n'avait pas été difficile à prendre également comme prisonnière. Un tentacule maintenait ses poignets attachés dans son dos, tandis qu'un autre la maintenait en s'étant enroulé autour de son ventre. Le monstre lui s'était alors détaché du mur, et les torches que els hommes avaient lâchés au sol permettaient d'avoir une belle vue du monstre, informe, et changeant sans cesse, yeux et bouches apparaissaient et disparaissaient. Seule une, très grande, servit à commencer à engloutir l'un des cadavres qu'elle avait tué...mais les autres, les vivants, suivraient aussi, car la créature les assimilerait vivants. Seule l'elfe aurait la chance de vivre.
Mais étais-ce vraiment de la chance ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 4 jeudi 08 septembre 2016, 20:07:42

« Ne l’abîme pas trop, Son Altesse a d’autres queues à satisfaire ![/b] »

Ils ricanaient grassement, sûrs de leur puissance, certains de ne rien craindre... Celui dans le dos de Niriëm approchait sa queue, tapant contre la croupe de la femme, qui ferma les yeux en hoquetant. Elle aimerait sortir de son corps, abandonner ce dernier, mais elle sentit bien que ça n’allait pas être aussi simple. Pourquoi une telle injustice ? Pourquoi tant de souffrance ? Qu’avait-elle bien pu faire pour mériter un tel sort ? la Princesse continuait à doucement pleurer, sentant l’homme se rapprocher, grognant, ses mains sales posées sur ses fesses... Quand ce dernier poussa un couinement et partit brusquement. Niriëm entendit alors des mouvements gluants, et l’homme poussa un terrible hurlement, tandis qu’il était soulevé du sol, et que, en même temps, un tentacule s’enroulait autour des poignets de la femme et de son ventre, l’écartant brutalement.

Sur le coup, la jeune elfe ne comprit absolument rien à ce qui lui arrivait, et poussa des hurlements paniqués, en se retrouvant en l’air, et vit des tentacules jaillir depuis le plafond, frappant les hommes. Elle vit un tentacule frapper violemment l’un des quatre tueurs encore en vie, l’envoyant se fracasser sur le sol, brisant tous ses os, tandis que les autres étaient également attrapés par les tentacules.

« NOOONN... Lâchez-moi, lâchez-moi !! »

Niriëm savait ce qu’était cette créature, et hurla encore, les yeux écarquillés, en la voyant descendre depuis le plafond. Un monstre de l’Ancien Temps, créature oublié, héritage de ces périodes révolues où les Grands Anciens avaient dominé le monde, avant que les Dieux ne les chassent. Une spore sinistre et gluante, gélatineuse, au corps informe constitué de tentacules, d’yeux, et de bouches édentées. Là, un œil disparaissait pour se former ailleurs, et ce corps n’était qu’un amas de tentacules gélatineux.

Les hurlements de Niriëm se turent bientôt, tandis que, en vain, elle continuait encore à se libérer... Puis, en voyant la bouche principale du monstre s’ouvrir pour avaler le cadavre, en entendant les bruits atroces de déchirements de la chair et de craquement des os... C’en fut tout simplement trop pour Niriëm.

Son esprit se déconnecta de son corps, et elle tomba dans les pommes.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 5 samedi 10 septembre 2016, 13:03:33

Une multitude de tentacules avaient jailli de la masse principale qui formait le corps du Shoggoth, et maintenaient fermement ceux de la femelle ainsi que de ses quatre agresseurs encore vivants. Si l'elfe n'avait relativement rien à craindre, du moins concernant son intégrité physique, les hommes eux seraient bien moins cheveux. Le monstre voyait un intérêt à conserver la femelle ainsi, car il aurait besoin de ses organes reproducteurs pour y implanter sa semence, afin qu'elle lui donne une abominable descendance. Les hommes, en revanche, n'avaient d'intérêt qu'une fois assimilés par la créature, ce que cette dernière comptait faire en premier. Le cadavre y passa d'abord, et cette vision fit vaciller la pauvre elfe dans l'inconscience, même si par ce biais, elle allait s'épargner la suite.

Une fois l'homme mort englouti, son corps réduit en bouillie génétique que le Shoggoth assimila immédiatement après, il entreprit alors d'assimiler également les autres humains, mais ne prit même pas la peine de leur éviter une atroce souffrance en les tuant au préalable, il les englouttit vivants. Ils avaient beau se débattre et hurler, les tentacules étaient bien trop puissants, et personne ne pouvait les entendre depuis la caverne. Au bout de plusieurs minutes d'agonie, le silence relatif revint dans la caverne, dès lors que le Shoggoth eût terminé d'absorber le dernier des humains. La créature acceuillit cette bouillie génétique avec une certaine excitation, car déjà la créature sentait la différence se faire en elle, il s'élevait à un niveau de conscience supérieur...et se trouvait désormais seul à seul avec l'elfe, qui était toujours inconsciente.

La créature prit un instant pour observer l'elfe, voir sa douce respiration. D'autres tentacules s'approchèrent d'elle, dont deux qui s'enroulèrent autour de ses chevilles, afin de lui écarter les jambes. Soulevant sa robe à l'aide d'un autre tentacule, le monstre regarda alors son entrejambe, et la rapprocha un peu plus de lui afin qu'il aie une meilleure vue sur son antre intime. Il poussa un grondement sonore, signe d'un désir sexuel naissant, et dont il était d'autant plus conscient maintenant qu'il avait assimilé ces cinq humains. Il n'y avait désormais plus le simple instinct de reproduction qui primait, mais aussi l'envie de fourrer cette femelle pour le simple plaisir sexuel qu'il en tirerait. Deux tentacules, avec à leur extrémité des mains à cinq doigts, se glissèrent alors sous la robe de l'elfe pour remonter jusqu'à ses seins, et les malaxer, tandis qu'un autre ayant à son bout une bouche édentée s'approcha du visage de sa proie. La bouche s'ouvrit, laissant couler une bave visqueuse et puante sur les joues de l'elfe, tandis qu'une longue langue violette entreprit de la lécher au niveau de son cou. Avec toutes ces stimulations, l'elfe ne tarderait pas à se réveiller, ce qui permettrait à la créature de véritablement s'amuser avec.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 6 samedi 10 septembre 2016, 16:41:06

Pour Niriëm, tout ça avait été tout simplement de trop. La révolte, la mort de ses parents, la fuite dans la forêt, les insurgés la poursuivant, menaçant de la violer, puis ce monstre... Comment diable avait-elle fait pour ne pas s’effondrer ? Niriëm venait d’un environnement fait de douceur et de candeur, un endroit magique où elle était environnée d’ours en peluche roses, de fleurs, de contes, de cette mièvrerie candide qui caractérisait les jeunes femmes innocentes. Comment aurait-elle pu s’imaginer dans un tel cauchemar ? Son repos, hélas, ne fut guère de courte durée, car, tandis qu’elle gisait sur le sol, des tentacules s’enroulèrent autour de ses chevilles, les écartant. L’elfe gémit alors dans son sommeil, commençant peu à peu à revenir à elle. Le déclic eut néanmoins lieu quand l’une des bouches du monstre s’approcha, et quand des mains gélatineuses malaxèrent ses seins.

« Hnnn... »

Un délicat gémissement s’échappa des lèvres de Niriëm. À son désavantage, quand les rebelles étaient venus, elle et Mithrandil avaient déjà commencé à se faire l’amour, et son amant avait déjà palpé amoureusement ses seins. Or, sous l’effet du sommeil, et probablement motivé par son instinct de survie, son corps se rappela ces précédentes sensations, et des frissons s’échappèrent davantage de l’organisme de Niriëm. Dans son esprit troublé, elle s’imaginait que c’était Mithrandil qui était ainsi en train de la lécher, de pincer ses seins, de lui prodiguer du plaisir, et c’est ainsi que quelques soupirs plaisants s’échappèrent des lèvres de Niriëm, dont l’esprit était à mi-chemin entre la réalité et le monde du rêve.

Elle gémit ainsi, revoyant le corps nu et musclé de l’homme, ce corps qu’elle avait caressé. Niriëm avait déjà eu l’occasion de le voir nu, car, dans leur rituel, les époux devaient se déshabiller avant de se marier, et dormaient ainsi, sans faire quoi que ce soit de sexuel. C’était un rituel destiné à vérifier que leur amour était supérieur à leurs pulsions corporels. Et, même si elle avait conservé sa virginité, Mithrandil avait été forcée de glisser ses doigts, et même sa langue, en elle, car, en sentant son corps nus e presser contre le sien, son torse musclé sur lequel elle avait posé sa tête, l’elfe avait ressenti d’inexplicables vagues de plaisir en se pressant contre lui.

Embrumé, son esprit vint donc la troubler, jusqu’à ce qu’elle n’entende quelques grognements, et ne revienne à elle. Son beau visage se tourna alors, et ses yeux s’entrouvrirent.

« Ohhh, Mithrandil... »

Elle vit son visage, le vit lui sourire, lui glissant qu’il l’aimait, et sa main remonta pour caresser son visage... Mais, au lieu de sentir une peau douce et chaude, elle sentit... Quelque chose de gluant et de gélatineux.

« Mais... Que ? »

Du rêve à l’horreur, elle vit alors Mithrandil disparaître, et vit une espèce d’énorme monstre tentaculaire, et une gueule édentée se tenir devant elle. Les yeux de Mithrandil s’écarquillèrent alors, et elle tenta de ramener sa main... Pour constater qu’elle était collée. Elle dut forcer davantage, tout en se mettant à hurler, la panique s’immisçant dans son esprit :

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... NNNNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONNNN... HAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! AUUUU SEEECOOOOUUUUUUUUUUUURRRRSSSS !! HÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎÎ... !! »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 7 mardi 27 septembre 2016, 14:14:28

L'esprit des humanoïdes pouvait être fascinant, et indéniablement il l'était pour le Shoggoth, qui mieux que n'importe quelle créature discernait à quel point il était complèxe, bien plus que les animaux qu'il avait l'habitude d'assimiler, et qui ne lui apportaient que des instincts et des sensations primaires. A présent qu'il avait assimilé d'un coup cinq humains, le Shoggoth se trouva capable de réflexion bien plus poussée, et étudiait cette femelle avec un regard tout à fait différent, si bien qu'il sembla presque prendre son pied quand il la sentit s'éveiller, et enfin comprendre dans quelle situation elle se trouvait.
La créature était en train de développer des sensations, des proto-stimulis d'émotions qui le traversaient, même si il était d'une nature bien trop alien pour véritablement correspondre à n'importe quel équivalent humain...toutefois une chose était certaine, il allait user et abuser de cette femelle durant un très long moment.

Quand l'elfe se réveilla, elle se mit à hurler et à se débattre, notamment avec ses bras que la créature n'avait pas encore jugé bon  de restreindre, vu qu'elle était inconsciente. Un fait qui fut rapidement résolu par la venue rapide de deux tentacules qui s'enroulèrent autour des poignet de la jeune elfe, venant se joindre à ceux qui maintenaient déjà ses chevilles et ses genoux, de façon à garder ses jambes bien écartées. La femelle se trouva alors légèrement soulevée dans les airs, tandis que les tentacules qui avaien tà leur extrémité une main continuaient à malaxer ses seins sous sa belle robe, ils subirent même une mutation rapide, les dotant les deux non pas d'une seule main mais de plusieurs, afin de pouvoir attaquer ces seins sous tous  les angles possibles.

GRAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!

Rapidement toutefois, la robe se révélà être une gêne pour le Shoggoth, qui envoya alors plusieurs tentacules supplémentaires avec des mains pour la déchirer. Il y allait progressivement, n'arrachant qu'un bout après l'autre, pour que l'elfe aie tout à fait l'occasion de se sentir peu à peu dénudée. Elle sentait bon, son parfum se répandait dans les environs, mais n'était rien face à la puanteur gluante du Shoggoth, qui très bientôt la marquerait avec sa propre odeur. Déjà, le tentacule avec une bouche édentée qui était au niveau de don cou, continuait d'envoyer à l'assaut de sa peau sa longue langue violacée, et laissait sur elle de longue trainées d'une salive à l'odeur et à la texture dégoutantes.
Loin de prendre la considération devouloir la préparer, la créature explorait surtout ce corps car il n'avait que très peu l'occasion de pouvoir capturer des femelles elfes, et celle-ci allait donc tout naturellement prendre cher. Un gros tentacule jailli de la masse principale que formait le Shoggoth, et le bout avait clairement une forme de verge grostesque, d'où de longs filets de bave coulaient, et la créature l'approcha des cuisses écartées de l'elfe pour frotter ce sexe monstrueux contre l'entrée de vagin de la belle.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 8 mardi 27 septembre 2016, 17:21:32

Ce qu’elle vivait était un cauchemar, ça ne pouvait être que ça, le sinistre sort d’une jeune femme tombée en Enfer, allant de Charybde en Scylla. Elle avait fui les révolutionnaires pour tomber sur ce monstre, et, tandis que la créature palpait ses seins, elle se rappela alors son nom, en se remémorant une conversation que son père avait eu avec un sénéchal. Un Shoggoth. Le sénéchal avait été chargé, par son père, de l’éliminer, et ce dernier avait parti le combattre avec une troupe de francs-tireurs et de mages. Le sénéchal était revenu en disant que la mission avait été accomplie, mais sans ramener la carcasse de la bête, et en soulignant avoir été le seul survivant. Comme il avait été grièvement blessé, nul n’avait douté de son discours, mais, maintenant que Niriëm voyait ce monstre, elle se demandait si ce sénéchal n’avait pas été un peu trop présomptueux. Le Shoggoth était un démon ancestral, et, pour beaucoup, originaire d’une autre planète. Presque invincible, il fallait le désintégrer entièrement, car, s’il subsistait une seule cellule de son corps, il pouvait se régénérer à volonté. On disait de ce monstre qu’il pouvait grossir indéfiniment en se nourrissant de femmes, et c’était bien pour ça que le Roi avait mené une battue pour le traquer, car le Shoggoth, quand il était entré dans la région, s’était fait remarquer. Il avait attaqué des fermes isolées, tuant les hommes, mais capturant les femmes.

En sentant les mains visqueuses de la créature sur ses seins, Niriëm pleurait, n’ayant plus la force d’hurler, surtout quand elle sentit des tentacules supplémentaires immobilisant ses poignets, la décollant du sol. Prisonnière, elle remuait encore son buste, avant d’entendre sa magnifique robe-bustier se déchirer lentement. Cette robe valait en elle-même une fortune. On aurait pu acheter un village entier juste pour elle, tant elle était précieuse. Il avait fallu les talents de plusieurs tisserands et enchanteurs pour la confectionner. Douce, soyeuse, incroyablement fine, sa couleur bleuâtre résultait d’un coloris très spécial... Et cet infâme monstre la déchiqueta sans problème, sans vergogne, et sans aucune once d’hésitation.

« Gnnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Fermant les yeux, elle détourna la tête en sentant une langue lécher son cou, essayant d’éloigner sa tête autant que possible, l’odeur pestilentielle se dégageant de son corps lui retournant l’estomac. Niriëm continuait à pleurer, mais, maintenant qu’elle n’avait plus la force d’hurler, ses sens se concentraient davantage sur l’odeur... Et cette odeur, oh, cette odeur ! Niriëm avait toujours vécu dans des endroits paradisiaques, d’agréables jardins, à mettre de magnifiques parfums. Comment pouvait-elle supporter cette odeur moribonde, putride ? En réalité, elle se sentait sur le point de vomir, tandis que la bave du monstre glissait sur elle.

« N-Non... Noon... Non, non, non... »

Elle suppliait en vain, entendant les déchirements de sa robe... Pusi cette dernière tomba mollement sur le sol, glissant le long de son corps, et elle sentit ensuite une effroyable verge s’approcher de ses cuisses, tapant contre sa peau.

« NON !! DÉGAGE, HAAAAA... NNNNOOOOOOOOOOOOONNN.. !! »

Retrouvant un sursaut de vitalité, Niriëm se débattit sauvagement, cherchant, en vain, à se libérer de cette prison infernale...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 9 mardi 13 décembre 2016, 00:02:54

Le Shoggoth était bien loin de s'embarrasser de l'opinion de cette femelle elfe, les humains qui avaient voulu la violer, et que la créature avait désormais assimilés, ne l'avaient pas fait non plus. D'eux, la créature venait simplement de gagner en capacité de raisonnement et en instinct sexuel. Si il n'avait pas assimilé ces humains plus tôt, alors cette elfe lui aurait paru simplement comme un bout de viande supplémentaire à incorporer à sa masse, seulement maintenant, les choses étaient différentes. Cette femelle possédait des courbes, et des organes, que la créature pouvait et voulait utiliser sans passer par l'assimilation, ce qui est absolument nouveau. Le Shoggoth se trouvait excité par cette perspective, mais pas au sens où les humains pouvaient le ressentir. Il y avait dans cette excitation quelque chose de profondément bestial et sauvage, la créature était poussée à faire cela par son instinct.
Ce même instinct qui l'avait poussé à la vouloir nue, ce qui auparavant n'aurait jamais été un facteur déterminant. Il le poussait aussi à donner à l'un de ses tentacules la forme grossière d'une grosse verge, et à choisir soigneusement l'emplacement qu'il allait prendre...l'intimité de l'elfe contre laquelle il était en train de se frotter, en répandant sur sa belle peau sa bave visqueuse et puante.

L'elfe toutefois se mit à se débattre. Elle avait perdu de sa combativité lorsqu'elle s'était rendue compte qu'elle ne pourrait pas se libérer, car les tentacules du Shoggoth la maintenaient fermement. Mais à l'approche du tentacule phallique de son intimité vierge, elle recommençait à se débattre, plus fort même qu'auparavant.
Et la créature en en réponse, commença à grogner de façon menaçante.
C'est alors que l'un de ses tentacules, avec une extrémité en forme de main, jaillit de sa masse principale pour se rapprocher du visage de Nirïem. Une première claque, sourde et lourde, s'abattit sur l'une des joues de la précieuse petite elfe, qui n'avait probablement jamais été battue ainsi dans son palais. Le Shoggoth enchaîna à plusieurs reprises ces gifles sur le visage de l'elfe, il se surprit même à "aimer" le côté humiliant et de punition de cet acte, qui consistait quelque peu à la remettre en place, car après tout, les humains qu'il avait assimilé étaient tous d'un naturel violent, il héritait donc d'une partie de ces éléments aussi.

Après lui avoir asséné ainsi quelques gifles, la créature profita du fait que l'elfe soit sonnée, pour faire jaillir un autre tentacule de sa masse principale, celui là avec une extrémité phallique, qui alla rapidement se fourrer dans la bouche de la princesse elfe tant que cette dernière était trop sonnée pour vraiment fermer ses lèvres.
La bouche de Nirïem fut donc envahie par un gros tentacule baveux, qui déversa sa bave directement sur sa langue et dans sa bouche à mesure qu'il remuait, l'assaillant de son goût infect.
Puis rapidement, le tentacule entreprit de s'enfoncer dans la gorge de la belle elfe. Un point de vue extérieur aurait même pu voir la gorge de la femelle se déformer sous l'effet de cette pénétration aussi furieuse que disproportionnée. Le tentacule s'enfonçait par acoups rapides dans la gorge de l'elfe, puis s'en retirait pour la laisser respirer, avant de retourner à l'assaut toujours aussi furieusement.

Le reste du corps de l'elfe n'était pas pour autant ménagé. Deux tentacules aux extrémités en forme de mains malaxaient les seins de la pauvre victime, tandis qu'une multitude d'autres aux fomes de verges se frottaient contre elle. Sur son ventre, dans son dos, plusieurs utilisaient même les aisselles de Nirïem pour se frotter contre dans un étrange geste de masturbation.
Quand au tentacule qui se frottait encore et toujours contre son intimité, il semblait ne pas vouloir démordre de ses mouvements, il se glissait de tout son long contre les lèvres intimes de la princesse, et pus particulièrement son clitoris qui était de fait caressé par cette masse ignoble quasiment en continu.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : A Monster At Night [PV]

Réponse 10 mardi 13 décembre 2016, 09:42:32

La gifle du monstre surprit Niriëm, et, même, d’un certain point de vue, la... La choqua. L’elfe était une petite chose fragile, qui avait passé sa vie dans les dorures de son château. Elle n’avait toujours connu que de la douceur, des caresses, des tendresses. Même quand elle pleurait, qu’elle était triste, ou quand elle faisait des caprices, personne n’avait jamais porté la main sur elle. Personne n’avait même jamais eu l’idée de taper sur une fille aussi belle, et aussi douce. Elle avait été une fille assez capricieuse, mais sa mère la câlinait toujours. C’était l’univers dans lequel elle avait grandi, et, quand la violence avait tapé à sa porte, matérialisée par des révolutionnaires barbus, puants, et belliqueux, Niriëm n’avait pas vraiment réalisé ce qui lui arrivait... Pas plus que quand elle était tombée dans cette grotte, où un shoggoth, monstre ancestral dont on façonnait les légendes, lui était tombée dessus. Mais, quand l’un des tentacules de cette... Monstrueuse monstruosité avait commencé à caresser son intimité, Niriëm avait commencé à émerger, comme si son esprit finissait peu à peu par réaliser que, non, ce n’était pas un rêve. C’était bien la réalité, et c’était un cauchemar ignoble.

Et cette gifle, ce fut le coup final. Plus que la douleur, elle sonna Niriëm, car on ne l’avait encore jamais giflé, et elle sentit une vive douleur. Un frisson traversa tout son corps, et, le temps qu’elle puisse dire quoi que ce soit, une nouvelle gifle claqua son autre joue, puis encore une, et une quatrième.

« Haaaa... !! »

Elle secoua la tête, et sentit soudain un gros tentacule s’enfoncer dans sa bouche, l’amenant à se crisper. Ses yeux s’écarquillèrent sous la stupeur, et sa tête partit en arrière sous la pression de ce membre, dans lequel elle planta instinctivement ses dents. Elle s’enfonça dans la texture gélatineuse du tentacule, mais sans blesser ce dernier, et sans ralentir nullement son ardeur.

« Uuuurrrkkk... !! »

Des gémissements s’échappèrent de ses lèvres. La jeune elfe se tortilla encore, et les tentacules maintenant ses poignets et ses chevilles se crispèrent davantage. La jeune femme se mettait à pleurer, et des larmes glissaient le long de ses joues rougies, tandis que le membre phallique niché dans sa bouche se mit à se déplacer, ondulant d’avant en arrière. Son corps se crispait, et Niriëm couinait encore, puis sentit le tentacule se retirer, avant de s’enfoncer à nouveau, plus profondément. Elle gémit en sentant ce dernier s’enfoncer dans sa bouche, atteignant sa gorge, provoquant un mouvement de régurgitation... Mais, malheureusement pour elle, le shoggoth était bien conçu, car le tentacule qui la pénétrait répandait aussi sa bave sur elle, que Niriëm avalait progressivement. Or, cette bave avait une sorte de fonction anesthésiante, qui permettait de dilater la gorge, et, surtout, de lutter contre ce sentiment de haut-le-cœur qui s’emparait de vous quand quelque chose titillait trop longuement le fond de la gorge.

Le temps passait, et le tentacule continuait à filer. Niriëm gémissait, les joues toujours meurtries, et poussa de nouveaux couinements quand elle sentit des mains gluantes venir malaxer ses seins, pinçant et tirant sur ses tétons.

« HHMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !! HNNNNNNNNNNNNNN... !!! »

L’elfe se mit à nouveau à remuer sur place, et sentit de multiples tentacules caresser son corps. Difficile de dire combien il y en avait, mais les tentacules frottaient tout son corps. Plusieurs caressaient ses jambes, se masturbant dessus, d’autres frottaient son ventre, son estomac, son bassin, ses fesses... Et le tentacule phallique contre son intimité continuait à caresser sa peau, se masturbant le long de ses lèvres intimes. Elle en sentit également sur ses aisselles, la plante de ses pieds, et même deux vinrent caresser ses mains. L’elfe aux cheveux roses entreprit vaguement de les repousser en serrant ses doigts dessus, mais, faute de les repousser, ce contact sembla au contraire les exciter davantage, car les tentacules phalliques se mirent à remuer davantage.

Niriëm continuait à couiner, mais ressentait de nouvelles sensations, très étranges... Au niveau de ses seins, où elle avait... Hum... C’était compliqué à expliquer pour elle, mais c’était... C’était comme on lui faisait du bien en la faisant souffrir, car elle ressentait à la fois du plaisir et de la douleur.

*Que... Qu’est-ce qui se passe... ? Mon corps... Il me trahit !*

Elle ne voyait pas comment le définir autrement. Et, surtout, elle avait l’impression d’uriner, car un liquide commençait à s’échapper de son intimité. Niriëm comprit néanmoins que ce n’était pas de l’urine, car sa mère lui en avait déjà parlé.

*Ma cyprine... Ma cyprine sort ! Non, ce... Ce n’est pas possible !*

Elle gémit encore, et tenta vainement de se libérer, ne faisant que masturber davantage les tentacules situés contre ses pieds et contre ses bras. Niriëm secouait la tête, en signe de dénégation, et ferma les yeux pendant quelques secondes, comme pour rejeter ce plaisir traître. Comment ? Oui, comment est-ce que son corps pouvait ressentir de l’excitation face à... Face à cette chose innommable et puante ? Mais, au point où elle en était, Niriëm ne réalisait même pas que les odeurs horribles s’échappant du shoggoth étaient potentiellement aphrodisiaques, même si, dans le fond, ce qui venait surtout la trahir, c’était cette longue frustration lancinante en elle, en gestation depuis des années... Quand on avait un tel corps, celui-ci ne demandait qu’à être pris.

En définitive, oui, son corps était bien en train de la trahir, et de la faire s’enfoncer dans les abîmes bestiaux et amoraux de la concupiscence et du stupre...


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