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Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

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Kamui Meisa

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Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

mercredi 22 juillet 2009, 18:20:18

Tekhos, le dernier endroit où j'éprouvai le moindre désir de me rendre. Je n'aimais pas du tout cet endroit, pour la simple raison que la technologie de ce lieu était franchement agaçante. Trop évolué pour que je puisse me repérer facilement dans tout ce système. Et de plus, il pleuvait à crier l'inondation, mais bon, c'était pratiquement la seule chose de normal dans cet endroit.

Mais j'y était pour une seule raison, marchant vers l'église de l'Ordre immaculé, le plus souillé des Ordres religieux, je recherchais Abigaëlle, mon esclave ainsi que la femme dont je me suis épris. Dans mes yeux bleus était enregistrée la position de l'actuel maître de cette inconsciente. Ma main gauche, serrée en un poing douloureux, crépitait de l'énergie verte d'Abigaëlle, cette même énergie que j'avais absorbée pour la soulager de ce surplus, il y a presque neuf mois de cela. Cette même énergie s'était éveillée par trois fois et chaque fois, mon esclave était souffrante, et pourtant, cette énergie me guidait et aussi, elle avait réveiller plusieurs pouvoirs dans mes pupilles, telle que l'emmagasinage d'énergie, me permettant de transmuter même si je n'avais aucun matériau sous la main.

À chaque fois que je pensais à ce qui a provoqué notre séparation, je pensais à ce que je lui ai fait. Je ne voulais pas lui faire de mal, mais elle aurait pu risquer sa vie pour réussir sa recette et je l'avais engueulée, parce que, inconsciemment, j'avais eu si peur de la perdre alors qu'elle avait eu mon interdiction la plus formelle de se servir de l'alchimie sans ma présence. Les petites alchimies simples tel qu'un mur de pierre pour se protéger ou alors s'en servir pour aider passe encore, les intentions sont bonnes et elle se forge une bonne réputation d'elle-même, mais je lui ai interdis toute recette sans moi et elle m'a désobéit. C'était la seconde fois que je m'emportais ainsi contre elle. J'en avais tant de remords que lorsque je me suis calmé, j'ai voulu aller m'excuser, que ce n'était pas une punition nécessaire, mais à la place, j'ai trouvé une lettre qui me disait qu'elle était partie pour se punir. Mes deux servantes, de huit ans et onze ans, Kayla et Lily, toutes deux aussi violées et capturées par Don, se mirent à rechercher leur grande sœur dans toutes la maison. Elles la surnommaient grandes sœurs parce qu'au départ, je leur faisais peur. (Moi? Faire peur? Allons donc!). À force de recherches, elles m'ont supplié de la retrouver. En fait, je préparais déjà mon voyage. Une fois prêt, j'ai demandé à Darimon de veiller sur mes deux esclaves et de les diriger dans la maison, en lui faisant la promesse que s'il osait toucher mes esclaves, je lui foutais un cône de terre dans l'anus jusqu'à ce qu'il lui sorte par la bouche et il ne prit pas cette menace à la légère parce que je le ferai.

Je heurtai une personne, me tirant de mes pensées. À son accoutrement, je pouvais dire que c'était une nonne, mais lorsque je l'agrippai pour éviter qu'elle ne tombe et se blesse, je vis un visage que je n'aimais que trop sous la cagoule de nonne. Abigaelle. En me voyant, son visage se peint d'horreur, perçant mon cœur de mille aiguilles et elle s'enfuit, s'arrachant à ma prise. Mais je ne tardai pas à la poursuivre. Elle disparut derrière la porte de la maison de l'évêque. Mes yeux réagirent à cet endroit, l'évêque était le nouveau maître d'Abigaëlle. Abigaelle... pourquoi ne voulait-elle pas me voir? Me haïssait-elle?

Je la suivis à l'intérieur. L'évêque était là et je ne voyais guère mon esclave. Je regardai l'homme avec une colère incommensurable et je me souvenais l'avoir vu à la vente d'esclave. Ce sale être était réputé pour être un pervers de première, un abuseur d'enfants, de nonnes et de croyantes, leur promettant ainsi le salut de leur âme au paradis. Cet endroit était une vrai farce. Même un idiot ne pourrait le croire. L'homme s'approchait et me sourit.

-Bien le bonjour, mon fils. Que puis-je pour toi?
-Je viens ici pour récupérer ce qui m'appartient, Excellence.
-Mais rien qui n'est ici n'est à toi, je peux te l'assurer.
-La femme que je recherches est ma servante et je viens de la voir entrer.
-Cette demoiselle est ma protégée.
-Je viens la récupérer, Excellence. Je vous prierais de vous écarter que je puisses aller la chercher.
-J'ai bien peur de ne pas pouvoir faire cela.
-Je ne suis pas ici pour discuter.
-Mes gardes te surveillent, mon fils.
-Lesquels?

Sous ses yeux, deux murs de fer se formèrent dans l'entrée, sans même que j'eus fait un mouvement. J'étais du genre très impatient, en ce moment. Je voulais Abigaëlle et j'ai bien l'intention de la ramener à la maison. L'évêque fit une sale tête devant cette démonstration et recula. Un garde monta avec un poignard sous la gorge d'Abigaëlle. À ce même moment, mon sabre pointa la gorge du "saint" homme.

-Si tu oses lui faire du mal, je te tranches la gorge.
-Si tu me fais du mal, cet homme tranchera la gorge de cette fille. Laisse tomber ton arme et soumets-toi à nous. Tu as osé agresser un serviteur de Dieu, tu payeras pour ce crime.

Je regardai l'homme puis Abigaëlle. Il ne fallut pas longtemps avant que je ne laisse tomber mon sabre. Ce prêtre était un vrai salopard, prêt à tous les bassesses pour se tirer d'affaires... en fait, il n'était pas mieux qu'un autre, juste plus sournois que d'autres. Les murs s'abaissèrent et les gardes s'empressèrent de m'attacher les bras. Ils m'emmenèrent dans une cave, suivit de l'évêque et d'Abigaëlle. Ils m'attachèrent au mur, les bras écartés et les jambes jointes, comme si je venais d'être crucifié.

-Ella (Nouveau nom de Fiela donné par le prêtre), occupe-toi d'absoudre notre invité de ses péchés. Fais-le souffrir comme le fils de Dieu, mais en pire, puisqu'il a réellement péché.

Je regardai Abigaëlle, mais je me préparais déjà à me faire massacrer, car je savais que je ne risquais pas d'y échapper. Je lui souris gentiment, très content de la revoir.

-Abigaëlle... Je t'ai enfin trouvée ^^
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Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 1 mercredi 22 juillet 2009, 19:48:55

Mon nouveau maître était un prêtre, un gentil homme en apparence, mais al vérité tomba quand j'expliquai ma situation, mes pouvoirs et mon don de l'alchimie. Il me dit qu'il serait mon maître et que si je fuguais je serais une hérétique, que plus personne ne voudra de moi. Il me menaça de tuer ce qui m'était le plus chère, aussi je le servit sans contester le moindre de ces ordres. Il me donna un nouveau nom : Ella qui d'après d'ancienne légende serait une déesse démoniaque ayant été enchainée à une humaine. Aujourd'hui était un jour ordinaire, sauf que le ciel était bizarre, comme si il annonçait une grave nouvelle.

- Ella tu vas aller me chercher la réponse de Malfiore, ne revient pas sans une lettre avec son tampon.

Je m'inclina.

- Il sera fais selon votre désir maître.

L'ordre le plus important été de ressembler à une nonne à l'extérieur, aussi tous les soir il y avait une messe où j'y allais pour récupérer des fonds. Il fallait avoir la tenue, l'attitude et la pensée d'une nonne, trois jours suffire. J'allais donc voir ce Malfiore, c'était un démon fort irritable et l'un de ces disciple se chargeait de mes punitions. Je toque à la porte et entendis.

- C'est quoi !
- Maître Seprent voudrais avoir votre réponse sur le sujet de hier.
- La voilà, j'espere que mon disciple ne te donne pas trop de douceur ?

Il fallait répondre et mentir aurait été une grave erreur, il savait quand je mentais. J'eus un temps où ma voix ne sortait pas et dit.

- Il m'inflige de très bonne punition, mais il se retient par peur de me tuer.
- Trop sentimental ce démon inférieur, la voilà sa réponse.

Une lettre passa sous la porte, Fiela la prit sans se faire voir par d'autre personne et partit en mettant la lettre sous son soutien-gorge. Je passe par plusieurs petite ruelles et finit par en prendre une plus grande, à ce moment quelqu'un me heurtai, me déséquilibrant, je voulut m'excuser et vit ... Kamui ...

Mon teint devint livide, je tremblais, je pris une mine horrifiée, libéra sa prise et courant à toute jambe en relevant ma robe pour ne pas me prendre dedans. J'essayais de le semer, mais il était trop futé et semblait avoir quelque chose pour savoir où j'étais. je rente dans la maison de mon maître et dit.

- Un ancien maître arrive cachée moi je vous en prit maître.

Je reçu une giffle et il me pesta dessus.

- Idiote, tu aurais du l'amener chez Malfiore, il s'en serait chargé. Tss ! Vous deux allez chercher Saber, quand aux autres cachez-vous en venez sur mon ordre.

Il me prit le téton droit et le tira sans ménagement, me pliant de douleur et il me murmura à l'oreille.

- Si il tente quoi que ce soit contre moi, tue le, si tu le fais ta punition sera moins pénible.

Deux garde me prirent par les pieds et me trainèrent derrière un faux mur. Je pus assister à l'intervention de Kamui et j'en pleurais, il allait se faire tuer. Puis un des grade me prit par les cheveux et sortie du faux mur avec un poignard sous ma gorge. Kamui courba l'échine et se fit attaché, puis mon maître m'ordonna de le faire souffrir et me murmura à l'oreille.

- ... Qu'il meurt, et je te laisserais libre sans que tu ne sois poursuivit pas la sainte Eglise et qu'ils ne tuent tous les témoins de ton excistence.

Je prit un poignard et alla vers Kamui. Ces mots furent suffisante pour me faire trembler les mains, je ne voulait pas le tuer, je voulait qu'il vive, je voulait dire plein de chose et surtout que je n'étais pas encore prête à revenir. Je mit un coup de poignard, mais ne le toucha pas. Mon maître me prit le poignet me tira vers lui pour me mettre un coup de poing dans le ventre.

- Je t'ai dit de le tuer, si tu n'y arrive pas utilise ton alchimie ou tes pouvoirs. TUE-LE ! SABER !! Ramène toi, fais d'elle ta poupée.

Le démon apparut dans une volupte noire.

- Laissez moi faire, mon seigneur.

Le démon me prit l'arrière du crâne et m'embrassa, je prit une mine effrayée, me débâtant, donnant des coups et l'on vit mes veine apparaitre en noir, montrant un des arts les plus répugnant des démons, il mettait un brin de son souffle démoniaque dans le corps et en prenait le contrôle; Cette possession était très désagréable comme si on vous démembrait très lentement et que vous étouffiez. C'est d'ailleurs ce qui m'arriva. Puis je ne fus plus maître de mon corps. Mes mains se rencontrèrent et un cercle de sang alchimique se dessina en un millième de seconde.

Kamui se retrouva avec onze pic de glace dans le corps à des zones précise. Les poignets, les coude, les épaules, un dans le ventre, les genoux et les chevilles. Des larmes coulèrent sur ma joue. Mon maître s'approcha de mon corps, qui était maintenant rien de plus qu'une marionnette et me dit.

- Et bien tu voies c'est pas si difficile. Alors monsieur l'alchimiste, qu'est-ce que cela fait d'être victime de sa science par une de ces plus proche esclaves. Je trouve que cet fille est utile, surtout pour faire d'objet sas le moindre sous, en sculpture d'or, très pratique à revendre. Je suppose que c'est toi le maître qui l'a fait fugué, je dois te remercier pour cette poule aux œuf d'or.

Le maître prit le pic de glace au ventre et le fit tourner d'un demi-tour.

Kamui Meisa

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Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 2 mercredi 22 juillet 2009, 20:33:58

Lorsque j'ai vu le dit Saber embrasser MON Abigaëlle, je me mis à me débattre pour m'extirper de ce piège. J'étais furieux, littéralement. Personne n'avais le droit de prendre possession du corps d'Abigaëlle, personne!

-Ôte tes sales pattes d'elle, démon de bas-étage!

Je vis alors Abigaëlle faire un cercle de transmutation sur le sol et sept pieux de glace jaillir de nulle part pour venir s'enfoncer dans mon corps. Pas un cri de douleur ne quitta mes lèvres, parce que j'étais totalement absorbé par ma servante qui se pliait aux ordres d'un autre. La douleur que me fit ressentir le prêtre était moindre que celle que j'avais à regarder la femme que j'aime, soumise à la volonté d'un être abject. Je regardai donc le prêtre et je lui souris avec la plus grande des indifférences. Puis, je regardai Aby. Ma main droite fit d'elle-même un mouvement et la jeune femme se leva, manipulé par sa propre énergie. Elle s'approcha ensuite, le poignard dans la main. Mon regard bleu se posa sur l'homme et je lui donnai un sale coup de tête.

-Tu pues de la gueule, le prêtre. Fais de l'air.

Je souris à mon esclave. Elle que j'adorais par-dessus tout, je l'obligeais à s'approcher de moi. Elle avait le regard vide, mais je savais qu'elel voyait tout et entendait tout. Je connaissais la seule chose qu'elle ne supporterait pas de faire d'elle-même. Je savais qu'elle ne souhaitait pas du tout ma mort, mais mon stratagème nécessitait une chose, qu'elle me croit mort.

-Eh, le démon, tue-moi. Mais seulement avec le corps d'Abigaëlle. Elle est la seule à pouvoir le faire, alors, vas-y!

Je savais ce qui allait se passer maintenant. "Abigaëlle" dans ma main droite me l'avait dit. Ses pouvoirs étaient incommensurables si elle était soumise à une vive émotion. J'allais passer par la tristesse, la culpabilité et la colère, trois émotions qui arrachaient le cœur d'un humain et allaient réveiller les pouvoirs cachés d'Abigaëlle. Elle m'a toujours reproché d'être trop doux, mais là, j'allais être plutôt dur, car j'allais lui faire du mal une nouvelle fois, mais ça devrait nous sortir tous les deux du pétrin. Heureusement, je ne lui ai jamais dit que mon cœur se régénérait, même s'il était percé, elle pourrait donc croire à ma mort.
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Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 3 mercredi 22 juillet 2009, 21:42:08

Mon maître se ramassa un coup de tête de Kamui, ce qui em fit rire intérieurement, mais une douleur me transperça, puis une voix.

*Soit sage humaine et oublie cet homme.*

Kamui parla aux démon qui fut surprit et parla avec sa voix glacial

- Je vais te laisser la tête de libre humaine et tu vas me dire si tu peus effectivement le tuer.

Je sentait que ma tête reprenais de la chaleur, mais je ne voulais pas répondre. Aussi Saber prit son fouet et me déshabilla en me faisant souffrir, je pus retenir les trois premier cris, puis je me mordit la lèvre inférieur, une fois complètement nu, le démon s'approcha et me souffla à l'oreille.

-Répond à ma question.
-Je ne veux pas le tuer, je ne peux pas !
-Tant pis, cela ne fera que retardé l'échéance. Mistile vient là.

une servante apparut, on aurait dit une humaines, hormis qu'elle avait quelque chose d'artificiel, un utilisateur d'alchimie pouvait comprendre que le corps était fait d'alchimie, mais l'âme était magique, ce corps ne possédait rien de naturel. la servante s'approcha de ma poitrine et me mordit sans ménagement mon téton gauche, me faisant pousser un cris.

-Oh ! Mais suis-je bête, un humain meurt un fois le cœur blessé.

On voyait bien qu'il avait fait exprès de me faire souffrir juste pour le plaisir de ma voir pleurer de douleur et crier.

- Bon, je vais te tuer humain, des propres mains de Ella. Je sais, je ne vais pas te poignarder, la main de cette fille transpercer ton cœur et je l'obligerai à boire ton sang. Après je vais la libérer, pour qu'elle ce donne la mort toute seul.

Misty lâcha prise et se mit derrière moi en suivant mes mouvements, puis je fus assez prête de KAmui pour lui porter le coup fatal, je protesta de toute mes forces, masi cela ne servait à rien. Mon bras droit fut totalement flasque, Misty le prit et l'enfonça sans prévenir dans le cœur du prisonnier, ma main ressortit de l'autre côté enfonçant jusqu'à l'épaule, puis mitsy me fit reculer pour ressortir ma main complètement. J'avais tous ressentit, la peau qui se fais déchirer, les organes qui se font fendre, le sang chaud qui perle toute ma main. Misty mit un sceau d'eau pour récuperer le liquide vital de Kamui, puis quand le démon jugea qu'il en avait assez, il sortit un entonnoir et le donna à la servante.

Elle me mit de force l'entonnoir dans la bouche et déversa le sang dedans, je n'avais pas de possibilité autre que de boire, laissant des larmes couler sur mes joues. C'était la première fois que le sang de quelqu'un me répugnait à ce point. Le démon dit.

- Gardes en la moitié, nous allons encore un peut nous amuser avants de la laisser chialer sa peine sur ce cadavre, fait donc la punition numéro 77.

Misty s'inclina, partie et revint avec une grosse seringue. Elle le remplit au maximum du sang de mon ancien maître et avec un embout me l'enfonça très profondément dans le vagin, en s'assurant de rendre hermétique toute sortie du sang et vida la seringue en moi. Mon visage fut livide et horrifier de sentir ce fluide chaud se répandre en moi et gonfler mon ventre, je supplie la servante d'arrêter, mais elle continua et une fois tous le liquide en moi elle s'assit sur mon ventre et la pression fut suffisante pour faire sauter le bouchon et le sang de Kamui avec mon fluide se répandit sur le sol, faisant apparaitre une petite vapeur au dessus de ce mélange.

Mon corps me fut rendu et je m'élançais vers le corps de Kamui, mais je ne put pas le toucher, mon corps ne voulait pas l'effleurer, je lui parla comme-ci il était encore vivant.

- Abrutis, pourquoi tu m'as vue au marché, pourquoi a-t-il fallut que tu m'achètes, pourquoi ...

Je m'affaisse puis mon aura se matérialisa en aile où circulais mon sang, un belle première phase d'un pouvoir latent qui se réveil et puissant apparemment. Mon regard changea, de la tristesse il devint infernal, même Saber eut un hoquet de surprise devant mes yeux, qui étaient devenu celui d'un démon, mais bleu ciel.

- JE VAIS TOUS VOUS TUER !!!!!!!

Mes blessures se résorbèrent à vue d'oeil, l'aura disparu faisant choir au sol le sang qui y circulait plus tôt. Ma peau se couvrit d'une fourrure blanche, mon visage commença à prendre une forme de canidé. Une fois la transformation finit j'étais devenu une louve blanche aux yeux ciel, de ce corps émanai de la puissance et un aura meurtrier. Je n'avais plus de voix, mais grognait en montrant des canines blanche et tranchante. Les autres furent figés de frayeur, je voulait les tuer pendant qu'ils courraient, alors j'attendis, tels une déesse de la vengeance.

Kamui Meisa

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Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 4 mercredi 22 juillet 2009, 22:44:58

Je sentis mon coeur être percé de la main d'Abigaëlle. La douleur fut certes horrible, mais je ne lui montrai qu'un sourire, en profitant pour lui ravir un baiser avant d'éteindre toute trace de vie en moi, me servant des ténèbres qui vivaient en moi pour les cacher. Mon sang fut donné à Abigaëlle et avec lui mon pouvoir de régénération, qui circulait dans nos deux corps. Je fermai les yeux, et je laissai les évènements se produire, mais quelque chose que je n'avais pas prévu se produisit. D'immenses ailes noires, tels celles d'un ange démoniaque fendit la chair de mon dos. La glace qui m'avait blessé éclata et mon sang se répandit sur le sol. De longues griffes remplacèrent mes ongles et ma peau s'assombrit pendant que mon regard se fixait sur le prêtre.

-Lu...Lucifer!

Effectivement, c'était belle et bien l'apparence que j'avais. Lucifer, mon plus vieil ancêtre et certainement le seul qui avait de vraies couilles et que je respectais. Se dresser contre les entités divines, il en fallait, de la volonté. Les Meisa, les démons de haute caste dans les huit royaumes démoniaques. Un Meisa ne peut mourir, sauf s'il est pourfendu par un dieu ou par Lucifer lui-même. Les liens se détachèrent et des pieux sorti de nulles part, si fin que même un microscope ne pouvait le voir, pour s'enfoncer dans les pieds de mes bourreaux. Ils restaient désormais immobiles, planté là. Mon apparence soudaine retourna à son état normal et mes liens se rattachèrent. Mes yeux restaient cependant ouverts pour regarder ma divinité lacérer mes ennemis.

Je suis le pire monstre qui devrait hanter l'esprit des hommes. Les connaissant parfaitement tout en étant un représentant des êtres les plus noirs de ce monde. Lucifer, il pourrait pratiquement me lécher les bottes et les archanges eux-même pourraient avoir peur de moi si j'étais un véritable démon. En fait, je me faisais peur à moi-même, puisque c'était également la première fois que je prenais une telle forme. Est-ce que l'aura d'Abigaëlle révélait les pouvoirs latents des êtres qui la touchent? Si tel était le cas, je me demande quelles sont mes nouvelles limites. Je ferme à nouveau les yeux. À toi de jouer, Abigaëlle... je suis bien trop las pour regarder. Je recouvrerai mes forces avant la fin du combat, c'était une promesse que je me faisais à moi-même.
« Modifié: jeudi 23 juillet 2009, 02:12:36 par Meisa Kamui »
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Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 5 jeudi 23 juillet 2009, 10:19:48

J'entendis mon maître crier le nom du plus grand démon de tous les temps. Je me retourna et vit ... Kamui devenir pendant un moment un démon. Même si il était devenu un démon puissant je m'en moquait et cela me fit prendre conscience de quelque chose, je n'étais pas moi même. sinon j'aurais eus peur, peur pour lui. Mon bourreau démoniaque tremblait, il tremblait devant un démon plus fort que lui.

- Maître venez, il y a un démon avec l'humaine.

Malfiore apparut derrière des ailes démoniaque, je grogne pour le menacer, mais il me regard avec mépris. Il s'approcha de son disciple et ce dernier finit en cendre. Mistile ne bougea pas devant la mort de ce démon mineur.

- Je n'aurais jamais crut voir dans ce monde un membre de la famille qui pourrait succeder au seigneur. Je ma présente Peste Malfiore, successeur légitime du royaume Del Morte, tu as du entendre parler de moi comme, l'homme qui a mis à mort une dizaine d'ange en une attaque basique. Quoi qu'il en soit je vais devoir te laisser partir, nous ne pouvons pas te tuer nous même, seul cette jeune divinité le peu.

Le maître était complètement largué et ignoré, ce qui ne lui plut pas trop.

- De qu'elle divinité tous ce que je vois c'est une humaine qui c'est transformée en louve.

- Justement, prendre l'apparence véritable de la déesse Louve n'est possible que pour des élu qui deviendront des divinités. Si l'on tente quoi que se soit elle nous attaquera, mais à l'heure actuel, elle n'est qu'un poussin, même vous si vous restez calme vous pourriez la battre facilement.

Je n'attendis pas plus, il démon me traitait de poussin, d'être inférieur, tous cela ne fit qu'augmenter ma fureur et je bondis sur Malfiore, mal m'en prit, car il me prit à la gorge et me jeta contre un mur. Il retira son gant droit et je vit une mains entouré de ténèbres.

- Désolée petite humaine, mais je vais devoir te rendre ton apparence et te torturer pour posséder ton pouvoir, si tu as une résistance inhumaine, tu auras de petite chance de survivre.

Il disparut me colla  contre une croix, en faisant attention à ne pas le toucher et mon corps fur parcourut de sursaut et reprit sa forme originel. Le démon dit quelque chose qui ressemblait au sifflement des serpent et je me retrouva la tête en bas, les jambes écartée, les bras joint, le tout attachés par des chaine avec des maille ressemblant à des serpents. Je voulut faire de l'alchimie mais je reçu un choc de l'intérieur de mon corps.

- Ne fais rien qui pourrait de couter la vie humaine, ton ancien maître ne peut que regarder, devenir un démon pour les Meisa demande beaucoup d'énergie, car pour que son ancêtre obtienne le pouvoir de régénération, il a du avoir une part d'humanité en lui et devenir physiquement humain, donc si il chercher encore à devenir démon, cela lui coutera plus que sa vie, ce qui lui est cher et c'est toi. Comme je suis d'excellent humeur je vais te dire le programme, déjà je vais te remplir le corps avec un liquide qui augmente la vitesse de croissance d'un embryon démoniaque, cela risque de piquer un peu, ce qui veut dire que je vais te violer et te laisser faire naître un enfant qui auras tout tes pouvoirs et après je te tuerai, puis je laisserai partir le Meisa.


Mon visage fut complètement blanc, il voulais que j'enfante un démon, il voulais que le premier enfant que je met au monde soit un démon qui pourrait devenir plus tard un des plus puissant que le monde est connut. Je me mit à tenter de gigoter et à crier, le démon m'embrassa et je pousse des cris de terreur étouffés. Et oui si Fiela était destiné à devenir une divinité, cela allais forcement attiré tous ceux qui veulent avoir de la puissance.

- Que ma gloire commence.

Il eut à la fin de sa phrase un rire glacial, je me mit à crier de peur de plus belle, je ne voulais pas subir ce que ce démon voulais faire. Mon maître, lui avait disparut, sans doute par peur du démon. Malfiore disparut et revint devant moi avec trois sphères d'un noir encore plus sombre que les ténèbres.

- Meisa tu as quelque chose à dire à cette petite humaine avant que je commence ?

Kamui Meisa

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Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 6 jeudi 23 juillet 2009, 14:12:31

Cette fois, j'avais plus que la rage au coeur. Jamais je ne laisserai un salopard tuer Abigaelle, personne n'en a le droit. Je regardai le minable démon qui croyait franchement qu'il pourra souiller mon esclave. Mes liens, d'un simple mouvement des bras, se rompirent et je lançai à Malfiore un regard remplie de haine, de dégout et de rage. Les sentiments négatifs formaient une sombre aura autour de moi. L'énergie confinée dans cette pièce était si intense que l'évêque caché derrière deux tonneaux de vin en mourrut littéralement, son minable petit coeur ayant cessé de battre.

- Personne... personne ne touche à mon Abigaëlle... Personne ne lui fait de mal et personne ne peut se permettre de lui faire un enfant... personne en dehors de moi et certainement pas une petite frappe telle que toi. Abigaelle est à moi et personne ne la souillera devant , derrière ou encore loin de moi.

D'ailleurs, maintenant que j'y pense, Abigaëlle avait mon sang en elle. Peu importe où elle sera, je saurai où elle est. Merci à cette Mistile. Celle-là, je la tuerai en dernier, car elle m'a rendu un fier service, et j'en étais presque reconnaissant.

Sous les yeux effarés du Démon, je repris mon apparence démoniaque. Mes ailes noires d'ange né déchu mettaient davantage de pression dans l'air. J'étais au-delà des démons, car l'énergie résiduelle d'Abigaëlle me fournissait assez d'énergie pour me servir de la puissance scellée dans ce corps, soit celle de Méphistofélès lui-même.

Je marchai lentement. L'énergie verte dans ma main droite et celle, bleue, dans ma gauche émettèrent des grondements effrayants. Dans mes mains apparurent les Épées Alchimiques. Deux longs sabres de couleur noir et blanc. D'un mouvement, j'aurais pu me planter et l'enfoncer dans le mur, mais celui-ci ne fut guère rencontré, mais la lame passa comme au travers d'une illusion.

- Ces lames n'ont pour ennemi que les connards d'une autre dimension tel que toi. Malfiore, je t'envoies rejoindre tes ancêtres. Adieu.

D'un geste horizontal du bras, si vif qu'une étincelle de lumière se fit voir dans l'obscurité de cette cave ma lame blanche fendit l'air et trancha la tête du démon, qui tomba sur le sol. Je ne m'arrêtai pas là. Je le dépecai. Je tranchai chaque articulations de chaque membres et le sang noir coula sur le sol, relachant Abigaëlle. Je lâchai mes armes et l'attrapai, la prenant dans mes bras. Je devais l'horrifier et la dégoûter, en ce moment. Je caressai doucement la joue de l'élue aux dieux avant de l'embrasser sur les lèvres, retrouvant ainsi le goût de cerise de sa langue pour la première fois après neuf ans de séparation. Mon baiser dura un moment puis je rompis ce contact. J'étais si content de la revoir en vie, elle m'avait tant manqué. Plus jamais je ne la laisserai partir. Mon coeur battait la chamade juste à prononcer mes prochaines paroles

-Abigaëlle...je suis venu jusqu'ici... car je voulais te demander pardon et... et te dire que je suis tombé amoureux de toi...
« Modifié: jeudi 23 juillet 2009, 16:17:22 par Meisa Kamui »
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Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 7 jeudi 23 juillet 2009, 17:28:08

Malfiore ne fut pas surprit de voir Kamui se libérer de ces entrave et entendit la première phrase qu'il répliqua par.

- Ho !Ho ! Ne croit pas que le destin soit aussi égoïste, elle sera des notre, les étoiles l'on prédit.

Quand il vit le Meïsa prendre un apparence proche d'un dieux de l'enfer, il sourit moins et eut une mine quelque peu effrayé, bien que intérieurement il riait. Malfiore ce fit décapité, la tête arborant un sourire et le reste de son corps fut réduit à l'état de compost.

Moi, je fut effrayée de voir cette facette de Kamui, si il avait du puiser dans son énergie pour se transformer, c'était de ma faute, si il avait du simuler sa mort et sentir mon bras s'enfoncer en lui, c'était encore ma faute. Quoi qu'il en soit j'étais libre et Kamui m'enlace en me disant qu'il voulait se faire pardonner et qu'il m'aimait. Je voulut poser mes bras sur ces épaule, mais ils s'arrêtèrent à un centimètre sans que je puisse le toucher, je culpabilisait encore de l'avoir fait du mal, je réussit avec mon corps, sans le toucher à me libérer de l'étreinte, des larmes coulèrent sur mes joue, ce que j'allais dire ferait mal pour lui, mais encore plus pour moi.

- Je ... Je ... Je suis désolée. Je ... ne mérite pas votre pardon et encore moins votre amour, je ne suis pas encore prête à avoir la moindre compassion de  votre part.


J'avais utilisée le vouvoiement, pour bien montre que j'avais érigée une barrière entre lui et moi. Dans ma voix on sentait que cela me faisait mal de le dire, mais on pouvait surtout sentir une envie de voir Kamui heureux, sans moi. Je recula de trois pas, Kamui voulut s'approcher, mais Mistile se mit entre lui et moi en disant.

- Maître Malfiore m'a demandée de la protéger jusqu'à son retour, veuillez ne pas approcher.

Je regarda surprit le corps du démon, qui n'était plus là et sentit un souffle que j'avais trop connut, celui de Malfiore.

- Alors ? On croyais s'être débarrassez de moi ? j'ai moi aussi des pouvoirs, tu n'as pas oubliez que la famille Malfiore compte parmit les démon les plus puissant, tu m'as traité comme un inférieur, mais t'as réaction ne montre-t-il pas le contraire ?


Il enlaça son bras autour de mon cou et passa se langue dessus. Je ne pouvait plus bouger, sa froideur dans son ton, m'avais toujours paralysée

- Tu dois aussi te demander comment j'ai survécu et bien c'est grâce à Mistile, elle peut synthétiser n'importe quoi, y comprit le sang de cette humaines, un contact cutané suffit. Elle ne peut pas mourir car l'alchimie qui la compose contient un cercle pour tous type d'agression, alchimie comprise bien sur. Elle me permet de ressuscités autant de fois que je veus, mais à besoin comme paiement de sang frais, venant d'une femme bien sur.


A ces mot je sentit un poignard sortir de mon ventre. Kamui voulut intervenir mais un cercle d'alchimie interdite le cloua au sol, sans possibilité quelconque d'agir. La marionnette déposa ces lèvres sur ma plais et aspira le sang, c'était affreux de se sentir vider, mais la marionnette arrêta de boire et soigna la plaie. Malfiore reprit la parole.

- Je t'offre un marché  et que je suis prêt à prêter un serment inviolable si cela te rassure. Laisse moi cette humaine pendant un an à partir de ce jour, pas un de moin, pas un de plus. A la date fixé je te la renverrais à tes côté. Après je n'en ai que faire, pendant le délai u ne cherchera pas à la revoir, ni à me revoir, ni à demander à mes quelques supérieur de rompre le contrat. Si tu le fais je la garde pour  toujours, j'en fais ma servante éternel et j'efface tous ces souvenirs.

Il laissa un temps de silence.

-Si tu n'accepte pas, il suffit que Mistile te touche et crée une magie, qui arrêtera ta régénération, et cette fois se sera bien Ella qui te tuera pour de bon. Alors qu'elle est ta réponse ?

j'avais peur pour Kamui et réussi à crier.

- ACCEPTE !

Des larmes coulaient sur mes joue déjà rouge des précédente larmes. Le démon eut un sourire.

- Je crois que ton esclave veut ta vie et non ta mort, tu devrais l'écouter, le cœur des femmes en bien plus sensible que le tien. Aussi nous pouvont mettre des petite caractère sur le contrat pour que cela t'arrange, je suis très rigoureux quand il faut faire un contrat qui satisfasse les deux partie. Alors t'a réponse ?

 
« Modifié: jeudi 23 juillet 2009, 17:53:50 par Fiela »

Kamui Meisa

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Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 8 jeudi 23 juillet 2009, 19:04:20

Le démon me proposa un contrat. Un contract qu'Abigaëlle appuyait. J'accordais mon aimée à ce démon et en échange, il me laissait la vie sauve. Croyait-il vraiment que son homonculus de pacotille faisait le poid contre moi? Un an sans celle que mon coeur voulait? J'ai manqué de crever après neuf mois. Je regardais Abigaëlle puis je ressentis une affreuse douleur dans ma poitrine. Je sentais des millions d'aiguilles s'enfoncer dans mon muscle cardiaque. Elle refusait mes sentiments pour elle et je sentais le manque dans mon coeur. Le noir brouillait mon esprit puis je souris avant de me mettre à rire. C'était un rire rempli de tristesse et de souffrance et des autres sentiments que me donne le rejet. Abigaëlle ne voulait pas de moi. Et après tout, pourquoi une divinité s'embarrasserait-elle de moi? Je sentais les ténèbres qui m'avait prit en hôte me murmurer des paroles à l'oreille.

Je m'approchai alors de cette femme que j'aimais. Lorsque Mistile tenta de s'interposer, elle fut repoussée par un tentacule noire qui s'enroula autour d'elle. Dix-huit tentacules venaient de quitter mon corps dont six avaient une affreuse bouche et une multitude de petits yeux. Ils se promenaient indépendamment les uns des autres, mû d'une volontée propre. Sous les yeux d'Abigaëlle, l'homonculus se fit violer, poussant des hurlements inhumains tant les tentacules lui faisaient du mal. Moi-même, je n'avais d'yeux que pour Abigaëlle, je n'avais conscience de rien d'autre que l'envie que j'avais d'elle. J'avais envie de hurler ma douleur, mais elle était si intense qu'elle en était muette. Les ténèbres étaient les maîtresses de ce lieu et peu importe les protections qui avaient été apposée sur la femme derrière moi, rien ne pouvait la protéger. J'étais maintenant devant mon esclave, silencieux. Nos lèvres se joignirent dans un nouveau baiser, plein d'amour, de tristesse et de passion, mais alors, quelque chose que je n'ai jamais enseigné à mon esclave se produisit. Sur son front se dessina un symbole d'Éden qui signifia "Aimée". Ce sceau était une ultime protection, indestructible, impossible à effacer.

-Dorénavant, tu pourras lui faire ce que tu voudras, la gifler, l'embrasser, la violer autant de fois que tu veux, elle ne sentira rien. Tu peux essayer de la tuer, elle ne mourra pas. Ce sceau l'empêchera également de tomber enceinte et de perdre son apparence actuelle. Il n'autorise qu'un seule personne; moi.

Je lui souris avec l'air de l'homme qui annonce que toute tentative de changement est impossivle. Je regardai Peste Malfiore avec un grand sourire sadique et je lui chuchotai à l'oreille quelques mots.

- Je ferai de ton existence un monde encore pire que l'enfer, condamné à une éternelle insatisfaction. Voilà ce que ton offre donne et enlève. J'acceptes, et j'en parlerais avec le Maître qui, comme tu le sais, ne te porte pas dans son coeur. On va bien s'amuser.
« Modifié: jeudi 23 juillet 2009, 19:16:46 par Meisa Kamui »
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 9 jeudi 23 juillet 2009, 20:37:25

Même si mon visage restait paralysé, intérieurement j'étais effrayée par ce qu'infligeai Kamui  à la marionnette qui, même si elle n'était pas vivante au sens propre du terme, souffrait. Si mon corps n'était pas paralysé je vomirais devant le monstre qu'était devenu Kamui. Le démon ne fit rien pour protéger Mistile et sourit même en voyant le spectacle.

Kamui me donna un baiser, j'avais en tête de l'arrêter quoi qu'il arrive et c'est à cette instant qu'il y eut un sceau sur mon front, j'entendis ce que Kamui dit et la menace qu'il allait faire sur Malfiore, celui-ci se mit à rire.

- J'en ai parlé au Maître aux moment où j'ai sentît le pouvoir de cette petite. Il a accepté que je l'étudie et en fasse mon, comment les humains dise déjà, ha oui, rat de laboratoire. Les conditions de son acceptation sont qu'il bénéficiera en priorité de la petite pour ... la former. Et de tuer le moins possible, cela fais bientôt un mois que je n'ai pas tuer.

Au mot "former", je en savait pas qu'il voulais faire de moi une des leurs, une démone. Malfiore continua à rire.

- Mais tu sait il y a un défaut majeur à se sceau, quand le cœur cesse de battre, il se brise, après il  suffit juste de le faire redémarrer. Sache que je croit qu'au vue de ce que tu as fait à Mistile, elle n'ai peur de toi, encore plus qu'elle ne soit effrayée par moi.


un sourire mauvais cernais le visage du démon qui avait gagné, d'un certain point de vue.

Je sentait que je pouvais bouger et je n'hésita pas une seule seconde, je gifla avec toute mes force la joue de Kamui, se finissant avec un bruit qui résonna dans  toute la bâtisse,mais Mistile était libre de ces mouvements et ne criait plus. C'est avec des larmes que je lui cria.

- Tu n'es pas le Kamui doux que je connait ... tu ... tu ... tu es le monstre qui vit en lui ! Tu aurais attendu que je sois ressortie en m'offrant une rose blanche, celle que j'aime, je t'aurais parlée, je t'aurais dit une date pour revenir, mais à la place tu as préféré me suivre et finalement toutes tes douleurs, toute tes peur ton aveuglé. Tu sais j'ai lut un livre que tu cachais, ce sceau nait de l'amour de deux être mais ne peut perdurer que si ces sentiments sont réciproques.


Mistile prit Kamui par le col et l'envoya plus loin, la marionnette se mit en face de moi, pour me protéger et dit.

- Vous avez donné votre amour à cette humaine et pourtant vous n'hésitez pas à faire plus de mal que nécessaire devant ces yeux. Je ne connait rien à l'amour, mais un amant ne doit-il pas agir pour le bonheur  de sa femme ?

 
Malfiore se racla la gorge.

- Je n'aimerai pas couper cette attention touchante, mais pourriez-vous mesdames vous écarter, Meisa et moi devons parler sérieusement. Ton acceptation à été formuler sous la colère hors il n'est pas, vraiment, de ton plein gré aussi je vais te lire le contrat que j'ai rédigé.

Il prit un ton solennel comme-ci la situation était un baptême.

- Moi Malfiore, je demande à Meïsa Kamui l'autorisation de disposer de Fiela, Abigaëlle, La pute, Ella, pendant une durée de un an à partir de la signature de ce contrat. J'en disposerais comme je le consent pendant cette durée, cela dit je me dois de la remettre à son propriétaire dans un état ,qui permet la vie de l'humaine sans assistance qu'elle qu'elle soit. Ce contrat sera rompu selon les conditions suivante. Une tentative de communication avec l'humaine de la part de Meïsa Kamui, une altercation entre les deux partie, un chantage ou une tentative de meurtre. Dans ce cas présent Malfiore se verra remettre l'humaine pour la durée qu'il choisit et pourra en faire ce qu'il désire, il pourra tout aussi bien en faire sa femme que de la tuer. PS : Si un partie ne veut pas le signer, alors se sera à l'humaine de choisir de signer pour un partie ou l'autre. Si elle refuse alors le contrat sera considéré comme non-avenue. Toute destruction de ce contrat sera considéré comme une rupture, même si aucun partie n'a signés.

Le démon signa la feuille et le présenta devant Kamui.

- Je te laisse le signer ou non, si tu refuses, tu devras remettre la décision à Abigaëlle.

Si Kamui refusait, je signerai à sa place, je me devais de partir, je lui causait trop de mal et cela me permettrais de réfléchir un peu, de faire le point.

Kamui Meisa

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Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 10 jeudi 23 juillet 2009, 21:29:02

Je regardai Abigaëlle et je vis tout ce que je venais de faire. La colère se résorba et la peine, la culpabilité et l'amour la remplacèrent. Ma joue était encore rouge de la gifle de la belle demoiselle et je caressai la marque, où coulait mon sang, un ongle de mon esclave adorée m'ayant fendu la chair. Je venais de me réveiller d'un rêve, ni beau ni laid. Mon coeur tranché, par les paroles d'Abigaelle, cherchait encore une raison de battre, car le sceau ne s'effaçait pas. Je regardai le morceau de papier et je le pris dans mes mains. Je mordis mon index et j'écris une dernière clause. "Le sceau d'amour ne doit pas être enlevé sous aucun prétexte." avec mon sang avant de signer mon nom, plein d'amertume. Le pacte, ainsi signé, scellait le destin d'Abigaëlle, et moi, j'étais comme une coquille vide, souffrant et faible, pratiquement sans vie. J'attirai Abigaëlle dans mes bras et la serrai une dernière fois. J'allai l'embrasser, mais je me ravise au dernier moment. Je profitais de mes derniers instants avec mon esclave en la gardant contre moi, avant de reculer, murmurant les mots "Je t'aime" et de partir, reprenant mon apparence humaine, la mort dans l'âme.

Je rentrai sur mon territoire, via un portail, et je dus supporter les regards plein de déception de mes deux plus jeunes esclaves qui, voyant que je revenais bredouille, se sont enfuies dans leur chambre pour pleurer. Moi-même, j'aurais voulu faire pareil, mais je n'y arrivais pas. Je regardais le cercle alchimique fait avec les roses blanches et, à distance, je l'activai. Les fleurs s'illuminaient et je dégageai les mèches de mon toupet que masquaient le mot "Aimé" en Éden sur mon front. Je regardai les fleurs pousser alors que l'alchimie leur accordait les vitamines nécessaire à leur croissance. Que j'aurais aimé que le temps passe aussi vite pour que je puisses revoir plus vite l'élue de mon coeur.
« Modifié: vendredi 24 juillet 2009, 03:36:23 par Meisa Kamui »
Se battre pour une cause et mourir au combat est chose honorable.
Vivre après une défaite et assumer sa responsabilité est un acte courageux.
Vivre dans la haine et la peur est le comportement d'un lâche.

Fiela

Humain(e)

Re : Ce qu'on peut faire pour celle qu'on aime. [PV: Fiela]

Réponse 11 jeudi 23 juillet 2009, 22:10:51

Il signa et m'enlaça, je sentais que mes mots avait fait revenir le Kamui que j'aimais. Il voulut m'embrasser et me murmura qu'il m'aimait, je hoche de la tête pour lui dire que c'était pareil pour moi. Puis il partit, Mistile me sera la main, comme pour me dire de retenir encore un peu mes larmes et quand la porte se ferma je pus enfin m'affaisser et pleurer. Malfiore lut et sourit.

- Ton amour a mit une dernière volonté sur le contrat, comme  il est fait avec son sang je ne peut en aucun cas le refuser. Tient je te laisse le lire.

Je prit le contract, les mains tremblante et lut ce qu'il avait marqué. A ce moment un peur s'empara de moi.

- Et si il devait se briser ?
- Dans ce cas là il faudra que l'assemblé des démons juge si cela est fait de ta propre volonté et tu seras jugé en fonction de tes dires. Au mieux tu auras un correction que peu de démon apprécie, au pire tu sera exécutée et Kamui auras le droit de demander ma tête en paiement.

Mistile sécha mes larmes.

- Mais cela n'arrivera que si tu doute de l'amour de Kamui ou de ton propre amour pour lui, non ?

Le démon soupira.

- Bon. Nous allons déjà choisir ton nom dans le monde des démons, il est très important car sinon tu n'auras même pas le droit de boire ou manger. Il nous faudrait un truc qui aille avec ta vie d'humaine.

Mistile posa sa main sur l'épaule de Malfiore et dit.

- Pourquoi ne pas lui donner le nom de votre petite sœur. Reiseijou, car malgré les épreuve elle pense aux autres avant soi même.

Le démon me regarda et eut un sourire.

- Soit, tu t'appelleras désormais Reiseijou, ce qui veut dire "Âme Pur". Bon je ne serai pas trop sérieux la première semaine, histoire que tu t'adapte, mais connaissant tes prédisposition, tu n'auras pas besoin d'autant de temps.

il fit un signe et un portail apparut. Mistile me prit le bras et me fit un sourire, en me disant de la suivre.

Ainsi commença mon apprentissage dans le monde des démons. je ne savait pas encore que mon nom démoniaque allais faire parler de lui, me hisser très rapidement dans les échelons et me faire découvrir des pouvoirs très puissant. Je ne savait pas non plus que j'allais souffrir des "tests" de Malfiore et du méprit des démon dit "pur".

FIN


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