Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Tea time (PV Violette Baudelaire)

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Violette Baudelaire

Humain(e)

Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)

Réponse 15 mardi 23 août 2016, 21:08:47

La jeune fille attrapa le tissu tendue par la magasinière et fit un clin d’œil a la dame qui lui avait payer le textile, elle parti se dévêtir le haut du corps et ôta le débardeur sale et le posa par-terre, elle se regarda dans le miroir en levant une mèche de cheveux qui glissa vers son mamelon, elle se pinça la lèvre en se caressant un sein comme si elle était entrain de se faire dessus en s'imaginant se toucher l'intimité (bien qu'elle abaissa quand même sa main gauche vers l'entre-cuisse avant de glisser sur la fente délimité par la braguette), elle n'osa pas finalement le faire mais c'est comme si la peste le souhaita ardemment, enfin bon. Elle posa la veste de la dame sur le banc et essaya le vêtement qu'elle avait sélectionner tout a l'heure. Cela lui allait bien mais elle éprouva une certaine forme de gêne en le portant car ses joues rosirent, elle se vit dans le miroir une nouvelle fois et sentit son cœur s'emballer et frémir d'excitation. Dans sa vie courante, elle n'a jamais eut le loisir de porter ce style d'accoutrement en terme de lingerie fine sur le haut-du-corps mais là c'était du jamais vu ! Bizarrement, un truc la titilla, elle savait pourtant que la dame semblait en pincer du regard quand elle l'a vu reluquer ce bout de tissu et a présent, elle sembla faire comme si de rien n'était, a moins qu'elle cache son jeu et quelle n'expose pas en public sa face cachée. Elle baissa son regard vers son jean trouée bootcut et fixa la glace et se mit a faire une pose de Pin-up, elle se recoiffa les cheveux (bien qu'elle n'avait pas de peigne sur elle) et se servit de ses doigt en se lissant les pointes châtaines foncé. La jeune femme avait besoin de savoir l'avis de quelqu'un et pourquoi ne pas poser cette question avec sa partenaire de voyage ?

Aufaite, ma chérie j'aurais besoin de toi pour un truc.. Pourrais-tu entrer dans la cabine une minute ? Ça ne sera pas long, ne t'en fais pas     

Elle avait imaginer une scène parfaite pour se faire et pour rajouter un peu de piment dans son look, elle se servit de la veste sur mesure que lui avait prêter la dame pour cacher sa poitrine voluptueuse et s'en revêtit pour se donner une vue glamour, il n'empêche qu'avec un peu de maquillage, elle aurait pu se sentir un peu coquette mais il fallait devoir faire avec et se contenter que de sa peau blanche pour se frotter a la sienne et faire exécuter le plan qu'elle avait spécialement concocter pour l'étrangère, après tout, elle est sure qu'elle en mourrait d'envie quelque part.

Marie_DLV

Humain(e)

Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)

Réponse 16 mardi 23 août 2016, 22:36:52

« Pétasse ! »

Marie le pense instantanément, lorsque la donzelle lui adresse un clin d'oeil, et se dirigeant avec un air provocateur vers la cabine d'essayage. C'est le seul mot qui lui vient à l'esprit, tant l'autre semble insouciante, jouant de sa silhouette, défiant de mille et une façons, d'un regard ou d'une démarche.

Elle se dandine, elle ondule du cul, en allant simplement essayer un soutien-gorge. Et ce pantalon sans style ne la met pas en valeur ! Une tenue plus sexy, et elle allume la planète entière. Mais, pour le moment, Marie est sous le charme, presque malgré elle. Aussi discrètement que possible, elle cherche pourtant à regarder par l'entrebâillement du rideau mal refermé. Négligence ou nouvelle provocation ?

Peu importe, car le spectacle est là. Quand la veste tombe, Marie peut enfin voir les seins de la donzelle, superbes, parfaits. Après l'asiatique qui les malaxait, voilà qu'elle les tripote à son tour. Exhibitionniste en plus ! Et ça continue, lorsque la main descend vers la fermeture du jeans, semble hésiter à aller plus avant. « Cette nana est complètement givrée ! », et pourtant elle fascine Marie malgré elle. « Elle doit avoir le feu au cul, mais elle peut me causer plein de misères », c'est presque à regrets que Marie se résigne à vite larguer la donzelle.

« Au fait, ma chérie j'aurais besoin de toi pour un truc.. Pourrais-tu entrer dans la cabine une minute ? Ça ne sera pas long, ne t'en fais pas. »

La question surprend Marie. « Pourvu qu'elle n'ait pas remarqué que je la regardais ! ».

« Arrêtez de m'appeler votre chérie, je ne vois pas à quel titre ! », Marie a repris sa contenance, mais sent comme un rose lui monter aux joues avec la chaleur idoine. Le rideau s'est ouvert, la donzelle a remis la veste de tailleur, qui laisse néanmoins dépasser un joli bout de lingerie ouvragée. C'est sexy, ça en ferait presque oublier ce jeans troué ridicule.

« Entrer dans la cabine ? Mais, d'ici, je ne... », la phrase demeure incomplète dans la bouche de Marie. Son cerveau a perdu toute raison. Ses jambes se meuvent, libres, la faisant se diriger, telle un automate, vers la cabine d'essayage. « Dans quoi vas-tu te fourrer ? Arrête-toi là ! », sa conscience ressasse la même litanie vaine.

Et Marie arrive à la cabine d'essayage, presque malgré elle. Franchissant la limite désignée par le rideau, elle sait qu'elle se livre pieds et poings liés. Pourtant, elle essaie de se donner une contenance : « Que vouliez-vous ? ».

Mais ça ne tromperait que les plus sots, et même la douce moiteur qui s'empare de son bas-ventre est sans ambiguïté.

Violette Baudelaire

Humain(e)

Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)

Réponse 17 dimanche 28 août 2016, 12:52:35

La meuf crut qu'elle n'arriverait dans la cabine et que son plan allait sans doute tomber a l'eau mais a son grand étonnement, elle vit les rideaux s'écarter et la vit apparaître sur le seuil. Elle ignora absolument tout d'elle mais elle finira par l'apprendre, elle se déboutonna afin de mettre sa belle poitrine en valeur sous la veste en se tournant un court instant et se remit en place avec un radieux sourire qui se changea d'un sinistre juste après et attrapa sa main pour la tirer a l'intérieur de la cabine. Elle le plaça dos contre le miroir et referma les pan du rideau afin que personne ne voit ce qu'il en est des clientes, elle se tourna alors vers la dame d'allure gracieuse avec un rictus bizarre, elle s'approcha d'elle en levant un doigt sur son menton et arbora une expression perverse en se léchant la lèvre. Violette se rapprocha alors en ne tenant pas compte des remarques dite précédemment et c'est sans lui laisser le temps de parler a la suite qu'elle se colla contre cette dernière, sa poitrine effleura la sienne avant que ses seins ne s'écrasent sur celle-ci, elle ferma les yeux et lui colla un beau baiser en insérant sa langue dans la bouche et en la tournoyant bien sur la matière salivaire comme le ferait normalement un couple d’hétérophilie. Elle bloqua le corps de la dame en la plaquant et sa tête lui toucha le front comme pour l'empêcher de bouger (voire de s'échapper), il faut dire que madame paraissait trop autoritaire a son gout et de cette langue, de bien grand mot agaçante et énervante en sortit depuis tout a l'heure alors la première punition et de maculer cet organe de communication d'un langoureux échange de fluide baveux pour faire régner le silence et qu'il n'y ait pas d'autres vilain mot de protestation ne voit pas le jour.

Alors ça te plait ma chérie ? Je suis entrain de t'exprimée ma tendresse et mon plaisir sexuelle avec toi, donc je t'en prie laisse-toi aller et donne-moi ton corps pendant la séance sans résistance...   

Elle reprit son action en quittant les lèvres de la blonde pour se coller a son cou en la bombardant de bisou humide et plaça alors son index et le majeur dans la bouche en l'introduisant jusqu'à la glotte, a croire qu'elle l'aurait voulu faire passer sa main pour une "bite" de mâle comme si elle était un gars et de l'autre, elle lui ceintura la taille en la maintenant bien contre elle pendant la manœuvre en lui caressant le dos avant de descendre vers son fessier bien rebondie et de la malaxer comme avec un sein ou avec une pâte, elle adorait cette sensation et avait réellement l'impression de palper une partie intime. 

Marie_DLV

Humain(e)

Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)

Réponse 18 lundi 29 août 2016, 07:11:57

La première chose qui saisit Marie, en pénétrant dans la cabine est cette odeur étrange, faite de sueurs et de parfums des clientes précédentes, mais aussi étrangement de luxure, comme si cela avait un goût prédéfini. Pourtant, il est aisé de deviner que plus d'une femme a dit à son homme de venir la voir dans ses nouveaux dessous, et en a profité pour les inaugurer en se faisant baiser sur le champ.
Là, pas de danger, même si la donzelle lui attrape le poignet, avant de tirer le rideau, « Il y en a assez qui ont vu ses seins, pas la peine d'en rajouter ! », et la fait même placer dos au miroir. « Hum, c'est moi qui vais être son miroir ; elle est finalement sympa, cette petite ». Et ses seins ! Elle a déboutonné la veste, pans même écartés, sur ces globes trop parfaits. « Tout lui irait à cette petite ; je suis sûr que, même si je lui trouve un bustier, elle sera ultra sexy », songe Marie, ce qui est de nature à ne pas apaiser la moiteur irradiant son entrejambes.

Trop accaparée à ces douces pensées, Marie n'a pas vu l'attaque venir ! Pourtant, il est de ces gestes qui ne trompent pas. Mais, quand votre esprit incite à la prudence alors que votre corps ne demande qu'à franchir les limites, ça ne peut aller. Sans avoir pu esquisser le moindre geste de défense, elle se retrouve plaquée dos au miroir, comme écrasée par cette poitrine trop parfaite, la bouche violée, oui c'est ça violée, par une langue inquisitrice qui force ses lèvres tel un serpent ondulant avant de s'enrouler autour de sa propre langue, de l'emprisonner, tandis que seul un « Oumph! » de détresse, comme pour reprendre un peu d'air, brise le silence ambiant.

Marie est prise au piège ! Elle ne sait même pa pourquoi ses bras battent la chamade sans repousser l'agresseur, tandis qu'elle a l'impression que ses jambes flageolent et ne la portent même plus. Combien de temps dure l'intrusion ? Marie ne saurait le dire, mais pas assez sûrement, car l'autre se retire en lui murmurant un « Alors ça te plait ma chérie ? Je suis entrain de t'exprimer ma tendresse et mon plaisir sexuel avec toi, donc je t'en prie laisse-toi aller et donne-moi ton corps pendant la séance sans résistance... ».

Les derniers mots la brûlent aussitôt. La dernière à lui avoir dit cela est cette salope qui l'a sodomisée avec ce jouet monstrueux, celle-là même qui l'a invitée à se laisser faire pour ne pas souffrir davantage, oui celle-là qui a complètement déréglé sa sensualité, au point de la rendre bipolaire, la sage Marie peinant parfois à contenir les ardeurs de la nymphomane qui se cache en elle. Et il ne faut pas qu la donzelle se rende compte de ce changement qui prend possession du corps de Marie !

Hélas, le « Mais arrêtez, voyons ! », qui aurait dû sortir des lèvres de Marie, se transforme en « Oh, que faites-vous ? » bien moins claquant, d'autant que la donzelle s'attaque alors à son cou, dans une douceur qui contraste étrangement avec la provocation, et même la vulgarité d'ailleurs, dont elle a déjà fait preuve. Marie a presque murmuré ces mots, mais elle ne peut en dire plus car l'autre lui bloque aussitôt la bouche, faisant remonter en elle les mauvais souvenirs des vieux libidineux la forçant à sucer leurs trucs flasques. Et là encore, le geste est si précis qu'il semble naturel, comme si cette donzelle avait l'habitude d'ainsi agresser des femmes de bonne famille. Ses deux doigts miment ainsi à merveille un sexe bien dur auquel elle ferait une gorge profonde. Et cela affole encore plus Marie dont les bras, perdus dans leur battements désordonnés, ne cherchent même pas à repousser l'agresseur.

« Il ne faut pas qu'elle se rende compte ! », l'obsession de Marie ne tient qu'en ça. Mais sa faiblesse se voit, et l'autre ne peut donc l'ignorer, voire en profiter. D'ailleurs la nouvelle attaque est ciblée, plus violente encore, et Marie sent ses forces, ou plutôt sa volonté de réaction s'amoindrir. Elle voudrait crier au viol, mais cet ersatz de sexe qu'elle a envie de sucer -du moins virtuellement, car les hommes resteront ses ennemis- distend ses joues, sans oublier qu'il vaut mieux demeurer discret en ces lieux.

Et il y a plus urgent encore à faire ! La main de l'autre prend un chemin dangereux, et il faut la freiner avant qu'elle ne découvre certaines choses. Hélas, plaquée au miroir, les bras ne parvenant pas à des gestes de défense coordonnés, Marie sent cette main descendre le long de son dos, vers ces fesses ayant gardé le cuisant souvenir de tous ces sex toys qui inaugurèrent leur dépucelage, vers son sexe aussi qui n'est pas celui d'une petite bourgeoise bien sage loin s'en faut. Elle ne doit pas croiser le regard de la donzelle, sinon celle-ci va comprendre qu'elle est en train de partir !

« Non ! Pas là ! Pas ça ! Pas ici ! ».

C'est incongru, c'est farfelu, ça n'a aucun sens. D'ailleurs ç'aurait dû être hurlé comme un geste de défense, et ça a juste été murmuré comme une supplique. La main qui masse ses fesses est une arme redoutable. « Il faut que tu te ressaisisses ! ».

Alors, comme le dernier geste avant de capituler, Marie, dans un élan pas vraiment contrôlé, enserre de ses mains la taille de la donzelle, pour la faire reculer. Cette douce peau, sous la veste entrouverte, là au dessous de ces seins si parfaits. « Non, ne craque pas ! »

Violette Baudelaire

Humain(e)

Re : Tea time (PV Violette Baudelaire)

Réponse 19 mercredi 31 août 2016, 19:55:15

La jeune fille constata que la belle dame n'opposa aucune résistance, tant mieux ça aura éviter du trouble avec les sons inquiétant qui en surgirait de la cabine qui ne fera qu'inquiéter (voire déranger les clientes), après la tebé aurait pu réfléchir a un autre endroit qui aurait pu les isolé du public mais il faut dire que son intelligence ne travaille parfois qu'en dernière minute (et parfois du tout), de plus c'est sa partenaire qui lui a ouvert la route dans la boutique et si les deux compères n'avait pas atterrit ici, Violette aurait pu faire un escale dans le domicile de la demoiselle mais, ça aurait été une mauvaise idée car la luxueuse secrétaire n'aurait probablement pas souhaiter voir cette traînée souiller son précieux sol clean. Miss Baudelaire continua de la baiser et pour elle cela ne faisait aucune différence du fait qu'elle couche avec un mec ou une nana puisqu'elle est bisexuelle. Comment deviner qu'un jour en grandissant, l'on aura une attirance pour les deux sexes ? A moins que ceci n'en soit influencer par le biais d'un événement grave survenue dans le passé mais sinon une fille de bonne famille n'aurait jamais céder dans une relation sexuel. La rebelle retira alors sa main de la bouche de l'inconnue et lui tira les cheveux en arrière en la maintenant toujours dans ses bras, ce qui eut pour effet de faire basculer sa tête en arrière, relevant ainsi le haut-du-corps plus ou moins vers le haut. La meuf lui mordit la lèvre en le léchant bien comme si elle était une chienne et comme cette dernière respirait presque en haletant bruyamment mais en ayant cependant un volume modéré et elle en profita pour pencher sa tête sur la sienne presque la touchant du front sur deux centimètre en suant a grosse goutte sous la température chaude de la pièce, elle se mit a lui cracher alors dans la bouche, disons pas vraiment cracher mais déposer une grosse goutte salivaire pour qu'elle l'avale.

Je dois penser que tu n'a sans doute jamais connue cette sensation mais tu m'en parlera en temps voulu de ton passé. Quel est ton nom ma minou ?   

Violette remarqua qu'elle fut repousser a courte distance mais au lieu de cela, elle se rapprocha un peu plus d'elle et regarda les formes qui se dessina quand son vêtement se froissa, de jolies seins quelle avait mais dommage qu'elle ne pouvait la faire gémir en public mais elle voulu néanmoins entendre son cri de souris et s'amusa a la léchouiller tout en fanant le textile qui donna accès a sa poitrine et se mit à la pincer sur le coté droit, que pouvait-on ressentir lorsqu'un individu devait pincer un des seins de sa femelle ? Elle ne le sujet depuis qu'elle atteint la majorité mais la réponse ne devrait pas tarder a venir puisqu'elle fait le geste justement sur sa prisonnière.


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