Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Person of interest | ft Stephen

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Anna Marie

E.S.P.er

Person of interest | ft Stephen

dimanche 10 juillet 2016, 17:42:37

Anna Marie n’aime pas les robes. Dans la psychée elle s’observe et fronce le nez, embarrassée par son reflet. Elle attache les manches amovibles à la lanière délicatement ouvragée qui traverse souplement son buste.  Le  col bateau dégage ses épaules et la naissance de ses seins, le tissu fluide n’est retenu que par un épais collier d’argent dans lequel passe la lanière. La robe est d’un tissu léger, vaporeux qui dévoile plus qu’il ne cache. Un écran de fumé qui dévoile son corps. Elle n’est pas vraiment pudique, mais elle est un danger et elle ne veut pas que quelqu’un tombe de l’avoir effleuré. Mais c’était la tenue officielle, elle lui a été offerte, il serait impoli de ne pas la mettre, lui a répété son ami. Elle attache les gantelets faits d’un épais cuir. La tenue est un élégant mélange d’attributs guerriers et de féminité exacerbé.  Elle a jeté hors de la chambre toutes les aides pour l’habillement et le coiffage, elle ne veut pas être responsable de la mort d’une femme de chambre trop zélée. Elle tresse lâchement ses cheveux, elle a déjà hâte de quitter cet endroit, de retrouver ses combinaisons bien couvrantes. Avant de quitter la chambre qui lui a été allouée elle enfile de fins gants et se sent déjà un peu plus habillé.

Elle est belle, altière, guerrière, ses muscles discrets roulent sous sa peau à chacun de ses pas. La bataille qui fut menée pour la tranquillité de cette province ne fut pas mince affaire, mais elle triompha et  son exploit l’appela à devoir revenir pour accepter leur gratitude matérialisé par une soirée mondaine. Le genre de soirée qu’elle fuyait, préférant habituellement la confidentialité d’un bar sombre à  une salle de danse.

Cependant son malaise finit par se dissiper, malgré la présence pensante de son ex petit ami avec qui elle a rompu quelques jours seulement auparavant. La musique est douce et l’alcool sucré, peut-être est-elle aussi rassurée de voir que les autres femmes portent des tenues quasiment similaire, elle est la seule à porter les attributs guerriers. Alors qu’elle était lancée dans une conversation, plusieurs jeunes filles viennent l’inviter à danser, d’abord hésitante elle finit par accepter, c’est une ronde charmante dont elle finit par comprendre la dynamique après quelques secondes. Peut-être que c’est l’alcool ou la musique, ou les deux, mais elle se sent d’humeur un peu plus légère que ces derniers temps, son sourire est radieux, quand elle abandonne ses compagnes. Mais elle n’a pas fait trois pas que son ex-petit ami, embrumé par l’alcool la retient par le poignet. Il lui dit qu’elle est belle et son regard ne quitte pas sa poitrine. Elle sait qu’il est malheureux, mais elle lui répond sèchement « Regarde ce que tu peux toucher. », il encaisse l’attaque, elle se défait de sa prise sans mal et fends la foule pour rejoindre le balcon qui domine la ville, mais son trajet est sans cesse interrompue. Elle remercie pour l’hospitalité, assure qu’elle n’a fait que son devoir. Elle met plus de dix minutes pour trouver un balcon tout aussi bondé mais ou la brise est agréable.

Le calme est de courte durée et elle se retrouve intégrée à un nouveau groupe. Elle ne voit plus son ex nulle part et son humeur s’en allège. Une voix fluette interrompt soudain le fil de la conversation, c’est une petite fille, celle du chef de la ville, croit-elle se souvenir. « C’est vrai que vous ne pouvez toucher personne ? » Les regards se braquent sur elle, elle sait qu’ils meurent tous d’envie de poser des questions qu’ils sont trop polis pour poser. Elle acquiesce, il n’y a pas de tristesse dans son regard, une certaine résignation tout au plus. Elle croit savoir que les terranides sont immunisés, mais n’a pas eu le temps de mettre cette théorie à l’épreuve, peut-être qu’elle en a un petit peu peur aussi. Puis viennent toutes les questions qui leur brulaient la langue : depuis quand, pourquoi, que ressent-elle, ils sont tous trop poli pour parler de sexe mais cela brule dans leurs yeux et dans leur retenu. Elle s’en amuse, un sourire léger aux lèvres, elle joue les ingénues face à leurs questions détournées.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 1 lundi 11 juillet 2016, 00:54:07

La musique annonça la reprise des danses, elle remarqua rapidement qu’au milieu du troupeau, un individu ne bougeait pas, elle haussa un sourcil. Il était grand, vraiment grand et particulièrement massif. Elle n’était pas facilement impressionnable, mais elle savait apprécier et se méfier de la puissance qui se dégageait de ce Goliath. Elle saisit la coupe qu’il lui tendait et s’amusa de son trait d’humour. Ils étaient rares ceux qui s’y osaient et c’était quelque chose qu’elle appréciait, elle le gratifia d’un sourire tandis qu’elle trempait ses lèvres dans la coupe. « Pensiez-vous devenir l’attraction principale d’une bande d’ignorants engraissés au vin et aux petits fours, lorsque vous avez accepté cette invitation ? » demanda t-til. « J’ai l’habitude de jouer les attractions, d’être le sujet des spéculations. » répondit-elle immédiatement, elle avait appris à ne pas s’en formaliser à en rire un peu, à se moquer d’eux par de petites piques affutée. « Je trouverais l’expérience d’une soirée mondaine bien triste, sans l’assurance d’une étreinte ou même le plaisir d’une danse. Quoique… » Elle allait rétorquer par le sarcasme lorsqu’il saisit d’autorité sa main, puis posa l’autre contre sa taille, elle se raidit sous la surprise. Ils étaient peu à s’y risquer.

Elle sentait sa large paume chaude contre le tissu, contre sa taille, son corps musclé dans une danse. Son regard rouge ne quittait pas le sien. Elle n’y voyait aucune crainte, plutôt une sérénité qui l’interloquait, elle n’avait que trop conscience de sa proximité et cambrée légèrement vers l’arrière évitait de laisser le haut de son corps découvert effleurer l’impudent danseur. Elle se préservait elle-aussi, elle détestait sentir un esprit entrer en conflit avec le sien, des souvenirs l’inonder, altérer sa personnalité. La tête légèrement penché, elle posa une main légère sur sa veste bordeaux.  Quelques instants seulement puis il s’interrompit et elle capta son regard glissé sur son corps que le tissu laissait entrevoir. Son comportement la faisait osciller entre l’amusement certain, l’agacement et une certaine tentation qu’elle réfrénait, elle en avait emmagasiné assez de frustration pour ne pas en rajouter.

Anna Marie eut un mouvement de recul lorsqu’il leva les mains, par reflexe elle ferma les yeux mais ne senti rien d’autre que la chaleur d’un effleurement agréable. Elle rouvrit les yeux pour le voir se rapprocher, elle avait posé ses mains gantés sur son torse prête à le repousser. Elle sentait son souffle sur ses lèvres, une lueur s’alluma dans son regard. Qui était cet étranger, aux paroles séductrices, qui n’avait pas peur ? Elle était troublée et elle détestait ça. Quand il se recula, elle en fut soulagée et frustrée à la fois. Il jouait avec elle et elle fronça les sourcils, ses lèvres un peu pincées. « Allumeur » souffla-t-elle, sans répondre à sa question. « Ca vous amuse ? Je suis quoi pour vous ? Un objet de curiosité, un moyen de s’offrir des sensations fortes pour moins cher que disneyland. » Sans vraiment le réaliser, par sa référence elle lui avait indiqué venir de la terre, mais elle s’en moquait, tout comme du fait qu’il comprenne la dites référence, elle était habituée à laisser perplexe la plupart des habitants natifs de Nexus.

Anna Marie avait le caractère explosif et sa patience avait été mise à mal par l’attitude du glorieux salaud face à elle « En quoi vous êtes différents de ces gens que vous méprisez ? » questionna-t-elle sèchement, avant d’ajouter un peu  hautaine, certaine de la fatalité de son don. « Quand vous allumez un feu, assurez-vous d’être en mesure de l’éteindre, Helel », son nom roula sur sa langue, laissant sa bouche un peu entre ouverte, puis elle fit demi-tour, s'apprêtant à rejoindre la foule des hypocrites et des tentés. Elle assumait sans honte d’être facilement aguichée, c’était cette frustration avec laquelle elle s’était habituée à vivre qui la rendait si sensible, interdite de contact humain, elle ne pouvait qu’imaginer et se le voir agiter devant les yeux n’était guère agréable.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 2 lundi 11 juillet 2016, 02:45:51

« Attends. » S’il n’avait pas fermement saisit son poignet, c’était un ordre auquel elle aurait désobéit, malgré l’intensité de sa voix qui avait fait vibrer tout son corps. Elle lui adressa un regard furieux, elle ne voulait pas se battre, pas au milieu d’une réception. Pour qui se prenait-il à lui ordonner des choses. « J’ai hâte de savoir ce que tu verras. » elle ne comprit qu’en le voyant lever la main, par reflexe elle tira sur son poignet mais trop tard. Elle sentit sa paume contre son épaule et son esprit fut soudain envahit. Des horreurs succédaient aux merveilles, des choses incompréhensibles et des chants merveilleux et terrifiants. Elle trembla un peu, puis vacilla et se retint à lui sans le réaliser, un peu hébétée.

Son esprit saturé ne lui permettait pas de trier les informations. Seul les chants continuaient de résonner dans son esprit, envoutants. Lui n’avait pas tressaillit. Aucune douleur dans son regard, aucune trace de faiblesse, elle réalisa que sa main était restée crispée sur un pan de sa veste et elle la détacha lentement, relevant son regard vert vers le sien tandis qu’il caressait doucement ses épaules. Réalisait-il seulement qu’il était le premier, depuis son adolescence, le premier qui la touchait vraiment. Les visions s’estompèrent un peu, les souvenirs, les nombreuses amantes. Elle geignit et porta la main à son front.

« Je ne fais pas de promesses creuses. », ses ongles glissèrent sur sa peau tendre, Anna Marie mordit doucement sa lèvre inférieure. Elle acquiesça facilement à sa requête, elle lui aurait demandé la même chose. Personne ne devait savoir. Docilement elle ôta son gant, tirant sur le tissu pour dévoiler une de ses mains. Ce geste avec quelque chose de terriblement symbolique pour elle, le touché était son sens le moins utilisé et le plus sensible. Ses mains fines et pâles étaient le plus souvent cachées.

Il y avait à cet instant dans son esprit mille scénario et dans tous elle finissait haletante et le vide qu’elle sentait en elle était enfin rempli. Il n’avait rien fait encore, mais elle sentait déjà sa culotte de dentelle pâle se tremper.
 
Elle hésita un peu, un relent de prudence qui s’évanouit presque aussitôt, elle posa sa main sur la sienne, ses doigts dans sa paume. Rèche, Elle les pressa un peu plus, ce simple contact lui paraissait déjà terriblement intime. Elle s’inquiéta un peu, c’était la première fois qu’elle était exposée, cette même peur qui l’avait poussé à  prendre la fuite lorsque le terranide l’avait touché par inadvertance. Il y’avait cette peur qui lui serrait le ventre, lui disait de s’enfuir, mais elle ne bougea pas et souffla simplement « touche-moi » ordre ou supplique elle n’aurait su le dire, sans doute un peu les deux. Elle voulait sentir ses paumes, ses lèvres qu’elle observait désormais et puis il y avait ses visions et ses chants qui flottait dans son esprit.

Elle voulait toucher son visage sévère, elle voulait le toucher, peu importe les visions, peu importe les questions, elle voulait toucher, caresser, ressentir, embrasser, lécher et mordre sans rien craindre et ses sentiments étaient presque tangible, dans la lueur de son regard, dans la façon dont la pulpe de ses doigts ne cessaient de caresser la main de Helel, dans la respiration qui soulevaient sa poitrine qui pointait vers lui.
« Modifié: lundi 11 juillet 2016, 10:10:23 par Anna Marie »
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 3 lundi 11 juillet 2016, 16:34:22

Elle pouvait les entendre gémir, supplier, crier, elle pouvait sentir leurs ongles dans sa peau brulante. Elle les voyait, elle les ressentait à travers ses souvenirs, à travers son désir qui axait ses pensées. Elle pouvait le voir les ravager, les laisser pantelantes, poupées de chairs asservis à ses désirs. Elle sentie le dos de sa main caresser sa joue, elle pencha la tête pour suivre la caresse, les yeux fermés, presque ronronnante. Elle haleta quand de sa nuque ses doigts se refermèrent sur ses cheveux, l’obligeant à relever la tête. Le même geste lorsqu’il était derrière ses amantes, qu’il les pilonnait, elle rouvrit les yeux, un peu trouble, elle sentait son bassin contre son ventre et oublieuse de la fête qui se déroulait juste à côté se demanda distraitement pourquoi il ne lui avait pas encore arraché sa robe. « Touche-moi. », ses paumes étaient avides de sa peau, elle encadra son visage, puis son cou large, son torse sous le tissu était ferme.

D’un geste ferme il souda son corps, Rogue senti sa poitrine se compresser contre son torse, son dos se cambrer alors que des images inondaient son esprit. Elle voulait le sentir peser sur elle, sentir leur corps en sueur glisser l’un contre l’autre. Elle le voyait, brutal, dominateur, terrifiant et implacable. Il tira encore sur ses cheveux et elle entrouvrit docilement ses lèvres charnues qu’il embrassa, elle noua ses bras derrière sa nuque, puis glissa une main dans ses cheveux sombres. Il jouait, elle souriait contre ses lèvres, elle haletait parfois. Elle sentie alors sa langue s’introduire dans sa bouche, le muscle chaud et humide la fit frémir, elle refit glisser ses mains contre son cou, jusqu’au sol de  sa chemise, qu’elle entreprit de défaire.  Les mains d’Helel caressaient son ventre, elle tira le tissu de sa chemise hors de son pantalon et glissa ses mains contre son bas ventre brulant, ses doigts traçant ses abdominaux. Ses ongles l’effleurèrent lorsqu’il donna la première tape sur ses fesses. Elle les voyait  les fesses rougies, à vifs de ses amantes. Il aimait ça, il aimait la violence et son corps encore peu habitué à un sexe libéré de la peur de blesser réagissait au moindre de ses contacts. Il agrippa fermement ses fesses, elle gémit demandeuse, puis il reprit possession de sa bouche, elle répondait au baiser avec impatience et satisfaction. Ses doigts butèrent contre son pantalon dont elle défi la fermeture. « Je ne vais quand même pas te baiser sur le balcon. » Elle interrompit son geste, un sourire taquin sur ses lèvres rougies et humides des baisers échangés. « Tu peux bien me baiser ou tu veux, tant que tu me baises. » répondit-elle tout aussi crûment. Elle était vierge d’un véritable sexe qui lui tardait de toucher et de sentir, mais elle n’était pas innocente, encore moins pudique. Elle se hissa pour venir instiguer le prochain baiser et glissa sa langue  contre ses lèvres, avant de voracement en  prendre possession. Elle imagina sa bouche venir dévorer son sexe humide et mordit sensuellement sa lèvres. Sa paume vint se presser contre le sexe encore comprimé dans les sous-vêtements et elle interrompit le baiser, surprise de ce qu’elle sentait. Elle n’avait connu qu’un homme et il n’avait pas à rougir de sa taille, mais celui-ci…. Etait un autre gabarit. Un gabarit qui expliquait les cris de ses amantes, la puissance de ses coups de reins. Elle passa inconsciemment sa langue sur ses lèvres.

Il avait raison pourtant, ils ne pouvaient pas baiser ici. Si quelqu’un les entendait, si quelqu’un les voyait. « Laisse-moi te sucer », elle se laissa doucement tomber sur ses genoux, sans décoller sa poitrine de son corps , jusqu’à ce que son visage soit face à la bosse proéminente, elle écarta les pans du pantalon et extirpa son pénis, le serrant dans sa main chaude, elle sentait les veines et la peau douce et sensible. Sa respiration était plus profonde alors qu’il la dominait de toute son imposante masse, elle joignit sa seconde main à la première pour le maintenir, tandis qu’elle vint presser sa joue contre la colonne de cher, le serrant contre son visage, son regard levé vers Helel, avec autant de malice que de gratitude. Elle pouvait toucher. Elle voulait goutter maintenant. Elle tourna son visage, ses lèvres contre la peau si fine, puis sa langue gourmande, léchant une première fois, puis elle fait coulisser sa langue et ses mains. L’une cependant quitte la colonne pour venir masser ses testicules. Elle sent leur texture. Elle sent, elle ressent. Elle lèche son sexe, elle l’adule, puis elle prend son extrémité entre ses lèvres, penche la tête pour le presser contre l’intérieur de sa joue, sa mâchoire déformée par son improbable masse. Elle ferme les yeux comme le savourer, comme si c’était la meilleure chose qu’elle ait gouté.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 4 lundi 11 juillet 2016, 20:11:53

Le poids de sa main sur son crane lui était agréable, la brise tiède contre son dos nu lui était une caresse agréable, alors qu’elle prenait son temps autour du large sexe. Sa salive inondait sa bouche, lustrant le sexe et facilitant les vas et vient qu’elle expérimentait pour la première fois sur la peau. Elle le senti glisser et se prépara, elle avait vu sa brutalité, mais rien ne la prépara. Elle geint quand le gland heurta l’entrée de sa gorge. Elle eut un mouvement de recul mais sa main maintenait sa tête. Elle eut un haut le cœur et s’accrocha à ses hanches puissantes. Les coups de son gland faisait vibrer son corps et elle cessa de résister, le laissant imposer son rythme brutal, à mesure de ses coups, elle sentait sa gorge s’assouplir. Elle ferma les yeux, se concentra sur sa respiration, ne les rouvrant que lorsqu’il s’adressa à elle. Il était vulgaire, violent et elle tremblait d’un désir brulant. Se faire baiser comme une trainée, c’était au moins se faire baiser.

Aussi soudainement qu’il était entré, il ressorti, un filet de bave coula sur son menton, elle passa la langue ses lèvres, elle avait son gout sur les lèvres, un peu de sperme au fond de la gorge. Il agrippa alors ses poignets la redressant comme si elle ne pesait rien. Il la fit se pencher contre la rambarde, qu’elle cramponna persuadé qu’il allait la prendre violement. Le reste de sa robe tomba au sol et dans un sursaut de lucidité elle se demanda quelle explication elle bien pouvoir trouver. « Tiens, une première pour toi. », elle senti alors ses lèvres contre ses fesses, ses dents en maltraiter la peau délicate, elle gémit doucement et écarta un peu plus les jambes. Sa langue entre ses fesses lui fit échapper un soupire de contentement, elle senti d’abord ses pouces, elle frémit, impatiente, puis sa langue, elle gémit frustrée, ses sourcils froncés. « Enfoiré » souffla t-elle. Elle se cambra d’avantage pour que son sexe glisse contre sa bouche, quand son clitoris heurta sa lèvre elle étouffa contre son bras le couinement de plaisir que cela fit naître chez elle. Elle ondula des hanches, son sexe ruisselant contre la bouche de Helel. « oui… » susurra-t-elle « lèche-le, mange-le ». Ses terminaisons nerveuses s’affolaient, tout son corps lui semblait concentré dans ce petit bouton, qu’elle n’en pouvait plus de sentir stimuler, qui faisait agréablement grandir la sensation de vide au creux de ses reins. « pitié » supplia-t-elle. Elle regrettait de ne pas pouvoir le voir s’affaire entre ses cuisses. Elle fait des petits oh et de grands ah, répétitivement, la litanie de son plaisir. Parfois elle gémissait son prénom, plus ou moins fort, comme pour l’incruster dans son esprit, ne jamais l’oublier. Elle mordit son poing pour ne pas crier, quand rapidement l’orgasme la surprise. La mouille jaillit de son sexe comme jamais ce n’était arrivé, tandis qu’une plainte de délivrance s’échappait de sa gorge

Elle tremblait, essoufflée, un sourire aux lèvres.  Elle était venue rapidement par manque d’habitude, et elle peinait à se remettre de son tout premier orgasme et du bien-être incroyable dans lequel il l’avait plongé. Son corps n’était pourtant pas rassasié, elle sentait cette persistance sensation de vide qui la tiraillait. Elle était encore si sensible, si demandeuse, complètement offerte, affalée sur cette rambarde, impudique sous le clair de lune, de son sexe s’écoulait encore quelques gouttes. « Merci », elle savait pour avoir été dans sa tête, que même dans sa violence, il s’était montré jusque-là raisonnable. Elle n’avait pas peur de lui, elle aurait dû probablement. Elle aurait du s’énerver qu’il l’appelle trainée, mais elle s’en foutait. Elle s’en foutait tant qu’il la touchait, tant qu’il la faisait ressentir.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 5 lundi 11 juillet 2016, 23:26:19

La jouissance retomba un peu, la laissant encore fébrile, elle sourit au compliment de son si imposant amant. Amant. Le mot sonnait bien. Son sexe dur était venu se lover dans l’écrin de sa vulve, il était chaud et palpitant. Mais il était surtout énorme. Pourtant elle ronronnait de cette masturbation mutuelle. Elle remuait ses hanches pour l’accompagner, quand un ‘mais’ lui fit comprendre que la réaction était terminée. « Si je t’empale maintenant, tu dois savoir que… », elle se hissa sur la pointe des pieds quand l’extrémité de son sexe commença à écarter les chair de sa fente humide. Elle se redressa sur ses bras, sa bouche entrouverte laissant déjà filtrer sa respiration haletante. « Tu seras ma chienne. Tu devras accepter que je te traite comme une petite pute, et que je te baise encore et encore jusqu’à ce que ma queue… » sa progression continuait, elle tourna un peu la tête, attendant qu’il termine sa phrase, profitant de sa lenteur pour essayer de se détendre face à cette intrusion massive « Soit tout ce qui occupe ton esprit». Encore une fois, elle devrait s’offusquer de ses exigences, refuser, se défendre, mais le fait est que sa queue occupait déjà son esprit, qu’elle mouillait quand même bien même ses chairs s’étiraient. Elle songea que jamais elle ne rentrerait. Elle acquiesça silencieusement, incapable de parler. Si tôt qu’elle l’eut fait, il empoigna sa chevelure avec une brutalité qui la fait se contracter autour de son gland qui continuait de progresser. Elle haletait, impatiente, elle mouillait encore, lubrifiant au maximum pour préparer son entrée. «{b] Est-ce que c’est l’idée d’être un jouet qui te fait mouiller comme ça ? [/b]», il s’enfonça un peu plus et elle se cambra d’avantage. Son dos recouvert de sueur, formait un arc.

Il avait bloqué ses mouvements. Le salauds, elle avait à peine eut le temps d’amorcer un mouvement pour se soulager un peu alors qu’il amorçait un mouvement de recul. Elle était complètement exposé, offerte, le frottement de son sexe la faisait gémir à mesure qu’elle appréhendait et attendait que la violence s’abatte sur elle. « Prends ça, salope. », elle poussa un cri, un hurlement avalé par la nuit et la musique. Elle se senti écarter, elle essaya de bouger, mais il pesait de tout son poids sur elle, elle ne tenait encore sur ses bras et ses jambes que sous le coup d’une force qu’elle ne s’imaginait pas posséder. Elle le sentait palpiter en elle, elle sentait la moindre de ses veines contre les parois étirés de son antre à vif. C’était vivant, organique, elle ferma les yeux, c’était douloureusement vivant et organique, c’était miraculeusement vivant et organique. Elle hésitait, elle sentait la douleur qui irradiait, mais son corps qui savourait de sentir la chaleur. Il ne lui laissa que le temps de souffler, avant de se mettre à bouger, elle sentait les os de son bassin claquer contre ses fesses et son sexe frotter les parois si étirée que chaque sensation lui semblait décupler. Projetée vers l’avant à chaque nouveau coup, elle poussait un cri qui lui était impossible de retenir, un cri de douleur, un cri libérateur.

Dans son esprit c’était le grand vide, tout son être ne se résumait plus qu’à cette queue palpitante qui lui faisait du mal, qui lui faisait du bien. Elle pouvait ressentir la jouissance qu’il prenait, ce qu’il ressentait. « Oui, putain, oui » parvint-elle à articuler, sa voix déformée par l’effort, par un plaisir teinté d’un certain masochisme, d'une certaine culpabilité à se faire faire, à se laisser traiter, à se laisser prendre juste pour pouvoir sentir une bite sans plastique la pilonner.Il y avait du sang qui coulait, elle en était certaine et elle s'en foutait. La tête baissée, elle gémissait de façon sonore. Faisait se contracter les muscles de son vagin mis à mal. Elle rouvrit les yeux, elle voyait par dessous ses seins délaissés qui ballotait, le sang qui coulait contre ses cuisses tremblantes.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 6 mardi 12 juillet 2016, 03:07:59

Son souffle se coupa quand elle le senti s’enfoncer encore. Encore. Plus profondément dans ses chairs brûlantes. Elle encaissait, elle ressentait, sa chaleur, son désir dévastateur.  Il tira sa tête en arrière, obligeant son corps à se cambrer presque douloureusement, mais sa nouvelle inclinaison lui faisait mieux ressentir le trop large pénis qui l’écartelait. Son autre main sur sa poitrine, pinçant, elle gémissait, pantelante, plus maîtresse de son corps, sur lequel il avait un total contrôle. « Ma petite chienne. » le soudain possessif lui arracha un contentement pernicieux. « Oui, marque-moi » souffla t-elle au bord d’une nouvelle jouissance dont il la priva en s’extirpant lentement d’entre ses cuisses tremblantes. Elle geignit face à cette perte, arborant une expression désœuvrée, elle en mourrait s'il la laissait dans cet état.

Rogue faillit tomber quand il la retourna, elle s’agrippa à lui non sans une certaine ferveur, son regard irrésistiblement attirer par son sexe humide, imposant et gonflé de veines, elle ne put le quitter de regard que lorsqu’il la colla à elle, écrasant sa poitrine contre torse et qu’il la souleva, elle enserra sa taille de ses cuisses musclées. Ses mains enfin libres se posèrent sur torse puissant, glissant jusqu’à ses épaules. Il réclama sa bouche et elle lui concéda voracement, son cri lorsqu’il la pénétra à nouveau fut avaler dans leur baiser. Parfois elle le mordait, comme le plaisir ou la douleur devenait trop intense, quand elle ne pouvait crier. Elle essayait de retenir ses cris, mais à chaque fois que sa large paume venait claquer contre ses fesses, elle ne pouvait s’en empêcher. L’impact de sa gifle se répercutait dans son corps demandeurs de contacts.

Elle rejeta sa tête en arrière pour offrir sa gorge gracile à sa langue vorace. « Je parie que ça t’excite encore plus, de pouvoir te faire attraper. ». Elle s’imagina l’expression de son ex petit ami, les découvrant ainsi. Un sourire marqua sa bouche humide d’où s’échappait de petits cris d’extase, à chaque fois que son sexe l’emplissait complètement. Elle redressa la tête, elle pouvait à peine parler, elle fit glisser ses doigts contre sa barbe, mais par son regard illuminé d’une lueur de plaisir coupable, il était évident que la perspective lui plaisait. La salle de balle n’était pas loin, elle éclairait le balcon, eux étaient protégé par une obscurité relative. Elle se cambra vers l’arrière, ses ongles glissèrent sur son torse, alors qu’elle brandissait sa poitrine ferme devant son regard. Elle était encore avide de contact, même ainsi, même alors que son sexe lui semblait  à vif, qu’elle gémissait offerte, pantelante, avide face à son délicieux bourreau et à sa terrible masse. Elle voulait le sentir jouir en elle. Elle contractait ses muscles, tentait d’onduler ses hanches pour accélérer leur jouissance. Sa respiration erratique ponctuée de couinements digne du surnom qu’il lui donnait, trahissait l’intense plaisir et la jouissance proche. Chienne.

Sa chienne.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 7 mardi 12 juillet 2016, 14:24:18

Ses doigts s’accrochaient à ses cheveux, tandis que ses lèvres maltraitaient délicieusement sa poitrine opulente. Elle gémissait sans pouvoir s’en empêcher, se rendait ivre des sons de sa peau qui claquait contre la sienne, de son sexe qui la ravageait. L’une de ses mains descendit contre sa nuque, venir redessiner les muscles de son dos tendrement tandis qu’il la brutalisait, comme pour l’encourager. Son corps complétement collé au sien, elle sentait ses muscles travailler contre les siens. « Vient ! » l’encouragea-t-elle fiévreusement. Soudain elle senti une chaleur intense l’envahir, maculer son intérieur, elle se raidit, les yeux écarquillée et la bouche ouverte dans un cri qui ne venait pas. Elle eut quelques spasmes alors qu’elle sentait chacun de ses muscles se relâcher, tandis qu’il ne s’arrêtait pas de la marteler, prolongeant ce nouvel orgasme qui l’avait privé de toute force, de toute résistance. Il embrassait doucement son cou et elle caressait sa nuque, indolente. Elle avait reposé ses jambes au sol et ne tenait qu’appuyé contre Helel. Elle déposait de petit baisers à la base de son cou et sentait le sperme encore chaud couler sur ses cuisses meurtries, elle n’était même pas certaine d’être capable de marcher. « Viens nettoyer ma queue, maintenant. ». Elle releva vers lui des yeux embrumés, il était diablement sérieux. Lorsqu’il appuya sur son corps elle n’essaya pas de résister, il bandait encore, il plaqua son visage son entrejambe, sa peau sensible contre ses poils, elle sentait l’odeur de son sexe, elle sentait l’ordeur muscé et entêtante. Elle prit une inspiration, elle senti son sexe contre sa joue et tourna la tête. Comment pouvait-il encore bander ?

Elle releva les yeux vers lui quand elle lapa un premier coup, elle sentait leur sécrétion sur sa langue, c’était chaud, elle ferma les yeux, ses lèvres charnues contre la peau qu’elle lapait. « Que dirais-tu de passer chez toi, après cela ? Je pourrai répondre à tes questions. » elle lécha sur la longueur se sexe maculé et lorsqu’elle répondit ses lèvres portaient les traces de sa semence. « Je ne veux pas que tu saches ou j’habite » elle passa sa langue sur ses lèvres « mais nous pouvons trouver une auberge, j’ai beaucoup de question » assura t-elle avant de courber sa nuque pour lécher en dessous ce sexe avec un certain soin.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 8 vendredi 15 juillet 2016, 13:11:48

Les grandes mains qui la massaient, détendait son corps fourbu par la violence de leurs ébats. Elle léchait, embrassait, suçait ce sexe énorme qu’elle pouvait toucher, qui pouvait s’enfoncer en elle. Lorsque Helel la redressa après l’avoir abreuvé de mots doux, elle se laissa choir contre lui, profitant de l’accalmie et de la brise contre sa peau nue. Anna Marie avait noué ses bras derrière sa nuque et les yeux fermés savourés ses douces et chastes caresses. « Rhabillons-nous, et allons-y.». Elle acquiesça paresseusement et saisit le mouchoir qu’il lui tendit, s’amusant un peu de la pudeur qui lui offrir, tandis qu’elle nettoyait le résultat de la passion brutale qui maculaient ses cuisses encore tremblantes. Anna Marie laissa s’envoler le mouchoir jusqu’à la mer en contrebat et se pencha pour ramasser les lambeaux de la robe qu’elle noua du mieux qu’elle pouvait, camouflant adroitement les déchirures par les bijoux.

Sa culotte était encore échouée sur le sol lorsqu’elle traversa la salle de bal, ignorant un appel pour filer au plus vite dehors et prétextant un malaise à un de ses hôtes. Elle fut la première arrivée en bas et attendit cet amant inespéré dont elle sentait encore le gout sur ses lèvres. Ils traversèrent la cité en échangeant des banalités rassurantes. Rogue pouvait mesurer tout le pouvoir qu’il avait eu sur elle, quand bien même il n’avait pas ressenti le sien. Son désir avait conditionné le sien, son plaisir avait décuplé le sien.

A peine arrivée, elle l’observa avec un amusement certain, prendre ses aises dans la pièce. Elle l’écouta, tout en défaisant la lourde tresse déjà mise à mal, l’observant à travers la psyché. Elle acquiesçait par moment et ôtait les lourds bijoux qui il lui avait été offert. Le corps d’Helel n’était qu’une enveloppe, un costume organique. Il n’était pas ce qu’il semblait être, mais elle savait déjà cela. « Je ne sais pas ce qu’il se passerait si tu touchais ma véritable enveloppe, je ne pense pas que l’effet serait différent.» Elle interrompit son geste pour affronter son regard. « Tu es puissant, probablement trop pour que je le supporte » avoua t-elle doucement, il lui était déjà arrivé de toucher des êtres puissants, des entités supérieur et elle avait cru devenir folle, cela avait altéré son esprit des semaines durant. « Et si mon esprit et mon corps le supporte, je deviendrais un peu toi. ». Lorsqu’elle ôta le dernier bijou, le lourd collier, les voilages de sa robes tombèrent dans un bruissement doux. Il n’y avait pas de pudeur chez Anna Marie, pas maintenant. Elle s’avança vers le lit. « J’ai vu l’enfer et le paradis » dit-elle sans se douter qu’elle touchait la vérité. Elle se pencha un peu pour déboutonner sa chemise sans se presser. Elle l’incita à se redresser pour pouvoir la lui ôter complètement et pris sa main qu’elle posa sur sa joue chaude « J’entends des chants dans une langue que je ne connais pas. » Elle ferma les yeux « Je vois l’horreur et la beauté » Elle fit remontrer l’une de ses mains contre son bras musclés « Je vois des combats aussi, la violence et la compétition ». Elle rouvrit les yeux, lui adressant un regard indéchiffrable, elle ne comprenait pas cet être.

Elle s’attaqua ensuite à son pantalon. Qu’elle entraina le long de ses jambes, avec son sous vêtement qu’elle laissa s’échouer au pied du lit. S’il voulait l’attraper elle esquiva habilement ses tentatives. « J’ai vu ton amour pour la violence, je t’ai vu pilonner, des centaines, des milliers peut être, de femmes avides. » Son sourire en coin laissait songer que ses visions ne l’avait pas tellement déranger. Elle finit par le rejoindre sur le lit, emjambant sur son corps pour s’assoir sur son bas ventre tendu. Elle posa ses mains sur ses épaules « Je les entendu te supplier. » doucement ses paumes glissaient, et les ongles effleuraient sa peau, buttant contre ses têtons, tandis qu’elle continuait de décrire plus en plus précisement. « Je les voyais à travers tes yeux, tes petites chiennes comme tu aimes nous appeler, te supplier de les baiser, vénérer ta queue » elle poussa un soupire lascif « J’ai senti comme tu aimes dominer, comme tu aimes qu’elles t’appellent : maître. Quand elles disent : Maître…. Je vous en supplie, prenez moi, défoncez moi, déchirez moi » sa voix pris les inflexions qu’elle avait entendu, suppliante, désespérée, haletante, elle poussa le jeu jusqu’à saisir dans ses mains l’un de ses seins, se cambrant souplement. Puis elle s’arrêta de jouer et s’allonger complétement contre son corps l’expression sérieuse et interrogative. « Ce que je n’ai pas vu par  contre, c’est ce que tu veux vraiment de moi. »
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 9 samedi 16 juillet 2016, 00:02:57

« Est-ce que ça t’a fait envie ? » Elle ne répondit pas son sourire en coin en disait beaucoup. Rogue avait ressenti le plaisir qu’il prenait, ça avait créé un désir en elle qui avait annihilé toute prudence et toute décence. Ses mains puissantes sur sa taille la firent presque ronronner, elle passait ses mains sur ses flancs et  contre ses côtes, des caresses douces mais avides. Elle ferma les yeux quand il déposa un baiser sur son front, elle détendue contre lui son corps chaud. « Je veux que tu sois mienne. Mon ombre dans ce monde. Je ne suis pas un Maître difficile, je n’exige pas la fidélité, ou la dévotion jusqu’à la mort. Simplement que tu m'appartiennes. » Elle se figea se redressant à demi et le dévisageant, cherchant dans son expression sérieuse la moindre trace de malice qui signalerait une plaisanterie. « Je n’appartiens à personne ! » s’exclama-t-elle mais il l’interrompit, implacable, ses mains pensants contre son dos dans ses caresses qu’elle appréciait particulièrement. Rogue l’écouta sans plus l’interrompre, la pensée d’un monde ou elle serait normale, ou elle n’aurait pas à craindre l’intimité lui fut douce. S’enivrer de stupre. Apprendre le corps des hommes et des femmes, séparément et ensemble, allez si loin dans la dépravation que plus rien d’autres ne compterait. Rien. Pas même ses combats.

Elle sentie son pouce contre ses lèvres et entrouvrit la bouche, pour venir le caresser de sa langue et le mordiller un peu, sans chercher à fuir son regard, elle s’était à nouveau détendue, elle se redressa et pris sa main dans la sienne. « Je ne suis pas un ange » répondit-elle lui laissant entrevoir une acceptation de son alléchante proposition. « Et je suis déjà égoïste. Terriblement égoïste » dit elle « J’ai abandonné un petit ami transi d’amour et je me suis jetée sur le propriétaire de la première queue qui pouvait me fourrer, presque sous son nez et c’est sur son lit que nous sommes vautrée. » avoua Rogue dans l’ombre d’un remord « Ca m’excite même un peu ». Elle sourit à Helel sans rougir de son aveu, elle prit son autre main et plaqua ses deux mains contre le matelas, ses doigts entremêlés aux siens, elle ne se faisait aucune illusion sur sa coopération dans cette manœuvre.

Son visage penchée sur le sien, dans une marée de mèches ondulées brunes et blanches elle lui susurra « J’aime beaucoup trop la lumière pour être dans ton ombre. Je ne veux pas rejoindre ton harem de petites chiennes dociles. » dit-elle fermement mais sans se départir d’un sourire espiègle. « Je ne veux pas être démone, parce que je crois au bien » Elle avait compris, elle ne le haïssait pas, mais elle ne l’aimait pas non plus, elle ne le connaissait pas, tout juste son prénom, si c’était bien le vrai. « Il m’arrivait même de prier. » murmura-t-elle en se penchant sur ses lèvres « Je n’appartiendrais jamais à personne….. » commença-t-elle « exceptée dans la fureur de la jouissance et des suppliques fiévreuses ». Un soupire puis elle réduisit l’espace entre leurs bouches pour un baiser ardent, elle lâcha ses mains pour venir encadrer son visage, sentir sa mâchoire s’articuler au rythme de l’échange, elle léchait et mordillait ses lèvres et sa langue qui l’avait fait jouir si vite quelques temps plus tôt. Son corps pressé contre le sien, sa poitrine écrasée contre son torse, ses mains ne se lassaient pas de parcourir chaque centimètre de peau à sa disposition et son bassin ondulait faisant frotter sa fente de nouveau humide contre son énorme sexe, ses soupires se perdaient dans ses baisers.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 10 samedi 16 juillet 2016, 12:52:14

Chaque claque sur ses fesses rondes résonnait dans la pièce et dans son corps, a demi redressée elle sentait se presser contre son entrée moite le sexe d’Helel. Manipulée par ses mains puissantes auxquelles elle n’offrait pas la moindre résistance, elle gémissait doucement. Ses mains enfoncées dans le matelas et le bout sensibles de ses seins effleurait son corps et excitait ses terminaisons nerveuses. «Être une petite pute immorale prête à abandonner ton  homme pour venir prendre un peu de bon temps sur ma queue, t’excite ? »  La tête penchée sur le côté, sa bouche humide laissant filtrer des soupirs de plaisir, Rogue acquiesça le regard trouble. « Oui », elle passa la langue sur ses lèvres. « Un petit penchant pour l’adultère ? Ou est-ce que tu aimes juste être une petite salope à la moindre queue qui se force entre tes jolies lèvres ? » Elle sourit et répéta « J’adore être une petite salope pour la moindre queue qui peut se forcer ou elle veut… » Elle haleta quand l’extrémité de son sexe pénétra le sien, une fois encore il bloqua son bassin et elle grogna de frustration, ses mains trouvèrent ses épaules et ses ongles s’y enfoncèrent à l’instant ou il vint reprendre sa bouche. Elle ne se lassait pas d’embrasser et sentait à nouveau ses muscles trembler sous l’intrusion,  une chaleur intense gagner son corps et colorer de rouge ses joues. « Ma jolie petite salope adultère. Dis-moi, qui a la meilleure queue ? » D’un coup de bassin, il lui arracha un cri « C’est toi » souffla t-elle « C’est la tienne ! » articula t-elle précipitamment prise par le plaisir et l’effort, la sensation de son sexe qui la fouillait, l’emplissait, l’étirait. Elle sentait les veines brulantes la racler, son gland cogner brutalement sa chair, ses râles faisaient courir des frissons dans son corps.

« Je parie que c’est une première pour toi, de te faire remplir la chatte ? » Ses murmures obscènes noyaient son esprit et elle acquiesçait à tout fébrilement « t’es le premier capable de le faire » souffla t-elle « t’arrête pas » supplia t-elle comme s’il en avait eu l’intention. « Allons, il doit bien y avoir autre chose qui te fait bruler d’envie. » Elle n’avait eu que ses fantasmes et ses jouets pour se satisfaire jusque-là. Elle plongea dans son regard alors qu’il continuait de la manipuler, elle alla alors chercher ses mains répondant à son sourire et s’aida de sa force pour se redresser, offrant son buste cambrée à sa vue et fichant ses genoux dans le matelas pour se maintenir en place. « J’ai toujours eu envie de plans à plusieurs » Elle se mit à se mouvoir à nouveau, chassa les mèches de cheveux collés par la sueur sur son front, d’abord des mouvements amples ainsi il pouvait voir son sexe entrer et sortir, elle gémissait la tête penchée la bouche ouverte, elle glissa ses doigts jusqu’à son clitoris qu’elle caressa, pinça, venant accroitre son plaisir « Mais plusieurs queues comme la tienne, je ne sais pas si j’y survivrais ». Aussitôt elle accéléra ses mouvements, faisant travailler ses cuisses et son ventre musculeux, sa lourde poitrine rebondissant presque douloureusement, alors qu’elle s’empalait elle-même, sans détacher son regard du sien, son corps athlétique et sensibles luisant d’efforts et de plaisir. Et ses soupires, ses gémissements signifiaient qu’elle était proche à nouveau d’atteindre l’orgasme, ses muscles se resserraient autour de ce sexe si merveilleusement palpitant et qui ne semblait jamais prêt à débander, pourtant elle voulait encore le sentir, la remplir de sa semence brulante, sentir son foutre couler contre ses cuisses.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 11 samedi 16 juillet 2016, 19:26:08

Accrochée aux couvertures qu’elle tirait à les en déchirer pour se maintenir alors qu’il brutalisait son corps en lui arrachant des cris confus de douleur et de plaisir. Sa jouissance provoqua celle de Rogue, brutale, intense, dévastatrice, la laissant sans force. Elle sentie à nouveau cette chaleur en son intérieur, la maculant presque que comme un baume contre son intimité à vif. Elle sentie ses lèvres sur ses seins et l’entoura de ses bras et demanda distraitement « Des démones ? », elle n’avait jamais touché d’autres femmes, pas même à travers un tissu, mais l’idée ne la dérangeait pas, au contraire. « Tu peux faire venir des démones ? » demanda t-elle incrédule, impatiente et anxieuse. Elle suivait doucement ses mouvements de bassin faire retomber la crispation de la jouissance. « Mais en attendant… Tu vas venir me sucer. » Elle se laissa allonger sur le côté, ses jambes pliées et ouvertes duquel coulait encore les résidus de leur jouissance.

Sa verge insensée brandit devant son visage, Rogue déglutie encore impressionnée par sa taille et sachant que cette fois il ne retiendrait plus rien. Elle lécha ses lèvres que des gouttes blanchatres maculaient et du bout de la langue vint laper l’extrêmité. « Suce, suce la comme tu as toujours voulu sucer celui qui t’aimait. Alors que je te veux juste pour vider mes couilles.» Elle le sentie forcer l’entrée et lui ouvrit sa bouche, elle ferma les yeux et entoura son bassin de ses bras, glissant ses mains sur ses fesses musclée qu’elle griffa à mesure de son implacable progression. Ses lèvres enserraient la colonne, se pressant presque amoureusement. Sa langue  pressait les veines, elle comprit rapidement qu’elle devait générer un maximum de salive pour faciliter ses mouvements et celle-ci s’écoulait par moment sur menton, trouble de sperme. Elle n’en avait qu’une partie dans sa bouche, mais la suçait avec une application de débutante, ses lèvres s’attardaient sur le gland, sa langue venait récolter ce qu’il en sortait déjà. Son sexe luisait là ou ses lèvres étaient passées.

Comme si c’était le sexe de Rémy, mais lui n’était pas aussi gros, impossible de les confondre. Pourtant elle, léchait, lapait, suçait avec une dextérité amoureuse en redoutant  le moment ou cette énorme gourdin s’enfoncerait brutalement dans sa trachée. Elle poussait de plus en plus loin, habituant sa gorge à recevoir, à contrôler les hauts le cœur et sa respiration. Et cela l’excitait. Elle n’allait probablement pas assez vite pour ce démon qui palpitant dans l’écrin soyeux de ses lèvres. Mieux que jamais elle ressentait parfaitement son désir, son besoin de violence à force de contact elle percevait ce dont il avait envie. Elle s’agrippa à ses reins et se hissa brutalement le long de sa queue, violant sa propre gorge avec ce sexe bien trop gros, un son rauque remonta, un cri avalé, douleur et victoire. Sa respiration s’était faite erratique et elle releva ses yeux mouillée de larmes de douleur et illuminé de défi vers lui. Elle avait le gout du sang, du sperme et de cyprine dans la gorge.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 12 dimanche 17 juillet 2016, 01:31:33

Quand il jugea en avoir assez, Rogue était épuisée, pantelante et son corps malmené n’aspirait qu’au repos. Elle le senti distraitement l’essuyer et geignit un peu en sentant son sexe fouetter ses seins. Il n’était jamais épuisé et elle craignit un instant qu’il se décide à la reprendre, à s’enfoncer à nouveau brutalement en elle. Il était fort probable qu’elle en perde conscience, mais il ne fit rien d’autre et s’allongea à côté d’elle. Elle sombra alors presque aussitôt dans un sommeil lourd et réparateur. Lovée au creux du lit, ses cheveux répandu en une auréole désordonnée autour de sa tête, une main à demi repliée auprès de son visage paisible. Elle ne bougea pas. Pas même quand la porte s’entrouvrit sur son ex-petit ami dont le visage passa par toutes les couleurs lorsqu’il l’aperçu nue entre les bras d’un colosse. Il fit demi-tour sans rien dire, le visage fermé et décidé à passer la frustration qui lui dévorait les entrailles sur la première venue.

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C’est un mouvement sur le matelas qui l’extirpa de son sommeil mais elle était trop bien pour seulement daigner ouvrir les yeux. Dans un état de demi sommeil elle entendit distraitement des gémissements, certaine de rêver elle ne bougea pas plus. Puis elle sentie des lèvres douces et dures contre ses mamelons, puis des mains écarter ses cuisses. Elle sursauta mais une main couvrit sa bouche pour l’empêcher de protester et c’est un gémissement surpris qui lui échappa quand des lèvres vicieuses vinrent goûter son intimité déjà moite. Elle ouvrit des yeux trouble d’incompréhension et de plaisir. La première chose qu’elle fit c’est une femme magnifique, cambrée entre ses cuisses qui lui lançait des œillades presque tendre alors qu’elle suçotait divinement son clitoris, Anna Marie haletait déjà. « Bonjour », elle se détacha de la vision de la succube pour croiser le regard d’Helel qui était reparti à l’assaut de son têton. Elle avait pris sa promesse pour une promesse en l’air.  « Helel » gémit-elle éperdue de reconnaissance et de passion. Puis elle tourna son regard vers la seconde succube, elle glissa ses mains contre ses cheveux noirs coupés courts, celle-ci remonta de son sein à sa gorge puis à ses lèvres, qu’Anna Marie lui concéda avec ardeur. L’une des mains de la succube vint saisir son sein délaissé, le pétrissant langoureusement, son autre main vint saisir celle hésitante d’Anna Marie, elle la recouvrit de sa paume et  la guida jusqu’à son intimité, contre laquelle elle la pressa.

Elle guida ses gestes et mêla ses langoureux gémissements à ceux de l’héroïne qui n’avait jamais reçu tant de stimuli. Parfois elle se tordait de plaisir sous les assauts contre son sexe et dévorait les lèvres de son amante en laquelle elle avait enfoncé deux doigts qu’elle faisait aller et venir, savourant la chaleur, l’humidité, la texture et les gémissements demandeurs qui agissait sur elle comme un aphrodisiaque puissant. Elle se sentait enveloppée dans un cocon fait de plaisir féminin, elle quitta alors les lèvres de son amante, qui vint dévorer son cou pour se tourner vers Helel, elle voulut parler mais un petit cri de plaisir s’échappa de ses lèvres quand une langue acérée vint perforer son intimité ruisselante.  Sous la surprise elle enfonça brutalement ses doigts dans l’intimité soyeuse alors qu’elle n’exerçait jusque-là des mouvements doux, l’ongle de son pouce racla le clitoris contre lequel elle exerçait des mouvements circulaires et sous ce traitement la succube frétilla et mordilla la chair tendre de son cou, ses gémissements laissaient suggérer une certaine frustration. Bien sûr, elles étaient les succubes d’Helel, elles étaient plus sensibles à la rage et à la domination, qu’à la prudence d’Anna Marie, celle-ci chercha d’ailleurs le terrible démon dont elle voulait ardemment le baiser.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 13 lundi 18 juillet 2016, 02:33:39

Les gémissements de Rogue et de la succube s’étouffaient mutuellement dans leur baiser. La rudesse d’Helel mêlées aux attentions des succubes lui faisait perdre l’esprit. « Est-ce que tu aimes mon petit cadeau ? » Un petit cri lui échappa, dans lequel se perdait un oui sonore, lorsqu’elle senti le visage s’écraser contre son entrejambe. « Tu devrais te frotter contre sa petite gueule de salope. » La succube rompit le baiser et attrapa comme son maître les cheveux de la dominée, appuyant les propos de son maître. Rogue baissa le regard vers la succube malmenée et une étrange satisfaction naquit au creux de son ventre, satisfaction encouragée par les gémissements de l’amante qu’elle doigtait et par le regard brûlant et furieux de celle qui continuait de lécher son sexe comme si c’était la meilleure des friandises. Rogue ondula son bassin, frictionnant son sexe avide contre sa bouche éperdue et elle finit par joindre sa main aux trois autres. Elle allait jouir, elle le sentait, mais elle en voulait déjà plus et étrangement elle savait que cette jouissance serait frustrante, quand celle-ci la prise, inondant le visage de la succube, elle faillit protester lorsque celle-ci s’arrêta pour frotter sa joue comme un chaton contre sa jambe. Sa protestation qu’elle jugea hypocrite l’agaça. Mais Helel fut plus rapide, elle le regarda arracher son sous-vêtement et l’empaler avec violence, elle se mordit la lèvre, la succube sursauta à peine à une action qui elle, la faisait se tordre de douleur, se cambrer de plaisir, sans savoir lequel des deux étaient le plus prégnant. « Assieds-toi sur son visage, ça lui apprendra à être une bonne à rien. » Elle n’hésita qu’une seconde, le regard presque menaçant de la succube l’excita plus qu’elle ne l’avouerait.

Elle l’enjamba et senti sa langue avide à nouveau contre son sexe avant même qu’elle ne fut convenablement installée. Elle haleta. Son sexe était déjà sensibilisée à ses attentions et déjà en manque de celles-ci, elle les retrouva avec une volupté qui ne tarda pas à faire naître de lascifs gémissements. Le spectacle d’Helel pilonnant brutalement le corps brulant de désir, les glapissements de la soumise contre son sexe et les attentions réparties de Sera lui firent dans un instant de étrange de lucidité fait reconsidérés la proposition du démon. « Qu’est-ce que tu penses de sa petite bouche ? » Rogue eut un sourire en coin « Elle est faite pour ça. »

Sera vint langoureusement l’embrasser, tendant à son maître ses appétissantes fesses toujours recouvertes d’une dentelle noire humide. Puis elle prit la main de Rogue et porta à sa bouche les doigts qu’elle avait enfoncés plus tôt dans son intimité. Le regard d’Anna Marie s’illumina d’un désir brulant tandis que sa langue caressait ses doigts. Sera la contourna alors pour venir se presser contre son dos, Rogue tourna la tête pour venir chercher ses lèvres tandis que la succube vint enserrer ses seins dans ses mains, la faisant se cambrer. Elle caressa ensuite son ventre tendue sous le plaisir « Comme tu es sensible » susurra le succube ravi au creux de l’oreille qu’elle mordillait.
De son corps pressé elle guida celui de l’héroïne dans une ondulation plus voluptueuse contre les lèvres noyées de Vera, étouffant ses cris de plaisir, celle-ci agrippa les hanches de Rogue accompagnant à son tour ses mouvements. L’une comme l’autre observait le sexe du maître fouiller brutalement l’intérieur de la troisième. « Déjà à nouveau au bord de jouir ». Sera enserrait amoureusement son corps, une main jouant avec ses seins, l’autre griffant doucement son ventre, le menton posé contre son épaule, ses yeux fixés sur son maître. Vera arrêta de dévorer son clitoris pour venir enfoncer sa langue dans son intimité, action ô combien frustrante et délicieuse. Sera fit glisser ses doigts jusqu’à son clitoris, qu’elle pinça et frotta adroitement, Rogue renversa sa tête, cambrée et offerte au plaisir, offerte surtout au regard d’Helel. « N’offre pas à nouveau le privilège de ta jouissance à cette petite pute hypocrite » dit soudainement Sera. Rogue débutait dans ses jeux et elle ne savait pas encore réfréner, le plaisir déferlait et elle le laissait faire, elle cherchait même à l’accélérer. Sera la fit se redresser et plaqua sa main contre le visage de sa sœur, étouffant son cri de protestation. « Tait toi. » Rogue se tourna à demi les genoux plantés dans le matelas, les deux femmes se faisaient face. Vera voulu glisser sa main entre les jambes de Rogue et celle-ci frappa sa main, puis quand elle voulut à nouveau protester, la gifla.

La sensation de pouvoir la grisait et l’entrainait vers une pente dangereusement, mais elle ne s’en souçia plus quand la poitrine de Sera s’écrasa contre la sienne, elles se collèrent l’une à l’autre, la main de chacune contre le sexe ruisselant de l’autre, se caressant juste au-dessus de Vera dont la bouche libéré ne parvenait plus qu’à crier son bonheur de se faire pilonner par son maître, tandis qu’au dessus d’elle,  Rogue avait agrippé les cheveux de la succube et tirait sa tête en arrière, l’embrassement voracement savourant les couinements ravie la succube.
 

Anna Marie

E.S.P.er

Re : Person of interest | ft Stephen

Réponse 14 dimanche 31 juillet 2016, 14:35:49

Rogue relâcha sa prise dans les cheveux de Sera, caressant doucement sa chevelure douce. L’une et l’autre gémissant entre leurs baisers. Rogue sentait qu’elle tenait sa jouissance entre ses doigts qui fouillaient son intimité délicieusement moite et Sera pressait son clitoris avec une application divine. Toutes les deux ruisselaient de cyprines, leurs seins pressés l’un contre l’autre. C’est Vera qui indiqua à Rogue de regarder derrière elle. L’humaine tourna mollement la tête  et son regard s’illumina quand elle vit ce démon branler son énorme sexe au-dessus du visage de Vera. Sera avait posé son menton contre l’épaule de Rogue et aucune des deux ne loupait le spectacle, leurs bouches entrouvertes gémissantes et invitantes. La succube tourna le visage de Rogue après qu’elles se soient amusées du spectacle de Sera couverte du sperme de son maître et frustrée de n’avoir pas eu sa jouissance. La succube l’embrassa possessive, elle savait qu’elle ne l’aurait plus encore très longtemps.

Rogue senti le torse musculeux se coller contre son dos et elle s’y lova, se détachant un peu de la succube qui continuait de dévorer ses lèvres. Elle senti les mains du démon masser  sa poitrine et gémit. Ses baisers contre sa nuque, son sexe  entre ses fesses, ses doigts fichée dans le sexe de cette femme magnifique qui était au bord de la jouissance, elle ne songea même pas à protester quand le démon lui ordonna de lui offrir ses lèvres. Elle se détacha de cette amante douce pour venir gouter à la brutalité. Elle l’embrassa avec un abandon nouveau et elle sentie des lèvres de Sera venir suçoter la peau tendre de son cou, puis sa main libre la contourner pour venir trouver le sexe entre ses fesses qu’elle massait avec vigueur, honorant le gland avec une certaine dévotion. Plus fermement à mesure que l’humaine ravageait de ses doigts son intimité. Elle gémissait fort, indécente faisant vibrer l’humaine dont la main fut soudainement inondée de sa jouissance. Pantelante et reconnaissante elle vint à son tour offrir ses lèvres à son maîtres, pressant l’humaine entre leurs deux corps.

Elle la voulait. Elle la voulait encore, elle voulait la voir dans le harem, harnachée et offerte. Elle voulait l’entendre réclamer qu’on la baise. Elle continuait de masser le sexe de son maitre et de stimuler celui de Rogue, plaisir et pointe de frustration. Elle entendait sa sœur laper et gémir au rythme de sa masturbation. Sa sœur qui essayait de trouver avec ses doigts la jouissance que le maître ne lui avait pas offerte. Rogue était noyée par toutes les sensations, les yeux fermés, elle porta à ses lèvres charnues sa main mouillée de cyprine, ses doigts maculant sa bouche, la pénétrant à peine. « Quelle parfaite petite trainée » ronronna-t-elle à son maître quand elle put à nouveau parler. Elle pinca plus fermement le clitoris et Rogue poussa un petit cri de jouissance, elle exécuta de vifs mouvements circulaires l’humaine tremblait de plaisir, abandonnée contre le torse du démon, elle sentait son sexe pulser contre ses fesses. Son sexe énorme qui avait ravagé Vera avec plus  de violence qu’il n’en avait fait preuve jusque-là. Et elle aurait voulu s’en inquiéter, mais elle était perdue dans les limbes d’une extase qui ne tarderait plus. Ses gémissements langoureux étaient une douce musique pour Sera, oh comme elle comprenait que son maître soit venue les chercher, quel beau cadeau. « Tu ne vas plus pouvoir te passer de nous. » Cette phrase doucereuse sonnait comme une promesse, comme une menace. Comment l’héroïne supporterait-elle de retrouver la solitude et le plastique. Elle sentie soudain une nouvelle bouche contre la sienne, c’était Vera encore maculée de sperme qui venait la réclamer. Rogue lécha ses lèvres avant de lui offrir l’entrée de sa bouche.
 


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