Une nuit de pleine lune (pv : Hana)

La nuit était sombre malgré l'éclairage naturel qu'offrait la lune. Dans les ruels régnaient prostitutions, drogues et autres choses malseines que les hommes disaient "bonnes" pour leurs organismes. Baliverne, ces choses ne sont qu'une pollution de plus qu'on ajoute aux tableaux de la stupidité humaine. Un jeune adolescent, ayant la taille d'un garçon de 15 ans marchait dans la ruelle, sa chevelure flottant dans l'air, son regard sortant de l'ombre, un regard de la même couleur qu'un couché de soleil et ses habits peu commun. Le jeune adolescent avait les mains en poche et se promenait dans les ruelles lorsqu'il tourna à un tournant, étant obligé et tomba nez à nez avec un groupe de 5 personnes, armées d'armes facile à transporter et riant, voulant dépecer et voler l'adolescent. Ce dernier dégagea une aura dangereuse, une aura noire qui, malgré l'obscurité, pouvait être vu et d'un regard sans peur, un regard sans émotion et d'une cruauté ne pouvant être copié, l'adolescent leva son bras vers eux. Ce n'était pas une provocation, mais, une lumière apparut, montrant le corps du jeune homme qui commançait à virer légerement en bleu lorsque ce dernier dit :

-Ne me cherchez pas, vous risquez de le regretter, messieurs dames.

Il fit comme si il tranchait quelque chose, remettant son bras droit sur le côté droit, toujours levé et les regarda alors que, d'un rire, ils l'humiliaient, frimérent et le sous-estimaient. Mais, leurs erreurs étaient le fait qu'ils firent un geste trop brusque, un pas décidé vers l'adolescent qui, lui, sortant sa main gauche, fit entrevoir un petit maillet qui augmenta le rire des assaillants. Mais, lorsqu'ils foncérent sur lui et des répètitions du mot "grandit", un maillet gigantesque apparut au dessus du jeune adolescent. C'était le petit maillet qu'il avait en main et, disant ironiquement : "Je vous avais prévenu", il baissa le maillet, écrasant les cinqs personnes comme de vulgaires insectes. Tournant son maillet qui devint un marteau de combat, ce dernier regarda vers une porte avant de dire, sans émotion :

-Voulez-vous bien vous montrer, ou bien, dois-je vous faire sortir par la force?


Lavi

Il ne faisait ni chaud ni froid ce soir là, et depuis quelques minutes, plus chaud que froid, dans l'obscurité de la porte, Hana avait observé la scène, et son sang s'était mit à bouillir, elle devait dégager une telle chaleur qu'une voix lui pria de sortir de sa cachette.

Elle s'était réfugié à cet endroit pour éviter ces 5 jeunes hommes qui voulaient l'attaquer, et qui sait, peut-être plus. Pendant ce laps de temps où elle était face à eux, seule, elle s'était mise à trembler, sa tête tournant sans cesse, elle avait du s'appuyer à cet encadrement de porte. Mais malgré qu'elle sentit son corps se réchauffer, les tremblements ne cessèrent, depuis son arrivée à Seikusu, c'était la première fois qu'elle se réchauffait de la sorte, mais les tremblements lui indiquaient que cette voix n'était pas celle d'un lycan.

Elle s'avança, sortit de l'ombre, observa fixement cet interlocuteur, s'en approcha encore, sentant la température de son corps augmenter encore, et les tremblements se multiplier, se retrouvant maintenant à quelques centimètres de cet .. homme, elle ferma les yeux, respira profondément, puis regarda l'iris de ses yeux. C'est alors qu'elle eu un soupir composé d'étonnement et de peur, qui fut suivit d'un murmure :

" Un vampire."

Le jeune adolescent la regarda, ce dernier n'avait qu'une apparence d'un enfant de 15 ans et était, comme elle l'avait si bien dit, un vampire. Ce dernier, la regardant, fit tourner son maillet qui redevint un simple maillet de poche et le remit dans sa poche avant de la regarder, dans les yeux. Ce dernier entendu le mot "Vampire" et loucha ses yeux en arriére, ne voyant rien. C'est alors qu'il comprit qu'elle lui parlait, elle...? Mais, que fait cette humaine dans les bas fond de la ville Seikusu? Elle n'avait surement rien perdue, par ici, alors, pourquoi est-elle là? Ce dernier leva une main, dégageant toujours une aura meurtriére qui donna l'impression à la jeune fille qu'il allait l'attaquer, mais, il posa sa main derriére sa tête, la grattant avant de lui poser une question :

-Excusez-moi....mais....Vous aviez dit vampire....? Donc, vous êtes humaine? Que faites-vous dans les bas fond de seikusu? C'est surtout le territoire de bandits comme ceux que je viens d'affronter.

Il avait à peine terminé sa phrase qu'il se souvient d'une chose. Les vampires étaient et sont toujours craint, car, ils boivent le sang d'être-humain comme cette femme. Va-t'elle le fuir? Ou bien, enfoncer un pieu dans son coeur, même si ça ne marchera pas avec lui ? Non, elle resta là, devant l'adolescent sans rien faire quand, d'un soupir de soulagement, ce dernier fit parti son aura et la regarda avec un air enfantin et un sourire de lune ( sans le clin d'oeil) avant de répondre à ce qu'elle avait dit :

-N'ayez pas peur, mademoiselle, je suis un méthuselas, dans votre langue, un vampire modifié. A l'origine, je n'étais qu'un simple méthuselas, mais, ma génération du passé a transformée ma famille en méthuselas modifié, des méthuselas qui boivent le sang d'autres méthuselas. Si vous vouliez être plus rassurée, tenez.

Ce dernier plongea sa main dans sa poche gauche avant de prendre la main de la jeune fille, l'ouvrant et sortit sa propre main, déposant le maillet dans la paume de l'inconnu. Il savait que, de tout de maniére, elle ne pouvait pas s'en servir, ne savant pas comment faire et même si elle allait l'attaquer avec une autre arme, le jeune adolescent avait de quoi la vaincre avec ses mains. Mais, elle ne dégageait pas, à ce moment, une aura de meurtre, mais, une aura de peur.

Hana n'arrivait pas à contrôler ses tremblements et sa peur, pourtant elle se sentait en sécurité sachant qu'il ne la tuerai pas. Elle regarda le maillet qu'il avait déposé dans sa main, et le lui rendit, en profitant pour effleurer sa main, glaciale, le choc de température lui provoqua un malaise. Elle recula, tremblante. Pour se rassurer elle même, elle sourit, ce qui lui couta un grand effort vu son état.

Elle recula jusqu'à la porte, il avança, elle se sentit brûler et cette fièvre était bien supérieure à celle qu'elle avait à Paris, quand elle était avec ses deux anciens amis Lycans. Sentant le danger de son état physique, elle attrapa les poignets de marbre de cet inconnu et laissa le froid la traverser jusqu'à ce qu'elle frissonne. La peur diminuait, mais vraiment très doucement, le froid était plus qu'ennivrant, mais elle n'avait aucune raison de tenir cet homme par les poignets. Elle le lâcha, murmurant à nouveau :

"Un vampire."

Elle recula mais se huerta au mur, coincée, elle soupira, souffla, se calma lentement, le fixant à nouveau, fascinée par ses yeux. Soudain elle détourna le regard, se rendant compte de la situation.

"Excusez-moi."

Plus la jeune femme recula, plus le jeune adolescent avança vers elle. Ce dernier avait remit son maillet dans sa poche et malgré le sourire qu'elle lui donnait, ce dernier n'avait pas envi de faire peur  à quelqu'un qui ne lui faisait rien. Mais, lorsqu'elle attrapa ses poignets, le jeune adolescent rougit et resta un moment, sans bouger jusqu'au moment où elle le lâcha, murmurant à nouveau le mot "vampire". Ce mot ne plaisait pas des masses à l'adolescent, mais, c'est ce qu'il était, un méthuselas. Même si il boit le sang d'autres méthuselas, il était toujours considéré comme des leurs. Entendant un bruit sourd, ce dernier releva les yeux vers la jeune femme qui avait gagnée, visiblement, le mur dérriere elle. Ce mur était fissuré de partout avec des affiches à moitié déchirées, encore heureux qu'il ne s'est pas éffondré. Mais, il remarqua que la jeune femme regarda ses yeux, elle devait surement pensée à un couché de soleil, comme font tout les autres avant elle. Souriant lorsqu'elle détourna son regard, il mit sa main derriére sa tête avant de dire dans un rire discret :

-Ce n'est rien, ce n'est pas un crime de regarder les yeux des autres.

Mais, dés qu'il termina de parler, son regard changea et il tourna les yeux dans tout les côtés, cherchant quelque chose avant de regarder vers la femme. Les fissures ? C'était lui ou bien, elles ont augmentées depuis tantôt. Mais, lorsqu'il entendit un craquement de ciment, ce dernier courrut vers la jeune femme, la prit dans ses bras avant de poser son pied sur le mur et d'y pousser fortement, se retirant de quelques métres du mur quand celui-ci tomba en morceau. On ne pouvait distinqué qu'un simple marteau à pique ainsi que de quelques rires. C'était un homme assez costaud, ressemblant légerement à la "Chose" des 4 fantastiques et il tenait un marteau affreux sur son épaule. Plongeant la main dans sa poche gauche, ce dernier l'arréta. Le jeune adolescent regarda la femme et d'un ton ironique, dit :

-Par hasard, connaitriez-vous l'homme aux fleurs, là-bas?

J'ai pas comprit la fin Lavi --'

-hj- Par hasard, tu connais l'homme aux fleurs? C'est une provocation, car, son corps est en pierre ^^

-Hj- Mais l'homme au fleurs c'est pas Lavi, c'est un autre ? C'est ce paragraphe que je comprends pas.

-hj- Un homme ressemblant à la chose (4 fantastiques, l'espéce d'homme en pierre) a détruit le mur où tu étais. Et c'est lui qui est visé par la provocation ^^

-hj- aaah xD

Soudain levée du sol, collée à ce marbre glacial, elle sentit ses tremblements ressurgir. Le jeune vampire lui posa une question qui effleura sa pensée, mais pas assez pour qu'elle ne distingue ce qu'il disait. Elle ferma les yeux, soupira, se suppliant elle même de se calmer, et priant pour qu'il la lâche et qu'elle puisse s'éloigner. Il posa sa main glaciale sur sa joue, elle sentit une sensation glaciale sur sa joue brûlante, ce qui lui fit ouvrir les yeux, elle lui lança un regard interrogateur. Il lui reposa la même question, elle leva la tête et observa le colosse de pierres puis secoua la tête en guise de réponse négative. Elle sentait son regard fixé sur elle, elle le croisa, et essaya de capter ce qu'était cette couleur, ce n'était pas un coucher de soleil, c'était quelque chose à mi chemin entre de l'or  et du rouge sang, ou plutôt les deux mélés. Elle referma ses yeux, et dit, d'une voix faible :

"Lâchez moi, s'il vous plait."

 

-hj- je pars faire un grand pique nique avec des Américains (^^'), je posterai dans la soirée demain après midi.

Après avoir posé sa main sur la joue de la jeune fille, l'adolescent la lacha sans même qu'elle n'ait pu le voir. Il la regarda, en souriant avant qu'elle ne lui répond avec la tête. Bien, glissant sa main dans sa poche gauche, le monstre marcha vers eux avant de lever son marteau en pique. Le temps qu'il arrive chez l'adolescent, la jeune fille a du avoir suffisamment de temps pour s'éloigner et d'un coups, le titan abaissa son marteau et créa, ainsi, une lumière blanche aveuglant les trois personnes. Lorsque la vue revint à la normale, on pouvait distinqué le marteau à pique coincé sur celui de l'adolescent et, après une à deux minutes, le marteau se fissura, tombant en miette. Souriant, ce dernier retira son maillet et on pouvait voir qu'il avait enfoncé le bout pointant qui était en plein milieu du maillet dans le marteau à pique, le cassant complétement. Posant la manche sur son épaule et en souriant, l'adolescent dit d'une voix non aggrésive :

- Je te laisse partir, titan. Mais, abandonnes tout espoir de revenir.

Le titan le regarda, puis, posa le baton par terre et se retourna, partant en trainant son baton. L'adolescent, quant à lui, tourna son maillet qui redevint normal et se retourna vers la jeune fille, souriant en faisant un V pour une victoire. Mais, à peine s'était il retourné que le titan plaça une attaque frontale. Les sens d'un méthuselas ne pouvaient trompés lorsque son sang commençait à bouillir et, sautant en l'air, ce dernier disparut. Regardant en l'air, le titan grommela, ne le voyant pas. Il n'y avait que sa voix qui utilisait l'écho :

-Grandit, grandit, grandit, petit maillet, grandit et punit-le

Un des murs se fissura et le temps que le titan comprit et esquiva, c'était trop tard. Le maillet avait ateint une masse incroyable et glissa sur le sol comme si c'était une voiture, prenant au passage le titan et le fracassant contre le mur. Le jeuen adolescent, quant à lui, avait prit appuié sur son maillet et regarda la jeune fille, lui demandant :

-Est ce que je ne vous ai pas touché, au moin?

Il avait à peine fini que le maillet bougea avant d'être projeter en arriére. Le maillet retrouva sa forme originele et le jeune adolescent était contre le mur dans un renfoncement lorsque le titan se dirigea vers la jeune fille, voulant surement s'amuser avec elle. Mais, subitement, une voix apparut de nul part :

-Fiches-lui la paix !

Se retournant, le titan esquiva le maillet qui trébucha sur un mur, tombant en ruine. Riant, ce dernier n'était qu'à une vingtaine de métres et s'approcha encore un peu plus de la jeune fille quand le méthuselas dit, en souriant avec un visage ensanglanté

-Game Over....

Ne comprenant pas pourquoi il dit ça, le titan regarda l'adolescent qui montra le pouce en l'air et regardant vers le haut, le maillet avait ateint une taille de 20 métres, écrasant littéralement le titan qui ne pouvait surement plus être en vie. Et tout ça était calculé, car, la jeune fille était saine et sauve. Cependant, à cause du dernier coups, le jeune adolescent posa un genoux à terre et perdait du sang sur le sol.

Contre le seul mur encore debout, Hana regarda encore une fois le combat, apeurée, quand enfin le colosse tomba, elle vit le vampire au sol, saignant, affolée, elle courut à lui et lui dit :

"Ca va ? Ca va ? J'appelle une ambulance ?!"

Quand elle entendit ses paroles sortir de sa propre bouche, elle se frappa la tête pour punir sa stupidité, elle toucha le sang du bout de ses doigts, le sentant s'évaporer au contact de sa peau ardente. Elle l'attrapa par les épaules et essaya de le relever, il était tellement lourd, malgré sa carrure normale.

"Je suis désolé, je ne vous attire que des ennuits."

C'est alors qu'elle soupira, sa releva, et commença à marcher, faisant claquer ses escarpins sur les pavés de la ruelle à moitié en ruine, s'enfonçant des les ténébres, dans le maigre espoir que ses tremblements cessent et que la température de son corps redevienne scientifiquement possible. Mais rien de changeait, plus elle s'éloignait, plus sa tête tournait, plus les tremblements persistaient, plus elle avait chaud. Résignée, elle hurla :

"POURQUOI MOI ?!"

Puis elle fit demi-tour et vint tomber à genoux à côté du jeune homme. Le sang n'avait plus l'air de couler. Elle sourit, soulagée. La brisa souleva ses cheveux décolorés et elle laissa une larme couler. Elle se sentait vraiment attirée par cet homme, elle se sentait en sécurité auprès de cette créature, sa vie en était remplie, à croire que jamais elle ne trouverai un humain avec qui vivre normalement.

Le jeune adolescent reprit connaissance au bout de quelques minutes, mais, comme tout méthuselas modifié, ses plaies se referment rapidement lorsqu'il dormait. N'ayant que des cicatrices, ce dernier ouvrit les yeux et vit la jeune fille qui était en pleure? Ce dernier posa sa main sur la joue de sa compagne, pouvant faire ça puisqu'elle était à genoux à ses côtés et essuya les larmes avant de se relever, prenant appuit sur un mur. Le jour commença à montrer le bout de son nez et, paniquant de ne pas trouver un objet, ce dernier regarda la rue et vit son maillet en taille de poche à côté d'un trou. Il n'avait surement plus la mémoire, ayant agit inconsciemment et, demandant l'aide de la jeune fille, ce dernier se dirigea vers son maillet, le reprit avant que le soleil ne le touche et souffla dessus. Une lumière apparut, cette lumière équalait celle de l'arc-en-ciel et, soignant l'adolescent complétement, enveloppa ce dernier d'une couche qui changea de couleur toutes les secondes avant de disparaitre. Regardant son maillet, ce dernier rigola avant de regarder la jeune fille et de lui expliquer, malgré que le soleil touchait sa propre peau.

-Je me présente, je m'appelle Lavi, Nightroad Lavi, le vampire extérminateur de vampires. Je devrais, normalement, disparaitre, mais, je vais t'expliquer à la condition que tu gardes le secret. Cette pierre est composée d'esprits, dans votre monde, on appelle ça une "philosopher's stone", et bien, ma pierre y ressemble. Cependant, elle est faite d'esprits purs et non de sangs souillés. Lorsqu'elle est touchée par un souffle de vampire, ce dernier peut se promener au soleil sans probléme. Mais, d'après ce que j'ai lu, il n'y a que la famille nightroad qui détient cette pierre. Ma petite soeur devrait en avoir une, mais, elle ne doit pas le savoir.

Ayant reprit un peu plus de forces, ce dernier se retira légerement de la jeune fille, sa peau était redevenue normale, ses yeux n'étaient que pourpre ne pouvant être différencier du couché de soleil et, surtout, il avait un air enfantin contrairement à tout à l'heure. Ses blessures étaient entiérement soignées, mais, il avait comme même des plaies. Ce dernier regarda autour, puis, prenant la main de la jeune fille, la tira doucement pour lui dire de partir. C'est vrai, même si il fait jour, ce quartier était toujours aussi dangereux. Surtout que, pendant la journée, c'était le moment le plus dangereux pour le renforcement de monstres. Le jeune adolescent avait l'habitude de faire des "chez lui" un peu partout et, marchant pendant 30 minutes à une vitesse limite trottinage, ce dernier lacha la main de la jeune fille et tappa un mur se trouvant au bout d'une ruelle qui longeait la ruelle principale, là où ils étaient la nuit. Un morceau de mur glissa vers la gauche, laissant voir des escaliers et, lui indiquant de déscendre sans faire de bruits, il passa derriére elle, ferma la porte et descendit jusqu'à ce qu'un appartement plutôt bien entretenu, mais, aussi bien meublé apparut devant leurs yeux. Ce dernier la regarda en souriant et lui dit :

- Faites comme chez vous, ce n'est pas tout le temps que j'ai une visite dans mon modeste appartement. J'ai placé des escaliers secrets un peu partout, d'ailleur, si vous aviez fait attention, malgré le noir, à un moment donné, nous sommes rentrés dans une salle remplie d'escaliers. Il y a juste un inconvénient, comme on se rapproche du centre de la terre, il fait plus chaud, ici, qu'à la surface et je n'ai pas encore installé la climatisation, pardonnez-moi....

Il faisait incroyablement chaud dans son antre.. Cela ajouté à sa température corporelle, elle devait sûrement dépasser les 100°F. Les tremblements ne cessaient pas vraiment, mais peu importe, elle avança et posa sa main sur le cuir du canapé se trouvant dans la pièce. Puis elle se retourna et sourit à Lavi, elle prononça quelques mots :

"C'est vrai qu'il fait moins chaud dans mon appartement, mais peu importe, pour vous ça ne doit pas être gênant cette chaleur, moi ça s'ajoute à la mienne, mais peu importe. Et si vous voulez tout savoir, je suis dans ce quartier car j'habite ici, je sais que c'est une fourmilière de créatures, mais c'est justement mon but, me sentir proche de créatures, car ce maudit bout de papier dit bien que je me sentirai différente à leur contact, je cherche peut-être à être unique.."

Elle lâcha le canapé et commença à regarder le mobilier, à faire le tour de la pièce, tout à coup elle posa sa main sur un des murs, la chaleur qui s'en dégageait était impressionnante. Elle sentait le regard du vampire peser sur elle, mais elle ne voulait pas le regarder, et recommencer à trembler, et à se sentir prisionnière de ces yeux d'or.

Regardant tout les faits et gestes d'hana, ce dernier ria discrétement avant de dire d'un sourire :

- Mais, que racontes-tu, tu es déjà différente des autres. Même ton sang est différent. Chaqu'un est unique dans son genre et toi, tu l'es plus que tout ceux que j'ai vu. Déjà, un simple humain n'essayera même pas de venir ici, ni dans ce quartier, tellement il aura peur. Toi, c'est différent.

Ce dernier marcha vers un comptoir avant d'y poser sa main et de sauter par dessus. Il ne faisait pas ça pour la frime, mais, parce qu'il n'y avait pas d'autres entrées et que, lui, il trouvait ça amusant. Posant deux verres de limonades sur le comptoir, il resauta au dessus, prit les verres et alla chez Hana qui avait toujours sa main sur le mur. Il tendit le verre à hana qui, cette derniére, le prit (si tu n'aimes pas, tu n'as qu'à dire que c'était juste pour pas me vexer) et l'adolescent déposa son verre après y avoir bu quelques gorgées, posant ses mains sous la peau nue de la jeune fille, refroidissant un peu son corps. Ce n'était pas une tentative pour la violer, mais, juste une tentative pour qu'elle s'y plait un peu, pour qu'elle supporte davantage la chaleur de la piéce. Ce dernier posa sa tête sur l'épaule de la jeune fille et, la regardant, dit

- Si tu veux, je peux t'emmener dans la piéce la plus fraîche de l'appartement, elle débouche presque sur l'océan...j'ai laissé un verre, car, j'aime bien voir les poissons pour dormir. Tu veux peut-être y aller, tu y seras mieux qu'ici.