Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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What If... They had declared their Love in Paris ?

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 15 dimanche 23 juillet 2017, 22:16:37

Peter eut rapidement une réponse claire et sans équivoque à la question qu'il avait posé. Félicia avait alors raffermi l'emprise de ses jambes contre son bassin, afin de l'amener à se serrer plus contre elle, tout en lui offrant un baiser vorace qui le surprit sur le coup, avant qu'il ne s'y plonge complètement. Mine de rien, l'Homme Araignée avait des raisons d'être aux aguets quand aux réactions de son amante, car sa seule expérience sexuelle au cours de sa vie avait été un viol, et Peter avait de fait la responsabilité de faire "oublier" à Black Cat cette mauvaise expérience.
Et pour le moment, et bien l'amour qui les unissait semblait vraiment faire son charme. Black Cat l'encouragea juste après leur baiser, ce qui ne fit que renforcer son érection et son envie de la prendre, de lui faire l'amour, après ces mois qu'il avait passé en dépression.

Okay ma belle...

Inspirant un bon coup, Peter enfonça de nouveau pleinement son sexe dans l'intimité bien chaude de Félicia, ce qui était encore plus flagrant du fait qu'ils étaient dehors, en plein hiver, soit dans des températures en dessous de zéro degrés. Félicia avait sa combinaison bien ouverte, et Peter avait abaissé le bas de son costume pour pouvoir libérer son sexe, pourtant il n'avait absolument pas froid. Il se mettait en effet à remuer dans l'intimité de la Chatte Noire, et était blotti tout contre elle. La sensation de son opulente poitrine se frottant contre son torse était divine et...et concrètement Peter se trouvait chanceux d'avoir une si belle femme qui l'aimait. Alors il avait bien l'intention de l'honorer, en ce début de nouvelle année, comme il se devait, et surtout comme elle le désirait. Peter prit peu à peu son rythme de croisière, il s'enfonçait sans problèmes dans le vagin bien lubrifié de sa belle, en se maintenant contre le mur de ce bâtiment à l'aide de ses dons, ainsi que grâce au fait que Félicia avait le dos collé à une de ses toiles, elle même tissée contre cette façade. Une façon de faire l'amour comme seuls les super-héros et héroïnes pouvaient le faire.

F-Félicia...Oh Seigneur...Hmmm...

Si Peter était moins vocal quand à son plaisir, il ne le boudait toutefois pas, après des mois de chasteté et de célibat, goûter à nouveau aux plaisirs que pouvaient offrir un corps comme celui de Félicia était une vraie extase. L'Homme Araignée se blotissait contre son amante autant pour qu'ils se tiennent chaud que pour le plaisir de la sentir contre lui, gémir, et "ronronner". Lui ne se retenait plus. Oh il n'y allait pas comme une brute, mais il suivait les instructions de Black Cat en lui faisant passionnément l'amour, en lui donnant d'amples et puissants coups de rein pour faire se mouvoir son sexe dans son intimité. Ayant d'ailleurs fini par prendre ses aises, Peter pu déplacer une de ses mains, qui lui servait à s'agripper à la façade, pour la glisser le long du dos de Félicia, avant d'aller caresser ses délicieuses fesses, faisant au passage d'avantage crisser le latex de sa combinaison.

Oh ma chérie...hum c'est...c'est si bon en toi...

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 16 lundi 24 juillet 2017, 00:45:47

Pour le coup, ils allaient redéfinir, à eux deux, l’expression « s’envoyer en l’air », puisqu’elle allait prendre, ce soir, un tournant très littéral. Peter était le seul individu au monde à connaître le lourd secret de Félicia, l’origine de sa kleptomanie, tenant dans le vol de sa virginité au campus. En se confiant à lui, elle avait franchi un cap dans toute relation qu’elle aurait pu envisager avec lui, sa simple passion d’adolescente pour Spider-Man devenant quelque chose de beaucoup plus sérieux. Les deux avaient souffert, avaient connu des pertes, leur lot de souffrances... Et, maintenant, ils s’offraient un peu de bonheur, dans une posture très improbable. Peter et Félicia était tout simplement maintenus en l’air, suspendus l’un à l’autre, retenus par les toiles de Peter, et Félicia, en enroulant ses cuisses autour du bassin de son amant, était fin prête à recevoir son membre en elle.

Elle le serrait fort, et gémit en sentant sa verge s’enfoncer en elle. Ils faisaient l’amour « habillés », avec leurs combinaisons. Peter savait qu’elle aimait sa combinaison moulante, les fines lignes qui glissaient le long de son torse, et elle savait qu’il aimait sa combinaison moulante en latex, la sentir crisser quand il la caressait, ou quand elle se contorsionnait. Impossible de nier qu’on était fétichistes quand on portait une telle tenue, qui vous moulait les formes à la perfection... Et, pour être honnête, Félicia aussi aimait les crissements. Une preuve supplémentaire qu’ils étaient faits pour s’entendre, non ?

« Pe... Peter, haaaa... »

Félicia gémissait son nom, les joues rougies par l’effort, ressentant un plaisir... Aussi fort qu’inattendu, et tellement intense qu’elle se sentait fondre sur place. Elle en ferma les yeux, et, si Peter regardait bien, il aurait même pu voir deux larmes glisser le long de ses joues, des larmes de bonheur. Aussi sûre soit-elle en public, dans l’intimité, Félicia, depuis son viol, avait toujours eu peur du coït. Une sorte de traumatisme, et Peter, avec sa douceur, sa timidité, et sa maladresse touchante, avait, somme toute, réussi à la guérir... Et là, avec sa queue, son gros mandrin qui la perforait avec joie, il était en train d’achever de détruire les maux qui, depuis des années, avaient rongé Félicia. Elle goûtait à une nouvelle vie, et chacun de ses onctueux soupirs était comme une délivrance.

Ses soupirs se mêlaient à ses ronronnements. Peter avait déjà pu constater que, depuis qu’elle avait subi les améliorations génétiques du Caïd, Félicia avait un sens du toucher bien plus réceptif qu’auparavant. En fait, elle adorait les massages, et Peter, quand ils dormaient ensemble, avait pris l’habitude de lui gratter le dos le matin. Félicia, qui avait l’habitude de faire des grasses matinées, ronronnait en soupirant. C’était d’ailleurs comme ça qu’elle avait découvert qu’elle pouvait ronronner, comme un véritable chat... Et, là, ce soir, au milieu de ses soupirs, et de sa cyprine qui recouvrait la queue de Peter, et s’égouttait lentement vers le sol, elle ronronnait.

L’homme la pénétrait. Du fait de leur position, les mouvements étaient lents, appuyés, permettant à Félicia de sentir sa virilité, sa puissance. Et Peter allait se féliciter du fait qu’ils aient gardé leurs combinaisons, car, sous l’effet de ce plaisir intense, Félicia avait déployé ses griffes, et les enfonçait contre ses épaules. Fort heureusement, ses gants, et la combinaison résistante de Peter, amortissaient considérablement les griffes, de sorte qu’il devait juste sentir des sortes de légères griffures, un peu comme des grattements.

« Peter, hmmm... Haaaaaa... »

Elle sentit alors la main de l’homme glisser contre ses fesses, et se crispa alors, venant l’embrasser brusquement, remontant sa main pour caresser sa nuque, fourrant longuement sa langue dans sa bouche.

« Oh, Peter, Peter, haaaa... Vas-y, hmmm... Prends-moi dans ta toile, prends-moi fort... Je veux te sentir en moi, tes mains m’explorer, hmmm... »

Elle se dandinait sur place, son bassin filant légèrement de gauche à droite, afin de mieux sentir la main intrusive de l’homme sur son fessier. Ce soir, Félicia allait aussi apprendre que ses zones érogènes étaient bien plus sensibles que des humains normaux, surtout pour certaines zones spécifiques... Comme son vagin... Ou ses fesses.

Félicia aurait voulu que ce moment ne se termine jamais...

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 17 mardi 19 juin 2018, 12:45:08

Il n'y avait guère qu'avec un super-héros comme Spiderman que de telles positions pour faire l'amour étaient possibles, et si Peter avait jadis pu un peu expérimenter avec Gwen...il était certain que le terme d'aller au septième ciel allait prendre un tout autre sens, bien plus littéral, maintenant que lui et Felicia s'étaient avoués leur amour. Cette fois était clairement un test, et il était en train d'être réussi avec brio. Peter avait eu la pression d'être la première fois de Felicia depuis qu'elle s'était faite violer quelques années auparavant, et sa mission était en quelque sorte de la réconcilier avec le sexe, en même temps que pour lui même de passer à autre chose après la mort de Gwen. Vraiment, le fait qu'ils étaient en train de faire l'amour ensemble, leur servait également de thérapie mutuelle.

Ah Felicia...Oh...

Du fait de la position pour le moins...acrobatique qu'ils avaient, Peter ne pouvait pas donner des coups de rein trop puissant, mais ce n'était pas non plus un mal, ça lui permettait du coup de ne pas y aller trop fort pour une première fois...même si honnêtement, il avait bien l'impression que Felicia ne s'en contenterait pas très longtemps. Ce qu'ils faisaient là n'était en même temps qu'un prélude à une suite de soirée qui allait être très longue, c'était l'entrée, et le reste du menu se ferait à l'hôtel, dans la luxueuse chambre qu'ils s'étaient payés pour leurs vacances dans la capitale des amoureux. Grâce à ses pouvoirs lui permettant de s'accrocher à n'importe quelle surface, et il se maintenait de ce fait contre le mur grâce à ses pieds, et du fait que Felicia y était colée grâce à sa toile, Peter pouvait avoir les mains libres pour explorer le corps de sa bien-aimée.

Tu sais...je regretterais presque de...aaaaah...de pas avoir obtenu des paires de...de bras supplémentaires...j'ai pas assez de mains pour...pour...hmmmm !!!

Difficile toutefois de continuer à faire des traits d'humour sur sa mutation qui avait fait de lui un super héros, car Peter s'approchait quand même de l'orgasme. En temps normal, il aurait tenu beaucoup plus longtemps, mais ça faisait des mois depuis la mort de Gwen...et donc des mois qu'il n'avait pas...pratiqué. Il y avait ça, il y avait aussi le fait que Felicia était objectivement une vraie bombe, qui avait un corps...parfait, juste parfait, et en plus dans une combinaison en latex qui crissait...et en plus, elle ronronnait de plaisir.
Peter pressa alors l'une de ses mains sur le cul ferme de la femme, tout en remontant une autre pour presser l'un de ses seins...ouais, clairement, le jeune homme ne savait presque plus où donner de la tête tant il voulait caresser et embrasser chaque parcelle de son corps. Non seulement parce qu'il était excité, mais aussi parce qu'il sentait bien que Felicia n'était vraiment pas indifférente à ça.
Sur la toute fin, Peter parvint quand même à donner quelques coups de rein plus puissants, plus désespérés surtout.

Fe...Felica...HUM !!!

Soudainement, Peter Se plaqua contre le corps de sa belle et l'embrassa, en fourrant son sexe au plus profond de sa chatte trempée. Il juta en elle pendant un long moment, sans se décoller de son sulfureux corps, et cracha d'imposants filaments de sperme chaud dans son vagin. Le jeune homme grogna contre elle, la serrant fermement contre lui, avant de peu à peu se détendre une fois la vague passée. Peter éloigna alors un peu son visage et...lui adressa un sourire mutin, signe imminent qu'il allait dire une connerie.

Alors...Heureuse ?

Il dit celà en grossissant volontairement sa voix de façon à se donner un air de beauf...ouais, il lui était impossible de rester trop longtemps sérieux, mais c'était aussi une bonne nouvelle. Durant les derniers mois, Peter avait été dans un état de profonde dépression, le fait qu'il recommence à agir comme un adolescent montrait que Felicia était parvenue à lui faire remonter la pente.

Mais sinon...et si on bougeait à l'hôtel ma puce ? Le plat de résistance tu sais, et puis c'est que je commence à avoir froid à mon petit derrière.

Félicia Hardy

Humain(e)

Re : What If... They had declared their Love in Paris ?

Réponse 18 mardi 19 juin 2018, 13:28:21

Peter était en train de renaître. Félicia aimait tant le sentir en elle. Ce qui avait été jadis une amourette un peu dingue s’était transformée en une romance sincère et honnête. En soi, Félicia avait indirectement profité des malheurs de Peter, mais avait toujours veillé à être là pour lui, à mettre fin, autant que possible, à ses mauvais penchants, à sa kleptomanie, à son goût du risque... Même si la Chatte Noire restait toujours la Chatte Noire. Elle était une sorte de Robin des Bois moderne, qui n’hésitait pas à voler des documents comptables dans de grosses compagnies crapuleuses pour les diffuser aux médias, ou à voler des biens mal acquis. Et, quant à sa provocation... Félicia se mettait toujours autant en danger, donnant parfois des sueurs froides à Peter. Mais, indéniablement, elle l’aimait. La Chatte Noire ne se voyait plus vivre sans Peter. Pour elle, qui avait été profondément déçue des relations amoureuses après avoir été victime d’un viol sur le campus de l’Empire State University, elle avait finalement réussi à retrouver l’amour... Et elle s’y accrochait fermement, fortement.

Son amant jouit alors en elle, et Félicia se crispa à lui, se pinçant fortement les lèvres, avant de lui sourire quand l’homme prit une fausse voix grave, tout en demandant de retourner à l’hôtel. La Chatte Noire hocha doucement la tête, et sa main gantée caressa son visage. Elle serra ensuite son masque, et le rabaissa sur ses lèvres, puis l’embrassa à travers le masque sur le visage.

« Vu comment tu prends ta grosse voix, je ne peux que t’obéir, mon chéri... »

Peter l’aida ensuite à se détacher de sa toile, et elle se dépêcha de rejoindre l’hôtel. À Paris, il y avait bien moins de gratte-ciel, mais tout autant de toits. Prenant les devants, Félicia se déplaça donc. Comme toujours, elle avait des marches très sensuels. Ses doigts s’agrippèrent sur le mur, et elle avançait souvent à quatre pattes. La Chatte Noire avançait sensuellement, roulant volontiers des fesses, comme à son habitude. Dans leur stratégie, Peter la suivait souvent, pour mieux la protéger, mais Félicia se disait aussi qu’il en profitait pour se rincer l’œil.

La Chatte Noire rejoignit ainsi l’Avenue Georges V, se tenant sur le toit de la banque Al Khaliji France. Il y avait un carrefour devant elle, et, surtout, le long d’une rangée d’arbres, un élégant hôtel : le Fouquet’s. Félicia avait réservé la suite présidentielle, avec un prix défiant toute concurrence. Peter avait cru défaillir en voyant les prix sur Internet, et Félicia lui avait ordonné de ne pas s’en soucier. Des deux, c’était clairement elle qui gérait le budget, et elle lui expliquait souvent qu’elle disposait de forts revenus en faisant pression sur des banquiers ou des hommes d’affaires qui, sans commettre des actes constitutifs d’infractions, violaient le secret des affaires. Elle avait sur eux des éléments qui, si elle les diffusait à leurs concurrents ou à leurs clients, engendrerait de fortes conséquences. Alors, ils lui versaient une rente colossale. C’était un mode de vie radicalement différent pour Peter, habitué à vivre dans les studios, à avoir du mal à boucler les fins de mois. Félicia vivait dans le luxe et dans l’opulence, et, d’ailleurs, quand ils avaient formalisé leur couple, elle avait catégoriquement refusé de vivre dans son studio, et avait ordonné à Peter de venir vivre avec elle dans son luxueux appartement avec vue sur Central Park.

Félicia bondit sur la terrasse, puis ouvrit la porte-fenêtres de la suite présidentielle. Peter entra à son tour, et, au bout de quelques secondes, lorsque les lumières s’allumèrent, un bandeau noir se posa sur ses yeux. Dans son dos, Félicia sourit doucement, et, tout en attachant le bandeau, déplaça son autre main, masturbant l’homme à travers sa combinaison. Elle sentait une légère bosse, mais, avec le trajet jusqu’à l’hôtel, son érection avait quand même décru.

« Hmmm... Tu ne bandes pas assez, mon chéri. Et tu sais combien j’aime les méchants garçons... »

Elle mordilla doucement le creux de son cou, puis le déplaça, et l’installa sur l’un des luxueux fauteuils de la suite. Elle attacha ensuite fermement ses poignets. En la matière, Peter savait que la femme savait faire de solides nœuds. Elle lui avait avoué qu’elle avait suivi une formation de shibari, et sifflotait doucement.

« Voilà... »

Félicia attacha également ses chevilles, puis se déplaça.

« Je vais me changer, Petey... Je vais réveiller la bête qui est en toi. Tu sais, j’attends depuis des mois qu’on fasse l’amour, et, ce soir, je veux que le garçon timide en toi laisse parler l’homme brutal et violent, celui qui se dévoile quand il s’agit de se battre. Mon corps sera ton champ de bataille ce soir, mon mignon. »

Elle pensait plutôt bien connaître Peter, et elle savait que, avec tout ce que son amant avait vécu, il y avait en lui une violence contenue, une rage qui s’exprimait quand il se battait, et qu’il refoulait autant que possible par l’ humour. Elle prit en tout cas son temps, et Peter put entendre le son de vêtements glissant sur son corps. Au bout de plusieurs minutes, des talons claquèrent sur le sol, et Félicia se nicha dans son dos. Ses seins nus heurtèrent la tête de Peter, et elle glissa ses mains griffues sur son torse, approchant suavement sa bouche de son oreille.

« Oh, Peter... »

La femme mordilla son costume à hauteur de l’oreille, et glissa ses mains sous sa tenue, venant saisir son sexe, qu’elle serra entre ses doigts, le relevant sur place.

« Ta queue est déjà bien tendue, mais... Pas encore à son potentiel... »

Elle se déplaça alors lentement, et retira des doigts le bandeau, en se mettant devant lui...

Dans une fine lingerie noire en latex, ne portant que des gants et de longs collants, ainsi qu’un étonnant ruban rouge dissimulant ses formes.

« Mon pauvre chéri, je te garantis que cette nuit sera la plus belle de ta vie... Mais que tu vas beaucoup souffrir dans la demi-heure qui suit... »

Car Félicia comptait bien le titiller comme il faut, en lui offrant une danse féline des plus sensuelles !

DC d’Alice Korvander.

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