Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Encore une journée comme les autres. Longue et ennuyante. La vie de nonne n'était pas très palpitante pour la petite Arphélia. Le seul moment de la journée qu'elle appréciait n'avait lieu qu'à la fin. Avant que le soleil ne se couche, elle partait dans la cours pour arroser toutes les fleurs et nettoyer les nombreuses statues qui s'y trouvaient. Rien de bien amusant, certes, mais cela changeait des prières quotidiennes.

D'ailleurs, pour ce soir, elle avait emprunté quelques livres dans la petite bibliothèques du couvent. Heureusement, ils n'étaient pas tous d'ordre religieux. Botanique, médecine, jardinage... romans. Puisqu'elle ne pouvait pas sortir comme bon lui semblait, lire était un moyen pour elle de s'évader, de penser à autre chose. De rêver, en quelque sorte.

La dernière statue astiquée, elle rangea son matériel avant de rejoindre sa chambre. Sur son bureau, cinq livres qu'elle prit soin de retourner pour en lire les résumés. Le crapaud amoureux de la princesse, le brave chevalier secourant sa demoiselle en détresse... Oooh, le dangereux minotaure capturant la belle princesse pour provoquer le prince. Allumant la lampe sur son bureau, elle éteignit la grande lumière puis se changea, retirant sa robe pour enfiler une petite nuisette toute mauve. Le livre en main, elle prit place sur son lit et commença à lire. Allongée sur le ventre, elle agitait doucement les mollets tout en progressant dans l'histoire.

Après une bonne heure de lecture, elle arriva enfin au passage qui l'intéressait le plus. L'enlèvement de la princesse. D'après le livre, les minotaures étaient décrits comme des êtres impitoyables, de puissants bovins capables de broyer un humain rien qu'avec une main. La princesse fut enfermée dans un des cachots mais ne fut pas abusée, au plus grand étonnement d'Arphélia. Frustrée, elle sauta quelques pages dans l'espoir de tomber sur une scène de viol. Mais non, rien. Encore une histoire qui finirait bien ! Déçue, elle laissa tomber son front contre les pages blanches livre.

- Haaa... Ce n'est rien qu'une pauvre vache, après tout. soupira-t-elle.

Une vache que l'on pouvait invoquer en prononçant trois fois la même phrase. Pour s'amuser, la nonne ferma les yeux, joignant ses mains entre elles pour imiter la sorcière dans le bouquin.

- Ô minotaure, puissant minotaure. Toi qui ère dans les enfers, montre-toi afin que je te libère. Toi dont l'âme est encore la proie du mal, viens à moi et quitte le monde infernal.

Elle la prononça trois fois avant de pouffer de rire. Qui pouvait donc inventer des histoires aussi ridicules ? Roulant des yeux, elle jeta le livre par terre avant de fermer les yeux.
« Modifié: mardi 24 mai 2016, 16:41:54 par Arphélia Von Krone »

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 1 mardi 24 mai 2016, 17:34:21

La spiritualité était, pour le moins que l’on puisse dire, absente de la vie de la bête répondant au nom de Ruatonim. Le monstre ne croyait quand la force brute et aux bruits que faisaient les os lorsqu'une hache venait s’abattre dessus, il avait toujours trouvé d’une affligeante faiblesse ces gens qui pensent que s’agenouiller devant des idoles allait changer leur vie. Lors d’une de ses rares visites à la ville, il avait entendu parler d’un endroit où se retrouvaient les fidèles d’une religion, un couvent que cela s’appelait d’après les gens et combles de l’ironie, il n’y avait que des femmes là-bas il avait donc craché en disant que ce n’était qu’un bordel comme les autres et qu’il n’y avait pas à lui donner de nom particulier. Il avait pris sa grosse hache et sa masse de guerres pour aller s’inviter dans cet endroit où des femmes priaient pour des choses en lesquels il ne croyait pas.

La route fut longue pour arriver dans cette partie de Terra où il n’avait jamais mis les pieds, c’était très différent de ses landes, mais il ne reculerait pas avant d’avoir fini ce qu’il était venu faire dans cette contrée. Il ne lui fallut cependant pas beaucoup de temps pour trouver cet endroit qu’on lui avait indiqué comme étant un couvent et y entrer ne fut pas plus compliqué. Oh il y avait bien eu une porte et quelques gardiens, mais il n’y avait plus ni l’une ni les autres, personne ne s’attendait à voir une créature semble au minotaure en pleine nuit. Ruatonim marchait donc dans les lieux comme si de rien n’était, regardant les statuts en rigolant, trouvant que cette décoration laissait à désirer.

Cependant, il ne voyait aucune trace de femmes contrairement à ce qu’on lui avait dit, il n’y avait que la nuit pour lui porter compagnie alors il décida d’arpenter les couloirs, ouvrant chaque porte qu’il trouvait pour à chaque fois tomber sur des pièces vides. Il ruminait sa colère jusqu’à entendre une voix, faible, mais une voix tout de même. « Ce n’est rien qu’une pauvre vache » il avait rugi en entendant cela, l’avait-on repéré ?  Il ne le savait pas, mais se dirigeait vers où il entendait là voix et en arrivant devant la porte il entendit d’autres paroles.  Comme une invocation sauf qu’on invoquait un minotaure, cela fit sourire la bête qui se demandait comment entrer dans ce jeu en se faisant passer pour un démon sorti des enfers suite à cet appel.

Sa grosse main pressa la poignée de la porte et l’ouvrir brusquement, s’il est était verrouillée le verrou avait explosé avec la force de bête. Il souriait et regardait celle qui l’avait « appelé », vu comment elle était habillée, il était conforté dans sa désignation de bordel pour le couvent. Il s’approchait d’elle en parlant de sa voix caverneuse :

« Vos paroles ont été entendues, vous m’avez appelé, me voici. Qu’attendez-vous de moi ? »

Il ne savait pas trop si c’était une entrée en matière crédible, mais de toute façon il s’en fichait, quoiqu’elle allait lui répondre, il ferait ce qu’il voudrait et elle n’allait pas aimer.
« Modifié: mardi 24 mai 2016, 19:07:10 par Ruatonim Ercassam »

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 2 mardi 24 mai 2016, 19:36:56

La porte s'ouvrit brusquement, faisant tressauter Arphélia de surprise. Probablement une de ses soeurs qui venait lui demander de faire moins de bruit. Elle releva la tête, avalant sa salive de travers en découvrant de qui... Non, de QUOI il s'agissait. Un boeuf. Un gros boeuf massif, tout en muscle, qui se tenait sur ses pattes arrières dans l'encadrement de la porte. Comment était-ce possible ? Le livre n'avait pourtant rien de magique...

Elle toussa bruyamment, tentant d'évacuer la salive qui venait de s'infiltrer dans sa trachée. Un rêve ? Non, il avait bel et bien l'air réel. Réalisant qu'elle était presque nue, elle se retourna brusquement pour s'asseoir et cacher son corps à l'aide de sa couverture. Elle ne comprenait pas comment il s'était retrouvé là et ne savait même pas ce qu'elle devait faire pour le renvoyer. Apeurée, elle recula jusqu'à ce que son dos percute le mur derrière elle.

- Euh....je....je vous ai appelé...? lui demanda-t-elle à voix basse.

L'avait-elle réellement appelé ? Et si c'était le cas, ne devait-elle pas lui offrir quelque chose en échange de ses services ? Arphélia le fixait, pressant la couverture contre son ventre pour cacher une partie de son corps. Un corps pulpeux qui, à cause du froid, révélait deux monts de chairs aux bouts tendus. La belle ne parlait plus, déglutissant dans l'attente de sa réponse.

De toute sa vie, c'était la première fois qu'elle voyait une créature imposante. Elle avait déjà vu des démons, certes, mais aucun n'avait une telle masse musculaire. La bête soufflait bruyamment, comme un taureau prêt à charger. Un être surhumain qui semblait venir tout droit des enfers. Allait-il la tuer ? Elle espérait que non.

- Vous cherchez quelque chose.... peut-être ? Si vous avez faim, vous trouverez de la nourriture en bas... dans la cuisine...
« Modifié: mardi 24 mai 2016, 19:45:19 par Arphélia Von Krone »

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 3 mardi 24 mai 2016, 20:31:18

Il s’approchait encore d’elle en la regardant, le sourire aux lèvres, c’était un crime de laisser une aussi charmante demoiselle dans une petite chambre comme celle-ci sans l’honorer de sa bestialité. S’approchant encore, il enjamba le lit, le faisant craquer par son poids, elle avait caché son corps, mais il le voyait toujours et se léchaient les lèvres. La femme était terrorisée et elle avait bien raison d’avoir peur d’une créature aussi imposante que le minotaure qui était désormais juste devant elle, sur son lit, sa grosse tête devant son visage et il lui sourit en continuant son petit jeu :

« Invoquer un démon dans un lieu de confessions sacrées est un acte bien courageux, maîtresse. Mais il est encore plus dangereux de se mettre en position de faiblesse devant la créature que l’on invoque, cela vous fait perdre le lien de domination. Je vais donc vous montrer ce qu’il en coûte de jouer avec des pouvoirs que l’on ne maîtrise pas. »

Il la regardait dans les yeux, plongeant son regard dans le sien en défaisant sa ceinture de fer pour donner toute son ampleur à son sexe imposant. Il lui sourit  en avançant un peu plus sur elle, la pauvre c’était adosser au mur et assise dans son lit sa bouche était pile à la bonne hauteur pour accueillir une saucisse pur bœuf bien juteuse :

« Cette nuit, la bête fécondera une suivante de dieu afin de faire naître l’antéchrist »

Il plaqua son sexe contre la bouche de la nonne et força l’entrée, l’obligeant à ouvrir la bouche si elle ne voulait pas se faire édenter :

« Suce-moi petite catin, cette nuit je serai ton dieu et ton dieu t’ordonne d’avaler son sexe jusqu’à ce que tu t'étouffes. Et appelle-moi maître dans tu voudras parler. »

Il ria en commençant à faire de fort va-et-vient dans sa bouche, s’enfonçant avec force dans sa gorge.

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 4 mardi 24 mai 2016, 21:00:39

La bête quitta l'encadrement de la porte pour s'approcher de la pauvre petite nonne qui, depuis quelques minutes maintenant, était tétanisée contre le mur. L'un de ses sabots se posa avec force contre le matelas moelleux, faisant craquer le bois qui le soutenait. S'il continuait d'avancer, il risquait de péter son lit. La petite blonde se recroquevilla sur elle même, un petit sourire crispé aux lèvres.

- Oooon peut peut-être négocier....hein...? Si c'est de l'argent que vous voulez, je....

Elle s'arrêta, fixant cette ceinture qui était en train de se défaire du pantalon. Le minotaure ne voulait pas d'argent... Il voulait du sexe. Et à en juger par son attitude, il ne comptait pas faire dans le romantisme. D'ailleurs, si elle ne réagissait pas de suite, il allait probablement en faire sa poupée gonflable. Son sac à foutre. Paniquée, elle envisagea de se décaler sur le côté mais il vint écraser son chibre contre son visage, faisant grimacer la nonne. Si elle tentait d'avaler cette chose, elle risquait de s'étouffer dessus.

Elle leva les yeux vers lui pour lui montrer son mécontentement mais il força sur sa petite bouche, l'obligeant à ouvrir la mâchoire au maximum pour tout prendre. Le goût et la chaleur qui s'en dégageaient la faisait délicieusement frissonner. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'y avait pas eu droit... Sa conscience lui hurlait de fuir mais son corps, lui, refusait de faire quoique ce soit allant à l'encontre de l'animal.

Il ne tarda pas à devenir plus brutal, faisant couiner la demoiselle qui essayait tant bien que mal de le satisfaire.

- Mmmpfff...!

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 5 mardi 24 mai 2016, 21:25:36

Il la regardait pendant qu’il enfonçait son sexe dans sa bouche avec force, cette bouche bien trop étroite pour accueillir un engin comme celui du minotaure mais c’était cela qui lui donnait le plus de plaisir, sentir son sexe dans un orifice étroit qui pressait son membre à chaque mouvement, il râlait de plaisir en donnant ses grands coups de reins pour s’enfoncer de plus en plus rapidement et il riait :

« Comment trouves-tu cette délicieuse queue de minotaure ? Pensais-tu à cela lorsque tu as prié ton dieu pour qu’il m’envoie à toi ? Je sens ton corps avoir envie de ça, tu n’es qu’une petite salope toute tremblante d’envie n’est-ce pas ? À la fin de la nuit, tu pourras remercier dieu de t’avoir permis d’assouvir tes inavouables envies. «

Il pose ses mains sur sa tête pour la maintenir bien en place et lui lève la tête pour la mettre bien à la verticale pendant que lui se replace de manière à descendre profondeur et lui violer la gorge à en faire claquer ses testicules contre son menton. Il se fichait bien qu’elle étouffe et il continuait de lui parler :

« Je la sens ton envie, ton envie de te faire violer par une créature divine, de te faire engrosser par un monstre animal. Je la sens ton envie de sentir ma semence te faire éclater le ventre en te remplissant de la plus brutale des façons. Dis-moi ton nom et dis que tu n’es rien d’autre qu’une petite pute qui aime te faire défoncer par la création la plus effroyable de dieu»

Il était rare que le monstre parle autant, mais après tout il était connu que les démons étaient plutôt volubile quand ils étaient appelés t même s’il n’avait plus besoin de jouer la comédie, il y prenait goût et il finirait par l’insulter de tous les noms avant d’avoir fini de la féconder.

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 6 jeudi 26 mai 2016, 09:29:07

Arphélia ne le quittait pas des yeux, sachant d'expérience que les hommes aimaient voir leur femelle pendant l'acte. Pire encore, certains aimaient les voir défaillir, s'étouffer, tourner de l'oeil... Et le minotaure devait être de ce genre. On aurait dit qu'il cherchait à lui éclater la mâchoire pour qu'elle puisse le prendre entièrement. La pauvre avait du mal et d'ailleurs, il arrivait même à lui déformer la gorge.

Avec une chose pareille dans la gorge, Arphélia était en train de suffoquer. De la bave s'échappait de ses lèvres, certes, mais l'air, lui, ne rentrait pas. Impossible d'inhaler de l'oxygène. Elle se mit alors à trembler et posa ses deux mains contre son ventre dans l'espoir de repousser. Mais l'animal ne bougea que pour mieux se placer et lui ravager la gorge.

La tête relevée de cette manière, elle sentit toute sa salive se diriger non pas vers sa gorge mais vers sa trachée. C'en était trop pour la petite nonne dont le visage virait au rouge. Elle toussa, pendant de longues secondes interminables, compressant par pressions successives ce membre oppressant qui se trouvait tout au fond de sa gorge. Elle essayait, tentait de le repousser, de toutes ses forces... Mais il ne flanchait pas. Alors, à bout, elle commença à tourner de l'oeil.

Puis il lâcha, enfin, la laissant respirer. Elle remplit immédiatement ses poumons et fut prise d'une violente quinte de toux. Son souffle était court, saccadé et elle peinait à rester dans cette position. Il lui avait demandé son nom et autre chose. Elle n'avait pas bien entendu.

- Je.....je m'appelle.... A....Arphélia..... lui dit-elle faiblement.

Elle n'avait rien fait de mal et pourtant, elle avait l'impression d'être punie. Il s'était montré tellement violent que sa gorge commençait à s'irriter.

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 7 jeudi 26 mai 2016, 14:28:34

Il la regardait avec un grand sourire pendant qu’il lui bouchait la bouche de son énorme sexe, il trouvait cette gorge absolument à son goût et n’hésitait pas à lui montrer en la maltraitant encore plus, il râlait de plaisir et souriant en la voyant presque au bord de l’évanouissement, elle essayait de le repousser, mais plus elle essayait plus il s’enfonçait jusqu’à ce que son visage change de couleur et qu’elle se mette à vraiment manquer d’air. D’ordinaire, cela ne l’aurait pas dérangé plus que cela, mais il voulait continuer de s’amuser avec elle alors il s’était retiré pour qu’elle puisse respirer et elle en profita pour dire comment elle s’appelait, il lui grogna :

« Hm… Arphélia, un très beau nom de catin. J’espère que tu en es fier. Et que tu remercieras Dieu de t’avoir permit de te faire prendre par moi.»

Dans la foulée il agrippa la couverture qu’elle tenait encore contre elle et la tira fortement pour dévoiler son corps tout à fait désirable. Sa grosse main attrapa le col de sa nuisette et la tira fortement jusqu’à lui, mais l’habit se déchira et Arphélia retomba contre le mur, il grognait en jetant le morceau de tissu pour attraper les jambes de la femelle et les tira de manière à avoir les entrées devant son membre :

« Quel trou une salope comme préfère-t-elle se faire prendre en premier, le cul ou  celle qui me permettra de t’inséminer ? »

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 8 vendredi 27 mai 2016, 01:54:44

Elle geint, furieuse qu'il compare son prénom à celui d'une fille de joie. Certes, il n'avait pas tout à fait tort puisque les antécédents d'Arphélia étaient des plus douteux. Profitant de sa jeunesse et de sa beauté, elle s'était envoyée en l'air avec une multitudes de mâles jusqu'à ce que ses parents ne décident de la balancer dans ce maudit couvent. Oui, elle regrettait son ancienne vie, par moments. Mais le boeuf ravivait en elle de délicieux souvenirs, la poussant à la luxure et à la débauche la plus totale.

Maintenant qu'elle y pensait, elle se demandait comment l'animal s'y prenait pour sentir son envie. Elle ne lui avait rien dit et pourtant, il arrivait à lire en elle comme dans un livre ouvert. Pire encore, il savait qu'elle mouillait comme une petite folle sans même avoir regardé sa lingerie ou ses cuisses. Lui sentait qu'elle voulait s'accoupler et elle, savait qu'il allait assouvir ses envies, calmer ses pulsions. Elle en mourrait d'envie et son entrejambe ne se privait pas de le lui rappeler.

Sans crier gare, le minotaure s'empara de la couette, tirant dessus avec force pour révéler son corps moelleux  et pulpeux. Surprise, elle poussa un petit cri, tentant en vain de cacher les parties les plus intimes de son corps. Mais le bovin ne céda pas, tirant sur sa belle nuisette quitte à décoller la pauvre nonne du mur. Elle ne mit pas bien longtemps à se déchirer et elle percuta lourdement le mur, soufflant à cause de la douleur. Totalement nue à présent, elle voulut dissimuler son corps frissonnant mais il la maintient fermement par les cuisses, tirant dessus pour l'approcher de lui et les écartant pour avoir une vue imprenable sur ses orifices palpitants.

Horriblement gênée, elle se mit à rougir, agitant frénétiquement les mollets comme si elle espérait lui échapper. D'une voix tremblante, elle lui dit alors, tout bas.

- N...noon, pitié...! Vous êtes trop gros, ça ne rentrera jamais...!

Elle le suppliait du regard, priant pour qu'il change d'avis.

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 9 vendredi 27 mai 2016, 02:23:16

Il la regardait avec un sourire des plus malsains, tout son corps était excité à la vue du sexe du minotaure, cela devait faire si longtemps qu’elle n’avait pas eu de membre viril bien chaud en elle que son corps frétillait à la vue de celui de la bête, elle était si bouillonnante d’envie qu’elle réussirait à prendre du plaisir en se faisant violer par cette créature titanesque à laquelle elle ne pouvait échappé. La bête lui avait attrapé les jambes pour la mettre en position et l’honorer de la plus brutale des manières, ayant choisit l'entrée qu'il voulait emprunter il approcha sa bouche de ses fesses et il cracha dedans et à l'entrée pour atténuer la brutalité de la première pénétration. Mais en plongeant son regard dans le sien et en y voyant qu’elle implorait pitié il la lâcha.

Il lui sourit avec une tendresse propre à un minotaure et il lui caressa la joue :

« Je ne voulais pas te faire du mal, belle Arphélia. Si tu m’as appelée, c’était pour que je te serve, n’est-ce pas ? Et ton corps était si bouillonnant d’envie que je n’ai pu me retenir pour assouvir cette envie. Mais n’ayez crainte, je ne vous ferais plus de mal. »

En disant ses mots, il lui caressait corps de ses immenses mains pour la faire frémir encore plus, mais lorsqu’il avait fini, il était retourné dans la même position qu’auparavant sans qu’elle ne s’en aperçoive et d’un violent coup de bassin, il enfonça son gigantesque cierge dans l’anus de la bonne sœur si brutalement qu’il lui détenait l’anus d’un coup sec et s’était immiscé en elle jusqu’à voir la bosse dans son ventre, là on se trouvait son sexe. Il ricanait en commençant de long va-et-vient :

« Vas-y cri, implore-moi, cri que tu remercies dieu de t’avoir offert cette nuit dont tu te souviendras pour longtemps. Remercie-le de te permettre d’accueillir dans ton ventre le rejeton d’une créature telle que moi. »
« Modifié: dimanche 29 mai 2016, 19:42:52 par Ruatonim Ercassam »

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 10 dimanche 29 mai 2016, 14:32:27

Arphélia le fixait intensément dans les yeux, attendant qu'il prenne sa décision. Elle hésitait franchement, se demandant si, dans le fond, elle voulait réellement qu'il s'arrête là. Elle avait peur, certes. Peur qu'il y aille comme une brute, qu'il lui déchire les orifices... Peur d'avoir mal. La bête cracha comme un malpropre sur son petit trou, faisant paniquer la nonne dont les prunelles s'étaient rétractées. Non, non, non ! Elle ne voulait pas qu'il passe par là, elle ne voulait pas qu'il la sodomise, pas avec la chose énorme qui lui pendait entre les jambes.  

Horrifiée à l'idée qu'il puisse la violer par là, elle ne put retenir les larmes qui coulaient le long de ses joues. Même si elle était une habituée de la sodomie, elle ne s'était jamais prit une chose de cette taille. Mais, contre toute attente, la créature la lâcha et ce pour son plus grand soulagement. Elle souffla alors, rassurée qu'il ait finalement changé d'avis. Peut-être avait-il réalisé qu'il était bien trop dangereux, pour elle, de passer par là.

- Mff... Merci, vous m'avez fait peur...

Alors il se mit à caresser son corps pulpeux, la faisant délicieusement frissonner. Détendue, elle commença à descendre les jambes mais il l'en empêcha subitement, la maintenant fermement contre le mur. Surprise, elle avait crié juste avant qu'il ne force sur son petit orifice pour se glisser à l'intérieur. A sec ! Il était entré entièrement à sec ! En proie à une douleur intense, Arphy enfonça avec une violence extrême ses ongles dans les bras du minotaure afin qu'il partage une petite partie de sa souffrance. La douleur était telle qu'elle ne criait pas, émettant seulement une série de petits bruits aiguës et perçants. Elle avait mal, très mal, et elle du serrer les dents pour essayer de tenir le coup.

- S-S...S'il...vous...plait.... j-j'ai....mal.... lui dit-elle tant bien que mal, le fixant de ses yeux imbibés d'eau salée.

Ruatonim Ercassam

Terranide

Re : Quand les légendes sont vraies [PV: Ruatonim]

Réponse 11 dimanche 29 mai 2016, 20:00:08

Il la regardait avec un regard plein de satisfaction, ce n’était pas la première fois qu’il faisait subir cela à une pauvre femme qui avait eu le malheur de croiser son chemin, mais il avait rarement été aussi satisfait de ses actes. Il l’entendait émettre des bruits de douleur à cause de l’énorme chibre qui était venu prendre possession d’elle en entrant par la petite entrée, mais il ne s’arrêtait pas, il devenait même de plus en plus brusque au fur et à mesure qu’elle criait et pleurer. Ses yeux sans émotion rivés bien droit dans ceux pleins de larmes d’Arphélia :

« Tu n’as pas mal, ce sont les faibles qui ont mal. Oh oui, c’est vrai tu es une faible petite chienne qui n’arrive pas à admettre qu’elle prend du plaisir à se faire empaler par l’énorme sexe d’un minotaure. »

Il avait remonté ses mains pour ne plus la tenir par les jambes, mais par la taille, ses mains étaient si grosses qu’elles faisaient le tour de son corps et il lui aurait simplement fallu serrer pour la briser, mais il la tenait par là pour une tout autre raison. Il avait arrêté de faire des mouvements de bassin pour la pénétrer, mais il avait pris le relai en la faisant aller et venir le long de son membre en la tirant fortement contre lui en riant sauvagement :

« Ton joli petit cul est tellement bon, je l’entends crier de plaisir de se faire écarter ainsi. T’aimes ça petite salope hein. »


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