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Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

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Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

Réponse 30 jeudi 28 septembre 2017, 01:14:09

Le sourire de Grayle se transforma bien vite en expression paniquée lorsqu'il sentit une immense chaleur envahir tout son corps, puis le transformer. Sous ses yeux écarquillés, il sentit son bassin s'alourdir, se tordre, changer. Son sexe lui donna la sensation qu'il allait exploser, et se mit à gonfler encore, et encore et encore, alors que ses couilles devenaient lourdes et brûlantes, au point de lui faire presque mal. L'humain s'était retrouvé pourvu d'une verge colossale, indécente, presque monstrueuse, qui, malgré sa taille et son poids, était droite et dure comme une barre de fer.

Il en avait MAL. C'était atroce. Ce sexe lui faisait un mal de chien, qui transpercait sa colonne vertébrale, du bas de ses fesses jusqu'à son crâne. Poussant des cris de douleurs, il fixa la croupe de la centaure présentée devant lui, comme un égaré dans le désert tombant devant une inespérée oasis.

" Oh pu... "

Putain ? Pute ? Il ne termina pas sa phrase. Tenant son lourd pénis brûlant d'une main, il posa l'autre sur le cul d'Odessa et, sans la faire plus attendre, s'enfonca en elle. D'un coup de bassin, il la percuta,cognant le fond de la jeune centaure sur-le champs, sa large verge écartant l'intimité de la centaure dans un diamètre scandaleux.

" Oh bordel ! "

C'était... incroyable. Il avait adoré la sensation lorqu'il l'avait prise, dans le lac. Mais là... c'était incomparable. Il ressentait la m^mee chose sur une verge presque trois fois plus longue, et des dizaines de fois plus sensible. Et surtout... il n'avait pas mal ! Rien que le cri de plaisir de la centaure était un délice à entendre. Puis, la douleur revint...

" Non, non... "

Il se retira, avec peine, devant faire d'amples mouvements du bassin pour faire reculer et avancer son énorme queue, avant de replonger en elle. La douleur disparue, remplacée par un plaisir fou, au point que Grayle est en train de BAVER sur Odessa. La puissance centauresse, ravagée par une queue à faire pâlir bien des membres de sa race, se retrouve ainsi pilonnée par l'humain, qui la culbute comme si sa vie en dépendait.

Ses mains agrippées à sa douce robe poilue, les doigts enfoncés dans sa chair, il la prend avec une rage folle, incomparable avec le puissant désir qui le secouait, dans une frénésie de sexe. Ses bras, ses muscles, son corps, gonflent, de même que sa force. Rapidement, la pauvre centauresse de plusieurs centaines de kilos se retrouve écrasée contre le sol, ses seins opulents secoués contre le parquet tiède, seule sa croupe cambrée vers le ciel, dans un numéro de contorsionniste grotesque, alors que Grayle lui remue littéralement les entrailles en grognant comme une bête.

L'humain est en train de dominer la centaure, plaquée contre le sol, impuissante contre cette frénésie, cette verge épaisse et brûlante, qui lâche continuellement une légère quantité de semence. Le bruit du bassin et des bourses s'écrasant encore et encore et encore contre la croupe de la centaure devient de plus en plus rapproché et bruyant, alors que Grayle grogne et gronde comme une bête en réponse aux cris aigus d'Odessa. Il ne veut pas que la baiser. Il veut la féconder, la faire hurler de plaisir, jusqu'à l'évanouissement. Il n'a pas joui dans une femelle depuis des décennies. Et il compte bien se vider en elle encore et encore, l'esprit corrompu par les deux démones qui continuent de tourner autour d'eux en insultant les deux "tourtereaux", forcant parfois Odessa à lécher leurs superbes pieds.

Il ignore combien de temps s'écoule lorsqu'il se vide en elle. Une colossale quantitée de semence humaine, chevaline et démoniaque se répand dans l'intimité d'Odessa, débordant généreusement dans un "splouch" à faire pâlir une nymphomane. Mais ce n'est pas assez pour le stopper... et il reprend alors sa pénétration, les hurlements d'Odessa sonnant comme une douce et enveloppante mélopée à ses oreilles. Est-ce qu'elle joui ? Peut-être... mais si elle est encore en état de crier, sûrement pas assez...


Odessa

Créature

Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

Réponse 31 mercredi 17 janvier 2018, 08:49:47

Les jurons sortis des lèvres de Grayle, quand son pénis prit des proportions gigantesques, résonna dans le temple, trahissant ainsi sa stupéfaction mais également, étant donné certaines intonations, sa douleur. Odessa, quelque peu inquiète, tourna la tête et vit que l'homme semblait souffrir ; en un sens c'était logique : on ne pouvait pas subir une transformation aussi radicale sans que le corps en pâtisse.

Quand il la pénétra, elle poussa un cri de plaisir et elle sentit que la douleur de son partenaire avait été remplacée par une sensation de jouissance. Il agrippa avec force sa croupe luisante, effectuant de puissants mouvements de va-et-vient dans son intimité qui était vraiment comblée.

- Putain, ça c'est de la queue ! s'écria-t-elle d'une voix rauque. La force de Grayle semblait décuplée : il l'obligea à s'accroupir sur le sol si bien que son buste et ses bras touchaient le dallage froid du temple tandis que sa croupe restait bien en l'air, offerte aux coups de boutoir de son amant qui n'y allait pas de main morte !

Elle qui aimait les étreintes sauvages, où elle se faisait pilonner de manière démentielle, elle était servie ! Les grognements de plaisir bestiaux de Grayle répondaient aux râles de plaisir, tout aussi bestiaux, d'Odessa qui avait les yeux révulsés et qui bavait. Cette fois ils étaient tranquilles, il n'y avait pas de risque qu'une horde de dothrakis débarque à l'improviste pour les interrompre dans leur coït.

Un ultime coup de rein et il jouit en elle, déversant un véritable flot de sperme dans son intimité. Ils poussèrent tous deux de véritables hurlements sauvages qui résonnèrent dans tout le temple tandis que la semence continuait à gicler. Il y en avait tellement qu'elle déborda et coula d'abondance sur le sol.

Durant de longues minutes, ils restèrent dans cette position, oubliant ce qui les environnait. Puis ils semblèrent émerger de leur extase. Grayle se retira d'elle et Odessa se releva. La queue du premier était toujours dressée, toute luisante de foutre tandis que l'orifice de la seconde en était toujours rempli, s'échappant en un mince filet de l'ouverture.

- Putain, quel pied ! s'exclama-t-elle, haletante, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration.

Les deux succubes avaient disparu mais la centaure sentit qu'elles étaient toujours là, cachées dans le temple, comme si elles en faisaient partie. La voix de l'une d'entre elles lui donna confirmation :

- Ce corps chevalin est robuste mais guère pratique pour l'amour : toujours la même position...

Odessa sentit alors sa partie basse fondre littéralement, devenant en quelques instants une sorte de masse informe, une pâte compacte qui prit rapidement forme si bien qu'à la fin la centaure se retrouva dotée d'une belle paire de jambes, aux cuisses robustes, aux chevilles fines, aux fesses pleines et rebondies et surtout des deux orifices adéquats ; une belle toison pubienne d'un beau blond complétait le tout.

Elle avait été tellement surprise par sa transformation qu'elle n'avait pu articuler un seul son. Et maintenant elle restait plantée sur ses deux pieds, complètement ahurie par ce qui venait de lui arriver. Elle fit un pas et... trébucha !

- Hum, cela demandera un petit temps d'adaptation...
- Sœur, sa vulve n'est plus adaptée au membre de son amant.
- Tu as raison, faisons lui reprendre une taille plus adéquate !

Et en quelques secondes le membre, ainsi que les testicules, de Grayle reprirent des proportions normales.

- Voila, maintenant ils vont pouvoir s'amuser pleinement !
- Par contre, le sol froid du temple, c'est pas ce qu'il y a de mieux...

Dans un "pouf !" sonore apparut un confortable lit à baldaquin dans lequel on aurait pu mettre cinq personnes sans qu'elles se gênent. Les draps étaient propres et sentaient la violette.
« Modifié: mercredi 17 janvier 2018, 09:41:40 par Odessa »

Paroles/Pensées

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

Réponse 32 lundi 29 janvier 2018, 23:18:53

Grayle s'était effondré doucement sur la croupe de la centaure, épuisé par son orgasme et ses coups de bassins répétés. Il arborait un sourire un peu bête, caressant sans faire attention la robe d'Odessa. Elle était chaude, douce, et puait la sueur et le sexe. Il adorait ca. Une femme "vraie" et brute, pas une petite fleur parfumée et pleine de manière. Il se retira d'elle, chancelant, et tomba par terre, sur les fesses. Il fixait son propre sexe, tellement gros qu'il en était intimidant, avant de regarder Odessa, complètement écrasée sur le sol, le cul bombé et débordant de semence. Elle s'exclama d'une voix rauque, et il lui répondit d'un air joyeux. L'humain, en éjaculant, semblait avoir retrouvé un peu de sa conscience.

" Oh putain, tu l'a dit..."

Il respirait avec difficulté, en sueur, et resta silencieux alors que les démones, invisibles, s'exprimaient toujours de leur voix langoureuse. Elles commentaient le corps d'Odessa qui, s'il était très attirant, aux yeux d'un Grayle qui avait subi 20 ans de frustration, n'était en effet pas pratique pour un jeune homme de son gabarit. Il resta absolument halluciné en voyant Odessa se transformer en une humaine, ses pattes et sa robe devenant deux longues jambes musclées. Elle s'effondra de manière un peu ridicule vers le sol, et Grayle, dont le sexe était revenu à une taille normale, avanca vers elles, à quatre pattes.

" Odessa ! "

Il la prit par les épaules, l'aidant à se relever. Il la dévora du regard. Oh bon dieu... centaure, elle était belle. Mais humaine, elle était... il ne savait que dire. Elle était parfaite. Un grand lit à baldaquin apparut, juste devant eux. Ils regardèrent le lit, puis se regardèrent. Il l'embrassa, arrachant un gémissement à la jeune femme. L'envie remonta encore en eux, manipulés et complètement dominés par les invisibles succubes, leurs pulsions toujours plus fortes.

Les jambes d'Odessa étaient molles. Pas de quoi arrêter Grayle, qui la souleva comme une princesse. Elle poussa un petit cri étonné. Sous sa forme, elle ne devait pas être habituée à être aussi... mince, fragile, légère, manipulable. Il la jeta presque sur le lit, dont le matelas épais s'enfonca légèrement. Il enleva son haut. Il était cette fois entièrement nu, ses puissantes jambes écartées, le sexe dur, brillant et rouge.

" Borde, qu'est ce que t'es bonne... "

Il monta sur le lit, caressant des jambes, la regardant avec passion, amour et perversité. Il lécha ses cuisses, embrassa sa toison. Son intimitée, bien que transformée, était toujours dégoulinante de semence. Il caressa son ventre. Sous forme humaine, Odessa était légèrement plus petite que lui, plus faible aussi. Sa poitrine et ses hanches étaient toutefois toujours aussi opulentes. Il se pencha sur elle et l'embrassa, malaxant son énorme poitrine. Il se frottait contre elle, son vit contre le ventre.

" Ca fait quoi d'être en face ? C'est bien, hein... ?"

Il lécha son visage, sa joue, ses oreilles. Il l'écrasait contre le matelas, et s'écarta un instant. Il la tira vers le centre du lit, posant un coussin sous la tête d'Odessa, dont la magnifique chevelure étalée lui donnait une auréole. Elle ressemblée à un ange, un ange de la luxure, arrivée ici uniquement pour qu'il lui fasse l'amour.

Et la féconde...

Une petite voix, féminine, imperceptible, chuchotait à l'oreille du mal, l'encourageant à féconder la femelle dans ce temple sacré. Pour la déesse... Il respira avec force, posant son sexe contre le ventre de l'ancienne centaure. Il dépassait allègrement le nombril. Maintenant, elle ne pourrait plus se plaindre de sa taille... Ni de sa force. Nu, et plus grand qu'elle, le pérégrin semblait plus musclé et épais qu'auparavant, trempé et brillant de sueur. S'il était dans son état normal, il la caresserait, se montrerait tendre... mais là... il lui tira les seins, jouant avec les épais mamelons. Non. Là, il avait envie d'être sauvage, de lui offrir encore plus qu'avant.

Prenant son sexe en main, il la pénétra , s'enfoncant dans toute sa longueur, cognant au fond dans un râle de plaisir, avant de se pencher sur elle et de l'embrasser, pétrissant son corps. Il lui fit un clin d'oeil.

" Accroche toi. "

Et la baise reprit.

Odessa

Créature

Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

Réponse 33 dimanche 11 février 2018, 19:33:05

Grayle se précipita vers Odessa quand cette dernière s'écroula au sol ; passer de quatre pattes à deux jambes était déstabilisant et demandait un certain temps d'adaptation, comme l'avait si bien dit l'une des succubes. Le vagabond l'aida à se relever et la contempla un petit moment les yeux brillants puis il l'embrassa avant de l'emmener vers l'immense lit à baldaquin qui semblait n'attendre qu'eux.

- Pour des créatures infernales elles sont plutôt attentionnées ! dit Odessa d'une voix amusée, après que Grayle l'eut déposé sur le matelas qui était confortable. Il enleva son haut et se campa devant elle, le sexe toujours en érection.

- Bordel, qu'est ce que t'es bonne... murmura-t-il avant de grimper à son tour sur le lit et de caresser les jambes de sa compagne. Elles étaient longues, fermes, musclées mais sans ostentation et avaient la peau douce, bref un véritable enchantement pour un amateur de belles cuisses féminines. Il se mit à les lécher, remontant petit à petit vers son entrecuisse dans laquelle il passa une langue avide ; chaque coup de langue, chaque caresse arracha un gémissement de plaisir à Odessa et elle sentit son corps devenir chaud comme la braise tandis que son intimité s'humidifiait davantage, prête à recevoir la virilité de son partenaire.
Il l'embrassa de nouveau, pétrissant ses seins lourds. Elle sentit sa verge chaude contre son ventre et elle crut qu'elle allait le rôtir tant elle était ardente.

- Ça fait quoi d'être en face ? C'est bien, hein... ?
- Ouais !... fut sa seule réponse. A vrai dire, elle était encore un peu sous le choc d'être devenue sans crier gare une bipède et son cerveau ne parvenait pas encore à réaliser l'évènement, raison pour laquelle elle se laissa faire quand Grayle la trimballa vers le centre du lit puis poser un coussin sous sa tête avant de la contempler avec le même regard enfiévré.

Ce ne fut que quand elle sentit sa verge fouailler en elle qu'elle sembla sortir de sa semi-torpeur. Ses mains s'agrippèrent sur le corps de l'homme et elle souleva d'elle-même ses belles jambes afin de mieux recevoir la virilité de son partenaire ; ce dernier semblait complètement possédé : il la pilonnait sans vergogne,  avec un étrange mélange de rudesse, de douceur et de sauvagerie, tout en pétrissant, suçant, mordillant ses tétons qui avaient doublé de volume sous l'effet de l'excitation.

Grayle prenait Odessa comme le dernier des goujats et elle adorait ça. Chaque coup de rein arrachait à la belle des gémissements de plaisir qui se répercutèrent en écho dans le temple...

Paroles/Pensées

Grayle le pérégrin

Humain(e)

Re : Pérégrinations cavalières (Odessa+Grayle)

Réponse 34 mercredi 21 février 2018, 00:06:00

Si coucher avec la centaure était un plaisir, Odessa sous forme humaine était juste divine. Plus qu'une simple pénétration, il était sur elle, contre elle, peau contre peau, pouvant se mêler à elle dans un entrelacs de chair, de bras et de membres, se frottant contre la femme avec délice.  Sentir des jambes l'enserrer le ramenait des décennies en arrière, et il en pleurait presque. A vrai dire, il en pleurait, de joie, reniflant quelques peu entre deux râles virils, son souffle chaud s'écrasant contre l'oreille et les cheveux de la blonde. Elle puait. La sueur, la fatigue, le sexe. Surtout le sexe. Il mordilla son épaule, et elle griffa son dos, l'excitant encore plus.

A chaque coup de rein, ils s’enfonçaient dans le matelas, doux, confortable et odorant, presque rassurant. Il sentait, à chaque fois, son sexe s'enfoncer, écarter les parois d'Odessa, percutant son col de l'utérus, ravageant ses entrailles en se frayant un chemin, encore et encore. Chaque gémissement, cris et griffure l'excitait, et ne faisait que renforcer ses gestes brutaux.

Invisibles, mais bien présents, tels des courants d'air, les démones observaients les excitants débats de Grayle et d'Odessa, qui, infatiguables, continuèrent pendant de longues minutes.

- Quelle chance de tomber sur eux... une centaure lubrique, et un humain en manque...
- Il est très vigoureux... nota l'une d'entre-elle. J'aurais pensé qu'il perde conscience après ton petit... cadeau.
- Oui... il est parfait. Si facile à corrompre. Mais je sent la femme résister encore un tout petit peu...

Un cri, suivi d'un second, étranglé. La centaure devenue humaine s'était tendue, les yeux révulsés, et sa mouille se mit à déborder de partout, éclaboussant Grayle et souillant les draps. Leur cri joint prit fin brutalement, alors qu'il retombait sur elle, plus calme, mais bougeant toujours entre ses jambes. Ils s'embrassèrent.

- Toujours d'attaque...
- Admirable...

De leur côté, les deux amants nageaient doucement au paradis. Grayle caressait Odessa, qui convulsait un peu, comme pour la ramener sur terre. Il lécha ses lèvres, essuyant un peu de bave, frictionnait régulièrement ses jambes afin qu'elle maitrise leur usage le plus vite possible. Sa verge nageait dans un océan de fluides chauds, qui coulaient avec douceur.

- Oh Odessa... tu es la meilleure chose que me soit arrivée depuis longtemps... dit-il avec émotion. Ils poussèrent un doux rire. Il revint en elle, sentant l'intimité se serrer, un peu trop. Leurs corps étaient tellement humides qu'ils glissaient l'un contre l'autre comme s'ils avaient été enduits d'huile, ses pectoraux écrasant sa lourde poitrine. Il la recoiffa, enlevant ses cheveux qui s'étalaient partout, afin de d'exposer son beau visage et ses oreilles pointues. Même ainsi, elle était belle, presque gracieuse. Il gouta encore à ses lèvres, devenu habitué à ces dernières, l'embrassant presque par habitude, ondulant encore en elle, doucement, puis de plus en plus vite alors qu'elle retrouvait sa forme.

Les gémissements reprirent.

- Ah... t'es insatiable... on est vraiment faits l'un pour l'autre dit-il avec un sourire carnassier, reprenant une pénétration vive et puissante, les mains sur sa poitrine qu'il malaxait avec bonheur. Sa respiration devint elle aussi plus rauque, alors que les silhouettes floues des deux démones tournaient autour d'eux, fugaces et légères.

- Ah... ca... hum...

Elle pouvait le sentir, grossir, se réchauffer, s'agiter en elle, mais, sans prévenir, il se retira, écartant les jambes d'Odessa par sa seule force physique, avant de présenter son sexe face à elle, tellement rougi par l'envie qu'il était presque violet. A genou, il se mit à se branler devant elle, poussant des râles peu élégants et animaux. Son autre main caressa l'intimitée béante d'Odessa, la caressant elle aussi avec expertise, ses doigts s'insérant en elle.

Le manège ne dura que quelques instants avant qu'il ne craque, et n'éjecte -encore une fois- plusieurs longs jets de sperme chaud, qui s'écrasèrent sur le corps d'Odessa, son bassin, son ventre, sa poitrine, son visage et ses cheveux, comme s'il la marquait afin d'en revendiquer la possession. Il poussa un long soupir, reprenant son souffle devant la femme, souillée de semence masculine...
« Modifié: mercredi 21 février 2018, 20:40:30 par Grayle le pérégrin »


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