Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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D'où l'on vient [PV]

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 15 jeudi 12 mai 2016, 13:30:08

Est-ce que tout ça était une sorte de coup de pouce du destin ? Le genre qui pousserait Quentin à se rapprocher Doutzen autant qu'il l'aurait souhaité ? Intérieurement le jeune homme se posait la question, car ils étaient là coupés du monde, juste tous les deux, et au moins pour une poignée d'heures. Heureusement le plein de la Chevrolet avait été fait récemment, aussi pouvait-il la laisser tourner pour qu'ils aient du chauffage, et ils avaient de quoi se nourrir au cas où. La pluie et les orages pouvaient être effrayants, mais ils étaient dans un endroit présentant peu de risques au vu des circonstances. Il laissa échapper un franc rire lorsque Doutzen pointa le fait que cette situation ressemblait beaucoup à un début de film d'horreur.

Oh mince j'avais pas vu les choses sous cet angle, j'étais plus dans l'aspect romantique d'une telle situation, mais je te l'accorde, le coucher de soleil ce serait mieux qu'une tempête dans cette optique.

Cela étant, quel que soit le temps, il était au final presque content qu'ils soient coincés ici, rien que tous les deux. D'autant qu'effectivement, pour mettre un peu d'ambiance, il possédait dans la boîte à gant qu'il indiqua à Doutzen, une plétore de CD.

Je ne sors que le meilleur pour ce genre de situation Doutz', des chansons d'amour et du rock...

Elle tomba effectivement sur une petite compilation personnelle, qui ne comportait en vérité aucune musique récente, vu que le genre romantique avait tendance à disparaître un peu ces dernières années, Quentin se tournait donc vers le passé pour ses séléctions de chansons...et ça fit mouche. Suivant le rythme, il commença à bouger en concert avec Doutzen, tout en ne pouvant pas s'empêcher de matter de temps à autres son opulente poitrine, qui remuait. Il n'en fallait pas plus pour attirer l'attention d'un homme, mais il prenait garde à ne pas être trop insistants dans ces regards qu'il lançait.
Mais c'est alors qu'ils reprenaient le refrain en choeur qu'un violent coup de tonnerre résonna, en même temps qu'un gros flash. Un éclair était tombé sur un arbre,à tout juste une centaine de mètres, là où les arbres étaient les plus élevés qu'ici. Quentin sursauta, son coeur ne faisant qu'un tour, mais il se retrouva aussi avec Doutzen qui s'était instinctivement jetée dans ses bras. La respiration haletante, il pouvait sentir que la jeune femme avait eu la peur de sa vie...et que son premier réflèxe avait été de se jeter dans ses bras.

Doucement Doutz', ça va aller. Les éclairs ne tombent généralement que sur les éléments les plus hauts et conducteurs d'un environnement, et ces pins sont beaucoup plus hauts que nous. Et au pire, la carosserie de la voiture nous isolera.

Quentin la serra contre lui, trouvant la sensation de la femme blottie contre lui très agréable, il caressa tendrement ses cheveux mouillés, et il sentait ses seins s'appuyer contre lui.

En tout cas, je constate que le coup de la tempête est encore plus efficace que le coup de la panne pour avoir des filles dans ses bras, faudra que j'en prenne note.

Il voulait l'ammener à rigoler un peu, à se détendre, tandis que fort heureusement l'Awesome Mix continuait à tourner, leur évitant une ambiance sonore trop déprimante.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 16 jeudi 12 mai 2016, 18:27:26

La musique adoucissait les mœurs, et constituait un très bon exorcisme contre la peur. Quand on était isolée dans une voiture, sous une pluie battante, et face à une tempête antédiluvienne, la peur était un réflexe naturel. Doutzen se laissait donc emporter par la chanson, comme pour espérer que les accords de musique parviennent à taire la pluie. De fait, la pluie avait cessé, mais il faisait toujours un vent infernal, et la tempête était toujours là. Les épisodes pluvieux allaient sûrement reprendre d’ici peu, mais, en attendant, c’était un léger silence apaisé qui régnait.

Jusqu’à ce que…

*KRAAAAA-KOOOUUUUUMMM !!*

Un cri s’échappa des lèvres de Doutzen qui bondit sur place. La Chevrolet ayant une boîte de vitesse automatique, son genou ne rencontra pas un levier de vitesse, et elle atterrit contre le corps de Quentin, ayant sursauté presque par réflexe. Le coup de tonnerre avait illuminé une obscurité pesante, et Doutzen tourna la tête, avant de réaliser la bêtise de son geste… Elle releva le regard pour croiser Quentin, mains crispées sur son débardeur, mais sans pour autant s’éloigner.

L’homme alla même jusqu’à poser ses mains autour de son corps, la serrant instinctivement, et Doutz’ se mit à sourire.

« Hum… Désolée… Les bruits forts et imprévus comme ça, ça… Ça me fait toujours sursauter. »

Elle rougit légèrement, tout en restant néanmoins accolée contre lui. Là, comme ça, elle sentait nettement mieux ses muscles, et elle frissonna quand il caressa ses cheveux, avant de se laisser aller à une petite blague. Elle sourit en retour, et crispa alors ses mains sur son torse, afin d’en prendre appui, et de se redresser légèrement. Il fallait dire qu’elle s’était un peu avachie gauchement sur l’homme, mais elle constata vite qu’il n’était pas pressé de la repousser… Une absence de réaction que, bien entendu, elle nota, et interpréta.

Un malicieux sourire vint ainsi se nicher sur ses lèvres, et elle resta contre lui. Sur l’autoradio, ce fut au tour d’Ooh Child, des Five Stairsteps, de défiler, véritable musique de circonstance, tandis que le regard de Douitz’ observait celui de Quentin. Nul besoin de parler, en effet, les yeux s’en chargeaient, ainsi que la musique :

Ooh-oo child
Things are gonna get easier
Ooh-oo child
Things'll get brighter
Ooh-oo child
Things are gonna get easier

Se mordillant doucement les lèvres, Doutzen conserva une main sur le torse de l’homme, et posa l’autre sur l’arrière de sa nuque, puis se rapprocha encore. Ses seins vinrent de nouveau effleurer, ses lèvres s’entrouvrirent, et elle l’embrassa. Ce fut aussi simple que ça. Il y avait bien longtemps que le sexe n’était plus un tabou pour elle, et, pendant plusieurs secondes, elle apposa ses lèvres contre les siennes, sans constater le moindre rejet de la part de l’homme.

« Hmmm… »

Un sourire se dessina ensuite sur ses lèvres, après ce baiser.

« J’aimerais te dire que je suis désolée, et que je n’ai pas pu m’en empêcher… Mais tu n’as pas l’air particulièrement choqué. »

Elle rajouta alors, une lueur espiègle dans les yeux :

« Tu sais, on risque de rester bloqués ici un certain moment… Je me demande bien ce que tu avais prévu pour qu’on ne s’ennuie pas… »

Le sous-entendu était à peine larvé, et les yeux de Doutzen pétillaient d’une franche malice.
DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 17 jeudi 12 mai 2016, 20:14:41

Lorsque le cd chargea une autre musique, on aurait presque pu se croire dans une vraie scène de romance, digne des grands classiques du cinéma, tant tout semblait se dérouler de façon bien orchestrée. Quentin s'était attendu à ce que, une fois Doutzen à peu près remise de ses émotions, cette dernière ne reprenne pleinement sa place de son côté, et que cette étreinte ce termine. Mais lorsqu'elle bougea, ce fût seulement pour s'installer un peu plus confortablement contre le jeune homme, dont le visage fût parcouru d'une sincère expression de surprise. Elle n'avait nullement l'intention de se séparer de son étreinte, et Doutzen s'était même un peu plus blottie contre lui, ce qui faisait que Quentin sentait ses seins se frotter contre son corps. Avec la musique qu'ils avaient en fond sonore, l'apothéose était là, et ce qui était merveilleux, c'était que tout était du au plus pur des hasards. La tempête arrivant plus tôt, les arbres coinçant la route, cet éclair, c'était autant de facteurs aléatoires qui avaient mené à ce moment précis, où les deux jeunes gens étaient blottis l'un contre l'autre, et semblaient ne pas vouloir se séparer, car Quentin de son côté n'avait absolument pas l'intention de la repousser.
Du point de vue de ses pensées internes, et bien c'était presque le blanc complet, il y avait trop d'informations à prendre en compte là tout de suite, sans compter que sa timidité avec les femmes semblait refaire surface. Doutzen lui avait lancé ce regard et ce sourire, le genre qui indiquait qu'elle était bien là, avec lui, blottie contre lui. Il y avait sa main, sa délicate main posée sur son torse, et puis l'autre qui remonta le long de sa nuque avant que son visage ne se rapproche du sien.

*Oh putain...*

C'était tout ce que son psyché avait pu lui envoyer comme pensées à avoir, à ce moment précis, alors que les lèvres délicates de Doutzen se posèrent sur les siennes, et qu'il s'embrassèrent sur un air de musique particulièrement bien adapté à leur scène. Il sentait tout, le souffle chaud de la jeune femmes, ses lèvres, son corps, le fait qu'elle l'embrasse de son propre chef était aussi quelque chose de...et bien de rassurant. Quentin en avait eu envie quand il l'avait serrée dans ses bras, mais au vu du passé de Doutz', il n'aurait jamais osé prendre le risque de faire ressortir un vieux traumatisme, là elle lui donnait tout le crédit dont il avait besoin. Sur les dernières secondes de ce baiser, ce fût comme si Quentin réalisait soudain ce qu'il se passait, et il raffermit un peu son étreinte, avant d'enfin un peu répondre à ce baiser, juste avant qu'il ne se finisse.

Choqué...nan, mais surpris ouais, définitivement.

Puis, juste après ça, Doutzen lui demanda ce qu'ils comptaient faire pour s'occuper durant les prochaines heures. Bon, si Quentin était un peu maladroit parfois avec les femmes, le sous-entendu de la jeune femme ne lui passa pas au dessus de la tête.

Un scrabble ? J'ai toujours adoré ce jeu...

Il émit un petit rire nerveux, avant de vite se reprendre. Quentin était visiblement un peu gêné et pris de court, mais la façon dont il conservait la femme dans son étreinte prouvait qu'il n'avait nullement l'intention de la rejeter, il n'était pas si maladroit que ça.

C'est vrai qu'on a un paquet de temps devant nous, et le cadre pitoresque. Pour être honnête je pensais qu'avec...enfin...tout ce que t'a vécu...ce serait hors de question. Enfin c'est pas ce que je sous entends...et merde, voilà, ma couverture d'homme sûr de lui viens de sauter.

Il soupira, puis constata qu'avec ce sourire aussi franc, Doutzen ne prenait absolument pas ombrage de ses mots un peu maladroits, il alla alors vite déposer un baiser sur son front.

Tout ça pour dire que, si tu as la même idée que moi, et je ne parle pas du scrabble...je suis tout à fait partant.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 18 jeudi 12 mai 2016, 20:45:07

Le baiser était venu presque naturellement, sans même que Doutzen n’y réfléchisse. Elle avait juste senti les muscles de l’homme contre ses doigts, et... Eh bien, elle ne l’aurait jamais avoué à quiconque, mais le contact de ce torse lui avait rappelé celui de cet homme qu’elle haïssait et adorait en même temps, son sauveur et bourreau, Reto. Était-ce pour ça qu’elle l’avait embrassé si naturellement ? Impossible de faire marche arrière, et ce d’autant plus qu’elle n’en avait absolument aucune envie. Elle se tenait maintenant contre lui, confortablement assise sur lui, la tête de Doutzen s’approchant du toit de la voiture. Sa position était relativement inconfortable, notamment du fait qu’elle frôlait le toit, mais, au moins, elle en oubliait la tempête. Elle s’appuyait contre les pectoraux de l’homme. Sous ses vêtements, elle devinait un torse glabre, par opposition à sa barbe, exactement comme celui de son « père ». Elle aimait bien les torses musclés, les carrures solides, mais, si elle aimait bien les barbes, les poils sur le torse, ça l’attirait peu. Elle voulait sentir des muscles et des pectoraux, pas des poils qui venaient gâcher les palpations. Et, là, elle sentait bien la solidité de cet homme.

Quentin lui proposa donc un Scrabble, ce qui la fit donc sourire. Elle comprit bien entendu qu’il avait saisi son allusion. Ses mains remontèrent à droite et à gauche de sa nuque, et elle retourna se pencher vers lui, mordillant ses lèvres, son nez venant frôler le sien.

« Hmmm... Un Scrabble... En fait, j’avais en tête un autre type de jeu... »

Elle l’embrassa à nouveau, maîtrisant son sujet, et sa main se déplaça. Oui, Reto était horrible, abominable, mais, physiquement, il avait toujours été, pour elle, l’homme parfait. Elle pouvait le dire en connaissance de cause, car elle avait enchaîné les amants, mais Reto correspondait à ses critères physiques. Fort, puissant, costaud, en durant, avec une carrure athlétique, Quentin semblait avoir partagé cela.

Sa main se posa alors sur la mollette du fauteuil, et elle tourna dessus, abaissant le fauteuil, qui finit en position allongée. Doutzen se retrouva ainsi au-dessus de l’homme, et se redressa légèrement, s’appuyant sur ses pectoraux.

« La bataille... Mais sans carte. Après tout, c’est toi qui joues le vilain, non ? Et moi, la petite femme en détresse... Et là, je ne vois aucun policier ou héros à la petite semaine pour venir me sauver de tes solides griffes... »

Doutzen lui sourit encore.

Difficile d’être plus claire.
DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 19 jeudi 12 mai 2016, 22:19:39

La tension sexuelle était palpable et semblait monter d'autant plus vite qu'ils se trouvaient dans un environnement confiné, et un peu étroit, même si il leur était quand même possible de se mouvoir avec précautions. La blague de Quentin sur le scrabble avait été indéniablement un peu mauvaise, mais sur le coup, dire une connerie pour se décontracter un peu lui avait semblé loin d'être un luxe. D'ordinaire, lorsqu'il couchait avec des femmes, il avait pour habitude de le savoir un peu à l'avance, et d'organiser le tout, mais là il sortait carrément de sa zone de confort, il allait lui faire l'amour dans sa propre voiture. Ils ne se jetèrent toutefois pas l'un sur l'autre directement, ce que Quentin apprécia, car il aimait laisser un peu le temps au désir de monter, et Doutzen semblait naturellement le sentir. Elle fit s'abaisser le siège conducteur, sur lequel Quentin était installé, et à mesure qu'il descendait et que la jeune femme prenait autant ses aises que possible, en venant s'allonger sur lui, le jeune homme sentit de perceptibles frémissements au niveau de son entrejambe. Dans cette position, Doutzen était allongée presque de tout son long sur lui, à l'exception de ses jambes qu'elle devait replier légèrement, et elle soulevait un peu le haut de son corps en prenant appui sur les pectoraux saillants de l'acteur. Mais concrètement oui, ils étaient bien collés l'un à l'autre, et Doutzen ne tarderait pas à sentir contre elle une bosse dure se former au niveau de l'entrejambe de Quentin, qui commençait naturellement à bander.
Il aimait vraiment beaucoup de choses chez cette femme, outre l'aspect purement physique qui l'attirait, il sentait que son côté joueuse et sensuelle allait également lui plaire. Il aurait pu se briser le plaisir en se disant que c'était un naturel qui lui était, hélas, venu de son temps en tant qu'esclave de la mafia...mais bon, il n'avait vraiment pas la tête à se pourrir lui même ce moment, qu'il trouvait aussi beau qu'il était inattendu. Il sourit à l'analogie qu'elle fit de leur situation, les ramenant à leurs rôles respectifs dans le film.

Vrai, il n'y a personne pour venir ici avant un bout de temps, et je t'ai dores et déjà dans mes griffes...qu'est-ce qu'un vilain comme moi pourrait donc faire ?

La réponse, l'acteur allait l'amener lui même en posant ses mains sur les hanches de sa partenaire, en les glissant sous son débardeur trempé afin de ne pas s'encombrer du tissu dont il se foutait un peu, pour directement aller caresser sa peau. Doutzen était une femme bien en chair, avec des formes où il le fallait et dans les proportions qui plaisaient à Quentin, qui n'était pas vraiment un fan des mannequins maigres. Doutzen était vraiment dans le juste milieu, et la sensation de l'avoir allongée sur lui ne cessait de l'exciter de plus en plus.

Si tu n'y vois pas d'inconvénients par contre, ma chère victime, je crois que je vais t'ôter ce débardeur. Non seulement tu va chopper une saloperie si tu le garde tant il est trempé, mais surtout ma curiosité me pousse à voir ce qu'il y a dessous.

Le recours à une pointe d'humour permettait à Quentin de "dédramatiser" la situation, et donc de garder un peu de cette assurance dont il avait besoin pour ne pas être juste une sorte de mannequin dont Doutzen devrait prendre complètement les commandes, car il avait bien l'intention d'être dans un rôle actif pour ce qui allait suivre. Il remonta donc ses mains le long des flancs de la belle, tout en choppant au passage le débardeur qu'il faisait remonter, puis qu'il fit passer par dessus la tête de la femme pour le lui ôter, avant de le jeter à l'arrière pour s'en débarrasser. Ce soutien gorge rose qu'il avait pu apercevoir par effet de transprence, il le voyait maintenant directement, mais ce qui était encore plus intéressant c'était ce qu'il contenait: les seins de Doutzen. Ronds, assez opulents sans être trop gros, et bien fermes, c'était le genre de poitrine qu'il aimait voir...et toucher, ce dont il ne se priva pas de faire juste après au travers du soutien-gorge.

T'es magnifique, Doutzen...

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 20 jeudi 12 mai 2016, 23:55:05

Le ton montait entre eux... Un ton sexuel, comme si un démon venait de les prendre dans sa main, et distillait en eux sa poudre de désir. C’était... Imprévu. Mais pas totalement imprévu. De tous les hommes présents sur le plateau, Quentin était le plus beau, et Doutzen savait que bien des mecs avaient envie de se rapprocher d’elle, mais n’osaient pas trop le faire, en raison du passé très noir de la jeune femme. Un passé aussi sombre, forcément, ça rebutait les dragueurs. Doutz’ en avait bien conscience, mais, derrière son doux visage de jeune femme victime, il y avait autre chose... Quelques angles et quelques détails dont elle ne parlait pas forcément. Se tenant contre Quentin, elle sentit les mains de ce dernier palper son corps, l’explorant, pour s’attaquer à son débardeur. Sous un prétexte purement fallacieux, l’homme le retira, et le vêtement trempé alla s’écraser sur le sol, disparaissant de la vue, afin qu’on puisse se focaliser sur le plus intéressant... Le spectacle très agréable des seins de Doutzen, magnifiquement engoncés dans un soutien-gorge rose, attira irrémédiablement l’attention de Quentin, dont le regard sembla se river sur eux, incapable de s’en détacher.

En réaction, un sourire amusé vint se dessiner sur les lèvres de la femme, qui laissa passer quelques secondes. Elle s’était redressée encore, se mettant à califourchon sur lui, sa tête retournant près du toit de la voiture, et elle sentit les mains de l’homme se poser sur ses seins, venant tendrement les malaxer.

« Hmmmm... »

Ses propres mains allèrent se poser sur celles de Quentin, l’aidant à masser, et elle gémit même quand ses doigts s’enfoncèrent contre les bonnets de son soutien-gorge. Elle repoussa alors les mains de l’homme, tout en venant entremêler ses doigts dans les siens, et lui sourit alors, révélant toutes ses dents. Une superbe beauté installée sur lui, et c’est avec le plus grand des plaisirs qu’elle commençait à sentir la virilité de l’homme caresser son corps, formant une agréable bosse.

Mordillant ses lèvres, Doutzen relâcha les mains de l’homme, et agrippa les pans de son débardeur.

« Tu sais, il va falloir qu’on instaure une règle... Pour l’égalité des sexes. Ce que tu m’enlèves, je te l’enlève... Il n’y a pas de raisons que tu sois le seul à profiter... »

Et, disant cela, elle s’empressa de lui enlever également son haut, et se mordilla les lèvres, avant de poser ses mains sur son torse, et d’appuyer sur les muscles, tâtant ces derniers. Doutzen se pencha alors, et alla embrasser sa peau, la léchant un peu, avant de s’attaquer à son téton, le léchant également, puis releva un peu son visage, une lueur espiègle nichée sur sa figure.

« Hnnn... Ouais, tu es vraiment bien bâti, Quentin. Du genre endurant, j’espère... Car je crois bien que la tempête va durer dehors... »

Doutzen remonta encore, venant l’embrasser sur les lèvres, en profitant pour se lover un peu plus contre lui. Ce faisant, elle déplaçait son bassin d’avant en arrière, masturbant très légèrement son sexe. C’était très léger, car leurs jeans les protégeaient... Mais c’était surtout une manière de titiller son amant.

Car quelque chose lui disait que Quentin avait une sacrée énergie à revendre...
DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 21 vendredi 13 mai 2016, 13:15:06

Quentin mentirait en disant qu'il n'aurait pas espéré que ça se passe ainsi entre lui et Doutzen, le courant était si bien passé entre eux que l'idée de la draguer effectivement lui était bien sûr passé par la tête. Il n'aurait pas pu prévoir ce qui s'était passé aujourd'hui, mais l'imprévu rendait justement le goût de leur étreinte encore plus délicieuse. Le jeune acteur se faisait indéniablement plaisir en malaxant les seins de Doutzen, ces deux globes de chair chaude et tendue. Maintenant qu'elle s'était redressée, positionnée à califourchon sur lui, Quentin avait vraiment une belle vue sur sa poitrine qu'il ne pouvait pas quitter du regard, et Doutzen en prime accompagnait ses caresses en empoignant ses mains, un signe évident qu'elle aimait qu'il la touche. Quentin en effet était attentif aux réactions de sa partenaire, à l'affut de la moindre réaction négative du fait d'un traumatisme, mais plus le temps passait et plus il se disait de juste se laisser aller, car tout dans le langage corporel de la jeune femme indiquait qu'elle adorait ça.
Honnêtement il aurait pu passer des heures à caresser la poitrine de Doutzen, mais cette dernière lui fit retirer ses mains au bout d'un moment, avant de poser les siennes sur les replis du haut sans manches de l'homme.

Dans ce cas comment on va se démerder pour ce soutien-gorge, considérant le fait que je n'en ai pas moi même ?

C'était une question à la con qui n'ammenait pas vraiment de réponse, il trouvait juste le détail un peu amusant, mais rapidement l'homme tendit ses bras au dessus de sa tête, tout en se redressant légèrement, afin de permettre à Doutzen de lui retirer son vêtement. Il se retrouva nu à ce niveau là, avec ses muscles saillants et sa peau imberbe. Plutôt que de régulièrement s'emmerder à se raser le torse, Quentin avait opté l'hiver dernier pour une épilation au laser, réglant le problème de façon définitive, car il savait parfaitement que la majorité des femmes préféraient un torse galbre...et il en avait encore là la confirmation. Doutzen se fit elle aussi plaisir à tâter ses pectoraux et ses muscles abdominaux, et elle pencha même son visage de façon à aller l'embrasser, allant jusqu'à lécher l'un de ses têtons. Doutzen était du genre particulièrement tactile, et Quentin adorait tout dans ce moment, ses lèvres qui se posaient sur sa peau, les cheveux doux de la femme qui par la même occasion flâttait son corps.
Quentin semblait se tendre de plus en plus, et ça allait de concert avec son excitation, et surtout le fait que son érection grandissante faisait qu'il se sentait de plus en plus à l'étroit dans son pantalon. Doutzen le stimulait également, avec ses mouvements de bassin, elle frottait son entrejambe contre la bosse que formait l'éréction sur jeune homme au travers de son jean, ce qui était suffisant pour contribuer à lui donner une sacrée trique. Elle s'inquiéta ensuite de son endurance, ce qui le fit sourire.

Tu as déjà couché avec un homme pratiquant le Yoga ?

En plus de la musculation, Quentin pratiquait aussi cette discipline pour diverses raisons. Afin de conserver la souplesse de son corps, afin de travailler sur sa respiration et mieux gérer le stress...mais le côté sympathique du Yoga, la cerise sur le gâteau, c'est que bon nombre d'exercices et de positions à adopter étaient également très bénéfiques pour la sexualité masculine.

Si ce n'est pas le cas, je peux te rassurer, je dépasse de loin, de très loin, la moyenne.

Il se vantait en effet, mais elle lui avait posé la question, et surtout il ne faisait pas de la pub mensongère, Doutzen s'en rendrait compte bien assez tôt. Tout en parlant, et alors que la jeune femme caressait son torse, lui avait fait migrer ses mains sur les cuisses de Doutzen, juste avait d'aller empoigner son cul délicieusement moulé dans ce jean, qu'il malaxa en rythme avec ses mouvements de bassin.

La position est confortable, mais ça te dirait de migrer sur la banquette arrière ? Je commence à me sentir...un peu à l'étroit...

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 22 vendredi 13 mai 2016, 17:49:51

Toujours aussi curieux et affamé,  Quentin alla poser ses mains sur les fesses de la jeune femme, les pétrissant amoureusement. Autant de gestes qui trahissaient son plaisir du moment, son envie de coucher avec cette femme. Du sexe intense, visiblement, car ce désir naissant et grandissant faisait écho aux propres pensées et envies de Doutzen. Elle sentait ainsi les mains de l’homme se crisper sur ses fesses, tandis qu’il lui expliqua faire du yoga.

« Euh… Non. »

Les mecs, parfois, sortaient des trucs bizarres quand ils étaient excités. Quentin, visiblement, ne faisait guère exception. En soi, que le yoga puisse avoir des conséquences sexuelles passait totalement au-dessus de la tête de Doutzen, qui voyait surtout ça comme le fait d’être assis en tailleur, à méditer en soupirant longuement. Elle n’y voyait pas grand-chose de sexuel, et aurait eu la même réaction s’il lui avait dit qu’il était un passionné d’aérobic. En l’état, elle pensait surtout à son érection, à ses muscles saillants, à ce corps parfait, et cette parenthèse, de fait se termina bien.

Après un petit élan de vantardise (mais ça, c’était masculin, et, de toute manière, vu son apparence, Doutzen voulait bien lui accorder le bénéfice du doute), il proposa d’aller sur la banquette arrière. Souriant encore, Doutz’ regarda brièvement la banquette, puis haussa les épaules.

« Si tu veux… Mais, tu sais, Quentin, sans vouloir te faire la peine, nous risquons de manquer d’espace pour les prochaines heures à venir… »

La femme se pencha à nouveau contre lui, et mordilla le lobe de son oreille, se montrant, à son tour, mutine et joueuse.

« Mais, dans tous les cas, ce sera plus confortable… »

Doutzen s’avança alors devant, et se coucha sur la banquette arrière. La Chevrolet n’était pas une camionnette, et elle dut relever ses jambes pour pouvoir s’y étaler. Couchée sur le dos, elle offrait ainsi ses fesses à l’homme, et se retourna vers lui en tournant la tête, venant lui sourire malicieusement.

« Tu as l’air d’aimer mes fesses, non ? Parce qu’il faut que je t’avoue un truc… »

Quelques secondes passèrent, avant qu’elle ne poursuive :

« Elles aiment bien qu’on s’occupe d’elles… »
DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 23 samedi 14 mai 2016, 13:39:55

Doutzen resta perplèxe sur sa pratique assidue du Yoga, mais ce n'était pas très grave, elle verrait en temps et en heure toute l'importance de ce qui pouvait lui sembler être un détail insignifiant. Pendant qu'elle réfléchissait, Quentin lui continuait à pétrir ses fesses, car oui, il adorait cette partie du corps féminin tout particulièrement. Il aimait le corps de Doutzen dans sa totalité, du moins pour ce qu'il en voyait à l'instant, mais Quentin avait toujours eu une espèce de fascination pour le cul des femmes, surtout quand ces derniers étaient bien ronds et bien fermes, comme c'était le cas chez Doutzen. Ils allaient manquer de place, et effectivement, il n'en auraient assez que pour un nombre limité de positions, mais Quentin trouvait cette promiscuité excitante, en plus du fait qu'ils allaient baiser dans sa voiture.

*Si le temps se dégage à un moment, il faudra que je l'emmène sur le capot...*

Faite l'amour à Doutzen sur le capot de sa voiture, avec ses suspensions bougeant au rythme de leur étreinte, voilà qui avait de quoi faire travailler l'imagination du jeune homme, mais on en était pas encore là, la pluie avait recommencé à tomber après une brève accalmie, alors la banquette arrière était leur seule option. Il laissa la jeune femme s'installer confortablement dessus, allongée sur le ventre avec ses jambes repliées, elle attendit qu'il la rejoigne  pour lui avouer qu'elle aimait aussi particulièrement qu'on s'occupe de ses fesses, le tout avec un sourire malicieux qui avait de quoi faire fondre n'importe qui.

Et moi qui allait me poser la question de quelle partie de ton corps m'occuper maintenant, j'ai ma réponse. Mais je confirme Doutz', tu as un fessier...hum...exceptionnel.

L'homme se rapprocha, se mettant à genoux dans l'interstice se trouvant entre la banquette et les fauteuils conducteurs et passager, là où traditionnellement se trouvaient les jambes des passagers assis à l'arrière. En soupirant fortement, Quentin reposa ses mains sur els fesses de la jeune femme, qui les bombait légèrement comme pour les lui offrir. Le fait de malaxer ce cul divin, et d'entendre les petits couinements de Doutzen alors qu'il le faisait, était vraiment en train de faire grimper son excitation.

Doutzen...

Il ne parvint plus à se retenir, et abaissa son visage pour aller le fourrer contre son cul, juste dans la raie de ses deux fesses. Il y fourra son nez, ses lèvres, et profita un moment juste du plaisir qu'il ressentait. Il se mit ensuite à embrasser, et même à mordre ses fesses, qui étaient encore protégées par son jean. Malgré cette couche de protection, il pouvait sentir à quel point sa peau était ferme à cet endroit...sauf que maintenant, ce jean, il le trouvait gênant.

Redresse toi un peu...

Le souffle court, il attendit que la jeune femme s'exécute, pour diriger ses mains vers le bouton de ce jean qu'il défit rapidement, il tira ensuite sur la braguette, puis ensuite sur les pans du jean qu'il fit descendre le long des cuisses de Doutzen, jusqu'à ses genoux. Posant ensuite ses mains sur son ventre, il l'incita à se redresser encore d'avantage, et l'aida à se mettre à quatre pattes sur la banquette...de cette façon, Quentin avait vraiment un accès privilégié à ce cul, moulé dans un joli petit boxer rose avec de la dentelle sur les rebords. L'homme alla poser un audible baiser sur l'une de ses fesses, tandis qu'avec l'une de ses mains il pétrissait l'autre, fermement, il aimait cette résistance qu'opposait la chair à son emprise, cette fermeté...et putain, la rondeur de ses fesses rendait ce cul absolument parfait. Quentin respirait fortement alors qu'il embrassait désormais directement la peau du cul de Doutzen. Sa main inactive ne le demeura pas très longtemps, car dans cette position, le boxer qu'elle portait était étiré, et par conséquence moulait les lèvres intimes de la femme qu'il distinguait en partie au travers du tissu, ainsi qu'une très légère trace d'humidité qui le fît délicieusement sourire. Il n'y avait rien de plus flatteur pour l'ego que de faire mouiller sa partenaire alors qu'on avait même pas commencé les préliminaires...mais ça n'allait pas tarder, car Quentin ammena sa main à hauteur de l'intimité de Doutzen.
Avec son pouce, il entreprit de caresser le tissu du boxer, juste à l'endroit où devait se trouver le clitoris de la belle, tandis qu'il continuait à  s'occuper comme il le fallait de son cul.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 24 samedi 14 mai 2016, 16:04:33

Doutzen lui avait présenté ses fesses, et elle savait que Quentin serait attiré par ces dernières. Elle l’avait perçu à travers la manière dont il avait caressé son cul, et, sans s’en rendre compte, Quentin avait un autre trait commun avec Reto. Son père adoptif avait toujours été intrigué, voire fasciné, par le spectacle de la croupe de Doutzen. Il l’avait sodomisé à de nombreuses reprises, et, depuis lors, Doutzen partageait ce plaisir de l’anal. Elle offrait donc ses fesses à l’homme, et ce dernier, en essayant de trouver une place dans l’habitacle étriqué de la voiture, finit par tirer sur le jean de Doutz’, la déshabillant ainsi. Elle se mordilla les lèvres, la tête posée sur ses bras, croisés devant elle, et laissa donc l’homme ôter ce vêtement. Sous ce dernier, la jeune actrice portait un élégant shorty rose, qui arrivait à mi-hauteur de ses fesses, moulant ces dernières à la perfection.

Elle se redressa, sans rien dire, le souffle rauque, la respiration précipitée. Se mordillant encore les lèvres, elle s’était mise à quatre pattes, et creusa un peu son dos, bombant ainsi son délicieux cul, sous le regard ravi de Quentin, qui commença alors à s’y attaquer.

« Hm… ! »

Doutzen gémit à chacun des baisers de l’homme sur ses fesses. Quentin était en train de se les accaparer, de faire sien ce délicieux cul qui était offert à son expertise. Sa main retourna malaxer son derrière, et les poings de Doutzen se crispèrent sur la banquette arrière. Elle pinça ses lèvres, en sentant des ondes de plaisir la traverser. Talentueux, il était bien décidé à lui montrer, par des actes physiques, toute l’appréciation qu’il se faisait de son postérieur. Et elle, elle subissait avec joie cette expertise, ces caresses et ces baisers, qui réveillaient en elle un feu lointain et endormi.

Quentin déplaça son autre main, et la glissa entre les cuisses de la femme, venant ainsi s’attaquer à son intimité.

« Haaa… Quentin, hmmm… »

Doutzen se pinça les lèvres, et déplaça lentement son corps, de droite à gauche, en sentant l’homme approcher ses mains de son intimité. Le shorty la protégeait encore, dissimulant son activité, mais, en l’état, ce tissu était plus une gêne qu’une véritable protection. Un feu était en train de bouillonner, se concentrant entre ses cuisses, le long de ses lèvres intimes superbement bien épilées. Si Quentin avait fait brûler ses poils au laser, Reto avait également fait disparaître les poils pubiens de son Petit Chaperon Rouge avec une telle manière.

Le résultat était une femme d’une grande beauté, superbe blonde dont on prenait plaisir à la tripoter.

« Tu… Tu aimes ça, Quentin, h-hein ? Hnnn… »

Doutzen soupira une nouvelle fois, et déplaça l’une de ses mains, venant l’approcher du jean de l’homme, massant sa bosse.

« Mais… Et quoi de notre règle, hm ? Je crois qu’il y a un pantalon en trop ici… »

Elle aussi, elle voulait se régaler !
DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 25 lundi 23 mai 2016, 19:43:43

Quentin éprouvait effectivement une grande attirance à l'égard du fessier de Doutzen, et des culs en général. Pourquoi spécifiquement, il aurait été incapable de répondre à cette question, tout comme il était impossible de répondre clairement sur le sujet de telle ou telle préférence sexuelle...c'était juste ainsi. Le jeune acteur était donc au paradis, à embrasser et masser le cul de Doutzen, mais cette dernière ne resta pas indéfiniment passive, car très vite il sentit l'une de ses mains se poser sur la grosse bosse au niveau de son entrejambe. Preuve qu'il était désormais très serré dedans, ce contact lui fit autant plaisir que mal, il se crispa un peu, contenant sa souffrance dans le léger rire qu'il émit lorsqu'elle lui fit savoir qu'il transgressait leur règle.

Désolé...c'est difficile de garder en tête ce genre de choses quand on a face à soi une telle beauté. Mais en effet...quid de notre règle ? Dois-je te rappeler qu'avec ce soutien-gorge, tu pars avec un élément de plus que moi ?

Quentin se déplaça alors un peu, se mettant de l'autre côté de la banquette, de façon à se rapprocher du visage de Doutzen. Elle avait les joues un peu rouges, et il ne résista pas à l'envie d'aller rapidement l'embrasser un coup.

Tu sais quoi, on va faire un échange. Si tu retire ce maudit soutien-gorge, et que tu finis de retirer ton jean, alors je retire complètement le mien également, comme ça on sera vraiment à égalité. Après, pour être honnête, j'avais pas spécifiquement l'intention de le garder plus longtemps non plus, c'est que...j'commence à être un peu à l'étroit là dedans.

Quentin laissa donc la jeune femme s'exécuter, pendant que lui même allait faire pareil. Il défit donc sa ceinture, retirant déjà une partie de la pression qu'il ressentait dans la zone de son entrejambe, mais il poussa littéralement un soupir de soulagement quand il défit le bouton et tira sur la braguette. Il retira donc son jean, ce qui prit un peu plus de temps que d'ordinaire, vu l'endroit très étriqué dans lequel il était. Il avait prit place sur le côté droit de la banquette, tandis que Doutzen elle avait prit place sur l'autre côté, car ils avaient définitivement besoin de plus de place pour se débarrasser de ces vêtements. Quentin se retrouva finalement avec juste son boxer noir, qui était déformé par une érection conséquente. Lui de son côté, avait regardé aussi Doutzen se déshabiller d'avantage, surtout il vit enfin ses seins mis à nu, et il étaient du même acabit que ses fesses: parfaits, sur tous les angles et toutes les coutures, il étaient parfaits.
Quentin glissa alors une de ses mains sur une des cuisses de Doutzen, sans rien dire, juste en la regardant avec une lueur amusée, et la remonta pour la glisser sous les plis du boxer que portait la jeune femme, afin d'aller caresser son intimité. Il glissa à cet effet tendrement un doigt dans son vagin, humide, et le remuait.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : D'où l'on vient [PV]

Réponse 26 lundi 23 mai 2016, 22:39:42

À ce stade, les vêtements étaient plus une gêne qu’autre chose, tandis que la tempête, elle, avait comme pour effet de les dissimuler au regard d’un public qui aurait pu se montrer un peu trop curieux. Ils étaient seuls, et comptaient bien en profiter. Quentin lui avoua donc qu’il était temps de se déshabiller, et, en souriant, la jeune femme obtempéra. Il avait raison, bien entendu, et elle entreprit donc de s’exécuter. Ses mains commencèrent par tirer sur son jean, achevant de le retirer, et ce parce que le jean était la partie la plus chiante... Autant donc l’ôter en premier. Elle tira dessus, dépliant et abaissant les jambes, et se retrouva donc en petite tenue, puis dégrafa également son soutien-gorge.

Elle ne portait désormais plus que son shorty, et vit Quentin se débrouiller pour faire de même, exhibant, sous son boxer, une queue magnifique, qui ne manqua pas de la faire déglutir.

*Un autre trait qu’il partage avec Reto...*

Il était fascinant de voir comment, en chaque instant, le souvenir de Reto revenait la hanter, comme si, bien que libre de ce dernier, son esprit ne pouvait s’empêcher de rebondir vers lui, vers son ombre, et vers ce qu’il lui avait fait subir. Son regard se riva donc sur ce sexe, recouvert de sa capsule de toile, et l’homme glissa alors un doigt dans son shorty, filant dessous pour se rapprocher de son sexe, faisant frémir Doutzen. Elle était toujours couchée sur la banquette arrière, mais, tout en gémissant, décida d’agir.

L’une de ses mains s’agrippa à la poignée située en hauteur de la portière, et elle s’en servit pour se redresser. Son pied droit tapa contre le fauteuil passager sur le devant de la Chevrolet, et elle poussa Quentin, en inversant les rôles. L’homme se retrouva installé au milieu de la banquette, et Doutzen, joueuse, finit à genoux devant lui, écartant ses cuisses, son visage proche du boxer.

« Allez... Effectivement, je comprends que tu te sentes à l’étroit, Quentin. Il est temps que je m’occupe un peu de toi, tu ne crois pas ? »

Elle lui sourit, et masturba alors son sexe à travers son boxer, sentant son sous-vêtement se coller à son membre, qui sembla se raidir encore un peu, tandis que, du fait de sa caresse, tous les muscles de l’homme semblèrent se tendre, et sa respiration se précipiter. Ceci ne put que faire sourire la belle Doutzen, qui continua à crisper ses doigts sur sa hampe de chair, ce sexe tendu et raide, qui avait comme envie de percer son sous-vêtement.

« Mon pauvre, comme tu dois avoir mal... »

Doutzen sourit, et tira sur ce sous-vêtement, le faisant glisser le long de la queue de l’homme, jusqu’à liobérer ce sexe. Elle abaissa alors encore un peu plus le sous-vêtement, et le laissa à hauteur de ses genoux, puis s’approcha de cette queue... Et, plutôt que de la sucer, la renifla, tout en la léchant.

« Hmmm... Cette odeur... J’adore toujours autant! »

Une oreille attentive aurait pu remarquer que Doutzen venait ici de prononcer quelques propos très étranges... Peut-être que Quenti y repenserait par la suite ? Doutzen, en effet, semblait comme... Nostalgique... Nostalgique d’un passé honni et révolu. Cependant, les réflexions qu’on aurait pu se faire se turent logiquement quand la femme se mit à mordiller un peu son sexe... Doucement, comme elle avait appris à le faire. Elle le racla un peu avec ses dents, en réalité, juste pour pouvoir tirer un peu dessus, avant de le relâcher.

Et puis, elle se mit à lécher ce sexe, le serrant dans une main, le maintenant ainsi contre son visage, sa langue jouant dessus, filant le long de cette grosse queue, qu’elle caressait aussi avec son nez, avant de descendre pour lécher et embrasser ses poils pubiens. Doutzen semblait retrouver un plaisir dont on l’avait privé depuis bien trop longtemps, et, tout en continuant à lécher, elle releva la tête vers l’intéressé.

« Depuis combien de temps, Quentin, hein ? Depuis combien de temps est-ce que tu as envie que je te suce ? À quoi est-ce que tu penses quand tu te masturbes en pensant à moi ? Ne me mens pas, je le saurais... Et ta queue, elle, elle ne ment pas. »

Une lueur intense et malicieuse brûlait dans son regard.

Comme si une nouvelle Doutzen venait de se réveiller.
DC d’Alice Korvander.

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