Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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When the end of the word is near, the worst ennemy is Humanity {Pv}

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

L'ordre de post les enfants ! Eph' (means me), Solace, Kamiyu , Mimi-09 and finally Ariman. Enjoy ♥


Fuck that bullshit, grogna soudainement une sauvage amazone. Wait no ! Enduite de sang, entrailles, et organes en décomposition, Frida Fucking Suzie Handsona ressemblait plutôt à une sorte de déchet de l'Apocalypse qu'à une humaine, ou une amazone. Ses cheveux, tressés en grosses dreadlocks bien sales et ses habits en pièce, d'ailleurs déjà réduits à de la lingerie, lui donnaient un air de fille sauvage qu'on avait oublié d'éduquer après l'avoir abandonné dans une forêt. C'était un peu ce qu'était devenu Frida après l'Apocalypse Zombie. Cette merde était arrivée un peu trop rapidement pour elle, et elle avait finalement fuit une ville à la frontière de Washington quand la terrible épidémie avait fait rage. Les morts se levaient des tombes, les vivants se faisaient bouffer, mordre et toute personne dont le cerveau n'avait pas été endommagé revenait pour dévorer des humains. C'était le gros bordel. Frida en avait déduit que la civilisation n'était pas du tout la meilleure solution. L'épidémie avait déjà bien un an ... Et les survivants s'étaient regroupés en des camps dans divers lieux du pays, mais impossible d'avoir confiance dans les gens qu'on rencontrait. Quand ils ne voulaient pas vous tuer par peur que vous soyez infecté, ils voulaient vous tuer pour vos armes, parfois ils voulaient juste vous violer (frustration when you catch us ...), et d'autres fois parce que killing was their new way of fucking life. L'épidémie avait fait naître les pires vices chez les survivants. Après des semaines à sécuriser un bout de foret, seule et en tout autonomie, Frida avait compris que seul l'odeur de la vie attirait les zombies. Sentir la mort à plein nez les rendaient calmes et doux comme des agneaux. Elle s'était tranquillement endormie dans une carcasse de vache, The Atom Heart Mother of the day et avait ensuite passé la journée à tuer des zombies en étant dans la horde. Elle puait la mort à dix kilomètres à la ronde mais elle était sécure. Et finalement, elle avait rencontré ce mec. En fait, pas rencontré. La foret était pas loin d'un labo' totalement fucked up et Frida avait pris l'habitude d'aller s'y ravitailler... Un matin, plus rien. On avait tout volé. Et la personne avait le malheur de se diriger vers sa foret. Les bords de la foret étaient gardés par une horde de zombie que Frida traversait dans ses nouveaux habits de morte, mais le con était en train de les massacrer. La rencontre avait été assez brutale, et quand tous les deux s'étaient retrouvés dans des états pas très beaux à voir, ils avaient conclus qu'ils pourraient peut-être cohabiter. Il avait les ressources, elle avait la technique pour survivre et apprivoiser des zombards. Depuis, ils faisaient chemin ensemble, direction Washington. 

Et c'était dans ses conditions, avec Submarine, le tigre totalement décédé que Frida avait dompter, que le couple un peu étrange se trouvait à l'orée d'un gros gros gros centre commercial, un mall abandonné et sans doute remplie de zombies prêt à bouffer tout ce qui existait.


Frida s'étira un peu, armée d'une étrange lance/fourche qui faisait bien mal, et une arme à feu à la taille. Elle fit signe à Gerogie de s'arrêter, dans un grognement. Elle était éduquée, mais dans ce pays de fou, elle avait lentement repris des habitudes de sauvage après 6 mois dans une forêt à cohabiter avec des morts-vivants. La discutions ? Pas son truc. Elle tuait même ce qui était humain, si la tête ne lui revenait pas. Il valait mieux avoir le coeur bien accroché avec elle, parce que niveau gentillesse, c'était pas ça non plus. Elle avait une voix rauque très grave et ne parlait que peu, semblant toujours dans son monde. La vie sauvage l'avait lentement changée et elle se mit accroupie sifflant Submarine qui grognait derrière la horde de zombies que George et elle amenaient partout avec eux. George attirait les zombies, ce con, et Frida les dompter un peu comme une dresseuse dans les cirques. Les zombards étaient pour la plupart manchot et sans mâchoire, et ceux qui gardaient leurs attributs dangereux étaient regroupé au centre de la horde pour les lacher sur des ennemis humains si les rencontres n'étaient pas bonnes. Elle grogna un peu.

" - On s'ra pas seul. Y'a des gens ici... Georgette ? Tu négocies. Le Mall serait parfait pour être tranquilles une fois pour toute, ok ? S'il y a pas des tarés comme les autres groupes de survivants, je veux bien qu'on reste un peu ici." Mademoiselle Frida donnait son autorisation pour s'arrêter enfin sérieusement quelque part. C'était pas mal. Elle renifla un peu et entra dans le mall, bloquant sa horde dehors alors que Submarine piétinait à côté d'elle. L'animal était dans un état avancé de décomposition à certains endroits, mais il était plutôt pas mal. Le mall était sombre, aéré par des trous par endroits mais les différentes boutiques étaient encore totalement utilisables pour y vivre, et les denrées plus que nombreuses. Le problème serait de dénicher les habitants humains et morts et voir ce qu'on pourrait faire avec. " - Oh shit. Look that, Georgette." Ils étaient entré par le premier étage, mais le mall s'étendait sur 8 ou 9 étages en hauteur et les deux derniers étaient tout simplement remplis de zombies. Frida esquissa un sourire alors qu'elle éclata de rire. - Ready ?" Elle s'époumona, soudainement, dans un cri rauque qui devint rapidement aigu. Les zombies passèrent pour une grande partie par dessus les étages, s'écrasant au sol dans des bruits tout à fait délicieux. C'était magique, une pluie de zombards !

C'était tout aussi magique d'attirer les êtres humains comme ça. Frida se tourna sur elle même, alors que Submarine se mit à grogner. Ils n'étaient décidément pas seuls ... L'animal sentait la présence humaine, vivante, attirée par elle. Un sourire dangereux se dessina sur les lèvres de la sauvage dompteuse qui acheva un zombie sans jambes qui ne s'étaient pas totalement éclaté en morceau. " - T'crois qu'y'a un putain de sexshop ?" fut finalement la seule réaction qu'on put tirer d'elle alors que Sub' s'énervait de plus en plus, tenu par la gorge par Frida.

So ! Vous pouvez vivre dans le mall, et ne pas apprécier la visite de nouveaux, vous pouvez errer à l'extérieur et tenter votre chance aussi ! Vous pouvez faire parti d'un groupe de PNJ, aussi, si ça vous tente ! Bref faîtes vos conneries, vous êtes libres comme l'air ♥ Le mall peut déjà être remplie de gens si ça vous chante, j'ai laissé ouvert pour que ça soit vous qui lanciez les idées au fur et à mesure ~ Prenez juste en compte l'idée du voisin d'avant même si l'Apocalypse Zombie c'est le bordel !

Solace Belletyn

Dieu

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  • FicheChalant

    Description
    Fille de Lyssa et Dionysos, déesse de son état, associée à la frénésie, la rage, la folie, l'alcool, les drogues. 
    
    Solace et n'a pris connaissance de sa nature que bien plus tard, continuant à se considérer comme une humaine malgré son mode de vie (et un culte naissant autour de sa personne).
(l'image est aléatoire et montre le bonhomme avec et sans son casque.)


La petite radio cracha quelques notes avant de s'éteindre. L'homme l’agrippa la fit tourner entre ses doigts, avant d'ouvrir le compartiment à batteries. Il jeta les piles mortes derrière son épaule, les remplaçant par des rutilantes, toutes neuves qu'il avait pioché dans l'une de ses sacoches. Il ré appuya sur le bouton et de nouveau la voix rauque de Johnny Cash s'éleva dans les airs. Assis sur le rebord d'un petit bâtiment, George observait l'effervescence sous ses pieds. Les grognements peinaient à couvrir la musique, dont le volume avait été mis à fond par le mercenaire qui observait d'un œil distrait les zombies qui s'amassait autour du petit immeuble. Il agita son majeur à l'adresse des créatures bavant plusieurs mètres sous ses pieds. Les plus malins (si cela était possible vu la bouillie qui remplaçait leur cerveau) se jetait avec force sur la façade, piétinant leurs camarades tombés au combat, déclenchant l'hilarité de l'homme.

« Suzie Q à Daddy O'. Suzie Q à Daddy O' » grésilla le talkie-walkie. Il se saisit de l'atrocité, une bestiole tellement petite qu'il lui semblait que sa main était monstrueuse. Des autocollants de fleurs et des cœurs l'ornaient. Grace aux bidouillages de "Suzie Q", la chose avait plus de portée... mais à quel prix. Pas vraiment viril de se balader avec un truc pareil, au moins ça avait le mérite de tuer de rires les éventuels pillards qui s'attaquaient à lui... ça et un canon scié dans la gueule bien entendu. « Je croyais qu'on avait changé les noms de code. Bon dieu, je suis pas aussi vieux. » s'étouffa-t-il. « Et chuis pas ta secrétaire... t'as pas oublié que tu devais retrouver Frida j'espère. » grommela la gosse. Susan, une gamine maigrichonne à laquelle il avait tout de suite accrocher. C'était peu être un des échos de sa jumelle ou une débilité dans le genre que certains expliquaient par du surnaturel pur. Milena avait requis la petiote, lui avait offert un toit, la tirant de la rue et la plongeant dans les circuits, les vieux postes informatiques défoncés. Il ne lui avait jamais paru que sa sœurette avait la fibre maternelle.

Elle en aurait fait une parfaite pourtant, une mère. Malgré le fait qu'il avait vu le jour le premier, elle avait tout le temps paru être l’aînée du petit duo, le protégeant dans ses pires conneries, venant à sa rescousse alors qu'il se faisait tabasser dans la cours de récré. Par réflexe, sa main agrippa le collier qui pendait autour de son cou, le médaillon s'ouvrit dans un claquement et sa photo était là. Milena, son étrange reflet lui renvoyant son regard depuis l'outre-tombe. A son opposée, une autre revenante, l'image décoloré de la femme qui leur avait donné la vie. Il soupira avant de se redresser.

Ses doigts se refermèrent sur le casque posé à côté de lui. Il prit une profonde inspiration et le glissa sur sa tête. Il épousait parfaitement les contours anguleux de son visage, le laissant plus rien percevoir de son anatomie comme le reste de l'armure. « Reste au QG, Suzie Q, terminé. » marmonna-t-il dans son casque, ne faisant pas attention aux protestations de la jeune fille. L'avantage de celui-ci qui rendait obsolète le talkie-walkie. Bijou de technologie, l'armure n'était pas uniquement présente pour dissimuler son odeur aux zombies. Elle le protégeait des chocs, dans une certaine mesure, et lui offrait une agilité décuplée. Un parfait prototype qu'il avait emporter lors de sa fuite du laboratoire. A ce souvenir, il grimaça...

Saloperie.

George n'avait rien demandé à quiconque. Gamin pas particulièrement brillant, plus par flemme que par manque d'intellect', il avait marché dans les traces de son père, à l'instar de sa jumelle, rejoignant l'armée après la fin de sa scolarité. Il avait fait la guerre, bien que le terme de Veteran ne lui convenait pas plus que ça. Membre respecté par son unité, il grimpa les échelons, tireur d'élite renommé parmi ses camarades. Sa sœur lui fila quelques tuyaux, medic dans son unité. Puis, quelques années auparavant, elle était morte. Le sort les avaient réunis sur une même opération, et comme il l'apprit plus tard... il n'y a jamais de hasard. Sous couvert d'un test suicide pour les unités envoyés, un nouveau type d'arme bactériologique, dérivé de la rage et autres maladies auxquelles il ne comprenait rien, qui avait retourné les soldats de leur propre camp avant de les faire périr dans une mort atroce. Comme le reste de ses camarades, il avait subit la contagion, tremblant, bavant, pris de spasmes atroces. Puis... le black out.

Les mois qui avaient suivi étaient marqués par l'incompréhension. Quelques types en blouse blanche lui avaient balancés des mots alors qu'ils gisaient dans son lit d’hôpital. Sauf qu'il n'y était pas. Le bâtiment était un laboratoire de l'armée et la résistance au virus de George lui y avait valu son pass. A sa sœur aussi à vrai dire, mais celle-ci avait succombé quelques temps après aux blessures reçues dans la bataille. Il en avait été malade. Puis, alors le monde s'était barré en couilles : à cause de ces mecs, et à cause de lui, de la maladie qu'il avait permis de perfectionner grâce à son immunité exceptionnelle. Alors que quelques scientifiques substituaient il s'était fait la belle non sans aide.

Le petit pug aboya joyeusement lorsqu'il vit George venir le chercher dans une ruelle derrière le petit immeuble. La masse de zombie avait sérieusement décru et il s'était frayé un chemin à grands renforts de coups de pieds, de flingues... oh et de grenades aussi. Le cabot avait le poil ébouriffé par la main ganté de son maître. Pauvre bête. Il l'avait tiré du même enfer que lui, cobaye de laboratoire comme il l'avait été. Le chien lui avait sauvé la mise en attaquant un des scientifiques survivants et depuis ils ne s'étaient plus quitté. L'avantage pour la petite bête c'est que, suite aux expériences dont il avait fait l'objet, il était indétectable par les zombies. Le parfait contraire de George en somme. Cette possibilité d'une durée de vie plus importante avait permis à l'ancien soldat de se faire suivre sans penser à la perte prochaine de son nouvel ami.

L'équipée avait été rejoint par Susan qu'il avait déniché dans une maison barricadée et... ah oui elle aussi.

**

Leur duo était particulièrement improbable. Mais on aurait jugé une apocalypse zombifique totalement improbable par le passé donc l'impossibilité était devenue quelque chose d'assez abstrait dans ce nouveau monde. Même solitaire de nature, il ne lui avait pas fallu calculer longtemps ses chances de survie, avec et sans miss dompteuse de fauves en décomposition. A deux, ils étaient impossibles à stopper, il lui semblait qu'ils pouvaient presque mettre fin à l'apocalypse tant ils défonçaient des zombies à tour de bras. George avait sérieusement morflé lors de leur rencontre, elle aussi à vrai dire. Il avait eut le malheur de convoité ce qu'elle recherchait puis de pénétrer dans son domaine. Mais chacun avait compris que l'autre, en vie, avait bien plus de valeur.

De plus, la (charmante) dompteuse avait le mérite de couvrir son fumet si délicat qui attirait en masse les macchabées. La vue était pas si mal aussi, un des avantages du casque qui permettait de reluquer en toute description les damoiselles. Bien sur, ses taquineries se limitaient aux mots, il tenait à sa virilité et la violence surprenante de la jeune femme, lui laissait penser qu'elle pouvait tout à fait trancher la partie de son anatomie qui dépasserait un peu trop... Enfin, ça n'avait jamais arrêté ce bon vieux George par le passé. Curious George qu'on le surnommait à l'école, une nouvelle idée de nom de code qu'il ne tardait pas de livrer à Susan.

Et maintenant, ils avaient mis la main sur la possibilité de trouver le confort d'un endroit qu'ils pourraient défendre et qui grouillaient encore de ressources. Un immense mall qui regorgeait de zombies... et apparemment de gens. Il acquiesça lors qu'elle le chargea des négociations. On avait même pas besoin de demander pourquoi.

 « On va enfin avoir notre petit nid douillet, ma belle. » minauda-t-il un peu faussement avant d'éclater de rire.  « Damn ! Quel spectacle ! » laissa-t-il échapper lorsque les cadavres en état avancés de putréfaction s'écrasaient devant eux. Il s'avança, écrasant sous sa botte le crâne tendre d'un des zombies qui s'agitaient encore sur le sol. « Envie de s'amuser ou juste en manque ? » rigola-t-il en guise de réponse, ponctuée par un petit aboiement joyeux du pug qui trottinait derrière lui.
All I care about is sex and violence
A heavy bass line is my kind of silence
Everybody says that I gotta get a grip
But I let sanity give me the slip.

Ariman

Créature

Trainant son fendoir au sol Victor Mean suivais sa route à la recherche de son territoire.

Voila une bonne semaine qu'il avait quitter sa cabane et son marais après qu'il fut brutalement envahis par un tas de types. Victor n'aimait pas les intrus mais il fallait dire que ceux là étaient assez spéciaux. Ceux là ne fuyaient pas ils avançaient même droit sur lui ils cherchaient même à le mordre. Par chance ils étaient lent et semblaient même malade et sentaient fort. Quand Victor les éclataient ils avaient du mal à rester immobile ce qui forçait Victor à les taper sur la tête pour qu'ils se tiennent tranquille. Bien entendu il y avait les victimes habituelle de Victor mais elles étaient de moins en moins nombreux remplacer par ces trainards sur pattes mais à force d'observation Victor avait sut faire la différence entre les vivants et les morts. Même si il ne connaissait pas le mot Zombi Victor avait non seulement réussit à les identifier mais aussi noter des variantes de créatures et leur comportement. Ils adoraient être en groupe semblaient être carnivore et la plupart d'entre eux avaient même des forme de mutation enfin bon Victor ne connaissait pas le mot mutation mais il savait que certains traine savate avaient quelque chose de pas normal.  

Il n'y avait pas que les traines pieds. Les humains aussi avaient changer. Oh beaucoup encore le craignait et fuyaient mais d'autres avaient changer et étaient comme pris d'une forme de folie furieuse les transformant en sadiques violent et homicide. Peu être même plus que Mean l'aurait pus l'être Victor était très fort et certain de ses fou le craignait mais d'autres n'hésitèrent pas à l'attaquer avec violence Victor avaient beau les charcuter où les écraser ils en redemandaient encore. Finalement Victor fut un peu las il voulait juste rentrer chez lui mais il n'arrivait plus à ce souvenir où ce trouvais son territoire et il avançait au hasard trainant son lourd fendoir derrière lui.

Ce fut au court de sa route hasardeuse qu'il vis une troupe au loin. Voulant qu'on lui fiche la paix Victor obliqua pour se dissimuler dans la végétation.

La troupe qui arrivait était un mélange de fou furieux et de Zombis. Les déments étaient en train de rire et semblaient faire la course jucher sur des zombis costaux à la mâchoire démolis et sans bras ou les bras trop endommagé pour servir. Les Zombis avaient les yeux crevés si bien que pour les chevaucher on avait monter sur leur tête des guidons de motos pour les diriger.



Ils avaient l'air de camper sur la route. Victor décida donc d'obliquer et se rendre vers la ville coté zone industrielle. Contrairement au fou et aux zombis Victor n'était pas un cannibale bien qu'il mangeait de la viande il avait plus une préférence pour le bœuf.  Ses pas menèrent dans une zone calme d'un supermarché et entendit le ronronnement d'un climatiseur. Son odorat sentis une odeur de viande. Affamé Victor chercha à forcer une porte du bâtiment et brisa une chaine à cadenas pour entrer dans une chambre froide remplis de carcasses congelées.
« Modifié: jeudi 31 mars 2016, 20:43:19 par Ariman »

Kamiyu Okane

E.S.P.er


La première journée de la fin du monde était pour notre jeune étudiante dans son lycée. Tout le monde courait partout dans sa classe , même que certains se pillaient dessus sans se rendre compte et les zombies n'étaient toujours pas entré dans la classe. Tara regardait la scène en tapant de son crayon sur le coin de son bureau. Cela était décourageant de voir que les gens couraient dans tous les sens s'en prendre le temps de réfléchir un temps soit peu à une solution pour se sortir du pétrin. À la longue, elle frappa tellement fort avec son crayon qu'il se cassa en deux. Elle roula un peu des yeux avant de lancer la moitié du crayon derrière et se passa la main gauche dans ses courts cheveux mauve avant de se lever et de s'exprimer devant toute la classe.

S'il vous plaît ... DU CALME ! MERDE ....

Tara ne s'exprimait pas souvent , la plus part du temps c'était pour faire une critique ou pour dire que le monde était idiot. Cela était la première fois en fait qu'elle prenait l'initiative de parler comme cela de ce qu'elle pensait et cela semblait marcher. Tout le monde semblait un peu plus attentif à ce qu'elle disait. Notre lycéenne prit une grande respiration avant de reprendre la conversation.

Au lieu de courir comme des poules pas de tête, on devrait peut-être réfléchir à une façon de s'en sortir non ?

'' Oui c'est vrai elle à raison .
- Qu'est-ce que l'on peut bien faire , les zombies sont déjà là ?
''

Ils sont où exactement ? Au 5ième , au premier , je te signale qu'il y a plusieurs étage au lycée baka.  

Elle déposa délicatement sa main gauche sur le visage pour se faire un facepalm.

* Je n'y arriverais jamais avec ces idiots * Soupira t-elle à l'idée.

... On est au deuxième étage , il y a une sortie de secours pas vrai ? On aurait juste à sortir par-là . Puis , on pourra ensuite retourner chez soi pour savoir si la famille se porte bien ou non .

'' OK , je suis partant, pas question que je reste ici à me faire manger par ces morts.
- Pfff comme si cela allait marcher , on serait mieux d'aller par les ascenseur plus tôt que ces escaliers ''

Fait bien ce que tu veux , moi dans mon cas, je dégage ceux qui souhaite aller par la sortie de secours me suivent les autres bien ... faite ce que vous voulez.

De toute façon la plupart des gens qui se trouvaient ici, elle ne les portait pas vraiment à cœur. Elle se dirigea donc vers la porte et tourna un peu la poignée. La porte s’entrouvrait un peu , juste assez pour qu'elle puisse voir dans le couloir s'il y avait des zombies ou non. Pour le moment, le champ était libre. Elle ouvrit la porte au complet et les gens la bousculaient de tout bord tout côté. Au moins, elle aurait une distraction pour s'en aller. Tout le monde était partie vers l'ascenseur. Il n'y avait qu'elle et ce jeune garçon dont elle ne connaît pas le nom qui ont opté pour la sortie de secours.  Les deux se trouvèrent à la porte en question quand ils entendirent des portes se faire défoncer , Tara pouvait voir au loin des zombies qui venaient de se rendre au deuxième étage et hélas pour ceux qui avait choisi le chemin de la paresse, ceux-ci se firent tous attaquer sans exception. Il ne restait pas beaucoup de temps avant que les zombars soient proche d'eux. Alors, le garçon tira sur la veste de Tara et indiqua la sortie. Puis, il avait parfaitement raison, cela ne servait à rien de continuer de voir ce massacre. Le garçon prit le temps de fermer la porte derrière lui et Tara se trouva sur le bord de l'escalier ou elle pouvait voir la hauteur. Elle ne se sentait pas trop bien, elle commençait à avoir un mini haut le cœur.

* Courage , tu peux y arriver *

Elle descendit les marches sans prendre le temps de regarder en bas. Se trouvant au sol, elle remarqua qu'il y avait des zombies proche, mais pas autant qu'il y en avait dans le lycée. Avec un peu de chance, s'ils ne font pas trop de bruit, ils pourraient les éviter et se rendre chez eux par la suite. Elle prit les devant laissant le garçon derrière qui décida de la suivre. Tara fit simplement une signe de se taire et montra les zombies. Dans quelques pas, ils serraient à une petite ruelle qui pourrait permettre à Tara d'allez chez elle. Elle accéléra un peu le pas se retrouvant au bord du bâtiment et de la ruelle. Celle-ci se trouvait hors de portée , mais pour le gars... celui-ci ne remarqua pas la canette de coca qui se trouvait au sol et cela fit un bruit qui attira les zombies. Les monstres étaient sans doute trop près de lui pour qu'elle puisse aller l'aider , mais elle ne pensait pas le faire de toute façon. Sachant qu'elle était en sécurité elle continua sa route laissant celui-ci à son sort.

Elle se rendit enfin à la maison.

Mam' je suis rentrée ... Mam' ?

Tara fouilla un peu dans la maison pour ramasser son sac d'école et y mettre des can de nourriture quand elle remarqua une lettre sur la table. Elle prit le temps de lire rapidement et une larme coula le long de son visage.

* mais quelle merde, elle m'a abandonnée pour aller dans un de ces campements ... pourquoi elle ne m'a pas attendue ! *

Celle-ci aurait pu s’effondrer au sol et pleurer, mais elle savait que cela n'était pas le temps. À n'importe quelle moment, elle pourrait être envahis par des zombars. Alors, elle continua de ramasser de la nourriture , des bouteilles d'eau ainsi que quelques couteaux pour se défendre. Elle se dirigea vers sa chambre quand elle entendit un zombie entrer.

* Merde *

Tara ne pouvait pas rester un instant de plus dans cette maison, n'ayant pas encore l'instant de tueur, elle préféra quitter la maison et partir à l'aventure. En ayant son sac à dos avec elle bien sûr.

°~ ------------------ °~

Quelques jours plus tard, notre lycéenne remarqua qu'il ne restait plus beaucoup de vivre dans son sac. Par chance, celle-ci se trouva proche du centre commercial. Il y aurait peut-être encore de la nourriture en canne ou de l'eau. Elle décida de ne pas entrer par la porte principale vue que les monstres avaient sans doute pris ce chemin-là. Elle opta plus pour une des sorties secondaires. Elle tourna la poignée. Celle-ci était barrée.

*Génial ...*

Ne voulant pas s'éterniser à l'extérieur trop longtemps, celle-ci donna un coup de pied dans la porte qui s'ouvrit brusquement. Elle regarda rapidement si elle avait attirée les zombies. Cela était sans doute le cas, alors, elle partie à courir et se trouver dans une des petites boutiques de vêtements. tara se plaça derrière le comptoir et reste immobile un certain moment, pour que les zombies perdent sa trace. Elle entendit plein d'os se briser , comme si plein de personne était entrain de tomber.

* Qu'est-ce qui se passe merde ? *

Il était mieux pour elle de ne pas aller voir ce qui se passe et de rester tranquille dans la boutique encore quelques instant.
« Modifié: jeudi 31 mars 2016, 20:45:16 par Kamiyu Okane »

Mimi-09

Autres


Aya Nazume, c'est ainsi qu'elle était nommée avant l'épidémie. Elle était une étudiante prometteuse, notamment en biologie, mais deux éléments rendaient ce talent difficilement utilisable. Elle avait un goût immodéré pour les zombies et les tenues extravagante. Nombreux ont été les élèves répugnés par un de ses fantasme, la nécrophilie. Elle n'avait pas un avenir grandiose. Un avenir sans doute gravé de petit boulots ingrat et peu payer, une vie sans doute seule.

C'est à cet instant que l'épidémie vint à venir et engendrer les premiers zombies.

Si pour la plupart, cela était une catastrophe, Aya prit cela comme un signe, une bénédiction presque divine. Là où la population cherchait à fuir les zombies, elle était l'un des rare à rester proche des foyers d'infections pour observer les zombies et comparer la réalité à la fiction. Elle faillit de nombreuses fois y perdre la vie. Elle restait une humaine avec un instinct de survie et ne désirait pas perdre son humanité, comment pourrait-elle savourer chaque moment sinon ?  Son caractère avait sublimer sa fascination des mort au détriment des vivants, elle se rappelait encore de se type baraqué qui avait essayé de la sauver d'un zombie, dont elle avait prit soin d'arracher chaque dents et faire sauter les ongles. Le pauvre mec eu une magnifique mort, pensant avoir une fille facile à porter de main, avant de se faire poignarder en plein coeur au moment de l'orgasme.  Ce fut d'ailleurs suite au meutre de ce mec qu'elle vint à arborer une nouvelle identité.

Elle choisit de s'appeler Black Rabbit, Black parce qu'elle n'était pas pure et Rabbit, car comme les lapins elle aimait beaucoup le sexe, surtout avec les zombies.  

Jusqu'à aujourd'hui, elle suivait les groupes de zombies, se pourléchant quand l'un d'eux était loin du troupeau et pouvait servir de divertissement. Aussi, le contact réguler avec les mort-vivants, avait imprégné légèrement sa peau de l'odeur mortuaire, bien pratique pour approcher son prochain amant macabre. Il arrivait qu'elle rejoint des groupes de vivants, lorsqu'elle désirait assouvir des pulsions sexuelles et meurtrières. Son extravagance et ses jolies formes, permettant aisément de monayier quelque ressources.  Elle a vite laissé tombé la morale, ce n'est pas ça qui remplissait l'estomac.

Black Rabbit n'éprouvait aucune peine à pratiquer le cannibalisme, après tout les humains ne sont pas des zombies et les humains mangent de tout, alors pourquoi n'aurait-elle pas le droit de manger de l'humain. Mais elle était soumise aux même restriction que les vivants, elle devait manger et boire, de préférence de façon varier afin de rester belle et pouvoir utiliser son corps comme moyen de troc.  Aussi prit-elle a direction d'un des plus gros centre commercial du coin.

Elle ne prit pas le chemin vers l'entrée principale, préférant de loin passer par l'entrée de service. Certes, il fallait faire tout le tour, mais il y avait moins de risque de tomber sur un humaine. Elle prit ensuite le temps d'observer les étages qu'elle visitait en chantonnant un peu, semblant totalement indifférente que des zombies entendent.  Un seul zombie était présent devant une boutique et la blonde vint à glousser jusqu'à entendre un bruit désagréable à ses oreilles.

La nécrophile se mit à jeter un oeil vers la source du bruit et vers les cadavres qui tombaient au sol. Si elle vint à lancer un regard noir sur les vivants, elle fut beaucoup plus intéressée par cet espèce de tigre, qui vint à l'exciter. Elle n'avait vu que des humains infectés jusqu'à maintenant, la nouveauté d'une nouvelle créature cadavérique étant terriblement tentante, même si la présence d'une vivants à côté était ennuyeux. Elle comptait essayer cette bête-zombie, mais pour cela, elle devait d'abords s'approcher, devant de ce fait s'occuper du zombie qui traine. Elle prit une profonde inspiration et vint à charger vers le zombie, donnant un coup de pied circulaire, faisant passer le zombie par-dessus la rambarde de sécurité, ayant une grimace en entendant le zombie s'écraser au sol. Elle n'aimait pas tuer les zombies, elle préférait surtout en faire des jouets sexuel, laisser leurs animalités se matérialiser sous une autre forme.

Elle prit le chemin pour rejoindre cette drôle de vivante avec son animal cadavérique, se voulant la plus silencieuse possible, afin de ne pas perdre davantage de temps.

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

" - J'ai une queue à portée de mains depuis des mois. Si j'étais en manque, j'aurai pris le soin de m'en servir, Georgette." Sauvage, Frida siffla pour que Sub ne s'éloigne pas trop. Elle n'aimait pas cet endroit, décidément. Elle n'avait pas confiance dans ce silence. Et d'ailleurs, elle avait bien raison. Elle eut un mouvement nerveux de sa lèvre supérieure alors qu'elle entendait différents bruits à l'extérieur du mall. " - What the fuck ? Ils sont en train de trucider la horde !" En fait, c'était plutôt logique s'ils étaient normalement constitué de tuer la horde de zombie qui trainait autour du mall. Même si c'était des zombies apprivoisés, ils restaient des zombies, donc des choses cannibales qui désiraient tuer tout ce qui état vivant et ressemblait à de la nourriture. Mpf. Mais ça la gonflait ! Elle donna un brutal coup de pied dans une tête de zombie qui alla s'écraser contre le coin d'un meuble. Submarine s'énervait de plus en plus, semblant ne plus savoir où donner de la tête. Le Mall et l'extérieur du Mall était soumis à la présence des humains et la pauvre bête perdait pied. Frida grogna et se releva pour poser la pointe de sa lance sur le torse de George et le faire reculer lentement. On ne savait jamais ce qu'elle avait en tête. Peut-être comptait-elle le tuer ? D'un coup ? Hé, on parlait d'une sauvage qui avait plus de relations avec les bêtes et les arbres qu'avec des humains depuis quelques années, déjà. Elle lui fit un soudain petit signe de tête, pour lui montrer la silhouette plantureuse qui se déplaçait vers eux, et ensuite sauta sur Submarine qui était en train de fouiller dans un Magasin de vêtement. "Reste là, salopiaud de cleb." Elle renifla un peu, papillonnant des cils. Putain ce bordel de merde. Elle entendait le bruit, les cris, les rires, les grognements, les hurlements des humains. Ils étaient plus sauvages que les bêtes. Elle plissa les yeux alors qu'elle se relevait, tirant Submarine en soupirant. C'était quoi ce bordel. Pourquoi dès qu'ils allaient quelque part, personne ne pouvait rester tranquille ? Sérieusement, c'était trop demander ? Elle siffla doucement, passant le bout de sa langue entre ses lèvres avant d'éclater de rire. La gamine avait l'air terrifiée. Qu'est-ce qu'elle foutait là, la lycéenne ?

" - T'as vu ça ? Deux femmes pour le prix d'une. Attrape la blondasse. Toi, bouge ton cul. On dégage, y'a un truc louche qui s'passe dehors." Elle parlait bien à Tara, qui s'étalait par terre avec un tigre grognant à son encontre, un tigre qui semblait plus que décidé à venir lui mordiller les os. La délicate sauvage eut la douce attention de lui tendre le bout de son arme pour l'aider à se mettre debout et lui attrapa le bras sans aucune douceur alors qu'elle grognait un peu. Les cris devenaient de plus en plus aigus, de plus en plus intenses. Il se passait quoi, comme bordel, là ? Elle jeta un regard à George et lui lança finalement un sifflet en os qu'elle avait créé quelques jours auparavant, en soupirant longuement, relachant la pauvre lycéenne. "La blonde pue la mort. Fais gaffe à ton cul, darling." Elle se rapprocha de lui, pour le prendre à part, zieutant Aya d'un air peu avenant, claquant sa lèvre à son palet. "Pas confiance. Je vais voir ce qui s'passe dehors, tu gardes celles-là. T'as dit que je devais m'humaniser ? Si elles sont normales, on les garde avec ta p'tiote. Je te prends une poupée gonflable ?" Elle lui lança un grand sourire alors qu'elle perdait ses lèvres dans sa gorge, après avoir mordillé lentement son oreille. Se faisait-elle du soucis ? C'était une sorte de marque de protection. La blonde avait l'air chaude du cul. Frida n'avait pas envie de se battre pour sa possession, Gorge et elle resteraient ensembles, qu'il soit consentant ou non. Elle lui remit son masque en place et posa un baiser sur le museau dégarni de Submarine en l'attirant vers elle. Il restait auprès de la blonde. Elle grogna. "Sub' ? Tu veux baiser de la femelle ou quoi ? Hé ! Sub', viens là." L'animal donna un large coup de langue à la jambe de la blonde avant de daigner se tourner vers sa maîtresse. Bon sang.

Frida tourna finalement les talons, en rajoutant. "Siffle si t'as besoin, sugar. Je serais une obéissante minette et je viendrais auprès de mon maître ~" Un rire rauque lui échappa légèrement alors qu'elle s'éloignait.

En cas d'Apocalypse Zombie, la première règle est de ne jamais se séparer. Retenez ça, les enfants. Frida fit sauter le cadenas d'une boucherie, qui semblait avoir des fenêtres. La jeune femme sentit sa bête se contracter un peu, grognant nerveusement. Elle lui ordonna de rester à la porte, pour que le problème soit réglé, et finit par entasser des chaises pour arriver à atteindre une fenêtre sale qu'elle ouvrit pour regarder à l'extérieur. Ce bordel. Ce massacre. Cette violence. Elle se pencha légèrement en avant pour mieux voir la troupe violente de bikers de zombies qui finissait d'achever sa horde. Ils semblaient avoir remarqué que les zombies avaient été rendus inoffensifs et elle eut une moue. Ils allaient sans doute entrer dans le Mall. Ils devaient déguerpir avant que ça ne dégénère. Ces gens faisaient peur. Frida soupira, continuant de les observer en faisant jouer son arme dans sa main, avant de frissonner. Faisait froid, putain. Elle tourna la tête. ... Pourquoi la porte de la chambre froide était ouverte ? Elle avait manqué un ennemi ? " - Submarine ?" Le tigre grogna à ses pieds. Fuck, fuck, fuck...

Solace Belletyn

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    Fille de Lyssa et Dionysos, déesse de son état, associée à la frénésie, la rage, la folie, l'alcool, les drogues. 
    
    Solace et n'a pris connaissance de sa nature que bien plus tard, continuant à se considérer comme une humaine malgré son mode de vie (et un culte naissant autour de sa personne).
L'homme manqua de s'étouffer, gardant un visage impassible (opération rendu assez aisé avec ce casque qui ne laissait percer la moindre émotion). Il soupira. Était-il vraiment encore surpris par le sens de la répartie de la jeune femme ? Certainement pas. George appréciait leurs échanges, les petites piques qu'ils s'envoyaient à cœur joie. Sacrée bonne femme celle là. C'était sans doute ça qui l'avait distrait et amener à accepter leur partenariat : un caractère brûlant et des hobbies forts curieux. Y en avait pas des masses qui se baladaient couverts de bouilli de zombies pour dompter les macchabées. Ah ça non. Grâce à elle, il était à l'abri ET il pouvait profiter du spectacle. L'apocalypse avait promis d'être forte divertissante avec elle. Une promesse qui avait été tenu. Pourtant, en vrai gentleman (il entend les rires de ses vieux potes de l'armée d'ici) il y avait pas touché. Après c'était pas avec tout ce qu'ils se prenaient quotidiennement dans la gueule qu'ils avaient le temps pour les mamours.

George retira son casque afin de prendre une profonde inspiration. Vache. On aurait pu dire que ça puait mais son odorat était blindé désormais. Il ne trembla pas lorsque la pointe de la lance de Frida vint se poser sur lui. Impossible à décoder celle-là et c'était pas faute d'avoir essayer. Mais ça avait ses avantages de se retrouver avec la meuf la plus imprévisible de tout le pays (sans doute) : au moins les autres aussi risquaient d'être surpris. Elle lui désigna une forme du regard, une femme apparemment, pas trop désagréable à regarder aussi. « C'est que je suis gâté Fri', un harem pour moi tout seul !  » retorqua-t-il avant d'attraper le poignet de la blonde pour l'inciter à le suivre. Il la lâcha lorsque sa camarade lui fit signe de le suivre. Des cris se répercutaient dans le mall. Apparemment il se passait quelque chose et Frida était bien décidée à connaître le fond de l'affaire.

Il acquiesça en laissant échapper un léger grommellement. De nouveaux ajouts à leur petit clan pouvaient être un succès comme terriblement désastreux. George était un loup solitaire, il avait accepté cette meute composé de trois personnes qui le complétait mais la perspective que ces deux filles rejoignisse leur tribu ne le rendait pas particulièrement jouasse. Enfin. C'était surement l'habitude, le fait de perdre son unité qui l'avait poussé à jouer en solo. Il frémit lorsqu'il sentit son contact, mordillant légèrement son oreille. George lui sourit avant de reprendre son casque. Eh oui... leur dynamique rendait la perspective d'un retour à la "normal" franchement ignoble. Quelque chose dans ses tripes lui disait qu'ils franchiraient côte à côte toutes les épreuves qui se présenteraient. Leur collaboration n'était pas prête de se terminer.

« T'en fait pas je sais que tu surveilles mes arrières au cas où, love.  » ajouta-t-il avant de jeter un regard à la jeune fille, qui avait l'âge d'être au lycée. « Pas besoin de poupée gonflable quand je t'ai toi ma belle.  » sussura-t-il en guise de provocation. Et... ouah elle était vraiment sérieuse ? Pour l'humanisation ? C'est vrai que Susan et lui l'avaient - subtilement ou non - fait comprendre mais bon pour l'homme c'était juste une autre de ses petites provocations. Oh peut être qu'il y avait un fond de sincérité mais... ça s'arrêtait là. Comment pouvait-t-on changer ce qui était déjà à sa place ? C'était certainement pas lui qui allait pousser ça, surtout dans un monde où la bestialité pouvait servir et où se rapprocher du côté humain se révélait particulièrement futile.

Damn, pensa-t-il alors qu'il reluquait la silhouette féline qui s'éloignait un peu. Il fit tourner le sifflet en os entre ses doigts, observant la finesse dans la rudesse de l'objet. George se racla bruyamment la gorge alors que son regard se posait sur l'autre femme. Le pug s'approcha d'elle, la renifler avant couiner, venant de réfugier derrière la jambe de son maître. La mort ? George ne sentait rien, se contentant de la regarder. Mince, Frida et même le cabot pouvait sentir des trucs qui lui échappaient ? Ou bien c'était juste un caprice de bestioles sauvages ? Impossible à savoir avec précision...

« Bon.. mesdames...  » leur adressa-t-il en réajustant la lanière de son fusil d’assaut. Le mieux restait d'attendre Frida mais rien ne l'empêchait de tenter une petite exploration de son côté. Un grand craquement se fit entendre, alors qu'un zombie tombait à quelques mètres d'eux. La mâchoire continuait à mâcher l'air alors que malgré les os brisés, il tentait de ramper dans leur direction. George leva le fusil, éclaboussant le sol avec la cervelle. Il le laissa retomber regardant, les yeux dans le vague, le corps à ses pieds. Rien ne le dissociait du type qui gisait à terre.

Un mort en sursis voilà ce qu'il était. Un putain de cadavre ambulant. Il avait réussit à survivre mais... à quel prix. Bon au moins il ne ressentait pas l'envie d'aller mordiller ses semblables c'était déjà ça. Mais, dans le petit laboratoire alors que le virus cavalait dans ses veines... il avait passé l'arme à gauche le bougre. On l'avait ranimé à grands coups de défibrillateurs mais... il s'était senti différent. Lorsqu'il était sorti et que c'était déjà le grand bazar, quelques zombies n'avaient pas tarder à en mordre quelques bouts. Et rien ne lui était arrivé mais il y avait cette sensation étrange, et ce qui faisait que les zombies se rameutaient en masse. Devenait-t-il quelque chose d'autre ? Il était mal à l'aise, de par ce qu'il ne comprenait pas. Son corps lui semblait étranger et la perspective de devenir un truc entre le zombie et l'humain ne lui plaisait pas plus que ça. Fait qu'il avait soigneusement caché à Susan comme à Frida. Peut-être s'en doutait-t-elle... peut-être pas. Il s'arracha à ses pensées. Rester ici ne servait strictement à rien, le mieux était de rejoindre Frida et ils se tireraient d'ici. Peut-être qu'elle avait déniché l'origine du bordel... peut-être avait-elle fait une mauvaise rencontre ?
All I care about is sex and violence
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Ariman

Créature

Dans un coin de la boucherie Victor avait mis la mains sur de vrais trésors. Les carcasse en chambre froide étaient trop congelé pour que Victor puisse les manger par contre il y avait une salle remplis de produits frais ce qui lui permis de remplir un gros sac isotherme qu'il avait déniché de baraques bien fraiche ainsi que des saucices et un énorme jambon. Outre cela Victor fit main basse sur plusieurs énormes couteau, un marteau attendrisseur de viande et un crochet de boucher qu'il mis à sa ceinture en compagnie de son fendoir.

Regardant une horloge Victor se rendit compte qu'il allait bientôt faire noir. Victor n'aimait pas le noir. Il n'en n'avait pas peur mais les traîne savate sont plus actifs dans la nuit ils se mettes même parfois à courir pour mordre, griffer ou même taper avec les objets qu'ils tenaient à la main. Victor  en avait fait une fois l'expérience une nuit il avait croisé un blindé. C'est comme cela qu'il appelait les zombis provenant des flics ou de l'armé et revêtus d'un casque et d'un gilet pare balle il était encore équipé de son arme et quand Victor à voulu le tuer il lui as tirer dessus. Plutôt mal d'accord mais cela as inciter Victor à prendre la fuite avant de ce prendre un pruneau. Donc il fallait qu'il trouve un abri pour dormir et il était assez tenté de rester ici pour la nuit. Faut juste qu'il songe à bloquer la porte où il est entré.

Alors qu'il sortis les bras chargé de viandes il se figea en voyant deux intrus. La première semblait humaine bien que sa tenue faisait penser aux fous que Victor avait appris à esquiver. Le second était une bestiole mais il ressemblait aux affreux traines savates en tout aussi décomposé. Les deux sentaient la charogne mais Victor était incapable qui puaient le plus que l'autre. En tout cas ils étaient en train d'empiéter dans ses plates bandes. C'était son abris,il l'avait trouver le premier.

Victor se mis à grogner histoire d'intimider les deux intrus pour qu'ils déguerpissent. Autant le dire tout de suite l'intimidation semblait pas affecter le gros matou décomposé qui grogna en retour. Sur la fille par contre c'était autre chose. Faut dire que Victor Mean était une drôle de créature à peine humain et plutôt bourru. En général Victor n'aurait pas hésiter à attaquer mais là il était fatiguer et voulait qu'on lui fiche la paix.

Kamiyu Okane

E.S.P.er

La lycéenne se trouvait dans un magasin de vêtements à l'abri des zombies. Elle attendait seulement que les montres l'ignorent à nouveau pour pouvoir continuer par la suite dans les autres magasins et peut-être trouver d'autre provision pour être capable de continuer sa route. Elle avait l'intention de sortir de sa cachette quand elle entendit une voix proche d'elle. Bien sûr, il fallait qu'il y ait d'autre humains dans le centre commercial. Elle soupirait un peu à l'idée, mais pas trop fort. Tara espérait ainsi ne pas attirer la personne qui semblait être une femme selon la voix même si celle-ci était un peu rauque . Elle parlait d'un cleb ? La personne avait un animal de compagnie. Merde, elle avait sans doute déjà été repérée dans ce cas. Elle prenait tout de même la chance de ne pas bouger , mais la voix était de plus en plus proche.

Elle ne pouvait pas rester là plus longtemps. Elle se levait le plus rapidement possible quand elle se faisait attaquer par un tigre en décomposition. L'odeur de la bête donnait presque le goût de vomir à la jeune lycéenne n'étant pas tellement habituer à l'odeur de décomposition. Alors que le tigre le regardait prêt à la mordre, celle-ci n'osait pas le regarder de peur de se vomir dessus. Les yeux de Tara remarqua la femme , la même qui avait sans doute rie un peu plus tôt. Elle semblait être complètement sauvage à cause de son accoutrement et aussi du fait qu'elle avait un putain de tigre avec elle. Au moins, celle-ci semblait être capable de communiquer la même langue que la lycéenne. En parlant de cela, elle était entrain de parler avec une autre personne disant qu'elle avait trouvée deux femme pour le prix d'un. Tara n'entendait pas la réponse de l'autre personne ou en faite n'était pas tellement concentrée sur celle-ci vu qu'elle sentait l'haleine putride du tigre. Celle-ci avait fermée les yeux quelques secondes.

* Je vais être malade *

Quand elle ouvrait les yeux , la femme sauvage disait à la lycéenne qu'elle devait se bouger le cul vu qu'il semblait se passer quelque chose de louche puis, celle-ci lui tendait son arme sans doute pour l'aider à se relever. Tara se reculait un peu histoire de ne plus avoir le tigre trop proche d'elle et avec sa main droite, elle prenait l'arme de la sauvage, mais elle ne s'attendait pas à la suite. De se retrouver le bras agripper de la sorte par la femme dompteuse de tigre la faisait un peu grimacé, mais cette grimace avait disparue assez rapidement quand notre lycéenne avait entendue les grognements de la ''dame'' qui se trouvait à côté d'elle. L'étudiante se trouvait rapidement avec deux autre personnes : Un homme était plus grand qu'elle qui semblait être très complice avec la sauvage et une blonde qui était prit au poignet par l'homme. Elle était sans doute la seconde femme dont faisait mention la sauvage un peu plus tôt. Tara était libérée de l'emprise qu'elle avait sur le bras. Elle sentait encore la pression sur son bras alors le temps que les deux complices étaient parti parler un peu plus loin, celle-ci en profitait pour se frotter un peu le bras et aussi, elle se disait que cela serait sans doute le meilleur moment pour partir. Pourquoi elle resterait avec eux ? Un femme qui dompte des animaux morts , un gars de l'armée qui supporte la femme et l'autre femme qui sent la mort. Pas question qu'elle reste plus longtemps, elle regardait les sortie les plus proche pour se sortir de ce merdier quand elle entendit le petit commentaire de l'homme. Normalement, n'importe quelle fille aurait réagi de deux façon : soit elle aurait complimentée le gars pour ensuite faire des galipettes avec lui soit elle aurait tout simplement réagi . Dans son cas, elle avait réagi mais cela était plus tôt subtile, elle avait seulement roulée des yeux.

* Pourquoi je tombe sur des gens pareil ? *

Elle n'avait qu'une seule idée en tête , se trouver de quoi survivre et partir. Mais avec les gens qui l'observaient, cela compliquait pas mal les choses. Au moins la sauvage n'était plus là et son tigre aussi Tara pouvait donc respirer plus normalement même si elle sentait l'odeur de la blonde qui était aussi infecte que le tigre. Elle se bouchait le nez à plusieurs reprise pour ne pas trop le respirer, mais cela restait toujours. Faut croire qu'elle allait d'avoir s'y habituer. Le soldat allait pour discuter à nouveau avec la lycéenne et la blondasse quand un zombie rempart se dirigeait vers eux. Étant un combattant, celui-ci n'avait aucune gêne à faire le nécessaire pour survivre. L'étudiante ne se sentait vraiment pas bien en voyant les morceaux de cervelle au sol. Sa main se plaçait devant sa bouche sentant qu'elle ne pourrait pas supporter cela plus longtemps, elle courrait vers la poutre la plus proche pour se placer derrière et vomir. Elle s’accotait contre la poutre par la suite et tentait de respirer calmement. 

Mimi-09

Autres

Black Rabbit venait d'arriver, toujours de sa démarche calme et séduisante, voyant l’animal source de son intérêt. Cependant, elle n’eut pas le loisir de faire quoi que ce soit. En effet, elle put admirer une personne en armure saisir son poignet, avec suffisamment de force pour que la jolie blonde comprenne que cette armure n'était pas là uniquement pour faire jolie, elle pouvait ressentir la force du type. Bien évidement, elle était frustrée. Pourquoi? Car ce type empêchait la nécrophile de s'approcher davantage de la bête-zombie, unique intérêt pour le moment. Mais comme elle ne désirait pas créer du grabuge et voulait éviter de se fermer la porte d'être plus proche de l'animal, elle n'opposa aucune résistance.

La blondasse fut cependant surprise de voir l'animal s'approcher d'elle, profitant de la proximité pour se permettre un petit geste, caressant furtivement le pelage de l'animal, la sensation étant excitante. Elle ne pouvait refuser une petit sourire en sentant l'animal lui lécher la jambe et devoir revenir aux pieds de sa maîtresse. Black Rabbit vint à jeter un regard sur cette chasseresse, venant à penser qu'elle risque de poser beaucoup de problèmes et qu'elle ne semblait pas être du genre à partager.

L'homme en armure vint à commettre une grave erreur, en effet, un zombie était tombé et se trouvait dans un triste état. La nécrophile n'eut même pas un sursaut, observant Johny pointer l'arme vers le cadavre et voir sa cervelle repeindre le sol. Elle ne put retenir un pincement aux lèvres. Elle pensait clairement que ce mec avait visiblement quelque chose à compenser, le zombie n'étant pas un danger vu qu'il ne pouvait même pas se déplacer.  Elle portait son attention vers Tara, snobant tout bonnement ce vivant qui venait de gâcher une source de divertissement.

Elle était debout, bien droite devant cette lycéenne.

- Et bien ? On supporte mal les morts ? Tu devrais t'y faire, sinon tu seras une proie de choix.


D'un geste fluide, elle mit sa main au niveau de sa cuisse droite pour sortir une petite dague, qu'elle mit sous la gorge de Tara, avant de saisir la lame et tendre le pommeau vers la demoiselle.

- Je te la prête, pense à avoir une arme petite, sinon tu ne feras pas de vieux os.


Ses intentions pouvaient être louable en apparence, mais en vérité, la blonde voyait en cette petite fille innocente un jouet temporaire, le temps de mettre la main sur le tigre et faire un peu mumuse.  Black Rabbit allait donc s'assurer que la lycéenne soit redevable et ne puisse pas se défaire de la dette qu'elle allait contracter.

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

" - Vous faîtes ce que vous voulez, nous on bouge. On bouge, George. RIGHT NOW !"

Pas besoin d'intimider Frida pour qu'elle se bouge le cul quand elle voyait un monstre pareil lui apparaître devant les yeux. Il était dangereux, ça se voyait. Et elle, le danger quand il ne sentait pas le mort et le décomposé, elle n'aimait pas du tout ça. Frida n'avait pas confiance dans les humains, encore moins que dans les morts. Nan, c'était vrai, ça, les morts, on savait qu'ils voulait votre cul, votre cerveau... Les morts, ils pouvaient vouloir vous tuer, vous harceler, vous violer, vous torturer, vous bruler ... Vous manger, vous baiser, vous dévorez, vous écartelez, vous rapper ... Bref, ils pouvaient en faire des choses. Et Frida avait envie de rester vivante, en bonne santé. En voyant le jeune .. L'homme étrange devant elle, avec son couteau de cuisine et son regard noir, elle se décida juste à se casser.

Elle attrapa sa bête par le cou pour l'attirer vers elle alors qu'elle grognait lentement. Non, non non ... Rien n'allait. Entre les fous dehors et les fous dedans, ça faisait vraiment beaucoup de folie et de connerie en même temps pour elle. Beaucoup trop. Elle déguerpit en vitesse, fronçant les sourcils en se retournant vers la bête de muscles qui ne semblaient pas vraiment luire par son intelligence ou son esprit. Elle atterrit sur George et les deux gonzesses qui ne semblaient pas encore avoir bougé. Ok, ils n'allaient pas se les coltiner en vrai, ces deux là. Elle allait pas supporter d'en avoir deux, des idiotes qui ne savaient pas se battre. Elle attrapa le bras de George en regardant le pug qui grognait en la voyant. Ce chien ne l'aimait toujours pas ! Elle lui enleva brutalement son casque pour le regarder droit dans les yeux alors qu'elle montrait les deux femmes d'un coup d'épaule soudain. " - George... George, j'aime pas ça, honey. Ni cette nana, la blondasse là, regarde comme elle mate mon Tigre, sérieux c'est encore une fucking tarée de .. "

Elle s'arrêta brutalement. Une des entrées du Mall venait de tomber en éclat, brutalement. Frida se tourna sur-elle-même pour regarder par le balcon de l'étage, dans un grognement. Elle se laissa tomber au sol, grognant lentement alors que le tigre s'énervait de plus en plus. Non, putain, non... Des cris, des hurlements, des pétardements de moto, des rires .... Ils étaient là. Ils étaient entré. Elle entendit brutalement un coup de feu. Ok, ils savaient qu'ils étaient là aussi... " - Et vous ! HE LES LOULOUS ! Vous avez 5 minutes pour déguerpir, et on va venir vous chercher. Vous savez, cache-cache ... Et quand on vous aura trouvé, on va pouvoir s'amuser longuement ... HEIN LES MECS ?" Des rires gras se font entendre et Frida eut un grognement intense alors qu'elle restait à terre, attrapant le poignet de George. Elle avait peur, ça se sentait. Elle avait peur de ses gens, et de leurs idées tarées qui semblaient très décidés. Elle eut un petit soupir et jeta un regard à son ami, avant de brutalement écraser ses lèvres sur les siennes, avec un regard farouche. "Les étages."

Elle attrapa son arme, siffla sa bête, et resta à quatre pattes, devant George, délaissant les deux jeunes femmes. Si elles suivaient, tant mieux. Sinon, tant pis pour elles. Frida voulait sauver sa peau. Descendre serait mortel, il fallait qu'ils montent et qu'ils aillent se cacher dans une des boutiques. Arrivant enfin aux escaliers, elle se remit debout en rougissant légèrement, le souffle haletant. " Ils sont nombreux... Et ils sont plus qu'effrayants. Submarine ? Viens avec moi, chéri." Elle enroula une laisse autour de la gorge de l'animal, c'était le moment où jamais pour l'avoir à ses côtés. Frida se mit à gravir les escaliers, courant rapidement pour monter. Un étage, deux.. Trois. Elle défonça la porte dans un craquement et donna un coup de pied à un zombi qui s'approchait pour le faire tomber. L groupe de survivants au rez de chaussé leva les yeux alors que Frida apparaissait rapidement devant eux, ordonnant à George de rester hors de leur portée. " - Elle est en haut ! MONTEZ MONTEZ !" Elle revint vers George et lui fit signe de descendre. Ils chercheraient déjà un étage trop haut. Glissant à quatre pattes une fois arrivé à l'entre-étage, elle souffla doucement. Maintenant, il allait falloir trouver un lieu pour 'survivre' et où se cacher. Elle regarda autour d'elle. Toute sortes de magasins... " - George ? On va où ?"

Solace Belletyn

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    Solace et n'a pris connaissance de sa nature que bien plus tard, continuant à se considérer comme une humaine malgré son mode de vie (et un culte naissant autour de sa personne).
Il leva la tête lorsqu'il entendit la voix de la dompteuse, délaissant les deux femmes qui ne s'affichaient pas vraiment comme la meilleure compagnie du monde. Était-t-il vraiment devenu asocial au point de préférer l'étrangeté d'une meuf qui se trimbalait avec un cadavre de fauve animé ? Eh beh merde. Peut-être que l'Apocalypse ressortait le vrai chez les gens après tout... est-ce qu'il se doutait qu'il aurait été dans une situation pareille un jour ? Qu'il se serait cassé d'un laboratoire après avoir été cobaye, aux côtés d'un charmant petit pug ? Non.

Après tout la vie c'était comme une boîte de chocolat et de temps en temps on tombait sur un insecte qu'était tombé dans l'une des machines de l'usine (surprise croustillante c'était le mieux). George surveillait du coin du regard la bonne femme louche, manquant de lever son fusil lorsqu'elle porta la lame du poignard au cou de la jeune avant de lui donner. D'accord. Fallait s'en méfier de celle-là. Il en avait croisé des pelletés de types, de meufs qui n'avaient pas eut besoin de l'Apocalypse pour péter une durite.

Il sursauta lorsqu'elle agrippa son casque pour lui oter, plantant son regard dans le sien. « C'est pas mon cul que je devras surveiller, c'est plutôt celui de ton matou. » répondit-t-il en regardant d'un air soupçonneux la blonde. Il respira alors que quelques zombies étalés sur le sol grognait dans sa direction. Ah oui.... son petit problème. Mais il n'avait pas le temps de s'en soucier. Un énorme vacarme retentit, apparemment certains s'étaient incrustés dans le coin... génial. « Putain... » grinça-t-il entre ses dents, le pug aboyait, se voulait sans doute menaçant, à l'adresse des voix.  

« On arrête de jouer... si vous voulez rester ici... libres à vous sinon.... suivez-nous. » dit-t-il à l'adresse des deux femmes, cela lui coûtait énormément mais bon. George manqua de sursauter lorsqu'elle plaqua ses lèvres sur les siennes. Ben merde. Il devrait être habitué depuis le temps... mince, pas le moment de penser à d'autres trucs, pensa-t-il avant de se ressaisir. Les quelques silhouettes qui les aperçu ne tardèrent pas à faire feu. Sympathique.

Il entendit les balles fuser à ses oreilles et manqua de jeter. L'homme ressentit un choc à la poitrine alors qu'il glissait sur le côté, essoufflé par la surprise. « Par là.... » dit-t-il. L'homme désignait un grand magasin dont l'entrée était bloqué par un rideau métallique, lui même bouché par des distributeurs, des boîtes, un paquet de trucs divers et variés qui bloquaient tout passage : en somme une sorte de barricade qui avait dû être monté dans les premiers jours de l'apocalypse, peut être même pour présenter le magasin du pillage.

Bien, heureusement, George connaissait l'enseigne, et ce type de mall, il était sans doute possible d'y accéder via le magasin d'à côté. Sans attendre, les autres suivraient (ou pas, mais tant pis tant que Frida lui collait au train, ce qui était certain).

Il tira sur quelques zombies solitaires qui voyaient chez les nouveaux arrivants quelques repas potentiels et se glissa en arrière boutique. Une porte métallique, restait inutilisée depuis un bout, bloquait le passage. Il ne lui fallut à peine cinq minutes pour exploser la chaîne qui bloquait le passage, laissant aux éventuelles retardataires la possibilité de le suivre. Il s'engouffra dans le passage, attendit que tout le monde soit entrer avant de refermer la porte avec un grand claquement. L'intérieur du magasin était immense, mais fort peu éclairé, on pouvait distinguer les silhouettes de rangées de vêtements et autres.
« Modifié: mercredi 20 avril 2016, 19:57:39 par Solace Belletyn »
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