Welcome to the ARK - [Ariman]

Ariman continua sa route le sang de ses victimes goutant encore de ses mains jusqu'à ce qu'il arrive vers une seconde porte blindé mais cette fois comme gardiens il avait affaire cette fois à du lourd. Ils étaient au moins trois si l'un d'entre eux était un humains bien bâtis vêtus comme les gardes qu'il avait tuer il y as deux minutes les deux autres étaient différents. Sans être aussi grand que l'Oblitérator ses deux gardes étaient de vrais colosses. Ils dépassaient d'une tête les commandos mutants que Ariman avaient laisser en haut garder le bâtiment. L'Oblitérator nota qu'ils n'étaient pas humain totalement. Ce sont visiblement des humains clonés, mutés artificiellement, fabriqués à partir d'un mélange de matières organiques et mécanisées. Vu leur manque d'emotions dans leur regard mais une certaine intelligence, leurs esprits, d'autre part, n'a certainement pas eu le temps de se développer. S'il n'y avait pas d'implantation des instructions strictes ou la suppression des émotions, ils seraient pas si différents à un enfant. Finalement ses créatures sont plus des variantes de serviteurs de combat en plus élaboré toutefois avec une grosse armure et un arsenal qui semblait être une mitrailleuse jumelée à un lance grenade et un lance flamme ainsi qu'un glaive à large lame fixé à leur dos.



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- Intéressant ! Je suis assez surpris de trouver ce genre de créatures ici. Comme quoi les désolations ne sont pas les seuls à produire des monstres. Dit Ariman sur un ton de conversation qui eu en retours du plombs des deux gardes améliorer et de l'humain.

Ariman se pris une véritable grêle qui frappa durement son armure et le fit vaciller. Par instinct il leva le bras pour se protéger la tête alors qu'un casque que lui couvris le visage. Ce fut à ce moment là ou il était momentanément aveuglé que un des améliorer tira au lance-grenades et son projectile explosa à côté de l'Oblitérator qui fut violemment projeté contre le mur du corridor et manqua de l'assommer. Un nuage de poussière cachât Ariman et lui donna un répit avant qu'une nouvelle vague de tir fut envoyé contre lui. Cette fois Ariman pris ses adversaires au sérieux et répliqua aux tir à coups de fulgurant jumelée qui fracassa l'arme d'un des amélioré qui poussa un grognements dans son respirateur et chargea Ariman en dégainant son glaive forçant son comparse et l'humain à cesser le feu. L'Oblitérator répondit au défis de son adversaire en poussant un hurlement de guerre et chargea lui aussi un éviscérator bourdonnant jaillis de son avant bras. Le bruit que fit les deux adversaire en se rencontrant faisait penser à deux poids lourds se percutant. Le bruit fut si terrible qu'il s'entendit de l'intérieur du sanctuaire.

Le Garde qui s'était jeté sur le monstre avait forcé ses deux camarades à stopper les tirs mais ceux-ci se préparèrent à continuer l’assaut en cas de défaite de ce dernier. Il porta un nouveau coup à son opposant. Le soldat glissa à terre, une main portée à son abdomen. Il cracha un peu de sang, tentant de se relever. Il fallait continuer. Avec le second Garde, il tira, manquant de peu, puis touchant l'autre Garde. Peu d'importance, les munitions réglementaires du soldat ne faisait que peu d'effet aux colosses chargés de la protection du sanctuaire. Désormais, l'espoir reposait sur les deux géants mutants. 

Les murs tremblèrent. Malgré l'épaisseur de la porte qui la protégeait du combat infernal qui régnait à l'extérieur, elle pouvait percevoir le raffut étouffé du combat des deux colosses avec les ennemis qui les assaillaient. Mais le bruit ne la dérangeait pas plus que ça. La passation qui était en cours faisait taire toutes les intrusions extérieurs laissant son esprit reposé et calme. Le doux clapotement de l'eau était la seule chose qui lui parvint. Dans sa main, le globe continuait à luire de plus en plus faiblement. Mais soudainement quelque chose d'inattendu survint. Son esprit fut pris dans un étau et un flot de pensées étrangères vint l'envahir. Elle laissa échapper un cri de surprise, manquant de lâcher le Cœur. Mais c'était impossible. Impossible. Celui-ci restait soudé dans sa main, à tel point que quelques gouttes de sang vinrent couler depuis une petite blessure qui se formait au contact de l'objet. Ses doigts se resserrèrent alors qu'une douleur intense la traversait.... puis plus rien. Ses doigts s'agitaient dans le vide. Les cerceaux d'or chutèrent sur le sol avec un léger tintement.

Sa peau luisait faiblement, elle défit le brassard qui maintenait son avant bras gauche pour observer les glyphes dessinés sur sa peau, qui pulsaient faiblement. C'était fini. Elle ne ressentait plus aucune douleur. Elle ne faisait plus qu'un avec le Cœur jusqu'à ce qu'elle en soit de nouveau séparé. Mais Mirna se sentait normale, pas plus forte ni plus faible. Aucun pouvoir spectaculaire lui permettant de sauver l'Arche ne paraissait avoir été accordé... excepté... la blessure sur sa paume se referma lentement. Le Coeur protégerait sa porteuse, alors qu'elle même le protégerait. Elle glissa ses doigts sur sa poitrine. Le Coeur ne portait pas son nom pour rien, il s'ancrait ici, et glissait son énergie dans le bras du Gardien.

Précipitamment elle se rendit vers la seconde issue dissimulée par une plaque. Ses doigts glissèrent sur le métal froid. Elle tapa dessus. Rien n'y faisait. Elle était bloquée. Ses yeux scrutèrent chaque partie de celle-ci afin de trouver un quelconque moyen de l'ouvrir. Après quelques essais infructueux, Mirna retourna au milieu de la pièce alors qu'une explosion fit rage de l'autre côté de la porte. Elle se saisit de son arc, tendit la corde après y avoir mis une flèche et fit face à tout éventuel arrivant. L'attente était insurmontable.    

Ariman avait fort affaire avec les deux gardes monstrueux quand il heurta le garde celui ci enfonça son glaive dans un defaut de l'armure de l'Oblitérator mais parallèlement l'éviscérator au dents d'adamantium mordus l'armure et ensuite la chair du garde monstrueux dans un jaillissement d'étincelles, de sang artificiel d'un blanc crème et d'intestin jaunâtre. Ariman porta un coup au garde du revers de son poing terrible qui arracha le respirateur à l'améliorer et l'envoya s'écraser contre un mur. Son camarade et l'humain ouvrirent immédiatement le feu sur Ariman qui leva son bras valide l'autre étant bloqué par le glaive  encore fiché dans son épaule et ce jeta sur le côté contre le mur opposé près d'une série de gros tuyaux afin de se mettre à couvert pour avoir un peu de répit pour extraire le glaive de son bras. Ce sera plus rapide que de l'absorber.

Le garde blessé malgré sa blessure et ses organes en train de tomber se remis sur ses pieds et se rua sur Ariman alors que adossé au mur près des tuyaux il arracha le glaive et eu juste le temps de le planter dans le crâne de l'améliorer qui le saisit pourtant au cou.

Au même moment plusieurs balles transpercèrent les gros tuyaux. Une énorme vapeur sous pression s'échappa et une odeur de gaz se fit sentir. Ariman et le garde humain s'en rendit compte tout de suite tandis que second garde braqua son lance flamme sur Ariman.

- Nooon ne fait pas ça ! Cria l'humain paniqué.

- Et merde ! Glapis Ariman qui se servis du garde qui essayait de l'étrangler comme d'un bouclier.

L'explosion fut terrible la boule de feu qui en résultats engloutis les quatre combattant. Le garde et l'humain furent projeter contre la porte. Si le premier survécu grâce à sa constitution hors norme et son armure le second se transforma en viande haché et grillé qui fusionna sur le métal de la porte blindé. La fumée et l'incendie occultait tout mais le système de sécurité de la station se mis en marche arrosant le couloir en feu tandis que le garde survivant bien qu'endommager se remis debout en se saisissant de son glaive. Ce fut à ce moment là qu'il perçut un grondement et vis la silhouette enflammé de l'Oblitérator lui foncer dessus. Lui aussi avait survécu à l'explosion et heurta l'améliorer avec une tel force que la porte blindés déjà malmené par l'explosion ne résista pas à l'impact de ses deux poids lourd. Les deux adversaire furent projeter dans le coeur dans une étreinte mortelle.

Mirna recula. Le carnage qui régnait à l'extérieur était terrifiant. Pour la première fois depuis des lustres, elle avait peur. Un effroi terrifiant qui lui serrait les entrailles, rapidement tût par l'énergie nouvelle qui courait dans ses veines. Déterminée, elle tenu quand même position, toujours armée de son arc alors que ses cœurs - le sien et celui qu'elle venait d’absorber - tambourinaient dans sa poitrine. Puis... la porte blindée fut soudainement enfoncée. La force du choc et l'entrée des deux créatures l'envoya quelques mètres en arrière. L'ennemi se tenait là alors que le Garde survivant vacillait sous les blessures avant de chuter.

Le Garde laissa échapper une longue plainte déchirante, semblable à celle d'un animal blessé. Il agonisait. Son corps était dans un sale état. Un sang inhumain coulait de ses blessures. Elle combattu l'envie d'aller s'agenouiller et de poser une main sur l'épaule du colosse. Le lien qui unissait le Cœur et les Gardes était fort. Ils ne vivaient que pour sa défense, et le Gardien les côtoyait. Son acuité nouvelle la faisait avoir de la peine pour ces monstres qui n'avaient eut en tête que leur devoir, depuis leur création jusqu'à leur mort. La rage et la fureur s'empara d'elle. Menaçante, elle regarda la masse de chair et de métal qui était à l'origine de tout leurs maux.

«  Qui êtes-vous ?  » tonna-t-elle. Son attente était son erreur, elle aurait dû tirer mais savait pertinemment que, si les Gardes et les soldats n'avaient pu contenir la bête, ses flèches ne feraient que l'effet de piqûres légères. Mirna était dévastée, elle reculait peu à peu du massacre. Peut-être que... oui. Vivement, elle se redressa, évita les deux masses qui reposaient à terre avant de courir dans le couloir et s'apprêta à piquer un sprint en direction de la sortie.

Ariman se redressa en titubant quelques peu après avoir donner un coup de poing à son adversaire qui le mis out pour le compte. La bataille avait été chaude et c'était le cas de le dire. Des parties de l'Oblitérator brûlait encore ou dégageait de la fumée. L'intégralité du corps d'Ariman avait noircit et une puanteur rance de métal chauffé et de viande grier envahis le coeur de l'Arche. Encore un peu sonné Ariman repris ses esprits en se rendant compte qu'il avait atteint le saint du saint. Le hic c'est ce qu'il convoitait avait disparu. Ariman rétracta ce qui restait de son masque montrant un visage à moitié ravagé par les flammes. La bagarre et ensuite l'explosion avait fait  pas mal de dégât. Encore heureux que ce garde lui ai servis de bouclier humain sans quoi cela aurait pus être plus grave vu que l'explosion avait été très proche de lui.

«  Qui êtes-vous ?  » Tonna quelqu'un. Ariman tourna la tête pour voir un autre individus. Une humaine près du gardien géant agonisant de ses blessures mais ce qui rétins plus l'attention d'Ariman ce fut que ses capteurs s'affola. Elle avait visiblement ce qu'il recherche. Elle portait le même genre d'uniforme et d'armure que les humain en beaucoup plus noble. Certainement une gradée.

Soudainement et ayant certainement compris qu'elle était en danger la jeune femme pris la fuite en repassant par l'entrée défoncé. Ariman était sur le point de l'intercepter quand le garde malgré ses blessure grave eu un second souffle et sauta sur l'Oblitérator pour tenter de le retenir. Amoché comme il est il ne tins pas dix secondes contre Ariman qui lui arracha la tête mais cela as suffis pour permettre à sa cible de sortir. Après s'être dégagé du corps du gardien Ariman se lança à la poursuite de la fille en poussant un horrible hurlement à glacer le sang.

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L'odeur qui se dégageait du monstre était ignoble. Mirna avait beau de pas faire partie des délicates de la Cité mais le fumet acre la prenait à la gorge. C'était tout simplement infect, mais bien heureusement Mirna serait bientôt loin et ne la sentirait plus. Sans demander son reste, elle sauta au dessus des débris, jetant un coup d’œil désolée à la chair fondue de son ancien coéquipier et ami qui avait fusionné avec la porte. La jeune femme ressentit de la gratitude pour le Garde qui avait sacrifier ses derniers instants pour lui offrir la possibilité de s'enfuir.

Elle entendit un énorme craquement, et le bruit d'une pluie de sang artificiel qui tombait sur le sol. Elle courait, distançant bientôt celui qui se mit à la poursuivre. Le long hurlement que Mirna entendit derrière elle lui tordit les entrailles d'un coup. Il tenait plus de la bête qu'autre chose et elle n'osait penser au destin qui l'attendrait si elle se ferait rattraper. Ses bottes claquaient sur le sol alors qu'elle passait soigneusement toutes les issues envisageables. Son bras qui luisait encore avec force la tiraillait, signe que la symbiose achevait de prendre.

Alors que la soldate longeait le couloir, elle se dit soudainement qu'il serait imprudent de rejoindre la surface où les mutants l'attendraient avant d'atteindre la fin du premier corridor. Elle stoppa soudainement alors que tonnaient les pas du géant derrière elle. D'un coup de pied, elle enfonça un des panneaux, l'arrachant avec une force presque surhumaine pour révéler un large passage. Celui-ci menait vers les entrailles de la Cité. L'Arche contenait un petit réseau de sous-terrain qui permettait d'aller d'un endroit jusqu'à un autre mais qui restait totalement inutilisé depuis de nombreuses années. Elle s'introduisit dans le passage et se remit à courir. Rien d'autres ne lui importait désormais plus que sa mission... et de sauver sa peau si cela était possible.

Ariman poursuivis la fille mais cette dernière connaissait bien les sous sols de l'Arche et Ariman la perdis de vue. Par contre le signal énergétique du cœur était toujours visible dans ses capteurs et Ariman avait toujours en mémoire les cartes. Il pouvait encore la traquer.

- TU PEU COURRIR MAIS PAS TE CACHER ! TÔT OU TARD JE T'AURAIS PETITE SOURIE ET QUAND CE SERA FAIT JE TE FERAIS REGRETTER DE M'AVOIR FAIT COURIR ! JE TIEN TOUJOURS MES PROMESSES ! Hurla l'Oblitérator dont la voie puissante se répercutant dans les coursives atteignis son destinataire en train de fuir.

Ariman se remis en chasse bien déterminer à retrouver le cœur et finis par se retrouver dans le secteur le plus dangereux de la station. Même si en surface l'arche était idyllique il existait des zones isolées et dont personne n'osaient descendre et qui n'étaient pas dénuer de danger. Déjà il y avait les zones irradiés datant de l'ère post apocalyptique ou l'arche fonctionnait encore au nucléaire avant que le cœur soit créer. Privé du cœur les antique machines se remirent en route afin d'empêcher la station de tomber. Ensuite il y avait les Ghiliams et les Hullghast.

Les Ghiliams étaient les ancêtre des premiers colons de l'arche c'était des humains émacier irradié et dément qui proliféraient dans les ténèbres des coursives métallique sous la surface de l'arche. Les Hullghast étaient un cran au dessus une peau épaisse à l'extrême, des mains griffues en forme de serres, une bouche démesurée remplis de crocs et un corps musclé bien que déformés à cause des radiations. Ses deux vermines des coursives fut la raison pour laquelle la milice et les gardes de l'arche furent créer afin de protéger sa population. Si Mirna était au courant de leur présence ce n'était pas le cas d'Ariman qui était à sa recherche en faisant du bruit. Tôt ou tard ses prédateurs nocturnes allaient être attiré par le bruit et l'odeur de chair fraiche.

Ghiliams


Hullgast

Les bruits des pas de son poursuivant continuaient à résonner sur le plancher en métal des sous-sols de l'Arche. Le hurlement qui lui avait adresser l'avait fait frémir. Bien sur qu'elle ne doutait pas qu'il lui ferait passer un mauvais quart d'heure, mais elle ne contait pas en arriver là. Mirna avait passé des heures pencher sur les plans : les Gardes se devaient de tout connaître de la Cité, de n'avoir aucune surprise lors des rondes et des interventions. Mais bien avant, lors de son enfance, elle avait passé des heures accompagnées de son père à visiter les immeubles et l'étage inférieur accessible aux habitants. Car il y avait de ces endroits que l'on évitaient comme la peste. Seuls les Gardes étaient habilités à s'y rendre.... et même dès lors l'interdiction en elle-même n'était pas si nécéssaire lorsque l'on considérait les risques qu'il y avait à fureter dans de pareils lieux.

Car, la population de l'Arche comptait une part d'ombre, un chiffre qui n'était pas intégré lors du recensement : les monstres qui rodaient dans les sous-sols. On avait "toléré" leur présence, peut-être parce qu'ils avaient été autrefois humains, ou bien qu'ils étaient apparentés aux gens de l'Arche. C'était aussi parce qu'une intervention visant à rayer tout ces individus de la carte était impensable. Ils grouillaient comme des parasites, et lorsque l'on détruisait un nid on en retrouvait un autre plus loin. Les Ghiliams et les Hullghast. Chaque soldat connaissait ces créatures par cœur, après tout c'était pour cette raison que la garde avait été constituée, afin de protéger les innocents de ces bêtes. Elle avait ralentie, marchant désormais avec lenteur. Quelques silhouettes curieuse sortaient des creux. Elle inspira avant de presser l'allure. Aucun bruit ne se dégageait de sa course, plûtot lente pour le moment.

L'obscurité qui régnait avait forcé ces êtres à s'adapter. Ils ne voyaient presque rien dans le noir et se reposait sur leur ouïe et leur odorat qui s'étaient développés avec le temps et étaient largement supérieurs à ceux d'un être humain normal. On pouvait les leurrer assez longtemps en restant immobile et mieux encore la Garde avait prévu le coup. Avec une simple pression sur son armure, le tissu s'adaptait, s'obscurcissant afin d'achever de la rendre invisible aux yeux de ces monstres (bien que les humains pouvaient la voir). Mirna avait appris à étouffer les sons et à se faire discrète. Lancer une confrontation avec ces créatures serait absurde. Sa main se referma sur une petite capsule accrochée à sa ceinture qu'elle activa avant de lancer derrière elle. Celle-ci tomba avec un petit tintement sur le sol et les bestioles relevèrent la tête. Puis un sifflement semblable à un cri irrégulier s'en échappèrent et ils ne tardèrent pas à cavaler dans la direction du leurre. Parfait.

Ariman était en train de suivre la piste énergétique du cœur quand il fit sa première encontre avec un groupe de ses parasite. Un Hullgast accompagné de plusieurs Ghiliams. Au début l'Oblitérator pensaient qu'il avait affaire à des mutants sauf qu'ils remarqua que leur tennue ne correspondaient pas à son armée. Ils étaient revêtus de haillons colorés mélangeant le costumes, tuniques, bleu de travail. Certains portaient des bijoux où des masques de carnaval en porcelaine fendillé ou en métal ternis. Le Hullgast portait une hache d'incendie alors que les autres étaient armés de crochet à viande et de barre de fer.

Avant même que Ariman ai compris les créatures dans un bel ensemble lui sautèrent dessus par surprise. Ariman frappa par réflexe un Ghiliam lui sautant dessus. Le poing de l'Oblitérator brisa le masque de la créature et un craquement se fit entendre quand le visage du Ghiliam fut réduit en bouillis ainsi que les os de sa tête. Malheureusement pour l'Oblitérator le reste de la meute ne semblait avoir peur de rien et commencèrent à le rouer le coup avec leur armes improvisé et Ariman manqua d'être décapité par un coup vicieux de la hache du Hullgast ce qui mis Ariman plus en rogne. Rien que avec ses dents Ariman attrapa un Ghiliam par le cou et lui brisa la nuque avant de le projeter sur un de ses comparse. Le Hullgast essaya de lui fendre le crane comme un buche mais l'Obliterator se saisit d'un Ghiliam par la tête et s'en servis comme bouclier. Se dernier couina comme un porc quand la hache se planta dans son dos. Le Hullgast enragé lâcha son arme et se jeta sur l'Oblitérator mais ce dernier le saisit par la tête de ses énormes mains et la broya comme un citron faisant jaillir du sang et de la purée de cervelle avant d'écrabouiller le Ghiliam à terre encore empêtré sur le cadavre de son camarade à demi décapité par la mâchoire de l'Oblitérator.

Le dernier Ghiliam se rendant compte qu'il n'avait pas l'avantage essaya de fuir mais il fut littéralement calciné dans le dos par un tir de lance flamme que Ariman avait généré dans son bras droit. Poussant un grognement il repris la chasse en s'essuyant la figure barbouillé de sang d'un revers de son bras. Si il y avait de la vermine rodant dans le coin mieux valait employer la terreur. L'Oblitérator employa alors son lance flamme pour pouvoir avancer sans crainte dans les coursive. Il arrosa un coup avant de s'engager. Si ses mutants cause les mêmes problèmes à sa cible elle est obligé de ralentir pour pouvoir se cacher afin de les éviter. Ariman la trouvera à ce moment là.

Sa course fut rapidement stoppée par les créatures qui glissaient hors de leur perchoir pour venir retrouver la proche fraîche qui se présentait à eux. Ils étaient cinq devant elle, lui barrant le passage alors que deux se glissèrent derrière elle, claquant leur mâchoire dans leur impatience de mordre dans la chair tendre. Grossière erreur. Le premier reçu une flèche entre les deux yeux, et le second un poignard en plein cœur. Mirna était rapidement, et ses sens étaient affûtées par l'afflux d'adrénaline causée par la présence du Cœur. Elle effectua une légère pirouette, évitant la charge d'un Ghiliam qui succomba bien vite sous la flèche empoisonné qu'elle tira dans son bras. C'était du gâteau. Elle en avait combattu des tas dans son existence de soldate. Malheureusement on est jamais à l'abri d'une surprise et l'un des Hullgast la frappa de plein fouet. Il reçut la balle du pistolet qu'elle s'était empressé de sortir mais le choc l'avait cloué au sol laissant au seul survivant du groupe le soin de s'occuper d'elle.

Les mains tremblantes agrippèrent sa cheville. Elle donna un vive coup de pied sur la gueule ouverte qui se présentait à elle, sentant les os de la mâchoire se briser sous sa semelle. Elle haletait peinant à se remettre sur pied. La perte de temps que cette mauvaise rencontre avait occasionnée la forcerait à trouver une cachette. L'une des grilles d'aération lui offrait une bonne opportunité. Elle enleva celle-ci avant de glisser dans le large passage et de le refermer derrière elle. Il était assez grand pour lui permettre d'entrer en pliant légèrement les jambes. Elle continua et se glissa dans un enfoncement. Les ombres lui offrait une couverture supplémentaire. La jeune femme se laissa tomber au sol se blottissant dans sa cachette. La cache était parfaite, impossible de la trouver ici. On pourrait facilement croire avec les tournants au loin qu'elle avait pu continuer. Que nenni.  

Les glyphes sur son bras brillait faiblement. Le Cœur était à l'abri... même si ils l'attrapaient, ils n'auraient d'autres choix que de la laisser vivre. La symbiose était trop délicate pour l'arracher d'elle car l'artefact n'était pas constitué d'un bloc. Il courait dans ses veines, sur sa peau à travers ces dessins. Une opération trop brutale la tuerait sur le coup et détruirait l'objet. Mais... était-ce vraiment un atout ? Si ils la capturaient, elle vivrait des tourments tel qu'elle aurait sans doute préférer mourir avec ses hommes. Elle chassa ces pensées. Son poursuivant n'aller pas la dénicher ici. La cachette était parfaite et il n'avait aucun moyen de savoir où elle se trouvait.

Un long moment passa jusqu'à ce que des pas lourd arriva ainsi que le rugissement d'un lance flamme. Selon les calculs et ses détecteurs le cœur était ici Ariman en conclu que soit ce qu'il poursuivait avait mis le cœur à l'abri dans une cachette soit elle c'était planquée dans un trou.

- Petit ! Petit ! Petit ! Ou es que tu te cache ? Grogna Ariman qui fis le tour de la zone et envoya valdinguer un tas de débris ou arracha la porte d'une armoire métallique pensant y trouver le cœur.

- Je sait que tu est là ! Je le sait petite sourie. Je vais t'avoir. Je t'aurais ! grogna t'il en tournant la tête dans toutes les directions jusqu'à ce que son regard se porta sur le plafond.

Mirna se pensait à l'abris dans la conduite et entendait l'Oblitérator grogner quand soudainement une lame de tronçonneuse creva le sol de la conduite si prés de la femme qu'elle poussa un cri. Ariman entendit qu'il y avait quelqu'un et la lame de la scie avança droit vers la gardienne du cœur tel un aileron de requin sur un mètre avant de se retirer. Ariman leva ses deux poings et le abatis sur la conduite avec tellement de force que le métal fut non seulement déformé par l'impact mais aussi  que les vis et boulons sautèrent si bien que sous le poids de l'humaine la conduite céda et tomba au pieds de l'Oblitérator qui déchira le métal avec ses griffes avant d'essayer d'attraper ce qu'il y avait à l'intérieur.

Le mince espoir qui s'était enracinée dans sa poitrine ne tarda pas à s'affaiblir lorsqu'elle entendit les pas de son poursuivant. Les battements de son cœur s’accentuèrent alors que sa vue devenait trouble. Le Cœur ne la laisserait pas flancher. Malheureusement, l'artefact était impuissant face au monstre de chair et de métal. Elle inspirait doucement avant de bloquer sa respiration quand l'homme grogna à son adresse. Elle l'entendit balancer une large masse qui s'écrasa un peu plus loin, puis l'inspection minutieuse en quête de... Son sang ne fit qu'un tour. Avait-il les moyens de détecter l'artefact ? Elle retint un juron, alors qu'elle rampa un peu plus profondément dans sa cachette. Mais elle n'eut pas le temps de rester sur cette pensée qu'une lame de métal vint entamer le sol du conduit. 

Mirna lâcha un petit cri, avant de s'écarter afin de ne pas se blesser. Malheureusement, un peu trop tard, la lame entailla légèrement la chair de sa cuisse lui arrachant un hurlement de surprise plus que de douleur. Elle bondit sur ses pieds, s'accrocha à une barre qui pendait au plafond pour se lancer un peu plus loin dans le conduit. Rien n'y fit. La lame la suivait toujours. La soldat n'eut quelques secondes de répit avant que le colosse ne frappa la conduite d'aération pour la faire chuter. Bien heureusement, la distance n'était pas assez importante pour la blesser gravement mais les plaques entaillèrent méchamment sa peau.  Son arc gisait à terre, à plusieurs mètres et tout son corps la tiraillait. Sa main se porta à sa cuisse, tirant de son fourreau une dague fait dans un alliage ultrarésistant dont seul les techniciens de l'Arche avait le secret. Elle s’extirpa de sa prison d'acier et se jeta sur le monstre. Tout était perdue. Au moins s'il la tuait, l'artefact ne tomberait pas entre ses mains. Elle ferait une bien piètre Gardienne... mais cela valait peut être mieux. 

Ariman n'eu pas à chercher bien loin pour dénicher sa cible ou plutôt c'était elle qui le trouva. Courageusement ou plutôt stupidement elle se rua sur Ariman une dague à la main et lui flanqua un coup de sa lame en plein visage qui venait à peine de se régénérer. La lame entailla le visage de l'Oblitérator qui poussa un grondement de douleur, mais il en fallait plus pour l'abattre en outre même si son comportement était violent et que l'envie de manquait pas de faire un massacre Ariman avait suffisamment de sang froid pour ne pas tuer quand cela était nécessaire.

- Rrrg ! Sale chienne tu va souffrir !

Le revers du poings d'Ariman heurta la femme à l'estomac en fendillant son armure. Elle heurta durement le mur métallique et laissa échapper sa dague qui tomba plus loin. Le coup était rude mais Ariman c'était retenu. Avançant vers la femme en train de se tordre au sol l'Obliterator la retourna et la fouilla. Il arracha son armure et une partie de ses vêtements pour retrouver l'artefact mais fronça les sourcils ne le trouvant pas ce qui l'énerva un peu plus. Pourtant ses capteurs affirmait l'inverse et Ariman n'était pas du genre à ce tromper. Saisissant la femme par les cheveux Ariman la redressa afin de la questionner.

- Où est l'artefact ! Ou est le cœur ? Cria l'Oblitérator qui eu une pensée.

" Elle l'as quand même pas avalé ? Non c'est trop gros et un truc aussi dangereux pourrait tuer ? " Pensa t'il avant de se rendre compte de quelque chose. L'énergie semblait être concentré en elle Ariman arracha le reste des vêtement et vis la marque lumineuse et semblait correspondre au marque décrite sur l'artefact. En fait le cœur n'était pas un objet mais une personne.

- Bien ! Bien ! Tu cachait bien ton jeux petite garce ! Dit il en sa saisissant par le cou.

L'attaque n'était pas une stratégie finement ciselée ou une frappe bien pensée. C'était le fruit de la rage et de la fureur accumulée, de la pensée des pertes, du sang coulée, de son foyer détruit. Mirna mit toute sa force dans le coup qu'elle porta à son visage, jubilant en voyant la lame déchirer la chair du visage. C'était une pécadille, une blessure qui n'allait pas stopper le monstre mais au moins ça lui permit de laisser échapper un peu de l'énergie qui la faisait bouillir. Souffrir ? Il la ferait souffrir ?! Mais elle souffrait déjà. La Garde avait éduqué chacun de ses membres dans la douleur physique mais désormais ses blessures n'étaient plus que mentales. La jeune femme eut un léger rictus lorsqu'elle perçut l'insulte, qu'elle perdit vite fait lorsqu'il la frappa à l'estomac, l'envoyant contre le mur derrière elle. L'armure, pourtant résistante, ne résista pas au choc et commença à se fissurer.

Ses mains serraient ses côtes alors qu'elle tentait en vain d'happer un peu d'air. Le choc lui avait coupé le souffle et désormais elle se tordait par terre, tentant de se relever, chutant de nouveau à chaque tentative. Les énormes battoirs qui servaient de main à l'homme vinrent agripper son armure, l'arrachant pour la jeter un peu plus loin. Ce fut à la moitié de ses frusques de subir le même sol, découvrant une partie de sa poitrine et ses cuisses. Le type ne retrouvait pas l'objet convoité. C'était une petite victoire qui perçait dans la douleur lancinante. Mais le Cœur vint remplir son office, réparant la chair abîmé lui rendant son aspect lisse et doux. Plus les minutes passaient et plus elle sentait l'artefact s'enraciner en elle.

Mirna resta muette lorsqu'il lui brailla sa question. Bien sur qu'il allait s'en rendre compte. Elle ne comptait absolument pas lui rendre la tâche facile. La jeune femme laissa échapper un cri de douleur lorsqu'il tira un peu plus ses cheveux afin de la redresser. 

« Va... te... faire... foutre, ordure. », siffla-t-elle en se tortillant avant de lui cracher au visage. « Tu l'auras pas. Tu peut me tuer, tout ça aura été pour rien.  » Il avait bien vu les fins dessins qui couraient sur sa peau. Peut-être connaissait-t-il l'existence des Gardiens... peut-être pas du tout. Mirna s'en moquait. Elle ria, un brin de folie perçant dans sa voix.

- «  Il... il est... en moi désormais, tu peut rien y faire. Je suis le Cœur maintenant.  » cria-t-elle alors qu'il resserrait son emprise sur son cou. Les chairs meurtries la faisaient souffrir, mais au fond d'elle, la chaleur de l'artefact qui se mêlait à son être lui fournissait un peu d'énergie, la faisant tenir. Bien sur la souffrance était là, il ne pouvait pas tout lui donner... bientôt il serait sans doute plus malédiction que bénédiction, la faisait survivre à travers les pires tortures, effaçant ses blessures, comme un supplice sans fin.

La fille cracha la figure d'Ariman par défis mais l'Oblitérator n'eu pas une réaction de colère. Il esquissa au contraire un sourire cruel. Mirna vis de très prés la balafre fait au monstre en train de guérir d'elle même. Il était couvert de noir de fumée et de sang mais ses dommages semblait se réparer d'eux même. Pire elle pensait que le mutant portait une armure mais maintenant qu'elle le voyait de très prêt elle vis l'horreur des Oblitérators une démence de chair et de métal. Le monstre et son matériel étaient fusionné et il était impossible de savoir ou commençait la chair et où se terminait le métal.

- Le fait que tu sois le cœur te fait gagner qu'un sursit mais tu n'aurait pas du faire cela et maintenant tu va payer ta bêtise par moi pour commencer et par d'autres ensuite.

Ariman attrapa la fille par les cheveux et plaqua sa main à l'arrière de son crâne écrasant son nez sur la crasse du sol métallique des coursive ténébreuse. A quatre patttes il lui arracha ce qui restait de son pantalon et sa culotte en dévoilant ses fesses avant d'effacer un doigt en elle un peu de sang s'écoula entre ses cuisse et Ariman suça son index d'un air songeur.

- Une vierge, intéressant...

La fille aura beau ce débattre Ariman la tenait bien d'une seule de ses énorme mains. Elle sentis quelque chose descendre jusqu'à son intimité quelque chose de dur et ensuite une douleur énorme quand Ariman enfonça son membre en elle et la saillait. Le sexe du monstre était énorme et semblait lui déchirer l'utérus.