Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le Petit Chaperon Rouge [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Le Petit Chaperon Rouge [PV]

dimanche 20 mars 2016, 15:53:05

Les provinces intérieures du royaume d’Ëlnwood avaient toujours été particulièrement paisibles. Une chose qui n’avait rien de surprenant, car les frontières du royaume étaient lourdement défendues par d’épais bastions et forts, ainsi que par des séries de vallées et de gorges s’enfonçant dans des massifs montagneux. Ëlnwood était ainsi un royaume très paisible, une sorte d’oasis fait de verdure, de fermes agricoles, et de vastes bois magiques où il faisait bon vivre. Jadis territoire elfique, Ëlnwood était maintenant peuplé majoritairement par des humains, qui faisaient commerce des produits issus de la terre : le bois, la viande, mais encore les gisements miniers situés le long des montagnes, et qui garantissaient au royaume une richesse considérable. Autrement dit, les récentes manœuvres militaires ashnardiennes n’impressionnaient guère Ëlnwood. Ashnard était encore assez éloigné de ce royaume, qui était par ailleurs très proche de Nexus, entretenant avec la cité-État des relations économiques privilégiées. Ce faisant, nul ne s’inquiétait, car, pour les habitants, les frontières extérieures d’Ëlnwood étaient sûres.

La réalité, cependant, était un peu plus nuancée, et cela, les locaux allaient en prendre conscience quand Steppenwolf viendrait les attaquer. Le puissant Lycan avait jadis été un être humain, un simple fermier, qui avait été capturé par sa suzeraine, la belle et terrible Rayla. Rayla avait mené sur lui des expériences, et avait transformé l’homme en une abominable bête. Pour son malheur, ce brave fermier était né avec des pouvoirs psioniques latents, que Rayla avait détecté, et avait utilisé à son compte. La femme était une Ashnardienne, une femme qui avait envie de faire brûler Ëlnwood, et qui avait, pour cela, envisagé un stratagème.

Au-delà des Ashnardiens, Ëlnwood ne connaissait qu’un gros problème : les loups. L’hiver, ils revenaient abondamment, et, si les différentes milices locales réussissaient à les éloigner des villages, les forêts et les bois étaient si denses qu’il était fréquent que les loups attaquent des habitants. Ces loups étaient très nombreux, ce que Rayla savait. Pendant des mois, Steppenwolf avait été fabriqué, à l’aide d’expérimentations génétiques, de mutagènes, de séances de torture, afin de le rendre docile envers Rayla, mais meurtrier et brutal envers les autres. Rayla l’avait formé, le relâchant dans des pièces en compagnie de prisonniers qu’il massacrait impitoyablement... Mais, pour réellement réussir à le soumettre à son autorité, elle avait dû jouer avec les hormones de la bête, afin que Rayla ait sur lui une emprise sexuelle. Ceci avait eu comme effet secondaire de développer chez Steppenwolf ses pulsions sexuelles, en faisant un terrible violeur, et qui, étrangement, et ce malgré toute sa bestialité, semblait soucieux de faire plaisir aux femmes, utilisant à cet effet ses pouvoirs télépathiques.

Néanmoins, et au demeurant, ses pouvoirs lui permettaient surtout de rallier les loups à son autorité. Pour les plus téméraires, il se contentait de broyer le mâle-Alpha, et, peu à peu, Steppenwolf avait constitué, avec lui, une véritable armée de loups, ce qui avait eu pour effet de réduire les attaques de loups sur Ëlnwood pendant l’hiver, ce qui n’avait pas manqué de surprendre les autochtones. Steppenwolf, en réalité, avait passé l’hiver à rallier les loups dans les montagnes. Car, aussi solide que soient les forts d’Ëlnwood, le royaume avait des faiblesses. Pendant la guerre entre les nains et les elfes, les nains avaient creusé des tunnels s’enfonçant sous les montagnes, afin de contourner les défenses. De tels tunnels étaient instables et dangereux, et empêchaient donc une armée de la traverser, mais un simple homme, en revanche... Ces tunnels et ces grottes étaient connus, et servaient habituellement de réseaux de contrebande. Steppenwolf n’avait eu qu’à les emprunter.

Aujourd’hui, le puissant Lycan était en compagnie d’autres loups, et partait chasser. Il pistait des biches, et avait délaissé son armure, s’exposant ainsi dans sa puissante nudité. Quelques cicatrices ornaient le corps de « Loup-Blanc », ainsi qu’on pouvait le surnommer. La puissante bête obéissait fidèlement aux ordres de Rayla, et cette dernière lui avait dit de se préparer à attaquer Ëlnwood se l’intérieur. Depuis des mois, il préparait son œuvre, renforçant son autorité sur les loups, et ce depuis une étroite forteresse abandonnée dans les montagnes.

Mais voilà... Steppenwolf avait en lui ces pulsions hormonales, et, depuis des mois, il n’avait pas eu l’occasion de coucher avec Rayla, ni même avec beaucoup de femmes. Alors, aujourd’hui, et de plus en plus téméraire, il s’éloignait des bois profonds pour se rapprocher des villages. Le Lycan avait, pour le dire simplement, une envie phénoménale de baiser. Il ignorait que Rayla, pour le soumettre, avait utilisé sur lui des élixirs s’inspirant des phénomènes formiens, qui, de la même manière, utilisaient les pulsions sexuelles pour soumettre les Formiens aux Annexiens. Comprendre les motivations profondes de Rayla n’intéressait guère Steppenwolf, qui était autant capable de se révolter contre elle qu’un Formien contre son Annexien.

*Mais j’ai envie de baiser... De BAISER !!*

Steppenwolf n’avait pas les restrictions qu’un être humain pouvait s’appliquer quant aux pulsions sexuelles. Elles le dominaient totalement, mais la prudence lui imposait encore de ne pas s’attaquer à des groupements importants.

C’est bien pour ça que, tout en suivant les sentiers, il finit par renifler, outre l’odeur de biches, une délicieuse odeur qui provoqua en lui une érection.

Il s’arrêta au milieu de ce sentier boisé, et renifla cette odeur, qui dégageait des fragrances de parfum, et renifla les traces de pied sur le sentier.

*Une femme, une femme !!*

Les loups l’entourant reniflaient également, avant de grogner et d’aboyer entre eux.

« Rrrr !! » grogna soudain Loup-Blanc, leur imposant rapidement le silence.

Steppenwolf renifla encore l’odeur, puis suivit la trace.

Elle était toute fraîche, et la conduisit droit vers une cabane...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 1 dimanche 20 mars 2016, 17:55:18

Pour autant qu’il s’en souvienne, Jean d’Armentier avait toujours été un escroc. Depuis qu’il était petit, mentir avait toujours été sa grande passion, un mode de vie. Ayant grandi à Nexus, il appartenait à une famille de tisserands, la petite bourgeoisie, et s’était amusé à provoquer le licenciement de plusieurs domestiques en les accusant d’avoir volé ses jouets. Jean d’Armentier avait toujours été un menteur, un escroc, quelqu’un qui, comme une sorte de fin gentleman, courtisait les belles dames lors des bals pour voler leur argent. Menteur doublé de kleptomanie, il avait fini par se faire arrêter, poursuivi par plus d’une quinzaine de créanciers. La condamnation judiciaire avait été lourde, et Jean d’Armentier avait quitté Nexus. L’homme, malgré le monde magique dans lequel il vivait, n’avait de magique que ses mots, que sa capacité à se faire passer pour ce qu’il n’était pas. Un arnaqueur qui avait mis sur la paille quantité de gens, et qui avait fui Nexus pour éviter la prison.

Maintenant, Jean d’Armentier avait trouvé une retraite dorée dans le trou-du-cul du monde. Ëlnwood. Une forêt géante ! Un endroit si reculé que l’Ordre Immaculé n’y était pas, et que les locaux vénéraient de vieilles divinités à tête de bouc. Une bande de péteux qui avaient été impressionnés par lui, quand il s’était rasé la tête, et était venu les voir en toge, pour leur dire que leurs récoltes seraient hantées par une quelconque Déesse païenne si, régulièrement, ils ne venaient pas lui faire des offrandes. Dans n’importe quel autre village, on aurait châtié ce devin, ce freluquet, mais, et c’était bien là la preuve que la chance souriait aux crapules, l’ancien druide du village était récemment mort de maladie, ce que les autochtones avaient interprété comme un signe néfaste.

Jean d’Armentier était donc devenu le Chaman du village. À ce titre, il vivait dans une cabane reculée, et ne faisait rien de ses jours. Il bénissait les nouveau-nés, honorait les mariages, et s’envoyait en l’air avec les paysannes, tout en récupérant de la bouffe et des vêtements de la part des locaux, leur offrant parfois quelques prédictions, prédictions qui dépendaient essentiellement des décolletés qu’on lui présentait. Disons-le donc simplement, d’Armentier était un escroc jusqu’au bout des ongles, doublé d’un sacré pervers... Mais il était intelligent, et il s’était renseigné sur les cultures locales, et avait ainsi appris qu’il existait un ancien rite, dans lequel une jeune femme du village, vierge, allait déposer une offrande dans un sanctuaire sacré, au cœur de la forêt, afin de bénéficier de la protection des Dieux. L’offrande consistait officiellement en un panier de fruits, mais consistait en réalité à offrir son hymen aux Dieux, pendant la nuit.

Ce faisant, il fallait que les villageois, pour ne pas courroucer les Dieux, envoient de la belle marchandise. D’Armentier, qui se faisait appeler Shakaar, avait donc relancé cette tradition suite à quelques disettes et tempêtes. L’excuse parfaite ! Régulièrement, il venait coucher avec une vierge, et, en retour, si les choses allaient mal, il suffisait de dire qu’elle n’avait pas été assez consentante. C’est pour ça que les villageois dotaient leur offrande d’un magnifique apparat, sans forcément lui dire ce qui l’attendait.

*Elle va bientôt arriver... Merde, merde !*

Shakaar portait sa toge, et avait étalé sur sa table plusieurs trucs qui faisaient vieux mage : des grimoires, des bouquins, un bâton de mage (en réalité, une vieille canne qu’il avait volé il y a des années à un clochard), et venait de se masturber. Il venait de jouir dans ses toilettes, un petit cabanon dans son jardin, et en sortit. Le jardin de sa cabane était défraîchi, sauvage. Il ne l’entretenait jamais, et entra rapidement dans sa maison en bois, passant à côté d’un garde-manger bien rempli.

Le Chaman entendit alors des bruits de pas, et regarda à travers sa vitre, puis vit...

*Oh putain, PUTAIN !!*

Dieu, qu’elle était belle ! Il sentit immédiatement sa queue se durcir à nouveau, et se félicita de son idée de génie. Mon Dieu, quelle perle ! Il n’arrivait pas à y croire ! Avec sa tenue rouge, et ses bottes en cuir, il tremblait sur place, et s’humecta les lèvres. Il se massa à nouveau la barbe, se félicitant d’avoir une toge large pour dissimuler son érection, car il bandait comme un taureau. La magnifique beauté se rapprochait, et Shakaar se déplaça rapidement, récupérant son bâton, en reprenant son calme.

*La vache, ce village est rempli de moches et de grosses paysannes, et on m’envoie ENFIN une beauté ! Merde de merde !!*

Respirant lentement, il tentait de se calmer, lorsque la femme grimpa le perron de la cabane, et tapa à sa porte.

Elle dut attendre un peu... Car Shakaar s’était enfermé dans un placard, et se masturbait frénétiquement, jusqu’à se vider, balançant contre le mur du foutre, en soupirant faiblement.

« Hooooo... !! »

D’aucuns auraient pu dire qu’il était un pervers, mais le fait est qu’il était en manque. À Nexus, il était un dandy couchant régulièrement avec des femmes, et, depuis sa retraite chez les bouseux, il couchait rarement.

Ne voulant pas que sa fée s’impatiente, Shakaar remit sa toge, soupirant à nouveau, puis se rapprocha rapidement. De la porte, et l’ouvrit alors.

Sur la porte, il avait mis plusieurs grigris, comme un attrape-rêves, ainsi que des poupées vaudou, des plumes de poule qu’il avait fait passer pour des plumes de griffon, et se retrouva donc face à la beauté, dont le parfum l’enivra alors furieusement.

« Oooohh... Bonjour, jeune fille. Je vous remercie d’être venu voir le vieil homme que je suis. »

Shakaar était un homme qui parlait d’une voix grisonnante, l’un des talents d’escrocs de d’Armentier, qui s’écarta, et, tandis que la femme rentrait, posa une main sur son dos pour la guider, reniflant discrètement son odeur.

Tout, tout, chez elle, était parfait ! Officiellement, la jeune femme n’était pas venue pour honorer la cérémonie, mais... Dieu, Shakaar sentait qu’il allait faire un extra’ sous peu.

« Comment t’appelles-tu, mon enfant ? J’espère que la route n’a pas été trop longue... Mais bon, la jeunesse permet de marcher vite. Que m’as-tu apporté, ma chérie ? »

Pendant ce temps, dehors, une épaisse silhouette observait la cabane en grognant, sentant, outre l’odeur délicieuse de la femme, celle, insupportable, d’un homme qui avait l’air de boire fréquemment...

« Rrrrr... »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 2 dimanche 20 mars 2016, 20:16:52

Clara... Une voix de velours, un corps de rêve. Tandis qu’elle posait la corbeille, et en énumérait le contenu, d’un œil expert, Shakaar l’examinait silencieusement. Des jambes fuselées, interminables, des hanches de rêve, et cette tenue... Haaa ! La tenue rouge était traditionnelle, en hommage à cette cérémonie qui aurait lieu sous peu. Le Rituel de la Lune. Et Clara avait visiblement été choisie pour ce rituel, ainsi que la tenue, les villageois l’ayant visiblement choisi pour savoir si le Chaman approuverait cela... Et sa queue l’approuvait, puisque, même après s’être masturbé, il sentit son érection revenir. Cette femme était un véritable cadeau des Dieux, si tant est que l’homme puisse croire en une quelconque divinité.

« Oui, égayer mes repas, marmonna-t-il lentement. Je te remercie, mon enfant, et, si tu me le permets, j’aurais une requête à te demander. »

Le Chaman tritura sa barbe, l’air penaud, avant de lui désigner une commode en hauteur, puis de poser une main sur une chaise.

« Pourrais-tu aller me chercher du sirop d’érable ? Le pot est haut, et, avec  mes rhumatismes, j’ai du mal à me hisser ainsi. Toi, tu es jeune, et pleine de vitalité et d’énergie... Je t’en serais infiniment reconnaissant, ma douce et belle Clara. »

Avenante, la fermière obéit, et d’Armantier en profita évidemment pour se rincer l’œil. La femme dut en effet se hisser sur la pointe des pieds, soulevant sa minijupe, et il eut une vision angélique sur son petit cul, délicieusement ferme, ainsi que sur sa culotte blanche, un fini tissu qui découpait ses fesses en deux. Le Chaman se sentit se dessécher sur place. Le Rituel de la Lune avait lieu dans une semaine, et il avait décidemment hâte que cela arrive !

La femme dut écarter les pots, prolongeant le plaisir, et, quand elle se retourna, il ne manqua pas de la remercier.

« Tu es vraiment très gentille, Clara. Tes parents doivent être très fiers de toi. Par ailleurs, j’espère que tout se passe bien au village. »

Il disait ça juste par politesse. Savoir qui traitait le cul des vaches ne l’intéressait guère, et il attrapa surtout le pot, et se déplaça un peu, essayant de s’arracher à la vision angélique de ce corps parfait, afin de calmer son érection. Dieu, Dieu ! Il avait pourtant une belle expérience sexuelle, mais, après tant d’années d’abstinence, il se sentait comme un jeune blanc-bec venant de voir sa dulcinée en sous-vêtements.

Clara était vraiment magnifique, comment ses parents pouvaient ne pas s’en rendre compte ? Comment une telle beauté avait-elle pu débarquer dans un village rempli de bouseux et de culs-terreux ? Ah, les joies de la génétique !

« Je t’en prie, Clara, installe-toi, tu ne vas pas repartir si vite, tout de même... Tu as beau être jeune, se reposer ne fait parfois pas de mal, crois-en mon expérience. Je vais aller chercher de quoi te désaltérer un peu dans ma cave. »

Il lui sourit, un sourire se voulant avenant, puis la laissa s’asseoir, peinant à détacher son regard. C’était comme si une succube venait d’entrer, car, peu importe où se posait son regard sur le corps de cette femme, il n’y voyait que grâce, beauté, volupté... L’homme se retourna rapidement, et sortit de la salle principale, puis prit à gauche, rejoignant l’escalier menant à la cave. C’est là qu’il y entretenait son vin, ainsi que quelques heureux souvenirs de Nexus... Notamment des élixirs et des philtres d’amour qu’il avait acheté auprès de mages nexusiens. Il utilisait toujours l’un de ces philtres à l’occasion du Rituel de la Lune. Ils étaient inspirés de drogues chimiques tekhanes, des substances psychotropes qui permettaient de faire oublier aux victimes ce qu’elles avaient fait la nuit.

Ainsi, d’Armentier évitait l’ire de la foule, ou que son secret ne soit révélé... Mais là, il comptait utiliser cette drogue, et se déplaçait donc, en utilisant une lampe à huile pour se diriger le long de ces tonneaux.

Il pensait au corps nu de Clara en train de gémir son nom pendant qu’il besognait son petit cul de salope dans sa chambre quand un bruit le fit s’arrêter soudainement.

« Hm ? »

D’Armentier regarda nerveusement autour de lui, en fronçant les sourcils. Il avait cru entendre... Comme un grognement. Il laissa passer quelques secondes, tout en se reculant un peu... Et son dos heurta alors une fourrure, puis il vit deux yeux sanguinolents, aussi rouges que l’Enfer...

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »



Le hurlement du faux Chaman se fit entendre dans la salle à manger, bien entendu. Un cri horrible, suivi d’autres hurlements, ainsi que de chocs sourds, terrifiants.

« HAAAAA... N-Non, pi... Pitié, haaaa... !! HAAAAAAAAAAAA... !!
 -  RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRROOOOAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRR !!

Il y eut ce hurlement terrible, puis...

Un craquement sourd.

Et plus rien.

Un silence pesant, terrifiant, macabre.

Avant d’entendre des pas lourds dans la cave.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 3 dimanche 20 mars 2016, 22:57:44

Elle avait fui, bien évidemment. Le misérable n’avait rien pu faire, piètre humain. Steppenwolf resta un peu dans la pièce principale. Il n’y avait que de sales odeurs ici... Mais, au-delà de toutes ces odeurs, il pouvait clairement sentir celle de sa dulcinée, cette douce odeur parfumée, ce parfum de femme, délicieux, exquis. Le puissant Lycan s’avança près de la fenêtre. Il était si grand que sa tête heurtait le plafond, et il renversa plusieurs instruments et divers objets situés sur la table, avant de se pencher par la fenêtre, pour voir une silhouette rouge qui filait au loin.

La femme grimpa une petite colline, afin de pouvoir, de l’autre côté, filer, probablement vers la plus proche rivière. Cependant, alors que Clara courait, elle pouvait entendre les loups hurler et aboyer, menaces indicibles, car invisibles, mais bien réelles. Ils grognaient, hurlaient, proches ou éloignés, et personne ne viendrait à son secourir. Le Chaman avait choisi, pour ne pas être dérangé, de s’installer loin de la scierie, ou des plus proches fermes. Personne ne s’aventurait ici, sauf la jeune femme, qui tentait de fuir... Mais, hélas, fuir dans la forêt avec des talons n’était pas aisé, et elle heurta une racine, ce qui la fit basculer, et tomber le long de l’herbe, jusqu’à ce que son corps ne vienne heurter un tronc d’arbre, en contrebas.

Et, le temps qu’elle revienne à elle, les loups étaient là, l’encerclant, hurlant et grognant, claquant leurs dents dans le vide, contraignant la jeune femme à se recroqueviller contre l’arbre. Dans sa panique, peut-être ne réaliserait-elle pas que les loups ne cherchaient pas à la dévorer, mais juste à la retenir. Ils hurlaient et rugissaient, quand un plus fort hurlement retentit, et les fit alors tous se taire. Une scène surréaliste, tandis que, au sommet de la colline, une épaisse silhouette apparaissait. Une sorte d’ogre massif, qui se mit lentement à descendre, avant de se mettre à quatre pattes, et ainsi de pouvoir, en quelques foulées, les rejoindre.

Steppenwolf venait d’apparaître, et était nettement plus gros que les autres loups. La bête se dressa alors, se mettant en position debout. Faisant plus de deux mètres de haut, et plus de cent kilos de muscle et de poils, il dominait entièrement la jeune femme, recroquevillée contre le tronc d’arbre. Steppenwolf, avec ses cornes de bouc sur la tête, et sa cicatrice le long de l’oeil, était une bête impressionnante, qui se pencha vers la femme... Et vint apposer son museau contre sa joue, le reniflant, inspirant et expirant, son souffle rebondissant sur le doux visage de la femme.

« Moi... Steppenwolf... »

Le Lycan parlait d’une voix profonde et caverneuse, et posa sa main sur sa poitrine en se désignant ainsi. Sa main s’avança ensuite, et il caressa doucement les cheveux de la femme. Doux et soyeux.

« Moi... Roi des Loups. Toi... Ma Reine ! »

Steppenwolf s’approcha alors, et, dans un geste affectueux, sortit sa longue langue, et lécha les lèvres de la femme, remontant jusqu’à son nez.

« Toi... Quel est ton... Ton nom, mon aimée ?! »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 4 lundi 21 mars 2016, 00:45:53

Ëlnwood avait toujours vécu, depuis des siècles, sous la menace des loups. À l’époque des elfes, où Ëlnwood était encore un vaste sanctuaire elfique, ces bêtes étaient déjà dangereuses, constituant une véritable plaie. Difficile de les repousser, car, tout autour d’Ëlnwood, il n’y avait que des montagnes et des régions arides. Ici, dans ces vastes bois, de nombreux animaux se concentraient, attirant, en conséquence, les loups. Dès lors, il n’était pas surprenant que, dans le folklore local, il existe une divinité, un esprit des bois, qui représentait les loups, et qu’on appelait, dans certains contes, « Roi des Loups ». Et ça, Steppenwolf le savait. Car, malgré son apparence, et le fait que, à cause de ses cordes vocales, il ait du mal à parler, il n’en était pas moins intelligent et télépathe. Ainsi, il connaissait les cultes locaux, et savait que ces derniers craignaient énormément les loups. Le Rituel de la Lune, de fait, avait précisément pour but d’apaiser le Roi des Loups, et, dans l’esprit de Clara, Steppenwolf était ce Roi-là. Et, en un sens, c’était vrai, car il commandait effectivement aux loups de la région.

Ainsi, la panique de la femme fut nuancée par sa surprise, par sa stupeur, et par ce coup de langue, qui signifiait que le Lycan ne souhaitait pas la tuer. Réfléchissant rapidement, Steppenwolf savait qu’il voulait coucher avec elle. Il voulait terriblement la baiser, mais il savait que, plus la femme serait consentante, et plus ce serait simple. Il réfléchit donc rapidement, et sut rapidement comment aborder les choses. Sa main caressa ainsi le doux visage de cette femme, et il y allait très lentement, car ses griffes étaient particulièrement épaisses. Il voulait sentir la douceur de cette peau, et finit par tripoter tendrement les lèvres de la femme.

« Chaman... Menteur... Lui s’est moqué des Esprits ! Alors... Moi suis venu... Le punir ! Et vous punir... Vous ! Car vous... Avez déshonoré les Esprits ! »

Dans l’esprit très candide et très spirituel de cette femme, cette sentence était terrible. Les loups grognèrent alors, comme pour confirmer l’humeur de Steppenwolf.

« Je... Mécontent de vous...  Vous avez donné votre foi en un menteur !! »

Il grogna alors, en se rapprochant de la femme, révélant ses interminables rangées de dents, ainsi qu’une odeur assez fétide, sa salive s’écoulant de son museau... Puis il lécha alors longuement la joue de la femme, répandant un peu de sa salive sur elle, maculant quelques mèches de cheveux. Steppenwolf frotta ensuite ses narines contre elle, et Clara put alors sentir, contre son bas-ventre, le sexe du Lycan, une queue énorme, qui frottait sa courte jupe rouge, avant de remonter pour frotter son ventre.

« Si toi... Tu deviens ma Reine... Et que tu me contentes, j’épargnerai ton village. »

Il lécha à nouveau ses lèvres.

« Moi... Ferais jamais de mal à toi, car tu es ma femme... Accepte-le... Embrasse ton R-R-R-R-Rooii !! »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 5 lundi 21 mars 2016, 19:43:34

Comment ne pas être sous le charme ? Cette Clara était d’une beauté incroyable. Lécher son doux visage n’avait fait qu’accroître l’excitation du Lycan, qui avait du mal à se retenir de ne pas le prendre de suite. En un sens, il partageait les problèmes du faux Chamane. Peu importe où son regard se posait, il ne voyait que luxure et beauté. Et, chez Steppenwolf, lécher était effectivement une marque de domination, mais aussi d’affection, comme frotter son museau contre la tête de la personne aimée. Amoureux, Steppenwolf l’était clairement, car la bête se fiait surtout à la beauté physique de la femme, et se reposait exclusivement sur ça pour déterminer qu’il était amoureux d’elle. Et amoureux, il l’était, car, enfin, qui aurait pu ne pas l’être ? La beauté de cette femme était incroyable, surclassant même celle de Maîtresse Rayla. Et là, face à elle, l’énorme Lycan prenait conscience de toute la force de son stratagème, qui avait visiblement convaincu Clara de le suivre et de lui obéir. Nerveuse et timide, elle s’avouait vaincue et lui fantasmait sur n’importe quelle partie de son corps. Sa silhouette, ses hanches, son estomac, son dos, ses longues jambes, ses bras, ses cheveux, ses joues, ses bottes, ses gants, son nez, son odeur… Tout, tout, tout en elle n’était que délice et volupté !

Alors, la femme continua à l’exciter, à attiser ce feu qui brûlait dans sa poitrine en finissant par se rapprocher de lui. Elle s’accommoda de la sensation de ce tison ardent qui caressait son ventre, de cette queue disproportionnée et gargantuesques qui s’enfonçait contre sa douce peau, et posa délicatement ses mains le long du museau de la bête, ses ongles frôlant ses gencives. Les narines de Steppenwolf soufflaient sur le visage de la femme, tandis que Steppenwolf sentait son rythme cardiaque croître rapidement en voyant les lèvres sensuelles de la femme se rapprocher de lui.

« Rrrr... » grogna-t-il lentement.

Clara ferma les yeux, et l’embrassa alors. Le baiser le fit frissonner, et Steppenwolf en eut même du mal à respirer, et entrouvrit les lèvres, sa longue langue venant caresser celle de la femme. Il y eut un délicieux frottement, et le Lycan soupira lentement sous ce contact, le contact de la petite langue douce et humide de la femme. Contre lui, le Chaperon Rouge se pressait, et embrassait la langue de Steppenwolf, avant de lécher le bout de son museau, glissant dessus, déposant ensuite une série de baisers et de lèchements. Il grogna de plaisir, en sentant ses lèvres filer contre ses poils, ainsi que contre ses épaisses dents. Sa salive coulait le long de sa gueule, et il cligna des yeux, avant d’avoir droit à un ultime baiser sur son museau.

Rompant alors ce moment délicieux, presque magique, Clara accepta finalement de s’offrir à lui, ce qui eut comme un coup de fouet sur la queue dure de Steppenwolf, qui se raidit encore un peu, lui faisant maintenant terriblement mal. Il promena ainsi ses mains sur le corps de la femme, tout en la plaquant contre le tronc d’arbre, et, ce faisant, il redressa un peu sa minijupe, ce qui amena son sexe à descendre un peu, se heurtant alors à la fine culotte de la femme.

« Mmhm ? »

Avec la minijupe de redressée, Steppenwolf pouvait sentir une délicieuse odeur filant de là, et il se pencha alors, finissant à quatre pattes devant la femme, venant renifler sa culotte. Oh, quelle odeur ! Et l’odeur, ça, le Lycan y était très sensible... Il lécha alors sa culotte, enfonçant sa belle langue  contre elle, entre ses cuisses, et la lécha donc, reniflant son odeur, puis finit ensuite par tirer sur cette culotte, l’écartant entre ses doigts, la tirant précautionneusement, comme une sorte de relique.

Il la fit glisser le long des cuisses de la femme, jusqu’à la faire tomber le long de ses bottes, puis renifla ensuite sa moule, avant de soupirer encore.

« Clara... Bonne odeur ! »

Il recommença alors à lécher, en fonçant sa langue contre sa fleur intime, et, au fur et à mesure de ses lèchements, sentit alors un délicieux nectar s’échapper des cuisses de la femme. Quelque chose de sucré et d’intime...

Quelque chose que Steppenwolf n’avait jamais ressenti auparavant !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 6 dimanche 29 mai 2016, 19:30:16

Steppenwolf léchait ce sexe avec appétit, et, surtout, se régalait de la mouille de la femme. Il la buvait avec appétit, car c’était un liquide que le puissant Lycan avait toujours aimé. La cyprine, il adorait en boire, ce jus intime et sucré. Et, fort heureusement, la douce Clara, sa prisonnière, sa louve, ne tarda pas à mouiller abondamment. Autour d’eux, la meute de Steppenwolf grognait et soupirait, se déplaçant lentement, se contentant d’observer et de surveiller. Les loups étaient dociles, ils ne se révolteraient pas contre leur maître. Le puissant Lycan se régalait de ce liquide, qu’il continuait, encore et encore, à avaler, ses oreilles se délectant aussi des soupirs et des gémissements de la femme. Il aimait tout chez cette femme, sa petite voix douce, ses petits cris mielleux... Oui, tout, chez elle, n’était qu’incitation, beauté, volupté, et désir. Ses longues jambes fines et fuselées, se corps ferme et bien proportionné... Elle était à l’image du beau sexe, et ce que Steppenwolf adorait chez les humaines. Steppenwolf était jadis un humain, et, de son humanité, il n’avait conservé qu’une seule chose : le sexe, l’attirance pour les femmes. Autant dire que, tout en léchant cette femme, il bandait fortement.

De fait, Steppenwolf la léchait, non seulement pour avaler sa mouille, mais aussi pour la lubrifier, et pour la préparer. Le Lycan était un monstre cruel et anthropophage, mais, face aux femmes, il savait faire preuve de gentillesse, et même, d’un certain point de vue, de galanterie. Le Lycan voulait soumettre cette femme, la dominer, mais pas la torturer inutilement. Elle était son butin de guerre, un trophée, et un trophée se devait d’être honoré, lustré, nettoyé, et bien entretenu. Alors, il léchait, fourrant sa longue et baveuse langue en elle, sa truffe frottant également le corps de sa femme, cette peau chaude et tendre, moelleuse à souhait.

Le Lycan finit par s’arrêter, au bout de multiples minutes, et releva lentement son museau.

« Hmmm... Tu es délicieuse... Et, maintenant, tu es prête à t’unir avec moi... À devenir ma louve. »

Son sexe était suffisamment humidifié comme ça, et le Lycan se releva sa queue frottant contre le corps de la jeune femme. Elle pouvait ainsi sentir sa verge, poilue, mais surtout longue, grosse, et manifestement impatiente de rentrer en elle. Le Lycan soupira lentement, son corps heurtant celui de la femme, la coinçant entre son torse et le tronc d’arbre. La dominant de toute sa hauteur, Steppenwolf finit par la prendre dans ses bras, l’invitant à se serrer contre lui, les jambes de la femme s’enroulant autour de sa taille.

La créature goûtait à ce corps voluptueux, tendre, chaud, doux... Oui, elle n’avait que des qualités, et son sexe, un phallus énorme, tapait contre son estomac.

« Hurle, ma douce louve... Hurle pour ton mâle. »

Le Lycan posa l’une de ses mains sur son sexe, et le guida ensuite vers l’intimité de la femme. Sa queue caressa ses lèvres intimes, glissant dessus... Puis il s’enfonça en elle, et poussa un long sifflement, en perçant ce corps.

« Mmmmooooouuuuuuwwww... !!! »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 7 vendredi 23 juin 2017, 08:21:51

Avoir du mal à parler ne rendait pas Steppenwolf idiot. Au contraire, le Lycan pouvait se montrer particulièrement intelligent, et c’était ce qu’il venait de faire. Il avait dupé cette femme, dans le seul but de pouvoir la baiser. C’était, somme toute, aussi simple que ça. En tant que mâle-Alpha, Steppenwolf était prêt à sacrifier toute sa meute dans le seul but de satisfaire ses pulsions personnelles, et, même s’il pouvait faire l’amour avec des louves (ce qu’il avait d’ailleurs déjà fait), il subsistait encore en lui des relents d’humanité, qui faisaient qu’il ressentait davantage de désir pour les femmes. Et elle, avec sa silhouette parfaite, ses hanches généreuses, ses longues jambes fuselées, sa belle chevelure blonde, et sa cape rouge en cuir, elle était tout simplement irrésistible. Steppenwolf ne l’avait même pas déshabillé, tant il la trouvait belle ainsi. Son Petit Chaperon Rouge, sa délicieuse Reine... Et il avait fourré sa grosse queue en elle.

Grosse, car il avait eu une sacrée trique en devant patienter, en devant patiemment la lécher, et en buvant sa délicieuse mouille. La cyprine, voilà bien quelque chose qui l’excitait sans commune mesure. Il adorait la boire, la lécher. Clara allait devoir s’habituer à ce que son Roi la lèche fréquemment. Comme elle allait vite le comprendre, ses désirs étaient à la hauteur de sa trique : colossaux.

« Hmmmmm... Hnnnnn... !! »

Elle hurlait, elle gémissait, elle se tortillait contre lui, et Steppenwolf adorait ça. Il adorait, non seulement le fait de la pénétrer, mais aussi ses doigts se crispant contre sa fourrure, s’agrippant à ses poils, son corps chaud et délicieux qui se frottait contre lui, et ses hurlements, ses couinements... Et cette peau douce, tendre, chaude, qu’il sentait contre lui... Ha, que de sensations exquises ! Ce n’était décidément pas comparable à ce qu’il ressentait en couchant avec une autre louve. Là, c’était bien plus intense, bien plus fort, juste... Mieux.

Steppenwolf s’enfonçait donc rudement en elle, et, peu à peu, la décala de l’arbre, la maintenant entre ses bras puissants, une main sur ses fesses, l’autre sur sa nuque. Le corps de la femme ondulait contre le sien, comme aimanté, électrisé par lui. Sa trique s’enfonçait durement en elle, et elle recouvrait sa verge turgescente de sa mouille, ce délicieux nectar qui le faisait frémir.

« Rrrrrrrrrrrrrrrrrrrr... !! »

Le Roi des Loups grognait de plaisir, et lécha avec sa grosse langue la joue de la femme, laissant sa salive sur elle. Sous l’effet de l’excitation, il bavait beaucoup, tout en devant forcer le passage, tant la petite chatte de son Chaperon Rouge était étroite. Sa pénétration gagnait néanmoins en intensité, en profondeur.

« J-Jouis, femelle... Jouis pour... Pour ton Roi ! »

C’est de ça dont il avait envie... Sentir sa queue se recouvrir de la mouille de la femme.

Une telle situation ne pourrait que le pousser à l’orgasme, lui aussi.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 8 dimanche 17 septembre 2017, 16:34:19

Steppenwolf était excité comme jamais auparavant. Il avait déjà forniqué avec des louves, bien sûr, mais il y avait, chez cette humaine, quelque chose en plus, un plaisir jouissif, inexplicable, mais qui était bien différent de ce qu’il ressentait habituellement avec des louves. Il n’aurait pas su l’expliquer en quoi, mais, là, tandis qu’il la serrait contre son corps puissant, enfouissant sa grosse queue en elle, qu’il sentait les doigts de la jeune femme se crisper contre ses poils, ses hurlements, son odeur, son corps doux et tendre se frotter au sien, le puissant Lycan sentait un plaisir incroyable, fulgurant, quelque chose qu’il n’avait jamais ressenti auprès de simples louves. Un plaisir immense et terrible qui s’insinuait totalement en lui et le submergeait, l’amenant à remuer de plus en plus fort. Grognant et soupirant longuement, il pressait le corps de la femme sur le sien, Clara filant d’avant en arrière, son corps poussé par ses puissantes mains, qui la serraient comme dans un solide étau, l’empêchant de trop bouger, de fuir, accompagnant ses mouvements.

« Rrrrrrrrrrrr... Hnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Des grognements s’échappaient de ses lèvres, pendant qu’il se délectait des soupirs de la femme, du frottement de ses seins contre son torse, de son corps se collant au sien. Il avait pénétré une chatte très étroite, et il avait dû s’y reprendre à plusieurs reprises pour forcer le passage, déformant petit à petit les parois internes de la femme, jusqu’à pouvoir la prendre entre ses muscles. C’était une première fois, mais il avait fait d’elle sa Louve, et de lui son Roi.

Il sentait la mouille de la femme sur son sexe, recouvrant petit à petit son chibre, l’incitant à redoubler d’effort... Ça, ainsi que els longs hurlements que la femme poussait, des cris qui semblaient lui briser ses cordes vocales, et le faisait, lui, frémir, comme jamais. Une louve n’hurlait pas autant, elle grognait, soupirait, mais elle n’hurlait vraiment pas comme ça. Ça, c’était... C’était indescriptible, comme tout le reste ! Oui, oui, Steppenwolf adorait vraiment ça. Tout son corps ondulait contre celui de Clara, du Petit Chaperon Rouge, la baisant de plus en plus fort, sa main se déplaçant pour caresser ses cuisses, l’autre appuyée sur sa nuque, s’en servant pour la retenir, et pour continuer à la baiser.

Face à lui, elle ne pouvait que subir, encore et encore, les minutes défilant à toute allure. Steppenwolf était un amant redoutable, capable, en temps normal, de tenir la distance... Mais là, là, cette femme l’excitait bien trop pour qu’il puisse se retenir. Douloureuse, sa queue l’élançait fortement, et il se relâcha finalement en elle, sentant le plaisir croître, en même temps que la douleur, jusqu’à atteindre un point culminant où il ne put que se vider en elle.

« Hnnnn... Rrrrrr... RRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH... !! »

Steppenwolf accompagna son plaisir d’un cri tonitruant, véritable rugissement, et sa queue tapa dans les profondeurs du sexe de la femme, heurtant son utérus, avant qu’il ne jouisse en elle, sa queue inondée dans la mouille de la femme, son foutre venant se répandre généreusement en elle. Un bel orgasme, car, quand le Lycan crut qu’il était arrivé à bout, il redonna encore quelques coups de reins, et sentit une nouvelle vague de foutre le traverser, et fuser encore en elle, tout son corps venant alors s’aplatir contre celui de Clara.

Au moment de l’orgasme, ses mains se posèrent contre l’écorce du tronc de l’arbre, le griffant, et il écrasa la femme contre son torse, manquant l’étouffer, tout en jouissant généreusement en elle, balançant joyeusement son foutre dans son corps. Il se calma ensuite progressivement, la respiration lourde, et se décolla de l’arbre, tout en conservant Clara contre lui. Leurs regards se croisèrent, et il vit les yeux béats d’admiration de la femme, et approcha son museau du sien. Affectueusement, sa langue lécha les lèvres de la femme, et Steppenwolf se déplaça encore un peu, serrant toujours le corps de la femme contre le sien.

« Je t’ai marqué de ma semence, femme. Maintenant, tu es ma femelle, ma Reine. Personne ne te touchera ou ne te fera du mal sans que je ne l’y autorise. Tu es mienne, maintenant, et à jamais ! »

Il n’y avait plus aucune autre alternative pour elle, tout simplement.

Elle lui appartenait désormais, corps et âme.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Petit Chaperon Rouge [PV]

Réponse 9 vendredi 21 décembre 2018, 13:59:34

Steppenwolf prit vaguement conscience qu’il n’avait pas réussi à s’enfoncer en elle autant qu’il voulait. La base de sa verge, formant un nœud, n’avait pas eu la force de la prendre. Sa Chaperonne était encore trop inexpérimentée pour cela, mais le Roi comptait bien remédier à cela. Il la léchait amoureusement, faisant preuve d’une étonnante affection envers elle. Sa main maintenait les cheveux de la femme, et il n’avait toujours pas retiré son phallus de son corps, laissant ainsi sa queue baigner dans sa chatte trempée. Il était donc là, frottant son museau contre son visage, et en aurait presque ronronné... Quand une voix forte résonna, appelant sa femme. Steppenwolf gronda alors, ce qui fit paniquer Clara, suppliant à Steppenwolf de ne pas blesser son père.

Marchant dans le sentier, ce dernier avait dans les mains une fourche. Steppenwolf se déplaça lentement, tandis que des grondements résonnèrent dans la forêt. Des loups jaillirent alors autour du fermier, grognant dangereusement sur place. Désemparé, le solide fermier tentait de se défendre, mais un loup s’attaqua à sa cheville, mordant son pantalon, ce qui surprit ce dernier... Si bien qu’un loup lui sauta dessus, et planta ses crocs au milieu de la fourche, la brisant en deux. Le loup renversa l’homme en lui hurlant au visage... Quand un aboiement ténu retentit, un cri fort qui interrompit les loups.

Couché sur le sol, le fermier, en se redressant, put voir la silhouette massive de Steppenwolf devant lui. Il serrait contre lui le corps de Clara, l’une de ses puissantes mains posées sur ses fesses.

« Je... Promis épargner village de ma femelle... »

Que Steppenwolf arrive à parler relevait déjà du miracle. Il se concentrait, car Clara était si proche de lui, avec son délicieux parfum, et sa courte tunique rouge, qu’il avait de nouveau une belle érection. Il ne s’était d’ailleurs pas rhabillé, de sorte que sa queue était visible sur place. Sans pudeur, le Lycan se dressait face au fermier désemparé.

« Mais ma meute a faim... Et toi fermier généreux et plein de bonne viande chaude... Si toi poursuivre nous dans forêt, loups manger toi ! Rrrrrrrrrrr... !! »

Les loups hurlèrent en retour, poussant de longs cris sauvages, tournant autour du fermier, hurlant contre ses oreilles en faisant claquer leurs langues adipeuses. Tremblant sur place, le fermier n’arrivait même plus à parler.

« Moi compte rester ici, humain... Moi vais besogner ta femelle sans relâche, faire d’elle ma Louve ! »

À cette idée, sa queue s’était encore redressée, et elle caressait les cuisses de Clara. Steppenwolf continuait du reste à serrer dans sa grosse main le délicieux petit cul de sa femelle, continuant à la malaxer, se délectant de ses soupirs. Il avait vu qu’il pleurait, et il pencha son visage vers elle, et lécha son visage, glissant sur ses joues, pour sécher ses larmes.

« Toi pas pleurer... Mais loups à moi besoin manger ! Toi prévenir autres villageois ! Eux devront apporter nourriture si eux pas vouloir que meute chasse leurs animaux ! Et apporter nourriture pour femelle aussi ! Sinon moi envahir village à vous ! »

Steppenwolf se retint de dire que, à terme, il comptait de toute façon les envahir. Il allait surtout faire vérifier le village pour s’assurer que personne ne chercherait à prévenir les autorités, et commencerait par organiser un raid sur la volière locale, afin de tuer tous les oiseaux messagers. En attendant, il se frotta encore contre Clara, et donna ses ordres, en la forçant à s’agenouiller.

« Toi montrer à ton père que moi ton mâle. Et ton Roi. Toi t’occuper de mon sexe comme humaines savent le faire ! »

Paradoxalement, le côté humain de Steppenwolf s’exprimait dans le sexe, à travers une certaine dose de perversion sexuelle, qui était typique du genre humain... Et l’idée de voir Clara le sucer devant son propre père ne manquait d’ailleurs pas de furieusement l’exciter.


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