Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[La quatre Voie] GnROUUUUMMMM!!! [P.V: Roger]

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Gnöle.

[La quatre Voie] GnROUUUUMMMM!!! [P.V: Roger]

lundi 29 juin 2009, 20:16:52

Cela faisait environ six mois que les clochards avaient fuis le pont de la quatre voies. Gnöle ne comprenait pas vraiment pourquoi. A la vérité, c'était assez obscur pour elle. Pourtant, elle ne les avait même pas mangé... Ils l'avaient vu, et puis il étaient tous partis en courant. Drôle de bêtes, ces hommes.  En faite, ils sont même incompréhensibles. Dès qu'on va vers eux pour leur témoigner de l'amour, ils se braquent. Et puis il fuit. Enfin, pour cette fois, Gnöle ne leur en voulait pas. Partis comme des voleurs, il lui avait laisser un grand carton, immense, comme ceux qu'il utilisait pour mettre les grands GRANDS écrans plats. Avec des couvertures dedans. Et puis il y avait aussi une drôle de boisson, dedans. C'était chaud et froid. Ça piquait la gorge. Et puis ça avait une odeur de désinfectant. Bref, il y avait deux trois bouteilles de boissons.
Gnöle avait pensé à ramener une table, mais bon. C'était lourd et elle n'avait pas les sièges qui vont avec. Cependant, au bout d'une semaine dans cette minuscule bâtisse qui était la sienne, elle se sentie bien seule, s'ennuyant presque. Elle décida donc d'aller se chercher de l'occupation.
Durant ses longues recherches de nourritures en ville, fouillant dans les poubelles et autres décharges, elle découvrit plein de trésors.
Très vite, son carton "Sony" fut plein de livres, qu'elle s'était finalement résignée à ne plus manger. Ce n'était pas assez nourrissant.
Elle rangea donc soigneusement les ouvrages à la gauche de son lit, et, comble du bonheur, elle avait même dénichée une bougie et des amulettes. Et puis petit à petit, les livres de lui suffirent plus.
Elle adopta donc une souris (qu'elle s'était à nouveau résignée à ne pas manger, même si c'était aussi nourrissant qu'une barre en fer), à qui elle offra un petit nid, une cage, laissée sur le trottoir par des déménageurs inattentifs (et dont le gout du pantalon était fameux, elle dû se l'avouer). La porte toujours ouverte, Gnöle avait enfin de la compagnie. Cependant et assez vite, Gnöle comprit que les souris étaient intellectuellement limitée, et puis aussi qu'elle aimait faire des trou dans le carton. Alors, la mort dans l' âme, plutôt que de fermer sa cage et de lui prendre sa liberté, elle alla la déposer devant la porte où elle avait "emprunté" la cage, et sonna. La porte s'ouvrit et une femme, d'environ trente ans, l'observa. Tenant la cage dans sa gueule, par quelques barreaux, Gnöle fit quelques mouvements de tête en direction de la femme. Celle ci resta muette et tomba finalement dans les pommes, ce que notre peluche traduisit comme une invitation à entrer.
N'ayant pas trop le temps, très poliment elle dit qu'elle refusait et déposa la cage dans le corridor avant de  repartie.

Et maintenant, elle était à nouveau seule.Elle réfléchissait. Pourquoi, pourquoi, pourquoi? Qu'est ce qu'elle avait fait pour être si seule... Elle ne voulait qu'un peu d'amour, aussi minime soit-il. Se lover contre une autre présence. Discuter avec quelqu'un, que celui ci la prenne dans ses bras, même qu'il se moque d'elle! Une larme de cristal coula le long de sa joue en tissus, mais elle gardait malgré tout ce sourire qu'elle ne pouvait faire disparaitre. Et puis, ses oreilles se mouvèrent. Mais, serait ce un glissement, ou un bruit? Oui, quelqu'un approche!
D'un bond, Gnöle se leva de son lit (qui n'était autre qu'un simple drap) et sorti, sous le pont. Il pleuvait à grosses gouttes. La terre semblait de la gadoue, et le fleuve qui obligeait l'autoroute à passer sur un pont semblait habiter. Mouvant sa tête de gauche à droite, Gnöle chercha fébrilement un invité à accueillir...


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