Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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La minute artistique... (Libre)

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Sanna J. Len

La minute artistique... (Libre)

jeudi 18 juin 2009, 14:11:31

Encore une journée achevée, remplie de morceaux d’ambiances différentes. Une journée finalement pas si différente des autres et qui s’achève comme toute les autre, ou presque : Aillant quitté l’université ou j’étudie, je me suis dirigée vers le lycée ou je dors, l’internat du lycée servant aussi aux universitaires internes. Cela fait maintenant deux ans que je suis arrivée dans cette ville et ma vie n’a presque pas bougée, ces derniers temps je suis plus seule que jamais, mais étrangement je ne trouve pas cette solitude déplaisante. Elle est douce, elle me permet de me ressourcer, et je me surprends parfois à fermer les yeux pour mieux l’apprécier. Je regarde mon réveil, il est tard, bientôt deux heures du matin et je décide de m’accorder une pause. J’estime avoir travaillé suffisamment, j’abaisse l’écran de mon mac et je me lève.

Je tends mes bras au dessus de ma tête et m’étire longuement. Il fait terriblement chaud. Je travaille depuis trois heures bientôt et il y a deux heures je me suis permis de retirer mon jean pour ne garder qu’une ample chemise bleue et ma culotte. Permis ? Oui, habituellement je reste le plus habillée possible, tout le temps, de peur que mes yeux ne s’arrêtent sur mon ossature trop saillante. D’ailleurs en y pensant mes yeux se sont baissés sur mes cuisses nues : trop maigres, presque flageolantes tant elles manquent de force. Cela me donne un haut le cœur, pourtant, je devrais y être habituée. J’ouvre la porte de ma chambre pour faire entrer de l’air, puis je fouille dans ma besace en cuire jetée négligemment sur mon lit et j’attrape une cigarette avant de m’assoir sur le rebord de ma fenêtre ouverte pour m’en griller une. Je regarde la nuit, les bâtiments annexes du lycée.

La lumière sort de l’une des lucarnes des douches et j’assiste, moi, aux premières loges, à un couple qui fait l’amour. Sans aucune perversité, je me surprends à penser que c’est beau, je tends le bras vers mon bureau pour attraper mon carnet à croquis et un crayon, et je me mets à dessiner. Ils sont en pleins ébats, ils ne se doutent pas une seconde à quelle point ils m’inspirent. Bien sûr, ma vision de la chose est uniquement artistique, je ne me sens même pas excitée, je trouve juste qu’ils sont beau. On dirait une sculpture en mouvement. Une sculpture oui : ils ne font qu’un. Comme si la glaise n’était pas sèche et qu’elle se mouvait toute seule, encore humide, encore brute.

Alors que je suis plongée dans mon dessin, ma cigarette à la bouche, j’entends ma porte, entre-ouverte, qui se met à grincer, comme si on la poussait légèrement. Quelqu’un, intriguée par la lumière tamisée diffusée par ma lampe de bureau sans doute.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 1 jeudi 18 juin 2009, 16:01:58

Don ne se risquait généralement pas jusque dans le lycée, c'était bien trop risqué pour lui comme il savait que c'était la place forte des pretresses d'Aphrodite, il ne l'avait fait que quelques fois, et a chaque fois ses prises avaient été des plus fructuantes, néanmoins, comme un pécheur supersticieux, il avait peur d'y ceuillir trop de poissons et de provoquer la colère de la mer...Dans cet établissement, il n'y avait pas moins que l'avatar personnel d'Aphrodite et la grande prétresse du culte, sa propre mère. Il le savait très bien que si il s'aventurait ici il risquait de tomber sur l'une ou sur l'autre et la rencontre serait des plus déplaisantes, oh, il était sur qu'elles seraient plus ou moins reconnaissantes au prince des marchands de Nexus de leur avoir donné autant de puissance par ses rapts, mais elles ne s'empecheraient surement pas de "s'amuser" avec lui de leur manière, et retourner chez lui en marchant en canard après s'être fait humilier de la sorte n'était pas vraiment la meilleure façon de s'amuser qu'il connaissait. Il savait que toutes les personnes dans cet établissement étaient un peu la reserve d'Aphrodite a un moment ou a un autre, tous les élèves avaient certaines qualitées qui les rendaient agréables a la déesse, un beau physique, une bonne experience, une bonne intelligence, un esprit dérangé, tout ce qui couvrait de près ou de loin le domaine d'Aphrodite.

Néanmoins de temps en temps il n'était pas contre prendre ce risque pour ramener une poule aux oeufs d'or chez lui. Il attaquait souvent la nuit, parce que même si Nasira et Shizuru ne dormaient jamais vraiment, c'était la periode où elles le faisaient, et il avait plus de chance de comettre son mefait dans ces eaux là que pendant la journée. Le marchand d'esclave avait escaladé la paroi et était tombé sur un pion qui faisait sa ronde, un coup de poing l'avait envoyé au pays de morphée, il en profita pour récuperer le sifflet a son cou qui disait qu'il était surveillant et le placer autour du sien. A présent il avait un déguisement, il pourrait toujours pretexter être le nouveau pion. S'avançant a travers les couloirs, il remarqua une porte légèrement entreouverte avec de la lumière dans celle ci. il se retrouvait en plein milieu du dortoir des filles, peut être était ce l'une d'entre elle qui attendait un rendez vous galant?Il allait lui donner bien mieux que ça...Pénétrant dans la chambre doucement, a pas feutré, il regarda une jeune fille en sous vetement observer par la fenètre un couple faisant l'amour, et celle ci semblait reproduire la scène dans son carnet de croquis...Peut être une dessinatrice en herbe de manga interdits pour les mineurs? Don se rapprocha comme un souffle de Sanna et lui lança dans un murmurre


"Alors comme ça on se rince l'oeil?"
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Sanna J. Len

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 2 jeudi 18 juin 2009, 21:34:49

J’arrache difficilement mes yeux de la fenêtre, plus tard ils seront peut être partis, je ne pourrais alors plus continuer mon dessin. Je finis tout de même par me retourner mais je me retrouve face à un visage à la peau hâlée. Je n’avais pas envisagé que la personne soit entré d’elle-même et ai déjà avancé jusqu’à ma fenêtre. Cependant c’était le cas, et un homme qui faisait certainement plus du double de mon poids et qui me dépassait très largement se tenait à présent dans ma chambre. Je me suis à peine retourné vers lui qu’il  m’adresse la parole dans un souffle presque inquiétant. Je ferme mon carnet à croquis, jette ma cigarette et je me lève, regarde l’homme de haut en bas.

Je constate le sifflet à son cou, un surveillant ? Je ne réponds rien. J’estime qu’un homme avec ce type de réflexions ne pourrait comprendre la raison qui me pousse à regarder ce couple. Tant pis si je passe pour une voyeuse. Je regarde mon jean qui se trouve dans un coin de la pièce avec un regard qui doit presque sembler suppliant. Je pris intérieurement pour que ses yeux ne rencontrent pas mes jambes blanches et squelettiques. Moi ? Peur du regard d’autrui ? Cela m’arrive, parfois… Rarement, mais des fois. Enfaite j’ai mal au cœur en voyant les regards compatissants des autres lorsqu’ils voient ma carrure : « pauvre petite » se disent-ils. Mais tous ne sont pas compatissants, il y a ceux qui sont rassuré : « dieu soit loué, je suis plus moelleuse que cette planche à
pain ».

Cela bizarrement, s’ils m’interpellent, ne me gênent que très peu. Mais les compatissants me rappellent malgré moi le regard de mon médecin. Mes yeux finissent par rencontrer ceux du « surveillant », appelons le comme ça parce que jusqu’à maintenant, seul son sifflet autour du cou me renseigne sur son identité. Je me demande ce qu’il fait là. Bon il est deux heures du mat’, ouais, mais je n’embête personne, et je n’ai pas de couvre feu contrairement aux lycéens, vu que je suis universitaire. La cigarette peut être ? C’est ce qui semble le plus logique. Le silence devient gênant, je regarde autour de moi puis je finis par arracher quelques paroles civilisées de ma bouche :

« Je dois fermer la porte ? »

Peut être après tout que la lumière gêne ceux qui dorment la porte ouverte. Qui sait ? Je jette un coup d’œil par la fenêtre, mon couple est au bord de l’orgasme, dans peu de temps ils seront partis, à moins qu’ils décident de passer la nuit sur le carrelage glacé des douches : quelle joyeuse perspective ! Ca m’étonnerait. Je regarde de nouveau l’homme qui est entré dans ma chambre.

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 3 jeudi 18 juin 2009, 23:08:24

Bien, c'était comme il l'imaginait, cette jeune fille ferait une marchandise de choix sur le marché de Nexus, elle n'avait certes que peu de formes et semblait même être dans une sorte sous alimentation ou quelque chose comme ça, elle n'avait pas de formes bien proéminentes, mais il savait que tous les gouts étaient dans la nature, et que des nobles cherchaient spécifiquement des jeunes filles d'une carrure frèle pour dieu ne sait quoi. Pour Don, il aimait tout type de proie, et contrairement aux apparences, il savait voir en une femme autre chose que la valeur de son corps, bien sur, une bonne poitrine ainsi que de bonnes hanches pouvaient faire facilement trippler le prix d'une vente au marché, mais il y avait d'autre choses également que lui prenait en compte, et que ses imbéciles de concurents ne voyaient pas. La première était qu'évidement Sanna était léttrée, elle savait lire et écrire, et visiblement même dessiner, ce genre de talents étaient appreciés par des nobles d'un âge plus vieux qui se lassaient des femmes objets completement oisives et souhaitaient avoir des compagnons a qui parler et parfois même se confier. Secondement, les yeux bleux et les cheveux blonds de Sanna en faisait une raretée en elle même, car ce n'était pas une couleur très courrante en Nexus qui vivait près du soleil, ou la plupart des gens possédant de tels cheveux peuplaient les familles royales.

Avec un peu de baratin il pouvait la faire passer pour une princesse d'une lignée perdue et s'en mettre plein les fouilles. Elle était encore relativement jeune bien que d'autres les préfèrent plus jeunes, elle était donc une bonne candidate pour la vente, elle semblait néanmoins être plutôt fragile, il ne se risquerais donc pas a la marquer une fois son affaire conclue de peur qu'elle lui claque entre les doigts. Il le ferait une fois qu'il serait sur qu'elle pourrait tenir le coup sans flancher. Mais pour l'instant, il n'avait toujours pas la main sur elle, alors il allait devoir régler ce petit problème avant tout. Posant les mains sur ses hanches il regarda Sanna depuis ses deux mètres de haut et lança en toussant bruillament


"Et la cigarette. Il est interdit de fumer dans les dortoir mademoiselle, vous enfumez jusque dans le couloir."

Le ton de Don ne laissait planer aucun doute sur son autorité. Parler avec une voix autoritaire et intimidante était le B.A.BA pour lui. Il lança sur un ton passablement irrité a Sanna

"Vous allez me suivre au bureau des surveillants, je vais rediger un rapport qui sera envoyé demain a vos parents."

Fit il en ouvrant la porte et en faisant signe a Sanna de le suivre.

"Ne perdez pas de temps, tout le monde dors de toute façon."

Fit il pour montrer qu'il ne l'attendrais pas, pas même le temps qu'elle enfile un pantalon. Il voulait profiter un peu de cette balade sous l'air froid de la nuit depuis le dortoir jusqu'a la salle des pions pour qu'elle sente le vent la traverser de part en part. Evidement, le plan de Don n'était pas de l'envoyer a l'intendance où se trouverait d'autres étudiants.

Lorsqu'ils seraient sortis elle verrait bien.
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Sanna J. Len

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 4 vendredi 19 juin 2009, 19:35:54

Le pion me regarde à présent avec insistance, comme s’il me jaugeait. Son regard semble calculateur. Je regarde ailleurs légèrement gênée, qu’il abrège bon sang !  Enfin il ouvre la bouche pour cracher d’un air supérieur qu’on ne doit pas fumer dans les dortoirs, et il ajoute avec exagération que le couloir entier est enfumé. Il ne faut peut être pas poussé, mais n’étant pas en position de supériorité je me contente de m’excuser d’une voix suffisamment audible, qui reste cependant sereine. Maintenant qu’il m’a engueulé il va bien finir par partir et moi je serais tranquille de nouveau. Mais aussi étrange que cela puisse paraitre il m’ordonne avec un aplomb déconcertant de le suivre en salle des surveillants pour remplir un rapport. On n’a jamais fait autant d’histoire pour une clope du soir à la fenêtre. Tout le monde fait ça. Malgré moi une moue s’installe sur mon visage. Je me dis alors qu’avec ma carte étudiant il n’a pas besoins de moi pour remplir son rapport. Je lève de nouveau les yeux vers lui :
« J’ai vingt-ans, étant majeure, si vous mettez le rapport dans mon casier je me chargerais
de le signer moi-même. »

Tentais-je d’une voix qui ne trembla pas un instant, tout l’interne possédait un casier, une sorte de boîte aux lettres perso. Chez moi ce casier, outre son utilité pour stocker mes livres, servait à l’administration pour me faire passer les papiers. Je regarde toujours l’homme qui avec ses deux mètres et son regard sévère m’ôte très vite ma flemme, et je décide d’accepter de me déplacer. Après tout ce ne seras pas long, et s’il veut l’envoyer à mon père, je pense que ça feras plus sourire celui-ci qu’autre chose. Il s’est déjà dirigé vers la porte et la tiens ouverte en m’attendant. Je me dirige vers mon lit pour y récupérer mon jean d’un air résigné, mais il a l’air pressé et m’interdit presque de me rhabiller. Merde. Je soupire et me contente d’embarquer un pull ainsi que mes clefs et je verrouille la serrure derrière nous. Je commence alors à suivre l’homme, glissant mes clefs dans la poche de ma chemise et enfilant du même coup un pull blanc cassé informe qui me descend jusqu’à mi-cuisses.

Je déplore mon manque de caractère sur le coup, mais je suis fatiguée. Plus vite ce papier sera signé, plus vite je remonterais dans ma chambre. Tant pis pour mon dessin quoi qu’il en soit. J’avais déjà prévu de le faire à l’aquarelle, dans des tons de bleus marine pour un effet surréaliste. Au fond je suis un peu déçue de n’avoir pas même pu terminer les grandes lignes. M’enfin ça n’a pas l’air de gêner plus que ça cet espèce de tortionnaire, visiblement obsédé par le règlement qui plus est qui ne comprends visiblement rien à l’art. Je passe une main embarrassée dans mes cheveux courts et les ébouriffe d’un geste qui m’est familier.


Don

Avatar d'Aphrodite

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 5 vendredi 19 juin 2009, 20:42:36

C'est là que Sanna se trompait, car plus qu'entrer en possession qu'un objet de plaisir pour une bande de nobles lubriques, c'était plus une oeuvre d'art qu'il aquerissait ici. Les proportions n'étaient pas celles qu'on attendait d'un objet de plaisir, bien sur, il allait en profiter en temps que tel, bien sur, ses clients en profiteraient également en temps que tel, mais c'était plus un beau corps qu'un corps désirable si on considérait la definition de désirable pour un Nexan a beaucoup de poitrines et de fesses. Don était plus tolérant, et s'autorisait ce genre de marchandise alors que beaucoup d'autres la negligeraient au premier coup d'oeil, lui, au premier coup d'oeil, avait vu le potentiel en Sanna. Il allait donc procéder comme d'habitude, comme elle semblait être d'une santée fragile il n'aurait surement aucun mal a en faire ce qu'il voulait puis de la plier a sa volonté, sinon elle mourrait surement. Et ça serait dommage, il esperait ne pas être tombé sur un de ces esprits rebelles qui ne plient jamais. Descendant au milieu de la cour en pleine nuit Don observa le long préhaut entouré de pilliers qu'ils devaient passer pour aller a la salle des surveillants. Une fois a bonne distance de celle ci et du dortoir il se retourna vers Sanna.

"Bien je pense que ça suffit."

Fit il pour lui même ainsi que pour l'artiste avant de se retourner brusquement vers elle et l'attraper par le pull qu'elle venait de mettre pour la soulever du sol comme on souleverais une brindille et la plaquer contre un des pilliers de l'allée. Un sourire narquois se dessina sur les lèvres du colosse alors qu'il lançait sur un ton calme

"Je crois que tu aura des choses bien plus inquiétantes qu'un simple avertissement a gérer ce soir, petite."

En un mouvement de poignet il pouvait tordre le pull sous la gorge de Sanna et l'étrangler avec si jamais elle se mettait a crier. De toute façon, a cette heure ci et a cet endroit, personne ne les verrait.

"N'aie pas peur. Je viens t'aider. Tu semblait si désireuse de finir ce dessin. Je vais te fournir quelques plans suplémentaires."

Lança le marchand d'esclave avec un petit rire avant de rapprocher son visage du sien, léchant sa nuque de sa langue rapeuse
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Sanna J. Len

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 6 vendredi 19 juin 2009, 21:31:43

On sort de l’aile des dortoirs et on se dirige bientôt vers l’extérieur. Je n’ai pas pris la peine de mettre des chaussures et je suis obligée de faire attention lorsque je marche, à ne pas m’écorcher les pieds. Nous nous approchons du préau qui se trouve juste avant la salle des surveillants. Le trajet jusqu’ici fut silencieux, à croire que ce surveillant n’est pas réellement bavard. Tan mieux, je n’ai pas envie de parler. Je le suis donc d’un peu loin parce que je marche lentement à cause des graviers qui me font mal aux pieds, et bien sûr je regarde par terre. C’est à ce moment la que les pas de l’homme s’arrêtent, « Bien, je pense que ça suffit » dit-il, mais qu’est ce qu’il … ? Je n’ai pas même le temps de relever la tête, il s’est déjà retourné et mes pieds ne touchent plus le sol. Je ne cri même pas, la surprise ma coupé la voix. Mes yeux s’agrandissent et je le regarde, certainement avec un air terrifié que je suis incapable de contrôler.

Que fait-il ? Mon dos percute bientôt quelque chose de dur, un pilier ? Il me menace, que compte-t-il faire ? Bien sûr, j’ai peur de comprendre. Par reflexe sans doute, je fais bouger mes pieds à la recherche du sol mais ils ne rencontrent que du vide. Je suis incapable de réfléchir à quoi que ce soit mais sans doute mon cœur s’apprête-t-il à déchirer ma cage thoracique. Je ferme les yeux en l’entendant déballer son discours de méchant. Celui que l’on prononce avec sarcasme pour en mettre plein la vu à sa victime. Celui qui est bien trop explicite pour moi. D’un coup de pied bien placé je pourrais certainement le faire me lâcher, mais après je fais quoi ?

Je ne suis pas de taille, ça semble évident. Je sens son souffle sur mon visage, j’ouvre les yeux au moment ou il se penche vers moi et gratifie mon cou d’un coup de langue vicieux. Je fais le maximum pour ne pas réagir, je fais en sorte de rester placide, mais je suis sûre que je tremble comme une feuille et que mes yeux sont effarés. Je réponds sans effronterie, peut être plus avec crainte qu’autre chose, et la voix brisée par ma position inconfortable.
« Je ne suis pas certaine d’en avoir besoin. »

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 7 samedi 20 juin 2009, 00:06:58

Garder de la répartie dans ce genre de situation?Cette fille était clairement du type cérébral, un bon point pour Don, qui la ferait rapidement basculer. Tout le monde a un point faible. Le fait de cogiter plus que la normale faisait paniquer bien plus dans ce genre de situation, car il allait lui donner tout le temps de reflechir a sa position et de se dire dans quelle merde elle était en ce moment. Elle tremblait, mais restait assurée malgré tout, et essayait de dissimuler sa peur derrière un écran de supériorité, "tu peux me salir, mais tu ne me brisera pas", c'était ce que voulais dire Sanna, mais il n'en était qu'au début, pire, il n'avait même pas commencé, sa langue sur la joue de Sanna n'était qu'un prélude et l'ode au clair de lune qu'il allait lui composer allait mettre en valeur l'instrument, pour le moment ingrat selon elle, qu'était son corps, il allait reveiller ses sonorités cachées et bientôt on l'entendrait par dessus la cime des nuages. Mais pour le moment il fallait qu'il l'accorde. Tout comme tout bon musicien, il était rapidement capable de faire monter dans les aigus les instruments les plus délaissés. Il allait d'ailleurs organiser un récital au clair de lune, uniquement pour elle.

"Tu me remerciera plus tard."

Lança le marchand d'esclave tandis que sa bouche se perdait en baiser goulus et que sa main libre remontait le long de la jambe osseuse de Sanna, la sensation était loin d'être désagréable pour Don qui découvrait quelque chose de nouveau, pour Sanna, c'était loin d'être la brise d'été, mais plutôt la chose qui s'attardai sans douceur sur ses formes, et remontait jusqu'a l'entrejambe sournoisement comme un serpent. Alors qu'il s'attardait dans ses attouchements il relacha progressivement Sanna pour que ses pieds touchent a nouveau le sol, et quand ce fut le cas il l'attira a elle et l'embrassa a pleine bouche, la collant contre le poteau alors que sa main baladeuse se glissait sous le pul, sous sa culotte pour caresser fermement son intimité. N'avait elle vraiment rien ressenti lorsqu'elle avait vu ce couple faire l'amour?Il allait le savoir très vite.
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Sanna J. Len

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 8 samedi 20 juin 2009, 00:36:03

Son regard est simplement effrayant. Il y a une perversité, une cruauté dans ce regard qui me fait trembler d’avantage. Il m’assura que dans le futur je le remercierais. Je reste immobile et muette. En réalité je cherche par tous les moyens, une quelconque alternative. N’importe quoi qui ferait changer d’avis à ce type.  Mais au fond de moi je sais qu’il n’est pas prêt de changer d’avis, il a trouvé sa proie : ce type est un porc, ça proie ce soir, c’est moi. Pourquoi moi ? Parfois je plais aux hommes visiblement, malgré tout, mais je ne pensais pas être capable d’attirer un homme comme ça… Ou peut être que pour une fois c’est moi qui fais trop attention aux apparences ? Peut être qu’il est plus subtil qu’il en à l’air ? Auquel cas j’ai plus encore de soucis à me faire. Mais d’après moi, ce type à juste embarqué la première personne venue. Je sens maintenant les lèvres de l’homme m’embrasser, ou plutôt s’écraser sur ma peau comme si j’étais un fruit difficile à manger.

Je ferme de nouveau les yeux, pas pour apprécier mais au moins pour ne pas voir. Je sers les dents pour ne pas sentir, je m’enfermer à l’intérieur de moi. Mais malgré tout mes efforts je suis obligée de sentir cette énorme main qui tartine grassement ma cuisse, c’est tout simplement insupportable. Mes bras jusqu’alors paralysés le longs de mon corps se réveillent, et j’agrippe le poignet de l’homme, celui qui est proche de ma jambe et qui guide cette main obscène, maintenant glissé vilement près de mon intimité. Ma main semble minuscule et impuissante, j’essaie de tirer mais mes doigts buttent, refusent de se coordonner. Je sens bientôt le sol sous mes pieds. M’a-t-il reposée ?

J’ouvre les yeux, juste le temps pour moi de voir sa bouche s’approcher et se coller sur la mienne. Je sers les lèvres et les dents avec conviction. Je percute de nouveau le poteau, ma nuque est douloureuse, il profite de ma surprise pour glisser sa langue dans ma bouche et m’embrasser avec plus de force encore. Mes yeux cette fois ci sont bien ouverts, et ils ont une expression de terreur, c’est certain. La main de l’homme se glisse maintenant sous mon pull, puis dans ma culotte. Je cris. Je crois que j’ai crié ? Mon cri s’étouffe dans cet affreux baiser, je remue la tête, je libère mes lèvres.
« Lâches-moi ! »

Je le déteste. Ma gorge se noue, j’avale ma salive avec difficulté, je sens que je vais pleurer, mais je fais tout pour m’en empêcher, il n’en est pas question. Pas tant que je peux encore tenir. Mon corps tremble toujours, entre frissons de dégoût et de terreur, je suis incapable de me contrôler. Ma main, toujours agrippée faiblement à celle de Don est inutile, je suis incapable de faire quoi que ce soit tellement mes spasmes sont nombreux. Ma voix est étouffée cette fois ci :
« Lâches-moi. »

Don

Avatar d'Aphrodite

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 9 jeudi 25 juin 2009, 16:48:11

Le rapport de force destabilisait habituellement l'intellectuel, et Sanna ne fit pas exception, elle allait surement passer par diverses étapes avant d'atteindre celle que Don voulait: la résignation et l'obeissance, des étapes elle était tout d'abord passée par l'interrogation, puis le mépris, et là enfin la panique, en très peu de temps elle allait atteindre le prochain pallier qui était celui du dégout et de la repulsion si ce n'était déjà fait, et par dégout et répulsion, il voulait dire, de son propre corps, pas du sien. Don eut un large sourire alors que sa main caressait les cheveux de Sanna, il savait alterner les passages de douceur et les passages bestiaux, car il savait parfaitement que se montrer doux vers Sanna la dégouterais encore plus de ce qu'il allait lui faire, Don savourait cette sensation au maximum et allait bientôt profiter pleinement de son lot. Sanna était belle, a sa manière, il allait être celui qui allait lui apprendre a être fier de son corps, il était en quelques sortes son bienfaiteur, Don eut un petit rire alors que ses yeux se plongeait dans l'azur de Sanna et qu'il lui lançait avec une voix placide.

"Je t'en prie, ne te dérange pas pour moi, crie tant que tu le voudra, personne ne viendra et tes cris ne feront qu'améliorer ma performance de ce soir."

Fit Don alors qu'il attrappait Sanna par son pull encore une fois et qu'il le fixait de toute sa stature, la dominant par sa taille et par son regard noir, il lança alors avec le plus grand des calmes et une voix charmeuse

"Car je sais surement ce que tu pense, tu te demande pourquoi je t'ai choisi toi plutôt que quelqu'un de mieux fait."

Don arracha sans plus attendre le pull, laissant Sanna en T-Shirt a présent alors que sa main s'affairait sur son intimité de manière plus assistante et que sa main passait le long de sa joue, caressait sa gorge et s'aggripait au col de son T-shirt

"Est ce que c'est ça?"

Il déchira alors son T-Shirt, pas assez pour l'ôter, juste assez pour la dénuder sans que le vetement ne tombe au delà de sa poitrine, le but n'était pas de la découvrir, mais simplement de lui faire peur pour le moment.

"La beauté ne se trouve pas forcement dans le corps, petite, elle se trouve aussi dans le regard, la personnalité et l'intelligence, j'ai trouvé que tu était belle. Et je m'approprie tout ce qui est beau."

Fit il en descendant son sous vetement pour arracher sa culotte et la jeter au loin et la laisser tomber au sol.

"A partir d'aujourd'hui et pour tous les jours a venir, tu sera ma chose, et tu m'obeira."
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

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Sanna J. Len

Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 10 vendredi 26 juin 2009, 10:46:22

A quel moment peut-on atteindre un tel degré de cruauté ? A quel instant tout ce qu’il y a d’humain en quelqu’un peut-il disparaitre, au point de ne laisser plus qu’un corps remplit de souffrance et de sadisme. Je retiens toujours mes larmes, essayant coûte que coûte de m’agripper aux dernières traces de fierté ou d’amour propre qu’ils me restent. Mais je sens que malgré tout dans un moment comme celui là, il n’y a plus de place pour ce type de valeurs. Je regarde ailleurs, refusant de croiser le regard de l’agresseur. Mon visage semble certainement figé, j’essaye de paraître flegmatique, tellement froide qu’il aurait l’impression de s’envoyer un mannequin.  Mais je sens cette main agripper de nouveau mon pull, bloquant ma tête contre la colonne, il plonge son regard dans le miens. Soit impassible San’. Je reste silencieuse, cependant au moment ou il déchire mon vêtement, je sais déjà que mes yeux s’embuent. Mes lèvres tremblent.

Je vais me faire violer. Moi Sanna J. Len, la fille qui pour moi avait le moins de chances de se faire violer un jour… Finalement, peut être que ce porc est moins con que ce que je m’étais imaginé en premier lieu. Cette main qui se frotte avec une sorte de folie contre mon intimité, j’essaye d’y faire abstraction, mais malgré tout… Retiens ces putains de larmes, petite conne ! Retiens les, bordel ! Je sais qu’elles parcourent maintenant mes joues, d’ailleurs ma vision se trouble. Ma bouche arrête tout de même de trembler, et mis à part les trainées d’eau salée qui coulent sur mon visage, celui-ci semble toujours impassible. Il s’acharne de nouveau sur mes vêtements, mes larmes redoublent, bien sûr j’ai peur, je suis effrayée, j’ai mal, j’ai terriblement mal et j’ai le ventre retourné. C’est certainement ce que ressent toute fille violée, c’est certainement ce que recherche tout violeur.

Le vent s’abat sur ma poitrine - s’il on peu nommer ainsi ces maigres petits dômes de chaire - à présent dénudée. Il me regarde toujours, il se justifie, il m’hurle que je suis belle. Pauvre con. C’est maintenant mon sexe, jusqu’ici martyrisé qu’il se retrouve à l’air libre. Le froid est insupportable. Il arrache et balance ma culotte. Cette fois ci je me retiens réellement pour ne pas crier, pour ne pas fondre en larme, pour ne pas m’écrouler sur le sol, secouée de sanglot. C’est peut être stupide mais à cet instant, un mot ridicule, pathétique, sur une intonation implorante, résonne dans ma tête : Papa… Comme s’il était capable à mes vingt ans encore, de me porter secours. Plantée comme un piquet, les yeux dans le vague et le visage noyé de larme, je reste silencieuse, bien sûr, mes jambes tremblantes et mes yeux écarquillés semblent vouloir me trahir, mais je fait tout pour ne pas quitter le personnage.

Don

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Re : La minute artistique... (Libre)

Réponse 11 dimanche 05 juillet 2009, 21:01:08

Don était encore moins qualifié que tous pour remplir le rôle "D'humain" car Don n'était que Bestialité sourde et ferait preuve d'une villenie telle qu'elle en choquerais peut être même certains démons. Don n'était qu'un homme, et sa seule existence prouvait a tous que l'humain était pire que le mal. Car l'humain, contrairement au mal, avait encore de l'imagination a revendre. Don lui, s'amusait comme un étudiant en goguette, il s'amusait comme des gens normaux s'amuseraient si ils passaient un bon moment a l'exterieur après une soirée romantique. Il était un dresseur né. C'était bizarre d'ailleurs, que la vente d'esclave soit interdite sur terre alors que c'était là qu'elle marchait le mieux. C'était dans ce monde où l'esclavage était prohibé que ses esclaves se vendaient le mieux, a de riches propriétaires qui les faisait passer pour des suivantes. Que Sanna soit vendue ici ou sur Terra, il en tirrerais un prix égal, car c'était une femme intelligente et d'un certain charme, que n'importe qui ne pouvait pas se payer. Il sentait qu'elle avait un grand potentiel, il allait juste devoir l'acclimater un petit peu voilà tout.

"N'essaye pas de me résister, tu va y passer de toute façon, alors essaye de rendre ce moment agréable pour toi."

Goguenard, il approcha sa bouche de son oreille pour la mordiller lui lança avec sadisme

"Car ce n'est que la première fois d'une longue serie, crois moi."

La main de Don passe sur la poitrine de Sanna, s'y attarde, sous son vetement, la massant un peu et la provoquant un peu plus, tandis que de l'autre main il défaisait purement et simplement les boutons de son pantalon avant de présenter a Sanna ce qui allait devenir bientôt son nouveau meilleur ami. Le membre de Don était imposant et faisait une taille plutôt monstrueuse, il la saisit par la hanche

"Allez, on y va."

Il se plaça et en dépit de sa résistance il la pénétra de toutes ses forces.
Oh mon dieu vous avez vu l'heure?

Nombre de victimes : 37
Le plus chouette c'est Don!
Thème de Don
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Artwork par Louis Cyphre (Cliquez pour voir l'art complet)


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