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Nage avec une star [Noriko De Lange]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Nage avec une star [Noriko De Lange]

lundi 01 février 2016, 20:57:06

Seikusu était un port, situé, par conséquent, le long de la mer... Et, dès lors, outre le port de plaisance et le port industriel, il y avait aussi une plage. En réalité, la ville comprenait plusieurs plages. Il y avait, tout d’abord, la plage principale, celle située en face de la ville et de grandes avenues touristiques, avec des promenades, des hôtels, des cafés, des restaurants... Un belvédère qui n’était pas sans évoquer Miami Beach, en plus petit, l’ensemble formant une large baie séparée par deux falaises à ses extrémités. C’était là, le long de cette vaste baie, qu’on trouvait, pêle-mêle, simples baigneurs et surfeurs, au milieu de vendeurs ambulants de beignets, et autres sucreries propres à la plage. Il y avait également quelques petites aires de jeux, et, globalement, bien du monde... Bien trop de monde pour Alice.

La tête blonde était la Princesse de Sylvandell, mais elle venait régulièrement sur Terre, y passant des sortes de vacances, notamment en compagnie de son amie, Mélinda Warren. Une très grande amie, à qui Alice confiait tout, y compris ses plus grandes phobies... Comme l’eau. C’était curieux à dire, mais Alice avait peur de la mer. Elle avait peur de cette vaste étendue d’eau, terrifiée de sentir le courant l’emporter, et de dériver au large, loin de tout, entourée par la mer, et de se noyer progressivement, disparaissant dans les abysses et dans les intestins du monde, entourée de poissons... Beurk ! Une vision horrible et ignoble, s’il en est, et, à cette idée, Alice revint à elle.

Elle était là, de l’autre côté de la falaise, devant une plage isolée, au sein d’une petite crique, et l’eau mouillait ses pieds.

*Allez, Alice, ce n’est que de l’eau, il ne faut pas avoir peur !*

Poings serrés, elle sentait les vaguelettes remonter le long de ses pieds. Il n’y avait, fort heureusement, personne ici, car elle avait demandé à Mélinda de partir, afin qu’elle puisse mieux se concentrer. Alice, en réalité, avait bien conscience du ridicule de la chose. Ne pas oser tremper ses pieds dans l’eau, c’était ridicule ! Mais elle faisait du progrès, car ses pieds étaient maintenant imbibés du liquide transparent. Soupirant, les joues rouges, Alice avait néanmoins du mal à avancer, et passait son à faire un pas en arrière, puis un pas en avant, avant de bondir derrière elle.

Elle venait d’une région de montagnes, où la mer n’existait pas. Pour elle, c’était la seule explication de sa phobie, même si, à proprement parler, une phobie ne s’expliquait pas vraiment. Alice était là, se mordillant les lèvres, et se sermonnant de sa bêtise. Mélinda l’avait aidé, et elle avait appris à nager dans la piscine intérieure du manoir de son amie, mais, même malgré ça, la mer constituait encore en elle un blocage.

*Non, tu dois le faire ! se sermonna-t-elle encore. C’est que de l’eau, bourricote !*

Alice soupira, se mordillant les lèvres, en sentant les embruns sur son visage. Le vent faisait virevolter ses longs cheveux, et elle s’avança un peu, sentant une vaguelette sur son genou. Elle se mordilla les lèvres, avant de se pencher, et posa sa main sur le sol, fermant lentement les yeux, finissant agenouillée dans l’eau, ses talons s’enfonçant dans ses fesses. Elle pouvait sentir le sable, et resta comme ça, pendant un certain temps, avant d’entreprendre de se relever.

Elle n’était évidemment pas nue, et c’était l’une des esclaves de Mélinda qui lui avait prêté une tenue, à savoir une délicieuse swimsuit rouge, qui était ouverte dans le dos, et qui moulait plutôt bien ses fesses. Une tenue qui frôlait presque l’indécence, même si, et il fallait bien l’admettre, elle restait une swimsuit assez classique.

*Ohlàlà, quelle horreur !!*

Alice en était totalement nerveuse qu’elle s’était un peu isolée dans sa bulle, et n’avait pas entendu une personne approcher...

Noriko De Lange

Humain(e)

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    Noriko mesure 178cm pour 23 ans et est une modèle très connue au Japon, bien moins à l'étranger, quoi que tout de même un peu. D'origine française, elle possède une plastique parfaite selon les canons japonais, sublimés par un héritage européen qui lui donne un exotisme certain aux yeux de chacun. Elle est d'une nature réservée et timide, contrairement à ce que beaucoup de son travail pourrait laisser croire.

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 1 lundi 01 février 2016, 22:59:07

Pour une modèle, le bronzage revêtait une importance plus prononcée que pour les autres car il impactait directement la profession. En fait, plus que simplement quelque chose à travailler, c’était un véritable choix stratégique ; Au Japon, on n’aimait traditionnellement qu’assez peu les bronzages, en tout cas chez les femmes, et encore moins sur le visage. Mais, à l’internationale, c’était le contraire : Percer sans un bronzage au moins correct était difficile.

Noriko était tiraillée entre ces deux appels mais avait jusqu’ici maintenu le cap sur l’île nippone, prenant soin d’entretenir un léger bronzage qui, sa peau naturellement très blanche, était surtout l’assurance qu’elle maintienne un teint de vie plutôt qu’un réel foncissement. Il y avait cependant un avantage à avoir un teint « de naissance » aussi clair : Lorsqu’elle s’exposait au soleil pour quelques peu atténuer cette blancheur, elle avait le loisir de choisir où se trouveraient ses marques de bronzage. Encore une fois, c’était un choix à faire, car le Japon était plutôt demandeur de ces gages de dévoilement, là où le reste du monde préférait quelque chose de plus uniforme, et, par constance, Noriko décidait d’en avoir, seulement en bas, cependant.

Elle se refusait par contre à utiliser les salles de bronzage, croyant à leurs effets néfastes sur la santé - en plus de constater leur prix. Alors elle devrait travailler son teint comme des générations et des générations d’humains : Au soleil. C’était d’autant plus facile que Seikusu était une ville côtière et possédait des plages et surtout criques rarement fréquentées, lui permettant d’être en paix, loin des masses de possibles fans, surtout lorsqu’elle découvrait sa poitrine, ce que même seule elle rechignait à faire ; Que ne ferait-on pas pour sa carrière, pensait-elle.


Alors en tout début d’après-midi, voire seulement fin de matinée, comptant bien échapper au moment le plus chaud de la journée, Noriko se mit en route vers la plage. Elle portait une paire de sandales confortables et aérées, une petite robe blanche, un chapeau de paille pittoresque, et un sac de plage ( En vérité de sport, mais sa taille et aise de transport se prêtaient à merveille à cet usage ) avec quelques affaires adéquates, et évidemment en dessous de tout ça un maillot évidemment deux-pièces - pour les raisons techniques évoquées plus haut - blanc et relativement peu couvrant, quoi qu’elle ne compte pas que ce détail importe.

En effet, même si son chemin la dirigeait quasiment jusqu’à la plage fameuse et prisée de Seikusu, Noriko avait l’habitude de plutôt aller dans une des criques voisines, en vérité séparée de la marée humaine seulement par une petite avancée de falaise, mais c’était apparemment assez pour garantir la solitude la plupart du temps. C’était pourtant une magnifique journée, mais la jeune femme était quand même quasi sûre de se retrouver seule sur la minuscule bande de sable ; Peut-être un peu venteuse, se disait elle en devant garder son bras et son sac près du corps pour ne pas voir son vêtement s’envoler, mais la robe ne semblait de toute façon pas si nécessaire quand elle croisait les autres touristes ou même habitants de Seikusu se baladant en maillot. En surprenant son ombre sur le bitume, elle pouvait même deviner le fin tissu blanc quelques peu transparente, celui-ci laissant transparaître la silhouette opaque de Noriko à travers la simple pénombre qu’il projetait, tant le soleil tapait déjà fort ; Elle loua que la période de l’année pardonne aussi facilement la désinvolture vestimentaire, sans quoi elle se serait sentie bien audacieuse.

Quand elle arriva près de sa destination, elle fut cependant abandonner le bitume, puis même les chemins graveleux de plage, se retrouvant à précautionneusement descendre de rocher en rocher pour arriver dans « sa » crique. La certitude qu’elle n’aurait à craindre la présence de quiconque d’autre lui fit ne même pas lever le regard lorsqu’elle arriva enfin au sable, se mettant au lieu de ça à immédiatement installer ses affaires. Une serviette de plage qu’elle prit soin d’immédiatement arrimer au sable avec son sac ; De celui-ci elle sortit un flacon de crème solaire qu’elle posa sur sa nouvelle surface de travail, puis une très fine écharpe qu’elle utiliserait pour voiler son visage, et enfin son MP3 avec lequel elle occuperait son temps, fourrant ensuite sa robe, ôtée en un instant, à la place de tout ceci dans son sac.

Quand enfin tout fut prêt, elle s’assit sur la serviette de façon à ce qu’il ne lui reste plus qu’à se laisser tomber pour être en position de bronzage, et commença à rituellement se passer la crème solaire en profitant de la vue. Jusqu’à ce qu’elle remarque que sa solitude n’avait été que le fruit de son oubli de regarder autour d’elle, en tout cas.

Il y avait une jeune femme se baignant dans la crique, enfin, en tout cas qui baignait ses pieds, agissant assez étrangement au bord de la mer. Noriko continua son œuvre un moment, finissant d’huiler son corps - prenant soin de délicatement passer les mains sous son haut de maillot pour s’apprêter à l’ôter, ne réalisant pas encore qu’elle ne pourrait le faire vu la présence. Cela fait, elle ramena ses genoux vers elle et les enserra de ses bras, posant sa tête au sommet de tout cela, pour observer la personne avec qui elle partageait « sa » crique.

En fait, elle n’était même pas tout à fait en train de se baigner, pas comme quelqu’un tentant d’apprécier la mer, mais tentait seulement de le faire, avec visiblement quelques échecs qui la faisaient à chaque fois revenir sur ses pas vers la terre plus ou moins ferme puisque faite de sable. Noriko se demanda comment quelqu’un pouvait réellement ne pas arriver à mettre ne serait-ce que les pieds dans la mer, mais ne pouvait que constater à quel point cette difficulté semblait palpable, la jeune femme finissant par devoir affronter sa peur en se forçant à genoux dans quelques centimètres d’eau salée.

Noriko sentait déjà le soleil chauffer son visage, se rappelant à quel point une séance de bronzage pouvait être ennuyante voire pénible, et décida de rapidement rassembler ses affaires - à l’exception de sa serviette qu’elle délesterait de tout ce sable plus tard - dans son sac puis d’aller aider sa comparse. Elle ne l’appela cependant pas - ce n’était que difficilement dans sa nature - et préféra discrètement marcher jusqu’à elle, observant ses derniers progrès et sa tenue de plus près.

Cette dernière était plutôt... « osée », malgré le fait qu’elle était « une-pièce », en tout cas beaucoup plus que les maillots réglementaires que Noriko avait du porter pendant toute sa scolarité, mais, réfléchissant un instant à ce qu’elle portait elle-même, elle fut rappeler à la réalité qu’elle n’avait qu’assez peu de leçons à donner. Le tout était plus que classique, blanc avec quelques ficelles pour lier le tout - et surtout l’enjoliver - mais il fallait avouer que c’était plus que révélant ; Pour son bronzage, pouvait-elle s’excuser, et elle croyait qu’elle serait seule, mais tout d’un coup elle se sentait bien bête d’avoir abandonnées ces deux excuses en se levant de sa serviette. Ses mouvements recommençaient déjà à faire ressentir à Noriko à quel point son maillot était serré, chaque faible rebond de ses fesses ou seins tirant légèrement sur le fin tissu.

Quand enfin elle fut près de l’aventurière, elle s’accroupie délicatement à quelques dizaines de centimètres d’elle, fléchissant simplement ses jambes, enfonçant ses fins doigts de pieds dans le sable et joignant ses doigts de mains entre ses cuisses et son buste, désormais à la hauteur de la jeune femme à laquelle elle s’adressait, lui offrant une vue involontaire sur sa poitrine huilée et brillant au soleil, comme le reste de son corps.


« Bonjour !...Est-ce que...Vous voulez de l’aide ? »
« Modifié: lundi 01 février 2016, 23:23:30 par Noriko De Lange »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 2 mardi 02 février 2016, 12:39:23

Alice avait laissé ses affaires dans un coin de la plage, près de la mer. Il n’y avait, en soi, rien d’exceptionnel : une serviette bleue et un panier. Il y avait, dedans, un tube de crème solaire, mais qui ne lui servait pas à grand-chose, car sa peau était résistante à ce genre de choses (l’avantage d’être une Korvander), et, de manière plus utile, un sandwich (un jambon-beurre, c’était simple, et elle adorait ça, et, rien que pour ça, elle rêvait de voyager en France, afin de manger ce truc toute la journée !) et un livre. Un roman qu’elle avait pris dans la bibliothèque de Mélinda, un thriller terrien, venant, là aussi, de la France,  d’un auteur qu’elle aimait bien : Bernard Minier. Et il y avait aussi des lunettes de soleil et un bob pour femme, au cas où elle aurait envie de bronzer, et de protéger sa tête du soleil. Tout cela, en l’état actuel des choses, était bien secondaire, et, inconsciente d’être observée, Alice continuait à défier l’eau. Agenouillée dans l’eau, elle finissait presque à quatre pattes, relevant ainsi son postérieur, en essayant de s’accommoder à la présence des vaguelettes… Puis une petite vague mouilla ses cheveux…

« Hîîîî !! »

Sursautant sous la peur, elle crispa ses doigts entre eux, se mordillant les lèvres, le cœur battant la chamade dans sa poitrine, et redressa son buste. La scène en devenait franchement ridicule, et, alors qu’elle reprenait son souffle, elle entendit un bruit de pas dans son dos, et se retourna subitement, finissant sur les fesses, en voyant une jolie paire de seins, agrémentant un corps tout aussi agréable à regarder.

« Oh… Euh… Bonjour ! »

Alice se mordilla les lèvres, nerveuse, en se demandant comment elle avait fait pour ne pas entendre cette femme… Puis elle se rappela alors ce que la femme venait de dire, et Alice, penaude, les joues rougies par la gêne, cligna des yeux à toute allure, avant de se redresser un peu. Et, si Noriko avait pu involontairement offrir la vue de sa poitrine à Alice, l’inverse avait été vrai quand la jeune femme avait bondi dans l’eau, rehaussant en effet un peu sa belle poitrine.

Elle cligna des yeux, et écarta plusieurs mèches de cheveux de son visage.

« Je… Je sais nager, hein ! Mais… Hum… »

On put la voir se mordiller les lèvres, comme si (et c’était, mine de rien, véridique), elle avait honte de le dire… Mais il n’y avait personne ici, et cette mystérieuse femme semblait avenante… Elle ne se moquerait sûrement pas d’elle comme Ayumi, l’une des amantes de Mélinda – un vrai garçon manqué – le faisait régulièrement.

« J’ai… J’ai peur de l’eau… avoua-t-elle, d’une petite voix penaude, presque une voix de jeune fille venant d’avouer qu’elle avait commis une ‘‘faute irréparable’’ en prenant un bonbon alors qu’elle n’avait pas le droit de le faire. Alors, je m’entraîne ici à combattre ma phobie, mais… Ben, c’est pas forcément évident ! »

Pffiouh ! Ouhlàlà, quelle chaleur ! Alice déglutit un peu, puis se redressa alors.

« Bref… Je m’appelle Alice, et… Euh… J’espère que je ne te dérange pas trop. Je veux bien ton aide, mais j’veux pas t’embêter… La plage est pour tout le monde, je te promets de pas faire trop de bruits ! »

Il n’y avait néanmoins qu’elles, et Alice était encore un peu trop nerveuse pour se demander pourquoi cette femme préférait, comme elle, la solitude…

Noriko De Lange

Humain(e)

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Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 3 mardi 02 février 2016, 16:35:54


Bien malgré elle, Noriko avait quelques peu effrayée la jeune femme avec laquelle elle partageait la plage ( Qui n’était désormais plus vraiment la sienne, s’entraînait-elle à intégrer ), l’interrompant dans son entreprise, quelle qu’elle ait été, et s’attirant son attention. La jeune modèle se surprit à trouver que son interlocutrice ressemblait étrangement à une petite fille, barbotant dans une si maigre profondeur et en étant malgré tout toute effrayée, ne daignant même pas risquer de continuer tout en conversant, ce qu’elle faisait avec une myriades de petits indices de gêne. Enfin, pour être exacte, cette ressemblance ne concernait évidemment que sa gestuelle, car pour le reste, il était plus que manifeste qu’elle avait largement dépassé l’enfance.

Noriko se surprenait à apposer ses yeux bleus-lagon sur la poitrine peu cachée par son maillot, le peu qui en était caché bien vite compensé par le moulage osé ; Ce n’était pas vraiment volontaire, la jeune modèle plus perdue dans ses pensées alors qu’elle faisait l’effort de se rappeler du nom de son interlocutrice qu’attirée par la vue qu’elle devait avouer généreuse - et elle disait ça avec l’expérience d’avoir vu certaines des plus belles femmes de la nation si ce n’est du monde quasiment dans le plus simple appareil, le peu de complexité servant au contraire à souligner leurs attributs.

Quoi qu’il en soit, elle se retrouvait captivée par la jeune Alice - elle disait jeune mais était en vérité loin d’être sûre de ne serait-ce qu’avoir son âge - et prenait son histoire bien au sérieux, n’osant se moquer ni ne pas compatir un seul instant, surtout vu toutes ses petites manies de gêne ; Ses dents qui mordillaient faiblement ses lèvres, ses yeux qui clignaient plus que d’ordinaire, et surtout sa voix qui la renvoyait au stade d’enfant. Quand l’aventurière eut fini de se présenter et que Noriko se sentit obligée de lui rendre la politesse, elle avait déjà pris la décision de lui venir en aide.


« Mon nom est Noriko...elle lui souriait avec avenance pour ne pas la brusquer dans son océan de gêne...Je viens souvent ici, et ne t’en fais pas, ça fait du bien de pour une fois voir quelqu’un... »

Elle renouvela son sourire de plus belle, tentant de sembler aussi sympathique et volontaire que possible, et délicatement, elle se laissa tomber à genoux pour parcourir les quelques centimètres la séparant encore d’Alice. Glissant aisément sur le sable mouillé du fond de la minuscule profondeur dans laquelle les deux jeunes femmes se tenaient, elle se positionna dans le dos de sa camarade, posant le bout de ses fins doigts sur un de ses avant-bras pour lui signifier de se laisser faire.

« Ne t’en fais pas pour le bruit, ce n’est pas bien compliqué, la mer, mmh ? »

Doucement, elle applique d’infiniment précautionneuses pressions sur diverses parties du corps d’Alice, prenant soin que ce soit le plus souvent sur des parties où sa peau était couverte par son maillot, pour l’amener à une position un peu plus droite et surtout moins contorsionnée, pour la mettre à l’aise.

« D’abord, on va t’habituer à l’eau salée, d’accord ?..Si tu sais nager, ça ne doit pas te faire peur, mh ? »

Elle plongea délicatement une main dans l’eau de la mer, la collectant en en resserrant les doigts puis y dessinant un creuser, comme lorsqu’on essaie de boire d’une fontaine. Ceci fait, et après avoir attendu qu’une vaguelette passe, celle-ci escaladant légèrement les cuisses de Noriko faiblement inclinées, ses doigts de pieds plantés dans le sable pour que ses talons puissent supporter ses fesses que ses mouvements et le courant commençaient à doucement découvrir à cause de l’étroitesse de son maillot.

Rapidement mais sans faux geste, ne renversant pas - trop - de l’eau, elle apporta celle-ci au bras d’Alice, l’y renversant pour l’y faire perler, l’imbibant de la sensation de la mer et sa toute relative chaleur. Elle appose avec pudeur, n’enfonçant qu’infiniment et que le bout de ses doigts dans la chair du bas du dos d’Alice, protégée par son maillot, une main sur elle, pour la rassurer de son contact et être mieux assurée alors que l’autre massait doucement l’eau le long du bras nouvellement ongué.


« Ca ne fait pas peur, mh ? »

Quand elle eut fini cette application, elle fit de même pour l’autre bras, puis les cuisses, la hauteur de l’eau étant encore loin d’atteindre la coupe révélatrice de son maillot, et glissa ensuite un peu d’eau dans le col arrière, écartant celui-ci d’un doigt. Noriko semblait plutôt assurée, œuvrant sans interruption ni tremblement, mais ne faisait ça que pour ne pas plus stresser « son élève », se sentant en son fort intérieur gênée, voulant rougir à chaque instant, mais se l’interdisant, son visage gardant une expression de concentration, les lèvres très légèrement séparées. Cela ne fit que s’intensifier lorsqu’elle du déverser sa petite paumée d’eau dans le col avant, quoi que par chance, l’échancrure généreuse du maillot ne l’obligeait pas à elle-même l’ouvrir pendant qu’elle se rapprochait du dos d’Alice, sans oser le toucher cependant, pour mieux guider son bras. Après ça, elle repassa rapidement sur les bras, se servant du peu d’eau restant sur ses mains pour raviver la sensation qu’elle voulait rassurante de l’eau marine.

« Tu te sens prête à me faire confiance, maintenant ? »

Demanda-t-elle avant de délicatement saisir les mains de « son élève » dans les siennes, entremêlant doucement leurs fines menottes. Lentement, elle ramena celles-ci vers le buste d’Alice, finissant par faiblement presser les avant-bras de la jeune femme contre son buste, la faisant par la force de l’anatomie l’enlacer, et lui intimant de suivre son mouvement. Surtout vers l’arrière, pour allonger - pas totalement, évidemment - Alice, mais aussi un peu sur le côté, espérant déplier ses jambes pour faciliter la tâche.

Pour la rassurer et mieux l’accompagner, Noriko enlaçait désormais pleinement sa protégée - mis à part ses propres bras séparant son buste de ceux de la jeune modèle, la princesse incognito était cernée de toutes parts par la douce chair de la terrienne, le contact doux de la crème solaire, encore récemment appliquée et bien présente, atténuant l’âpreté du contact, si tant est que leurs deux peaux de satin puissent jamais être capable d’un tel défaut. La poitrine de Noriko se pressait doucement contre le haut du dos d’Alice, pouvant même lui servir d’oreillers globuleux si il lui en prenait l’envie, et son visage planait bénévolement au dessus d’elle, surveillant ses progrès.


« Alors, est-ce que tu te sens mieux, maintenant ? »


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 4 mercredi 03 février 2016, 08:18:02

Alice s’était trouvée une jeune femme très avenante, et, en réalité, une alliée dans sa lutte désespérée contre un ennemi impassible et terrifiant : la mer. La Princesse observait cette étendue bleutée avec angoisse, avant que Noriko, ne prenant les devants, n’aille se glisser dans son dos. Surprise par un tel élan, Alice ne put que la laisser faire, rougissant légèrement en sentant les douces mains chaudes et tendres de la jeune femme se poser sur son corps, à hauteur de ses bras, en l’incitant au début à se remettre droite, assise dans l’eau. Noriko y allait précautionneusement, et Alice obéit silencieusement, hochant délicatement la tête, en se positionnant comme Noriko l’entendait. Ainsi assise, son emprise sur le sol était meilleure, évitant, de cette façon, une chute trop brutale.

De cette manière, Noriko entreprit de lui verser de l’eau sur tout son corps, l’humectant, la faisant mouiller, Alice se mordillant les lèvres en soupirant très faiblement. Elle papillonnait des yeux, frappée par la familiarité de Noriko. Au Japon, Alice savait que le contact corporel était beaucoup plus marqué que dans d’autres pays de la Terre, ce quie xpliquait pourquoi on se saluait traditionnellement en inclinant le buste, et non en se serrant la main. Un simple geste de politesse, anecdotique, mais qui illustrait des conceptions bien différentes. Or, ici, Noriko n’avait aucune peur, elle agissait, au contraire, avec efficacité et témérité, et l’eau commençait à ruisseler sur le corps d’Alice. La délicate tête blonde soupirait, frissonnant quand l’eau se glissa sur son col, voyant la main de Noriko en piocher pour la lui déverser.

« Haa... »

C’est qu’elle était froide ! Elle sentit l’eau glisser le long de son buste, se rapprochant de ses seins, fort heureusement recouverts par sa swimsuit. Noriko lui redemanda ensuite, avec sa voix douce, chaude, et qui semblait être légèrement amusée, si cela faisait peur, et, en rougissant, elle se mordilla les lèvres, et hocha légèrement la tête.

« O-Oui... Ça... Ça ne fait pas peur, en effet... »

Un peu déstabilisée par une telle approche, Alice se demandait vraiment qui était cette femme, et pourquoi elle se montrait si... Familière avec elle. Il fallait bien dire que, à son corps défendant, à chaque fois qu’Alice avait rencontré des femmes aussi proches d’elle, les rencontres avaient fini dans de délicieux moments charnels. Or, du peu qu’elle avait vu de Noriko, cette dernière était de toute beauté, et, si elle n’avait pas remarqué, au début, le regard appuyé de la femme vers sa poitrine, elle avait, en tout cas, pu noter sa beauté, sa silhouette de rêve, ses hanches généreuses, tout son corps qui transpirait la grâce et la beauté. Cette peau légèrement bronzée n’était, de plus, pas pour lui déplaire. Ce n’était pas commun au Japon, où les individus avaient un teint de peau très pâle, et ceci expliquait l’émergence de ces Japonaises se bombardant aux ultraviolets pour avoir la peau bronzée. Une mode inspirée de l’Occident, qui avait donné naissance au phénomène typiquement japonais des ganguros... Mais la peau de Noriko, elle, semblait bronzer de manière naturelle, ce qui laissait entendre des origines métisses. Était-ce une étrangère en vacances à Seikusu ? Alice n’y croyait pas trop, car elle voyait mal une touriste se rendre dans une crique isolée.

Ses questions se turent quand la femme lui demanda si elle pouvait lui faire confiance, et, tournant la tête sur le côté, mais sans pouvoir la voir, Alice hocha la tête :

« Oui, évidemment... Je te fais confiance, Noriko... »

Elle ne savait pas qui était cette femme, mais, dans sa tête, elle se mettait maintenant à rougir en se disant que, ensemble, elles devaient former un très beau couple. Si une autre personne s’approchait, elle aurait sans aucun doute pu croire à un couple en train de s’enlacer et de se faire des caresses sensuelles sur la mer. Une scène qui ne manquait pas de charme, faisant doucement sourire Alice, qui se mit à imaginer Noriko, après cette phrase, lui faire des bisoux dans le cou... Mais ce fut autre chose que la femme suivit, en posant ses mains sur celles d’Alice, et l’amenant à poser ses propres mains sur son corps, comme pour l’enlacer, puis appuyant sur elle, Noriko entreprit de la renverser doucement vers l’arrière.

Alice frissonna en sentant son corps s’enfoncer un peu dans l’eau, ses jambes se creusant un sillon dans le sable pour pouvoir se déplier, mais, fort heureusement, l’eau n’était vraiment pas profonde, et ses fesses touchèrent rapidement l’eau, tandis qu’elle sentait Noriko, tout contre elle, se redresser. La tête de la femme cacha le soleil aux yeux d’Alice, qui dut cligner des yeux, légèrement éblouie, voyant le visage de Noriko s’assombrir, tandis que sa tête s’était enfoncée contre ses seins, la faisant soupirer. Noriko vint ensuite lui demander si elle se sentait mieux, ce qui amena Alice, en première réaction, à soupirer, ses belles lèvres s’entrouvrant :

« Oh... »

Se sentant inspirée, elle leva une main, et vint caresser l’une des joues de Noriko, en lui souriant.

« Dans une telle position, je ne peux qu’être bien... »

Elle cligna des yeux, sa vision s’habituant, peu à peu, au spectacle du corps de Noriko, qu’elle trouvait maintenant, de si près, vraiment agréable. Sa bouche n’était guère éloignée de la sienne, et elle vint déplacer un peu sa tête, la frottant contre ses seins, tout en continuant à caresser sa joue, remontant un peu pour rapprocher ses doigts de l’une de ses oreilles, avant de les écarter, un sourire venant, à nouveau, se dessiner sur sa bouche.

« Merci, Noriko... Je... »

Alice se mordilla délicatement les lèvres, avant de reprendre:

« J’ignore ce que tu me fais, mais... Je trouve cela vraiment très agréable... J’aime sentir ta compagnie contre la mienne, ça... Ça me donne confiance en moi... »

Noriko De Lange

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    Noriko mesure 178cm pour 23 ans et est une modèle très connue au Japon, bien moins à l'étranger, quoi que tout de même un peu. D'origine française, elle possède une plastique parfaite selon les canons japonais, sublimés par un héritage européen qui lui donne un exotisme certain aux yeux de chacun. Elle est d'une nature réservée et timide, contrairement à ce que beaucoup de son travail pourrait laisser croire.

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 5 jeudi 04 février 2016, 19:04:10

Noriko faisait tout en son pouvoir pour aider Alice, ne reculant devant pas grand-chose pour la faire se sentir à l’aide. Son corps enserrant le sien - en tout bien tout honneur - elle était aussi proche, physiquement, avec cette inconnue qu’elle l’avait été avec la plupart de ses connaissances, même les plus anciennes. Dans son esprit, ce n’était cependant pas - encore - quelque chose vraiment hors de l’ordinaire ; Pour elle, et ç’avait été une nécessité pour garder sa timidité et son honneur intact, la nécessité effaçait toute forme de gêne qu’il y avait à avoir.

C’était ce qui expliquait que malgré la pléthore de photos osées qui existaient de Noriko, parfois enlaçant une autre modèle toute aussi dévêtue, parfois enlacée à son tour, et souvent pas dans un simple câlin, son visage au niveau du sien. Même pour une photo « solo », les gens ne le remarquaient peut-être pas, mais les contacts physiques étaient pour ainsi dire inévitables : Il fallait prendre ses mensurations, au plus près, donc presque à nu, ajuster ses vêtements si ce n’est l’habiller, pour les vêtements les plus complexes, pour plus de rapidité, la maquiller, souvent pas seulement le visage, et c’était sans compter sur les divers accessoires - drapés, liquides... - qui devaient venir s’apposer à sa peau. Et il ne fallait pas compter sur ce que soit un seul artisan de la mode qui fasse tout cela, depuis que sa carrière avait décollé de ce stade ; Elle n’avait souvent même pas idée qu’une agence soit prête à engager quelqu’un pour des travails aussi minuscules, quoiqu’elle aurait pu jurer que, pour certains, la promesse de la proximité avec une modèle soit part du paiement.

Alors Noriko devait avouer n’avoir aucune gêne pour ce qu’elle faisait, ou en tout cas en faire parfaitement abstraction, celle-ci ni ne se sentant dans ses gestes ni ne se lisant sur son visage. Cependant elle pu se rendre assez vite compte que cette apparente audace pouvait vite se méprendre pour une audace très réelle, motivée par autre chose que le simple professionnalisme. Quand sa joue fut touchée par les fins doigts d’Alice, lui faisait baisser le regard vers celui, piqué par quelque chose, de la jeune femme, elle le réalisa bien vite ; Ses déclarations étaient typiques d’une séduction - un peu maladroite voire sincère, sans doute, mais une séduction tout de même. Elle décida de l’ignorer, même pendant que le doux toucher massait lentement sa joue, et la déclaration à mots couverts fut la plus dure à surmonter.


« C’est...Très bien...Tu veux qu’on...Aille plus loin, dans la mer..? »

Aussitôt la proximité qui liait les deux femmes avait quitté ce rapport parfaitement utilitaire de vaincre la phobie d’Alice qu’il sortait Noriko de sa zone de confort. Non seulement parce qu’elle se sentait gênée d’autant d’attention si subite et inattendue, mais aussi parce qu’elle devait avouer que l’embouchure que venait d’ouvrir la jeune nageuse n’était pas parcourue que par un seul courant. Sa chaleur n’avait pas laissée la modèle indifférente, et alors que sa douce chair réchauffait son for intérieur, ses formes émoustillaient les prunelles de ses yeux, délicieusement soulignées par son maillot audacieux ; Lorsqu’elle décrivait ses courbes, Noriko pouvait deviner la constriction sur les formes de la jeune femme, les voyant être libérées lorsque sa coupe osée les laissait s’exprimer.

La modèle écarta délicatement ses mains, faisant faire de même à celles d’Alice, pour lui signifier que cet « exercice » était bien fini, avant de doucement se relever, ne le faisant complètement qu’après s’être assurée que  sa partenaire s’était désolidarisée de son appui, ne voulant surtout pas risquer de la voir tomber dans l’eau. Sans réelle excuse cette fois, elle fit lâcher une - seule, gardant l’autre emmêlée avec celle de son élève - de ses mains et apposa discrètement quelques doigts sur le flanc du dos de la jeune femme devant elle et lui intima d’une légère pression de s’enfoncer un peu plus dans la mer.


« Tu veux bien qu’on aille un peu plus loin, maintenant..? »

Sa voix se voulait aussi rassurante et confiante que possible, une combinaison étrange qui ne ressemblait pas réellement à la demande d’un professeur, ou l’exigence d’une supérieure, ou une quelconque figure d’autorité ; Plutôt, c’était la requête d’une amant, parlant pour deux et étant plus une conviction qu’une question. Pour appuyer les émotions qu’elle tentait de faire passer, Noriko souriait et ne reniait le contact d’aucune de ses mains à Alice, se tenant de manière générale très proche d’elle, pour l’accompagner, tant que si celle-ci venait à s’arrêter, au delà d’où son courage pouvait l’amener, la jeune modèle serait aussitôt prête à venir la rassurer et congratuler de sa chaleur.

Elle avait le dos légèrement plié en arrière, comme pour mieux admirer son élève, ce qu’elle faisait, surveillant son pas relativement assuré dans la mer, admirant la ligne de l’eau monter le long de ses belles cuisses et vers ses fesses dont elle captait la beauté au gré de leur déhanchement. Cela gardait le buste de Noriko bien en valeur, son ventre sculpté pour le mannequina par divers sports dont les muscles saillant pour retenir sa poitrine, celle-ci bien mise en valeur par sa position, la gravité pressant délicatement les deux globes contre elle, soulignant leurs meilleurs traits, en tout cas chez la modèle ; Leur forme et leur fermeté.

De par ses mains occupées, Noriko ne pouvait ajuster son maillot qui, au fur et à mesure que le déhanchement de ses pas le faisait épouser les formes de la jeune fille et les dévoiler, la faisait se sentir bien exposée et dévêtue. L’arrière déjà plutôt fin de son bas glissait doucement le long des monts de ses fesses pour mieux en dévoiler l’arrondi, lui indiquant qu’elle avait mal jaugé le nœud liant les deux parties, le liant probablement trop serré. Même sans cela, elle avait l’habitude de délicatement dessiner les contours de son maillot du bout des doigts, voulant signifier qu’elle n’était pas non plus satisfaite de leur peu de surface, et ne pouvoir se livrer à ce rituel lui faisait sentir encore plus dévêtue qu’elle ne l’était.

Plus elle gardait le silence pendant cette courte marche, plus elle réalisait que celui qu’elle avait imposé à Alice était injuste. A la fois parce que c’était bien impoli que de l’ignorer ainsi, mais parce qu’elle commençait à se sentir touchée par les mêmes sentiments. Son regard se sentait de plus en plus attiré par le fessier de son « élève », sans doute d’une part parce qu’il était de plus en plus proche du niveau de l’eau qu’elle surveillait, synonyme avec les progrès d’Alice, mais aussi parce qu’elle se sentait de plus en plus attirée.


« Tu...Tu sais, ce dont tu parlais tout...à l’heure.. ? Je...Je le ressens aussi... »

Après ça, elle n’en dit cependant pas plus, se sentant déjà bien audacieuse de dire une telle chose à Alice, crispant ses doigts aux creux de la main de celle-ci, comme pour appuyer ses mots mais surtout par gêne.
« Modifié: lundi 08 février 2016, 19:43:38 par Noriko De Lange »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 6 lundi 08 février 2016, 18:40:51

C’était comme un courant, un courant qui, peu à peu, était en train de passer entre les deux filles. Alice était nerveuse, très nerveuse à l’idée de devoir affronter son hydrophobie. Et, alors qu’elle était en train de se battre contre elle-même, cette fille, Noriko, était survenue de nulle part, telle une espèce d’ange, venant à son secours. Maintenant, les deux femmes étaient ensemble, reliées, et l’esprit d’Alice, toujours aussi inquiété par cette étendue d’eau, avait inconsciemment décidé de se rattacher à quelque chose qui, tout en étant plus connu, était aussi nettement plus agréable… À savoir Noriko. Alice ne pensait pas que cette femme avait été envoyée par Mélinda pour la surveiller, elle pensait plutôt à l’un de ces incroyables hasards qui lui avaient déjà permis, il y a quelques temps, de faire de merveilleuses rencontres, que ce soit sa professeur en informatique, Tessia Alexanders, ou l’infirmière du lycée, Shiro Ishimi. Deux femmes avec qui Alice passait d’excellents moments, et elle se demandait si Noriko ne rejoindrait pas le cercle très proche de ses amies intimes. En effet, vu la manière dont cette dernière se serrait contre elle, le doute était très légitimement permis.

Alice se redressa néanmoins, et Noriko lui demanda si elle était prête à aller plus loin dans l’eau. En réponse, on put voir la belle tête blonde se pincer nerveusement les lèvres, baissant les yeux, avant de relever la tête, et de regarder la femme. Elle n’allait pas avoir peur ! Une résolution nouvelle se saisit d’elle. Fuir ? Encore ?! Non, elle devait rester, rester, et vaincre sa peur de l’eau ! Et Noriko était là, telle une magnifique bouée de sauvetage, afin de l’aider à s’enfoncer plus en avant dans l’étendue d’eau.

« O-Oui… Mais… Il faudra me tenir, Noriko… »

Et c’est ainsi que les deux petites beautés allèrent former une étrange procession, avec le corps de Noriko collé contre celui d’Alice, les deux femmes marchant lentement. Alice aurait pu craindre de s’arrêter sur place, mais, au lieu de ça, elle s’enfonçait de plus en plus dans l’eau, son corps se perdant à l’intérieur. L’eau venait progressivement à l’entourer totalement, remontant le long de ses jambes, formant une sorte de curieuse chaleur qui protégeait ses cuisses des remous du vent. Elles étaient seules sur cette crique, sans personne pour les déranger, et, lentement, lentement mais sûrement, Alice marchait.

Ses pas devenaient plus assurés, alors qu’elle sentait, contre elle, le corps de Noriko, ses seins qui revenaient parfois s’enfoncer moelleusement dans son dos. Et, maintenant que le ver était là, Alice en revoyait fréquemment la queue. Elle se mettait à songer au corps de Noriko, à ses formes anguleuses, du peu qu’elle avait pu en apercevoir… Et leurs corps, entre-temps, s’étaient retrouvés à mi-hauteur de l’eau, qui filait jusqu’à la base des fesses d’Alice.

Ce fut à ce moment que Noriko lui glissa qu’elle ressentait la chose dont elles avaient parlé tantôt. Et, vu ses hésitations, elle ne parlait sûrement pas d’une peur naissante à l’eau !

« Oh… »

Alice se retourna alors, de manière à être face à Noriko, et posa ses mains sur les hanches de la femme, se montrant aussi câline qu’elle-même. Leurs corps étaient blottis l’un contre l’autre, perdus au milieu de la mer, et Alice lui fit l’un de ses sourires magiques dont elle avait le secret, avec ses yeux bleus qui pétillaient, et ses belles dents blanches. Ses cheveux blonds remuaient à gauche et à droite de sa tête, et elle sentait la peau chaude de Noriko, chaude, douce, et légèrement trempée.

« Vraiment ? »

Pure question rhétorique, et Alice reprit rapidement :

« Et bien, pour être honnête avec toi, je ne pense pas que j’aurais réussi à aller si loin sans ta présence… Non, j’en suis même sûre ! Je sais que c’est idiot, mais… Ben, après tout, une phobie est toujours un peu idiote, non ? Et, pour ça, je ne peux que te remercier. Tu ne me connais pas, mais tu n’hésites pas à me consacrer du temps et à me guider, alors que je dois ressembler à une folle… »

À Seikusu, on avait souvent tendance, entre inconnus, à se rapprocher rapidement, une chose qu’Alice avait pu observer ! Et puis, il ne fallait pas se nier les évidences, Noriko était d’une incroyable beauté. Si Alice avait appris qu’elle travaillait dans le mannequinat, elle n’aurait pas été surprise. Mélinda aurait pu le voir, parce que la vampire aimait regarder les catalogues de lingerie et les défilés de mode, notamment afin d’y trouver l’inspiration pour de nouvelles robes ou tenues sensuelles, mais Alice, elle, pouvait volontiers avouer s’en désintéresser.

Le courant passait entre les deux, et Alice approcha alors son visage de celui de la femme.

« Laisse-moi te remercier… »

Un chaste baiser alla se poser sur les lèvres de la femme, qui ne dura guère que quelques secondes, puis Alice se retira rapidement, en se mordillant les lèvres.

« C’est bien ce que je pensais… Les filles gentilles ont toujours des lèvres magnifiques ! »

Noriko De Lange

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    Noriko mesure 178cm pour 23 ans et est une modèle très connue au Japon, bien moins à l'étranger, quoi que tout de même un peu. D'origine française, elle possède une plastique parfaite selon les canons japonais, sublimés par un héritage européen qui lui donne un exotisme certain aux yeux de chacun. Elle est d'une nature réservée et timide, contrairement à ce que beaucoup de son travail pourrait laisser croire.

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 7 lundi 08 février 2016, 22:30:13

Noriko avait pu visiblement constater les progrès d’Alice. Alors qu’elle avait commencé à peine capable de tremper ses pieds dans l’eau et que chacun de ses pas en avant lui faisait en faire un autre en arrière, maintenant, son maillot commençait à se tremper, encore bien timidement, pour l’instant, ne s’étant assombri d’humidité que dans sa partie la plus basse, et elle marchait à bonne allure dans la mer. La modèle était contente de voir sa phobie, son tabou, s’envoler, car elle adorait les plaisirs de la plage elle-même, et même si c’était sans doute assez maladroit de penser que ce serait forcément le cas de sa camarade, elle l’imaginait déjà en profiter.

Elle devait cependant avouer qu’il y avait une seconde raison à sa joie de voir son « élève » progresser ; Qu’avec ce progrès, les deux jeunes femmes se rapprochent. En effet, chaque fois qu’Alice avait besoin d’un peu plus de courage, d’aide, elle se rapprochait de Noriko et s’attachait à elle, tant physiquement, les deux nageuses liant souvent leurs mains ou les apposant sur le fin tissu de leurs maillots, que plus mentalement, sentant une proximité si ce n’est affection se nouer. Toutes ces divagations faisaient se sentir la modèle bien emportée ; Ca ne faisait après tout que quelques minutes qu’elles se connaissaient, et elle n’avait fait ça que pour aider...Mais chaque fois qu’elle posait son regard sur les fines lèvres d’Alice, elle avait l’impression de regarder un miroir, les entendant mettre en parole tout ce qu’elle imaginait, et devinant sur leurs diverses et discrètes moues de la gêne, des aveux d’affection, et une pointe de passion.

Chacune de ces déclarations, silencieuse ou non, faisait légèrement rougir Noriko malgré qu’elle devait s’avouer ne pas faire beaucoup pour décourager Alice, ni même le vouloir, en réalité. Quand celle-ci franchit le dernier pas, se blottissant contre et enlaçant sa « professeure » tout en la remerciant, toutes les excuses qu’avait pu trouver la jeune modèle volèrent en éclat. « C’est juste pour l’aider », « Ca s’arrêtera là »...Tout s’effaçait devant le regard empli d’émotion que lui adressait Alice et que Noriko lui rendait, elle pouvait le sentir sans avoir à se regarder dans un miroir, incapable de se contenir.

À peine la mannequin eut le temps de vraiment réaliser ce que lui avait déclaré la nageuse, ne voulant mal interpréter ni un mot ni un silence, que ses mains se crispaient et ses bras s’arquaient en arrière de surprise, laissant place à la jeune femme qui s’approchait pour un baiser. Celui-ci fut relativement court, mais dura assez pour que Noriko conjure tout son courage, emplie d’audace par celle d’Alice, son embrassade semblant lui communiquer toute sa chaleur, son envie et sa passion. Avant sa fin, la modèle avait doucement fermé ses yeux pour mieux profiter des lèvres de sa partenaire, abandonnant ce sens pour mieux savoir se concentrer sur les autres, et lui rendait chaque tressaillement, chaque fine caresse, posant délicatement ses mains sur ses hanches, semblant faire miroir.

Le temps qu’Alice décide de mettre fin à leur baiser, la jeune femme était si emprise qu’elle se pencha très légèrement en avant lorsque celui-ci fut rompu, essayant d’en profiter un instant de plus. Le compliment de l’autre nageuse, sublimant l’attention dont elle venait de gracier Noriko, finit de la conquérir.


« Je...Mer-merci...Toi aussi, tes lèvres...Et toi toute entière...Êtes magnifique... »

Les mains de la mannequin, délicatement posées sur les hanches de son « élève », pour qui cette fonction semblait de plus en plus accessoire, encore séparées de sa peau par le fin tissu rouge de son maillot, descendirent doucement. Quand elles atteignirent la couture puis enfin sa chair rosée, plus douce que le lycra de son vêtement, elles s’arrêtèrent un instant avant de glisser l’index et le majeur de chacune sous le maillot. Lentement, elle infiltra ces doigts, et seulement ceux-ci, prenant soin de ne pas être trop gourmande, plus loin sous le tissu, et fit naturellement longer ses fesses à ses paumes, les faisant lentement descendre ces monts rebondis, pressant d’autant plus le reste de son corps contre Alice qu’elle avait besoin d’allonge pour atteindre la partie la plus voluptueuse de ses fesses.

Noriko n’en revenait pas de ce qu’elle faisait ; Elle rougissait, et si elle n’était pas doucement refroidie par les embruns de la mer et le vent qui les emportait, elle serait brûlante. Ces gestes, elle les avait déjà fait ; Non pas « sérieusement », n’ayant en réalité jamais eu de telles envies envers une femme, mais avec d’autres mannequins pour diverses photographies, l’amour entre nymphes échauffant souvent les humeurs masculines pour une raison qu’elle ne comprenait pas réellement. Quoi que ça ne changeait pas, elle n’en doutait cependant dorénavant plus les vertus érotiques, se sentant doucement emportée par celles-ci, se laissant aller à une extravagance improvisée, pressant doucement ses autres doigts dans la chair d’Alice, creusant faiblement la chair de ses fesses.

Le reste de son corps s’était discrètement, prenant pour prétexte les attentions de ses mains qui demandaient une proximité certaine, approché de celui d’Alice, manquant cependant de les rejoindre, Noriko gardant une ultime empreinte de timidité alors qu’elle avançait son bassin plus que ses épaules, laissant un espace confortable entre leurs visages qui s’étaient déjà pourtant déjà rencontrés. Il ne manquait que quelques centimètres, une once de passion seulement, la moitié d’une pensée, pour rejoindre leurs cuisses. C’était le dernier pas que la mannequin n’avait osé franchir, peu habituée à une telle indécence, arrivée « ici » seulement à force de folie et de passion déliée.


« Je...Je ne sais pas si...J’ai envie de continuer notre « leçon »... »

Noriko attira ses mains à elle, finissant de presser Alice contre elle, quoi que leurs poitrines restaient séparées, ce à quoi elle remédia en venant déposer un baiser sur le côté des lèvres de l’autre nageuse, simplement une invitation à rectifier cette décence, et une ultime excuse pour ne pas s’avouer avoir cédé une nouvelle fois. Ses yeux fermés d’appréciation, ses fines lèvres ondulant doucement à commissure de celles de sa partenaire, y déposant à répétition de timides baisers, espérant que chacun soit le dernier avant qu’Alice n’interrompe ce jeu de tentation, elle était enfin plaquée contre Alice. Pas brusquement, leurs peaux ne faisant à chaque contact que délicatement partager leurs chaleurs et se rassurer de leurs présences, ne s’écrasant nul part ; La seule chose les gardant l’une contre l’autre était leurs caresses qui ne se concevaient que dans l’intimité de ce câlin.

« Modifié: vendredi 12 février 2016, 10:19:02 par Noriko De Lange »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 8 mardi 09 février 2016, 20:16:33

Alice et Noriko venaient de se trouver suite à ce baiser. Un baiser relativement chaste, par sa brièveté, mais très explicite, par son impact. Un geste bien plus parlant que mille mots, en réalité, et très révélateur sur la suite qu’Alice entendait donner à cette relation. Ce bref baiser sonna donc comme une invitation  à un rapprochement corporel plus prononcé, ce que, de fait, les deux femmes avaient déjà commencé à faire dès le début de leur leçon improvisée. Noriko avait des lèvres tendres et raffinées, magnifiques et agréables. Alice s’en mordilla les lèvres, avant de doucement sourire en sentant les mains de la femme se glisser le long de ses hanches, pour filer derrière son corps, s’attaquant visiblement à une zone sensible chez la femme, qui fit doucement sourire la Princesse : son postérieur.

C’était là qu’on voyait la trace des changements et des progrès accomplis, car si, en temps normal, Alice aurait rougi, et n’aurait même jamais été jusqu’à un baiser, ici, elle se contenta de sourire, et, si, effectivement, on put la voir rougir, ce fut surtout par plaisir, et par une gêne très légère. Noriko venait doucement pétrir ses fesses, et, pour l’heure, Alice ne lui rendit pas la pareille. L’eau continuait à clapoter autour des deux femmes, et, très loin de retenir Alice, de l’isoler, elles tendaient, au contraire, à les rapprocher ensemble. Alice souriait donc, jusqu’à voir Noriko se rapprocher de nouveau. Elle lui fit remarquer que la « leçon » était visiblement terminée, tout en l’embrassant sur la joue, et Alice en profita pour poser une main sur ses cheveux, les caressant doucement, et lui sourit, se mordillant les lèvres :

« Oh, disons juste que c’est une pause d’agrément, Noriko... Une pause, parce que ton élève est paniquée par l’eau, et souhaite donc se réfugier dans tes bras... »

Rien qu’une pause, juste une pause... Pause qui ne promettait pas forcément d’être petite, car, en un sens, Alice ne mentait pas. Cette peur latente de l’eau avait eu pour effet secondaire de renforcer son ardeur envers la femme. Son corps était blotti contre celui de Noriko, et, entrouvrant les lèvres, elle retourna l’embrasser sur les lèvres, une main sur les cheveux, l’autre en appui sur l’une de ses épaules... Et, cette fois, elle lui fit un vrai baiser. Alice soupira de plaisir, et mordilla l’une des lèvres de la femme, avant de fourrer sa langue dans sa bouche, frottant un peu plus fort son corps contre le sien, dans la mesure où son nez s’appuyait contre le visage de la femme, et glissait lentement dessus. Ses doigts se crispèrent aussi sur ses cheveux, et, pendant de longues secondes, il n’y eut rien d’autre que le contact et le frottement de leurs lèvres.

Yeux clos, Alice profitait pleinement de ce baiser, serrant son corps contre le sien, et finit par rompre le baiser au bout d’un long moment. Sa langue en avait profité pour jouer avec celle de la femme, glissant dans sa bouche, roulant avec la langue de Noriko. Elle avait frémi au contact de la langue de la femme, qui rebondissait sur la sienne, un organe tendre et chaud. Les deux femmes continuaient à se serrer, et, finalement, les mains d’Alice descendirent vers chacune de ses fesses, les massant à son tour.

« Moi aussi, glissa-t-il alors, en se montrant un brin espiègle, moi aussi, j’aime bien ton petit cul... »

Elle lui sourit, et l’embrassa finalement sur le bout du nez, tout en malaxant ses fesses, ses doigts ne filant pas sous le bikini, mais les massant à travers. La femme serrait ses fesses sous le bikini, les massant, les écartant, avant de les relâcher, et de les serrer à nouveau. Noriko avait vraiment un corps magnifique, et, comme Alice se réfugiait dans le sexe, y voyant là un parfait moyen de s’évader par rapport à son inquiétude, elle reprit :

« Et toi ? Est-ce que tu aimes mes fesses, Noriko ? »

Noriko De Lange

Humain(e)

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    Noriko mesure 178cm pour 23 ans et est une modèle très connue au Japon, bien moins à l'étranger, quoi que tout de même un peu. D'origine française, elle possède une plastique parfaite selon les canons japonais, sublimés par un héritage européen qui lui donne un exotisme certain aux yeux de chacun. Elle est d'une nature réservée et timide, contrairement à ce que beaucoup de son travail pourrait laisser croire.

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 9 mercredi 10 février 2016, 23:34:07


Le petit jeu qu’avait initié Noriko avait vite été compris par Alice, et elle semblait heureuse et même avide d’y participer. Plus que répondre à la pique de la modèle, elle l’avait surpassée et même envahie, venant chercher sa langue d’entre ses lèvres, s’emparant de son corps en l’empoignant avec autorité mêlée de douceur. La jeune femme ne s’en plaignait cependant pas, sa réaction se résumant à un rougissement de ses joues et de faibles gémissements de plaisir, étouffés par l’embrassade, ses mains ne faisant rien d’autre qu’un peu plus se crisper sur le postérieur de sa partenaire, l’encourageant sans doute plus qu’autre chose. Ses yeux n’avaient même pas osé rester ouverts, préférant se laisser aller à l’appréciation béate et enivrante des lèvres d’Alice.


Quand le doux baiser fut rompu, un fin filet de salive relia encore un instant les langues encore tendues, immobiles dans leur extase, et Noriko aurait été laissée bien languissante si l’autre nageuse ne l’avait pas faite frémir en venant s’attaquer à ses fesses, lui arrachant un soupir de plaisir qu’elle tenta de réprimer du mieux qu’elle pu, ce qui ne fut pas assez pour le cacher. Sur un ton joueur, renvoyant sa balle à la modèle, son postérieur fut complimenté, ajoutant cependant une touche quelques peu familière à leur « conversation ». Non pas que cela gêne réellement Noriko qui, au point où elle en était, n’allait pas être rebutée par le simple mot « cul », mais comme tant de fois en si peu de temps, elle eut l’impression qu’un pas avait été franchi, passant cette fois des sous-entendus et bon-entendements à ces mots qu’on se glissait à l’oreille pour signifier qu’il était temps d’oublier la décence et la retenue.

Se laissant masser avec délice pendant quelques instants, allant jusqu’à ramener ses bras à elle de béatitude, la jeune femme ne pouvait cependant pas en rester là ; Son ardeur se ravivait à chaque mouvement de la partition si bien exécutée d’Alice, et elle voulait jouer sa part dans l’œuvre, si ce n’est contester son audace. Oui, c’est ce qu’elle allait faire ; Elle chassa de son esprit cette envie de se laisser aller aux caresses, d’être le simple jouet de sa partenaire, et inspira pour se signaler à elle-même qu’il était temps.


« Laisse moi voir... »

Doucement, elle balaya d’un bras ceux d’Alice, les écartant de son passage alors qu’elle entreprit de marcher, lentement, l’eau s’opposant à son mouvement, vers son flanc. Pour ne pas que son adversaire ne ruine sa tactique, elle vint saisir, de la pointe de ses doigts, mêlant l’élégante délicatesse du geste à la fermeté de son sous-entendu, le menton de sa proie, le maintenant en place. Noriko continua alors son contournement, passant presque complètement derrière sa partenaire, légèrement excentrée, seulement de manière à ne pas gêner l’accès à ses fesses.

De sa main libre, elle plaça l’index d’un côté de la fine bande de tissu se targuant de couvrir le postérieur d’Alice, et le majeur de l’autre, une tâche peu compliquée, entre la coupe déjà bien vulnérable du maillot et le pétrissage qu’avait déjà opérée la modèle. Doucement, elle éleva sa main, étirant le maillot et le faisant, très mécaniquement, découvrir les fesses de sa propriétaire.


« Je les adore, tes fesses, Alice... »

Lentement, elle approcha son visage de celui de sa partenaire, finissant par poser son menton sur son épaule, continuant de doucement tirer sur son maillot ; Pas assez pour entraîner une quelconque douleur ou même seulement trop de déconfort à son « cul », comme elle semblait aimer dire, mais assez pour rappeler l’attention qu’elle y portait. Elle déposa une longue série de baiser commençant à la base du coup et qui remontait subtilement jusqu’à derrière l’oreille, abandonnant pendant ce temps l’emprise de sa main sur le menton qu’elle estimait maintenant inutile. Cette main libre, elle l’utilisa pour doucement défaire une des bretelles du maillot d’Alice, abandonnant la bande de lycra au creux du coude d’un de ses bras, l’immobilisant, de fait, alors que leur intimité l’empêchait de se contorsionner pour s’en libérer. Passant rapidement sa main sur le devant de son maillot, elle libéra un sein de celui-ci, maintenu couvert seulement par sa courbe généreuse qui avait retenu le tissu, elle glissa dans l’oreille d’Alice :

« Elles sont à croquer... »

Elle mordilla soudainement un pan de l’oreille de sa partenaire ; Rien de méchant, mimant une morsure tout au plus, sans aucun risque de douleur, et s’écarta tout aussi rapidement, défaisant l’autre bretelle et l’immobilisant dans la même position que l’autre. Ne voulant laisser à Alice l’occasion de se dépêtrer, elle lui agrippa les mains des siennes, les serrant avec une délicatesse rassurante, dans cette situation.

« Mais je crois que ce à quoi nous voulons jouer demande la terre ferme...Ou au moins le sable meuble...Alors vas-y, traverse les eaux jusqu’à la plage, Alice... »

Noriko n’en revenait pas de ce qu’elle faisait, entraînée par le jeu lubrique qu’Alice avait initié, ou elle-même, quoi que vu l’escalade vertigineuse qu’avait connu leur passion, née de sous-entendus, méprises et sensualité, elle n’en était plus trop sûre. Mais chaque fois qu’elle prenait son tour, elle ne pouvait pas reculer, ni ne pas se ruer en avant ; Et c’est ainsi qu’elle se retrouvait à demander à sa partenaire, comme un examen après cette leçon, de rejoindre la plage, ses bras pour ainsi dire liés, sa poitrine et ses fesses exposées, mais avec une promesse à l’esprit :

« Si tu le fais sans t’arrêter, je te laisserai me faire tout ce que tu veux...Tu n’auras qu’à demander, ce sera ta récompense... »


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 10 jeudi 11 février 2016, 12:55:08

Alice avait prononcé ce grossier mot presque sans le réaliser, mais avec, toujours, sur les lèvres, un délicieux frisson. Le poids des mots… Il n’était pas négligeable en la matière, ce poids. Il fallait y penser plus souvent. Alice l’avait remarqué auprès des esclaves de Mélinda ; certaines étaient très grossières pendant l’acte sexuel, et disaient à Alice que prononcer des jurons était, non seulement jubilatoire, mais aussi libératoire. En un certain sens, c’était vrai, on se libérait d’une tension nerveuse qui, autrement, vous étriquerait. Et elles avaient forcé Alice à dire des gros mots. La tête blonde avait furieusement rougi, à l’époque, avant que, de ses belles lèvres, les sons maudits ne s’envolent. Elle en avait rougi, puis avait continué à les dire, ressentant, à cette idée, une étonnante et singulière excitation, excitation dont, même aujourd’hui, elle avait du mal à discerner l’origine. Son cœur en battait la chamade, et, depuis lors, il lui arrivait de parler plus familièrement en matière sexuelle… Comme Noriko venait de le remarquer.

Ce mot ne dérangea néanmoins nullement la femme, et sembla au contraire ragaillardir la beauté qui se trouvait près d’elle. Noriko alla se glisser dans son dos, et Alice devint la cible des doux assauts digitaux de la femme, qui, non contente de palper ses fesses, et ainsi de la faire rougir, s’attaqua à ses seins. Sa main, fine, douce, chaude, mais non moins assurée, vint défaire la bretelle de sa combinaison, et la fit glisser le long de sa peau, avant de la retenir, dévoilant néanmoins l’accès à l’un des seins d’Alice. Un sein bien tendu, avec un téton rose qui semblait déborder d’affection, luisant sous les reflets du soleil.

« Haaa… »

Victime silencieuse et largement consentante, Alice sentait la main de Noriko tirer sur le bas de sa combinaison, dévoilant l’accès vers ses fesses. Et, pendant ce temps, ses lèvres parcouraient son cou de multiples baisers, faisant frissonner la doucereuse tête blonde. Le cou était une zone érogène, et elle était donc loin d’être insensible à ce genre de traitements. Elle soupirait donc, pendant que Noriko, visiblement très espiègle également, lui proposa de retourner sur le bord, avant de lui mordiller l’oreille.

Les joues rouges, Alice soupira encore, yeux clos, et se mordillant légèrement les lèvres.

« Hmmm… ! »

Puis, suite à cela, Noriko abaissa l’autre bretelle, et maintint la swimsuit en tenant les mains d’Alice dans les seines, les plaquant contre son corps, avant de lui dire de les ramener vers la terre ferme, et avec la promesse que, si elle le faisait d’une traite, Noriko serait à elle. Difficile de dire comment la conversation avait basculé d’un simple cours de natation improvisé à une séance de chauds câlins sur le sable fin de la plage. Tout ce dont on pouvait être sûre, c’est que, maintenant, Alice y était, et qu’elle ne pouvait plus faire marche arrière. Elle déglutit donc, et hocha la tête.

« T-Très bien, Noriko… »

En réalité, la tâche ne serait pas trop difficile, car Alice voyait la côte, contrairement à la situation inverse, où elle ne voyait qu’une étendue d’eau sans fin. Cependant, marcher n’était pas aisé, vu que Noriko était nichée dans son dos, et Alice s’avança lentement. Le mordillement de son amie avait accru la douleur à hauteur de ses seins, mais elle n’arrêta pas sa marche, mettant un pied devant l’autre, sentant, à chaque fois, les seins de Noriko s’enfoncer dans son dos, remuant contre son corps, frottant sa swimsuit. Des contacts doux, agréables, chauds, tandis que, peu à peu, l’eau vint à se réduire.

Les deux adolescentes se retrouvèrent ainsi à sentir le sable sur leurs pieds, et, avec un léger sourire amusé, Alice se retourna, et observa la femme, glissant ses mains contre les siennes, caressant ses poignets. Quelques secondes passèrent, la femme en profitant pour regarder, à nouveau, la belle Noriko, avant de se mordiller les lèvres, comme frappée par sa beauté, puis de poursuivre :

« Il semblerait que je l’ai fait… Maintenant, tu te dois d’accomplir mes volontés… »

Cette phrase fut glissée avec un léger sourire, et, ensuite, Alice poursuivit :

« Je veux que nous fassions l’amour sur ma serviette… »

De plus, et Alice n’y songeait pas encore, son panier pour la plage comprenait, sous la pile de serviettes et de livres, des objets qu’on ne trouverait que chez Mélinda : une culotte surmontée d’un gode, et un liquide lubrifiant. Alice, en réalité, avait pris l’un des paniers de plage disponibles au sein du manoir, et, généralement, les filles du manoir allant à la plage ne se contentaient pas que de faire trempette. Les paniers étaient donc fournis avec des ustensiles particuliers, qui, selon l’occasion, pouvaient prouver leur utilité.

Mais, en attendant, Alice se contenta de glisser sa main dans celle de Noriko, et fila vers sa serviette, puis s’y allongea alors, sur le dos, prenant appui sur ses avant-bras.

« Pour commencer… Tu vas t’occuper de mes seins… Après, on verra, selon que tu arrives à me faire gémir ou non. »

Jouer la Princesse, ça, elle savait faire !

Sans aucun problème, même.

Noriko De Lange

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    Description
    Noriko mesure 178cm pour 23 ans et est une modèle très connue au Japon, bien moins à l'étranger, quoi que tout de même un peu. D'origine française, elle possède une plastique parfaite selon les canons japonais, sublimés par un héritage européen qui lui donne un exotisme certain aux yeux de chacun. Elle est d'une nature réservée et timide, contrairement à ce que beaucoup de son travail pourrait laisser croire.

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 11 vendredi 12 février 2016, 11:46:24

L’offre de Noriko ressemblait à un de ces pactes auxquelles se livraient souvent les professeurs, parents et autres pédagogues ; Si leur élève progressait, ce qui était après tout leur aspiration originelle, celle-ci aurait une récompense. Bien entendu, ce n’était qu’une malheureuse conséquence du fait que souvent, les raisons de la leçon ou de l’exercice s’effaçaient bien vite devant l’appel de diverses distractions ; Ici, la distraction, plus qu’un soleil radiant ou les rires lointains de la plage, était les douces courbes de la professeure, de celle de ses lèvres rosées par son labello à celles auquel collait son maillot humide. En vérité Noriko ne pouvait vraiment rejeter toute la faute sur Alice, car elle avait bien participé à la déchéance de leur situation, peut-être même plus que sa partenaire, ayant bien vite cédé à la spirale paradisiaque qui les , mais il lui revenait de ne pas s’avouer si faible devant « son élève », une excuse, tout au plus, après tout ça.

Son marché n’était lui-même n’en était qu’une, une excuse, un jeu de dupe auquel se prêtaient bien volontairement les deux jeunes filles. C’était sans doute pour cette raison qu’elle était restée si près d’Alice, pendant leur retour à la plage, se pressant, ce qui se sentait surtout à sa poitrine, contre elle, accompagnant chacun de ses pas, s’assurant qu’Alice ne s’arrêterait pas, alors que la tentation de s’éloigner, de l’admirer de plus loin, avec une vue plus large et généreuse, était grande. Mais elle trouvait la motivation de réprimer cette envie, de voir plus loin que ce désir charnel aussi insignifiant que pressant, dans la question qu’elle avait sous-entendue lorsqu’elle avait fait sa promesse. Qu’est-ce qu’Alice voudrait ?

Elle lui avait laissé ce choix, et elle était certaine de ne pas le regretter, ça, la jeune femme lui avait prouvé à maintes reprises, mais l’interrogation lui restait à l’esprit. Son imagination galopait, vive et brûlante, lui permettant d’aisément braver le vent qui tentait de la refroidir alors qu’elle s’extirpait de l’eau. La question était d’autant plus frustrante, lui faisant se mordiller les lèvres d’envie, qu’il était de plus en plus évident qu’elle se poserait ; Les premiers pas d’Alice furent quelques peu timides, mais rapidement elle prit de l’aplomb, l’eau se faisant moins sentir et son élan la portant. Noriko savait déjà qu’elle serait d’ici un instant à la « merci » bien volontaire de sa partenaire bien avant de sentir le sable encore sec de la plage se coller à ses pieds humides.

Quand enfin Alice se retourna, la modèle la laissant bien évidemment faire, son emprise n’ayant plus de sens voire devenant déplacée, se devant maintenant d’exaucer les vœux de la blonde, elle soupira discrètement de plaisir, un plaisir d’anticipation. Elle se tint droite, ses mains légèrement crispées le long de ses cuisses perlant encore de quelques gouttes, et attendit la récompense qui après tout était tout autant la sienne. Elle failli faire un pas en avant, d’excitation, quand Alice prit ses poignets, un de ses talons quittant le sable, laissant l’avant du pied s’enfoncer dans le sable doux, devant assumer plus de poids, mais se retint, contenant pour encore quelques instants son envie.

« Faire l’amour ». Elle ne savait si sa partenaire choisissait ses mots avec tout le soin qu’on pouvait leur attribuer ; « cul », tout à l’heure, donnant le signal à Noriko d’abandonner toute retenue, les précipitant dans cette situation, et maintenant qu’elles y étaient, le retour à « faire l’amour », la calmant pour la ramener à la délicatesse qu’il faudrait pour mener cette tâche à bien. Le temps que la jeune fille soit guidée vers la serviette, et elle était prête à être celle qui se fait dicter les règles du jeu, alors qu’elle jouait précisément à celui qu’elle avait initié, ne se soumettant après tout qu’à sa propre promesse. Quand Alice alla s’allonger, elle ne tressaillit pas, admirant simplement ses seins doucement rebondir alors qu’elle se mettait en place, attendant son signal, que, joueuse, elle donna sous la forme d’un nouveau pacte.

La faire gémir ? Noriko ne savait pas si elle pouvait y arriver, n’aillant jamais eu de telle relation avec une femme, mais elle savait qu’elle allait essayer. Délicatement, elle se mit à quatre pattes devant elle, ses mains posées entre les pieds de sa partenaire, sur la serviette, prenant garde d’ à aucun moment les enfoncer dans le sable, se doutant qu’Alice préfèrerait la douceur de sa peau à celui-ci. Relevant la tête, plongeant son regard dans celui de sa maîtresse de jeu, elle lui laissa y lire une certaine incompréhension ; Pas une peur panique de l’inconnu, ni même un affolement dans lequel elle chercherait la course à suivre. Non, simplement les yeux écarquillés de l’enfant qui découvrait un nouveau jouet.

Elle commença lentement à avancer, ne se pressant pas, ne faisant qu’un « pas » à la fois, pas comme un animal qui  avançait une patte avant et une arrière en même temps ; Noriko faisait d’abord glisser une main sur la serviette, ne la levant pas assez pour complètement l’en décoller, ses ongles y dessinant de petites vaguelettes, puis venait le tour de la jambe opposée, qui elle aussi laissait traîner ses doigts de pieds, dans le sable cette fois, ses longues jambes les amenant bien au delà des limites du territoire délimité par le tissu ; Puis cela recommençait, mais en inversant les côtés. La modèle souriait, dessinant ses pommettes comme elle le faisait si souvent, son travail le demandant, surtout au Japon où c’était un apparat plus important que tout autre.

Il lui suffit de quelques instants pour qu’elle dut « enjamber » de ses mains les jambes d’Alice pour continuer d’avancer, mais avant, elle se releva, posant ses fesses entre ses pieds sur la serviette. Elle avait pu surprendre Alice parfois perdre son attention sur ses seins pendant qu’elle avançait à quatre pattes, ce qui était assez compréhensible vu la manière dont la position lui donnait vue sur son décolleté, mais elle pouvait aussi deviner un certain intérêt pour cette partie du corps, vu la spécificité du souhait qu’elle exécutait. D’une main qu’elle amena dans son dos, par le bas, elle défit son soutien-gorge, se contorsionnant rapidement pour s’en défaire avant de le jeter vers le sac d’Alice, n’aillant que peu envie de le garnir de sable.

Quand elle retomba sur ses mains, reprenant sa position, elle franchit les jambes de sa princesse, et sa poitrine rebondit doucement, ses tétons, qu’on pouvait deviner légèrement durcis, dessinant leur rose en petites pointes vers le sol. Noriko arrêta cependant sa marche, préférant délicatement se laisser tomber en avant, se mettant sur les coudes avant de lentement les faire glisser en avant, s’amenant progressivement aux seins d’Alice. En même temps, les siens effleuraient son maillot, le lycra chatouillant doucement le bout de ses tétons, la faisant frémir, quoi qu’il n’y avait pas que le tissu qui participait à cela.

Lorsque ses lèvres achevèrent d’approcher de leur destination, elles s’arquèrent en un doux baiser qu’elles vinrent déposer au creux des seins d’Alice alors que les yeux de Noriko se fermaient, s’imaginant avec bien assez d’envie ses deux monts de chair pour s’y retrouver sans eux. Ses avant-bras, eux, remontèrent doucement le dos de la princesse après s’y être retrouvés, finissant par délicatement caresser ses omoplates, découvertes depuis que ses bretelles étaient ôtées, puis revenir au creuset au centre de son dos, et doucement décrire des cercles liant ces reliefs. Son ventre, aux abdominaux entretenus et contractés d’une tension qui était de norme dans cette situation, se pressait doucement contre l’intimité d’Alice, frottant contre celle-ci avec chaque mouvement.

Le cœur de Noriko balança un instant entre les deux seins d’Alice, puis opta pour le gauche, symboliquement celui de celui de sa partenaire. Elle traça lentement une traînée de baisers entre le creux de sa poitrine et le téton du mont choisi, puis vint délicatement embrasser à répétition celui-ci, allongeant à chaque fois l’embrassade avant de relever son visage, contemplant parfois, entre deux, les doux reflets de sa salive sur le mamelon avant de plonger son regard dans celui de sa princesse, sondant son appréciation avant de retourner à son œuvre, fermant ses yeux de concentration.

Chaque baiser ne ressemblait cependant pas au précédent; D’abord, c’était des « bisous » tout ce qu’il y a de plus classique, mais rapidement, elle joua de sa langue, profitant du téton se durcissant pour le pousser entre ses lèvres dans différentes directions et tourbillonnant autour de celui-ci. Après un moment, elle se mit à transformer certains baisers en suçons, amenant le sang d’Alice à la surface avant de profiter de ses sensations ravivées pour d’autant mieux effleurer le rougeoiement de sa langue.

Elle alternait ces différentes caresses au gré de ses envies, laissant toujours Alice dans le doute. Après de délicieuses et longues secondes passées ainsi, elle changea de sein, ne prenant cette fois cependant pas le temps de tracer une ligne de baiser entre ses tétons, préférant la surprise à cette délicate attention, du moins pas sans regret. Doucement, elle reprit son œuvre avec toute l’intensité qu’elle avait lorsqu’elle l’avait interrompue, commençant immédiatement ses suçons et les harcelant aussitôt faits.

Elle ramena alors une de ses mains du dos d’Alice, usant de l’autre pour enlacer sa nuque de ses fins doigts et la maintenir en place, et commença à doucement masser le sein qu’elle ne couvrait pas de ses attentions buccales, réservant son index et son majeur à un délicat pincement du téton. Lorsque les suçons commençaient à s’estomper, ce qu’elle vérifiait par moments en même temps qu’elle plongeait son regard dans celui de sa partenaire, Noriko venait les raviver, changeant de sein en même temps que de main, n’osant délaisser les monts de sa princesse. Elle continua à tourmenter Alice ainsi pendant quelques minutes, imaginant que peut-être il ne suffirait que de ça, mais après assez d’attente pour qu’elle soit sûre que ça n’arrive pas, et aussi pour installer une petite routine, elle commença à parfois mordiller les tétons de sa maîtresse de jeu, ajoutant la touche finale à ses caresses.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Nage avec une star [Noriko De Lange]

Réponse 12 lundi 15 février 2016, 07:24:13

Alice n’avait pas l’habitude d’être une « dominatrice », et, à proprement parler, en l’état actuel des choses, le terme de domination serait un peu fort. Noriko avait juste laissé à Alice l’initiative sur la suite directe des évènements, mais rien n’interdisait ensuite à la belle de revenir à la charge. Et, tandis qu’Alice lui disait d’embrasser ses seins, elle réalisait une chose : de Noriko, elle ne savait rien. Noriko n’était peut-être même pas son vrai prénom !

*Je deviens totalement inconsciente, moi, maintenant…*

C’était le cas de le dire ! Il était maintenant trop tard pour faire marche arrière. Et puis… Et bien, elle savait que Noriko était belle, qu’elle embrassait bien, et qu’elle aimait bien ses fesses. Y avait-il vraiment besoin d’en savoir plus ? Alice était jeune, belle, insouciante, et elle venait sur Terre pour se détendre… Et puis, elle était une Princesse, alors elle avait bien le droit de se faire plaisir, surtout après avoir vécu un évènement aussi traumatisant. Allongée sur sa grande serviette, jambes écartées, elle invitait donc Noriko à venir, sa belle amante, dans son beau bikini blanc. Et, au lieu de venir directement sur ses seins, la jeune femme se livra à un curieux jeu de séduction.

Elle se mit à quatre pattes sur le rebord de la serviette, nichée près des jambes d’Alice, qui cligna des yeux, surprise devant cette position, une position qui faisait très soumise… Et Alice en parlait en connaissance de cause, car c’était souvent celle qu’elle-même prenait, quand elle était au manoir de Mélinda. Là, Noriko était face à elle, se rapprochant lentement, comme une sorte de chienne, avant de progressivement finir par se mettre dessus. Silencieuse, Alice se retrouva couchée sur sa serviette, le corps de Noriko frottant le sien, leurs jambes doucement entremêlées, se caressant légèrement. Comme des bises d’été, elles étaient accolées l’un à l’autre, mais le visage de Noriko, lui, flottait près de ses seins, de ces monts de plaisir tendus, avec une petite pointe rosée. Il suffisait de les voir, pour sentir tout le désir de la tête blonde, qui allait doucement s’en mordre les lèvres, clignant des yeux à plusieurs reprises.

« No… Noriko… »

Et hop, les baisers affluèrent, glissant sur son sein, allant de la peau de ce dernier au téton, Noriko se déplaçant ensuite. Elle alterna entre de simples baisers, des léchouilles, et des baisers plus appuyés, véritables suçons où elle mordit un peu la chair d’Alice, ne pouvant, évidemment, que la faire gémir. Son corps se contorsionnait le long de la serviette, ses talons creusant des sillons dans le sable, tandis que sa main vint caresser les cheveux de la femme. Elle s’y crispait, pendant que Noriko jouait de sa bouche et de sa langue, avant de ramener l’une de ses mains, alternant ainsi entre lèchements et pincements. Une bouche sur un sein, une main sur un autre.

Comment résister à de telles attentions ? Noriko était douée, à croire qu’elle avait été envoyée par Mélinda pour la surveiller et la guider ! Alice, néanmoins, était sûre que c’était là quelque chose de naturel chez elle. Elle avait le chic pour tomber sur de superbes partenaires, voilà tout, et elle se tortillait contre la femme, encore et encore, sans tenir compte des minutes qui défilaient. Puis, aux succions et aux pincements, Noriko ajouta les mordillements, et, de soupirs, les sons d’Alice devinrent de légers cris.

« H-Ha… Haaaa… »

Progressivement, Noriko adoptait son rythme, malmenant par le plaisir les sens de la Princesse, excitant cette dernière. Alice soupirait donc, heureuse et de plus en plus excitée.

« Hmmm… Mmmhmmm... Noriko, haaaa… »

Elle serra encore ses doigts sur ses cheveux, et finit par redresser son visage.

« A… Tu… Tu vas me rendre folle, en continuant ainsi… »

Et zou, Alice vint l’embrasser, plaquant le corps de la femme contre la serviette, inversant les positions, et lui offrit un baiser particulièrement savoureux, une main caressant ses hanches, l’autre autour de sa nuque, leurs corps s’enfonçant contre la serviette, et déformant le sable situé dessous.


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