[FINI] Guerre contre Zemo [PV]

Les femmes, par une entente complice, avaient décidé de s’attaquer au plat principal, à savoir le festin que représentait le beau Noxien livré à leur appétit sexuel. Et il ne pouvait se plaindre, bien au contraire. Il suivit donc le couple de parfaites héroïnes jusqu’à un canapé où elles le poussèrent doucement, l’installant confortablement pour s’occuper de lui comme un prince.

L’excitation était présente à en juger par ses regards séducteurs, son torse bombé et son membre dressé au garde-à-vous pour honorer la sublime beauté des deux créatures qui enflammaient ainsi son désir.

Monica eut le réflexe agréable de masser les épaules du mâle qui en gronda légèrement de plaisir, se détendant et fondant presque sous les mains expertes qui massaient son corps et calmaient son esprit. Quant à Ivy , elle se glissa lentement entre ses deux jambes pour s’emparer de sa lance de chaire qu’elle s’amusa à embrasser et à lécher par des coups de langue qui lui arrachaient des frissons d’extase. La sensation était grandiose et le regard de l’Empoisonneuse lui donnait plus envie que jamais.

Il se laissait aller à leurs douces caresses, répondant aux baisers de Monica avec passion en jouant de la langue, savourant par le même instant le contact de la langue de Pamela le long de son braquemart qui gardait sa forme souple et ferme à la fois comme un serpent cajolé par les mains de la femme aux cheveux de feu. Quand Spectrum rompit leur baiser, il tourna de nouveau on regard vers celle qui le savourait d’en bas et sourit d’un air ravageur.

Pamela, joueuse, lui demande alors s’il souhaitait qu’elle aille plus loin avec ses lèvres ou s’il préférait entamer une douce chevauchée.

D’humeur joueuse aussi, le sourire du Noxien s’accentua, lui donnant un air débonnaire et charmeur avec ses yeux dorés à moitié plissés.

« Chérie, j’aimerais bien que tu me goûte plus en profondeur avant que l’on danse. »

Il lui demandait donc de le sucer, aimant bien commencé par les préliminaires comme un fin gourmet. Et sur ses mots, il baissa de nouveau la tête par-dessus le canapé pour profiter des baisers de Monica, y prenant un délicieux plaisir à jouer avec sa langue et à mordiller ses lèvres pleines.

Attirant la belle à la peau d’ébène un peu plus près, il fourra sa tête entre ses seins généreux pour en éprouver la tendresse et y déposa de doux baisers ponctués de coups de langue et de fins mordillements.

Il fallait bien un homme gourmand et musclé pour Losgar pour tenir la cadence face à deux femmes comme Spectrum et Poison Ivy. Deux beautés disposant de capacités surnaturelles, et d’une endurance sexuelle à tout casser. Elles étaient assurément talentueuses, et tout autant envieuses de coucher avec lui, de le savourer… Car, après tout, un bel amant comme cela se devait d’être savouré, et non gaspillé hâtivement. C’est ainsi que Monica revenait fréquemment l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes, se délectant de sa bouche, glissant ses mains sur son torse, pendant que Pamela, elle, continua à le sucer.

Puisque Losgar voulait qu’elle goûte davantage à son mandrin, elle comptait bien le satisfaire. Elle sourit donc quand l’homme indiqua vouloir poursuivre la fellation, une lueur malicieuse et pulpeuse brillant dans son regard vert… Puis sa bouche s’ouvrit davantage, et elle fila le long de cette hampe de chair, gobant ce sexe jusqu’à le sentir taper contre sa gorge.

« Hmmmmrrr… !! »

Un soupir étouffé s’échappa des lèvres de Pamela. Yeux clos, elle sentait ce gros membre s’enfoncer en elle, filant dans son corps, et sa langue glissa dessus. Elle essayait d’aspirer cette queue, en la suçant, aspirant de l’air, ce qui avait pour effet de creuser ses joues. Lentement, elle se reculait, laissant sa salive couler le long du membre… Et, tout en faisant ça, ses yeux se redressèrent lentement, afin de regarder Losgar. Elle vit la tête du Noxien disparaître contre les seins de Monica, et fronça légèrement les sourcils, mordillant doucement la queue du Noxien, afin de le rappeler à elle.

Ivy le regarda ensuite, et lâcha, sur un ton qui était à la fois glacial et sensuel :

« Je veux que tu me regardes pendant que je te suce, Losgar… Ne commets pas l’erreur de croire que je ne suis qu’une servante qui astique la queue de son Maître… »

Et, comme pour le prouver davantage, le long des tentacules qui immobilisaient les poignets de Losgar, de petites pointes apparurent, avant de se rétracter rapidement. En aucun cas, il ne fallait faire l’erreur de sous-estimer la fierté de Poison Ivy. Pamela reprit donc, dardant désormais son regard sur l’homme, s’enfonçant en lui, sans cesser de la voir. Monica, de son côté, s’était redressée, et posa ses mains sur la tête de l’homme.

« Oui, regarde-là te sucer, regarde-là… Même si c’est vulgaire.
 -  Mmmhhmmm… »

Monica souriait, et se glissa dans le dos de l’homme, déposant un baiser sur son cou, le mordillant brièvement.

« Et dis-moi… Dis-moi ce que tu veux que nous te fassions. »

Les deux ravissantes demoiselles étaient entrain de plonger Losgar dans les flammes de la passion et les tourments de la perdition. Il fallait bien deux femmes aussi belles et talentueuses comme Monica et Pamela pour griser les sens de l’héritier de Nox. Son corps tout en muscles s’était clairement détendu sous les mains expertes de Spectrum, et la sulfureuse Ivy lui offrait une divine fellation.

Parcourut par des frissons de plaisir, il sentait sa verge de belle taille se faire siphonné entre les lèvres de l’Empoisonneuse, lui arrachant de doux soupirs d’extase en fermant les yeux pour apprécier la sensation de bien-être. Elle était extrêmement douée, pour son plus grand bonheur.

C’est en mordillant le bout des seins de Monica qu’il fut rappelé à l’ordre par la femme entre ses jambes, plongeant légèrement ses dents dans son dard de chaire ce qu’il eut l’effet immédiat de reporter toute son attention sur elle. Simple et très efficace, même un guerrier aussi puissant que le Noxien ne pouvait ignorer ce petit avertissement, et à un certain point il en fut même amusé. Une femme de caractère, comme il les aimait. Coucher avec les agentes du SHIELD était décidément une des meilleures expériences qu’il vivait, et il comptait bien faire durer le plaisir jusqu’au bout.

Pour se faire pardonner par son amante qui lui procurait une telle gâterie, il lui sourit et souffla :

« Loin de moi cette idée Pamela. J’étais juste emporté par ton incroyable talent en la matière. »

Et depuis, il ne la quitta plus des yeux. Pas un instant il ne rompit le contact visuel. Il la regardait dans ses prunelles émeraudes, fasciné par sa beauté surnaturelle. La voir coulisser le long de son mandrin, la sensation de ses lèvres tout autour, de sa langue le caressant et le lubrifiant, de son gland taper le fond de sa gorge … Dieu, que c’était grisant !

La belle à la peau d’ébène continuait à le caresser derrière son dos, le massant et l’embrassant, lui susurrant des phrases excitantes qui le firent sourire.

Il se laissât ainsi déguster comme un délicieux festin par Poison Ivy et Spectrum, l’une le mordillant et l’autre le suçant avidement. Fixant Pamela, il approcha sa main de son visage pour écarter une mèche rebelle avant de caresser sa joue, puis il passât ses mains sur sa chevelure qu’il caressa à son tour sans forcer la reine des plantes à s’enfoncer d’elle-même, cette dernière se débrouillant à la perfection.

Puis il soupira et posa sa main sur le menton de la belle rousse avant de l’attirer à lui pour l’embrasser d’un long et délicieux baiser, savourant ses lèvres pulpeuses et roulant sa langue avec la sienne. Ses mains se libérèrent des tentacules qui les maintenaient pour venir caresser le corps de la super-héroïne, massant ses fesses rebondies et malaxant ses seins, parcourant tout son corps avec envie.

« Je te veux maintenant, Pamela … j’ai envie de toi. »

Sans quoi il l’attrapa délicatement mais fermement par les hanches pour la positionner au-dessus de son braquemart tendu de désir. Lentement, il l’empala contre sa verge dans cette sensation d’intense plaisir et de plénitude, glissant lentement son bélier dans son corridor jusqu’à le plonger jusqu’à la garde. Restant dans cette position du lotus, il l’embrassa de nouveau puis vint mordiller légèrement son cou.

C’est là qu’il commença à guider Poison Ivy dans une lente mais sublime danse, commençant à la faire coulisser le long de son dard qui glissait parfaitement grâce à la fellation de la reine des plantes. Il soupirait de plaisir et l’étouffait en prenant soin du buste de la femme, embrassant ses seins et les suçant avec amour sans faire de jaloux.

Accélérant très légèrement et subtilement le rythme tout en le gardant lent et sensuel, il caressait le délicieux cul de Pamela et le tenait bien fermement, le pressant avec envie et donnant une claque très légère.

« Monica … approche ma chérie. »

Il l’attirât pour embrasser la belle noire dans un lent baiser et mordiller sa lèvre inférieure, puis il abaissa lentement sa tête vers leurs intimités. Le but était simple, Spectrum pouvait prendre soin de la virilité de Losgar quand ce dernier retirerait son membre de temps en temps, et elle pourrait aussi s’amuser avec l’intimité de Pamela et lui prodiguer des caresses.

Laissant donc Monica prendre son membre un moment, il le replongea de nouveau dans l’antre de Poison Ivy et reprit ses délicieux mouvements en elle en s’attaquant encore à sa poitrine.

Les deux filles continuaient à s’occuper consciencieusement du corps de Losgar. Le Noxien s’avérait toujours aussi magnifique, et toujours aussi beau à voir, et à savourer. Ivy jouait avec sa queue, afin de l’aiguiser, de s’assurer qu’elle soit à point, pour pouvoir l’enfourner ensuite. Pamela n’avait guère envie de se contenter d’une fellation, car, tandis que Losgar et Monica s’amusaient, elle, elle avait dû patienter toute seule. Autant dire qu’elle avait envie de goûter très intimement à cette grosse sucette, surtout qu’elle sentait que Losgar avait encore du carburant sous son corps. Il fallait donc l’exciter un peu, aiguiser la flamme qui brûlait en lui, et, fort heureusement, Pamela s’en sortait plutôt bien, puisqu’elle sentait ce membre grossir et enfler dans sa bouche.

Losgar finit par soupirer, et par lui dire de venir. Ivy sourit donc en se relevant.

« Je n’attendais que ça, Losgar, que tu sois bien mûre pour que je puisse te récolter… »

Aussi sensuelle qu’affamée, Pamela se releva donc, et posa ses mains sur le corps du Noxien, avant de le rejoindre, venant s’appuyer contre son corps, sentant sa queue caresser sa chatte trempée… Puis s’y glissant enfin. Un long cri de plaisir s’échappa alors des lèvres de Pamela, qui sentit ce gros membre remuer en elle, s’enfonçant dans sa chair.

« Hmmmm… !! »

De longs gémissements s’échappaient de ses lèvres, et ses mains s’enfoncèrent dans les épaules de Losgar, le griffant même pendant quelques secondes, le temps que son corps parvienne à s’adapter à la présence massive de ce membre, de cette grosse queue qui tambourinait dans son corps. Ha, quel membre ! Quelle sensation ! Tout le corps de Pamela se mit à vibrer autour de ce sexe, de ce vit turgescent qui était comme une épée de chair se plantant en elle, et elle se mit à remuer, sautillant sur lui, d’avant en arrière, de haut en bas, rythmant son plaisir par des gémissements et des hurlements de plaisir.

Tandis que le plaisir éclatait dans son corps, Losgar finit par laisser à Monica une petite place, et cette dernière, émoustillée par tout ce qui se passait, obtempéra, en filant dans le dos de Pamela, où elle se plongea dans la vue de ce spectacle magnifique, de ces deux corps qui remuaient gracieusement en harmonie l’un contre l’autre.

« Quel joli corps, Ivy… Tu es autant magnifique de dos que de face…
 -  Hmmm… »

Du fait de leur position, Monica se voyait mal tenter de lécher le sexe de Losgar, difficilement accessible, et choisit plutôt de s’approcher du dos d’Ivy, et caressa ses hanches, avant d’embrasser son cou, mordillant sa peau, puis approcha son doigt de son fondement, et le titilla.

« Je crois plutôt que je vais m’aventurer là, pour commencer…
 -  Haaaa… Monicaaa… Looosgaaar, huuuummmm… »

Et, joignant le geste à la parole, Monica enfonça son doigt dans le fondement de la femme…

Le corps de Pamela était merveilleusement délicieux, une peau soyeuse, des formes généreuses et des lèvres pulpeuses. Tout en elle transpirait la sensualité et l’appel à la luxure. Losgar pouvait se dire qu’il était très chanceux de savourer pareille friandise, et comptait bien jouer sur sa chance jusqu’au bout. Ce plaisir même qu’il vivait rajoutait du carburant dans ses réserves naturelles, lui donnant toujours plus de fougue et d’envie là où un homme ordinaire aurait vite perdu l’usage de ses jambes sous la fatigue. Un étalon infatigable avec deux tigresses, c’était à peu près la scène qui se déroulait.

Le Noxien continuait donc à coulisser doucement son fabuleux membre au fond de la belle Empoisonneuse , chacun de ses cris de plaisir aiguisant son appétit et lui donnant plus d’énergie. Cette épée de chaire plongeait fièrement dans ce fourreau si accueillant, s’y fourrant jusqu’à la garde avant de se retirer et reprendre ses assauts.

Sa main droite s’était pressée comme une serre autour des fesses d’Ivy, les caressant et les malaxant, donnant parfois une petite claque aguicheuse avant de les presser encore et encore, ses doigts plongeant dans cette chaire moelleuse. Quel corps !

L’autre main soutenait la hanche de Pamela, la guidant dans ce rythme divin contre son dard. Sa bouche était quant à elle bien occupée à se délecter des seins voluptueux de son amante, les embrassant et suçant les bouts de rose en les mordillant légèrement, y prenant beaucoup de plaisir à les honorer comme pour rendre hommage au cours de déesse de Poison Ivy.

Dans un soupir, il souffla :

« Ah … quel délice … c’est divin. »

Il la regardait dans les yeux, cette femme si belle qui se faisait doucement empaler contre un pieu et ceci à mesure que la coquine Monica inspectait le fondement de la belle d’un doigt explorateur. Il était amusé de voir la belle à la peau d’ébène se laisser aller à ses instincts sexuels et jouer avec le corps de celle qu’il malmenait doucement.

« Il semblerait … qu’elle aime beaucoup ça, Monica … »

Les cris de plaisir et les soupirs de Pamela en étaient la preuve. Il décida donc d’apporter plus d’énergie et de passion à leurs jeux.

Il s’arrêta un cours instant, son membre en suspend au fond d’Ivy. La fixant droit dans les yeux, il attira sa tête vers lui pour s’emparer de ses lèvres et l’embrasser goulûment en y ajoutant la langue, profitant du goût si unique de la reine des plantes.

Puis il se saisit bien fermement du cul de la sulfureuse dame et, un instant plus tard, il reprit ses coups, mais avec plus de force et de sauvagerie, telle une bête avide. Le braquemart glissait désormais à un rythme effréné en elle, claquant ses fesses dans des ondulations exquises et dans un son obscène mais grisant, ses bourses claquant contre son aine. Une cadence digne de ce qu’on pouvait attendre de l’endurant Losgar, Monica en avait déjà fait l’expérience tout à l’heure.

Et en parlant de Spectrum, cette dernière ne serait pas en reste, car il libéra une de ses mains pour se glisser entre les jambes de la sublime noire et caresser ses lèvres intimes, la doigtant d’abord doucement puis avec plus d’entrain.

Se contenter d’un rôle passif ne dérangeait pas Monica plus que ça. Elle avait déjà profité du corps de Losgar, après tout, et il était normal d’inverser les choses, ou, plutôt, de le partager. Et puis, Spectrum connaissait bien Ivy et ses goûts sexuels. L’Empoisonneuse était une femme sulfureuse, qui aimait beaucoup le sexe. Elle n’hésitait pas à utiliser de son souffle et de ses spores pour séduire les hommes qui lui plaisaient physiquement, afin de pouvoir juste coucher avec eux. Ivy avait déjà couché avec Superman, quand elle avait réussi à le contrôler. Autant dire qu’elle aimait bien les hommes surnaturels, que ce soit un Kryptonien, ou un Noxien. La queue de l’homme était comme une lance de chair s’enfonçant dans ses entrailles, remuant dans les tréfonds de son être, la faisant délicieusement vibrer.

« Haaaa... Losgar, hmmm... »

Ivy ondulait gracieusement sur son corps, le fauteuil parvenant à supporter les deux corps qui étaient en train de s’unir. Monica, elle, plutôt effacée, palpait tendrement le corps d’Ivy, glissant sur sa peau, grattant cette dernière, et sourit en voyant le Noxien poser chacune de ses mains sur le magnifique petit cul de la femme. Pamela s’en mordilla les lèvres, et serra la tête de Losgar contre ses mains, la plaquant ainsi sur sa poitrine. Excitée comme elle était, Ivy laissait naturellement des spores s’échapper de son corps, qui enivraient les sens, et renforçaient l’envie de faire l’amour. Avec elle, le sexe était un véritable cercle vertueux, car, plus on le faisait, et plus on avait envie de le faire.

Monica sentit alors la main de Losgar s’approcher de son sexe, et sourit, puis se décala un peu, se mettant sur le côté, facilitant ainsi le travail de Losgar. Cependant, Ivy intervint rapidement, en posant sa main sur le poignet de l’homme, et la remit sur ses fesses.

« C’est de moi dont tu t’occupes en ce moment, Losgar... Ne t’en fais pas pour Monica... »

Cette dernière, qui commençait à ressentir les relents des spores d’Ivy, perçut également des tentacules frotter ses jambes, remontant le long de son corps, et esquissa un soupir. Ivy, de son côté, continuait à stimuler la virilité de Losgar, afin de le rendre... Encore plus énergique, encore plus puissant, et encore plus... Sauvage.

« Baise-moi, Losgar, hum... Fais parler ton corps, prends-moi fort, au sol, contre le mur... Vas-y ! »

Comme pour le motiver davantage, elle n’hésita pas à lui griffer les épaules avec ses ongles.

Et force était de constater que les stimulus libérés par Ivy marchaient à merveille. Le fougueux destrier se transformait petit à petit en bête de sexe affamée, et son désir déjà gourmand devint un gouffre libidineux avide. Exciter d’avantage un Noxien adulte était un exploit dont l’Empoisonneuse pouvait être fière : Les mâles de cette espèce disparue avaient un attrait fort pour le sexe en raison de leur histoire parsemée de guerres et donc le besoin vital de s’accoupler.

Il la baisait, l’embrassait, caressait son corps avec une furieuse passion et comblait chaque parcelle de sa peau. Ses cris et ses exclamations étaient autant d’appels à la perdition et la luxure, et cela brûlait d’avantage ses instincts primaires.

Ivy avait un corps très agréable et aux formes généreuses, et Losgar savait honorer cette beauté naturelle durant l’acte. Cela dit bien vite la sauvage passion sexuelle atteignit son paroxysme dans son esprit, et il décida de répondre à l’appel de sa belle amante et à libérer sa bestialité.

Arrêtant donc ses coups, il souleva Pamela par-dessus son membre dressé et l’embrassa avec délice, profitant à nouveau de ces lèvres qu’il adorait tant. Puis il déposa la reine des plantes de dos contre la lascive Monica.

Humectant brièvement deux de ses doigts, le prince déchu prit soin des lèvres intimes de Pamela en les caressant d’abord doucement, puis avec plus d’énergie en exerçant des mouvements vifs et rapides. Mais ce n’était qu’un petit avant-goût de ce qu’il comptait faire à la sublime dame. Finissant son petit ménage, il embrassa, dans une dernière touche de malice et de sensualité, l’intimité de Poison Ivy avant de se relever. Le grand Noxien se dressait fièrement de toute sa largeur virile, fier et puissant, contemplant les deux femmes à sa merci. Un spectacle grisant qu’il aurait adoré voir encore et encore jusqu’à la fin des temps.

Il se saisit de l’une des jambes de sa campagne et la posa sur son épaule avec aisance. Affirmant sa prise sur Pamela, il approcha sa virilité vers la boîte de Pandore, la glissant doucement entre les pétales de l’héroïne jusqu’à la garde. Il resta ainsi un moment, savourant cette sensation indescriptible de plénitude et d’extase. Et c’est à ce moment là qu’il exauça le souhait d’Ivy : il libéra la bête sauvage et laissa parler son instinct.

« Nous y voilà ma chérie … ah. »

Telle une machine, il martelait avec passion la femme, enchaînant les puissants coups de rein dans un rythme animal, la caressant aussi avec sa main libre, venant malaxer un sein ou taquiner ses lèvres exquises. Les claquements contre son divin fessier étaient sonores, de telle sorte que Carol et Rachel devaient sans doute les entendre … avec les cris de joie et les soupirs d’aise.

Le spectacle était délicieux, et l’homme faisait l’amour avec une belle performance, infatigable et plein d’énergie. Il donnait une telle force et une telle vigueur dans ses assauts que même Monica était secouée par les attaques, son corps se secouant sensuellement au rythme de la brutale fougue de l’être venu de l’espace.

La séance de sexe devenait de plus en plus tentaculaire, et Monica sentit des tentacules se serrer contre son corps, coinçant ses jambes, mais s’approchant aussi de ses bras, venant s’enrouler sur eux également. Elle en frémit, sentant ce contact particulièrement délicieux, puis les tentacules se serrèrent. Ils étaient lisses, glissants, solides, un peu gluants, et étonnamment doux. Elles s’étaient attendues à une texture plus rugueuse, comme de l’écorce, mais c’était... Bien différent. Les tentacules jaillissaient des plantes de Rachel, qui avaient considérablement grossi, provoquant, le long des murs, d’épais lierres. Elle gémit en les sentant, voyant également de belles fleurs aux magnifiques pétales, qui libéraient un gaz se diluant dans l’air, un gaz rose qui se dispersait, et que Monica inhalait, ce qui amena cette dernière à avoir chaud. Elle soupira également en sentant ses tétons se durcir, tandis que les tentacules la soulevaient, écartant ses jambes, se crispant encore autour de ses jambes, serrant très fort, vu sa résistance surnaturelle.

« Haaa... »

Sous l’effet de cette excitation subite, le corps de Monica s’illumina brièvement, avant que la blancheur ne disparaisse. Elle sentit alors des tentacules s’approcher de ses seins, ces derniers s’ouvrant à leur extrémité pour laisser pointer de petites langues rosacées, qui titillèrent ses tétons. Spectrum en gémit encore, remuant des jambes, avant qu’un tentacule ne s’approche de son sexe, prenant la forme d’une superbe verge, grosse et juteuse, qui enfla devant Monica, s’approchant de ses cuisses. Elle frémit, en sentant le tentacule remonter, s’approchant ensuite de son sexe.

Pendant ce temps, Losgar repoussa Ivy et cette dernière se retrouva contre le dossier du canapé, posant ses mains dessus, avant de sentir le Noxien relever sa jambe, l’appuyant sur son épaule. Elle soupira, pendant que Losgar avait, devant lui, outre le corps d’Ivy, qui s’humectait de joie à hauteur de son sexe, la vision de Monica, en train de gémir, et de se faire prendre par les tentacules. Et, alors qu’Ivy commençait à sentir la viridité roide de l’homme, elle sentit aussi son sexe entrer dans le sien, et un long cri de plaisir s’échappa de ses lèvres.

« Haaaaaaa... !! »

Un long cri guttural s’échappa de ses lèvres, puis elle sentit l’homme remuer en elle, le Noxien passant enfin aux choses sérieuses... Et autant dire qu’Ivy, qui avait longuement attendu ce moment, ne pouvait que le savourer. Han oui, quel homme ! Un magnifique mât s’était planté en elle, se nichant dans son corps, tourbillonnant en elle. Ivy hurlait de plaisir, et les tentacules de la femme réagirent en conséquence. Le tentacule phallique pénétra Monica, qui gémit à son tour, en sentant également un autre tentacule se frotter contre ses fesses, éprouvant visiblement le désir de rentrer aussi en elle.

Ivy, elle, se faisait joyeusement prendre, son corps s’affalant sur le fauteuil, soulevant ce dernier quand Losgar repartait en arrière, et elle hurlait, gémissait, fortement, en tournant brièvement sa tête, comme pour essayer de voir son amant.

« Hmmmm... Hoooo... Losgaaar, haaaannn... !! O-Ouuuuiiii... Haaaaaa... !! »

Les mots ne suffisaient point pour décrire ce spectacle de pure luxure, de perdition agréable et de folie de la chaire. Aphrodite en personne aurait eut le sang en ébullition et les sens affolés devant ce délicieux spectacle qui était à la fois un hommage à l’amour et une représentation du sexe dans toute sa sauvagerie et sa passion furieuse.

Losgar avait incarné son rôle de dominant à la perfection, tenant fermement une Ivy hurlante de joie et de bonheur, la besognant fermement au rythme de puissants coups de rein dont le fauteuil tremblait à chaque frappe comme une forteresse assiégée par un implacable bélier. Sa lance virile ne souffrait d’aucun ralentissement, poursuivant son avancée inflexible au fond de la sulfureuse empoisonneuse qui hurlait de plaisir et soupirait son nom dans de doux râles. Hors il n’ y’avait pas plus grande récompense pour le fougueux étalon que les cris d’une amante comblée. Il n’aurait guère apprécié cette scène de sexe dans toute son ampleur si ses amantes ne ressentaient pas un plaisir réciproque, si ce n’est plus, et c’est pour cela qu’il mettait un point d’honneur à répondre à tous les besoins intimes de ses partenaires.

Pamela avait souhaité une brutale sauvagerie, et avait été servie, le bel éphèbe honorant son corps comme une bête affamée, grognant de plaisir. Maître de la situation, il gardait un calme calculateur quand-bien même il se sentait emporté par sa passion ardente. Le parfum libéré par les roses ajoutait encore à cette sensation de plaisir et cette chaleur presque étouffante mais oh combien agréable. On aurait dit que le parfum amplifiait les sensations et attisait le désir. C’était diablement efficace !

Relevant un peu les yeux, il fut surpris de voir Monica encerclée par des tentacules malicieux qui caressaient ses parties intimes. Il en surprit même un s’aventurant en elle, agissant à la manière d’un membre génital masculin. Le mâle trouvait cela étrange, et une partie de sa personnalité fut presque irritée de voir un « concurrent ». Cependant il oublia vite cette idée, quand bien même son instinct de mâle alpha avait été dérangée. Et puis il lui suffisait de voir Monica s’abandonner au plaisir et savourer le traitement des plantes pour qu’il abandonne totalement toute frustration. Et puis il avait déjà fort à faire avec Poison Ivy, sublime créature dont le corps était un délice total.

Il la prenait joyeusement, secouant le corps de son amante avec une joie sauvage et une bestialité à toute épreuve, accélérant le rythme déjà rapide de ses coups. Infatigable, il ne ménageait aucunement celle qui avait réclamé toute la puissance et la force du dernier survivant de Nox. Il s’était libéré, il avait déchaîné le fauve qui était en lui et rien ne pouvait plus arrêter son instinct insatiable.

Le plaisir dura longtemps encore avant que, au bout de plusieurs minutes d’intense passion, il finit par atteindre la tornade de l’orgasme. Poussant un cri de stentor, il se libéra en elle, jouissant abondamment en gardant fermement Pamela en lui, soupirant à mesure que son chibre déversait la divine semence en elle.

Retirant lentement son membre, un mince filet blanc s’écoula le long des jambes de Pamela, preuve qu’il l’avait bien remplie et honorer comme une déesse. Satisfait, il vint caresser sa belle et l’embrasser langoureusement.

« Hm, c’était délicieux. Tu étais parfaite, Pamela … absolument parfaite. »

Coucher avec un tel homme, voilà là tout ce que Poison Ivy souhaitait. Massif, musclé, énergique, il était un amant terrible, qui la défonçait par l’arrière, tenant ses hanches. Ivy, jambes écartées, se félicitait de cette sensation, de ce moment. Le Noxien, à n’en pas douter, était un homme magnifique, et, avec sa force surnaturelle, sentir l’homme la pénétrer était un plaisir rare, aussi violent qu’intense. Fermant les yeux, Ivy soupirait longuement. La prise en levrette se poursuivait joyeusement, encore et encore, et le corps d’Ivy se cramponnait davantage contre le fauteuil, cette dernière bandant ses muscles en sentant les élancements fougueux de Losgar dans son dos.

« Haaaa… Haaaa… !! »

Ivy avait toujours aimé le sexe brutal, et c’était aussi pour ça qu’elle utilisait ses plantes sur des hommes. L’idée n’était pas que d’en faire des êtres surpuissants, mais aussi des amants d’exception, musclés, bien bâtis, et endurants. Losgar remplissait toutes ses qualités, et Pamela pouvait sentir sa grosse queue se perdre en elle, écartant ses parois, continuant à remuer dans son corps, ne la négligeant pas. Intensif, le Noxien se montrait passionné, fort, terriblement viril. Pamela continuait à gémir, et même à hurler, mouillant abondamment le long du sexe impérial de l’homme, cette queue royale et massive.

Ce corps charpenté continuait à la butiner, à explorer son corps, comme un homme se devait de le faire. Il la faisait vivre, il la faisait vibrer, et Pamela ne pouvait qu’adorer ça. Tout en se faisant prendre, elle admirait également Monica, qui gémissait aussi, prise par ses tentacules. Pour Spectrum, c’était véritablement une première, et elle ressentait un attrait inexplicable dans le fait d’être ainsi prise, de sentir son corps se tortiller dans tous les sens, remuer d’avant en arrière, ses membres immobilisés par les épais tentacules, qui serraient parfois tellement forts qu’ils l’en étouffaient.

« Hmmmm… !! »

Ne pouvant rien faire d’autre que gémir et soupirer, Monica se tortillait dans les tentacules, remuant d’avant en arrière, sentant avec délectation le tentacule s’enfouir en elle, remonter en arrière, puis repartir en avant. Elle gémissait, couinait, soupirait, hurlait presque, tout en sentant un orgasme la traverser, nourrissant les tentacules, et nourrissant aussi Ivy, qui était une marionnettiste particulièrement comblée. Oui, oui, se faire prendre par Losgar, c’était incroyable.

La scène fut aussi fantastique que brève à ses yeux, car elle sentit, au bout d’un temps long, mais qui, pourtant, fut bien trop court pour elle, l’homme se vider. Le corps de Losgar se concentra, dans cette situation que Pamela connaissait très bien, et elle poussa un long soupir de joie en sentant le sperme du Noxien remplir son ventre, fusant dans son corps, la remplissant bien comme il fallait.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »

Ivy ferma les yeux, en jouissant également, et se relâcha ensuite, dans un long soupir. Elle se retourna alors, et sourit devant Losgar, dont le corps, en sueur, trahissait de l’activité physique qu’il avait dû soutenir. Ils s’embrassèrent ensuite, Pamela n’hésitant pas à fourrer sa langue dans sa bouche, une main se crispant sur sa nuque, l’autre se posant sur son torse, en soupirant encore, frémissant de nouveau au contact des puissants bras de l’homme sur son corps. Le baiser se termina ensuite, et Losgar la complimenta, une lueur amusée venant, en retour, éclairer les yeux de Pamela.

Ses mains palpèrent ainsi le torse de l’homme, tandis que Monica gisait au sol, se redressant lentement, les tentacules s’étant retirés.

« Tu es un formidable amant, Losgar…
 -  Ça… Je ne peux que… Que confirmer…
 -  J’ai passé une formidable soirée en votre compagnie, mes chéris. »

Tout en se décollant un peu de l’homme, Pamela tendit sa main pour caresser la joue de Monica, la faisant doucement rougir.

« Si jamais vous refaites une soirée de ce genre… N’hésitez pas à m’inviter de nouveau. »

Elle regarda à nouveau Losgar, glissant sa main sur son torse, le griffant très légèrement :

« Même si nous pouvons volontiers nous revoir avant, mon beau… »

« Le plaisir est partagé. »

Sourire aux lèvres, il contemplait les deux sublimes dames qui lui avaient accordé une formidable nuit, si bien qu’il en avait le corps tout brûlant et luisant de sueur à la manière d’une huile recouvrant un athlète de l’antique Olympe. L’éphèbe frissonna d’aise et ne put s’empêcher de caresser d’une main douce et presque paternelle Monica et Pamela, marque de son affection pour elles et de son immense contentement. Quand Losgar était satisfait il l’exprimait toujours par des gestes simples mais au sens évident.

Saisissant la main qui lui griffait sensuellement le torse, il déposa un doux baisemain sur le dos de la main de Poison Ivy, le regard brillant d’une flamme de malice et de séduction palpable à en faire fondre les cœurs les plus frigides.

« Vous revoir sera pour moi plus qu’un plaisir, mais un devoir du cœur. »

Il était amusant de voir ce franc guerrier de l’espace parler de manière si poétique, chose qu’on ne se doutait pas chez un être passant sa vie dans les pires situations qu’un combattant puisse imaginer, dans des terres hostiles peuplées de civilisations brutales et peu courtoises. Mais, il suffisait de fixer les lèvres sensuelles du beau mâle pour se dire, au fond, que cette bouche à la voix si mielleuse et si virile ne pouvait souffler que des mots à en faire frissonner des statues de marbre. C’était tout le charme du Noxien, surnaturel et inné.

Après tout, séduire des membres du SHIELD aux pouvoirs formidables et au charisme époustouflant n’était pas à la portée du premier dandy des rues New-Yorkaises, et notre héros avait veillé à ce que son instinct, ses actes et ses paroles lui fassent gagner le cœur de ses belles comme le preux chevalier faisant la cours à sa princesse en détresse.

Mais trêves de paroles à l’eau de rose !

Par galanterie, Losgar fut le dernier à se diriger vers la salle de bain de l’appartement de Rachel, laissant ses amantes se débarrasser des fluides corporels qui recouvraient leurs superbes corps. Puis une fois chose faîte, Orphée aux doigts de roses vint les plonger dans les doux draps du sommeil, et c’est avec calme et sérénité que le survivant de Nox coucha en compagnie de Spectrum et Ivy, bercé par la respiration paisible des deux héroïnes.

Les heures s’écoulèrent ainsi, calmes, contraste saisissant avec la vie de dangers qu’ils devaient vivre pour protéger les faibles et les opprimés. Le sommeil salvateur apaisait les esprits et détendait les corps, et pourtant Losgar se réveilla bien avant que les premiers rayons du soleil ne percent le rideau obscur de la nuit.

Ses yeux aux éclats d’or brillaient d’un éclat prédateur dans l’obscurité de la pièce, et les pupilles dorées glissèrent lentement vers Monica, qui dormait du sommeil du juste, puis de Poison Ivy, qui respirait tranquillement contre lui. Il inspira profondément, et le parfum des femmes vint caresser ses narines d’une flagrance envoutante. Il aurait voulu que ce moment dure à jamais, mais il abandonna bien vite ses pensées quelques peu romantiques. Trop à son goût.

Plongé dans sa méditation nocturne, il pensa à leur siège de l’île de Zemo, comment ils avaient percé les lignes défensives du Baron, avec quelle bravoure ils avaient repoussé les escouades innombrables de mutants et de fanatiques. Il se remémora l’escarmouche dans la villa de Zemo, puis le bunker souterrain, et s’inquiéta de nouveau concernant les recherches douteuses de la tête pensante d’HYDRA. Son sang bouillonnait au souvenir de leur affrontement contre le duo mortel du nécromancien et du pirate de l’espace, sans oublier le terrifiant robot aux armes surpuissantes. Son corps frémit, comme si les blessures qu’il avait encaissées refaisaient surface, et curieusement cela lui plaisait, car il se sentait vivant. Tellement vivant !

C’est là qu’il se dit que le SHIELD avait des ennemis bien redoutables, et que ces derniers pouvaient tout aussi bien s’allier avec les fantômes du passé. Le visage d’Ogron lui tirât un goût amer dans la bouche.
Combattre au côté de Monica, Pamela, Carol, Laura et Rachel lui avait procuré un plaisir certain, mais surtout un sens à son combat. Jusqu’à présent, il n’avait versé le sang que par désir personnel et pour satisfaire sa soif de gloire et de sensations fortes. Servir une cause noble lui semblait comme une bénédiction, comme si le destin lui permettait de tourner définitivement la page sur la fin tragique de son peuple, et un moyen d’honorer la mémoire de son père et des siens. Il se dit alors que s’il avait l’occasion de combattre de nouveau aux côtés de si braves héros, il n’hésiterait pas à donner sa vie pour leurs causes communes. Cette décision devint une certitude pour lui et il se promit d’honorer sa volonté par amitié pour le SHIELD et par honneur. Un sourire amusé étira ses lèvres à la notion d’honneur, lui qui croyait avoir abandonné cette valeur. Les bonnes vieilles habitudes étaient coriaces.

Losgar embrassa doucement le front des deux femmes avant de se glisser aussi doucement que possible pour se défaire de leur étreinte chaleureuse. Une fois libéré, il les recouvra de nouveau d’une couverture avant de s’étirer paresseusement devant la fenêtre, contemplant la ville encore sous l’emprise du monde nocturne.

Il alla ensuite récupérer ses habits et les enfila rapidement, avant de se diriger vers ce qui le bureau de Iron Girl où, s’armant d’un stylo et d’un papier, il écrivit une lettre pour les héroïnes. Les mots filaient rapidement sur le papier fin à mesure que l’esprit du Noxien s’exprimait clairement comme de l’eau de roche. Le contenu du texte était simple, il exprimait de manière spartiate mais néanmoins courtoise sa satisfaction et l’honneur de combattre avec elles, et glissa aussi des coordonnées menant à l’un de ses repères du Terra, où elles pourraient le trouver si un jour la nécessité voulait que le SHIELD fasse appel à ses alliés, combien même Losgar était un outsider.

Satisfait, il accrocha le papier sur la porte d’entrée avant de quitter d’un pas léger l’appartement, son manteau volant derrière lui à la manière d’une cape royale sombre.

L’homme jeta un dernier regard vers la demeure puis, souriant, il disparut dans les ruelles obscures, se fondant dans la nuit.