[FINI] Guerre contre Zemo [PV]

Monica était donc seule avec le beau mec. Bâti comme un Dieu grec, Losgar était une vraie peinture de mode, et sentir cet homme contre elle, tâter de ses muscles, était particulièrement excitant. Spectrum s’en mordillait doucement les lèvres, puis laissa les mains du Noxien explorer son corps, la caresser, avec tendresse et efficacité. L’homme aimait le corps des femmes, et tenait à le montrer, puisqu’il s’empressa de poser ses mains sur les fesses de Monica, faisant frémir cette dernière. Elle se tortilla un peu contre l’homme, et l’embrassa fougueusement, s’appuyant avec ses mains sur sa nuque ou sur ses épaules, son corps continuant à réagir à ce contact.

Laissant Losgar agir, Monica se retrouva sur le lit. Le Noxien n’avait pas encore retiré sa combinaison, la caressant à travers. Un contact qui n’était nullement dérangeant, car la combinaison de Monica épousait très bien ses formes. Sentir les mains de l’homme dessus ne contribuait donc qu’à l’exciter davantage, durcissant ses tétons.

« Hmmm... »

La jeune femme se mordilla doucement les lèvres, continuant à se tortiller sur le lit, tandis que Losgar multipliait ses assauts, l’embrassant et la caressant comme si son corps avait été celui d’une sorte d’idole, de divinité dont il fallait prendre le plus grand soin. Des délicates attentions qui ne manquaient pas d’émoustiller la jeune femme. Monica soupirait longuement, clignant des yeux à plusieurs reprises, frottant ses mains sur le lit, avant de les poser sur la tête de l’homme, y crispant ses doigts.

« Haaannn… »

Elle s’offrait à lui, sentant ses lèvres se poser sur son ventre, sur le haut de ses jambes, pour remonter ensuite, ses mains prenant le relais. Monica ne put que soupirer quand elle sentit la main de l’homme caresser son entrejambes, la faisant joyeusement frémir, Spectrum s’en pinçant les lèvres, en se crispant sur le lit. Son autre main fila sur le torse de Spectrum, pressant son sein à travers la combinaison, la faisant à nouveau gémir en s’arquant sur le lit.

Restait maintenant la question épineuse consistant à la déshabiller. Pour ce faire, il fallait noter que la combinaison de Spectrum n’était pas une pièce intégrale, mais un ensemble de trois morceaux, chacune étant de couleur différente. Ainsi, sur le costume global, il y avait un plastron noir formant une sorte d’étoile autour d’un justaucorps blanc prolongé par des gants, et un pantralon noir moulant filant dessous. Ces trois morceaux s’imbriquaient parfaitement les uns dans les autres, de telle sorte que, même en passant le doigt dessus, on ne sentait aucune différence. Pour ôter l’ensemble, il fallait commencer par le plastron, détachable à hauteur des seins en tirant sur les espèces de pointes noires, afin de les sentir, peu à peu, se désolidariser.

« Losgar, haaa… Encore, mon chéri, hummm… »

Le corps de Monica était doucement en train de chauffer sous les élans de son amant.

Losgar n’était pas pressé dans sa tâche, se montrant comme un homme d’une patience remarquable, en particulier dans cette coquine situation où la plupart des hommes répondraient à leurs pulsions et arracheraient à la vite ce qui constituait comme obstacles pour atteindre la chaire. Mais lui était un homme joueur, et très méticuleux en ce qui concernait le sexe. Le plaisir devait être mutuel, et il mettait à haute estime le devoir de veiller à ce que sa partenaire savoure chaque infime parcelle de seconde comme un doux mélange de paradis et d’enfer.

D’ailleurs, on pourrait le qualifier comme un savant cocktail alliant la douceur et la tendresse d’un ange avec la sensualité et la brûlante ardeur d’un démon. Ajoutez-y un esprit inventif en matière de jeux de lits et d’un appétit aiguisé, et vous obtenez un amant que le terme fougueux ne saurait englober.

Les mains de l’ex-prince avaient parcourut plus d’une fois le corps de la belle noire, et avaient finalement percé le secret qui maintenait la combinaison moulante de Monica. En tirant légèrement sur des pointes noires au niveau de sa poitrine, il constata avec satisfaction que le plastron se désolidarisait de ses attaches, livrant petit à petit la peau d’ébène au regard affamé du Noxien.

Il déposa soigneusement le plastron de coté et s’attaqua à la suite des vêtements, tentant le même stratagème. Durant le processus, le mâle n’hésitait nullement à déposer de somptueux baisers sur la peau mise à nue, mordillant parfois du bout de la limaille de ses dents immaculées sur la peau chocolatée comme s’il dévorait un fantastique gâteau au goût divin. Il donnait aussi quelques lascifs coups de bassin contre elle, prémisse d’une délicieuse danse qui promettait d’être endiablée.

L’amant au corps d’Hercule avait beaucoup de fougue et de passion à libérer, tellement qu’il aurait put brûler vif, mais il savait se retenir. Une qualité rare.

La tâche fut longue, et parsemée de douces caresses, mais il parvint finalement à complètement mettre à nue la belle Spectrum. Il put alors admirer son corps désirable taillé par des mains expertes, et cette vue raviva encore plus son désir incandescent.

Couvant la femme de son corps, il s’attaqua à sa poitrine, malaxant et pressant avec envie sa poitrine généreuse, les secouant dans différents sens avec douceur et attention, pinçant légèrement les bouts de rose. Bien vite, il les porta à ses lèvres, les soumettant au supplice inquisiteur de sa langue avide qui exerça ses sulfureuses tortures contre ses tétons.

Prit dans cette perdition amoureuse, Losgar se saisit de l’une des mains de Monica avant de la porter au niveau de son bassin, la laissant constater l’ampleur de son excitation par-delà ses vêtements devenus encombrants.

Il la désirait ardemment, et le lui faisait savoir de la plus simple et douce des manières.

Monica sentit les mains de Losgar explorer son corps, cherchant les limites de son costume, la méthode pour la déshabiller. Oh, elle aurait pu le lui dire, bien sûr, mais... Comme ça, elle trouvait les choses encore plus excitante. Finalement, le Noxien, en palpant le plastron, sentit finalement, entre les parties de différentes couleurs, on pouvait détacher l’ensemble en tirant dessus. Ce tel geste ne fut pas sans faire doucement frissonner, Spectrum, qui soupirait au contact des mains de l’homme. Délicat et attentionné, Losgar prenait tout son temps, et entreprit de retirer chacun des morceaux, tirant dessus, la combinaison crissant contre le corps de Monica, filant le long de sa peau. Un contact assurément délicieux, amenant Monica à se tortiller sur le lit, jusqu’à sentir ses pieds se libérer, la tenue collant un peu contre ses orteils, avant de se retirer.

« Haaaa... »

Désormais nue, Spectrum offrait à Losgar le spectacle de son corps nu, nu et magnifique. Elle était effectivement très belle, une magnifique beauté à la peau sombre, au corps musclé et ferme, présentant quelques cicatrices sur les hanches et dans le dos, souvenirs de bataille lors de ses multiples formations au sein des Avengers. Nue, elle s’offrait à Losgar, sans la moindre protection, lui offrant également la vue de son intimité, superbement épilée.

Elle lui souriait, et vit l’homme regarder ses seins, deux belles bosses qui se dressaient devant lui. Il se pencha alors vers elle, et vint les palper, les suçoter, la faisant gémir, ses tétons se durcissant, le plaisir, présent, croissant progressivement, en même temps que le désir. Oui, l’homme était beau, mais, au-delà de ça, elle sentait un amant expérimenté, qui savait comment faire plaisir au corps d’une femme, et qui, de surcroît, et c’était là un élément important, était bien membré. Cette virilité, en effet, elle la sentit avant que Losgar n’attrape sa main, mais, quand ses doigts s’approchèrent de ce sexe, Monica se pinça les lèvres, et serra ses doigts sur cette hampe de chair.

Tout en soupirant légèrement, elle se permit ainsi une petite remarque :

« Tu as de très bons arguments, Losgar... Mais... Hmmm... Je crois que... Que ça ne va pas être possible comme ça... »

Et, inversant les rôles, Monica renversa Losgar, le couchant sur le dos, et posa ses mains sur son torse, tout en se dressant à califourchon sur lui. Le désir était là, visible dans la manière dont elle agissait rapidement, ou dont ses yeux semblaient être en train de brûler sur place. Ses mains tirèrent sur les vêtements de l’homme, enlevant son haut, manquant le déchirer, et elle posa ensuite ses deux mains sur ses omoplates, se mordillant les lèvres, serrant cette masse de chair. Le Noxien lui offrait un torse glabre, musclé, solide, et très agréable à palper.

Monica en sourit, et lui rendit ensuite la pareille, le déshabillant en quelques secondes. Les deux amants se retrouvèrent ainsi nus, la jeune femme à la peau d’ébène se remettant agenouillée sur lui, en califourchon, sentant, contre ses fesses, le sexe de l’homme, ce mandrin tendu qui heurtait sa peau. Les deux amants se faisaient ainsi face, dans l’intimité de cette chambre, et Monica caressait son torse.

« Tu as une très belle plaquette, mon chéri... »

Les muscles de Losgar étaient très impressionnants, faisant saliver Monica, qui se pencha ensuite vers lui, courbant son dos vers l’avant, et l’embrassa tendrement.

« Hmmmm... »

Monica se lova contre lui, et, tout en l’embrassant, descendit sa main le long du corps de l’homme, jusqu’à caresser son sexe, le masturbant doucement, tout en se montrant coquine, et joueuse :

« Tu sais, chez moi, on dit qu’un sexe masculin n’aime pas se sentir seul quand il est à l’air libre, qu’il est comme un enfant dont il faudrait toujours veiller à lui prodiguer des douceurs... Et un peu de fermeté, glissa-t-elle, en serrant ses doigts sur le sexe de l’homme. Quel est ton opinion là-dessus, dis-moi ? »

Un doux rire s’échappa des lèvres de Losgar lorsque la passionnée Monica inversa les rôles de sorte à ce qu’elle soit en position dominante. Ayant ainsi le dessus, elle s’empressa, avec un désir palpable et brûlant, de le déshabiller entièrement pour ainsi profiter de sa nudité spectaculaire tout comme lui-même profitait du spectacle de son corps de rêve. Une fois les deux amants réduits à leur plus simple attirail, ils s’adonnèrent à quelques douces caresses ponctuées de baisers emprunts de fougue et de sensualité.

Le pieu de chaire du Noxien se frottait au fur et à mesure des caresses contre les fesses rebondies de Spectrum, attisant une passion déjà ardente chez l’ex-prince.

A’ mesure que les mains de l’héroïne palpaient inlassablement son torse athlétique, Losgar pressait amoureusement le corps de sa belle contre lui, tâtant sa chaire douce et ferme, éprouvant la générosité de sa poitrine, ses formes appétissantes et la tendresse de son cul.

Il fut interrompu dans ses jeux d’amour par la main insidieuse de sa compagne qui, tel un serpent, se faufila avec une grâce excitante le long de son corps avant de saisir sa fierté dressée telle une lance, y appliquant de longs mouvements.

La magnifique Monica pouvait ainsi fantasmer sur ce que pourrait lui faire Losgar avec un membre aussi bien fournit, digne d’une femme à l’appétit sexuel aiguisé.

Quant à lui, il s’imaginait déjà se noyer dans les affres de la perdition dans la chaire de sa belle noire, la dévorer avec passion et se perdre dans la luxure la plus délicieuse.

Il sourit d’un air joueur et amusé à la remarque de sa belle amante, et se mordilla la lèvre inférieure quand elle pressa ses doigts le long de son braquemart.

Il s’approcha donc lentement des lèvres de Spectrum avant de lui susurrer avec une sensualité torride :

« Je ne peux qu’approuver. De plus, chez moi, nous avions pour habitude de dire que la femme était un joyau sucré qui méritait aussi d’être admiré … »

Il commença à doucement glisser sous le corps de sa belle, parcourant ses lèvres douces le long de son torse, puis de son ventre.

« … puis cajolé … »

Il glissait toujours contre elle, se retourna au fil de ses déplacements de sorte à toujours rester surmonté par la femme mais qu’il ait changé de position. Sa tête s’arrêtât au niveau de l’intimité de Spectrum, dont il huma le parfum avant d’y déposer un long baiser.

« … et enfin savouré. »

Et c’est ainsi qu’il approcha doucement ses lèvres de celles intimes de l’agente du SHIELD, embrassant la chaire rosée, la mordillant légèrement, puis y aventurant le bout de la langue afin d’en récolter le précieux nectar. Les petits coups de langues se firent plus audacieux à mesure que l’appendice s’aventura plus profondément dans la caverne aux merveilles.

Ses mains ne chômaient guère, et caressaient envieusement les hanches de Monica, allant parfois saisir un sein pour le malaxer ou tout simplement frotter avec délice ses fesses à croquer, y appliquant même une fugace claque du plat de la main comme touche de coquinerie.

Spectrum pouvait aussi bien, outre profiter de ce cunni spécial, appliquer ce jeu Noxien et s’attaquer à son tour à la virilité royale qui se dressait désormais devant ses lèvres pleines.

« Tu es vraiment sublime, ma chérie. »

Les deux amants étaient maintenant nus, l’un contre l’autre, leurs corps en transe se caressant doucement. Monica venait de titiller la chaleur de l’homme, excitant sa virilité. Femme d’action, elle l’était aussi bien en allant combattre des organisations terroristes et des super-criminels qu’en couchant au lit. Une diablesse à la peau d’ébène, et Losgar était doucement en train de le réaliser, avant de se livrer à quelques prouesses acrobatiques dont lui seul semblait avoir le secret. En effet, il s’évertua à « ramper » sous le corps de Monica, au lieu de tout simplement la coucher sur le lit. Monica sentait ainsi les mains du Noxien glisser sur ses hanches, sur son corps chaud et fébrile, pendant qu’il glissait sous elle, embrassant son corps, sa peau chaude et tendre, douce et fine. Elle-même en profitait pour lécher sa peau, ses muscles, les fines lignes qui découpaient sa silhouette athlétique, jusqu’à sentir une bosse frotter sur ses seins, et sur son menton, arrivant près de ses lèvres.

Une ligne de chair était en train de se traverser un passage vers ses lèvres, guidée par les propos mélodieux de Losgar.

« Hmmm… Et toi, tu es un diable d’homme, Losgar… »

Un diable d’homme, c’était une magnifique manière de le décrire. Il était là, contre elle, embrassant son intimité, savourant son corps, et elle ne tarda pas à lui rendre la même, en caressant son sexe. D’une main, elle le tenait, et ouvrit les lèvres, puis lécha son sexe. Un magnifique mandrin, tendu et assoiffé, une grosse gourmandise pour Spectrum. Elle caressait donc ce sexe, doucement, le sentant caresser également ses lèvres, et crispa ses doigts dessus, s’en servant pour le déplacer… Et pour pouvoir le prendre en bouche.

« Mhhhhmmm… »

Fermant les yeux, Monica déplaça ses mains, et les posa sur les hanches de l’homme, puis sur ses fesses, s’en servant comme appui, tout en remuant un peu ses propres jambes, frémissant sous le contact du corps du Noxien. L’extraterrestre se serrait contre elle, et les deux corps ondulaient, l’un contre l’autre, en parfaite harmonie. Ils formaient une superbe danse sexuelle, s’imbriquant l’un dans l’autre à la perfection.

Spectrum prolongeait le moment, savourant le contact de ce membre, ce sexe qui s’enfonçait entre ses lèvres, remuant en elle, tapant dans sa gorge. Elle le léchait, aussi,  tout en soupirant de plaisir en sentant la virilité de l’homme s’enfoncer en elle.

Ensemble, ils étaient en train de se découvrir mutuellement, et de se prodiguer chacun les plus grands plaisirs…

Le compliment de la sublime Monica ne manqua pas de flatter l’orgueil de Losgar dont les lèvres formèrent un sourire amusé avant qu’il ne reprenne sa sainte mission, à savoir donner un aperçu du paradis à son amante par un cunnilingus expert et plein de passion.

Le bau mâle avait des siècles d’expérience derrière lui et les mettaient toutes en place pour offrir la meilleure scène d’amour possible à Spectrum, qui semblait par ailleurs très réceptive à ses talentueux coups de langue sur son intimité.

En récompense pour ses soins attentionnés, l’homme sentit les doigts de sa compagne se refermer sur son braquemart de chaire, lui prodiguant de grisantes caresses à en faire perdre l’esprit avant d’user de sa bouche généreuse pour le cajoler de coups de langues qui tiraient des vagues de chaleur dans le corps de l’ex-prince.

La belle s’avait s’y faire, prenant son temps pour recouvrir la virilité d’une fine pellicule de salive et de chaleur, aiguisant le désir de son propriétaire qui exprimait son contentement en redoublant ses pérégrinations buccales au fond de sa chère amie. Sentir sa verge explorer la gorge de la belle noire était une sensation tout aussi exquise que le goût de ses lèvres intimes sur ses papilles gustatives. Un nectar de félicité qu’il dégustait avec une gourmandise certaine.

Le mâle était joueur, et décida d’ajouter plus de piquant dans leur petit soixante-neuf. L’une des mains qui tenait fermement les fesses délicieusement fermes de l’héroïne quitta le postérieur appétissant pour caresser du bout des doigts l’intimité de son amante, y dessinant des rondes lentes et suaves tout autour des points sensibles. Les cercles se faisaient plus serrés au fur et à mesure qu’il s’approchait de l’entrée. Puis un doigt unique alla se faufiler à l’intérieur, tâtant les parois brûlantes du corridor secret comme un aventurier dans le noir.

C’est alors qu’il glissa un second doigt en renfort, pénétrant plus en profondeur Spectrum tout en y appliquant d’énergiques caresses.

C’est là qu’il portât sa langue vers le bouton rose de sa délicieuse partenaire, le titillant du bout de sa langue avant de le suçoter pleinement.

Au même moment, il amorça un mouvement de va-et-vient avec ses doigts, offrant un aperçu de la suite de leur aventure nuptiale à sa belle d’ébène.
Preuve de son excitation, le membre semblait avoir prit légèrement plus de volume, gagnant en fierté et appréciant follement le climat entre les lèvres de Monica. Le plaisir grimpait lentement entre ses reins, aussi ajoutait-il plus de passion et de fougue dans ses caresses intimes pour faire voler l’esprit de sa douce amie et découvrir encore plus son corps de rêve.

Le sexe était une chose que Monica aimait sincèrement, sans pour autant en être droguée. C’était juste... Très agréable. Pour autant, elle ne savait pas trop quelle mouche l’avait piqué pour se retrouver ainsi à coucher avec le Noxien. Mais elle était bel et bien là, frottant son corps contre le sien, gémissant en sentant les doigts de Losgar venir compléter sa langue. Son corps tremblait sur place en sentant l’homme s’occuper d’elle, de son corps. En lui, elle sentait l’expérience du mâle endurci, quelqu’un qui était habitué à coucher avec les femmes, et qui veillait à leur plaisir, qui s’assurait qu’elles soient heureuses et contentes. Que demander de plus ? En réalité, Monica ne serait pas contre un peu plus de sauvagerie et de brusquerie, mais elle pouvait comprendre que le Noxien prenne des gants. Cependant, il n’y avait pas besoin de souffler sur les braises d’un feu qui était déjà en train de flamber. Monica finit donc par redresser sa tête.

Elle avait recouvert le sexe de Losgar de sa salive, formant une magnifique tige, qu’elle avait maintenant envie de goûter davantage. Ses jambes se déplacèrent donc, et son pouvoir ne tarda pas à agir, puisque, dans un sourire légèrement moqueur, la femme devint intangible, et se redressa ainsi rapidement, avant de redevenir tangible, et de s’asseoir à califourchon sur le corps de Losgar. Lui qui, il y a encore quelques secondes, léchait la fleur intime d’une femme, se retrouvait maintenant couché sous Monica. La femme à la peau d’ébène le dominait de toute sa hauteur, et l’une de ses mains vint caresser le visage de l’homme, ses doigts filant depuis son nez pour frotter ses lèvres et son menton.

« Bon... Assez joué, Losgar, il est temps de passer au plat de résistance, comme on dit... »

Assise sur lui, elle se redressa lentement, et rapprocha ainsi son bassin de son sexe. Une superbe virilité, bien dressée, sur laquelle elle apposa sa main, afin de la maintenir, et glissa ensuite lentement, en fléchissant les genoux. C’est ainsi que Monica sentit le bout de cette queue frotter contre ses lèvres intimes. Un long soupir la traversa, elle s’en pinça les lèvres, puis ferma les yeux... Et laissa ensuite ce membre s’enfoncer en elle, dans un long soupir.

« Hmmmm... !! »

Monica pouvait sentir cette queue remuer en elle, et elle soupira, retirant ses doigts, et commença alors à onduler, d’avant en arrière, son corps se dressant devant ce sexe.

« Haaaaa.. Losgar, haaaa... »

De délicieux soupirs s’échappaient des lèvres de la superbe femme, tandis qu’elle lui faisait langoureusement et passionnément l’amour.

Son amante était décidément une femme qui, outre un talent inné pour faire l’amour, avait un esprit très joueur. Alors que le puissant mâle savourait royalement la rose intime de sa belle en y appliquant les touches divines de ses doigts sur ses pétales roses, voilà que Monica disparaissait soudainement. Ou plutôt, elle devint intangible, laissant l’homme un bref instant surprit en fixant la forme spectrale se relever avant de reprendre sa tangibilité chaleureuse et agréable.

La belle Spectrum prit alors ses aises en s’installant dans une position forte appétissante, lui offrant le spectacle de son corps musclé et ferme, de ses formes généreuses qu’il avait déjà goûté et aurait adoré dévorer littéralement dans un brasier de perdition et d’amour.

Tandis qu’elle parlait avec cette voix si sensuelle qu’il en frissonnait presque, Losgar portât avec malice son index vers ses lèvres et lécha avec délice le nectar de son amie qui subsistait encore sur ses doigts, gouttant une dernière fois Monica.

« J’avoue que l’amuse-gueule était un véritable régal. Mais oui ma douce, passons au festin. »

Il pencha la tête de côté pour avoir une vue parfaite de sa lance entre les doigts de la femme à la peau d’ébène, et prit un plaisir inouïe à voir cette somptueuse dame aux commandes de son levier, le guidant entre ses jambes avant de laisser la gravité faire son effet et de s’empaler doucement dessus.

Losgar poussa un long soupir à cette sensation divine, sa virilité tremblant presque entre les parois de chaire qui l’encerclaient. C’était absolument exquis , un régal qui lui arracha un grognement de satisfaction.

Le bel homme laissa la femme mener la danse, regardant le spectacle hypnotique de sa douce poitrine remuer au rythme de ses allers et retour. Les chaleureux soupirs de sa compagne résonnaient comme la plus belle des mélodies pour ses oreilles, et il l’accompagnait parfois par quelques soupirs d’aise.

Mais il quitta bien vite son rôle passif de spectateur pour celui d’acteur. Il portât ses mains tout d’abord vers la poitrine de son amante, pressant et malaxant avec talent ses seins chocolatés, pinçant légèrement les tétons durcis par l’excitation.

Puis ses mains se déplacèrent lentement sur le corps brûlant de la super-femme, y glissant avec douceur jusqu’à atteindre ses fesses rebondies qu’il pressa avec envie. Une fois sa prise raffermie, il prit les commandes et mania à sa guise le corps de sa belle contre sa virilité, la rejoignant même par des coups de bassin exquis et profonds, explorant petit à petit la boîte de Pandore de son amante.

Langoureux dans ses gestes, il y allait doucement avec cette perle rare qui s’était offerte à lui, et veillait sur son plaisir en premier. Cela dit, il y prenait tout autant plaisir, dansant avec elle dans des claquements qui résonnaient d’une manière délicieusement obscène dans la pièce, si bien qu’il était fort probable que le son puisse quitter la chambre. Cependant le couple était bien trop occupé à faire l’amour avec passion pour penser à ce genre de détails anodins.

Il poursuivit ainsi, augmentant suavement le rythme et la force de ses coups, la caressant comme on caresse la statue d’une idole, l’embrassant avec une passion ardente et ne ménageant nullement sa splendide partenaire.
Les choses risquaient d’être plus intéressantes à mesure que le couple s’adonnait à des jeux plus féroces et suaves.

Losgar était très bien équipé, en plus d’être beau comme un Dieu. Sur cette question, il avait vraiment tout pour plaire, et, avec les spores d’Ivy qui remuaient dans ses veines, Monica se sentait particulièrement détendue, et donc d’autant plus apte à sentir la virilité du Noxien s’enfouir en elle. Papillonnant des yeux, elle avait laissé passer quelques secondes, afin de mieux anticiper le moment, d’appréhender la sensation de la chair se heurtant à la chair, puis ses genoux avaient fléchi, et elle avait pu sentir ce membre, cette rigide virilité, qui se mit à remuer en elle. Un long soupir s’échappa doucement de ses lèvres, tandis qu’elle crispait ses poings.

« Hmmmm... »

Rouvrant les yeux, Monica gémit encore, et commença à danser sur son corps. Elle avait l’habitude de prendre les choses en main, autant que de se laisser faire... Mais, là, elle avait senti que c’était à elle d’agir, à elle de motiver son bel étalon, de lui montrer qu’on pouvait passer au plat de résistance. Et quel plat ! Ses yeux se fermaient, ses poings se crispaient, tout son corps se détendait sous les élancements furieux que Losgar lui infligeait.

« Haaaannn... Losgar, haaa... Hhhmmmm... Haaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Dieu, Dieu ! Que c’était dur ! Hum, qu’il était dur de soutenir cette queue ! Sous l’effort, elle en fermait les yeux, sentant des pointes de douleur remonter tout le long de son corps, fusant en elle, filant dans son échine. Si c’était possible, elle avait le sentiment que la queue de son partenaire était encore en train de grossir, de remonter en elle, de s’insinuer, encore et encore, grappillant à chaque fois quelques centimètres.

Elle ne parvenait plus à retenir ses hurlements, qui rebondissaient dans toute la pièce, tout en sentant les mains de Losgar caresser sa peau. À sa manière, il l’honorait, malaxant ses seins, puis se préoccupant ensuite des autres parties de son buste, glissant ses doigts le long de son dos, de son ventre, de ses hanches... Elle l’avait senti pincer ses tétons, la faisant à nouveau couiner, et elle se mordilla ensuite les lèvres en sentant les mains de l’homme s’appuyer sur ses fesses, tandis qu’elle continuait à remuer, crispant ses mains sur son torse, ou les écartant, inspirant et expirant en soufflant lourdement.

« Ooohhh... Looooosgaaar-haaaaa... Hnnnnnnnnn... !! »

Le plaisir affluait en elle, explosait furieusement, la remplissant intégralement. Elle commençait à sentir des gouttes de sueur couler sur elle, et posa à nouveau ses mains sur ses épaules, se courbant vers l’avant. Elle se pencha ainsi vers son amant, et l’embrassa fougueusement, mordillant ses lèvres pendant quelques secondes, pour se redresser à nouveau, et faire doucement craquer le lit.

« Encore... Hmmm... Encore, Losgar, haaaaa... Hmmmmmmmmmmmm... !! »

Son fin liquide commençait à recouvrir la hampe de chair du Noxien, glissant dessus, tandis qu’elle continuait à haleter et à gémir.

Divin aurait put être attribué comme un doux euphémisme pour qualifier la sensation ultime de leurs deux corps ne faisant qu’un dans une danse enflammée dont seul le lit souffrait à en juger par ses gémissements sous les assauts fougueux et passionnés du mâle.

Losgar était le lion qui courtisait sa lionne, et qui désormais honorait sa beauté et sa féminité avec tous les égards qui se doivent de la manière la plus naturelle et passionnée qui soit, par le sexe.

Voir son amante hurler d’extase, emportée par la tornade des sensations de plaisir et de jouissance, était un spectacle qui ravissait les yeux et aurait inspiré l’artiste le plus pessimiste. Il adorait voir Monica exprimer sa joie et son contentement par tous ces indices corporels, murmurer son nom comme une ode à l’amour et coulisser contre son arme favorite avec une passion si embrasée que l’homme se sentait comme siphonné par un tourbillon de perdition.

Dans un terme plus familier, il prenait son pied. Littéralement. Et ce n’était pas encore finit, pour leur plus grand bonheur.

Il prit encore plaisir à laisser la somptueuse femme le dominer, le chevauchant comme un fringant étalon et répondant à ses baisers avec une envie brûlante tout en caressant son corps comme une reine, n’épargnant aucune parcelle de sa peau désormais légèrement luisante de sueur. C’est alors qu’il encercla ses bras autour de sa taille et plongea sa virilité au fond de l’antre de sa dame, la gardant ainsi de longue secondes en soupirant d’aise.

Puis il se retirât lentement d’elle et vint l’embrasser de nouveau avec ce furieux désir qu’alimentaient leur envie et les spores d’Ivy. Plusieurs secondes s’écoulèrent à mesure que Losgar goutait aux lèvres de Spectrum, roulant sa langue avec la sienne dans un bal endiablé tout en pressant ses hanches avec délice.

Vint ensuite le moment où il poussa doucement sa partenaire sur le lit, prenant désormais le titre de dominant, et la saisit fermement par les hanches. Il lui sourit et lui lança un clin d’œil complice tandis que sa verge tâtonnait déjà son terrain préféré dans l’optique d’un nouvel assaut, plus brutal cette fois-ci.

« Passons à un peu plus de bestialité ma tendre. Il est temps de donner libre cours à notre passion. »

Et c’est sur ces mots emprunts d’une sensualité grisante qu’il pénétra de nouveau sa douce compagne, enfonçant jusqu’à la garde son épée de chaire. Il grogna légèrement sous cette délicieuse sensation qui lui soutirât un frisson de délice et amorça des coups de bassin, cette fois-ci plus forts, rapides et brutaux, sans pour autant faire du mal à son amie.

La tenant bien fermement, il avait tout le loisir de contempler l’entièreté du corps de sa femme à la peau chocolatée, voir son corps frémir et se balancer frénétiquement sous ses coups puissants, s’exciter à la vue de son chibre disparaître dans les méandres du plaisir et réapparaître comme un bélier menant l’assaut à une forteresse. Les claquements sonores que produisait son corps frappant contre les fesses de sa belle étaient une mélodie primale et délicieusement jouissive, résonnant fortement dans la chambre à coucher. La chaleur monta d’un cran sous les soupirs des deux amants qui donnaient libre cours à leur férocité au lit.

La pilonnant ainsi avec la fougue d’une bête de sexe, il ne ralentissait pas un seul instant, mais bien au contraire il accélérait la cadence et la force jusqu’à dépasser les limites de l’humainement possible, offrant un plaisir digne d’une super-héroïne aussi talentueuse et belle que Monica, ne manquant pas d’honorer son corps par des caresses intensives dans ses parties les plus réceptives aux sensations intimes.

Le plaisir grimpa lentement au fil de leurs ébats nocturnes, ponctués de doux râles et de somptueux soupirs. Puis vint l’exquis instant où l’orgasme faisait son œuvre, et le mâle ne manqua pas d’y répondre. Soutenant fermement la femme contre lui, serrant ses jambes contre sa virilité, il libéra le précieux nectar en elle, restant ainsi un long instant à savourer sa jouissance en serrant les dents sous l’extase procurée.

Puis il relâcha avec précaution son amante, son membre pendant désormais sur sa jambe, gardant néanmoins une jolie taille. Le Noxien se pencha vers Spectrum et déposa un long baiser sur ses lèvres, puis mordilla son cou avec amusement avant de s’écarter un peu et de se relever, s’étirant en poussant une exclamation de satisfaction totale.

« Ahh … Monica, tu es absolument fantastique. Si bien que mon appétit est encore aiguisé. »

Se retournant vers elle, il sourit, les mains sur les hanches, la sueur rendant son corps luisant comme une huile sur le corps d’un athlète olympien de l’antiquité.

« Et si nous allions poursuivre nos jeux avec les autres, hm ? »

Le sexe, c’était la négation de la civilisation, le retour à un monde préhistorique, une force ancestrale qui existait quand l’Homme était encore un animal, une sorte de rappel constant des ancêtres ancestraux. Avec la violence, le sexe faisait partie de ces deux forces primordiales et fondamentales, inattaquables, qu’aucune couche de la société n’arrivait à changer, ou à inverser. Peu importe le niveau d’évolution d’une civilisation, ce n’était pas au sexe de s’adapter à elle, mais à la civilisation de s’adapter à elle. Ce paradoxe était tout simplement fascinant, en un sens. On avait beau être un génie, avoir un QI de plus de 200, la masturbation faisait partie intégrante de vous. Monica le savait, et était fascinée par ce paradoxe, qui dépassait d’ailleurs le statut de simple être humain, pour être commun à l’ensemble des races.

Après avoir dansé sur l’homme, Monica se retrouva à quatre pattes, et sentit la verge de Losgar s’enfouir en elle, la faisant gémir et couiner. La jeune femme s’en mordilla les lèvres, crispant ses mains sur le sol. Ils étaient en effet hors du lit, de manière à éviter que leur force surnaturelle ne le brise définitivement.

« Hmmmm... Losgar, haaa... »

Monica fermait les yeux, l’homme continuant à la bourrer sauvagement. Il filait en elle, la pénétrait longuement, intensivement, avec cette queue que Spectrum avait déjà eu l’occasion de goûter. Diable, diable, quel amant ! Il se défoulait en elle, sauvagement et férocement, multipliant les coups de reins, ses mains se crispant sur ses hanches, son corps ondulant dans son dos. Il était là, encore et encore, cet amant insatiable. Spectrum soupirait longuement, yeux clos, gémissant, et, tandis que le plaisir croissait en elle, son corps semblait se mettre à scintiller, à s’auréoler d’une intense lueur dorée qui croissait en elle. Le désir éclatait, remontait dans tout son corps, et provoquait une étonnante manifestation de ses pouvoirs.

Pinçant ses lèvres, elle continuait ainsi à se faire prendre, les minutes défilant pour son plus grand bonheur. Elle haletait, gémissait, soupirait, encore et encore, et l’orgasme éclata en elle. Dans un grand soupir, Monica se relâcha, et, au moment de l’orgasme,  tout son corps devint blanc, incandescent, dans une ultime explosion qui souleva les rideaux. Ensuite, Monica se redressa, souriant de plaisir.

« Ah, c’était fantastique ! »

Ils venaient de s’embrasser, mais Losgar était visiblement encore gourmand, puisqu’il demanda à aller voir les autres.

« Hum... En supposant qu’elles soient toujours disponibles... »

Monica ouvrit la porte, et se retrouva dans le couloir, rejoignant la pièce centrale... Qui était vide. Ou presque. Et, alors que Monica commençait à regarder autour d’elle, une voix émana d’un fauteuil

« Vous n’êtes pas les seules à faire trembler les murs, vous savez... »

Pamela était là, assise sur un fauteuil, et souriait légèrement.

« Rachel et Carol se sont enfermées, et mes tentatives de séduire Madame Hill n’ont pas eu l’effet escompté... J’aurais dû le prévoir, on n’empoisonne pas si facilement que ça un Directeur du SHIELD... »

Un tentacule se déplaça alors, jaillissant depuis une plante dans un coin, près d’une baie vitrée, et glissa le long du torse de Losgar.

« Tu me l’as bien épuisé, Monica. J’espère qu’il peut faire autre chose que juste tenir debout... »

Un bras autour de la taille de Monica, Losgar et son amante quittèrent leur chambre nuptiale pour rejoindre le salon, où ils découvrirent une Ivy seule et souriante. Cette dernière leur indiqua que Carol et Rachel avaient déjà entamés un petit jeu entre elles tandis que Maria Hill n’avait pas succombé à l’aphrodisiaque de l’Empoisonneuse.

Voilà qui était fort dommage, l’idée d’avoir la directrice du SHIELD entre les bras n’était pas dénuée de charmes, bien au contraire.

On pouvait penser que le mâle était un être contrôlé uniquement par ses instincts primitifs et qu’il s’excitait bêtement en présence d’un large nombre de femelles dans un besoin naturel de reproduction. Il n’en était rien, la nuance était énorme en particulier chez le Noxien, que ce soit d’un point de vue philosophique, naturel ou psychique. Pour faire simple, on pouvait imaginer Losgar par deux voies différentes. Dans un contexte plus sentimental et poétique si on peut, l’homme était comme un atome d’émotions positives, un concentré d’amour primaire qu’il exprimait par le sexe. Et comme il était surchargé par cette énergie débordante, il la libérait sur toutes autres sphères réceptives à son énergie, autrement dit d’autres femmes dont il éprouvait une attirance sentimentale et physique. Une sorte de jeu d’attraction où il était un centre de gravité qui attirait à lui le plus possible. Dans un contexte naturel, Losgar était l’archétype même du mâle Alpha, celui qui avait pour instinct animal de s’entourer de femelles pour s’accoupler, formant un harem et veillant sur elles contre tous rivaux. C’était une chose caractéristique chez sa race car les Noxiens, outre leur faible taux de fertilité, avaient une population composée majoritairement de femmes des suites des longues guerres qui ont coûté la vie de nombreux hommes. Ils avaient donc développé cet instinct primal depuis des générations, et cela se voyait en l’ex-prince de Nox.

Un tentacule se faufila contre le torse bombé de l’homme, et ce dernier sourit avant de le porter sur ses épaules. Une fine aura pourpre s’échappa de son corps, une aura musquée et agréable, comme si l’homme dégageait un étrange mais irrésistible parfum. L’ancien prince savait malaxer son énergie pour en faire un phare de chaleur et de plaisance, un peu comme une douce lumière qui attirerait les papillons la nuit. Le tentacule végétal lui-même frissonna en s’abreuvant de cette énergie miraculeuse, avant de reprendre sa place dans le balcon, comme gavée. Losgar ne savait pas que détruire et mettre un terme à la vie de ses multiples ennemis. Il pouvait aussi apaiser, donner la vie. Un vrai héros.

Il regarda Pamela et son sourire s’accentua, celui d’un bel éphèbe au regard débonnaire avec une confiance en soit contagieuse.

« Ce serait mal connaître mes compétences physiques, ma chère Pamela. »

S’il y’avait bien une caractéristique que le Noxien pouvait se targuer d’avoir, c’était bien l’endurance. Et Dieu, qu’il était endurant. Et il comptait bien le prouver. Autant de fois que faire ce peut.

S’approchant de la femme, il caressa doucement son corps à travers sa robe, sa main traversant le tissu fin pour presser avec envie le corps de la femme, avant qu’il ne s’empare de ses lèvres pour un doux et long baiser.

À mesure qu’il prolongeait leur échange buccal, y ajoutant la langue, sa main se faufilait comme un furtif serpent sous la robe de la sublime créature pour caresser la peau nue, son corps vibrant encore de cette fine énergie qui électrisait les sens et apaisait l’esprit.

Rapidement, il commença à défaire la robe de Poison Ivy, impatient de gouter à son corps de rêve qui lui faisait tellement envie, et une fois la femme en tenue naturelle, il commença à dévorer son corps de chauds baisers, parcourant chaque parcelle de son corps, la découvrant avec la patience d’un doux amant.

Il l’embrassa, avec passion, avant d’attirer Monica à son tour pour l’embrasser aussi, mêlant sa langue à la sienne dans un doux bal tout en caressant son corps.

Diable, que la sensation était divine.

Dans sa robe verte, Ivy était particulièrement séduisante, et Monica n’était pas en état de réfléchir consciemment, ou de retenir ses pulsions. Elle observait Ivy avec une étonnante fascination, touchée par ses phéromones. Pamela avait eu longuement le temps d’amplifier ses spores, pendant que la fête avait peu à peu dérivé vers des scènes plus intimistes. C’est ainsi que la jeune femme sentait, tout autour d’elle, les spores d’Ivy, cette sensualité qui croissait progressivement en elle. Tandis qu’un tentacule caressait le corps de Losgar, Monica frémit, en sentant d’autres tentacules caresser ses jambes, glissant tendrement sur sa peau. Elle avait l’impression que ces derniers « ronronnaient », car ils vibraient tout contre elle, trahissant l’excitation palpable de la femme. L’Empoisonneuse était ravie d’être là, et, quand Losgar se rapprocha d’elle, elle en frémit, ses mains se posant sur son torse, caressant doucement ses pectoraux.

« Miam... »

Elle sourit, toujours très sensuellement, ses lèvres vertes semblant briller sur place, et embrassa volontiers Losgar, crispant ses mains sur ses muscles, caressant ses pectoraux. Sa bouche se pressait contre la sienne, et, pendant un long moment, ils se contentèrent de s’embrasser, la langue de Pamela remuant sensuellement avec la sienne. Monica n’était pas inexpérimentée, mais elle n’avait encore rien à voir avec celle de Poison Ivy, qui était bien au-delà des talents de Monica. Tout ça, Losgar pouvait le sentir dans ce baiser fougueux et plein d’énergie qu’elle lui faisait.

Ivy sentit ensuite les mains de Losgar glisser le long de sa robe, une robe entièrement végétale, faite par Ivy toute seule, à l’aide de ses plantes, de ses tentacules, et de son talent. Une robe qu’elle aimait beaucoup, à la fois élégante et sensuelle, et qui se retira rapidement quand l’homme tira dessus. Le Noxien la dénuda, et, sous la robe, Ivy était tout simplement toute nue, conservant sa peau beige, et lui sourit, ne ressentant, bien évidemment, aucune gêne à être ainsi. En réalité, Pamela se sentait bien mieux quand elle était nue que quand elle portait des habits.

« Mmmhmmm... »

Maintenant qu’elle était nue, Pamela continua à l’embrasser, plus fougueusement, et Monica finit par les rejoindre. Ensemble, le trio s’embrassa, et, quand Losgar cessa d’embrasser Monica, elle alla se presser contre les lèvres de Pamela, fourrant sa langue dans sa bouche, pressant son corps contre le sien, laissant le désir parler, s’exprimer, et embraser son corps.

Elle ne pouvait plus résister, ni penser à autre chose, ses hormones la dominaient.

Le baiser d’Ivy était comme il se l’était imaginé la première fois qu’il l’avait rencontré : délicieux, tendre, juteux, démontrant une femme très expérimentée dans le domaine intime.

Losgar prit plaisir à ressentir ses lèvres gourmandes savourer les siennes, sa langue se perdre avec celle de l’empoisonneuse dans un bal endiablé et les mains de cette dernière vagabonder le long de ses muscles saillants pour en éprouver la robustesse et la fermeté.

Lui n’en plus n’était pas avare en caresses, ses mains parcourant le corps de Pamela comme un fanatique implorant une divine statue, s’attardant sur chaque recoin de sa peau soyeuse et tendre et y appliquant les plus douces touches.

L’échange de baisers était aussi un moment paradisiaque où le beau mâle dominant échangeait à tour de rôle ses lèvres entre Ivy et Spectrum, parfois els deux en même temps dans une délicieuse sensation de paix. Quand il quitta leurs lèvres, il prit un instant pour contempler le couple de jeunes femmes s’embrasser amoureusement devant lui, leurs corps s’unissant durant l’échange. Un spectacle fort plaisant qui n’aurait pas laissé une statue de glace frigide et aurait éveillé un désir brûlant chez un mort.

Les laissant ainsi s’amuser mutuellement, il leur administrait des caresses et des massages experts, laissant l’énergie se dégager de ses doigts pour s’immiscer dans leur peau et détendre les muscles des héroïnes pour une douce sensation de bien-être. Très méticuleux, le dernier des Noxiens veilla à ce que chaque femme ait droit à un parfait moment de détente, ignorant son propre désir qui lui hurlait de prendre les femmes sur le champ. Une autre petite qualité qui faisait son œuvre.

À un moment néanmoins, il sentit le besoin d’avoir aussi quelques attouchements pour rester dans l’ambiance, et il se leva au-dessus du canapé, surmontant les deux femmes à genoux sur le meuble, son membre viril fièrement dressé devant elles. Avec une touche d’amusement, il le secoua délicatement entre leurs deux généreuses poitrines, frissonnant sous cette sensation qui raviva légèrement la taille de son mandrin. Imaginer leurs seins et leurs lèvres ne faire qu’un autour de son braquemart de chaire était un doux rêve qui l’excitait comme un diable.

Il attendit donc patiemment quelques caresses intimes de la part de ses amantes, n’oubliant pas de caresser leurs visages de toute beauté de la pulpe de son pouce. Le simple fait de voir leurs regards embrumés par le désir et la passion aiguisait ses pulsions, à en juger par la raideur croissante de sa verge.

Il laissa donc les deux muses décider de la marche à suivre, tout en préparant lui-même la suite de son interprétation artistique dans la pièce théâtrale d’Aphrodite.

Le temps passa ainsi tandis que le mâle restait immobile, telle une offrande à des divinités affamées qui dévoraient son corps et son âme dans les flammes de la sensualité.

Losgar décida ensuite de reprendre sa tâche principale, celle de faire plaisir à ses amantes, et s’accroupit sous elles pour savourer avec une délicate intention leurs fleurs intimes, les caressant et les embrassant royalement en jouant de la langue et de ses doigts pour leur offrir des prémices du Walhalla.

Monica était lancée dans le désir, prisonnière, comme une femme piégée dans une tempête. Une tempête rose et ardente, où elle finit par rouler à Ivy de longs et superbes baisers. Après tout, l’origine des spores émanait de Poison Ivy, et le désir de Monica était donc partagé entre elle et Losgar. Elle était droguée, et elle en avait conscience, mais ça ne la dérangeait pas outre mesure. De cette manière, ses inhibitions avaient pu voler en éclats, et elles pouvaient ainsi se faire tendrement l’amour, sous le regard scrutateur et conquis du Noxien. Ses mains allèrent finalement les caresser, glissant sur leurs corps, et elles finirent par cesser de s’embrasser, souriant ensemble. L’homme commençait à se rapprocher de leur sexe quand elles s’écartèrent alors.

« Il est temps qu’on s’occupe de lui, tu ne crois pas ?
 -  Notre héros semble s’impatienter, oui... »

Elles souriaient entre elles, malicieuses, joueuses, et    Monica se déplaça, tout comme Ivy. Elles invitèrent ainsi à Losgar à les rejoindre, et à s’asseoir sur un fauteuil. Le sexe de l’homme se dressait fièrement, confirmant le fait qu’il avait retrouvé son excitation naturelle. Et, maintenant que les femmes étaient prêtes, on pouvait passer au reste. Monica se glissa ainsi dans le dos de l’homme, et caressa ses épaules, posant ses mains dessus. Elle le massait tendrement, et Ivy de son côté, fléchit les genoux, approchant son visage du vit de l’homme.

Ses lèvres déposèrent plusieurs séries de baisers sur sa longue trique, et elle glissa ensuite sa langue dessus, le savourant comme on savourerait une belle glace, élancée et fière. Monica, elle continuait à caresser les épaules de l’homme, ramenant ses mains sur sa nuque, forçant ainsi l’homme à se retrouver la tête en arrière, s’appuyant sur le dossier du fauteuil. Comme pour mieux le tenter et le narguer, des tentacules floraux s’enroulèrent autour de ses poignets, remuant doucement sur sa peau, et Monica lui sourit, avant de l’embrasser, se penchant vers lui, plaquant ses lèvres contre les siennes pendant de longues secondes, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Hmmm... »

Elle retira ses lèvres, non sans sourire, pendant que Pamela continuait à lécher ce sexe. L’Empoisonneuse finit par s’arrêter, relevant sa tête pour le regarder sur un air sensuel.

« Qu’est-ce que tu veux, Losgar ? Que je te suce... Ou que je m’empale sur toi ? Le choix t’appartient, mon beau... »