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La tournante infernale [Stephen Connor]

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Lili Ivanes

Humain(e)

La tournante infernale [Stephen Connor]

vendredi 29 janvier 2016, 18:03:47

Voilà des semaines que me revenais en mémoire ma rencontre avec Adramelech et cette bague qu'il m'avait laisser avant de disparaitre, non sans avant de me dire qu'une fois que je serais prête à rallier ces rangs, je n'aurais qu'a passer la bague sur un de mes doigts pour qu'il entende mon appel.
Aujourd'hui ça fait un ans jour pour jour que nous nous sommes rencontrer et qu'il m'a faite passer une soirée des plus étrange et ce vendredi soir je compte retourner à sa rencontre pour qu'il constate tout les efforts que j'ai fait pour m'améliorer en magie.

Rentrant du lycée, je file sous la douche pour me laver, une fois fait je me parfume, me coiffe, me maquille et enfile un petit string rouge en dentelle avant de passer une robe  que je ne porte jamais, d'un noir mat elle est très courte puisqu'elle ne couvre qu'une parti de ma poitrine me faisant un large décolleter, les lanières de celle-ci sont directement relier à un collier du même noir qui fait partie de la robe et celle-ci ne me couvre que jusqu'à la naissance de mes fesses, décorer de deux nœud rouge de la même couleur que mon string un au niveau de ma poitrine et l'autre juste en dessous, je ne met pas de soutient gorge, je fini en enfilant des talons haut noir qui accentue la cambrure de les reins et qui me rend un peut plus grande.

Enfin prête, je vais chercher cette fameuse bague que j'ai bien planquer pour que personne ne la trouve, je vais ensuite dans le salon avec, ne sachant pas comment marche cette bague, j'avais prévue que mes parents ne rentrerais que le lundi, me laissant tout le weekend pour vaguer à mes occupations, j'étais prête à l’accueillir, je prend une longue inspiration avant de passer la bague à mon petit doigts.

quand la bague est sur mon petit doigt, l'anneau se resserre, puis le décors autour de moi change complètement, des briques rouge apparaissent autour de moi et en quelques secondes je me retrouve dans une grande pièce, mais ce n'est pas tout, la température c'est grandement réchauffé et cette odeur forte qui envahie mes narines, une odeur forte de sexe embaume la pièce, je regarde autour de moi et je suis pétrifier sur place quelques seconde, des râles et gémissement me parviennent de toute par, pour cause des créatures tout droit sortie des enfers sont tous en train de baiser dans cette pièce, des femmes se font prendre par un ou plusieurs de ces créatures à la fois, celles-ci semble humaine enfin je crois, je n'arrive pas trop à les distinguer, mais ce que je distingue se sont les créatures mâle monstrueusement musclé, tous à l’allure humanoïde  certain ont la peau rouge et des cornes noir sur le front, mais se rapproche de l'humain, mais certaines son vraiment horrible comme ceux ci avec leurs têtes de bouc, leurs pelage parcellé sur leurs corps avec des jambes difforme finissant en sabot, l'un d'eux à même une tête de lion, et oh ceux la je viens de les voir, plus grand et plus large de carrure que les autres avec leurs têtes de buffle et leurs grande corne, ils ressemblent à des minotaures.
Tout semble si surréaliste, mais j'ai l'impression de ma venue n'est pas passer inaperçu puisqu'il me regarde tous avec la lueur de leurs yeux de différente couleur braqué sur moi, je leurs sourie avant de les saluer.

Bon... Bonsoir... je viens voir le grand Adramelech... Vous seriez ou je peux le trouver?

Je ne sais même pas si il me comprenne après tout se sont des animaux, et les animaux ne parle pas, mais je ne pensais pas du tout à me retrouver au milieu d'une orgie en passant cette bague au doigt,
« Modifié: vendredi 29 janvier 2016, 19:33:23 par Lili Ivanes »

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 1 vendredi 29 janvier 2016, 22:29:46

Après ma simple question, toute l'assembler me rie au nez avant qu'ils reprennent tous leurs activités.
Je fait une moue boudeuse en regardant si vraiment personne ne daigne me répondre, mais comme seule réponse ce sont des râle et gémissement qui arrive à mes oreilles.
Je pousse un hoquet de surprise quand je sent une grande main caleuse venir sur l'une de mes petite fesses et très vite c'est un grand et large corps musculeux qui se colle contre moi.

HEY... Qu'est ce que... aaaaaaaah...

Je lâche un gémissement alors que je sent les doigts de ce géant venir caresser les grande lèvres de mon abricot par dessus mon string, il me tiens fermement contre lui à l'aide de cette main sur mes fesses qu'il malaxe sans gêne, je sent aussi une choses massive et très chaude contre mon bas ventre et qui remonte les long de mon ventre, ces doigts continue de titiller mon minois et étant depuis quelques temps maintenant une prêtresse de Luste, la sensibilité de tout mon corps et des autres sens était décuplé.
Amenant mes mains contre son torse, je tente vainement de le repousser de mes petit bras si frêle par rapport au siens.

"Allons, allons. Je ne peux pas te mener à l'un des nôtres comme cela."


Me dit la montagne de muscle alors qu'il viens plaquer son front contre le miens avant de rajouté.

"J'aimerais que tu nous prouves ta bonne volonté."

Quoi? Qu'elle bonne volonté? Je suis juste venue voir Adramelech. Vous savez ou il es?


pensant qu'il allait lâcher prise, je suis très vite rattraper par deux femmes à la peau rouge qui viennent se coller dans mon dos, me bloquant tout échappatoire, leurs corps venant se plaquer contre le miens, écrasant leurs poitrine dans mon dos et leurs bassins sur mes fesses.
J'ai l'impression d'étouffer, d'être prise au piège entre cette homme et ces deux femmes.

Non... mmmmmh... Laissez moi respirer...

Mais j'ai l'impression qu'ils n'ont que faire de mes supplications, je sent une fine main venir malaxer mes seins l'un après l'autre par dessus ma fine robe alors qu'une autre main viens en renfort au doigts de l'homme toujours par dessus mon sou-vêtement, en même temps je sent aussi deux mains masser mes épaules découverte et une langue lécher mon cou, ça me donne des frissons.
Toute ces caresses commence malgré la situation et malgré moi à excité mon petit corps, je sent mes tétons durcir et ma poitrine se réchauffé alors qu'un feu ardent commence lui aussi à crépité dans mon bas ventre.
Je tente vainement de repousser de mes mains le colosse et ces deux femmes, mais sa ressemble de plus en plus à des caresses qu'à un moyen de les repousser.

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 2 samedi 30 janvier 2016, 12:19:53

Toutes ces caresses sur mon corps ce font plus insistantes, la mains de l'homme sur ma fesse la malaxe allègrement, la fine main sur mes seins les sort un à un de leurs enveloppe en détachant le collier qui sert de maintient au lanière de cette robe puis retroussant le haut de celle-ci, avant de venir s'amuser avec les anneaux qui les ornes s'amusant à les faire bouger et tirer un peut dessus me donnant des décharges de plaisir dans la poitrine, puis par la suite je sent cette main venir aussi directement s'occuper de mes tétons pour finir de les exciter en les pinçant, les tordant, les faire rouler entre ces doigts, les mains sur mes épaules descendre dans mon dos venant caresser ma fesses libre et descendre jusqu'à mes cuisses avant de remonter et retrousser le bas de ma robe vers le haut alors que ces lèvres et cette langue qui me lèche le cou descend quelque peut venant me mordiller doucement l'épaule, les nombreux doigts sur mon intimité son aussi plus insistant, sentant les gros doigts de cet homme chercher à rentrer un peut plus dans ma petite fente sans pour autant passer la barrière de mon string, toutes ces caresses ne cesse de m’attiser tout le corps de multitude d'ondes de plaisir qui me font peut à peut perdre la tête.

MMmmmh... N... Non... aaaaaah...

"Mhhhh..."

Je l'entend ronronner à mon oreille avant de sentir ces lèvres et ces dents me la mordiller, je lève mon bras pour le repousser de ma main délicatement, il me dit alors.

"Contente-toi d'apprécier."

Le ton de sa voie était un peut sec, mais je ne suis pas venue ici pour eux, n'y pour participer à leur fête, je suis venue voir Adramelech ce qui m'a amené dans cette pièce ou visiblement personne ne sait ou il est, lui qui se ventait d'être un grand seigneur des enfer.
Les caresses continuant de toute part, le visage de ce colosse viens à quelques centimètre du mien, je sent son souffle sur mon visage, ces yeux marron fixe les mien, puis je le vois s'approcher amenant ces lèvres effleurer les miennes alors que je gémis sous leurs caresses incessante, je fini par détourner le mien alors que les deux femme sans cesser de me caresser dézippe la fermeture éclaire de ma robe et la font glisser le long de mon corps, je tente de retenir celle-ci mais en vains.

Non pas ma robe... aaaannnmmmh...

Les deux succubes prennent le temps de s'accroupir caressant mes jambes et me faire lever un par un les pied pour retire ce morceau de tissu, elle caresses, pinces, lèches et mordille au passage mes mollets, mes cuisses, mes fesses, mon dos, mes épaules, mon cou, mes bras aucune parti de mon corps qui leurs est accessible n'en réchappe, mes mains venant les repousser pour qu'elle arrête, mais celle-ci ont juste l'air d'apprécier les mains qui les repousse.

La main caleuse sur ma fesses se retire et je sent celle-ci venir sur ma mâchoire pour le faire tourner la tête vers le colosse, il viens m'embrasser sauvagement, ces lèvres épaisse englobe les miennes, je ferme les yeux alors que les succubes me tiennent les bras et s'amuse à me faire caresser leurs corps, dans une de mes mains je sent un seins ferme et dans l'autre je sent une peau douce, celle d'un ventre ou d'un bas ventre.
La langue de l'homme s’insinue dans ma bouche pour venir caresser la mienne, dans un ballet nos langue se caresse mutuellement, notre salive se mélange, il enfonce profondément sa langue dans ma bouche à me rendre toute chaude, le souffle court et haletant j'apprécie se baiser alors que les deux fesses continue de monter et descendre pour caresser, lécher, mordiller, pincer tout mon corps elles arrivent à hauteur de mes fesses maintenant entièrement à disposition et elles me les mordilles avec envie, je sent leurs dents pointue, ça me donne des frissons dans tout le corps.
Le mâle dominant rompant son fougue baiser, j'ouvre les yeux alors qu'il me lance.

"Je ne sais pas où se trouve celui que tu cherches, mais..."

Je le sent onduler vulgairement du bassin avant de rajouter.

"Si tu m'aides à passer un bon moment, je pourrai certainement t'aider."

Le sourire au lèvres, je sent ces deux grande mains venir sur mes petite fesses et mimant l'acte obscène qu'il voudrais bien avoir avec moi, sentant au passage sa longue et épaisse colonne de chair brulante de désir caresser mon bas ventre et mon ventre, attisant d'avantage mon excitation.
Hésitante je lui répond.

Je... Je ne sais pas... vous être sur de... mmmmh... pouvoir m'aider?... Je ne voudrais pas... Me faire avoir... Encore...

Les deux succubes se sont relever et à peine ma phrase fini, que l'une d'elle viens attraper mon visage de ces douces mains pour le maintenir et venir m'embrasser dans un sulfureux baisé, nos langues se mélanges, de ma main je tente une unième fois de la repousser, mais ça m’excite de plus en plus et je ne peux rien faire pour résister, quand la première romps le baiser c'est sa copine qui prend le relais venant elle aussi posséder ma bouche dans un torride baisé, elles s'alternent à prendre ma bouche laissant de long filet de bave relier nos lèvres respectives, mais les deux succube ne semble pas en avoir assez, puisqu'elle me retourne assez brusquement, le colosse venant se coller à moi dans mon dos, je sent son long et gros braquemart passer entre mes cuisses caressant et irradiant de chaleur mon petit abricot qui dégouline de mouille et qui a entièrement tremper le string, je sent celui-ci se mouvoir faisant coulisser son colossale membre sur mon minou encore couvert, je ne l'avais pas vue jusqu’à là, mais maintenant je le vois dépasser entre mes jambes, je doit dire que la taille est impressionnante, alors que mes mains viennent cacher mes seins percer, une once pudique restant toujours en moi, les mains du colosse viens très vite remplacer les miennes alors que les succubes lèche mon ventre et remonte petit à petit, les main du colosse viennent prendre à pleine main mes seins et les malaxes fermement de ces mains rêches, jouant avec les anneaux qui les ornes, je gémis de plaisir alors que tout ces caresses me rende folle de désir, alors que la bouche des succubes arrives au niveau de mes seins le colosse les leurs présente et tout en continuant de les malaxer celle-ci s'affaire à les lécher, les mordiller, les aspirer, laissant de la bave dégouliner dessus.

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 3 dimanche 31 janvier 2016, 12:27:03

"Ne joue pas aux innocentes avec moi, ma jolie." "Je sais que tu es une petite salope, dans le fond."

Ces paroles rauques me donne des frissons dans tout le corps alors qu'il me traite de petite salope, je sent par la suite ces douces lèvres baisé ma joue et descendre dans mon cou, me donnant encore plus de frissons de plaisir, alors que je sent aussi les bouches des deux démones remonter le long de mon ventre et venir s'occuper de mes mamelons offert par le beau diable derrière moi.

Les deux succubes s'affaire à s'occuper chacune d'un de mes mamelons, léchant, aspirant, suçotant, mordillant ceux-ci de leurs chaude et douce lèvres et langues qu'elle manie comme des expertes, j'en tremble de plaisir rendant mon souffle court, les mains du colosse derrière moi délaisse mes seins mais celle-ci sont vite remplacer pour celles des deux démones qui on l'air de se régaler, sous le plaisir, je me mord la lèvre inférieur en envoyant ma tête en arrière contre le torse musclé le l'homme derrière moi.
Je sent ces grandes mains rapeuse caresser mon ventre avant de passer sous mon string, me faisant lâcher un hoquet de surprise alors que c'est doigts passe sur mon mont de venus imberbe, ces doigts viennent caresser mes grande lèvres et passe dans ma petite fente trempé, sous ces caresses je me cambres d'avantage venant m'appuyer contre le bassin du colosse et présenter un peut plus ma poitrine au deux démones.
Les doigts sur mon intimité continue leurs œuvres, alors que deux de ces doigts viennent trouver mon petit bouton d'amour et venir lui donner de douces caresses circulaire faisant au passage bouger mon anneau clitoridien, je languis de désir et d'excitation alors que mes main viennent s'accrocher au bras du colosse qui s'amuse avec mon intimité.

Ces douces caresses dure un moment, me rendant le souffle cours alors que mes gémissement se font plus audibles sous toutes ces attentions, mais tout à une fin, enfin je veux dire une suite, puisque les mains du colosse se retire de mon intimité, je l'entends dire.

"Je pense que vous allez vous régaler."

Je comprend qu'il parle au deux autres femmes, qui délaissent mes seins à leurs chaudes bouche, puis il me préviens sans que je ne le comprenne.

"Attention."

HHAAAPP...

Je lâche un hoquet de surprise alors que je sent ces mains passer sous mes cuisses et me soulever les jambes écarté comme si je ne pèse rien, m'amenant contre son torse musclé et chaud, j'amène mes petit bras enrouler son cou venant caresser sa chevelure sans m'en rendre compte.
Les deux diablesses reviennent à la charge et sans attendre, elles empoignent chacune d'entre elle un morceau du string avant de tirer chacune d'un coté pour le déchirer et le jeter au sol.
Je ré-ouvre les yeux et penche la tête vers les deux succubes qui me regarde de leurs yeux envieuses alors qu'elles hument mes effluves, avant qu'une d'elles viennent de façon gourmande et vorace contre mon petit abricot pour le dévorer, sentant sa langue passer dans ma petite fente, léché goulument mon clitoris et son anneau, alors que ces mains écartent mes grandes lèvres découvrant la couleur rosé de ma chatte et y enfoncer plus profondément sa langue chaude dans mon intimité bouillonnante, je sent aussi ces douces lèvres aspirer quand elle s'en occupe ma petite cerise pour la flatter de nombreux coups de langues qui me font vibrer de plaisir, j'en perd mes repaires tellement ces bon, je jette ma tête en arrière sur l'épaule du colosse alors que mon souffle deviens de plus en plus saccadé et mes gémissements plus aigus.
Mais les deux démone alterne alors que l'autre s'occupe du membre imposant du colosse, elle remonte sur mon antre alors que sa copine lui laisse la place, toute aussi agile de la langue et des lèvres que sa copine, elle s'occupe de mon antre, se délectant de ma cyprin, elles changes plusieurs fois de place m'amenant l'une et l'autre au bord de la jouissance sans pour autant me la donner, comme si elle le faisait exprès, c'est alors que la voie rauque vibra à mes oreilles.

"Est-ce qu'elles font un bon travail?"

mmmmh... aaaaaah... Oui... Mais... oooooooh... mmmmmh...

"Tu peux les insulter sinon, elles aiment ça."

Je suis tellement au bord de l'extase que je n'arrive même plus à formuler un phrase correctement, mais ce que viens de me dire le colosse qui me tiens contre lui va peux être me permettre de pouvoir jouir, si je peux les insultés, je peux peux être aussi les commander.
Retirant mes bras du cou du colosse, je viens caresser d'une main la chevelure de celle qui me torture la chatte avant de l'empoigner fermement de mes petit doigts pour la guider au bonne endroit sur ma moule, sa bouche englobant mon clitoris et un partie de ma fente, elle se laisse faire, alors que j'appelle l'autre succube.

mmmmh... Hey... aaaaaaah... HO!... Bouffeuse de queue!... ooooooooh... La succube qui s'occupe du membre du colosse s'arrête net et me regarde la bite à la bouche. Oui toi... mmmmmh... Viens par là... aaaaaah...

Elle délaisse la queue du colosse et remonte entre mes jambes voyant que je tiens sa copine d'une main, de ma main droite j'écarte ma fesses droite pour lui faire comprendre que je veux qu'elle s'occupe de mon anus, obéissante elle s'exécute venant se placer dessous écartant mes petite fesses de ces doigts pour atteindre mon petit trou alors que je viens placer ma main libre sur sa nuque pour la maintenir elle aussi avant de leurs ordonner.

Al...Allez y bande petite salope, lécher moi bien fort... AAAAAAAAAAH... MMMMMMH...

De suite après mon ordre les langues s'activent, alors que la langue sur mon clitoris s'affaire à faire ce qu'elle fait depuis le début, celle sur mon anus s'affaire à faire des cercles autour de celui-ci avant de doucement si enfoncer dans un pur plaisir je ne met pas longtemps à atteindre mon apogée alors que mon bassin ondule de lui même, la respiration saccadé, mes muscles se tendent jusqu'au moment fatidique ou tout le plaisir explose en moi parcourue de spasme incontrôlés, je hurle mon plaisir dans un long gémissement de plaisir.

GGNNNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah... aaaaaaaaah... mmmmmh...


Alors que je me cambre sous le plaisir, je lâche mon emprise sur le deux succube mais elle continue de faire ce que je leurs est ordonné malgré mes spasmes de plaisir prolongeant mon orgasme, ma tête revenant sur l'épaule du colosse alors que je reprend mon souffle le bassin et les jambes tremblantes, gémissant de bonheur à l'extase que je viens de ressentir.
 



Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 4 dimanche 31 janvier 2016, 22:55:45

Reprennent mon souffle et mes esprits ma tête toujours sur l'épaule du colosse, je sent les lèvres et les langues des deux succubes continuer de me lécher avec gourmandise, quand celle qui lèche mon anus se retire, j'entends la voie rauque de l'homme muscler me dire.

 "Eh bien, tu n'as pas mis longtemps à dévoiler ta vraie nature."


Rouvrant les yeux à cette remarque, j'en ai les joues qui deviennent toute rouge, relevant la tête alors que les douce lèvre de cette homme me lèche tendrement le cou avant de répondre.

Heu... Non, ce n'est pas ce que...

Il ne valait mieux rien rajouter au risque de s'enfoncer d'avantage, j'ai pu jouir et avoir du plaisir, surtout dans l'endroit ou je me trouve c'est déjà ça, tiens d'ailleurs je suis ou?
Je regard autour de moi pour voir d'autres monstres rentrer dans cette grande pièce, alors que d'autres copules toujours, certain d'entre eux me regard avec insistances, mais aucune inscription au mur, rien qui m'indique ou je peux me trouver.
La voie rauque retentis encore un fois me faisant vibrer de l'intérieur.

"Un peu dominatrice sur les bords, ma petite catin?"

Mes joues rougisse une nouvelle fois quelque peut gêner qu'il me traite de catin, je ne préfère ne pas répondre, pour ce qui est de la domination je ne suis pas encore prête, tout ce que je voulait tout à l'heure c'était pouvoir jouir, mais est ce qu'il pouvais le comprendre? Certainement.
La succube qui s'occupe de ma fente attise à nouveau le désir en moi, ne s'étant pas arrêté depuis que je lui ai demandé, elle lèche à grand cou de langue rapide mon petit bouton des plaisirs gorgé de sang, diffusant en moi des ondes plaisantes qui ravive mon désir, je baisse mon regard pour voir son regard dans la mien, je lui sourie de satisfaction avant de lâcher de petit gémissement de plaisir quand elle insère deux doigts dans ma vulve, s'y enfonçant sans difficulté, elle fait de lent en ample aller et venue de ces doigts en les faisant tourner caressant mes douces membranes velouté.

Mais bien vite alors que mon excitation reviens à la charge, je sent quelque chose de chaud et imposant venir entre mes petites fesses, tapotant celle-ci avant de venir s'appuyer contre mon anneau rectal, cette chose je sais ce que c'est puisque je l'ai vue il y a quelques minutes entre mes jambes, c'est le long et imposant membre veineux du colosse qui me tiens et vue la taille monstrueuse, je ne suis pas du tout préparer à le prendre par derrière.
Sentant ça je commence quelque peut à panique alors qu'il deviens de plus en plus insistant sur mon anus au point de distendre de plus en plus mon anneau rectal, une légère douleur commençant à se faire sentir.
Je regarde l'assembler dans la salle, la succube qui me lèche, tourne la tête vers le colosse derrière moi avec un regard quelque peut inquiet alors que je sent l'insistance de se gland sur ma rondelle qui ne cesse de pousser, je lance alors au colosse.

Qu... Qu'est ce que l'ont fait maintenant, parce qu'Adramelech doit m'attendre...

C'est toujours de la même voie rauque qu'il me répond.

"Et que dirais-tu... De jouer avec moi, maintenant?"

Juste après ces dires, j'ai le souffle couper pendant de longues secondes, les yeux écarquiller, mes poings se serre, la bouche grande ouverte cherchant à crier la fulgurante douleur qui me déchire l'anus alors qu'il s'enfonce avec force d'une pousser puissante faisant d'abord passer la corole de son énorme gland imposant avant de pousser une bonne partie de son chibre veiné dans mon anus qui se contracte fortement sous la douleur, il doit se sentir à l'étroit le salop.

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH... AAAAAAAAAAAAAAAH...

Hurlant ma douleur dans un cri déchirant, toute l'assembler doit s'être retourner sur moi, alors que des larmes envahissent mes yeux et dégouline sur mes joues, je suis terrasser par la douleur m'étant ma tête à nouveau sur l'épaule du colosse, je gémit de douleur alors que je le sent aller et venir doucement en moi, sentant son épaisseur dilater de force mes douce membranes cannelées et étroites, le souffle cours j’essaie de me détendre mais voilà qu'il s'amuse à me demander.

"Qu'est-ce que tu préfères, salope? Continuer à jouer avec ces petites succubes, ou te faire défoncer de devant par un autre démon?"

Il m'encule par surprise et en plus il voudrais faire participer l'un des monstres de l'assembler, mais ça va pas, je veux qu'il se retire de mon cul surtout, mais ça ne semble pas dans ces projets, rassemblant les quelques force que j'ai pour parler je lui répond.

GNNnnn... AAAAAAAH... Sss... Sortez là... Elle est... OOoouufff... trop... GGgnnmmmh... grosse...

Mes supplications ne serve à rien puisqu'il continue d'aller et venir en moi lentement mes surement en forçant inexorablement à chaque introduction pour toujours  faire entrer un peut plus de sa monstrueuse queue, la douleur commence à s'estomper peut à peut, alors que je passe mes mains dans mon dos et viens caresser le bas ventre du colosse de mes doigts fin pour le freiner un peut dans son avancer, choses qui ne sert à rien alors que je sent son bas ventre venir s'écraser contre mes petites fesses, forcer de constater qu'il à réussi à tout rentrer, il continue ces lent mouvement de pénétration me faisant sortir des gémissement plaintif, mais bientôt la douleur s'estompera encore un peut plus laissant peut être place au plaisir, plaisir qui est tout de même là puisque la succube continue son œuvre à léché mon clitoris avec gourmandise.

"Tu peux te laisser aller. Rien de ce que nous ferons ne quittera cette pièce."

Me dit le démon derrière moi de sa voie rauque, en me léchant tendrement l'oreille se qui me donne des frisson, c'est se que s'essaie de faire avec ton gros braquemart dans les fesses mais ce n'est pas facile, tout de même mon souffle deviens plus régulier plus lent, alors qu'il y a quelques pique de douleurs quand il se meut en moi ça reste supportable alors que je sent toute les aspérités de sa queue, son gland allant profondément, ces veines, ces palpitations, je ressent tout.
J'arrive en fin de compte à apprécier son épaisseur après plusieurs minutes de lentes pénétrations.

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 5 dimanche 07 février 2016, 03:44:51

Suite à mes gémissements et paroles plaintives que son énorme queue est trop grosse pour mon petit trou, alors que je le sent pousser pour s'enfoncer lentement mais surement dans mes chaires étroites, il pousse lui aussi un grognement avant de me répondre.

"Hmf... C'est ton petit cul qui est trop serré."

Je sent ces douces lèvres venir se poser de nouveau dans mon cou et sa langue me lécher tendrement, alors qu'en même temps il me le mordille gentiment, me donnant d’agréable frissons qui parcours mon corps.
Mes main toujours dans mon dos viennes à la rencontre du bas ventre du colosse à chaque fois qu'il me fait redescendre sur sa longue et large queue veinées, je sent sous mes doigts des poils ras, des viennes saillante et celui-ci trembler alors qu'il viens écraser mes petites fesses sous mon propre poids.
J'entends à nouveau celui-ci ouvrir la bouche de sa voie grave.

"Ne t'en fais pas, je vais bien te l'élargir, tu as encore pas mal de queues à satisfaire."

Sur ces mots alors que toute l'assembler se met à rigoler à ce qu'il viens de dire, j'ai un petit spasme d'effrois, enserrant fortement mes muscles autour de cette flute de chair chaude et palpitante, me donnant une légère douleur alors qu'il n'arrête pas de me monter et descendre pour m'empaler sur son braquemarts.
C'est qu'il compte passer encore un moment à me ramoner pour que je m’habitue à son monstre, mais tout à l'heure il avais juste dit que je devais le satisfaire lui, alors pourquoi est ce que je vois d'autres monstres se rapprocher de nous, de moi avec leurs regard lubriques et malsains?
Entrecoupé de gémissements je répond au colosse.

MMMmmmh... Mais Monsieur... Je... AAaaaaaah... Je pensais que... OOooooh... Je devais vous... Oooouufffh... Vous aidez à... AAaaaah... Vous divertir vous... AAaaammmmh... Pas les autres... Aaaaah... Si?...

Il ne prend même pas la peine de me répondre, continuant de m'empaler doucement sur sa grosse bite jusqu'à la garde, il invite les autres monstruosités à se rapprocher.

"Allons, mes chers amis, faites-vous plaisir."

La succube qui mange mon bouton d'amour me délaisse et se retourne pour faire face à ces nouveaux monstres qui se sont rapprochés, je vois les deux succubes se faire emmener plus loin derrière moi par six autres monstres, je ne les vois plus, mais il reste de nombreux monstres devant moi qui nous observe toujours avec le même regard envieux, pleins de lubricités, et alors que la place de mon petit abricot c'est libéré qu'un des monstres s'approche de moi, en y regardant de plus près celui-ci n'était pas laid du tout, loin de là c'est juste le fait qu'il est la peau bleu qui peux être déstabilisant, sinon les trait de son visage sont fin, il a un corps musclé, pas autant que le colosse derrière moi mais ça reste raisonnable et plaisant pour les yeux et au toucher même si je n'y ai pas encore toucher.
Cette incube à la peau bleuté viens se coller à moi, amenant son bassin contre le miens, venant caler son membre bander moins imposant en longueur comme en largeur que celui du colosse qui me sodomise, mais tout de même de taille très respectable contre ma douce intimité dégoulinante de mouille et de bave, il profite que le colosse me face monté et descendre pour frotter sa queue à se même rythme, sa lance de chair coulissant sur ma petite fente et contre mon clitoris en érection, celui-ci me donnant beaucoup de plaisir malgré mon appréhension de me faire prendre en sandwich par ces deux hommes, si on peux les appeler comme tel, des moments plus intense de plaisir me font contracter plus fortement mes muscles internes enserrant fortement le monstre veineux du colosse dans mon petit puis étroit, je l'entends même râler de plaisir sous mes contractions, alors qu'il me lèche encore et toujours le cou, le démon bleu quand à lui viens s’emparer de mes douces lèvres, venant coller son torse musclé contre mon buste, écrasant ma poitrine, il investi mes lèvres de sa douce langue, je ne résiste pas et le laisse entrée allant par a suite investir ma bouche et venir titiller ma langue de la sienne dans un langoureux baiser, étouffant mes gémissements plaintifs alors que je sent le colosse accélérer non plus mes montées et descente mais ces coups de reins qui se font amples mais persistant pour rentrer son barreau de chair veinées jusqu'à la garde, venant percuter mes petites fesses de son aine musclé.
Une de mes mains reste dans mon dos essayant comme je peux d'amortir les pousser intrusives du bélier de chair du colosse dans mon petit trou serré alors que mon autre main viens sur le torse de l'incube bleuté caresser ces pectoraux et ces muscles abdominales alors que je sent ces mains caresser mes cuisses et mes fesses pour mon plus grand plaisir.
Le colosse qui me travaille le cul délaisse mon cou un instant pour prendre la parole de sa voie grave et rauque.

"Allez petite salope, dis-moi à quel point c'est bon."

Je le sens accélérer encore d'avantage ces allées et venues dans mon petit trou étroit, alors qu'une très légère onde de douleur persiste encore, mais aussi et surtout beaucoup de plaisir envahir tout mon corps alors que je sent son bas ventre et ces bourses pleines et lourdes venir claquer plus violemment mes petites fesses à chaque introduction jusqu'à la base de son gros pieux de chair.
Une fois lancer sur le rythme de croisière qu'il m'impose, il reprend la parole toujours aussi rabaissant.

"Je sais reconnaître les petites salopes qui adorent se faire baiser par plusieurs personnes à la fois. Et ça se lit sur ton petit visage."
"Tu devrais me remercier de réaliser ton fantasme."


Mes gémissements se font plus sonore encore alors que je romps le baiser interminable de l'incube, un filet de bave reliant ma lèvre inférieur à la sienne avant de me cambrer et venir poser ma tête sur l'épaule du colosse et lui répondre d'une voie haletante.

AAAAAaaaaaah... GGggmmmmnnnh... Ou... Oui... C'est... OOooooh... Bon... Mais je ne... MMmmmmmh... Suis pas une... GNNNnnaaaaah... Salope et comment... AAaaaah... Vous savez que... MMmmnnnaaah... C'est un de mes... OOoouuuuffh... phantasmes?
S'il vous plais... MMMMmmoooaaah... Ne le dite pas trop fort... MMMAAaaaaah... Ça pourrais en attirer... MMmmmh... D'autres... MMMMAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaah...


Je lâche un long gémissement de surprise et de plaisir, relevant la tête de l'épaule du colosse, mon regard descendant vers le bas ventre de l'incube alors que celui-ci c'est mis dans l'idée de pénétré ma petite fente, écartant mes grandes et petites lèvres de son gland il s'enfonce doucement dans une pousser intrusive mais constantes, alors que je le sent s'enfoncer dans mes douces chairs humides et veloutées, je l'entends et sent le souffle chaud sur mon visage de ces grognement de plaisir.
Ma tête retombe en arrière sur l'épaule du colosse alors qu'il continue sa pousser interminable, écartant sur son passage mes douces membranes internes qui se contracte par le plaisir mais je sent qu'il lui manque de la place, parce que le colosse dans mon derrière continue son ramonage intensif et il doit le sentir à travers la fine membrane qui sépare leurs deux sexe.
Quand son bas ventre viens s'écraser contre le mien, il reste bien enfoncer sans bouger, voulant peux être que je m'habitue à sa queue, mais il ne reste pas inactif puisqu'il viens s'occuper de ma poitrine, ces deux mains sur chacun de mes seins, il commence par me les malaxer avant de s'attaquer à mes mamelons et aux anneaux qui si trouve, il viens les étirer, les pincer, les rouler entre ces doigts.
Alors que le colosse me pistonne toujours le derrière assez rudement maintenant depuis un moment, je me sent si bien remplis, que je ne tarde pas à avoir un autre orgasme exploser en moi alors que mes muscles se contractent fortement, mes membranes interne enserrant fortement leurs bites, je me cambres d'avantage alors que je pousse un gémissement libérateur avant que des milliers de fourmis s'éparpillent partout sous ma peau dans une douce chaleur apaisante, finissant de me remettre de ce nouvelle orgasme, le souffle haletant et gémissant de plaisir la voie rauque du colosse se fait encore entendre.

"Ce n'est que le début, ma belle. Garde des forces."

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 6 samedi 13 février 2016, 17:41:34

Malgré mon récent orgasme et les fortes contractions de mes membranes internes sur ces queues en moi, le colosse n'a pas ralentie le rythme loin de là, même s'il avait plus de mal à se mouvoir en moi, il a forcé le passage rallongeant mon orgasme de plusieurs secondes et les sensations fut d'une telle intensité que je n'avais jamais ressentie un telle plaisir jusqu'à aujourd'hui.
Essayant comme je peux de reprendre mon souffle sous les coups de reins infernal du colosse dans mon petit cul, je sent le braquemarts de l'incube se mètre lui aussi en mouvement dans mon petit abricot, alors qu'il est profondément figé en moi, il se retire lentement avant de revenir brutalement et profondément dans ma petite fente, son bas ventre venant percuter le mien dans un bruit de chair s'entrechoquant, je gémis de plus belle alors qu'il part dans des vas et viens amples et soutenue venant profondément investir mon antre jusqu'à la garde.
Mes sensations son maintenant multiples et décuplées, alors que chacun se met à son rythme dans l'orifice qu'il investie jusqu'à la garde, les percutions de leurs bassins, parfois l'un après l'autre, parfois simultanément ou presque me donne un plaisir fou, ne laissant pas le temps à mon excitation de redescendre, alors que je viens de jouir il y a de ça quelques secondes à peine, je gémis et les entends râler de plaisir sous leurs coups de queues.
Ma tête toujours reposer sur l'épaule du colosse, je l'entends me murmurer à l'oreille.

"J'adore ta façon de gémir."

En même temps, la douleur et le plaisir est tellement intense que je ne pourrais pas ne pas gémir même si je voulais.
Je l'entends ensuite me grogner de sa voie grave.

"Tu m'excites."

GGAAAAAAAAAAAAaaaaaaah... AAAaaaaaah...

Alors qu'il viens de me dire ça, je pousse un long gémissement plaintif et de plaisir, la cause étant qu'il est pratiquement ressortie de mon petit trou étroit, seule son gland massif étant au chaud, avant de revenir bien plus violemment et brutalement m'embrocher de sa poutre de chair veiné, me faisant me cambrer encore d'avantage, et je suis sur, juste pour m'entendre encore plus gémir de plaisir.
Je délaisse de ma main le bas ventre du colosse et viens plutôt écarter une de mes fesses alors que mon autre mains monte sur l'épaule de l'incube qui viens me lécher tendrement le cou de sa douce langue alors qu'une de ces mains viens s'occuper de mes seins passant de l'un à l'autre pour les malaxer, jouer avec mes mamelons et les anneaux qui y sont, les pinçant, les tordant, les étirant et même les giflant gardant le feu ardent qui irradie ma poitrine de plaisir.
Son autre main viens sur ma fesses libre, celle que je n'écarte pas, il viens la malaxer elle aussi d'une main caleuse et y asséné quelques violentes fessées de temps en temps qui me font gémir un peut plus alors que je sent la brulure de celle-ci se répandre dans mes hanches et faire contracter mes muscles internes enserrant fortement leurs membres dans mes petits orifices étroit et chaud.

Ils sont chacun à leurs rythme, n'essayant aucunement de s'accorder avec l'autre prenant chacun leurs plaisir comme ils le veulent, je sent le gros chibre du colosse accélérer encore le ramonage intensif de mon petit derrière, claquant à une vitesse folle mes petite fesses de son bas ventre, l'incube est à un rythme moins rapide mais tout aussi brutal et soutenue.
Par moment alors qu'ils s'enfoncent dans mes chair simultanément ou presque dans mes douces chair étroite, je sent leurs lourds braquemarts s'entrechoquer en moi, écartelant sans douceur mes tendres membranes de force pour que chacun y trouve sa place en profondeurs, je me sent si pleine si remplis que j'en est parfois le souffle couper alors que mon bassin est écraser entre le leurs.
Ils me prennent comme des animaux sauvages pendant de longue minutes, sous l'effort d'encaisser leurs grosse queues, mon corps se recouvre d'une fine couche de transpiration, quelques goutes perle sur mon corps, j'ai tellement chaud sous le mélange de plaisir et douleurs que me procure ces deux démons, mon souffle haletant, mes gémissements fusent toujours, quand dans un dernier élan de brutalité ils viennent l'un et l'autre violemment m'écraser entre leurs deux corps musclés enfonçant leurs grosses virilités profondément dans mes chairs chaudes, leurs mains empoignant les anches ma fesse et un de mes seins, entre ces deux gaillards qui se pressent contre mon petit corps frêle j'ai du mal à respirer, je les entends alors râler et grogniez de plaisir, je comprend qu'il jouissent quand je sent au fond de moi leurs membres tressauter et une douce chaleur irradier mon bassin.
J'ai l'impression de sentir leurs foutre chaud me remplir alors qu'il reste un moment en moi à se déverser entendant au passage le colosse me lance.

"Aaaaah... Tiens..."

Sa queue toujours profondément figé en moi avant d'enchainer d'une voie fier et douce.

"Ne t'évanouis pas, ma jolie."

Le souffle cours, ils finissent tout de même par se retirer de mes orifices malmener, je sent comme un grand vide, du moins c'est la sensation que j'ai, même si au début je leurs demandais de se retirer, maintenant je leurs demanderais plus de revenir combler la sensation de vide que je ressent entre mes jambes, alors que le colosse me repose doucement au sol, mes jambes flageolantes me lâche, je chute sur le coté, reprenant mes esprits et mon souffle, je sent mon anus et ma petite fente distendus, j'amène un main sur mon anus pour le masser avec mes doigts, effectivement il est quelques peut ouvert et un flot de substance chaude et gluante en dégorge, le foutre du colosse sans doute, celui-ci est hypersensible à mes caresses se contractant sous celle-ci pour se refermer peut à peut jusqu'à la fermeture total.
Mon souffle redevenue normal, je regarde autour de moi, d'autres monstres me regardent toujours avec insistance et lubricité , jusqu'à voir le visage du colosse assis sur une chaise me faisant un signe de la main de venir jusqu'à lui.

Mes jambes encore tremblante, je sais que je ne pourrais pas me tenir debout, pour ne pas rester seule entourer de monstres au milieu de cette salle, je me relève pour être à quatre pattes et me déplace ainsi comme un animal non sans entendre quelques rires de la part des monstres de la salle, alors que je sent du foutre encore chaud dégouliner de ma chatte et de mon cul puis le long de mes cuisses, une fois à ces pieds, je m'aide de ces cuisses comme points d'appuis pour me hisser et m'asseoir sur une de ces cuisses, les jambes pendantes, je me colle à son torse musclé, ma tête contre son pectoraux.
La fatigue est là je le sent alors que je sent un de ces mains passer dans ma chevelure il me dit d'une voie grave et douce.

"Prends un peu de repos, l'orgie n'est pas finie, et je pense que tous te voudront comme plat principal."

"Si tu es bien sage avec moi, j'empêcherai les plus barbares d'entre eux de te traiter... Comme on traite habituellement les intrus."

Relevant la tête, je lui répond mon regard montrant mon inquiétude.

Quoi?... Mais je ne veux pas participer à cette orgie. Je vous ai montrer ma bonne volonté comme vous me l'avez demander, et je devais vous aidez à passer un bon moment à vous, pas à tout ces monstres.
Il... Il me semble que vous en avez bien profité, en me sod... En me prenant par derrière, alors je vous demande s'il vous plais de me dire ou je peux trouver le seigneur Adramelech, ou de lui annoncer que je suis ici...


Il me semble d'avoir été assez patiente et de bonne compagnie pour qu'il me dise ou je peux trouver celui que je cherche.

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 7 lundi 28 mars 2016, 01:16:07

Reposant à nouveau ma tête sur son pectoraux, je me remet encore de cette baise bestial, amenant une de mes petites mains caresser l'autre pectoraux avant de descendre caresser ces abdominaux sculpter et saillant.
La différente de taille est flagrante, mon petit corps semble si fragile et frêle par rapport au corps de cette homme imposant, puissant et musclé, rien que la taille de ces mains m'impressionnent, je profite de ces douces caresses même si ces mains ne sont pas aussi douce que celle d'une femme, j'en apprécie les attentions, douces et tendres, caressant ma chevelure et mon visage, je ferme les yeux et me concentre sur ces caresses qui me détende me faisant oublier pendant un moment l'endroit ou je me trouve, même sa voie pourtant rauque et profonde arrive à me rassurer.

"Ne t'en fais pas, ma belle, ne t'en fais pas."

Je pousse de doux gémissement alors que je sent son autre main caresser ma hanche, je me sent rassurer jusqu'au moment ou je l'entends me dire.

"Tu vas adorer ça... Comme toutes les petites salopes qui sont passées ici avant toi."

J'ouvre à nouveau les yeux et redresse la tête, mon regard allant vers le siens, je vois qu'il à la sourire au lèvres, moi je fait une moue désappointé avant de lui répondre.

Je... Je ne suis pas une salope, je vous l'ai déjà dit... Tout à l'heure. Je me suis juste laisser submergé par toutes vos caresses à vous et vos succubes... D'habitude je ne suis pas ce genre de fille...

Je remet ma tête sur son torse et ferme à nouveau les yeux alors que je sent sa main descendre de ma chevelure à ma poitrine, la caressant doucement, jouant avec les anneaux de mes mamelons, excitant mes petites pointe de chair pour les érigées, pétrissant de sa grande main un seins puis l'autre, allant même jusqu'à les giflés ce qui me donne de douce décharge électrique dans la poitrine, alors que son autre main caresse ma hanche et mes petite fesses, je respire profondément continuant à lâcher de doux gémissement alors que mon excitation reviens parcourue de frissons, de chair de poule et de fourmillement, je sent la main sur mes seins descendre sur mon ventre plat caressant celui-ci de douce caresse circulaire, réchauffant mon bas ventre d'une douce chaleur.
Ma main continue de caresser son torse puissant, celui-ci est comme sculpter dans la pierre, dur et tendre à la fois, alors que ces mains descende encore plus bas pour arriver à mes cuisses, il en caresse l'intérieur comme l'extérieur me faisant soupirer de plaisir alors qu'en même temps je sent ces lèvres et ces dents mordiller mon oreille avant de me dire.

"Quelle petite salope tu fais."

Je ne relève pas cette remarque mais celle-ci me donne un frissons qui parcours toute ma colonne vertébrale, j'ai l'impression qu'il le fait exprès pour m'énerver, il remonte sa main sur mon cou et je le sent me le serrer de sa poigne puissante sans pour autant y aller trop fort mais assez pour que j'ouvre la bouche et que je sente l'air siffler dans ma gorge avant de rajouter.

"Ne fais pas comme si tu n'en mourrais pas d'envie, tu seras notre esclave que tu le veuilles ou non."

Ouvrant en grand les yeux je commence vraiment à flipper, moi qui pensais qu'il était tendre et attentionné, je constate qu'il n'est pas tout à fait se qu'il semble être, il m'ordonne ensuite.

"Maintenant, tu vas t'agenouiller devant moi, et nettoyer mon sexe pour que je puisse t'engrosser comme la petite pute que tu es."

Il relâche l'emprise sur mon cou et remonte sa main, ces doigts prenant mes joues et m'obligeant à le regarder dans les yeux avant de rajouter.

"Est-ce que tu as compris?"

Mes yeux dans les siens, je comprend qu'il ne plaisante pas et je sent au fond de moi que je n'ai pas intérêt à lui désobéir, c'est sans doute mon instinct qui me le dit, je détourne rapidement le regard ne supportant pas le sien insistant et déstabilisant faisant un moue inquiète, je lui répond d'une petite voie.

D'ac... D'accord monsieur... J'a... J'ai compris...

Il relâche l’étau de ces doigts sur mes joues, je baisse la tête et me décide à obéir, aillant assez récupéré, je descend de sa cuisse et me met à genoux entre ces cuisses puissante déjà écarté, son sexe au repos est de belle taille, je caresse l'intérieur de ces cuisses de mes mains avant d'approcher mon visage de son entre jambe, je ne suis pas sereine mais ce n'est pas la première fois, je vois qu'il y a encore des traces de sperme sur sa verge et ces bourses, je décide de commencer par nettoyer ces bourses, venant de ma main gauche soulever sa queue encore mole, je viens tout d'abord laper de ma douce langue une bourse puis l'autre accentuant mes coups de langue pour en parcourir le plus possible, ceux-ci se font de plus en plus appuyer, je fini par les délaisser un moment pour les soupeser de ma mains droite, elle sont chaude, lourde et semble pleine, l'odeur qui se dégage de se membre est forte presque animal tellement elle est, mais je n'ai pas le choix, puis pour terminer de les nettoyer, je décide d'en prendre une en bouche, aspirant celle-ci, je la gobe et la fait rouler avec ma langue dans ma chaude et douce bouche avant de la relâcher d'un coup pour ensuite passer à l'autre et lui faire subir le même traitement, nettoyant et avalant les sécrétions qu'il y avait dessus, quand je passe à la deuxième bourse je sent dans ma main gauche la queue commencer s'exciter et à prendre du volume.

Une fois fait, toujours avec ma langue, je part de la base de ces testicules et remonte jusqu'à son gland, récoltant les résidus de sperme sur cette queue qui ne cesse de grandir et de grossir à vue d’œil, je fait de même sur les cotés et le dessus laissant une fine pellicule de bave dessus, passant une deuxième fois de ma douce langue sur le pourtour de cette énorme queue qui n'en fini pas de grandir et de grossir j'ai l'impression.
Mais alors que je terminer de nettoyer son énorme gland, j'ai bien l'impression qu'il à atteint sa taille maximal et j'en est du mal à déglutir, quand je pense que j'avais cette choses dans mon derrière, je me demande comment c'est rentrer sans plus de dégât, cette queue fait la taille de mon avant bras en longueur et son gland est aussi épais que mon poing fermé ou presque, heureusement que je suis une déesse de lust à mon avis sinon je serais déjà dans le comas après avoir pris ça dans les fesses.

Malgré le fait de l'avoir nettoyer, ce gros braquemart sent toujours autant le mâle, d'un coté c'est dérangeant mais de l'autre il y a quelques choses d'excitant que je ne m'explique pas, j'amène ma main gauche sur la base de cette queue et ma main droite sur la moitié, mes doigts n'en font pas le tour tellement elle est épaisse, je la guide pour amener ce gros gland à mes lèvres, j’humecte mes lèvres, ouvre grand la bouche et commence à le prendre en bouche, la collerette de son gland doit forcer mes lèvres pour entrer déformant celle-ci, une fois dedans je fait tournoyer ma langue sur celui-ci alors que j'aspire et creuse les joues effectuant de petit aller et retour avec ma tête, je doit vraiment m'appliquer pour ne pas que mes dents ne le touche, au bout de quelques minutes les vas et viens de ma tête se font plus ample accentuant la profondeur, le cœur battent plus rapidement, le souffle de plus en plus court, je viens jusqu'à faire buter son gland contre ma glotte, mais je vois qu'il reste encore une bonne partie à l'extérieur, mais je doute fortement que je puisse le prendre en gorge, alors que je suis déjà en âge rien qu'à le prendre seulement en bouche, une fine pellicule de transpiration rendant mon corps luisant, j'espère au moins qu'il est satisfait.

 

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 8 jeudi 09 juin 2016, 00:07:34

Satisfait, il à l'air de l'être alors que je l'entends lâcher de petit ronronnement roque, effectuant toujours de lent et ample aller retour de mes douces lèvres sur sa longue et large queue, m'appliquant à le satisfaire, je sent son bassin commencer à bouger accompagnant les vas et viens de ma bouche sur son chibre, reculant celui-ci quand je me recule et avançant celui-ci quand je le prend en profondeur, venant écraser son gros gland au fond de ma bouche, plus les secondes passent plus ces coups de bassin deviennent insistant quand sa verge viens percuter ma glotte.
Je lâche son bâton de chair qui maintenant très dur coulisse dans ma bouche et délaisse ces bourses, amenant mes mains de par et d'autre de ces cuisses musculeuses que je sent se contracter à chaque fois qu'il avance son bassin vers ma tête, je sent par la suite ces grandes mains venir sur ma chevelure et l'arrière de mon crane, je ferme les yeux alors que celles-ci ne font que caresser ma chevelure et ma tête, m'affairant à continuer ce qu'il m'a demandé, je prend ça pour de la tendresse alors que je lui donne du plaisir, mais la tendresse se renverse bien rapidement alors que je l'entends me hurler.

"Allez, salope!"

Surprise, je sent les mains dans ma chevelure se resserrer sur mon crane, je tente de me retirer mais pas moyen, les mains de cette homme me tiennent fermement la tête, c'est alors que je sent ce gland et cette hampe imposante remonter violemment jusqu'à ma glotte forçant l'entrée de ma gorge, sur le moment une douleur irradie ma gorge alors que cette grosse verge écartèle sans douceur mon étroite gorge cannelée , j'ai envie de vomir et le souffle coupé, mais cette énorme queue fait obstruction, je pousse sur mes bras pour me soustraire de ce viole de gorge, alors que je l'entends s'extasier d'un grand... "Ouaiiis..." de satisfaction.
Je sent que ça dégénère poussant de longue secondes sa queue dans ma gorge étroite, il part ensuite dans de petit coups de bassin rapide et brutaaux sortant seulement son gland de ma gorge avant de si ré-enfoncer rapidement gagnant à chaque réinsertion quelques millimètres dans ma gorge, celle-ci me fait mal alors que son gland racle fortement les cannelures de ma gorge, ma douleur et l'effort me font pleurer, des larmes ruissellent sur mes joues alors que je suis en train d'étouffer je pousse de long gémissements plaintifs de douleur entrecoupé de gargouillis sortant de ma gorge, en même temps mes mains se crispent sur ces cuisses musclées, ma tête prise entre ces mains imposantes, je ne peux rien faire, je ne peux que subir son châtiment.

MMMmmmmmh... GLLLuuurrrrppp... BBBLLUuuurrrpp... MMMmmmmmh... GGggllluurrrrppp...

En ce moment, je pense qu'il n'y a pas pire que ce qu'il est en train de me faire, mais après un moment de ce traitement intensif de ma gorge qui me fait toujours mal, aillant repris à quelques rare occasions une bouché d'air, alors qu'il me maintiens toujours aussi fermement la tête, il retire sont gros gland de ma gorge avant de s'enfoncer à nouveau lentement, pourtant j’essaie comme une folle de relever ma tête pour pouvoir expulser cette queue de ma bouche, mais il n'y à rien à faire, je ne peux pas résister à sa force, il baisse inexorablement ma tête sur son gros chibre alors que je gémie pour l'implorer d'arrêter que je n'en peux plus, mais il continue de s'enfoncer dans ma gorge, atteignant la limite qu'il a atteins jusqu'à maintenant, il continue de pousser sans merci, la gorge obstruer, je ne peux plus me plaindre, je bave abondamment sur sa queue, alors que mon corps tremble sous l’effort, les yeux révulsés, je sent ma gorge céder centimètre après centimètre sous sa pousser inquisitrice, j'ai l'impression que ma gorge se déchire en deux, alors qu'il remue son bassin de gauche à droite comme pour trouver un passage plus facile ou travailler celle-ci, avant de finalement repartir dans de rapide va et viens dans ma gorge.
Au fur et à mesure que les minutes passent ma gorge s'habitue peut à peut à son imposant chibre qui me ramone la gorge, même si une légère douleur persiste toujours, il me reste encore un bon nombre de centimètres avant de pouvoir le prendre entièrement dans ma gorge, mais je ne suis pas au bout de mes surprises.

Au bout d'un moment alors que ça fait un moment que je ne fait plus attention à ce qui se passe autour de moi, je sent une présence imposante dans mon dos, celle-ci se confirme quand je sent d'énorme mains poilues entourer ma taille et une chose imposante et chaude venir contre mes douce lèvres intimes, je ne peux pas voir ce qu'il y a, mais j'ai une très grande appréhension et celle-ci se confirme quand j'entends une voie rauque me grogner... « Souffre, salope ! » Mais encore une fois je ne peux rien faire à par subir, je sent alors une énorme chose chaude rentrer brutalement dans mon vagin bien trop étroit pour une telle taille, ou du moins pas assez travailler pour accueillir un tell engin.
Une énorme douleur me transcende mon corps est parcourue de tremblements et de spasmes essayant de lui même, instinctivement de se dérober de ces deux attaques simultanées, mais c'est perdu d'avance,  mes hurlements sont étouffés par la queue de l'homme dans ma gorge, mes parois cannelées se contractent fortement avant de vibrer comme un vibromasseur à pleine puissance et ce salop en profite pour me marteler encore plus brutalement la gorge la défonçant comme un vulgaire trou, ma vue se trouble sous les larmes qui ruissellent sur mes joues.
Je suis au bord de l'évanouissement alors que la chose derrière moi se met en branle, effectuant de amples mais brutal vas et viens me donnant une douleur qui me transcende à chaque allez et retour, pourtant ma mouille dégouline sur mes cuisses, enduisant cette queue bizarre... pourquoi bizarre? parce que j'ai l'impression qu'elle est pourvue de pointes qui raclent fortement mes douces membranes vaginale à chaque va et viens mais surtout quand il se retire, comparent celui-ci à un énorme hameçon qui me ramone le vagin.

C'est au bout de quelques minutes que l'homme dans ma gorge me laisse enfin respirer, retirant son énorme queue veiné de ma bouche, mais me maintenant toujours la tête, je lâche des hurlements et gémissements plaintif entrecouper de grande inspirations alors que des filets de bave relie mes lèvres à cette énorme braquemart luisant lui aussi de bave.

AAAAAAAaaaaaaah... MMMMmmmmh... GGGggnnnnnh... Arrêtez... GGGgggnnh... OOOoouuuuh... AAAAaaaaah... Par pitié... NOOoonn... Arrêtez le... AAAAaaaammmmh... ça fait mal...


Je reçois comme seule réponse qu'une douce gifle de la part de l'homme devant moi avant qu'il vienne poser à nouveau son gland imposant contre mes lèvres et de m'ordonner de sa voie rauque.

« D’une traite, cette fois. »

le regard implorant je lui répond.

Non... S'il vous plais... AAAAAaaaaaah... Pitié... MMMMmmmmmh... Pas encore... Je...

Je sent sa main guider ma tête appuyer sur mon crane pour que je le reprenne en bouche, je résiste comme je peux poussant sur mes bras, c'est alors qu'il me dit.

« Plus tu me fais attendre, plus je t’étoufferai avec. »

Résigné, je n'ai pas le choix que j'aime ou non il m'impose de le prendre en bouche, ce que je fais sans rien rajouter, ne voulant pas subir plus de sadisme de sa part, venant l'enfoncer dans ma gorge aussi loin que je le peux pour le satisfaire malgré la douleur de ma gorge et de mon bas ventre, aspirant et contractant mes membranes internes sous les assauts sauvage de celui qui me ravage la chatte.
J’effectue de lente et ample gorge profonde, m’appliquant comme je peux pour le satisfaire, aspirant son chibre pour en avaler le plus possible alors qu'il caresse ma gorge de sa main.





Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 9 lundi 27 juin 2016, 21:11:33

Alors qu'il m'a laisser quelques secondes pour reprendre mon souffle, je lui ai demandé entrecouper de gémissement plaintif, qu'il demande à l'homme d'arrêter de me défoncer le minou, mais très vite, il ma ordonné de le reprendre en bouche et même plus que ça, aidé de ça main, il me la fait avaler au trois quart, non pas sans avoir mal bien entendu, mais je n'arrive pas à croire que j'arrive à le prendre en gorge vue la largeur de sa queue monstrueuse, pourtant il progresse non sans forcer le passage, élargissant de force ma douce gorge canneler en profondeur.
Je l'entends dire à celui qui me laboure la chatte tout le contraire de ce que je lui ai demander avant de ricaner, il se joue de moi et je commence à le comprendre que maintenant, pourtant mon arrivé ici avait été si douce en enlevant cette soudaine sodomie, entre les femmes qui c'était occuper de moi et même cette homme que je pensais pourtant de mon coté, il s'avère que c'est exactement l'inverse.
Il ordonne même à l'autre homme de me défoncer, sur ces mots je lève mon regard vers ce colosse que j'ai en bouche, les yeux à la fois écarquillés et implorant, je le vois une fois de plus le sourire aux lèvres, il est fier de lui, alors qu'il me bloque la tête sur son énorme membre, plissant les yeux, mes mains se contractant et griffant les cuisses de mon bourreau, je lâche un hurlement étouffer qui fait vibrer mes cordes vocales alors que la brute derrière moi redouble de brutalité et augmente la vitesse de ces coups de reins, il y vas si brutalement qu'il me fait empaler la gorge sur celui qui est devant moi, qui c'est lui aussi mis à me ravager la gorge comme un vulgaire trou, si bien que je me retrouve balancer d'avant en arrière par leurs coups de reins brutaux.
Des larmes de douleurs et d'effort dégouline sur mes joues, sans parler de la transpiration qui perle sur tout mon corps, je n'ai jamais été aussi brutalisé de ma vie, le manque d'air me fait tourner la tête alors qu'après tout ces efforts l'homme devant moi à réussis à me la mètre entièrement dans la gorge, mon nez viens s'écraser contre son bas ventre aux poil ras et ces lourdes bourses viens fouetter et s'écraser sur mon menton, ma gorge est écarteler et le raclement de ce membre imposant et veiné n'arrange rien et comme s'il pouvais lire dans mes pensés, il me demande sachant pertinemment que je ne peux pas répondre.

« C’est douloureux, ma jolie ? »

J'ouvre difficilement les yeux alors que la douleur viens de ma gorge mais aussi de mon vagin, qui se fait labourer comme jamais, je lève mon regard implorant sur le siens pour lui montrer que je n'en peux plus, mais il semble s'en foutre complètement, puisque malgré les nombreuses secondes sans air, il s'amuse de sa main à venir contracter fortement ma gorge comme pour m'étrangler, mais avec sa queue dans ma gorge en prime, ça ne peux être que plus bon pour lui, mais horriblement douloureux et humiliant pour moi.
Alors que mes yeux commence à se révulser, le manque d'air se faisant de plus en plus vital, je l'entends me dire d'une voie se voulant rassurante.

« Mhhh, c’est absolument parfait pour moi, alors tiens le coup ma belle. »

Je fait déjà tout ce que je peux pour survivre à leurs brutalités, je me demande comme je ne suis pas déjà tomber dans les pommes ou pire, déjà morte sous leurs violence, sans doute mes capacités de prêtresse de Lust, ce qui expliquerais le fait d'avoir put avaler cette énorme membre dans ma gorge, mais là n'ai pas la question, il m'a demandé de tenir le coup et vais tout faire pour, c'est sans doute la fin de mon calvaire après tout, peux être est-ce un teste?
Pendant les quelques secondes ou je pense ça, je regagne espoir, mais je comprend de nouveau vite qu'il ne compte pas me lâcher encore alors que j'entends quelqu'un cracher et sent un cracha gluante éclabousser mon visage comme si j'étais une poubelle avant de l'entendre me dire.

« Quoique, étouffe-toi si tu veux, ça me fait du bien. »

suivie de ricanements venant de devant et derrière moi, sur le coup je panique, je ne veux pas mourir étouffé par une queue dans la gorge, pas d'une manière aussi humiliante, je pousse alors de mes mains sur ces cuisses puissance et comme par magie, je sort son énorme queue de ma gorge et ma bouche, non sans qu'il y est de multiples et large filet de bave gluante qui relie toujours mes douces lèvres à cette queue monstrueuse, par automatisme de survie, mes poumons se remplisse d’oxygène, mais je ne peux retenir une toux et l’expulsion du surplus de bave qui c'est accumuler dans ma gorge et ma bouche, éclaboussant abdomen, le bas ventre, sa queue dressé, ces lourdes bourses et ces cuisses, avant de m'écrouler d'épuisement sur une de ces cuisses, mon visage venant s'engluer dans l'épaisse couche de bave, prenant de grande inspirations, alors que je pousse de long gémissement plaintif alors que l'autre homme me ravage toujours aussi brutalement et profondément.

AAAAAaaaaah... MMMMMMMmmrrrrraaaaah... RRrrrraaaaaah... C'est trop... RRRrrrraaaaah... Vous... Vous êtes de brutes... RRRrrrraaaaaah... Des monstres... AAAAAaaaiiiiieeeeh... PourquoiAAAAAaaaaaaah...

Vue la brutalité des coups de reins, je sais d'avance que je ne vais pas pouvoir m'asseoir pendant une semaine, mais c'est en supposant qu'ils en restent là, même si malgré la douleur ma petite chatte s’écrête beaucoup de cyprine, facilitant cette douloureuse baise, pour l'heure je redoute la punition qu'il vas me donner pour lui avoir vomie toute la bave accumuler sur lui, pour l'instant il me laisse reprendre mon souffle et ça me vas malgré le faite qu'il étaler sur mon visage l'épaisse couche de bave qu'il à sur la queue en venant me biffler créant de large filet de bave gluant reliant son large chibre à mon doux visage qui reprend des couleurs un peux moins rouge.




Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 10 lundi 04 juillet 2016, 20:45:10

Reprenant difficilement mon souffle, entrecoupé de râles et gémissements de douleur et plaisir mélangés, mon visage à moitié dans ma propre bave sur la cuisse du colosse, alors que la bête derrière moi redouble d'ardeur martelant frénétiquement son aine musculeuse contre mes petite fesses déjà bien malmené par ces coups de reins précédant, sa queue hameçonné continue de pourfendre mon petit minou en profondeur, faisant balloter mon corps et mes seins d'avant en arrière sous ces coups de boutoirs violents et brusques, mes chairs son mises à rude épreuve, quand au bout d'un bon moment, il fini par se laisser aller dans un rugissement rauque, je fait de même alors que je sent des griffes me lacérer les fesses et le foutre abondant me remplir l’utérus et le vagin par saccades.

RRRAAAAAAAAAAaaaaaaaah... AAAAAAAaaaaaaaaah...

Je sent le membre en moi tressauter et le sperme chaud de la bête me remplir à m'en faire déborder, avant de se retirer brusquement, m’arrachant un dernier crie de douleur dû aux aspérités de sa queue suivie d'un long gémissement de soulagement, maintenant retirer j'ai l'impression de sentir un grand vide en moi, pourtant le surplus de son foutre dégorge de ma petite chatte dégoulinant le long de mes cuisses salissant le sol, je sent alors une salve chaude et gluante éclabousser mon dos, ma chevelure et mon visage, celle-ci dégoulinant par la suite sur mon corps.
Mais alors que je pense que le colosse devant moi va vouloir lui aussi jouir avec et dans ma bouche, je suis bien contente qu'il ne s'amuse à me gifler de sa grosse queue même si c'est très rabaissant, mais au moins je ne souffre pas, pourtant il n'en est rien alors qu'il me dit.

« Tu pourras vivre aujourd’hui, ma chérie. »

Sur ces mots dit de manière très séduisante, j'ai quelques appréhension. Est ce que ça veux dire que ce que j'ai fait aujourd'hui lui à été satisfaisant au points de me laisser vivre jusqu'à demain? Est ce qu'il va me laisser tranquille et m'amenez jusqu'au seigneur Adramelech? Est ce qu'il va falloir que je le satisfasse encore demain pour pouvoir vivre un jour de plus? Toutes ces questions que je ne peux que penser, puisque je suis trop épuisé pour l'instant, il me dit par la suite.

« Tu as bien mérité un petit repos. »

Mon souffle redevenue à peut près normal, je me réjouis que ce soit fini, je sent alors deux pairs de bras me soulever délicatement, décollant mon visage de la cuisse du colosse non sans que de large filets de bave ne me relie toujours à sa cuisse. Ce sont deux belles femmes qui m'ont aidé à me lever, les jambes tremblantes, je n'allais pas aller bien loin toute seule, elles me soulèves et m'emmène loin de cette orgie, je me laisse faire fermant les yeux de fatigue alors que je sent le foutre dégouliner le long de mes jambes.
Je sent les deux femmes me soulever et me plonger dans une eau bien chaude, relaxant tout mes muscles, je sent alors une bonne odeur de savons avant de me faire laver tout le corps de ces douces mains, n'oubliant aucune parcelles de mon corps, par la suite sans dire un mot elles me font boire des boissons à la textures bizarres, il y en à bien quelques une ou je fais la grimasse en les avalants, mais elle ne me donne pas le choix, insistant jusqu'à ce que je les boive, par la suite et une fois bien rincé, elles me sortent de la baignoire et m'enduisent le corps de différant onguents, leurs douces mains sur tout mon corps ne me laisse pas indifférentes alors que je sent mes mamelons se gorger de sang pointant vers l'avant et ma petite fente commencer à s’humidifier, je leurs demande.

Je pense que ça ira mesdames, il faut que je me repose maintenant, vous pouvez m'amener dans... Hey non, qu'est ce que vous faites... Non... Non... AAAaaaah...

Celles-ci empoignent mes poignets et mes chevilles avant de me plaquer à terre, celle qui maintiens mes poignet me les tiens fermement en me regardant avec un sourire pervers, alors que sa comparse écarte brusquement mes jambes, me les maintenant avec force avant de venir enfuir sa tête entre mes cuisses et de sentir sa langue lécher avidement mon abricot, je sent celle-ci lécher mes grandes et petites lèvres, mon mont de venus, mon petit boutons d'amour en jouant avec mon anneau, venant même jusqu'à lécher mon anus, sans pour autant pénétrer n'y l'un n'y l'autre, ces mains palpant mes cuisses en les maintenant écarté.
Sous ces douces léchouilles, je ne peux m’empêcher de me cambrer et de tortiller mon bassin dans tout les sens, poussant de doux gémissements, celle au dessus de moi viens positionner son bassin au dessus de ma tête, bloquant mes bras avec ces tibias, avant d'abaisser son bassin venant frotter sa chatte contre mon visage, sa mouille enduisant mon visage à force de se frotter, j'ai honte d'être ainsi utilisé comme une vulgaire poupée, je ne peux rien faire pour me soustraire, alors que je sent mes mamelons être pincer, puis étiré, tordu à l'aide des anneaux qui si trouve, me faisant gémir d'un mélange étrange de douleur et de plaisir alors que l'on me gifle violemment les seins, avant de venir me les pétrir sans douceur et étrangement je ressent un certain plaisir à me faire traiter de la sorte.
Ce traitement dure un long moment avant que celle qui me lèche l'entrejambe ne s'arrête et n’amène mes jambes contre mes épaules, me pliant en deux et relevant mes orifices à leurs merci. C'est alors avec une certaine avidité qu'elles se jettent sur mes trous, l'une léchant ma fente et l'autre dévorant mon anus avec une certaine gourmandise, leurs mains écartant mes petites fesses, sous l'assaut de leurs douces langues je ne tiens pas longtemps avant de jouir, lâchant une long gémissement de plaisir avant de tomber de fatigue.

MMMMMMAAAAAAAAaaaaaaaaaaaah... AAAaaaaaaaah... MMmmmmmmmmh...

Je ne sais pas combien de temps c'est écoulé depuis que j'ai été emporter dans les bras de Morphée, mais ce que je sais, c'est que même dans mes rêves je n'ai pas eux la tranquillité voulue, puisque j'ai eux droit à de doux rêves torrides, j'ouvre d'ailleurs doucement les yeux et regarde autour de moi, je suis dans un grand lit confortable, dans une grande chambre richement décoré, frottant mes yeux de mes mains, je vois mieux la pièce ou je me trouve, je vois aussi que je suis nue  alors que je me redresse, j'entends un cliquetis venant de près, je ne suis pas totalement nue, amenant une main à mon cou je constate que j'ai un collier autour de celui-ci, je suis enfin tranquille, mais pas pour bien longtemps alors que la porte s'ouvre, je vois le colosse passer celle-ci et la refermer derrière lui avant de se retourner pour me faire face et me dire.

« Une petite chienne devrait ramper pour venir saluer son maître. Tu ne trouves pas ? »

Je fait de grand yeux, surprise par ce qu'il viens de me dire, je déglutis difficilement avant de lui répondre.

Qu... Quoi? Mais je ne suis pas une petite chienne et vous n'êtes pas mon...

Le colosse me coupe la parole et me dit d'une voie autoritaire.

« Allez, soit une gentille petite chienne. Les fesses bien en l’air, et à quatre pattes. »

Au ton et à l'intonation de sa voie, je sais au font de moi que je doit obéir à ce qu'il viens de me demander au risque de l'énerver, sans attendre plus longtemps, je m'exécute, me mettant à quatre pattes et cambrant mon dos pour bomber mon jolie fessier, gardant le silence pour ne pas l'énerver.
Mais ou est ce que je suis tomber?









« Modifié: mercredi 27 juillet 2016, 01:04:04 par Lili Ivanes »

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 11 mardi 26 juillet 2016, 22:20:33

Attendant au bord du lit dans la position qu'il m'a demander, je regarde le colosse se rapprocher de moi, avant de l'entendre me complimenté.

« Quelle adorable petite chienne. »

Sous ce compliment, mes joues rougissent alors que je sent sa main s'approcher de moi, je fait un mouvement de recule par réflexe, mais ce n'ai que pour caresser ma chevelure et faire descendre sa caresse sur ma joue.
Sous cette caresse, je sent un doux fourmillement parcourir mon visage et mon cou, puis il me demande.

« Mhhh, tu dois avoir faim, pas vrai ? »

Sur ces mots je lève mon regard vers le siens et lui fait un grand sourire avant de lui répondre, alors que je sent depuis mon réveille mon ventre gargouiller.

oui monsieur, j'ai très faim...

Il faut dire que tout les efforts que j'ai fournie depuis que je suis arrivé ici mon creusé l’appétit, au vue de ma réponse, il claque alors des doigts avant de voir une fumer grisâtre entourer sa main et se dissiper quelques secondes plus tard faisant apparaitre dans sa main une gamelle pour chien rouge vide.
Sur le coup, je fait une mine interrogé, un sourcil relever ne comprenant pas, ce n'ai que quand de son autre main, je le vois aller chercher quelque chose dans son pantalon et en sortir son braquemart à demi bandé, que je commence à comprendre et ça ne me réjouis pas du tout.
Je le vois commencer à se masturber devant mon visage, sentant sa forte odeur de mâle enivrer mes narines, il viens même frotter son gros gland contre mes lèvres et ma joue non sans me faire faire une mine dégouter et sentir un peux plus son odeur, du liquide séminal suintant de son gland et dégoulinant sur mes lèvres et ma joue.
Il se branle de plus en plus vite avant de le voir se reculer un peut de moi, guider sa queue vers la gamelle qu'il tiens avec son autre main et finie par jouir abondamment son épais et visqueux foutre chaud dans celle-ci la remplissant à ra-bord, allant même jusqu'à bien faire couler les dernière goutes sur son gland dans la dite gamelle avant de me lancer alors qu'il pose celle-ci par terre.

« Voilà ton repas, régale toi ma jolie. »

Sur le coup, je suis quelques peut abasourdie par ce qu'il me demande, faisant de grand yeux d'étonnement.

Vous... Vous voulez que je me nourrisse de votre... Sp... Sperme monsieur?

Mon regard toujours sur lui, je vois dans le sien qu'il ne plaisante pas du tout et que si je veux manger ici, ça sera ce qu'il me donne et rien d'autre, la faim me tordant l'estomac, je me résigne et descend du lit à quatre pattes, je hume l'odeur de ce foutre qui ne me donne pas du tout envie, celle-ci est forte comme le sexe de son géniteur, ça me donne presque des haut le cœur, mais j'arrive à me contrôler sans doute parce que je n'ai rien dans l'estomac.
Je trempe un doigt dans ce liquide visqueux et chaud avant de l'apporter à mes lèvres et de sucer mon doigt, à ce moment là, je sent le gout, ce gout particulier qui va me faire basculer, à la fois salé, sucré et épissé, ce gout qui me pousse sans le vouloir un MMMMMMMMmmmmmh... de satisfaction, une chose au fond de moi comme un force me pousse à en manger plus, je trempe deux doigts et les amène à ma bouche pour les sucer eux aussi, sans que je ne puisse m'en empêcher, je pencher mon visage au dessus de la gamelle laissant mes petite fesses en l'air et commence à laper à coup de langue le foutre de la gamelle, sentant ce sperme épais, gluant et chaud descendre dans ma gorge est un véritable plaisir, quelques éclats éclaboussent mes joues, mes lèvres et mon menton, mais je sent que ce sperme me nourrie et ça me donne un plaisir fou.
Au bout d'un moment alors que j'ai déjà vider les trois quart de la gamelle, je sent un pied sur mes petites fesses me pousser et mon visage atterri au fond de celle-ci enduisant mon visage de foutre, mais je n'en ai que faire, ma seule envie à se moment là, c'est de terminer cette soupe d'homme bien épaisse, chose qui arrive assez vite, récurant de ma langue toute la gamelle pour n'en oublier aucune goutte la laissant comme neuve, avant de ramenez de mes doigts le reste de sperme sur mon visage jusqu'à ma bouche avide de cette chaude crème épaisse.
Une fois mon festin terminer, j'entends le colosse me dire.

« Profite bien de ce repos, il ne sera que de courte durée. »

J'acquiesce d'un mouvement de tête alors que je termine de me lécher les doigts, puis je me sent tirer par le collier autour de mon cou, je me redresse et je remarque qu'il tire une cordelette pour m'amener à lui en me murmurant  « Par ici, ma petite chienne, par ici. » et m'invite à mètre mon visage sur sa cuisse, je reprend mon souffle alors que je sent sa main caresser mes cheveux, ça me fait du bien, j'ai l'impression qu'il va être plus doux maintenant, pourtant au fond de moi alors que j'ai le ventre plein, j'ai encore faim, faim de cette douce crème dont je viens de manger une gamelle entière, tout mon corps est en chaleur, j'ai l'impression de cuir de l'intérieur mon corps est tout luisant de transpiration, comme si j'avais manger trop épissé, mais comme il me là dit mon temps de repos arrive à terme alors qu'il me demande.

« Une brave petite chienne comme toi mérite de s’amuser un peut, tu ne penses pas ? Je serais un bien mauvais maître si je ne te laissais pas t’amuser avec d’autres bons chiens, pas vrai ? »

Sur ces mots, je me dit qu'en parlant de bons chiens, il doit sans doute parler d'autres humains mâles dans la même situation que moi, avec un collier autour du cou et une laisse, et qu'il veux encore me voir me faire prendre.
Pour éviter de l’offenser, je lui réponds sans bouger ma tête de sa cuisse.

Oui maitre, vous avez raison...

Il se relève et tire un peux sur ma laisse, je comprend que je doit le suivre à quatre patte, ce que je fait, nous quittons la chambre et parcourons les couloirs richement décorés, mais le décors change radicalement quand nous passons une porte pour descendre par la suite un escalier en pierre humide et continuant d'avancer dans un couloir sombre seulement éclairer de quelques torche disséminer dans celui-ci, le sol et les mur son en pierre sombre, le sol est humide et une forte puanteur ressort de ce couloir, une forte odeur d'animaux qui me fait faire la grimace pendant un moment avant que je ne finisse par m'y habituer non sans être toujours gêné, quand nous arrivons ou bout de ce couloir le colosse s'exclame à nouveau.

« Ra’Akka, je t’ai amené une petite chienne, que tu puisses t’amuser. »

Je commence à être angoisser vue l'endroit ou il m'a amené et ce qu'il dit fait monter en moi une grande appréhension de la suite, mes yeux s'habituant je constate que nous sommes devant un enclos de pierre sombre, mais je n'arrive pas à voir à l'intérieur, c'est comme si une ombre cache ce qu'il y a à l'intérieur, mais quelques secondes plus tard, je vois une lueur rougeâtre s'illuminer dans le fond de l'enclos, puis une deuxième, puis quatre, puis six, elles bouge par paires, une sueur froide parcours mon corps, je ne suis vraiment pas bien, très inquiète de ce qu'il me réserve, mais le pire est quand cette créature apparait dans la faible lueur de la torche la plus proche, une espère de d’immense chien au poil rat entièrement noir, avec trois grosse tête relier au même corps, les babines retroussées montrant leurs crocs bavant comme s'ils étaient enragés.
Je fais mine de reculer alors que le colosse me dit.

« Dis bonjour, Lili. »

Il ouvre alors de son pied la barrière et me pousse à l'intérieur.

NOOOOOOOoooooon...

Je me retrouve au milieu de l'enclos, tétanisé par la peur, mon cœur battant la chamade, je pense vraiment qu'il va me manger, je ferme les yeux, mais ce n'ai pas de la douleur que je ressent, mais plusieurs souffle chaud et putride sur mon corps, au niveau de mon cou avant de sentir une langue baveuse et puante passer sur ma joue, enduisant celle-ci d'une bave gluante et puante dégoulinant dans mon cou, un autre coup de langue sur mes fesses laissant sur son passage la même substance gluante et nauséabonde, un autre sur mon dos et ma cuisse, poussant à chaque fois de petit gémissement strident de peur.
La créature est tellement grande qu'elle ne ressemble à aucun chien de la terre, mais le colosse me sort de ma torpeur en s'exclament.

« Alors ma chienne, tu connais la suite. Tu ne partiras pas d’ici avant d’être devenue une bonne petite chienne prête à tout pour satisfaire les autres. »

 Je déglutit difficilement avant de lui répondre sans bouger, de peur de la réaction de la créature.

Vous... Vous voulez que je... satisfasse cette choses?...

Il me répond sèchement.

« Impressionne-moi. »

Je comprend que c'est ce qu'il veut et ça me tord le ventre, comment je vais faire pour satisfaire une créature pareil, les souffles et les coups de langue se succèdes les un après les autres, me donnant des frissons dans tout le corps, au bout d'un moment sachant que le maitre veux me voir agir, je me décide même si ça met très difficile, je me tourne et me retrouve sur le flans de la créature, les trois tête me suivant du regard, je n'ose même pas les regarder tellement elle me font peur, je viens de mes mains caresser son flans, le flattant, avant de passer mes mains sous son torse descendant celle-ci sur son ventre, sentant sous mes doigts une forte musculature veiné et les poils rats.
Sous mes caresses, la créature se couche sur le flans opposé à moi écartant ces pattes arrières comme un chiens le fait quand on lui caresse le ventre, je vois alors une énorme paires de bourses dont la taille de chaque testicules équivaut à une balle de tennis, je continue en caressant l'intérieur des cuisses de la créature, c'est alors que je vois avec effrois l'une après l'autre sortir de leurs fourreaux trois grosses et longue verges canins rouge et veinées, toute les trois dressés le long de son ventre, j'en est le cœur qui bat à cent à l'heure, je les vois toute sursauter indépendamment l'une de l’autre, s'en doute envieuse que je m'en occupe.
Je marque encore un temps d'arrêt avant d'avancer mon visage sur l'une d'elle mais l'odeur est insoutenable, je ne peux me retenir de faire la grimace encore une fois, prenant mon courage à deux mains, je viens lécher de petit coups de langue chacune d'elles les faisant réagir,  avant de me forcer à prendre la pointe de l'une d'elles dans la bouche, elle est bouillante, je fait de petit vas et viens de mes douces lèvres caressant de ma langue cette queue inhumaine dans ma petite bouche, puis je passe à une autre, venant avec mes mains masturber celles que je n'ai pas dans la bouche, j'arrive à surmonter cette forte odeur écœurante et ce gout immonde passant de l'une à l'autre de ces queues accentuant les aller et venue de ma tête, les prenant plus amplement en profondeur, bavant dessus abondamment, chacune d'elle allant percuter le fond de ma bouche grande ouverte au vue de leurs épaisseurs.
Ma tête vers le bassin de cette créature, les fesses relever vers le maitre, j'espère au fond de moi qu'il apprécie les effort que je fournis pour satisfaire son soit disant chien...

 

« Modifié: mercredi 27 juillet 2016, 07:22:35 par Lili Ivanes »

Lili Ivanes

Humain(e)

Re : La tournante infernale [Stephen Connor]

Réponse 12 dimanche 14 mai 2017, 21:23:14

Suçant toujours ces trois gros chibres canins puant dont l'odeur me répugne au plus haut point, j'ai envie de vomir, passant de l'une à l'autre en laissant ma bave dessus, j'entends le maitre me lancer.

« Allons, ne me fais pas croire que c’est la première fois pour toi. »

Se moque-t-il de moi? Ou est ce qu'il sait ce qui met arrivé il y a plus d'un ans maintenant, de cette nuit avec ce démon ou fils de démon je ne me souviens plus, il s'appelait Kira et avait abuser de ma naïveté, au point de ramener un chien mort dans ma maison, de le ramener à la vie et me faire baiser avec ce chien, avant de comprendre que ce chien était un gardien de porte des enfers, alors que Kira ma téléporté dans cette endroit étouffant ou il faisait atrocement chaud, l'entrée des enfer peux être et qu'un chien à trois tête plus jeune que celui que je suis en train de sucer avais voulue abuser de moi, par peur j'ai compris plus tard que ce chien mort était en fait contrôlé par ce chien à trois tête et après m'avoir souiller de façon indirecte, il voulait le faire de sa vrai forme.
Heureusement pour moi, alors que j'avais une grosse appréhension et une total incompréhension, j'avais demander à Kira de me ramener chez moi, ci-bien qu'il accepta ma demande rendant cette descente au enfer comme une vision avant de partir.
Alors... connait-il cette histoire? A-t-il sondé mes souvenirs? Je ne sais pas, mais délaissant quelques instant la queue que j'ai en bouche, je lui répond en tournant ma tête vers lui.

Slurp... MMmmmmmh... Mais... C'est dégoutant... Son odeur est horrible... Et il me fait peur... Maitre...

Il me répond sèchement.

« Ne fais pas ta mijaurée, tu vas couiner de plaisir, j’en suis sûr ma petite chienne masochiste. »

J'ose émettre un "mais..." avant de recevoir un épais crachat au visage "... beurk...", je me sent humilier encore plus, essuyant du revers de la main ce crachat qui dégouline sur ma joue rougie par la honte.
Le maitre enchaine alors sur un ton plus explicite.

« Allons, Lili, tu n’es même pas en train d’étouffer. Je m’attendais à mieux de ta part. »

vous voulez que...  préférant ne pas continuer ma phrase, au risque de l'offusquer, je reprend la masturbation des deux grosses queues canins dans mes mains, avant de reprendre la troisième dans ma chaude bouche. Ouvrant grand la bouche, mes douce lèvres gobe ce vie imposant, faisant de lent mais ample va et viens de mes lèvres, bavant abondamment dessus, j’essaie de moi même, de prendre ce membre dans ma gorge, mais je n'y arrive pas l'odeur est vraiment insoutenable, prise de nouveaux de haut le cœur, passant d'un chibre à l'autre de tente de nouvelle fois à prendre celle que je suis en train de sucé dans ma gorge à plusieurs reprise.
Jusqu'au moment ou j'arrive enfin à l'enfoncer partiellement dans ma gorge, sentant celle ci déformer ma gorge et racler les cannelure étroite de ma dite gorge, je reste quelques instant sa queue dans ma gorge, le souffle couper avant de changer de queue, crachant sur la nouvelle l’excédent de bave qui a pu s'accumuler dans ma bouche.
Je la suce en masturbant les autres et reprenant mon souffle avant de prendre celle ci aussi dans ma gorge étroite, je passe de l'une à l'autre de ces queues essayant de prendre chaque membre dans ma gorge mais sans aide je n'arrive qu'à faire rentrer le bout de ces queue canin dans ma gorge étroite.

glurrg... blurttt... glurrppp...

Le colosse semble s'inquiéter pour moi alors qu'il me demande.

« L’odeur te dégoûte, ma jolie ? »

Je ressort la queue que j'ai en bouche, les filets de salive reliant mes lèvres à ce membre dresser, faisant la grimace dû à l'odeur infâme je lui répond.

Bllllaaaaaah... s... si... monsieur... il sent très... mauvais... v... vous ne le lavez... jamais?...

j’essaie peux être de trouver un peut de réconfort de sa part, je me dit qu'il va peux être me demander d'arrêter et d'aller le laver avant de continuer, mais ce qu'il me dit me ramène vite à la réalité.

« Ne t’en fais pas, tu t’y habitueras. Elles finissent toutes par jouir jusqu’à l’inconscience. »

Alors que j'ai la tête tourné vers mon maitre, je sent la créature à trois tête se rouler sur le coté, m'obligeant à lâcher ces deux membres que j'ai en mains, je n'ai pas le temps de tourner la tête que je sent toute la masse du cerbère me pousser à me retourner à quatre pattes en face du maitre, je commence vraiment à être inquiète alors que je sent le poil drue du chien contre mon dos et ces trois membres chaud et monstrueux contre la vulve et dans la raie de mes petites fesses.
Mon regard apeuré et paniqué viens croiser celui du maitre, et celui ci à l'air de s'en amuser puisqu'il me lance.

« Fais attention, il m’en a cassé quelques-unes. Je t’aime bien, ce serait dommage que tu finisses par perdre la tête et devenir une loque. Ou que tu meures… »

Une sueur froide parcourt ma colonne vertébrale en entendant ce qu'il me dit, encore plus paniqué, ma respiration deviens lourde avant de lui lancer.

quoi... mais... mais je ne... veux pas mourir... monsieur... je... NNNNNNAAAAAAAAAAAAAAAH!!!

Je geins ne pouvant pas terminer ma phrase alors que je sent les queues du chien s'appuyer sur mes orifices, une des ces queues viens forcer ma petite fente à s'ouvrir sur son passage avant de sentir une deuxième forcer elle aussi pour s'enfoncer dans mon antre humide, mais ce n'est pas tout puisque sa troisième queue elle, force mon petit anus étroit, je fait la grimace alors que j'ai le souffle coupé pendant de longue seconde sous la forte pousser de ces gros braquemart épais qui m’élargis de plus en plus profondément, sous la pénétration forcer de ce monstre mon bassin tremble et des larmes coule le long de mes joues, avant de lâcher un long gémissement plaintif.

NNAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaah... AAAAAAAAAAaaaaaaaaah...

« Tu peux crier ma jolie. Mais seulement de plaisir. Ra’Akka mord celles qui n’apprécient pas son cadeau. »

Je suis de plus en plus paniqué, alors que je sent les queue du cerbère élargir de force ma petite chatte et de son autre queue mon anus avec la même force, le sentant gagner du terrain dans mes douces chaires à chaque secondes qui passe, je gémie plaintivement, mais je retiens mon souffle quelques secondes alors que je l'entend grogner, j'ai affreusement peur qu'il me morde, puisque comme la dit le maitre, son chien n'aime pas celles qui se plaigne, mais je n'arrive pas à retenir plus de quelques secondes mes gémissements puisqu'il force toujours ça pénétration et qu'en plus maintenant il grogne, je sent ces membres dans mes orifices vibrer comme des vibromasseurs.
Je sent alors l'une de ces tête de poser dans mon dos et sous le poids de celle ci plus l'effort que j'ai à fournir pour encaisser ces bites canins, je me retrouve le visage plaquer au sol et cette tête sur la mienne sentant ces babine contre ma joue et sa salive gluante et puante qui dégouline sur mon visage, alors que mes petite fesses son relever et toujours transpercer par ces grosses queues, je sent alors les poil drue du chien se coller à mes petite fesses, il c'est enfoncer en entier dans mes petit orifices étroits.
je gémir de douleur, me sentant si remplie et élargie en profondeur que ça me brule tout le bassin, mais voilà qu'il commence à les retirer en partie et reviens les mettre au chaud brutalement, claquant son bassin contre mes petite fesses, me faisant hurler de douleur et pleurer un peut plus, il va de plus en plus vite, relevant et rabaissant son bassin de plus en plus violemment et brutalement, sentant ces membres racler ces membranes interne avec fougue.

NNNNNAAAAAAAAAaaaaaah... AAAAAAAaaaaah... de... demandé lui de... se retirer... MMMMAAAAAAaaaaah... s'il vous plais.... AAAAAAaaaaah...

Mais le maitre à l'air de ne pas se soucier de mes supplications, je l'entends ricaner avant de l'entendre le dire.

« Tu es sur la bonne voie, ma petite chienne. »

Je gémit tellement sous les assauts bestiale du cerbère que je n'arrive pas à lui répondre, je ne sais même pas qui je vais arriver à survivre à ce coït animal, si je ne tombe pas dans les vapes, se sera un miracle.



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