Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Psycho-Killer [PV]

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Psycho-Killer [PV]

dimanche 27 décembre 2015, 22:08:17

*BANG !!*

Le sang, la cervelle, et les quelques bouts d’os du mec qui était en train de se faire baiser par une ganguro éclairèrent le mur de la misérable pièce. De son visage, il ne restait plus qu’un tas bouillonnant de chair éclatée, de morceaux d’os, de bouts de cervelle, l’un de ses yeux ayant atterri sur le sol. Même en mourant, sa queue restait dure, et il eut au moins droit à son orgasme en jouissant, balançant son foutre dans le ventre de la femme qui était empalée sur sa queue, ce qui, à bien y réfléchir, constituait une forme de nécrophilie qui ne fit rien pour diminuer la traque de Vaas, dont le canon du pistolet fumant retomba derrière sa ceinture.

Il y eut une autre détonation quelques secondes après la sienne, abattant un garde. Un fusil à pompe perfora le torse du gangster qui avait jailli depuis un couloir avec un pistolet, l’envoyant contre le mur, laissant derrière lui une traînée de sang. Et, au milieu des hurlements des putes de ce bazar misérable, qui aurait pu faire penser à un bordel de Bangkok, ou de n’importe quel autre bidonville dans n’importe quel pays de merde, la main de Vaas tira sur les cheveux de la ganguro, et la fit balancer hors du lit où elle était en train de s’envoyer en l’air avec ce mec, ce mystérieux inconnu, qui avait tiré son dernier coup.

Elle tomba au sol, au milieu des autres putes, et, pour les faire taire, l’homme au fusil à pompe tira sur le plafond.

« VOS GUEULES ! »

Les pleurs se turent pour les gémissements habituels, cette cacophonie que Vaas trouvait insupportable.

« ...Pitié...
 -  ...Épargnez-nous...
 -  ...’Me tuez pas, pitié... »

Ça.. Ça, il en avait marre ! Des siècles et des siècles que les victimes disaient « pitié », des siècles qu’on avait compris que ça ne servait à rien ! Merde ! Est-ce que les gens croyaient vraiment qu’il suffisait de dire « pitié » pour que votre tueur écarquille brusquement les yeux et sente la foudre de Dieu s’abattre sur lui en comprenant que ce qu’il allait faire ? Même dans les films, le public hurlait de rage quand la belle blonde, piégée face à son bourreau, ne trouvait rien de mieux à dire que « pitié ». Merde, merde, merde ! Ce simple mot, c’était... C’était comme une PUTAIN de condamnation À MORT !

Vaas se racla la gorge, vérifia si son arme était chargée, et balaya un regard circulaire sur la pièce :

« Bon, les filles... Je vais faire clair... La prochaine qui supplie, je la bute.
 -  ...Je vous en supplie, mes parents sont... »

*BANG !!*

« Putain ! Putain, putain, tu l’as fait exprès ! Hein, tu l’as fait exprès, SALOPE ?!! »

*BANG !! BANG !!  BANG !!  BANG !!  BANG !!*

« Qu’est-ce qu’il y a, hein ? Je parle pas votre putain de langue de merde, pétasses de junkies à la con ? Quand je te dis de la fermer... ON SE LA FERME, PUTAIN !!! »

Vaas vida son chargeur sur le cadavre de la pute. Il n’avait pas une arme de petit calibre, mais un Desert Eagle, le genre de flingue qui pouvait vous couper une biche en deux. La tête de la prostituée avait explosé, tout comme l’un de ses seins, et de gros trous ornaient son corps, tandis que plusieurs de ses voisines avaient reçu un peu de sang, dont une eut droit à un morceau de cervelle sur l’une de ses joues.

« Bien... Bieeeenn... On se comprend, les filles ? Maintenant, je vais vous expliquer... C’est... C’est comme à la bonne vieille époque des sièges, des pogroms, des abordages, et de toutes ces conneries, vous saisissez ? Le réconfort après l’effort. On vient de buter vos macs, et, maintenant, c’est nous, les macs. Donc, soit vous nous sucez la queue, soit... Enfin, je suppose que vous n’avez guère envie d’une autre alternative. Cependant... Hey, c’est regrettable, mais... Nous avons un surplus d’effectifs, en ce moment. »

Comment en était-on arrivé là ? Vaas pérorait devant ces jeunes femmes, et on pouvait encore entendre quelques coups de feu.

Mais le siège avait commencé il y a une demi-heure de ça...



Il y a une demi-heure

« C’est là, Boss...
 -  T’es sûr de ton coup ?
 -  Boss, je vous aurais pas fait déplacer si j’étais pas sûr de mon coup. »

Vaas étant dans une voiture, devant un entrepôt du port de Seikusu. Et, d’après ses hommes (qui n’étaient pas vraiment ses hommes, ce que Vaas savait, et qui légitimait encore plus qu’il les tue parfois), cet entrepôt était l’un des bordels des Petrovski, une mafia russe qui était venue à Seikusu dans les années 1920’s, après la Première Guerre Mondiale. Son expansion réelle avait toutefois commencé après la chute de l’URSS, et, maintenant, les Petrovski, après plusieurs alliances avec des clans yakuzas, avaient tenté de concurrencer les Guramu, le clan yakuza dans lequel Vaas travaillait, sur l’un des domaines privilégiés du clan : le cul. Jadis, les Guramu avait été les fournisseurs des geishas, ces putes old school made in Japan. Maintenant, les geishas avaient été remplacées par des ganguros, des salopes à la peau bronzée, droguées, et qui suçaient des queues dans des taudis insalubres infestés de rats, bien loin des maisons closes pleines de charmes et d’encens. D’aucuns appelaient ça le progrès.

Toujours est-il que, quand les Petrovski avaient commencé à s’implanter, et à détruire plusieurs maisons closes des Guramu, le clan avait réagi. Vaas était l’une des réactions. Akihiro Guramu, l’Oyabun du clan, la grosse baleine, lui avait dit que, pour faire ses preuves, il devait reprendre le contrôle sur la prostitution. Vaas savait qu’il était un étranger à Seikusu, et qu’il lui fallait encore faire ses preuves avant de pouvoir s’imposer. Il avait donc accepté, et, en quelques semaines, était passé du statut de simple porte-flingues à celui de lieutenant actif au sein du clan... En tuant le précédent lieutenant, et en mettant ça sur le dos des Petrovski. Il ne fallait pas se leurrer ; s’il travaillait pour les Guramu, c’était, d’une part, parce qu’ils étaient les plus puissants, et, d’autre part, parce qu’ils avaient été les premiers à répondre. Vaas n’était pas Japonais. Guramu ou Petrovski, pour lui, c’était du pareil au même. Mais là, il avait l’occasion de frapper un gros coup.

L’un de ses hommes avait pisté plusieurs putes, et en avait déduit que cet entrepôt était l’un des bordels de la Mafia russe. Autrement dit, Vaas avait organisé une descente en règle.

L’attaque commença en force, par un bulldozer qui défonça la clôture entourant l’entrepôt, avant d’emboutir l’entrée. Ensuite, il y eut les tirs et les coups de feu. Pris par surprise, les Russes n’avaient eu aucune chance. Vaas avait retrouvé, avec une joie manifeste, ces frissons qu’il ressentait à l’époque où il était à Rook Island. Le feu, les balles, l’adrénaline... Il avait pénétré dans l’enceinte par une entrée latérale, armé d’un simple pistolet, et avait abattu un tueur d’une balle en pleine tête, récupérant son fusil à pompe, avec lequel il s’était fait plaisir dans les couloirs exigus et enfumés de ce bordel sinistre. Clients, putes, gangsters... Il ne faisait pas vraiment de distinction, et avait même abattu deux Yakuzas sans le réaliser, massacrant et mitraillant avec une trique phénoménale, inhalant la poudre et la drogue qui flottait dans l’endroit, le bordel servant aussi aux Petrovski pour acheminer de la drogue depuis les docks. Se sentant tel un guerrier invincible et immortel, il abattait à foison, sans pour autant faire preuve d’une imprudence totale. L’homme se planquait quand il le fallait, et fondait sur ses ennemis.

Il finit même par délaisser le fusil à pompe au profit de sa machette, et planta un Russe par l’arrière, avant de se ruer sur un autre, plantant son arme dans sa gorge, l’égorgeant si bien qu’il faillit le décapiter. Aucune peur, il était un vrai prédateur, pur sauvage ancestral né à l’époque moderne, qui ne reculait devant rien...



...Et voilà où ses pas l’avaient mené, dans une sorte de chambre commune où les clients baisaient les putes, putes alignées devant lui. Du sang décorait encore son visage et ses vêtements, et il s’essuya le visage avec un chiffon, avant de regarder, à nouveau, toutes les femmes sur place... Puis de se sortir un cigare cubain, et de l’allumer.

Puis, dans la foulée, il défit son pantalon, et exhiba devant les femmes sa belle verge, bien dressé.

Quand on combinait drogue, meurtre, et putes, il fallait s’attendre à bander dur, et sa queue lui faisait mal tant elle était érigée !

Et, bientôt, il allait proposer à ces femmes son choix cornélien...

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 1 dimanche 27 décembre 2015, 22:44:08

Sakura n'était pas foncièrement conforme à l'image qu'on pouvait se faire de la plupart des japonaises, soignées et très pudiques en apparence. Oh que non, la jeune femme, âgée tout juste de 19 ans, faisait partie de cette mouvance assez mal vue dans ce pays traditionaliste, les ganguro. Dès l'adolescence, elle avait refusé le fonctionnement de cette société tellement coincée qu'elle en suffoquait, et dont ses parents avaient été l'incarnation. Sa petite soeur aussi, et surtout, que ses parents n'arrêtaient pas de comparer à elle, en lui rejetant la faute de ne pas être assez bien. Pas assez studieuse à l'école, pas assez sage, pas assez tout, malgré les efforts qu'elle avait pourtant tenté de faire durant une période, mais qui étaient passé complètement inaperçus de ses parents. Alors un jour, elle avait fini par péter un câble, et s'était pointée au lycée avec le teint faussement bronzée de celle qui serait allée aux salons UV, les cheveux teints, et habillée comme une pute.
Elle avait été virée de son lycée, et la même journée, ses parents l'avaient virée de chez eux, mais Sakura avait quand même eu l'occasion de leur gueuler dessus avant de partir. Ce doigt d'honneur à ce moment précis, avait été jouissif, et même en étant droguée, c'était un des souvenirs marquant dont elle se rappellait encore. A la rue, la jeune femme s'était donc rapidement mise à opérer la seule option qui lui restait: la prostitution. Son look étrange et ses manières très vulgaires plaisaient étrangement à tous ces mecs, coincés dans leur costume à cravate, qui ne pouvaient même pas péter de travers dans leurs bureaux. Du simple employé au grand cadre, elle avait probablement vu défiler des kilomètres que queues entre ses cuisses, et elle avait même fini par kiffer ça, même si elle s'était rapidement mise à la drogue pour effectivement supporter sa vie de merde.

LSD, crack, cocaïne, ecsta' ou simplement des joints, la jeune femme cherchait toujours des trucs pour se foutre en l'air, et adorait baiser des inconnus, le plus souvent en oubliant de leur foutre des capotes, mais elle s'en foutait. Elle vivait au jour le jour, heureuse de tout simplement pouvoir vivre un jour de plus, et ne se projetait vraiment pas dans l'avenir. Comment elle avait fini par tomber sous la coupe de macs russes était un mystère pour elle, car elle ne s'en souvenait tout simplement pas. Mais ils lui fournissaient à boire, à manger, un toit et de quoi se défoncer en échange de passes...la junkie qu'elle était n'avait pas tardé à accepter cette offre qui pour elle avait été une aubaine, du moins de son point de vue complètement biaisé par son addiction à diverses drogues.
Elle avait été toutefois en pleine phase de descente alors qu'elle était en train de chevaucher un mec, de s'empaler sur son sexe, et elle était dans un tel état de déphasage qu'elle ne s'était même pas rendue compte des coups de feu, des cris, et du gros bordel qui s'approchait d'elle. Jusqu'à ce que un coup de feu ne retentisse tout prêt d'elle, en en descendant le regard, elle vit le crâne parfaitement explosé de son client. Ouvert, fracassé par une balle, du sang avait giclé sur le ventre de la jeune femme, qui en voyant ça plus en étant en pleine phase de descente, vomit sur le cadavre peu avant qu'un homme ne la saisisse par les cheveux et ne la foute au sol.

Concrètement, Sakura avait été trop ailleurs pour se mettre à supplier, elle captait même encore à peine ce qui se passait. On les attaquait, certes, mais l'information avait du mal à se faufiler jusqu'à son cerveau. mais concrètement, cela lui sauva la vie. Car plutôt que de supplier comme l'une de ses collègues, elle fermait sa gueule, essayant de se concentrer sur elle même.

*Putain...sa mère...*

Puis des coups de feu retentirent, encore et encore, et ce fût cette fois comme une décharge éléctrique. L'instinct de survie parvint à prendre le pas dans son cerveau déglingué par les drogues, et elle se rendit compte soudainement de son environnement immédiat. Putain, les gars étaient morts, et des inconnus les braquaient avec des flingues, des inconnus avec la gachette facile.
Oh putain...
Fermer sa gueule, se mêler à la masse de ces poufiasses qui pleuraient, et faire profil bas. Merde merde merde, elle avait pas signé pour ça pourtant. Elle portait juste encore sa mini-jupe, ses collants en bas résille, le reste était éparpillé dans la chambre, et elle était donc presque à poil, mais c'était pas sa principale source d'inquiétudes pour le moment. Ce qui l'inquiétait plus, alors que ça y est, elle émergeait, c'était ce mec qui semblait diriger les autres, qui avait vraiment un regard de tueur, un regard de fou. Qu'est-ce qu'il avait en tête putain ? Elle voulait pas crever maintenant, même si elle s'attendait à crever jeune mais..pas aussi jeune merde !

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 2 dimanche 27 décembre 2015, 23:05:40

Dans le couloir, il y avait des traînées de sang, des impacts de balles, de la poussière. Dans l’entrepôt, un homme gémissait, suppliant ses bourreaux, avant de se recevoir une balle en pleine tête, une détonation qui résonna dans tout le bâtiment, jusqu’à la pièce où Vaas se trouvait. Tout en tirant sur son cigare, l’homme s’était assis sur une chaise, face aux femmes agenouillées devant lui, et qui pleuraient, gémissaient, voire priaient... Même les plus défoncées venaient de se rendre compte qu’elles étaient dans la merde. La guerre entre les Guramu et les Petrovski défrayait régulièrement la chronique, et les morgues étaient en train de se remplir. Vaas ne devait faire aucun survivant, et, déjà, ses hommes étaient en train de vider des litres d’essence dans l’immeuble, afin de tout faire flamber. C’était la guerre, et vous savez quoi ? Les trafiquants n’avaient pas à respecter la convention de Genève. Pas de prisonniers. Mais des butins de guerre. Enfin... Un butin de guerre. L’une de ces salopes qui étaient devant lui, en arc de cercle, et qui attendaient ses instructions, louchant sur son membre en érection.

Un sourire finit par pezrler sur les lèvres de Vaas, qui jeta son cigare en se redressant, et attrapa son sexe d’une main.

« Ouais, chicas, vous savez ce qu’on dit sur les hommes des îles, hum ? Qu’on a le sang chaud, et des vraies couilles, des cojones de taureau ! Et, honnêtement, quand je vois les pines ridicules de ces mecs que vous avez sucé, je me dis que... Que ouais, putain je peux m’en vanter, genre totalement, quoi ! »

Dans le dos des femmes, l’homme avec le fusil à pompe se déplaçait lentement, évitant néanmoins soigneusement le cadavre du Yakuza troué comme du gruyère, et qui gisait contre le mur, continuant à se vider de son sang. Il y eut encore une détonation, puis un choc sourd... Un client avait eu la bonne idée de se planquer dans un placard, et, plutôt que de le faire sortir, les hommes de Vaas avaient fait tomber le placard, et le recouvraient d’essence, rigolant entre eux. On pouvait dire tout ce qu’on voulait sur le respect et les traditions propres au sein d’une mafia, ce n’était que des conneries. La cruauté, on la trouvait là où il y avait le pognon.

« Okay, les filles... Voir de si jolis culs devant moi me donne une de ces triques... Sincèrement, j’aimerais tous vous emmener, les filles, parce que vous êtes vraiment adorables, et tout, et tout, mais y aura qu’une heureuse élue... Je pourrais vous donner un couteau, et régler ça à l’ancienne, mais... Le temps nous manque pour que ce soit fun, alors, pour faire court... »

Vaas se déplaça vers une bouteille d’eau, puis la vida lentement sur le sol, tête légèrement penchée, observant les filles... Puis il se mit à pisser dedans, en soupirant légèrement. Pendant quelques secondes, il ne se passa rien, jusqu’à ce qu’il finisse par poser lka bouteille sur le sol, avec le liquide jaune.

« La première qui avale ça survit. Les autres... Disons que vous arriverez à la case ‘‘Départ’’ d’une nouvelle vie... Sans toucher les vingt mille putains de dollars. »

Laquelle serait la plus rapide ? Laquelle serait, surtout, la plus réactive, et la plus prête à s’abaisser à n’importe quelle humiliation pour sauver sa peau ?

Quel suspens ! Comme à la télé, quand on était à la question à un million de dollars, que le candidat venait de donner son choix, de confirmer que c’était son dernier mot, que la musique montait doucement en crescendo, et que l’animateur répétait avec une lenteur ahurissante la question, en prenant tout le foutu temps possible...

Ouais, c’était un vrai film !

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 3 dimanche 27 décembre 2015, 23:29:02

Sakura était une camée, une pute, une salope...mais elle n'était pas conne pour autant. La plupart de ses collègues, dont elle haïssait la grosse majorité, n'avaient probablement pas encore conscience de la vraie merde dans laquelle elles se trouvaient toutes, vu qu'elles étaient encore en état de choc. Mais Sakura, elle, savait. Ce mec était un pur sadique, ça se voyait dans son attitude, dans son langage, dans tout chez lui. Le surplus d'effectif, qu'il avait mentionné, indiquait qu'il ne comptait pas récupérer l'intégralité des putes qu'il avait à disposition, et c'est cette certitude qui fit que pour une fois Sakura se trouva presque en pleine possession de ses moyens.
Elle voyait, par des interstices de portes, et en tendant l'oreille, des mecs vider des bidons d'essence dans les pièces avoisinantes. Ces gars allaient foutre le feu et tuer tout le monde pour faire passer un message, mais là où les autres greluches paniquaient, et cherchaient d'avantage à se retenir de hurler plutôt qu'à vraiment prêter attention, Sakura était fixée sur les lèvres de ce mec. Et quand elle le vit pisser dans une bouteille, étrangement elle comprit. Elle avait suffisament traîné dans des bordels miteux du quartier de la Toussaint pour comprendre ce que ce mec voulait, car elle avait fait, contrairement à pas mal d'autres putes de l'établissement, des trucs dégeulasses pour survivre.
Sakura n'avait concrètement jamais été très appréciée par les autres, qui la trouvaient vraiment trop vulgaire, trop droguée, trop prête à partir dans les extrèmes, et elle le leur avait bien rendu en les envoyant se faire foutre. Aussi, elle ne partagea donc pas ce qu'elle pensait être la clef pour sortir d'ici, à savoir que ce mec prendrait celle qui aurait le cran, et assez de volonté, pour boire sa pisse encore chaude dans la bouteille. Sakura dégluttit alors. Elle n'était pas une fan particulière de ce genre de pratiques, même si elle l'avait fait à plusieurs reprises, car certains clients avaient ce genre de kink...et qu'il lui fallait bien du fric pour se payer ses doses.

Ainsi...quand ce mec posa la bouteille remplie d'urine, et alors que les autres putes semblaient encore assimiler ce qu'il voulait qu'elles fassent, Sakura se rua littéralement dessus. Elle prit toutes les autres par surprise, et en se saisissant de la bouteille, la porta à ses lèvres en fermant les yeux. Putain, c'était dégeulasse, mais malgré tout elle bût à grandes gorgées, refoulant son traditionnel réflèxe de haut le coeur. Elle bû, devant les autres putes médusées, qui la regardaient avec dégoût, et ne croyant pas encore que cela leur assurerait leur survie. Sakura elle même n'était pas complètement certaine de ce qu'elle faisait mais...elle y allait à l'instinct, car il n'y avait que ça pour peut-être lui permettre de vivre. Elle bû la totalité de l'urine en quelques secondes, pour faire passer plus vite, puis jeta la bouteille au sol en s'essuyant les lèvres, et en regardant le gars.

Voilà...j'lai fait, y'a plus une goutte de pisse dans cette bouteille mec, j'ai tout bû. Est-ce que j'ai droit à mon ticket de sortie ? J'ai pas envie de finir rôtie, ou avec une balle de gros calibre dans la tête. J'ferais ce que tu veux, même les trucs les plus crades, je veux juste pas finir comme les autres.

Elle était à genoux, avec ses gros seins tendus, son visage débordant de maquillage, et son air de pute vulgaire, qui n'avait même pas hésité une seule seconde à boire cette urine pour sauver sa peau.
C'était soit ça, soit crever alors qu'une autre aurait eu le droit de vivre...et elle n'aimait pas perdre dans ce genre de compétitions de la vie.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 4 dimanche 27 décembre 2015, 23:44:41

En d’autres circonstances, s’ils n’étaient pas pressés le temps, avec la certitude que les Russes allaient débarquer en masse sous peu, il aurait pu vraiment s’amuser. Organiser un concours, des jeux, faire une sorte de reality show comme à la TV, son interprétation à lui de Koh-Lanta ou de toutes ces merdes à la con où le concept était d’emmener des connards de gringos dans des endroits exotiques pour voir comment ils se démerdaient. Quelque chose qu’il connaissait bien, car il avait eu la chance, il y a quelques années,  de tomber sur un show de ce type, « The Far Cry Experience », où il avait justement fait la rencontre avec un type qui tenait un reality-show à la télé’ en se filmant dans des endroits dangereux. Il était devenu son meilleur ami, mais il n’avait pas survécu à son séjour à Rook Island. La vie exotique, ça pouvait être très dur, et Dieu sait que Vaas avait fait tout son possible pour le sauver. Merde, il lui avait même pissé dessus pour l’empêcher de se déshydrater ! Et ce mec avait bu ! Sérieux, quoi !

Là, il devait donc faire vite, et il fut donc surpris de voir l’une des putes, la ganguro, se ruer vers la bouteille, devançant les autres putes. Le temps qu’elles comprennent, cette dernière avait tout avalé, et balança la bouteille d’eau dans le vide, avant de fixer son regard vers Vaas, avec un regard qui disait clairement : « J’veux pas crever, épargne-moi, et fais ce que tu veux des autres » ! Tant mieux ! La solidarité était un concept typiquement humain, et typiquement hypocrite. Quand il s’agissait de sauver son cul, y avait que soi qui comptait !

« ...Je peux boire, moi aussi !
 -  ...Oui, moi aussi !
 -  ...Laissez-moi boire ! »

Elles commençaient à émerger... Vaas, qui observait la ganguro, regarda alors les jeunes femmes, et haussa les épaules.

« Navré, mes chéries, tout ça est expéditif, mais... Vous savez ce qui nous différencie des animaux ? Nous, on fait des règles... Alors, on doit s’y tenir. »

Vaas leva son arme, et fit feu, sans jamais sourciller. Il y eut des hurlements, des cris, et, en quelques secondes, un silence de mort s’installa. Il ne restait plus que Vaas, la ganguro, et son homme, qui observait les femmes avec un air ahuri, avant de regarder son chef... Pour voir le pistolet pointé vers lui.

« Patron ?
 -  J’te l’ai jamais dit... Mais t’as vraiment une tête de con ! »

Et Vaas tira à nouveau, et l’homme s’écroula sur le sol, son sang venant asperger le mur.

Vaas se redressa alors, et fléchit les genoux, pour atterrir devant la femme, et posa le canon de son pistolet, tout chaud, contre ses lèvres.

« Tu sens comme c’est chaud, trésor ? Comme c’est... Tendre ? Ça, ça, poupée, c’est une sensation merveilleuse. Crois-moi, tu planes et tu bandes bien plus dans ta vie quand tu butes un mec qu’en t’enfilant dix lignes de coke à la con !  9a, ma chérie, ce flingue, là, c’est la plus pure de toutes les cames de la foutue planète ! Vas-y, lèche le canon, suce-le, embrasse-le, montre-moi ta passion... Suce-moi ça comme si c’était la plus belle des bites ! »

De la fumée s’échappait encore du canon, et une odeur de poudre s’en échappait. Les deux étaient au milieu d’un véritable carnage, et Vaas avait toujours son doigt sur la détente... Le chargeur était-il vide ? Il avait tellement tiré qu’il avait perdu le compte du nombre de balles. Qui sait ? Si elle suçait bien, peut-être que le petit oiseau allait sortir...

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 5 lundi 28 décembre 2015, 00:09:09

Sakura avait le coeur qui battait tellement fort qu'elle pouvait presque le sentir dans sa poitrine, putain de merde, jamais elle s'était retrouvée dans une situation aussi délicate, et pourtant elle en avait vécu des conneries similaires. La vie d'une pute n'était jamais toute rose, elle était bien plus souvent merdique, et très aléatoire, il pouvait suffire d'un client pour se retrouver morte au bord d'un trottoir, ou même pire encore. Là, elle avait l'impression de jouer à une variante de cette pute de roulette russe. Est-ce que ce mec allait tenir sa parole ? Est-ce qu'il allait réellement l'épargner, ou bien allait-il changer d'avis ? Ce mec était après tout fou, et ne semblait accorder aucune valeur à la vie des autres, alors rien ne pouvait vraiment garantir qu'il n'allait pas lui loger une balle dans le crâne, là, tout de suite.
Derrière elle, les autres s'étaient enfin réveillées, mais un peu trop tard. Il avait décidé de se tenir à ses règles, et le gars se redressa, en pointant son flingue sur les autres filles. Instinctivement, Sakura se baissa, et porta ses mains à ses oreilles pour se les boucher. Cela n'atténua pas totalement le bruit du flingue, qui était très proche d'elle, mais permit au moins de réduire le son très violent qui voulait se faufiler dans ses tympans. Ce mec était en train de les buter, et même pas de sang froid, car il kiffait sa race d'utiliser son flingue de merde.

*Putain putain de putain de merde !*

Les détonations cessèrent finalement, et quand elle se redressa en retirant ses mains de ses oreilles, un silence bien pesant reignait dans la pièce. Il les avait toutes butées, et Sakura le fixa lui, plutôt que de se risquer à se retourner et de voir encore un bain de sang. Bordel de merde, allait-elle seulement sortir de ce bourbier ? Elle fût surprise quand le gars flingua également un de ses hommes, le seul en plus de lui et elle, qui se trouvait dans cette pièce. Par réflèxe elle se recroquevilla sur elle même, se retenant de crier en se pincant les lèvres. L'odeur ferreuse du sang était partout, c'était dégeulasse, mais Sakura était bien trop focalisée sur le fait de se sortir de cette merde pour s'y attarder. Elle voulait pas rejoindre cette pile de cadavre putain, elle voulait vivre, vivre !
Le mec vint alors s'agenouiller juste en face d'elle, se mettant à son niveau. Oh putain, il avait l'air encore plus fou vu de prêt, surtout alors qu'il posait le canon de son flingue, qui avait fort heureusement refroidi, sur ses lèvres. Ce mec était un dingue, un psycophathe et un sociopathe, et il tenait littéralement sa vie entre ses mains...mais Sakura se serait damnée si elle s'était mise à pleurer maintenant. Elle l'avait vu, les pleurs, les supplications, ça le rendait furieux, hystérique...mais si elle faisait ce qu'il disait, si elle n'était pas contrariante...éviterait-elle de le mettre en colère ?
Elle obéit donc à ses ordres, et traita alors ce flingue comme si il s'agissait d'une bite qu'on présentait à ses lèvres pulpeuses de suceuse professionnelle.

Hmmmmm...

Sakura déposa des baisers sur le bout du canon, encore chaud, puis sur les côtés du flingue, et sortit alors sa langue pour le lécher. Sa salive se répandait un peu sur le flingue, mais ne lui demandait-on pas de lui tailler une pipe ? Elle n'osa toutefois pas approcher ses mains, de peur que ce mec le prenne comme une tentative de le lui prendre, mais elle aurait volontiers mimé une masturbation en prime. Puis elle ouvrit la bouche, et glissa le canon dedans. Elle se mit à le sucer, creusant ses joues, elle évitait toutefois le contact du métal, désagréable, avec ses dents, mais elle compensait en salivant goulûment, de façon à produire de très audibles bruits de succion. Et elle sucait, comme une terrible pute, toujours avec l'épée de Damoclès au dessus de la tête, celle que ce mec appuie sur la détente, et ne lui fasse sauter la cervelle.
Mais elle était là, presque à poil, en train de sucer son flingue comme une queue bien juteuse...
Putain...elle voulait juste pas mourir...

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 6 lundi 28 décembre 2015, 00:48:18

L’étonnant pouvoir de vie et de mort... Y avait-il sensation plus grisante que ça ? Baiser, peut-être ? Et encore... Vaas kiffait grave ce genre de moments, là, quand il avait littéralement la vie d’une personne au bout de sa main... Et c’était encore plus jousisif quand la personne d’en face savait qu’il ne ressentirait absolument aucune émotion à l’idée de la buter. Comment disent les Japonais, déjà ? Ce n’est pas dans le résultat lui-même que repose le plaisir, mais dans la manière d’y parvenir... Ou une connerie de ce genre, mais qui résumait bien l’idée. Vaas voulait pas juste tuer des gens, il voulait aussi s’amuser avant, il voulait leur rappeler qui était le patron, qui était le Boss, qui avait droit de vie et de mort. Il avait flingué toutes ces putes sans sourciller, et même refroidi l’un de ces mecs... Le couple était entouré de cadavres, et la ganguro, plus maligne que ce qu’on pourrait penser, choisit sagement de jouer le jeu de son tortionnaire, se mettant à embrasser et à sucer ce canon. C’était un Desert Eagle, soit une grosse arme. Le modèle de Vaas faisait plus de 26 centimètres, une bien belle bite, métallique et dure. Le bout était brûlant, ce qui amena la pute à le lécher, afin de le refroidir un peu. En souriant, Vaas la laissait faire, conservant sa main sur l’arme, tout en venant déplacer l’autre pour caresser les cheveux de la femme.

« J’voulais pas que quelqu’un vienne nous gêner, ma chérie... Vu la vitesse à laquelle tu as bu ma pisse, je me suis dit qu’on méritait bien ça, tous les deux... Un petit moment romantique, rien que nous deux... Enfin, si on fait exclusion de Junior, là... Suce-le bien, ma chérie... »

Sa voix était devenue toute douce, signe que, chez Vaas, la tonalité de ses mots n’était pas aussi importante que chez d’autres personnes, car il passait très rapidement des hurlements à une voix calme, posée, lente... Ce qui, en un sens, était sans aucun doute une couche supplémentaire à l’effroi que ce personnage pouvait inspirer. Cette peur, il la lisait dans les yeux de la femme, dans sa posture. Une sorte de détresse silencieuse, de terreur sourde, comme une biche face à un lion... Ouais, il aimait bien cette idée, et la laissait donc sucer, tandis que, dehors, on s’activait. La tête de la ganguro remuait d’avant en arrière, et ce devait être de plus en plus désagréable et douloureux. C’était du métal qu’elle suçait, de l’acier trempé, rien à voir avec la mollesse et la souplesse d’une queue. Ça attaquait la bouche, ça frottait, et ça pouvait couper les lèvres, voire la peau. Pourtant, elle devait continuer à sucer, et Vaas, lui, souriait, amusé de la voir ainsi, ce qui stabilisait son érection à la hausse.

Pendant plusieurs minutes, la femme dut donc sucer, et Vaas alla jusqu’à poser sa main sur l’épaule de la femme, et la poussa légèrement, tout en se redressant. Sa tête partit vers l’arrière, et le canon s’enfonça encore un peu plus. Il pouvait voir la douleur dans les yeux de la femme, et il enfonça encore le canon, sur quelques centimètres, comme une sorte de sinistre gorge profonde.

« Hum... »

Et Vaas appuya sur la détente.

*CLIC !*

Le percuteur du pistolet fut la seule chose qu’on put entendre. Vaas avait dépensé sa dernière balle, et retira l’arme en souriant.

« Félicitations, ma chérie, tu as gagné ta place à mes côtés. Désormais, bébé, tu seras ma pute personnelle... Je ne veux plus qu’aucune autre queue que la mienne ne vienne dans ton corps. Compris ? Nous sommes liés, ma puce... »

Et, comme pour le prouver, lui-même alla lécher le canon de l’arme, avalant ainsi un peu de la salive de la femme, puis caressa les joues de la jeune femme avec le rebord de son arme.

« Tu me dois donc fidélité... La fidélité d’une belle pute. Maintenant, rhabille-toi un peu... Trouve-toi un soutien-gorge, un gilet, tes affaires, j’en ai marre de cet endroit puant. Y a ce gilet rose, là, il t’ira très bien. »

Vaas se releva, et remit son pantalon, tandis que la femme allait chercher ses affaires. Pendant ce temps, il sortit un peu, et croisa l’un de ses hommes. La zone empestait l’essence.

« Tout est prêt ?
 -  Oui, Chef. »

Vaas hocha la tête, satisfait, puis retourna dans la chambre. Sa main se posa sur l’épaule de la femme, et il la releva, puis sortit, marchant le long des couloirs, avant de la tenir par la main. La marche de Vaas était rapide, et le duo arriva dans une grande pièce, à l’entrée de l’entrepôt. L’homme s’approcha de sa voiture, et on alluma plusieurs briquets, filant vers l’entrepôt. Plusieurs bidons d’essence pleins avaient été entreposés, et Vaas amena sa nouvelle femme à regarder.

Les lignes enflammées atteignirent les bidons... Et il y eut une formidable explosion, qui souleva le toit de l’entrepôt, en envoyant des morceaux tout autour. Le bulldozer, laissé là, explosa également, et le toit s’effondra ensuite, tandis que le feu se répandit partout.

« WOOOOOOWWWW !! Qu’est-ce que tu en dis, bébé ? Ça, c’est un putain de feu d’artifice ! Allez, les mecs, on s’arrache ! »

Vaas se retourna quand il entendit soudain des bruits de moteur, puis des phares les éclairèrent... Les Russes ! Les renforts ennemis venaient de débarquer, et plusieurs balles jaillirent. Un Yakuza à côté de Vaas se reçut une balle en pleine tête, et son sang alla décorer la vitre de la voiture.

« Merde ! »

Vaas grimpa à l’arrière, tandis que d’autres Yakuzas répliquèrent, mais, cette fois-ci, le groupe de Vaas n’avait pas l’avantage de la surprise, ni la supériorité numérique. Le pilote de Vaas démarra au quart de tour, une vitre explosa, répandant des bris de verre sur la banquette arrière, et Vaas tira par la fenêtre, au jugé, tandis que les coups de feu continuaient. La voiture fonça à toute allure, défonça un portail, braqua sèchement sur la rue, et fonça.

« La vache !
 -  Ils nous poursuivent !
 -  Alors, fonce ! »

La ganguro, elle, était à côté de Vaas, et ce dernier la regarda. La voiture était grande, et ses seins s’enfonçaient contre son torse... Elle pouvait donc se mettre entre ses jambes.

« Je veux pas te perdre à cause d’une balle perdue, ma poupée... »

Vaas alla tendrement l’embrasser sur les lèvres.

« Mets-toi entre mes genoux, et suce ma queue, ça te détendra, je te sens stressée... Allez, bébé, dépêche-toi, ou je te balance dehors... »

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 7 lundi 28 décembre 2015, 13:10:06

Oh putain qu'est-ce qu'elle avait peur, il suffisait qu'il y aie encore une balle de merde dans le chargeur du flingue que Sakura suçait, et que le mec le brandissant décide d'appuyer sur la détente, pour que la ganguro se retrouve avec le crâne explosé. Ce fou avait sa vie entre ses mains, et vu le peu de valeur qu'il lui donnait, Sakura avait toutes les raison d'avoir peur. Mais elle la ravalait, et l'intériorisait, car sucer ce flingue, obéir à ce mec, était la seule option qu'elle avait vraiment pour l'instant de s'en sortir. Entre lui et ses sbires qui patrouillaient les restes du bordel, Sakura savait que ses chances de s'enfuir étaient nulles, mais ce qui la rendait dingue, c'était que ce mec avait tout d'un lunatique complètement timbré qui pouvait changer d'avis à n'importe quel moment.
Sakura plissait les yeux pour retenir ses larmes de couler, et elle essayait tant bien que mal de se calmer en contrôlant sa respiration. Bordel, elle avait mal à la bouche. Même si elle faisait gaffe, il arrivait que ses dents cognent contre l'acier du flingue, et elle gémissait alors de douleur, et elle manqua à plusieurs reprises de se couper les lèvres ou la langue. Ce gars était complètement fou à lier, de comparer ça à un moment romantique, mais néanmoins la ganguro continuait de sucer aussi bien que possible. Puis, au bout d'un moment, le mec se rapprocha d'elle, et plaqua sa main contre l'arrière du crâne de Sakura, qui sentit ensuite le canon s'enfoncer plus profondément dans sa bouche.

*Putain non...*

Elle ferma les yeux en ouvrant grand la bouche, de la salive coula alors de ses lèvres béantes, et elle manqua de vomir en sentant le bout du canon heurter presque sa gorge.
Puis elle entendit un clic...
Sakura manqua de s'évanouir, elle était tellement terrorisée qu'elle en avait les oreilles qui sifflaient. Ce mec venait de tirer putain ! Heureusement, le chargeur était vide, et il retira alors son flingue couvert de salive pour annoncer à la pute qu'elle avait réussi l'épreuve. Sa pute personnelle, rien qu'à lui.

O...okay bébé, tout ce que tu veux...

La respiration encore lourde, elle se reprenait tant bien que mal. Sakura était encore en pleine descente du LSD qu'elle avait pris quelques heures auparavant, et c'était de loin pas une sensation agréable, surtout quand en plus il fallait faire des efforts pour rester lucide. Mais elle était en vie putain. Pour combien de temps encore, ça c'était une autre question, mais chaque chose en son temps, car pour l'instant ce mec semblait décidé à ne pas la tuer...pas pour l'instant en tout cas. Sakura récupéra alors ses affaires éparpillées dans la chambre. Son string et son soutif' rose bonbon, son gilet, et son sac à main contenant la grande majorité de ses affaires: des godes, des capotes, du maquillage, un portable et un peu de fric. Le reste de sa garde robe était stocké dans une armoire, renversée, et imbibée d'essence, elle n'avait donc plus guère d'espoir d'en faire quelque chose, mais ce n'était pas sa préoccupation principale.

*Okay Sakura, okay, réfléchis. Pour l'instant il va pas te buter, mais pas encore moyen de se casser sans s'faire pécho. Continue à jouer la belle petite pute, jusqu'à ce que t'aie une vraie opportunité...okay ?*

Elle se parlait intérieurement à elle même dans une tentative de garder la tête froide, il était clair pour elle qu'elle n'était qu'en surcis, que ce gars pourrait à tout moment la buter, juste parce qu'il en aurait l'envie. Elle s'enfuirait, mais pour le moment, elle parvint à se redresser, à se calmer, et à quitter le chambre pour rejoindre son nouveau mac, dont elle ne connaissait même pas le nom. En sortant, nombre des mecs cagoulés louchèrent sur son cul, et sur elle en général, fallait dire qu'il y avait de quoi.

Voilà chéri, je suis prête.

Il l'emmena alors dehors, assister à l'explosion du bordel. Cela ne lui faisait pas grand chose toutefois, elle était juste contente de continuer à respirer au contraire de tous les autres qui partaient en fumée maintenant. Mais les réjouissances n'étaient pas finies, car une telle attaque ne passait pas inaperçue, et très vite des voitures appartenant à la mafia russe débarquèrent en trombe, et des coups de feu retentirent à nouveau.
Le mec l'atrappa, et la fourra à la va vite à l'arrière d'une voiture qui démarra en vitesse, juste avant qu'un impact de balle qui la frolla ne fasse péter la vitre. Recroquevillée contre le mec, ce dernier vint, en pleine action, l'embrasser et lui ordonner le de sucer, tout de suite.

Ouais...okay...

La voiture fonçait à toute vitesse, des coups de feu retentissaient, et elle était censée lui tailler une pipe ? Certes elle serait agenouillée et donc moins soumise à des balles perdues mais...oh et puis merde, mieux valait ça que de se faire balancer sur le bitume d'une voiture lancée à toute vitesse. Tant bien que mal, la ganguro se glissa entre les jambes du mec qu'elle écarta. Entre les virages pris rapidement, les changements brusques de vitesse, et le fait qu'elle était encore à moitié dans les vaps, Sakura en chia un peu pour défaire sa ceinture et son pantalon. Elle y parvint toutefois, et l'abaissa en même temps que son boxer pour révéler son sexe qui bandait comme un taureau. Il en avait une grosse, un beau mât, mais au vu des circonstances la jeune femme n'était pas trop en condition pour s'y attarder. D'une main elle entoura la base de ce sexe avec ses doigts, afin de le branler, de 'lautre elle s'agrippa au siège afin de ne pas trop remuer, et  sans plus de cérémonie elle prit sa bite en bouche.
Sakura se mit alors à le pomper, elle salivait beaucoup pour lubrifier la  bite de ce mec, et creusa ses joues pour le sucer tout en remuant sa tête de haut en bas. Elle avait déjà fait mieux comme fellation, mais elle était malmenée de partout, et des voitures les poursuivaient, c'était déjà miracle qu'elle arrive à le sucer presque correctement.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 8 lundi 28 décembre 2015, 18:26:52

La voiture fonçait rapidement, étant rapidement poursuivie par deux voitures russes, et Vaas, lui, était en train de planer. Littéralement. Entre ses pieds, il y avait une superbe pute, une pure salope, avec des nichons gros comme des porte-avions, qui était en train de tirer sur les boutons de son jean pour pouvoir avoir accès à sa queue. Dieu ! Il allait se faire sucer la queue tout en butant des Ruskofs ! Et on osait dire que la vie était pourrie ?!

Plusieurs balles frappèrent le coffre de la voiture, et Vaas récupéra un fusil à canon scié, tandis que plusieurs balles se heurtèrent au pare-brise arrière, qui était blindé.

« Merde, ils sont nombreux !
 -  La musique ! Mets la musique, PUTAIN ! »

Il allait buter ce mec qui n’avait pas le sens du tempo ! Le pilote, sidéré par la requête de Vaas, mais sachant très bien quel psychopathe fou dangereux il était, ne se fit pas prier, et appuya sur l’autoradio, déclenchant le lecteur MP3. Alors que les voitures ennemies se rapprochaient, Make It Bun Dem se mit à rugir dans les enceintes de la voiture, ainsi que dans le caisson de basse situé à l’arrière... Et, pendant ce temps, la salope continuait à lui sucer la queue, son corps ample et doux coincé entre ses jambes. Il posa une main sur ses chjeveux, tout en s’exclamant, se mettant à rigoler, tandis qu’une voiture se rapprochait, cherchant à faire un tête-à-queue.

« Haaaa, putain, baby, ça c’est génial ! Wooowww !! Tu le sens, le caisson de basse, là ? Hmmmm... PUTAIN !! »

La voiture ennemie se rapprochait, et, quand elle fut à portée, Vaas fut le plus rapide à réagir, et tira avec son arme, en visant la vitre du pilote. Il vit une tâche rouge exploser autour du volant, puis un klaxon strident quand le corps du pilote s’écrasa dessus. Les Ruskofs hurlèrent, une main tenta de redresser la voiture, et cette dernière fit une embardée, puis une série de tonneaux. L’autre voiture freina, et évita de justesse la carcasse de la voiture, tandis que Vaas hurlait de joie. Il fallait bien reconnaître un truc : ce type avait beau être un cinglé, c’était un vrai tueur. Un foutu tueur invincible et indestructible.

La seconde voiture continua à les canarder à distance, tout en se rapprochant, et Vaas se plongea alors dans sa fellation, en caressant les cheveux de la ganguro.

« Hmmm... Je viens de buter au moins quatre mecs, ma chérie, ça mérite bien une belle gâterie... »

Ses deux mains se crispèrent sur les cheveux de la femme, et il appuya fermement, enfonçant ainsi sa queue dans sa bouche, sans tenir compte de ses gémissements et couinements. Il la maintint ainsi pendant quelques secondes, jusqu’à probablement la rapprocher de l’étouffement ou du haut-le-cœur, quand la voiture russe les heurta par l’arrière.

« PUTAIN !
 -  Ils sont rapides, ces enculés...
 -  On a une Japonaise, arrête de dormir au volant, putain ! »

Le pilote déglutit. Vaas était tout à fait capable de lui tirer dessus en route, et il accéléra encore, avant de braquer sur la gauche, laissant des traces de pneus sur la route. On pouvait maintenant entendre les gyrophares de la police, et Vaas, délaissant le fusil à canon scié, attrapa un Uzi, et se retourna, puis fit feu. Le pare-brises finit par exploser, et il vint à mitrailler ces enfoirés... Et, là encore, le tueur faisait preuve d’une précision terrifiante. À Rook Island, il avait appris à chasser des tigres et des bêtes sur des Jeeps, ou à combattre d’autres véhicules en roulant ainsi. L’homme était aussi cinglé que dangereux, et ses balles ébréchèrent le pare-brises, puis crevèrent un pneu... Puis le pilote fonçaà travers un carrefour, esquivant de peu un camion... Qui heurta sur le flanc la voiture russe.

Un choc terrifiant qui envoya la voiture valdinguer dans le décor.

« YAAAYYYY !! STRIIIIKE !! HAHAHAHA !! RETENEZ ÇA, ENCULÉS DE PÉDÉS DE SUCEURS DE BITES MOLLES ! PERSONNE NIQUE VAAS !! PER. SO. NNE !! »

Le pilote en avait des sueurs, mais roula de manière plus normale, jusqu’à la planque.

Pendant ce temps, Vaas, lui, s’absorba dans sa fellation.

« Ouais, ouais, mijita, encore, tu suces tellement bien, ma chérie... Tu as déjà été sucé dans une bagnole, Luis ?
 -  Non, Chef, mais je m’appelle pas Luis...
 -  Qu’est-ce qu’on en a à foutre de comment tu t’appelles, connard ? Luis, Balai-à-Chiottes, Trou-de-Merde, c’est du pareil au même pour un putain de chauffeur ! ‘Me casse pas les burnes pendant qu’on est occupés à me les sucer !
 -  Désolé, Chef... »

Vaas soupira alors, et caressa tendrement les cheveux de la femme, la voiture roulant à un rythme normal.

« Suce-moi encore, bébé... Ma queue est à toi, ma puce... Laisse-moi t’offrir ma crème... »

Il n’en fallut guère plus pour que Vaas finisse par jouir dans la bouche de la jeune femme...

DC d’Alice Korvander.

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 9 mardi 29 décembre 2015, 13:07:38

Sucer la queue de ce type était une manière comme une autre, au final, pour Sakura de ne pas se focaliser sur ce qui se passait dehors. Si elle le faisait, alors elle prendrait bien trop conscience des voitures qui les poursuivaient, des balles qui fusaient, et qu'elle se trouvait potentiellement dans un cercueuil ambulant. La musique qui retentit dans la voiture aidait à assourdir ces autres bruits effrayants, et Sakura conservait la tête bien baissée, bien entre les jambes de ce type à lui sucer la bite.
La jeune femme s'y donnait à fond, même si les virages brusques, les bruits d'impact sur la carosserie, et parfois même les chocs l'empêchaient de vraiment le faire. Elle devait faire gaffe à ne pas tomber, faire gaffe à ne pas trop être exposée pour ne pas prendre une balle perdue. Pour elle, ce fût un grand flou, car elle ne voulait pas se rendre compte de ce qui se passait. Le mec hurlait, parfois de joie ou de colère, et régulièrement venait lui caresser les cheveux, et parfois la forçait à lui faire de longues gorges profondes. Sakura toutefois y était habituée, nombre de clients aimaient lui baiser la bouche plutôt que de simplement se faire sucer, et ils s'enfonçaient alors en elle jusqu'à la garde.
Peu à peu, le sexe du mec se couvrit de la salive de la Ganguro, qui le branlait aussi d'une main en même temps qu'elle le pompait, l'autre lui servait tout simplement à se maintenir. Puis, après un ultime hurlement de joie, le mec sembla se calmer, et la voiture aussi. Ils avaient donc semés leurs poursuivants, ils n'étaient pas morts, et l'ambiance plus calme qui s'en dégagea subitement ammena étrangement Sakura à sucer d'autant plus vite.

Hmmmmmmm !

Le joues creusées, elle remuait vivement sa tête d'avant en arrière le long de cette verge, dont elle masturbait la base frénétiquement. Étais-ce parce qu'elle avait survécu à autant de merdier ? Elle ne savait pas, mais la Ganguro à la libido délurée s'était soudainement sentie l'envie irrésistible de sucer cette verge comme jamais. Sakura le prenait intégralement en bouche, son nez allant se fourrer dans les poils pubiens de l'homme, tandis qu'elle le massait avec sa gorge et sa langue, avant de se retirer et de sucer d'autant plus. Elle était en vie, putain elle était en vie, et tailler une pipe à ce mec était peut-être la façon la plus solide qu'elle avait de s'en rendre compte.
La jeune femme en mouillait même, ce qui était étrange compte tenu du fait que ce mec avait buté une bonne dizaine de personnes sous ses yeux, et qu'elle pouvait les rejoindre à n'importe quel moment. Sakura n'était toutefois pas vraiment le genre de personnes à se poser trop de questions, elle ne s'en posait même quasiment jamais, à force de vivre au jour le jour. Elle suçait la queue de ce mec car c'était la seule chose à faire, et qu'elle kiffait ça, elle ne voulait pas se compliquer plus la vie.
Sakura finit rapidement par le sentir venir en elle, et loin de ralentir alors qu'il jouissait, Sakura accéléra les mouvement de sa tête, sa salive se mélangeant au sperme qui envahissait sa bouche. Quand il termina, elle s'arrêta alors progressivement, tout en gardant la queue de ce mec en bouche, qui trempa dans un mélange de son propre sperme et de la salive de la Ganguro. Les yeux fermés, elle avala alors doucement sa crème, elle ne garda que le bout de ce sexe en bouche, et masturba doucement le reste avec ses mains comme pour le traire, en tirer jusqu'à la dernière goutte de sperme qu'elle avala intégralement. Puis elle releva la tête, en regardant le mec dans les yeux, elle tenait toujours sa verge entre ses mains.

Je vois que ça t'a plû bébé. T'a vraiment une grosse queue, et pour une fois je dis pas ça pour des conneries.

L'ambiance à l'extérieur s'était vraiment calmée, ce qui était un vrai soulagement pour la Ganguro qui avait moins la pression de mourir dans l'immédiat.

Tu te sens encore en forme chéri ? Je crois que toutes ces émotions m'ont donné envie de baiser...

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psycho-Killer [PV]

Réponse 10 mardi 29 décembre 2015, 22:06:09

Ah, quelle énergie ! C’était comme si le fait de frôler la mort avait sorti sa pute de son émoi ! Alors que la voiture avait acquis un rythme plus normal, elle se mit à le sucer frénétiquement, pompant férocement sur sa queue, excitant furieusement le brave Vaas. Ça... Ça, putain, c’était bon ! Les mains de l’homme se crispèrent sur la belle chevelure de la femme, et c’est avec un plaisir non dissimulé qu’il balança son foutre en elle, au moment où plusieurs voitures de police foncèrent à toute allure en sens inverse. Et cette salope, putain, cette salope continua à le sucer pendant qu’il jouissait en elle ! Oh putain, il avait vraiment tiré le gros lot avec cette salope, qui but goulûment son sperme, avant de redresser lentement son visage, et de lui dire qu’il avait une belle queue. Elle avait avalé tout le sperme, caressant sa queue, comme pour mieux la nettoyer, et lui demanda ensuite... Un match-retour.

« Hum... Je comprends ça, bébé... Y a rien de plus jouissif que de bander en flinguant. Sérieux, j’avais la queue dure, mais dure comme un putain de roc, pendant que je flinguais tous ces connards... Et tu m’as pas aidé à me calmer, ma chérie. Alors, ouais, crois-moi quand je te dis que ça va être ta fête, poupée... Allez, assieds-toi à côté de moi, bébé. »

Vaas semblait s’être un peu assagi. En même temps, il venait de jouir, et de jouir joyeusement. Pour autant, et il le sentait bien, l’homme avait encore envie de joyeusement baiser. La voiture continuait lentement à rouler, et il regarda la belle ganguro, avant de se rappeler soudain de quelque chose, et même de quelque chose de très important.

« Je m’appelle Vaas, bébé... Et toi, ma cocotte, comment je dois appeler le joli cul que tu es ? »

Il n’y avait pas que son cul de joli, ceci dit. Le style super-salope des ganguros n’était pas pour particulièrement lui déplaire, surtout elles étaient dotées de si beaux arguments, comme Sakura en ce moment. Et Sakura, en réalité, était terriblement belle... Oh ça ouais ! Vaas n’était pas insensible à ce genre de choses, et il lui fit signe de venir.

« Viens m’embrasser, ma poupée... »

La femme obtempéra, bien entendu, et se retrouva lovée contre lui, ses généreux seins s’enfonçant contre son torse. L’une des mains de Vaas se posa sur ses cheveux, l’autre sur sa hanche, et il répondit joyeusement à son baiser, sentant tout l’appétit de cette femme, et tout son talent. Ouais, elle avait raison... Baiser en plombant des mecs, ça n’avait pas de prix, et c’était normal d’en être excité. Et puis, il fallait bien se l’avouer : Sakura avait un délicieux goût de ‘‘reviens-y’’... Et il se plut donc à l’embrasser, mordillant même sa bouche, tirant sur sa lèvre inférieure, sa main venant se déplacer de sa hanche pour venir peloter son joli cul.

Le pilote, quant à lui, était toujours aussi nerveux, même s’il se permettait parfois de se rincer un peu l’œil en regardant par le rétroviseur intérieur... Et oui, il devait bien reconnaître que cette fille était... Très sexy. Lui qui avait toujours trouvé les ganguros infects et horribles, comme un résidus d’horreur issu des poubelles d’Akihabara, avec une influence qui puait l’Occident à plein nez, il devait bien admettre que cette Sakura était franchement bien roulée. Mais l’homme restait prudent, surtout après la fusillade de tantôt. Cependant, les Russes semblaient avoir définitivement perdu leur trace, et, avec les policiers qui débarquaient en emmenant tout un régiment, les Petrovski allaient sûrement avoir d’autres problèmes, en ce moment, que Vaas.

Au bout de plusieurs minutes d’embrassade et de pelotage, Vaas rompit le baiser, et laissa la femme près de lui, tout en tapant contre le siège du pilote.

« Arrête-toi là, Pablo... Près de la ruelle. Je veux baiser cette salope tout de suite, mais je voudrais pas que mon bébé se cogne contre la voiture... »

Ce n’était pas spécialement prudent, mais « Pablo » n’allait pas objecter. Il s’arrêta donc, et Vaas ouvrit la porte.

« Viens, poupée... Je vais te baiser tout de suite... »

Il y avait une ruelle à côté, et il la maintint contre elle, laissant son gilet sur la banquette arrière, et alla la plaquer contre un mur, où il se mit rapidement à lé pénétrer, en soupirant de plaisir.

« Griffe-moi, ma poupée, aie pas peur de me faire mal, ça rend les choses... Encore plus excitantes... »

DC d’Alice Korvander.

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