Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Who Am I ? [James Howlett]

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 15 jeudi 03 mars 2016, 11:45:06

Des sex-friends, voilà ce qu'étaient Logan et Ororo. Deux amis fidèles qui ne se cachaient pas leur attirance respectives, mais préféraient conserver leur indépendance. Logan avait trop aimé Jean pour s'investir dans une nouvelle relation amoureuse, et cela Tornade l'acceptait parfaitement. Derrière ses dehors de brute épaisse et insensible, le vieux mutant était en réalité un cœur ardent, plus soumis que jamais au feu des passions. Il haïssait, et il aimait intensément. Sans réserves. Lorsqu’Ororo l'avait accueillie entre ses cuisses, quelques semaines après la mort de Jean, le mutant l'avait prise machinalement, avec la bestialité animale qui le caractérisait, mais sans réel désir. Il avait fallu récidiver plusieurs fois avant que Logan ne cherche plus à oublier Jean en malmenant la croupe d'Ororo, mais qu'il ne découvre  en elle une femme superbe, dotée d'une sensualité à fleur de peau, tantôt languissante, tantôt féline. Dès lors, leurs parties de jambes en l'air étaient devenues torrides. Et James ne pensais plus un seul instant à comparer sa rouquine avec sa princesse d’ébène : Ororo était unique.  Ces derniers mois, ils n’avaient guère eu l’occasion de s’envoyer en l’air ; Logan était parti au Japon, et Tornade avait eu ses propres soucis à régler. Le moment était venu de rattraper le temps perdu.

Logan surprit le regard lascif qu’Ororo lui jeta lorsqu’il se débarrassa de ses vêtements ; Logan ne correspondait en rien au stéréotype du métrosexuel en vogue chez les jeunes filles. Musculeux et poilu, il dégageait une présence brutale, presque animale qui effrayait la plupart des femmes, mais faisait mouiller la belle Ororo. L’intéressée posa sa main sur sa cuisse, avant de faire chuter le pantalon sur ses chevilles, puis d’écarter le boxer moulant qui compressait son vit. La mine réjouie, la belle le complimenta sur sa virilité, ce qui ne manqua pas de faire son petit effet ; un frisson d’excitation lui remonta le long de l’épine dorsale, alors qu’il grognait d’aise. Taquine, la belle noire agaçait sa grosse queue veineuse du bout des doigts, en griffait le raphé de ses ongles manucurés.

« Tu n’as pas idée », lâcha-il d’une voix rendue rauque par l’excitation. 

Et cette superbe bite de s’agiter convulsivement de haut en bas, rebondissant sur son ventre musculeux ; James était au supplice. Enfin, Ororo pencha la tête vers l’avant, dardant sa petite langue rose vers son gland violacé, qu’elle emboucha bientôt, saisissant le vit à son endroit le plus épais : juste au-dessus des couilles. Lorsqu’un léger élancement traversa sa verge, Logan se mordit la lèvre inférieure en rejetant la tête en arrière. Logan n’imaginait pas le sexe sans la petite pointe de douleur qui transformait le plaisir en extase ; des ongles lacérant ses épaules, une chatte compressant sa verge, ou dans le cas présent, des quenottes s’enfonçant doucement dans son gland bouffie. L’adorable salope suçotait à présent le sommet de sa queue en le narguant de ses beaux yeux bleus. Tornade n’était pas une gamine effarouchée, mais une femme mûre qui savait parfaitement jouer avec l’excitation d’un homme ; elle avait beau être à quatre pattes devant lui, sa grosse queue déformant ses lèvres charnues, elle n’en était pas moins maîtresse de la situation...Et Logan céda.

« S’il te plaît ma belle princesse d’ébène… Suce ma grosse queue », grogna-il, découvrant ses canines saillantes par un sourire carnassier.

Comme il pouvait avoir envie d’elle ! Le sang pulsait si fort dans sa verge qu’Ororo pouvait en ressentir la moindre des pulsations alors que, chose extraordinaire, le vit s’épaississait encore entre ses doigts fuselés. Le colosse passa une mais calleuse dans la crête de cheveux blancs de son amante, vaguement amusé. La coupe était originale, mais lui allait plutôt bien. Elle faisait ressortir les traits félins de son visage. 

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 16 jeudi 03 mars 2016, 18:26:31

Qui aurait cru que la sage et calme Ororo puisse se montrer si… Énergique ? Un feu primaire bouillonnait en elle, et avait toujours remué dans ses veines. Ororo n’était pas appelée « Storm » pour rien. Elle était une femme calme et maîtresse d’elle-même, ce qui était un fait avéré, mais ce calme, cette maîtrise, n’étaient que l’eau qui dort en surface. Dans son cœur, il y avait cette fougue et cette passion qu’un Occidental associait à l’Afrique. Tornade restait une femme sauvage, bestiale à sa manière, très féline, et c’était cet élément qui avait cimenté l’espèce de liaison régnant entre elle et Logan. L’homme avait, pour lui, ce charme sauvage et bestial qu’Ororo aimait. D’un homme, elle n’attendait pas qu’il soit beau comme un Dieu. La beauté était avant tout l’apanage des femmes. Un homme, pour elle, devait savoir être viril, et devait savoir parler le lion qui était dans sa poitrine. Logan, sur ce point, était un homme parfait.

Tornade sentait des frissons la traverser en voyant cette queue. Oui, elle n’était pas une jeune adolescente qui découvrirait le sexe. Des amants, elle avait eu l’occasion d’en avoir bien plus que ce qu’on pouvait penser de prime abord, et elle reconnaissait volontiers que Wolverine était en-haut du podium… Même si elle ne le lui dirait jamais. En attendant, elle contemplait sa queue, la reniflant, s’imprégnant de cette odeur. La première fois qu’elle avait été ainsi face à un sexe masculin, elle avait trouvé cette odeur particulièrement repoussante, y ressentant une sorte d’étonnante fascination, d’incompréhensible excitation. Avec le temps, elle avait su se faire à cette odeur, et elle aimait maintenant la sentir.

Ayant demandé la « formule magique », Logan dut prendre son courage à deux mains, en lui demandant gentiment de la sucer. La « princesse d’ébène » sourit donc, avant de sentir l’homme caresser ses cheveux. Ororo avait maintenant une crête blanche. Inutile, toutefois, de s’appesantir là-dessus. Cette crête, elle l’avait porté il y a des années, jadis, quand elle était allée à New Yorek, en plein doute sur son futur et sur son rôle dans le monde. Cette crête symbolisait la désorientation, le changement, l’incertitude… Quand Wolverine et Cyclope s’étaient tournés le dos l’un à l’autre, et que la communauté avait été déchirée en deux, Ororo avait symbolisé ce changement en se rasant la tête, puis une crête avait poussé. Ses cheveux repoussaient vite, mais elle pensait continuer à entretenir sa crête. Se lancer là-dessus, en somme, c’était rentrer dans un sujet épineux et venimeux par excellence.

C’est ainsi qu’Ororo embrassa la queue de Logan, la mordillant un peu en tirant dessus. Son sexe suivit sa bouche quand Ororo partit légèrement en arrière, et elle le relâcha, le remuant de gauche à droite, une manière de confirmer clairement ce qu’ils allaient faire maintenant.

« C’est demandé si gentiment, je serais folle de refuser… »

Elle déplaça un peu sa tête, et attrapa ce sexe à sa base, le tenant dans sa main, puis, brièvement, Ororo releva les yeux, son regard croisant celui de Logan… Puis elle alla prendre ce sexe en bouche, et commença à le sucer, déplaçant ensuite sa main pour flatter ses testicules, les grattant et les caressant. Elle savait les hommes sensibles à cet endroit, surtout quand c’était des doigts féminins qui les frottaient ici.

« Hmmmm… »

La Déesse africaine relevait parfois les yeux pour voir Logan, tout en se déplaçant d’avant en arrière, en appui, pour cela, sur ses genoux. Elle se déplaçait ainsi d’avant en arrière, tout en s’adonnant à sa fellation.

Et, visiblement, Logan avait bien besoin d’une bouche féminine…
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 17 lundi 07 mars 2016, 14:56:42

Lorsque les lèvres d’Ororo s’écrasèrent sur sa queue turgescente, Logan se mordit la lèvre inférieure, presque jusqu’au sang ; il avait attendu cela depuis tellement longtemps ! La belle s’enhardissait désormais, éprouvant la dureté de cette queue joufflue de ses quenottes blanches. Saisissant le pal à sa racine, elle l’entoura de ses doigts, avant de lever ses beaux yeux bleus vers le visage congestionné du mutant, qui l’encouragea en hochant lentement la tête ; il était au paradis.

« Petite garce va, tu me mets dans des états pas possible », grogna-il, amusé, avant de soupirer longuement lorsque ses lèvres brunes se refermèrent sur son gland violacé. « Mhhhh… ». L’africaine engouffrait doucement sa queue, faisant glissant ses ongles effilés sur son scrotum tiède et bouffie. « Ma belle chienne… quelle avaleuse de queue tu fais », sourit-il, en flattant sa crinière argentée. Logan aimait se montrer cru, parfois vulgaire lorsqu’il faisait l’amour et il savait qu’Ororo sous ses airs de sage trentenaire était une sacrée vicieuse qui jouissait d’autant plus fort qu’on lui susurrait des insanités au creux de l’oreille. Repoussa doucement le front d’Ororo, du bout des doigts le mutant recula légèrement, hors de portée de ses lippes avides. La belle l’avait mis au supplice, et il avait presque du la supplier pour qu’elle s’occupe de lui… Logan ne comptait pas laisser ce comportement impuni.

« Bas les pattes », grogna-il, un sourire carnassier posé ses lèvres entrouvertes. «A partir de maintenant,  tu utiliseras uniquement ta petite bouche. Avec tes mains, tu te branleras. Je veux que tu te baises comme une traînée, que tu me prépares bien tes deux trous de pute… Mais avant cela… réclame-la ! », Grogna-il, impérieux.     

Le sexe au fond, n’était jamais aussi bon que lorsque les égos s’entrechoquaient, et que les rôles s’inversait. L’instant d’avant, il eût été près à s’agenouiller devant sa déesse et lui suçoter les doigts de pieds un par un pour qu’elle prenne son membre en bouche. A présent, il profitait du trouble de la jeune femme pour reprendre l’ascendant. Car à en juger par son regard vitreux, sa respiration haletante et le trop plein de salive qui perlait à la commissure de ses lèvres, la garce avait envie de sa grosse bite au fond de sa gorge. Mais Ororo n’était pas une gamine, et il savait pertinemment que sa fière amante lui ferait payer sa rouerie. Une fois, alors qu’il avait juté trop vite, Ororo lui avait fait laper sa vulve pendant une demi-heure, en lui interdisant formellement de se masturber, écrasant son visage entre ses cuisses brunes et musclées, alors qu’elle se cambrait sous les assauts de sa langue agile.

« Là, là… »

Glissant délicatement ses doigts épais dans la crête de Tornade, Logan les referma, pour tirer son beau visage vers l’arrière, écrasant sa queue visqueuse et brûlante contre sa joue brune et fraiche. Puis il saisit sa verge pour en promener le gland sur les lèvres entrouvertes d’Ororo. La garce l’avait déjà bien excité et un filet de pré-sperme s’échappa du méat dilaté pour couler sur sa langue. Soudain n’y tenant plus, il s’enfonça carrément dans sa bouche avec un râle rauque, sa main se crispant sur son crâne nu.

« Hmm, ma puce, ta bouche est si chaude... »

Un jour, Gambit, qui avait le goût des plaisirs sadomasochistes, lui avait raconté qu’au fond dans un tel échange, c’était peut-être le dominant qui était soumis… Soumis à son propre désir, aux supplications de son esclave et à l’adrénaline que lui procure chaque nouveau coup de fouet zébrant la chair tendre de son partenaire. Logan n’était pas dans une situation très différente. Faisant glisser sa trique entre les lèvres de son amante, il se branlait doucement avec sa jolie bouche, s’enfonçant toujours plus profondément en elle à chaque nouveau mouvement de bassin.

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 18 mercredi 09 mars 2016, 22:39:23

Ororo, en matière de sexe, laissait parler toute sa sensualité, et, au-delà de ça, toute sa sauvagerie et toute sa félinerie. Logan en avait souvent les frais, preuve qu’Ororo, contrairement à une idée qui avait été parfois répandue, n’avait pas été excisée lors de son enfance. Elle avait un appareil sexuel pleinement opérationnel, et Logan en avait dé »jà fait les frais. À genoux devant l’homme, elle sourit devant sa remarque. Ne pas utiliser les mains ? Réclamer sa queue ? C’était vulgaire. Elle aimait ça ! Ororo était une grande personne, il n’y avait pas de quoi la faire rougir. Et Logan, visiblement, avait de la suite dans les idées, puisqu’il avait parlé des « deux » trous, un détail que Tornade avait, bien évidemment, relevé dans un coin de sa tête.

« Ma bouche, et mes trous ? Tu es bien gourmand aujourd’hui, Logan… Mais je ne t’en veux pas, c’est même plutôt flatteur. Entouré de Japonaises, tu continues à avoir une trique d’enfer rien que pour moi… Alors, quant à savoir si j’ai envie de sucer ta queue, hum… »

Pour ponctuer cette phrase, un sourire amusé vint se dessiner sur les lèvres de la femme. Mutine, Ororo souffla sur le sexe de l’homme, ses lèvres proches, avant de reprendre, en relevant les yeux :

« Je crois bien que oui. Sentir ton mandrin dans ma bouche, le sucer, le lécher, sentir ta virilité s’imposer en moi… Qui n’aurait pas envie de ça ? Sentir une belle grosse queue s’enfoncer dans une bouche faite pour ça. Hum… Tu me manquais, Logan, mais je dois bien admettre que ta queue, elle, aura toujours une place dans mon cœur. »

Un sourire ravi vint ensuite se poser sur les sensuelles lèvres d’Ororo. Visiblement, son petit jeu de chauffe avait bien marché, car Logan vint flatter son visage avec sa grosse queue, caressant ses joues, frottant ainsi sa tête avec son membre, pour finir ensuite par l’approcher de ses lèvres. L’homme avait beau avoir un sens moral, il restait toujours Wolverine, un homme sauvage, très préhistorique sur certains domaines… Et le sexe en faisait partie. Il s’avérait être un amant fort peu romantique, plutôt du genre brutal et intense. Oh, il n’était pas violent, loin s’en faut, mais, une fois qu’il était lancé, l’arrêter n’était pas simple. L’homme se transformait en une sorte de machine qui tourbillonnait à pleines vapeurs, sans se fatiguer, jusqu’à attendre le point ultime.

Pour l’heure, Ororo suivait docilement le mouvement, sentant cette queue dure glisser sur ses lèvres. Sa propre main se rapprocha de son sexe, et elle se caressa doucement.

« Hmmm… »

Ce fut, à peu près, tout ce qu’elle arriva à dire, avant de sentir le sexe de Logan se presser davantage contre ses lèvres. Sa bouche s’entrouvrit alors, puis s’élargit en accueillant cette matraque. Les mains lourdes et épaisses de Wolveirne se posèrent ensuite sur sa tête, et il commença à la remuer, entreprenant ainsi d’agir, avec cette virilité qui le caractérisait si bien. Ororo, elle, suivit le mouvement, une main caressant son sexe, filant dans ses cuisses, tandis que l’autre se rapprochait de ses propres fesses… Et, pendant ce temps, sa langue léchait ce sexe, glissant dessus à l’intérieur de sa bouche, tandis qu’elle creusait ses joues en accompagnant, par ses mouvements de succions, les coups de l’homme.

Et c’était vraiment, et indéniablement, une magnifique sensation !

Comment ne pas aimer ça ?
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 19 mercredi 20 avril 2016, 18:23:27

Si Logan était indubitablement un dominant, il n'en restait pas moins qu'il aimait les femmes qui avaient du répondant. Celles qui se couchaient simplement sur le dos en attendant qu'il les défonce l'avaient toujours profondément ennuyées. Ororo était à milles lieux de ces cruches ; A genoux devant son colossal phallus, la belle noire le titillait, l'abreuvait d'insanités de sa voix suave.

« Ces foutues japonaises... Toujours à faire des manières au moment de se faire enculer. Elles ne savent pas ce qui est bon pour elles, pas vrai ma belle ? »

Si les mentalités japonaises avaient beaucoup évolué depuis son premier séjour dans l'archipel, le fond traditionaliste du pays ne permettait pas encore pleinement aux femmes d'assumer pleinement leur désir et Logan avait bien souvent affaire à des partenaires réticentes qui une voile le voile pudique levé, s'adonnait aux plaisir charnels les plus obscènes qui soient. Logan estimait que cette frustration constante de la population japonaise expliquait l’extrémisme de certains de leurs fantasmes. Le tenancier d'un hôtel lui avait un jour expliqué qu'il ne parvenait à être excité que par des jeunes femmes dépourvues de bras et de jambes, ce que le mutant avait trouvé un peu glauque.

« Tu me blesses, ma puce, ne m'aimerais-tu que pour ma grosse queue ? »,
ironisa-il, en écrasant son gland violacé contre les lèvres de la belle noire. Ororo en tout cas, n'avait pas besoin de ses mains pour le faire bander comme un âne ! Refermant ses lèvres autour de sa trique, la jeune femme jouait avec son gland du bout de langue, et aspirait consciencieusement la grosse bite qui coulissait dans sa gorge tiède. Obéissante, elle avait égarée l'une de ses mains entre ses cuisses, alors que la seconde se frayait un chemin vers son gros cul bombé, cul qu'il escomptait bien malmener dans un avenir proche. « là, là, bien au fond. » En proie à une félicité croissante, le mutant grognait de plaisir, se mordant la lèvre inférieure jusqu'au sang. « Hm-hmm... » poussant sur l'arrière de son crâne pour s'enfoncer encore plus profondément en elle, le mutant perdait son empire sur lui-même et envoyait son gland percuter la gorge de son amante de plus en plus violemment, l'étouffant presque sur sa matraque brûlante. « sale pute... Grosse chienne », l'insulta-il. Il savait combien elle aimait être traitée en putain, lorsque les circonstances s'y prêtaient. Soudain il se crispa et d'un brutal coup de bassin vers l'avant, s'enfonça jusqu'à la garde entre ses lèvres avides. Son énorme sexe fut agité de violents soubresaut, alors que son gland expulsait de puissantes salves de foutre chaud dans la gorge de la belle noire. « HAA...HAAAA ! » retirant son sexe d'entre ses lèvres, l'homme se branla furieusement au dessus du beau visage de son amante, couvrant ce  dernier de semence translucide. « Ahh... »

Contemplant son œuvre avec amusement, l'homme tandis une main à tornade, pour l'aider à se relever. « Tu es magnifique, ma princesse d'ébène », lui glissa-il tendrement, avant de se pencher pour l'embrasser, glissant sa langue contre la sienne, goûtant sans gêne – et même avec un odieux plaisir – à son propre foutre sur les lèvres de la jeune femme. Déjà, ses mains s'égaraient sur ses hanches, puis empoignèrent ses fesses charnues... Assurément, la suite serait anthologique.

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 20 mercredi 20 avril 2016, 21:20:08

«  Hmmmm-hmmmm... »

Difficile de répondre à Logan, quand on avait la bouche... Et même bien pleine. Le fait est que Tornade n’avait jamais eu les mêmes restrictions, en matière de sexe, que la plupart de ses camarades. Quand Charles était venu la chercher pour qu’elle vienne en aide aux X-Men originels, prisonnier de Krakoa, une île vivante, Ororo était alors considérée, au Kenya, comme une Déesse vivante. Et elle avait souvent pour habitude de danser nue au milieu des tempêtes qu’elle provoquait, un moyen, pour elle, de se ressourcer. Elle avait tout simplement grandi dans une société bien moins policée que les sociétés occidentales, et, quand elle était arrivée à l’école de Charles, elle n’avait pas encore très bien intégré les mœurs occidentales... Ce qui avait amené Diablo à la surprendre dans la piscine, alors qu’elle s’y baignait toute nue*.

Tornade avait peu à peu appris à devoir s’habiller en toute circonstance, mais tout cela n’avait pas diminué sa soif sexuelle. Maintenant, elle couchait assez librement, et elle estimait qu’il existait, entre elle et Logan, un lien alchimique. Quand Xavier était venu la prendre, il avait aussi été au canada pour récupérer, dans la foulée, Wolverine. Les deux étaient arrivés ensemble, mais Tornade avait dû, pendant un certain temps, gagner en maturité. Quand Scott avait quitté provisoirement les X-Men après la mort de Jean, c’était Tornade qui avait été nommée chef d’équipe. Maintenant ? Elle rattrapait un peu le temps perdu... Et, pour ça, le sexe était idéal.

À genoux, donc, elle sentait avec grand plaisir le mandrin de l’homme filer en elle. Au Kenya, Tornade organisait volontiers des orgies quand elle le pouvait, couchant aussi bien avec des hommes qu’avec des femmes. Le fait est qu’elle était une femme très gourmande, et il fallait bien un homme costaud et généreux comme Logan pour la sustenter.

« Hmmmm... !! »

Ah, quelle endurance ! Elle mordillait sa queue, sentant ses mains serrer ses cheveux, l’Immortel se refusant visiblement à jouir. Clignant des yeux à plusieurs reprises, elle respirait par le nez, creusant ses joues en le suçant, jusqu’à sentir la respiration de Logan devenir plus sifflante... Puis les jets fusèrent. Comme à son habitude, Wolverine jutait en donnant de quoi enfanter un village, et, assez rapidement, Tornade sentit sa bouche se remplir, puis les jets définitifs éclatèrent sur son visage, créant un singulier contraste avec sa peau noire, qui allait toutefois un peu de pair avec sa chevelure blanche.

Elle se redressa donc, avec le sperme dégoulinant sur son visage, et caressa brièvement ses joues, suçant le sperme du bout de ses doigts, puis Logan alla lui voler un baiser, qui devint rapidement une étreinte passionnée. Les seins de Tornade étaient bien durs, et la panthère ne tarda pas à faire preuve de son élasticité, enroulant ses jambes autour de sa taille, se hissant, une main sur la nuque de l’homme, l’autre venant griffer son torse. C’est aussi ça qui était bon avec Logan, on pouvait le mordre et le griffer jusqu’à le faire saigner, ça ne le rebutait pas outre mesure.

Tornade, en souriant, rompit le baiser après avoir mordillé les lèvres de l’homme, et repensa alors à ce qu’il lui avait dit tantôt, et reprit la conversation qu’elle n’avait pas pu, à cette occasion, suivre, faute d’avoir une bouche libre.

« Il y aurait donc un cœur qui bat sous cette masse de virilité, de testostérone, et d’insulte ? »

Elle griffa légèrement sa poitrine à l’emplacement de son cœur, et lécha alors ses lèvres, se montrant toujours aussi sensuelle et féline.

« Il y a bien des choses que j’apprécie chez toi, en réalité, mais je t’avoue que là, en ce moment, il n’y a qu’à une seule chose que je pense... »

Tornade remua un peu ses hanches, de manière à frotter la virilité de l’homme avec son bassin, puis approcha sa bouche de son oreille, et murmura quelques ultimes mots :

« ...Ta grosse bite. »




* : Authentique.
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 21 vendredi 22 avril 2016, 17:45:13

Là ou Logan n'avait que superficiellement tempéré son caractère orageux et sa sauvagerie, Ororo avait mis un point d'honneur à s'intégrer du mieux possible au sein des X-men. Si son comportement des premiers mois par son arrivée au Manoir avait été... exotique, elle avait fini par devenir la jeune femme plutôt sage et douce, tant appréciée des jeunes élèves de l'institut et qui ne perdait son calme que lorsque sa nouvelle famille était menacée. Logan était l'un des seuls à savoir que la princesse d'ébène bouillonnait toujours de l'intérieur : elle avait simplement appris à mieux se contrôler. Visiblement ravi de la douche de foutre, Tornade s'était relevée pour lui rendre son baiser salé, écrasant son opulente poitrine brune contre son poitrail « Hmm... » Agile, la belle noire se suspendit à son cou, lui enserrant la taille entre ses cuisses musclées. « Griffe-moi ma belle, tu sais que j'adore ça. » Le facteur guérisseur de Logan lui permettait de guérir quasi-instantanément des plaie bénignes, aussi pouvait-on lui lacérer le dos avec ses ongles qu'il n'en gardait plus traces au bout de quelques minutes. En outre le vieux mutant avait appris à apprivoiser la douleur, qu'il estimait, comme la violence, consubstantielle à la sexualité.

« Uniquement lorsque ma queue est satisfaite », répondit-il à sa boutade, avant de répondre à son baiser en grognant sauvagement. Ses grosses mains s'étaient refermées sur le cul d'Ororo qu'il malaxait avec rudesse. Sa grosse bite dont dégouttait encore quelques filaments de foutre n'avait guère perdu de sa superbe et frottait contre le pubis de son amante. Claquant le cul de la belle garce, il dirigea son vit entre ses jambes fuselées, de manière à ce que sa matraque se cale dans le sillon de son postérieur, tout en frottant contre son intimité. Le souffle tiède de la mutante tout contre son oreille le rendait ivre de désir et il remuait frénétiquement le bassin d'avant en arrière, se branlant littéralement entre les fesses de sa belle princesse africaine. « Hm-hm ? » N'y tenant plus, il souleva légèrement le cul d'Ororo en plaçant sa grosse main sous l'une de ses fesses et de l'autre, dirigea son sexe entre ses cuisses. Son gland violacé heurta le clitoris gonflé de Tornade, puis pressa contre sa vulve détrempée. « Làà... Comme ça ! », murmura-il, avant de la laisser glisser vers le bas pour qu'elle s'empale sur son vit. Comme d'accoutumé, c'était chaud, tiède, mouillé et étonnamment étroit. « Raaah...Ma belle princesse... Ma pute d'ébène... » Aux anges, le mutant apprécia pendant de longues secondes la sensation d'être fiché en elle jusqu'à la garde sans faire le moindre mouvement. Oh, comme elle lui avait manqué, sa belle africaine. Comment avait-il pu se passer si longtemps d'un cul pareil ?

Puis il commença à se mouvoir. Avec une lenteur calculée tout d'abord, fourrant la jolie garce avec tendresse, puis, crispant ses doigts sur son gros cul, il commença à la limer plus vigoureusement, envoyant ses couilles percuter son intimité malmenée. « hmmm... »

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 22 vendredi 22 avril 2016, 22:22:26

Ororo savait que Logan n’était pas épuisé, que cet orgasme n’avait fait que l’émoustiller, que réveiller ses sens. On ne le surnommait pas Savage Wolverine pour rien. Certes, il n’était pas aussi criminel et cruel que Dents-de-Sabre, son frère, mais il y avait toujours, en lui, ce fond des testostérone, de bestialité, qui s’exprimait quand les deux faisaient l’amour. Elle, la sombre beauté venue de la savane africaine, lui, l’homme costaud et trapu venant des forêts enneigés du Canada. Deux natures différentes qui se rencontraient maintenant.

Serrant sa main sur la nuque de l’homme, elle se mordilla en sentant une main venir pétrir son délicieux cul, la faisant doucement soupirer. Tornade se pinça les lèvres, et frotta un peu son bassin contre la queue de l’homme. Elle était grosse, assoiffée, impatiente de venir s’enfoncer en elle.

« Hmmm... »

Ah ! Cette joie de sentir ce sexe caresser ses cuisses, se rapprochant de son sexe, un chibre gros, tendu, assoiffé, mais avec du sperme dessus, donnant une sorte de sensation liquide qui était loin d’être désagréable. Nue, Tornade se sentait bien, bien mieux qu’ne étant habillée. Pour elle, les vêtements la restreignaient, la limitaient, serrant sa peau. Voilà aussi une raison pour laquelle elle aimait tant le sexe, parce que se déshabiller ne poserait pas de problème. À l’Institut, elle avait pour habitude d’entretenir, dans le grenier, un jardin, et, quand elle était seule, il était fréquent qu’elle se déshabille, et sente l’eau ruisseler sur son corps. Ça, voilà ce qu’elle aimait. La pluie rebutait les gens, qui aimaient s’en protéger, mais elle, elle aimait flotter dans les nuages, et sentir l’eau l’abreuver. Voilà son plaisir, une joie indescriptible, celle d’être au milieu des éléments déchaînés, de la tempête, de sentir son corps se recouvrir de liquide, le tout en se perdant dans une passion incontrôlable et furieuse...

Et, après cela, fallait-il vraiment s’étonner qu’elle aime autant le sexe ? Elle n’était pas venue ici pour ça, initialement, mais pour aider Logan, dans sa traque contre HYDRA, et pour son clone, cette curieuse Laura...  Entre eux, les évènements s’étaient à nouveau précipités, et ils étaient maintenant là, isolés dans ce phare, avec la queue de Logan qui la tançait sévèrement, une invitation silencieuse à la débauche.

« Allez, viens... »

Et elle sentit la queue se rapprocher, et eut une crispation, puis poussa un long soupir en sentant ce membre remuer en elle, s’enfonçant dans son vagin. Comme toujours, elle sentit l’air lui manquer pendant quelques secondes, enfonçant ses ongles dans sa peau, et gémit alors, laissant un sifflement aigu s’échapper de ses lèvres, avant de les mordiller, puis de resserrer ses jambes, soupirant ensuite à nouveau, soufflant comme pour expulser cette vague qui remontait en elle, ce feu bouillonnant qui était en train de naître.

« Haaaaaa... Hhhhmmmmmmmmmm... !! »

Les soupirs vinrent alors, tandis qu’elle se mit à remuer sur sa queue, utilisant ses muscles pour se soulever et se rabaisser, enfonçant ses seins contre le torse de l’homme. Fort heureusement, Ororo était à la fois très agile et très musclée, ce qui, dans ce domaine, permettait de faire l’amour dans bien des positions acrobatiques... Pour le plus grand bonheur des deux amants.

Et, diable, que c’était bon !
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 23 lundi 25 avril 2016, 16:24:28

Logan connaissait suffisamment Ororo pour savoir qu’elle était peu farouche et que sa chatte, comme son cul, avaient été maint fois visités, et pas uniquement par lui. Cependant les deux mutants n’étaient pas un couple exclusifs – pas même un couple à vrai dire – et Logan était plutôt excité à l’idée que Tornade s’envoie en l’air par ailleurs ; cela lui donnait un parfait prétexte pour la punir de ses incartades en la baisant encore plus sauvagement que d’ordinaire. Il était arrivé plusieurs fois qu’ils fassent l’amour quelques instants après que Tornade se soit donné à un autre, et que Logan fourre son chibre tendu dans son intimité déjà dilatée et suintante de foutre. « Hmm…Raaah… » Ce n’était pas le cas cette fois-ci, et Ororo était bien étroite, les parois de son vagin écrasant son gros vit. « Je vais te défoncer », annonça-il sourdement, avant d’envoyer une belle claque sur son postérieur rebondi.   

Tel un animal en rut, Logan faisait coulisser sa grosse queue dans les entrailles de la belle noire. Ses doigts meurtrissant la chair brune de son cul, il la foutait brutalement, ses couilles rebondissant contre sa vulve, produisant des bruits de claquements mouillés particulièrement obscènes. « Hmm-Mhh… Couine ma puce… Comme une bonne chienne ! » La belle Ororo n’entendait pas rester passive, bien au contraire ; prenant appui sur ses épaules musculeuse, elle remuait d’avant en arrière, usant des muscles de ses cuisses pour se surélever, puis se laisser brutalement retomber en arrière, s’empalant littéralement sur sa queue. « Baise-toi toute seule, comme une grande », lui intima-il, en cessant à regret ses propres mouvements de bassin. « Làà… ». Ses gros seins pressaient contre son poitrail, les tétons érigés frottant contre la peau brûlante de son amant. Se penchant légèrement en avant, il plongea son regard bleu acier dans celui de la jolie garce, avant de lui présenter deux de ses doigts épais, qu’il glissa doucement entre ses lèvres entrouvertes. «Suce-les… Comme si c’était ma grosse bite », lui intima-il en souriant, découvrant ses dents en un sourire carnassier. Une fois qu’elle se fut exécutée, il écarta l’une de ses fesses d’une main pour exposer son anus, et glissa ses doigts humides dans la raie tièdes de son cul. Il avait sodomisé Ororo plus d’une fois, mais n’avait jamais eu l’occasion de la partager avec quelqu’un d’autre. Mettant l’idée de côté pour plus tard, il glissa pour l’heure les premières phalanges de son majeur dans son rectum, remuant lentement son doigt pour l’ouvrir avec douceur.

« Humpf, attends… », Grogna-il. A regret, le mutant retira son sexe turgescent de l’intimité béante de la jeune femme et la repoussa doucement en arrière, lui désignant la vitre qui faisait le tour de la coursive pour qu’elle s’y appuie. « Cambre bien ton cul ma jolie », lui susurra-il, à l’oreille, alors qu’il repositionnait son gland à l’entrée de ses grandes lèvres. D’un coup sec, brutal, il la pénétra à nouveau jusqu’à la garde, en laissant échapper un long râle d’aise « Aaaaaaaah… » Ce qu’on pouvait être bien, dans sa chatte !  Ecartant largement son cul pour en faire ressortir l’anus, Logan laissa un long filet de salive tiède couler de ses lèvres entrouvertes pour le lubrifier, puis introduisit cette fois-ci son majeur et son annulaire, avant de recommencer à la besogner en grognant. « Je vais juter dans ta chatte et ensuite je t’enculerai… Comme une grosse pute », gronda-il, alors que ses coups de butoirs devenaient furieux et que ses doigts malmenaient son cul sans le moindre égard. « Hmm hmmm ! » L’orgasme approchait, inexorablement. S’écrasant contre le dos de sa belle amantes, Logan attrapa l’un de ses gros seins entre ses doigts pour en triturer le téton, alors qu’il perdait son nez dans sa crête blanche, râlant comme un damné. Puis ce fut une nouvelle fois la jouissance, les puissants jets de foutre brûlant qui semblaient intarissables.  « Raaaah…Putain, qu’est-ce que t’es bonne ma chérie ! » lorsqu’enfin ses coups de reins cessèrent, une belle quantité de son foutre dégouttait de la vulve massacrée d’Ororo. Lorsqu’il en extirpa sa belle queue veineuse, toute la semence accumulée fut expulsée de ses entrailles, formant une petite flaque translucide au sol.

Logan recula d’un pas, clignant plusieurs fois des yeux pour se remettre de ses émotions. Sa queue avait perdu de sa superbe, mais il savait que cela n’était que temporaires. D’ici quelques instants, il serait de nouveau opérationnel… Pour le plus grand plaisir d’Ororo. Dont il claqua une nouvelle fois le cul rebondi.

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 24 mercredi 27 avril 2016, 12:56:13

La cohabitation, au début, n’avait pas été facile. Ororo était claustrophobe. Dans son enfance, elle avait passé plusieurs jours dans les débris d’un immeuble au Caire, où elle avait perdu ses parents natals. Cette situation avait engendré en elle un fort traumatisme, qui se traduisait par une peur des espaces clos, et par une envie des grands espaces, de la nature, de la savane… C’est ce qu’Ororo appréciait, ce qu’elle désirait, et, pendant longtemps, elle n’avait pu vivre que comme ça, refusant même de dormir dans une hutte, tant elle avait peur que le toit s’effondre à nouveau. Cette fragilité s’était estompée quand Xavier était venu la voir, mais il était notable de voir que, dans l’institut, elle avait choisi de s’installer dans le grenier, près du toit.

Se rapprocher des autres avait aussi été difficile, au début. Là d’où elle venait, elle était considérée par les tribus locales comme une Déesse, et se voir relayer au rang de simple élève avait été, par bien des côtés, assez frustrant. Logan, notamment, n’avait pas eu, au début, l’attrait qu’il représentait maintenant. Comme elle, il venait de rejoindre une équipe en crise, sans trop savoir s’il comptait rester, étant déjà engagé auprès de l’armée canadienne, de la section Alpha Flight. Elle, elle avait appris à composer avec ce nouvel environnement, et était même devenue, provisoirement, leader de l’équipe, quand Cyclope, après le sacrifice de Jean, avait choisi de se retirer.

Le fait est que Tornade avait bien grandi, et, effectivement, avait développé sa perversion. Ce n’était pas le genre de choses qu’elle irait confier à Xavier, mais le fait de ne plus être considérée comme une Déesse avait ça de bien qu’elle avait pu se lancer dans des relations charnelles. Elle avait fait des choses qui auraient fait rougir les nonnes et les associations puritaines américaines, et elle n’en était pas peu fière.

Maintenant, elle et Logan allaient encore s’envoyer en l’air, et, très vite, comme elle s’en doutait, son besogneux avait envie d’agir, autrement qu’en sentant Ororo s’empaler sur ses cuisses. Elle aimait ça, se sentir contre lui, sentir ses muscles, sa force, cette virilité masculine ancestrale. Ce contact égayait en elle des frissons, car, comme Logan, Ororo partageait cette passion secrète pour l’ancien, pour les plaisirs ancestraux, simples et efficaces. Elle avait vécu dans la savane pendant des années, après tout, plus proche de la Nature et des éléments que de l’Homme.

« Hmmmm… !! »

Elle couina ensuite en sentant Logan utiliser ses doigts, la forçant à sucer ses doigts, ce qu’elle fit, le dardant d’un regard vénéneux, et les mordilla même quand il se rapprocha de ses fesses. La sodomie, un plaisir profond et intense pour Tornade, femme d’action et de passion. Wolverine était comme elle, plein d’énergie, ce qui amena ce dernier à finir par repousser la femme, et à l’envoyer contre la vitre. En souriant, cette dernière s’appuya contre cette dernière, ayant une belle vue sur la plage et la mer, et en profita rapidement pour, ainsi que Logan le demandait, se cambrer bien vers l’arrière, courbant ainsi son dos.

« Ah, Logan… Tu aimes ça, hein, me prendre par l’arrière? »

C’était une chose qu’elle n’aurait jamais permis dans sa jeunesse, quand elle se sentait pétrie de divinité. Comme quoi, la femme avait bien évolué, et sentit, tout contre son bassin, en frémissant, la virilité de l’homme, glissant le long de son corps. Dans son dos, Logan la dominait, dressé contre elle, et palpa son corps, puis retourna rapidement dans sa chatte, plaquant pendant quelques secondes le corps de la belle Tornade contre la vitre, enfonçant ses seins dessus, cette dernière se mettant à gémir et à couiner.

Ororo savait aussi combien l’homme aimait la tirer par les cheveux. Avant, elle avait une longue chevelure argentée, qui lui descendait jusqu’aux fesses, mais elle s’était rasée il y a quelques mois, quand la communauté s’était divisée en deux. Quand une femme change d’homme, elle change de coiffure, disait-on, adage qui se tenait presque pour elle. Ses cheveux, néanmoins, avaient repoussé, formant une longue crête blanche, qui, une fois qu’on s’y habituait, lui allait plutôt bien.

En tout cas, ce changement de coiffure n’avait pas l’air de gêner Logan, qui la besognait, encore et encore, envoyant sa tête taper contre la vitre. Jadis, quand Ororo peinait à retenir ses pouvoirs, un orgasme déclenchait toujours, chez elle, des tempêtes. Certaines tribus estimaient même nécessaires de la faire jouir pour avoir la pluie. Maintenant, Ororo maîtrisait ses pouvoirs, et le temps ne se modifia donc pas… Pas trop. Tout juste apparut-il quelques légères bouffées de vent supplémentaires, tandis qu’elle sentait Logan jouir, se vidant en elle, balançant de grands chapelets de foutre.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaannnn… !! » en hurla la femme.

Il se retira ensuite, laissant le foutre glisser le long des cuisses de la femme, formant des lignes torsadées le long de ses jambes. Souriant sensuellement, Tornade le sentait encore dans son dos, mais elle n’était pas de ces femmes dociles qui se laissaient besogner pendant des heures sans réagir. De la main, elle agrippa la nuque de l’homme, et se redressa après sa claque. Son dos heurta le torse de Logan, et elle tourna la tête, se mordillant les lèvres, avant d’embrasser sa bouche.

« Et toi, tu es toujours cet amant insatiable que j’aime tant… »

Quelques secondes passèrent, avant qu’elle ne rajoute, provocatrice :

« Mais n’espère pas t’en tirer à si bon compte, Logan, il te reste encore un cul à prendre… »
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 25 mercredi 18 mai 2016, 20:38:01

Insatiable, lui ? Allons bon ! Logan ne put s’empêcher, grognant d’aise, alors qu’Ororo se lovait une nouvelle fois contre lui, écrasant son gros cul contre sa verge souillée. S’il pensait avoir besoin d’une petite pause, tel n’était l’avis de la sensuelle africaine qui lui vola un baiser langoureux. L’homme referma une nouvelle fois ses doigts épais sur ses hanches, glissant sa grosse queue humide dans le sillon que formait l’espace entre ses deux fesses. Et ce divin cul, à la fois tendre et ferme d’épouser les lignes de son vit. « Huuum… Petite impatiente », grogna le vieux mutant, avant de glisser sa langue entre les lèvres de sa partenaire. Le facteur auto-guérisseur de Logan, lui permettait évidemment de survire à des blessures mortelles, mais il avait d’autres implications quotidiennes ; il pouvait fumer comme un pompier sans risquer un cancer des poumons, s’enivrer à outrance sans craindre l’ivresse – ce qui à vrai dire, était plutôt contrariant-, ou encore baiser inlassablement sans craindre d’assécher ses bourses. Ceci contribuait à faire de lui un très bon amant, puisqu’il se donnait toujours entièrement au coït, sans craindre de jouir trop vite, assuré comme il l’était de pouvoir enchaîner d’autres rounds.

« Je vais donner à ton cul ce qu’il mérite, ma belle. Une bonne grosse queue joufflue »
, ajouta-il, alors qu’il écartait sans ménagement les fesses rebondies de la belle noire pour exposer une nouvelle fois son anus déjà dilaté, luisant de salive et du foutre dont Logan l’avait aspergé. « Tu meurs d’envie de te faire enculer, pas vrai,  ma belle Princesse ? », lui glissa-il tendrement, alors qu’il glissait sans ménagement son membre en elle, écrasant son gland violacé contre la corolle de l’anus avant de l’enfoncer brutalement. « HMMMM PUTAIN », grogna-il, enfonçant ses doigts puissants dans la chair de ses cuisses, alors que ses couilles s’écrasaient contre le cul de l’africaine. Le foutre qui dégouttait encore de son méat avait facilité la violente intromission, et faisait à présent office de lubrifiant naturel… Quoiqu’Ororo n’en ait pas véritablement besoin.

Enfoncé en elle jusqu’à la garde, le mutant impulsa un lent mouvement de piston, les yeux rivés sur la croupe qu’il foutait, les yeux rivés sur son énorme trique qui fouissait puissamment les entrailles de la mutante. « Raah… » La queue de Wolverine enflait à vue d’œil, alors que le mutant recouvrait sa vigueur et que les derniers signes de lassitude s’évanouissaient de son organisme hyperactif. Il avait plaqué l’une de ses grosses mains contre la poitrine de l’africaine, pour garder son torse musculeux tout contre son dos en nage, son bassin rebondissant brutalement contre le cul rebondi d’Ororo. Des grognements rauques et brefs s’échappaient de ses lèvres entrouvertes alors qu’il accélérait la cadence, gratifiait ce cul impérial de véritable coup de butoir, qui faisait décoller du sol les talons de la belle africaine. « Quelle… Salope…Humm… Ah, Si… Kurt te voyais te faire enculer… comme une grosse pute ! » A vrai dire l’hypothèse était plutôt amusante. L’adolescent avait toujours considéré Tornade comme une grande sœur, voire une mère de substitution (il fallait dire que sa mère biologique n’était pas un cadeau), mais Logan n’aurait pas été étonné de découvrir qu’il fantasmait également sur elle… Comme la plupart des individus mâles – voire femelles – de l’institut Xavier.

Sentant qu’il n’allait pas tarder à jouir une nouvelle fois, Logan ralentit progressivement la cadence, pour finalement déculer. Laissant l’anus béer l’espace d’un instant, avant d’y réintroduire immédiatement sa verge jusqu’à la garde, envoyer claquer ses bourses pleines contre les lèvres détrempées de sa vulve. L’anus violenté de l’africaine se crispait autour de sa trique, et bientôt Logan n’y tint plus. Repoussant la jeune femme vers l’avant, il la sodomisa avec une brutalité animale, envoyant de grosses claques s’écraser sur ses fesses, avant de pousser un long râle de jouissance, alors qu’il jutait à nouveau. « AAAAAAAARGH ! » Son colossal sexe pulsait du gland à la base, déversant un flot de foutre brûlant dans son cul massacré. Il s’écroula sur elle bien avant que le flot de semence ne se tarisse, avant de rouler sur le côté en la serrant contre lui, son pal toujours planté en elle. La verge dégonfla doucement alors qu’il la cajolait, caressant ses longues cuisses musclées de ses paumes tièdes, posant ses lèvres brûlantes sur sa nuque.

« Nous devrions peut-être y aller », hasarda-il finalement d’une voix absente, encore sonné par la puissance de l’orgasme qui venait de le terrasser.

En effet, la journée qui l’attendait le lendemain risquait d’être riche en émotions.

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 26 samedi 21 mai 2016, 11:59:08

Si Kurt la voyait, il aurait sûrement demandé à en faire partie.  L’elfe bleu avait toujours été un invétéré dragueur, séducteur endimanché, usant de poésie germanique et de métaphores bavaroises pour tenter de séduire les filles. Toutes les X-Girls avaient eu droit, ou presque, aux tentatives de séduction de Kurt, et Ororo la première. L’anecdote était fameuse. Quand elle était venue à l’académie, en compagnie de nouveaux X-Men, comme Wolverine, Colossus, ou encore Nightcrawler, elle était une Déesse africaine, habituée à être nue dans les éléments naturels, surtout aquatiques. Elle nageait nue dans la piscine quand Kurt l’avait surpris. Le choc avait été de taille pour le brave Kurt, surtout que, juste après, Colossus et Wolverine étaient également arrivés. Et Ororo avait toujours été d’une grande beauté.  À l’époque, elle avait une très longue chevelure argentée, qui descendait jusqu’à ses chevilles, magnifiant son caractère sauvage et sensuel. Même maintenant, alors qu’elle s’était rasée la tête, une longue crête avait commencé à pousser. Autant dire qu’elle n’était pas trop perturbée à l’idée de choquer Kurt.

En attendant, Logan se faisait plaisir à lui défoncer le cul, et c’était bien ça qu’Ororo lui demandait. Du sexe intense, jouissif, lourd, sans hésitation. Le mâle en rut se lâchait en elle, malmenant son cul, la faisant grogner et soupirer. Appuyant ses mains contre le mur, elle couinait et gémissait, sentant ce gros mandrin s’enfoncer en elle, déchirant ses parois internes pour se glisser un passage. Un véritable bulldozer qui la ramonait de l’intérieur, défonçant tous les échafaudages, comme si la queue de Logan était un boulet de démolition qui ravageait tout sur son passage. Une verge impériale, royale, qui s’enfonça en elle pendant de nombreuses minutes. Dans son dos, le sauvage grognait et soupirait. Jadis, elle l’aurait tué pour l’humilier à ce point. Maintenant… Elle adorait ça !

« Hann… Par la Déesse ! Haaaa… !! Lo… Logan… Haaa… Logan !! »

Ho, il n’y allait pas de main morte, le diable ! Il alla même jusqu’à retirer sa queue, laissant une Ororo frissonnante, le cul dilaté. Chaque caresse de l’air frottait sur son anus, sa rondelle ouverte comme la Porte des Étoiles. Elle soupira, de la sueur coulant le long de son front, et sentit l’homme revenir, infligeant une charge de souffrance supplémentaire, tout le corps de Tornade venant l’accompagner.

« HAAAAAAAAAAAAAAAA… !! » hurla-t-elle

*KRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAKKK !!*

Dehors, la foudre tonna, un éclair déchirant le ciel. Un changement climatique incompréhensible, car un nuage venait subitement d’apparaître. Pas de pluie, mais du vent, et des éclairs, tandis que Tornade venait d’avoir son orgasme, qui connut bientôt une seconde réplique, quand Wolverine se vida en elle. Un orgasme à la hauteur de tout ce que l’homme était capable de produire. Grognant longuement, il se vida, et, dans un hurlement suraigu, Tornade jouit une seconde fois, provoquant un second coup de tonnerre.

Le nuage disparut ensuite, tandis que Tornade, en sueur, se retrouva prostrée sur le sol.

« Pffffuuuu… Pfffffuuuuu… »

Logan avait aussi besoin de reprendre son souffle, et un léger sourire finit par éclairer les lèvres de Tornade, quand il proposa de sortir.

« Ouais… Hum… Sinon, tu vas me faire provoquer un cyclone, sourit-elle. Mais… Laisse-moi quand même un peu de temps… »

Son corps se rappelait encore de ce que ça faisait de coucher avec Wolverine.

Et c’était bon.




Plus tard…

« L’école va bien… Mais la situation des mutants reste largement préoccupante. »

Le Irish Pub ne mentait pas. C’était l’un des rares pubs de Seikusu, un héritage de l’époque où les soldats américains avaient colonisé Seikusu, après la capitulation du Japon, en 1945. La Harley Davidson de Logan était garée dehors. Les deux avaient grimpé dedans après leurs retrouvailles dans le phare. Le sexe était fini, c’était l’heure de revenir aux sujets usuels, et de tenir Wolverine au courant des actualités récentes.

« Moi… Outre développer des incidents internationaux, je recherche de nouveaux mutants. Cérébro en a détecté beaucoup à Seikusu, et Kitty m’a confié d’y aller. Entre nous, elle préfère que je sois ici, plutôt que dans des îles, à créer des crises diplomatiques. »

Par ce biais, Ororo faisait référence à sa récente escapade à l’île de Santa Marco. Une petite île de l’Amérique Centrale, un État souverain dirigé par un dictateur, accusé par plusieurs ONG de participer au trafic de drogues en partance d’États sud-américains, et d’être un paradis fiscal. Transparency International classait l’île en tant que telle. Ororo s’y était rendue récemment, car un cyclone menaçait de ravager l’île. Santa Marco était une allégorie du monde actuel. La majeure partie de la population vivait dans des bidonvilles crasseux, et le dictateur local entretenait une puissante milice. Tornade s’y était rendue, faisant fi des protocoles internationaux, afin de retenir les effets du cyclone, ce qui n’avait pas plu à l’armée locale. Les vidéos de ses exploits avaient fait le tour du monde, et les gouvernements avaient été furieux.

Ororo, elle, prenait ça avec le sourire. Elle refusait ce monde hypocrite où la souveraineté étatique était invoquée comme bouclier pour permettre aux États de ne rien faire pour protéger des populations, juste parce que ça servait leurs intérêts à court terme, et engendrait des catastrophes sur le long terme.

« Mais… Et toi ? Tu retravailles à nouveau pour le gouvernement, donc ? Depuis quand est-ce que tu as une clone ? Ta famille s’agrandit. »

Outre son frère, Victor Creed, Logan avait aussi eu un fils, Daken. Il avait été conçu en 1945, quand Logan était au Japon, avant qu’il ne rejoigne le programme Weapon-X. La mère de Daken, Itsu, avait été tuée, ce qui fit que l’existence de Daken fut longtemps restée secrète. Hélas, si Logan était encore un peu social, Daken était bien loin de l’être. Son fils était un psychopathe, qui haïssait profondément son père biologique, et Ororo avait même supposé que, à l’origine, Logan se soit rapproché du SHIELD pour en savoir plus sur lui… Et, surtout, pour avoir un échantillon du C-Synth. Le carbonadium est un métal extrêmement rare, un peu comme l’adamantium, et qui ne peut être produit que par le C-Synth. Or, l’une des fonctions du cartbonadium était qu’il pouvait altérer le facteur autoguérisseur de gens comme Wolverine… Ou Daken. Autant dire que cet appareil était difficile à trouver. Les Soviétiques l’avaient conçu, mais, depuis la destruction du bloc soviétique, l’appareil avait disparu.

Visiblement, en cherchant, Wolverine avait trouvé d’autres problèmes… Comme Laura Kinney.
DC d’Alice Korvander.

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James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 27 mardi 24 mai 2016, 15:12:41

Comme à chaque fois avec Ororo, le sexe avait été magistral. La mutante avait même failli déclencher un violent orage lorsqu’elle avait déchargé. Ils étaient ensuite resté quelques instants collés l’un à l’autre sur le sol, profitant de la chaleur respective de leurs corps en nage, puis s’étaient levés pour partir lorsqu’ils avaient commencé à frissonner. Ils avaient enfourché la bécane de Wolverine, histoire d’aller boire un petit coup en ville. Le nez dans son verre de whisky, le cul vissé sur un tabouret un tantinet trop haut, Logan écoutait attentivement son amie. Ce bouge avait été l’un de ses repaires pendant longtemps, et il avait connu le grand-père de l’actuel patron, un trentenaire roux et baraqué.

« A mon avis, Kitty t’as envoyé ici précisément pour éviter d’autres incidents diplomatiques », lança Logan, qui ne plaisantait qu’à moitié.

Wolverine avait également une affection particulière pour Kitty, qu’il avait connue enfant, tout comme Kurt. Il lui avait enseigné le combat au corps à corps de longues heures durant et avait assisté, relativement médusé à sa transformation en une jeune femme surdouée et ravissante. Chez les X-men, c’était probablement la plus compétente en matière de macro-stratégie. Se souvenant de l’adolescente timide qu’elle avait été, Logan eût un sourire amusé qui s’effaça, lorsque la conversation dériva vers X-23.

« Je viens de l’apprendre, presque par hasard. HYDRA se lance dans une opération de clonage à grande échelle, comme tu as pu le constater. Cependant Laura n’a rien à voir avec les copycats que nous avons combattu à Seikusu. Elle n’est ni une pâle copie de moi-même, ni une criminelle à qui on aurait refilé le facteur X par intraveineuse… Et à la différence de Daken , c’est avant tout une victime ».

Le visage du vieux mutant se fendit d’un sourire fatigué. Lui qui s’était efforcé de ne pas procréer pour éviter d’imposer le fardeau du gêne mutant à sa progéniture s’était découvert un clone et un fils naturel qui, outre des pouvoirs semblables aux siens, partageaient l’envie profonde de le supprimer. A cet égard l’histoire se réécrivait, puisque Daken comme Laura tenaient Wolverine pour responsable de la mort de leurs mères respectives. 

« Le SHIELD tu veux dire ? »
Logan tenait à la précision.

Étant de la vieille école, il ne partageait pas les opinions internationalistes de son amie. Pour lui, la souveraineté devait continuer de régir les relations entre État et il estimait que dans la plupart des cas l’ingérence causait davantage de problèmes qu’elle n’en réglait. Son passé de mercenaire le lui avait assez largement prouvé et c’est pour cette raison qu’il avait cessé de travailler pour toute organisation gouvernementales ou internationales pour se consacrer au projet du plus grand télépathe du monde. Charles en effet, avait un projet simple, et pur ; protéger et former les jeunes générations de mutants à vivre en harmonie avec les humains. 

« J’avais rompu le contact il y a des années, mais lorsque qu’Emma m’a informé de l’existence et des exactions de Daken, je m’en suis senti responsable, et je me suis rapproché de Romanoff pour me procurer du carbonadium. Le moins qu’on puisse dire est que ça n’était pas une très bonne idée. »

C’était à croire que Wolverine était un habitué des geôles du SHIELD. Devant le refus permanent de Natasha de lui procurer ce qu’il cherchait – La russe ne lui avait jamais vraiment fait confiance – il s’était introduit dans les laboratoires de Seikusu Base Camp pour mettre la main sur le C-Synth. Malheureusement, l’histoire s’était assez mal terminée, puisqu’un escadron entier lui était tombé dessus. Il avait écopé de 24 heures de cachot et d’un sermon en règle de Romanoff, qui lui avait ensuite assuré que le SHIELD préférait s’occuper du cas de Daken, mais que Logan était le bienvenu s’il souhaitait leur apporter son aide.

Logan avait naturellement envoyé la jolie rouquine se faire foutre, puis avait quitté les lieux comme elle l’invitait à le faire d’un air las.

« J’ai confronté et combattu plusieurs fois Daken. C’est un véritable psychopathe qui sait pertinemment ce qu’il fait. Il tue des gens pour le plaisir et je ne crois pas qu’il soit capable de ressentir des émotions. Il a su prendre le dessus sur ses instincts primaires pour devenir un meurtrier froid et calculateur. Enfin bon, j’ai perdu sa trace définitivement il y a trois ans, mais je suis certain qu’il finira par refaire surface. J’espère simplement qu’il n’a rien à voir avec l’histoire de Laura. »


Daken était irrécupérable, Logan en était persuadé. Personne ne l’avait manipulé, et il avait toujours effectué ses choix en connaissance de cause. La terre se porterait probablement mieux sans la pourriture qui lui servait de fils, et Logan avait bien l’intention de le tuer lui-même, s’il en avait l’occasion. Toutefois il ne pouvait s’empêcher de sentir en partie responsable. Il n’avait pu empêcher Bucky Barnes d’assassiner sa mère et n’avait jamais su que son fils avait survécu. Dans le cas inverse les choses auraient-elles été différentes ? Logan lorgna le fond de son verre, le vida cul-sec, puis le leva en direction du barman pour en obtenir un second.

« Laura n’a rien à voir avec lui. C’est une gamine aux abois à qui on a lavé le cerveau un nombre incalculable de fois. Xavier et moi devons la sortir de la prison mentale dans laquelle elle est enfermée. A mon avis, il a des plans pour elle. Tu sais comme moi que Charles ne se déplace jamais pour rien ».

Laura Kinney

Créature

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 28 mardi 24 mai 2016, 21:53:09

La folie était-elle héréditaire chez les Howlett ? Logan faisait partie de tous ces X-Men qui avaient, peu à peu, refoulé leurs pulsions meurtrières et sadiques, au profit d’inspirations plus nobles. De fait, Charles Xavier avait toujours été un fervent soutien de la rédemption. Les exemples ne manquaient pas au sein des X-Men : Emma Frost, Wolverine... Ou encore Magnéto, qui était l’exemple le plus parlant. Quand Xavier avait connu Logan, il travaillait pour les forces spéciales du gouvernement québécois, ne se souvenant pas de son passé, affrontant des créatures sauvages, comme le Wendigo, ou Hulk. Peu à peu, son passé avait refait surface, avec toutes les atrocités qu’il y avait derrière, et, plus les années passaient, et plus les ombres opaques du passé de l’Immortel refaisaient surface. Son frère, Victor Creed, était un autre psychopathe, et Daken... Daken était un Wolverine sans la compassion qui caractérisait le vieux guerrier. C’était un psychopathe, sans aucune morale, qui avait voué sa vie à détruire son père. Peu de gens étaient au courant que Wolverine avait un fils, et Daken était activement traqué par le SHIELD depuis l’épisode dévastateur du HAMMER.

Une période où, après l’échec du SHIELD à déceler une invasion extraterrestre, Tony Stark avait été démis de ses fonctions. Le Pentagone avait alors confié la tâche de façonner un nouveau SHIELD, et avait confié cela à un homme d’affaires dont la réputation avait été discréditée, et qui avait réussi à gagner un procès long et très médiatisé... Norman Osborn. L’homme d’affaires s’était payé les avocats les plus prestigieux de New York, et ces derniers avaient su exploiter toutes les failles d’un dossier bancal, puisque ne reposant essentiellement que sur les éléments de preuve et les interventions d’un individu masqué se prenant au-dessus des lois. On avait mis en avant la mort de son fils, Harry Osborn, on avait produit des contre-expertises psychiatriques pour attester que l’homme était sain d’esprit. Le procès avait duré des années, et avait abouti sur un non-lieu général. Osborn avait ensuite entrepris de se refaire une santé en se faisant oublier, et avait utilisé ses contacts et ses amis auprès du Congrès pour devenir le directeur du programme Thunderbolts, un programme visant à employer des supers-criminels dans des missions dangereuses et risquées, afin de les réhabiliter.

Osborn avait profité d’évènements qui avaient durablement impacté l’image bénéfique de justiciers agissant au-dessus des lois, et faisant usage de pouvoirs terrifiants : la Civil War, l’attaque de Hulk sur New York... En définitive, le gouvernement l’avait chargé& de reconstruire en profondeur le SHIELD, et Osborn avait conçu le HAMMER. Utilisant ses nombreuses ressources, l’homme avait conçu plusieurs structures proches du HAMMER, comme la Cabale, une organisation secrète regroupant Emma Frost, Namor, The Hood, Loki, et Fatalis, et formant une alliance de dupes entre ces individus, en leur garantissant le soutien du HAMMER. Loki avait aidé The Hood à se constituer une armée de super-vilains, augmentant leurs pouvoirs grâce aux artefacts asgardiens volés par Loki.

Et, parallèlement à tout ça, Osborn avait formé sa propre équipe d’Avengers, les « Dark Avengers ». Une équipe de psychopathes qui avaient repris l’identité de certains Avengers célèbres, et parmi lesquelles il y avait eu... Daken.

Le fils de Wolverine avait repris l’uniforme de son père, pour mieux pouvoir le retrouver, et c’était comme ça qu’Ororo avait entendu parler de Daken. Avec Osborn à la tête du HAMMER, les évènements avaient dégénéré, surtout pours les X-Men. Osborn avait monté l’opinion publique contre les X-Men, et ils s’étaient battus contre les Dark Avengers. Et, peu à peu, les évènements avaient dégénéré jusqu’à une guerre ouverte contre Asgard. Un conflit apocalyptique qui avait abouti à l’arrestation d’Osborn, mais Daken, pendant la bataille, avait disparu.

Et, depuis lors, autant dire qu’il faisait partie de la liste des cibles les plus recherchées du SHIELD.

« Hmmm... Charles est... Préoccupé. Et il a raison. La mutanité est en triste état. Charles voulait rénover Genosha, mais il a compris que les mutants avaient affaire à des problèmes sérieux. Honnêtement, je pense qu’il est là pour les mêmes raisons que toi... Et que moi, même si nous envisageons le problème sous des aspects différents. »

Elle se tut un peu, avant de reprendre :

« L’HYDRA mène des expériences sur nous. Ils tentent de reproduire le gène-X, avec plus ou moins de succès... J’ai toujours vu ces types comme des fanatiques un peu cinglés, mais qui appartenaient au siècle dernier. Visiblement, ils ont laissé tomber leur délire néonazi pour s’adapter à des enjeux plus modernes. J’ignore ce qu’ils nous veulent, mais Charles pense que Laura peut apporter un élément de réponse. »

Le HAMMER avait eu de graves conséquences, car, même après la chute d’Osborn, beaucoup d’agents du HAMMER avaient été furieux de voir le gouvernement nommer Steve Rogers à la tête du SHIELD, et avaient choisi de rester fidèle au credo d’Osborn, en rejoignant l’HYDRA. L’organisation tentaculaire avait connu un violent coup de fouet grâce à ça, ressortant des cendres dans lesquelles elle avait progressivement atterri.

Ororo resta silencieuse quelques secondes supplémentaires, et sourit ensuite évasivement.

« Elle est comme nous... Une naufragée. Charles m’a aidé quand j’ai fait ma crise de foi, tout comme il t’a aidé, toi... Mais, cette fois, je pense que ce sera à toi de sauver Laura de ses démons. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


James Howlett

E.S.P.er

Re : Who Am I ? [James Howlett]

Réponse 29 jeudi 22 septembre 2016, 12:30:07

Songer à Daken avait réveillé de vieux souvenirs chez Logan. Son fils était son échec le plus retentissant, et depuis ses mésaventures avec lui, il avait résolu de ne plus jamais engendrer ce que jusqu’à présent, il était parvenu à faire, réservant son instinct paternel à l’instruction des jeunes recrues chez les X-mens.

« J’espère que Daken n’est pas au courant de l’existence de Laura, ça rendrait les choses beaucoup plus compliquées. »

Daken était un mutant intelligent, qui était parvenu à piéger son rustre de père bien souvent ; nul doute que s’il apprenait qu’il existait une mutante dotée des mêmes capacités d’eux, et qui partageait avec lui sa haine inextinguible du vieux mutant, il chercherait à la mettre sous sa coupe. D’autant que la rancœur de Daken ne se limitait pas à son père : c’était un psychopathe qui prenait un véritable plaisir à massacrer des innocents.

« Enfin de toute façon, personne n’a entendu parler de lui depuis un bon moment. Peut-être même qu’il est mort », lâcha-il, sans conviction.

Logan et Tornade avaient encore discuté une bonne heure, évoquant d’autres bons et de mauvais souvenirs, puis s'étaient éclipsés à la fermeture du bar. Wolverine avait ramené son amante à Seikusu base camp, mais l'avait quittée sur le parking, désireux de jouir de quelques heures de solitude avant le lever du soleil. La journée du lendemain en effet, s'annonçait des plus éprouvante.

Cinq heures plus tard, Logan observait Laura, vêtue d'une simple blouse médicale à travers la colossale vitre sans teint qui les séparaient. On lui avait administré un puissant sédatif avant de la conduire dans cette petite salle cubique et matelassée. Entravée aux poignets, cheville et au cou, elle portait une casque muni d'une douzaine d'électrode sur le sommet du crâne -probablement un dispositif pour accroître la puissance des pouvoir télépathique du professeur Xavier... Lequel se faisait d'ailleurs quelque peu attendre. Les mains croisées derrière le dos, le vieux mutant fronça les sourcils en observant le visage de son clone femelle ; ainsi endormi elle n'avait pas l'air plus dangereuse qu'une adolescente lambda.

« A priori, on devrait pouvoir la garder dans cet état pendant quelques heures. Ce qu'on lui a donné assommerait un bœuf pour une semaine », commenta un médecin, occupé à effectuer des réglages sur la console.

Logan hocha la tête, silencieusement, l'air sombre. A vrai dire il n'en menait pas large ; les pouvoirs psychiques étaient pour lui parfaitement incompréhensibles et il avait du mal à concevoir comment Charles allait pouvoir les projeter dans l'esprit de la gamine. Toutefois il n'y avait bien évidemment pas d'échappatoire. Ororo avait eu des mots assez juste la veille, quand elle avait décrit l'adolescente comme une « naufragée ». L'âme de Laura était en miette et il allait falloir l'aider à trouver la bonne voie... Ou du moins une voie plus acceptable que celle qu'elle avait emprunter jusqu'à présent.

Logan sortit un paquet de cigarette de sa poche, et s’apprêtait à en porter une à ses lèvres, mais se ravisa lorsqu’il surprit le regard courroucé de l’un des assistants. Soupirant, il se laissa tomber dans un fauteuil blanc immaculé. Quelques minutes plus tard, la double porte-blindée s’ouvrit enfin sur Charles Xavier, dans son traditionnel fauteuil-roulant automatique.

« Vous en avez mis du temps, Charles », grogna le mutant, en se redressant.


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