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Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

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Rhian Thoris

Humain(e)

Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

mercredi 28 octobre 2015, 17:18:00

« Ne t’inquiète pas, ma sœur, je reviendrais triomphant... »

Il l’avait embrassé sur le front, avec ce petit sourire en coin, presque insolent, qu’il avait toujours sur lui. Un sourire qui se voulait rassurant, puis il s’écarta ensuite de Rhian. Cette dernière avait le cœur serré, et se pinça les lèvres. Elle avait envie de lui dire de ne pas partir, de lui hurler qu’elle avait un terrible mauvais pressentiment, mais elle savait très bien qu’Herebos, son insouciant et insolent grand-frère, ne l’aurait pas compris, et aurait pris cela pour l’inquiétude légitime d’une petite sœur quand son grand-frère part au combat. Il reviendrait triomphant, comme les autres fois, et c’était une chose que Rhian essayait de se dire, tentant de s’en convaincre, mais sans arriver à se le dire vraiment, car elle était encore marquée par ce mauvais pressentiment qui la tiraillait, cette impression terrible que rien n’allait fonctionner comme prévu.

Herebos salua son père, lui assurant qu’il allait rétablir l’ordre dans les provinces, en chassant les bandits, comme il l’avait assuré à la population préoccupée de la capitale. Son discours avait été un discours flamboyant, illustrant le fait que, progressivement, Herebos était bel et bien en train de devenir le nouveau Roi de Papua. Il était à la fois proche de Papua et d’Ashnard, ayant fait ses classes militaires auprès de l’Empire. Il serra ensuite sa mère dans les bras, puis finit par se retourner. Rhian l’avait vu partir, montant sur son cheval pour rejoindre ses lieutenants, et, au-delà de ça, son armée.




La nuit s’était abattue sur Papua, et, depuis la terrasse, Rhian observait le champ étoilé dans le ciel. Là, quelque part, Herebos avait dû s’arrêter pour bivouaquer. Les nuits, à Papua, étaient aussi froides que les journées chaudes, car, quand les rayons lumineux n’éclairaient plus le sable, il devenait rapidement glacial. La Princesse de Papua s’humecta les lèvres, restant sur la terrasse, et baissa la tête vers les jardins. Le Palais de Papua était une vaste structure, comprenant diverses cours, et plusieurs jardins. Ce jardin-ci faisait partie du « cercle intérieur » du Palais, l’endroit réservé aux courtisanes. Il n’y avait plus personne dans les jardins, et Rhian s’était montrée assez réservée depuis le départ de son frère.

*Herebos...*

L’homme était parti chasser des bandits, des brigands qui sévissaient dans les régions reculées de Papua. Ils avaient assiégé plusieurs villages, et on parlait d’une véritable horde qui déferlait en ce moment sur Papua. Rhian était nerveuse, et le sommeil se refusait à la voir venir... Elle se retourna donc, et retourna dans sa chambre. La femme était quasiment nue, car elle avait retiré la plupart de ses bijoux, de ses ornements et de ses vêtements. Son corps frissonnait, et elle se rapprocha de son grand lit soyeux.

Ce soir, elle aurait dû venir au harem, mais elle n’avait pas eu le courage d’y faire. Tous les proches de Rhian savaient combien la Princesse appréciait son frère, combien ils étaient proches... C’était Herebos qui entraînait Rhian au combat, quelqu’un qui avait officiellement dit que les traditions n’étaient pas toujours bonnes à respecter, notamment celle disant que la Princesse devait forcément se marier. Rhian était contre l’idée sordide d’un mariage politique, et Herebos le comprenait, ce qui était une source d’opposition entre lui et Tomeyrus, le Roi.

Ce soir, donc, Rhian n’était pas venue au harem, ce qui était clairement le signe qu’elle était troublée, troublée et perturbée... Elle venait de se coucher sur son lit, observant le plafond, mais incapable de trouver le sommeil, sa porte entrouverte, comme pour laisser entrer quiconque voudrait la réconforter...

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 1 mercredi 28 octobre 2015, 21:43:01

De son petit air chantonnant, la jeune femme se regardait de manière nonchalante dans la glace alors que d’un revers léger de sa main, sa petite brosse coulissa finit de retourner une mèche. La courtisane finissait sa toilette du soir ; un rituel qu’elle s’imposait avant d’aller dormir, qui consister à démêler sa longue et soyeuse chevelure, et de retirer toute forme de cosmétique de son faciès. À vrai dire, les yeux de Mélonye semblaient naturellement être mis en valeur. La jeune femme ne mettait que ce genre d’onguent que par plaisir personnel, et amour de la beauté. C’était quelque part ce petit côté subtilement superficielle qui faisait son charme. Ainsi donc, la courtisane finissait son rituel, puis se regarda une dernière fois dans le miroir, en souriant. Aujourd’hui, elle et quelques comparses du harem avaient passés une journée assez calme, ce qui était au début déroutant. Mais la raison se cachant derrière cette abstention, que ce soit de la part de la reine ou de la princesse, expliqua tout.

En effet, le départ du prince Herebos n’était pas un évènement des plus joyeux. L’héritier devait s’occuper d’un problème s’étant déclaré dans des terres reculées du royaume ; des hordes de barbares et de bandits sévissant en toute impunité. Il était de son devoir d’agir, et il avait pris la décision d’y aller personnellement, aux côtés de ses Hommes. Une brave initiative qui pouvait le faire monter en estime aux yeux du peuple, qui pourrait sans doute, suite à cela, voir le véritable héritier qui se cachait en lui. Mélonye ne connaissait pas autant le prince que la princesse elle-même, mais en revanche, elle savait que celle-ci tenait beaucoup à son frère. Sa relation très proche était une cause de sa grande affection pour lui et naturellement … Elle n’était pas dans son assiette aujourd’hui. Etrangement ou non, Mélonye souriait en partie à cause de ça. Car elle savait, ou du moins espérait, comment faire pour redonner un peu le moral à sa princesse.

Ce fut pour cette raison que une fois sa toilette terminée, elle quitta le harem, toute pimpante et radieuse, alors que pourtant, elle était au naturel. Heureusement que les couloirs du palais étaient éclairés, que ce soit par bougie ou par rayonnement de la lune, sinon ça aurait été une tâche plus ardue pour rejoindre les appartements de la noble. Mélonye arriva cependant à destination, voyant à sa surprise que la porte était déjà entrouverte. (Non, je ne me suis pas faite doublée quand même ! ) Pensa-t-elle sur le moment. Si une autre courtisane était venue réconforter Rhian à sa place, elle piquerait une crise, sans aucun doute. Ce soir, c’était son rôle de venir discuter et tenter de calmer les inquiétudes de son amie, et non celui d’une autre ! Ainsi, un peu anxieuse de voir de la concurrence, elle posa sa main sur la porte en bois puis la poussa doucement, ses yeux félins balayant alors l’intérieur de la pièce, à la recherche d’une quelconque femme autre que Rhian. Finalement, son regard la rassura, et n’aperçut alors que la sublime noble, allongée sur son lit, presque nue.

(J’ai froid à sa place …) Pensa-t-elle à nouveau, ayant elle-même froid alors qu’elle portait une légère robe de nuit blanche, quoiqu’un peu trop légère puisque transparente par endroit. Ainsi, Mélonye fit quelques pas à l’intérieur de la chambre, fermant soigneusement la porte derrière elle, et faisant donc état de sa présence. « Bonsoir Rhian … Je, hum je ne te dérange pas j’espère ? J’ai vu que tu t’étais un peu isolée aujourd’hui donc … » Dit-elle timidement, avançant tout de même vers le grand lit. La particularité de Mélonye, était qu’elle était audacieuse et osée. Elle avait bien vue que son amie s’était retranchée dans ses quartiers depuis le départ de son frère, et que logiquement, elle ne souhaitait voir personne. Pourtant, la courtisane approcha d’un pas prudent, et prit assise au coin du lit, en pliant une jambe afin de la poser complètement dessus, pour se tourner vers la princesse. « Je n’aime pas te voir dans cet état Rhian … Je … Je sais que c’est le départ d’Herebos qui te fais ça. Ce n’est jamais joyeux un départ mais, il reviendra tu sais. Et sain et sauf ! Comme toute les autres fois. » Dit-elle d’une voix douce et avenante. Elle esquissa un sourire tendre, portant son regard ambré vers la princesse, contemplant au passage son merveilleux corps exposé.

Il n’y avait pas à dire ; même triste, Rhian était la femme la plus belle que Mélonye n’ai jamais vu. Mais ce soir, du moins pour le moment, elle regardait surtout son petit air triste et cela lui faisait autant mal au cœur … Car elle n’aimait tout simplement pas voir son amie dans de pareilles états. « Il n’y a aucune raison de se faire du souci pour lui. » Ajouta-t-elle, prenant l’initiative de glisser sa main sur les draps soyeux du lit, pour venir l’apposer par-dessus celle de Rhian.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 2 mercredi 28 octobre 2015, 22:32:16

« Allons, Rhian, tu peux faire mieux que ça !
 -  Tu frappes trop fort ! avait-elle protesté.
 -  Un simple soldat pourrait parer mes coups... Je vais finir par croire que Père a raison en disant que ton rôle est de juste porter des bijoux... »

Cette boutade fit enrager Rhian, qui se redressa, et, tenant son épée à deux mains, se rua sur lui en hurlant. Elle leva bien haut son épée, et cette dernière s’abattit sur celle d’Herebos. Elle rebondit, et attaqua à nouveau, sans aucune technique. Herebos pivota sur le côté, et lui fit un nouveau croche-pied, envoyant Rhian s’étaler à nouveau sur la pelouse de la cour.

« Tu vois ? Ce n’est pas la vitesse qui te manque, mais tu te rues comme un chien qui court après son bol de pâté ! »

Rhian s’était à nouveau relevée, et les lames s’étaient entrechoquées, cette dernière essayant de mettre en application les mouvements et les techniques qu’Herebos, régulièrement, lui enseignait. Père avait refusé de confier un maître d’armes pour former Rhian à l’escrime, estimant que c’était quelque chose d’idiot, une formation superfétatoire par rapport à tout ce qu’une Princesse devait savoir. Herebos avait été contre cet avis, et, faisant fi de l’opinion de Père, avait pris sur lui de former Rhian à l’escrime.

Les deux ne se battaient pas dans une cour d’entraînement,  mais dans le jardin de Rhian, près d’une fontaine et des trois tigres de Rhian. Trois bêtes énormes, qui obéissaient fidèlement à la femme : Baja, Naja, et Taja. Ils étaient bien connus au sein du Palais, et, plus généralement, au sein de la capitale. Quand Rhian tombait sur un courtisan qui lui déplaisait, elle allait faire un tour avec lui au jardin, et lâchait sur lui ses tigres, s’amusant à voir en combien de temps les courageux et hardis nobliaux parviendraient à fuir.

Herebos, lui, avait toujours cru en elle. Il n’avait jamais cessé de douter des capacités de Rhian.




Plongée dans ses souvenirs, elle sursauta en entendant une douce voix dans son dos. Couchée sur le dos, elle se retourna alors, et se redressa un peu, pour voir une silhouette agréable rentrer. Ce n’était pas sa mère, mais l’une des courtisanes, des filles vivant au sein du harem... Mélonye.

*Mélonye... Bien sûr...*

Elles auraient dû se voir cet après-midi. Elles se voyaient toujours cet après-midi là, où elles faisaient généralement l’amour. Au sein du Palais, le harem était le refuge de la famille royale, un sanctuaire sacré, férocement surveillé, et où Khaora et Rhian étaient les principales personnes à se rendre. Tomeyrus pouvait parfois s’y rendre, tout comme Herebos, mais il fallait tout de même dire que Khaora était la principale à entretenir ce harem. Rhian, elle, aimait s’y rendre pour discuter. Les courtisanes du harem étaient ses principales amies au sein du Palais, et, parmi ce cercle, Mélonye était sa meilleure amie. C’était une femme dévouée et agréable, toujours de bonne compagnie.

En la voyant, Rhian se sentit tout d’un coup un peu coupable d’avoir négligé leur rendez-vous. Cependant, comme Mélonye le supposa rapidement, l’explication vint d’elle-même ; Rhian n’avait tout simplement pas eu la tête à ça.

« Je... Désolée, Mélonye... »

Sans vraiment attendre une invitation (ce qu’elle n’avait pas à faire, de toute manière), Mélonye alla se poser à côté d’elle, sur le rebord du lit. Elle lui expliqua ce que Rhian savait déjà, qu’Herebos reviendrait triomphant, comme à chaque fois. Elle sourit légèrement. Rhian ne remettrait jamais en doute les compétences de l’armée, et encore moins celles de son frère, qu’elle voyait comme un guerrier immortel. Rien ne pouvait l’affaiblir, rien ne pouvait l’ébranler, et il était toujours revenu victorieux de ses campagnes de pacification. Mais, ici, elle avait l’inexplicable sentiment que c’était différent. Les rapports, de fait, attestaient qu’il s’agissait véritablement d’une redoutable horde, qui s’en prenait même à des villages et à des petites villes, amenant un exode important de réfugiés vers les capitales régionales.

Rhian se pinça donc les lèvres, une mine triste sur le regard... Puis elle sourit alors, et posa sa main sur la cuisse de Mélonye.

« Je... Je te remercie vraiment pour ta sollicitude, Mélonye, et... Je suis vraiment désolée de ne pas être venue cet après-midi. Je sais que j’aurais dû venir, mais... Oh, c’est idiot ! »

Elle secoua la tête, puis la regarda à nouveau... Et, sans prévenir, elle alla alors se coucher contre elle, posant sa tête sur les genoux de Mélonye. Pour autant qu’elle s’en souvienne, la courtisane avait toujours eu un regard attentif sur elle, et une oreille bienveillante. C’était à elle que Rhian se confiait, avant même sa mère, à qui, pourtant, la jeune femme parlait beaucoup. Rhian avait juste le sentiment que, de toutes les personnes présentes dans le Palais, Mélonye était celle qui la comprendrait le mieux.

« Je crois juste que... La dernière fois qu’Herebos a entrepris un tel voyage, c’était... Il y a des années. Je suis juste inquiète pour lui... »

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 3 jeudi 29 octobre 2015, 14:13:25

La princesse n’avait nullement à être désolée. Il était bien évidemment certain que Mélonye regrettait un peu de ne pas avoir eu son moment intime quotidien avec elle, mais elle était assez compréhensive pour saisir la raison à cela. Sa bien-aimée était préoccupée et n’avait pas la tête à ça. Ça arrivait à tout le monde, et dans ces cas-là, la courtisane qu’était Mélonye devait changer d’étiquette ; elle devenait sa confidente et amie, avant d’être son amante. Et ce fut précisément cela qu’elle fit, tout en souriant gentiment à la réponse de son amie. Quand Rhian se glissa pour venir poser sa tête sur ses genoux, la jeune femme ne put s’empêcher de se laisser faire, accueillant alors le doux visage de la princesse contre elle. Sa main alla doucement s’aventurer dans sa longue et soyeuse chevelure, pour la caresser tout simplement. Ses oreilles étaient grandes ouvertes, et elle écouta alors les dires de la princesse.

Comme elle l’avait bien deviné, le problème était Herebos et son départ. Si Rhian était habituée à le voir partir, elle affirma que cette fois-ci les choses étaient différentes. Il n’avait pas fait de tel voyage depuis un certain nombre d’années, et par conséquent, elle était inquiète pour lui. Mélonye comprenait parfaitement ce que pouvait ressentir la jeune femme, et cela ne fit que la faire sourire encore plus tendrement. Ses doigts continuaient de s’agiter lentement dans sa chevelure, cherchant à la calmer et à lui faire du bien avant toute chose. « C’est tout à fait normal que tu t’inquiètes. Ce n’est pas comme si Herebos et toi n’aviez pas une forte relation … Mais je pense que son départ n’est pas bien différent de ses autres. C’est juste que … Il va affronter des bandits en plus grand nombre que d’habitudes. » Dit-elle dans un premier temps, son regard plongeant vers celui de Rhian. Mélonye tenait sincèrement à rassurer son amie, mais elle ne connaissait pas autant le prince qu’elle. Il se pouvait très bien, en réalité, qu’il y avait matière à s’inquiéter.

Mais par pur esprit maternel la courtisane voulait redonner le sourire à sa maitresse, et qu’elle passe au moins une bonne nuit. Elle n’aimait guère la voir dans cet état, et si elle persistait là-dedans, elle allait finir par être triste et inquiète à son tour. Alors que sa voix termina, un petit vent frais balaya la pièce, faisant légèrement osciller les rideaux, mais qui donna des frissons à Mélonye. À vrai dire, la chair de poule commença à s’éprendre de sa peau, elle n’était pas vraiment habillée pour se maintenir au chaud. Elle se tût, préférant largement voir la princesse sur ses genoux qu’autre chose ! Et puis, elle lui tenait un peu chaud mine de rien. Sa main ne cessa de caresser du plus tendrement ses cheveux, lui procurant alors un vrai petit massage. « Tu penses que les choses vont se passer différemment cette fois-ci ? Pourquoi ? » Ajouta-t-elle, cherchant à savoir pourquoi la princesse s’inquiétait tant cette fois-ci, comparée aux autres fois.

Ce n’était pas la première fois que le prince s’en allait, pour le même type de campagnes. Et pourtant Rhian ne s’en inquiétait pas autant. Cette fois-ci, c’était différent visiblement. Peut-être parceque la horde de bandits qu’il allait affronter était plus conséquente ? Mélonye ne le savait pas. Et peut-être même que Rhian elle-même ne le savait pas. Après tout, on ne contrôlait pas vraiment ça. Elle était sa sœur, il était normal qu’elle s’inquiète. Mais il était du devoir de la courtisane de faire en sorte que cela ne lui gâche pas son humeur, et de l’aider si besoin y était. Elle était son amie avant tout, et c’était la moindre des choses.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 4 vendredi 30 octobre 2015, 09:02:08

Tous les commentateurs s’accordaient à le dire : Herebos serait l’un des plus grands Rois de Papua depuis fort longtemps. Père, en soi, était déjà un bon gouvernant, mais on lui reprochait sa vision un peu passéiste et trop souverainiste du pouvoir. Les Ashnardiens lui préféraient Herebos, un jeune homme fougueux, qui avait fait, sur instigation de Khaora, ses classes militaires dans une école impériale. Le choix de la future Reine divisait ainsi les chroniqueurs. Depuis toujours, le souverain de Papua avait le choix entre, soit une Papuanne, soit une Ashnardienne, ce choix n’était pas anodin. Un mariage avec une Papuanne signifiait que le souverain entendait mettre l’accent sur le développement intérieur, parce que le pays faisait l’objet de vifs troubles, et, inversement, un mariage avec une Impériale signifiait une ouverture vers l’extérieur. Dans les faits, évidemment, les choses n’étaient jamais aussi simples, Tomeyrus en étant un bon exemple. Il s’était marié avec une Ashnardienne, mais menait une politique économique centrée autour de Papua. On espérait notamment d’Herebos une diminution des droits de douane à l’importation, un éternel sujet de discorde économique entre les marchands locaux et les guildes commerciales ashnardiennes. Un domaine dans lequel Rhian était infiniment plus douée qu’Herebos, mais dans lequel elle n’avait pas vraiment voix au chapitre, Tomeyrus ayant, sur cette position, une vision horriblement classique.

Rhian soupirait donc, tout en sentant les tendres mains de Mélonye caresser ses cheveux, glissant sur sa peau, frottant parfois sa joue, mais se concentrant surtout sur sa longue chevelure. La Reine lui disait toujours d’apporter une grande importance à sa beauté, car la beauté d’une femme était une arme dangereuse, et, fort heureusement, dans ce domaine, la Nature avait bien dotée Rhian. De manière générale, on s’accordait à considérer Herebos comme un bon Roi, mais aussi Rhian comme une future bonne Reine, n’en déplaise à son caractère de cochon. Le fait qu’elle se refuse à avoir le moindre époux posait en effet problème, et, régulièrement, Tomeyrus devait essuyer la colère des grandes familles papuannes, outrées du traitement fait à leurs gendres. Hélas, rien ne pouvait y faire, car, sur ce point, Rhian avait hérité, à la fois du caractère buté de son père, mais aussi du caractère ironique de sa mère.

Soucieuse, Mélonye lui demanda alors ce qui, à ses yeux, justifiait son inquiétude... Savoir pourquoi, selon elle, les choses se passeraient différemment cette fois-ci. La Princesse laissa planer quelques secondes, puis elle se redressa alors, et se mordilla les lèvres. Assise sur le lit, à côté de la courtisane, elle semblait plongée dans ses pensées, essayant de les regrouper dans un fil de pensée qui soit cohérent... Ce qui l’amena finalement à lui répondre :

« C’est... Ça va te sembler idiot, mais, depuis plusieurs semaines, je... Je fais d’étranges rêves. Des rêves où je me rappelle d’Herebos, des meilleurs moments passés avec lui. Mais... Ce ne sont pas des rêves comme si je pensais à une personne que j’apprécie beaucoup, non... Tu vois, c’est plutôt... Des souvenirs qu’on ferait d’une personne suite à un deuil. »

Rhian laissa planer quelques secondes, se pinçant les lèvres, et ses mains vinrent attraper les poignets de Mélonye, tendrement, glissant ensuite pour remonter le long de ses bras. Elle la caressait, et finit par les poser sur ses épaules, appuyant dessus.

*Elle va me prendre pour une folle...*

La Princesse finit donc par hausser les épaules, et alla embrasser tendrement Mélonye, posant doucement ses lèvres contre les siennes.

« Je... Je suis désolée d’avoir oublié notre rendez-vous, Mélonye... Et je le suis d’autant plus que tes lèvres me manquaient... »

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 5 vendredi 30 octobre 2015, 20:30:01

La Princesse était une femme tendre et aimante quand il le fallait, mais elle s’avérait aussi être une femme de caractère et de volonté quand ça l’était aussi. Elle avait un fort tempérament, qui faisait d’elle une personne autoritaire et liante, dans le bon sens. L’éloquence était son fort, et chacun de ses dires s’écoutaient donc avec la plus grande des attentions. C’était dans cette optique que, malgré la situation plutôt calme et personnelle, Mélonye faisait très attention à chaque mot que prononçait la Princesse. Rhian était inquiète au sujet de son frère pour une raison qui semblait lui échapper à elle-même. Cependant, ce qu’elle ajouta fit un peu réagir Mélonye intérieurement, qui commença alors à comprendre d’où venait le problème. Des rêves, des souvenirs qu’elle avait de son frère qui repassaient dans sa mémoire, à chaque fois que le sommeil venait la prendre. Cela avait tout d’une banale inquiétude qu’une sœur ressentait à l’idée de voir son frère partir au combat.

Mais ce qu’elle déclara à la fin fut intriguant. Un deuil disait-elle. Ce que Rhian disait était généralement fondé et pas basé sur des sentiments abstraits ou flous. Si elle avait ressenti une telle chose, c’était qu’il y avait une raison. Mais toute raison n’était pas forcément bien fondée. Il était difficile de savoir si Rhian faisait ce genre de rêve à cause de ses inquiétudes, ou bien à cause d’autre chose. C’est-à-dire, si c’était des rêves prémonitoires. Mélonye ne savait trop quoi dire, ne voulant pas inquiéter davantage sa précieuse amie qui semblait déjà avoir le moral bien bas. Ça lui faisait de la peine de la voir ainsi, et son regard trahit de cela. Mélonye avait presque l’air aussi triste que la Princesse, sauf que son air radieux et son petit sourire permanent arrivait à lui donner une mine réconfortante. En vérité, quoiqu’il pouvait advenir, la simple vision de la Princesse ou de la Reine suffisait à la faire sourire de bonheur.

Rhian se redressa et déplaça sa main sur son poignet, avant de glisser à nouveau le long de son bras. Un tendre frisson s’éprit de Mélonye, qui aimait beaucoup ce petit contact doux sur sa peau. À vrai dire, elle adorait sentir les mains de sa Princesse caresser sa peau, c’était comme un délice qu’elle adorait ressentir. Finalement, ses épaules furent occupées, et son regard se planta dans le siens. Rhian se tût, son regard en disait long. Elle était à la fois inquiète pour toute les raisons évoquées, mais il semblait aussi qu’elle soit … Désolée. Son petit air désolé faisait comprendre à Mélonye qu’elle s’en voulait un peu d’avoir fait passer à la trappe son rendez-vous. Mais elle n’avait aucune raison de s’en sentir ainsi ! La courtisane était très compréhensive. La Princesse avait forcément besoin de temps à autre, et même quand elle le voulait, d’un temps pour elle et elle seule. Elle n’avait pas forcément l’humeur à faire l’amour ou à tout simplement être avec ses courtisanes. Mélonye lui sourit tendrement en apposant sa main par-dessus la sienne, sur son épaule, l’enserrant doucement.

Bien évidemment, elle accepta avec plaisir le baiser qu’elle lui offrit, ne refusant jamais de gouter au parfum délicat de ses lèvres. Un délice dont elle ne pouvait que difficilement se passer, en restant honnête. Les lèvres de Rhian étaient sans doute la chose la plus exquise, et douce, que Mélonye ai jamais gouté. Les deux femmes s’embrassèrent tendrement, lentement, soupirant très silencieusement chacune de son côté. L’étreinte était douce et chaude, mais elle finit par se finir. La Princesse retira prudemment ses lèvres, puis se remit à parler ensuite. Et ce qu’elle dit fit sourire Mélonye, dont les joues rougirent délicatement face au compliment qu’elle venait de recevoir. Compliment effectivement, car qu’on lui disait que ses lèvres avaient manqués, il n’y avait pas d’autre interprétations possibles. La courtisane continua de caresser sa main, et se mit à lui répondre. « Ne sois pas désolée, mon amie. Je comprends parfaitement. Tes lèvres m’ont cruellement manqué aussi. » Dit-elle d’un ton taquin, en regardant Rhian.

Elle écarta un peu son visage, puis posa une main attentionnée sur la joue de la Princesse. De son pouce, elle la caressa de manière affective. « Mais tu sais, il n’est jamais trop tard … Et puis c’est un bon moyen pour se changer les idées, ce dont tu aurai bien besoin maintenant. Après si tu n’as vraiment pas la tête … On pourrait simplement se faire câlin … Ça aide aussi ! » Dit-elle, invitant donc la Princesse à faire l’amour, tout simplement. Elle était sa courtisane, et la meilleure chose qu’elle pouvait faire pour l’aider à aller mieux, c’était de lui offrir un peu de plaisir dans ce moment.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 6 samedi 31 octobre 2015, 00:07:57

Les Papuans n’étaient pas des individu archaïques et idiots. Si Papua contemplait et admirait le passé, l’État désertique abritait aussi de nombreux érudits. Le long de la Grande Mosquée de Papua, on trouvait aussi l’Université, un lieu de savoir reconnu. Il n’y avait pas d’école militaire ashnardienne, mais il était prévu d’en ouvrir une. Cependant, cette absence n’empêchait pas Papua d’abriter des alchimistes, des mages, des historiens, et des philosophes. Ils débattaient joyeusement sur les forums de Papua, en suivant la rhétorique antique : développer une thèse, un argument émis par un premier philosophe, et un contre-argument, le public jugeant de la validité de chaque argument. Et, s’il fallait dire tout cela, c’était pour préciser que, à Papua, on ne croyait pas que les rêves étaient un quelconque message divin, une quelconque vision induite par un djinn. On savait qu’un rêve était la manifestation d’une angoisse profonde, et, en pensant à Herebos comme à un deuil, Rhian savait que ces rêves traduisaient sa peur profonde de le voir mourir... Ce qu’elle ne s’expliquait pas, c’est pourquoi elle ressentait cette peur, pourquoi, en son for intérieur, elle était convaincue qu’elle ne reverrait jamais Herebos.

Voilà pourquoi elle avait besoin d’évacuer toute cette tension, ce qui amena Mélonye, sa fidèle amie, à lui dire que son absence n’était pas grave, et à lui proposer un « câlin ». Un sourire espiègle se dessina alors sur les lèvres de Rhian, qui se rapprocha à nouveau de la femme, comme pour venir lui souffler un baiser... Mais, au dernier moment, les mains de Rhian se crispèrent sur les épaules de la femme, et elle la poussa, venant la coucher sur le dos, Rhian se dressant au-dessus d’elle, souriant encore.

« Arrêtons de nous appesantir... Passons à l’action... »

Ses doigts caressèrent tendrement les belles lèvres de Mélonye. Rhian avait hérité de l’appétit sexuel de sa mère, une démone qui, dans son arbre généalogique, avait quelques succubes et incubes, ce qui avait eu de drôles de conséquences génétiques sur sa libido. Des conséquences dont Mélonye avait déjà eu l’occasion de se rendre compte à bien des reprises... Comme maintenant. Le sexe, en effet, était aussi une échappatoire, un moyen de se vider l’esprit, et, en ce moment, c’était tout ce que Rhian souhaitait. La Papuanne alla ainsi embrasser la jeune femme, plus férocement, mordillant ses lèvres, et fourrant sa langue dans sa bouche, ses seins venant caresser ceux de la femme, sa fine tunique blanche ne protégeant pas grand-chose.

« Hmmmm... »

Ce fut un baiser vorace, délicieux, et prometteur. Rhian le rompit, avec un sourire étincelant, montrant ses deux rangées de dents blanches.

« Fais-moi l’amour, ma chérie... Fais-moi hurler ! »

Et, comme pour l’encourager... Elle se mit à la pincer !

DC d’Alice Korvander.

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 7 samedi 31 octobre 2015, 13:28:48

La courtisane, ayant l’habitude de faire l’amour avec la Princesse, savait que celle-ci était capable de lui mettre des feintes en plein acte. Et, comme un prélude à ce qui allait se dérouler, la noble Papuanne fit mine de vouloir l’embrasser à nouveau … Son souffle chaud tapa les lèvres de Mélonye, qui avait déjà entrouvert ses lèvres, prête à accueillir la langue de son amie. Sauf que celle-ci ne l’embrassa guère. En lieu et place, elle posa ses mains sur ses épaules et la poussa doucement, la faisant tomber sur le dos. Allongée, démunie, Mélonye fut surprise mais finit par se ressaisir quand la Princesse se hissa au-dessus d’elle. Son sourire espiègle en disait long, et elle se mit à caresser les douces lèvres de sa courtisane du bout de ses doigts. Une sensation atypique mais terriblement agréable, qui donnait fortement envie à Mélonye. Mais bien heureusement, le baiser perdu fut finalement rattrapé, et en mieux.

En effet, Rhian partit chercher son baiser mais d’une manière plus féroce, plus prononcée et plus endiablée. Sa langue se fourra dans sa bouche, ne cherchant pas à s’embourber dans des préliminaires de ce type. Un baiser soutenu et fort, auquel Mélonye y répondit avec fougue. Sa bouche tentait de prendre en tenaille la sienne, alors que sa langue bataillait avec celle de Rhian. Elles se mordillèrent mutuellement les lèvres, et étaient tellement rapprochées l’une de l’autre que leur nez respectif se chevauchait. Yeux clos, la courtisane savourait pleinement ce moment. Ses seins se lovaient contre ceux de la Princesse, dont le corps épousait complètement le sien. Elle sentait ses seins se presser contre les siens, mais elle sentait aussi son ventre et son bas-ventre. Bras levé au-dessus de sa tête, Mélonye était la proie de la vorace Rhian, qui semblait déterminée à faire l’amour, et le faire correctement.

Quand l’éteinte se termina, les yeux de la jeune femme émergèrent de son monde, mi-clos, et se plongèrent dans l’océan d’or que représentaient ceux de la Princesse. Elle lui demanda de lui faire l’amour, mais surtout, de la faire hurler. De base, Rhian était une femme exigeante, qui savait ce qu’elle voulait … Mais en plus, quand elle le disait de cette façon, c’était qu’elle souhaitait réellement prendre son pied. Et elle avait bien raison ; il n’y avait rien de mieux qu’une série de puissants orgasmes pour se changer les idées. L’image fit sourire Mélonye, qui frissonna en sentant son amie la pincer. « Ohh je ferai tout ce qui est en mon pouvoir, ma belle … » Lui répondit-elle, un sourire espiègle aux lèvres. Puis, sans crier garde, elle partit chercher un baiser. De la même manière que précédemment, elle le voulu vorace et effréné, mais surtout, très sulfureux. Tandis qu’une main agrippa la chevelure de Rhian, pour mieux coller son visage au sien, son autre main coulissa le long de son échine, parcourant l’océan de douceur et de volupté qu’était sa peau.

Mais elle appuya, tentant vainement de la presser contre son corps, ne souhaitant qu’un jour ne soit présent entre le siens, et celui de son amante. Elle remua doucement de son bas-ventre, comme si elle tentait de se frotter contre celui de la Princesse. Le baiser dura, encore et encore, jusqu’à en perdre haleine. Mais il était tellement fougueux, tellement hargneux et délicieux, qu’il était tout simplement impossible d’arrêter. Mélonye agrippait avec une poigne ferme la crinière sauvage de Rhian, ne souhaitant pour rien au monde la lâcher, et encore moins écarte son visage du sien. Malheureusement, toute les bonnes choses avaient forcément une fin. Et ce baiser la connue. Quand les visages s’écartèrent, Mélonye était encore dans son euphorie. Elle partit prendre d’assaut la joue de sa maitresse, déposant un ardent baiser dessus, puis descendit pour venir attaquer son cou. Son fin et parfumé cou, qui fut la victime d’une rafale de baiser tous les plus brûlants les uns que les autres.

L’avantage était que Rhian était déjà quasiment nue, donc il était inutile de la dévêtir. En revanche, Mélonye portait encore sa tunique, certes très transparente, mais tunique quand même. Ses mains se rejoignirent au niveau des épaules de la Princesse, se posant su chacune d’entre elle. Elle poussa doucement, comme pour lui faire signe de se redresser. Quand les deux femmes le firent, se retrouvant donc face à face, Mélonye quitta ses épaules pour porte ses mains sur sa propre tunique. Elle saisit les bouts, puis les tira vers le haut, emportant petit à petit son noble tissu. Elle parvint à retirer complètement sa robe, et révéla alors son corps en intégralité nu. Elle ne portait rien en-dessous, surement au grand bonheur de Rhian. Passé ce petit interlude, Mélonye poussa à nouveau son amante, sans lui faire mal mais assez fougueusement pour la faire rebondir contre le lit. Un sourire joueur s’imprima sur ses lèvres, alors que son visage se cala à nouveau dans son cou, qu’elle embrassa de toute part. Bien entendu, elle se lova corps et âme contre la Princesse, son corps épousant à la perfection le sien.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 8 samedi 31 octobre 2015, 22:12:04

Leur fougueux baiser fut l’interlude, l’entracte dont Rhian avait besoin pour penser à autre chose. Quand il se termina, seule dominait, en elle, la délicieuse envie de faire l’amour. Plus que jamais, elle était contente d’avoir, dans ses veines, les gènes de sa mère, des gènes de perversion... Et elle laissa donc Mélonye ôter sa tunique. Les deux femmes étaient ainsi nues, ne portant plus que leurs bijoux précieux. On ne les retirait généralement que pour prendre un bain. C’était une particularité papuanne. Il y avait, dans ce royaume, quantité de mines de cristal et de mines d’or, et Papua était connue pour ses innombrables bijoux et gemmes, qu’on revendait jusqu’à Tekhos ou à Nexus. Rhian n’avait pas retiré ses bijoux, les portant sur son corps, et elle n’avait pas envie de le faire, pas plus qu’elle n’avait envie de retirer ceux de Mélonye. Elle se trouvait plus belle ainsi que sans ses bijoux, et ce n’était pas peu dire, vu les deux beautés qu’elles étaient.

Ainsi, les deux femmes étaient réellement des perles de sable, magnifiques et riches, portant sur leur corps une véritable fortune en or. Venant de se déshabiller, Mélonye renversa alors la femme, la couchant sur le dos, et se lova contre elle. Sans tunique pour les séparer, Rhian pouvait mieux sentir le corps de Mélonye, notamment ses seins, s’entremêlant avec les siens, s’écrabouillant contre eux... Et elle sentit alors la femme venir embrasser son cou, la faisant gémir.

« Han... »

Rhian savait combien Mélonye adorait l’embrasser dans le cou. Elle se frottait donc contre elle, et Rhian, en réponse, ne tarda pas à poser ses deux mains sur les fesses de Mélonye, venant palper son cul.

« Oh oui... Cette sensation... Haaa... J’adore toujours autant ton cul, ma belle Mélonye ! »

En souriant, Rhian malaxa alors ses fesses, et leva sa main, venant en donner une petite gifle. Toutes ses angoisses étaient en train de fondre, de fondre comme neige au soleil. Elle malaxait ses fesses, les écartant, les crispant, alternant entre ça et des gifles, se faisant plaisir. Rhian l’avait dit, elle voulait faire l’amour... Le faire de manière passionnée, sauvage. Elle se tortillait donc sous le corps chaud et agréable de Mélonye. Les deux femmes étaient magnifiques, des beautés terribles, se faisant l’amour avec magnificence. Bien des gens auraient aimé se rincer l’œil, à vrai dire, mais il n’y avait qu’elles en ce moment.

Et, comme pour lui prouver son impatience, sa soif, Rhian glissa un doigt le long de la croupe de la femme, et l’enfonça rapidement dans son fondement.

« Oh... Toujours aussi agréable, ton intérieur, ma chérie, haaa... »

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 9 dimanche 01 novembre 2015, 14:48:28

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« Modifié: samedi 14 novembre 2015, 15:07:13 par Mélonye Harubaal »
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 10 dimanche 08 novembre 2015, 16:28:28

Le sexe vint très rapidement, car Rhian avait besoin de s’y absorber. Ce soir, elle n’était pas une simple femme voulant juste de l’affection, voulant faire tendrement et sensuellement l’amour. Non, ce soir, Rhian voulait s’absorber là-dedans, elle voulait se perdre dans le sexe, y disparaître intégralement, et ne faire plus qu’un avec ce courant, avec cette vague, afin d’en chasser tous ses démons. Elle sodomisait donc Mélonye, non seulement par pur plaisir personnel (parce qu’il était toujours bon de sodomiser un si joli cul, n’est-ce pas ?), mais aussi parce qu’elle avait envie d’exciter sa courtisane, et de lui montrer qu’elle voulait que les deux femmes y aillent sérieusement. Elle frissonna donc en sentant, en retour, la douce et chaude main de Mélonye glisser le long de sa chaude peau, pour venir se glisser contre son sexe, venant le caresser et le frotter, glissant des doigts en elle.

« Hmmm... »

Voilà, oui, voilà ! Voilà ce que Rhian adorait par-dessus tout... Les tendres caresses, les douces attentions, ces délicats moments de bonheur partagé où le plaisir ne faisait plus qu’un, où douleur et plaisir s’unissaient pour une osmose parfaite et terrible. Les deux corps tremblaient donc l’un contre l’autre, et Rhian continuait à remuer sa main, l’autre venant se poser contre sa nuque, s’appuyant dessus. Elle pouvait sentir Mélonye se tortiller contre son corps, et, dans un nouveau soupir, Rhian alla chercher ses lèvres, lui offrant un tendre baiser, ses jambes venant se frotter contre celles de la femme.

Tout était fait pour conserver Mélonye tout contre elle, de manière à pouvoir apprécier au mieux ce moment, ce délicieux moment... La Princesse de Papua n’avait alors aucune idée du plus cher fantasme de Mélonye, mais, si cette dernière l’avait demandé, Rhian se serait contentée de sourire. Khaori venait d’une famille où l’inceste n’était pas autant réprimandé qu’ailleurs, car, à Ashnard, on accordait une grande importance aux libertés individuelles, et on considérait que l’inceste était une chose normale, tolérable, tant qu’elle était faite avec des personnes consentantes. Rhian, en conséquence, avait donc déjà fait l’amour avec Khaori, et ce à plusieurs reprises. Que Mélonye ne le sache aurait pu paraître surprenant, car Rhian savait que la courtisane était du genre à se mêler de tout, et notamment de tous les potins circulant au sein du Palais. La jeune femme n’était pas naïve. Elle connaissait l’ambition de Mélonye, et savait que cette dernière voyait avant tout sa position comme une sorte de promotion sociale, et son amitié avec Rhian comme un moyen de s’élever socialement. Une analyse qui ne choquait pas outre mesure Rhian, car elle savait que les femmes venant au harem le faisaient surtout pour des ambitions personnelles. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le harem royal n’avait rien de déshonorant, et c’était même un immense honneur que d’y faire partie, car on était clairement au cœur du Palais royal, et donc au sein de toute la politique papuanne. Autrement dit, les courtisanes disposaient d’un grand pouvoir, et il suffisait de voir la relation de profonde amitié entre Rhian et Mélonye pour le réaliser.

« Haaaa... Haaaaaannnn... !! »

Leurs multiples baisers devenaient de plus en plus sensuels, de plus en plus ardents, Rhian allant jusqu’à mordre la lèvre inférieure de Mélonye, tirant dessus, avant d’approcher un second doigt de son fondement. Un sourire vicieux éclaira ses lèvres, tandis que leurs bijoux cliquetaient au fur et à mesure que leurs corps remuaient l’un contre l’autre, tout un ensemble de sensations exquises et superbes.

« Haaa, Mélonye, hummm... Ton cul... J’aime toujours autant l’explorer, hum ! »

Rhian n’aurait pas été surprise d’apprendre que Mélonye l’entraînait avec un plug anal. C’était une pratique assez courante chez les courtisanes. Pour se préparer aux sodomies, elle disposait, dans leurs bijoux, d’une culotte spéciale, disposant d’un plug qu’elle se glissait dans les fesses, afin de progressivement s’habituer à la sodomie. Et, de toutes les courtisanes que Rhian connaissait, Mélonye était clairement la plus grande sodomite, adorant qu’on embrasse ses fesses, qu’on les pince, qu’on les serre, qu’on les mordille...

Ce qui allait très certainement se passer ce soir, un moment ou un autre !

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 11 samedi 14 novembre 2015, 15:03:05

Il ne faisait aucun doute que Mélonye était une grande sodomite. Ses fesses étaient son point sensible ; tout ce qui s’en rapportait la faisait frémir bien plus qu’autre chose. Il était donc normal qu’elle soit toute émoustillée rien qu’en se faisant doigter ici par son amie. À ce moment-là, il y avait un grand nombre d’images qui défilaient dans sa tête ; elle se voyait déjà en train de se faire embrasser à cet endroit, se faire lécher et se faire apporter tant d’attentions, sur ses magnifiques petites fesses. C’était dire à quel point était-elle une fétichiste ; elle prenait grand soin de son monument historique. Parmi toute les courtisanes, non seulement devait-elle être la seule à posséder une croupe aussi large, généreuse et ronde, mais aussi celle qui n’attendait jamais qu’on lui propose la sodomie. Rare étaient les femmes qui s’y jetaient corps et âme, car c’était une pratique malgré tout douloureuse.

Pourtant, Mélonye en était une fan. Bien que Rhian ne possédait pas d’attributs sexuels permettant de la sodomiser dans la règle de l’art (Bien que, la poudre magique que possédait Mélonye palliait à ce problème), la princesse aimait la doigter, et c’était presque aussi fantastique. Toute mièvre, la courtisane était en transe, complètement lovée et enivrée par les caresses de son amante. Son corps était langoureusement blotti contre le sien, ne laissant strictement aucun jour apparaitre entre leur peau si bien scellées l’une à l’autre. Les deux femmes se doigtaient mutuellement, mais elles finirent aussi par s’embrasser à nouveau. Un nouveau baiser terriblement langoureux et sensuel, comme elles savaient si bien le faire. Elles étaient en parfaite harmonie sexuelle toute les deux, et cela se voyait très clairement à leur façon de faire l’amour.

C’était bien plus qu’agréable ; extérieurement, leurs ébats avaient quelque chose de terriblement envoutant. Leur façon de se coller l’une à l’autre, de bouger leur corps en parfaite synchronisation, ainsi que le curieux mélange de douceur et de fougue … Rhian et Mélonye étaient de belles et terribles amantes, très agréables à regarder. La fougue monta tellement à la tête de la courtisane que celle-ci usa de sa main libre pour venir chercher celle de la princesse, venant alors la plaquer à coté, croisant ses doigts avec les siens. « Hmmm … » Gémissait tendrement Mélonye, savourant corps et âme son baiser avec son amante. Décidément, elle avait bien fait de venir la voir ce soir ; cette séance de sexe allait lui être très bénéfique. Quand les deux femmes seraient correctement dans le bain, Rhian allait oublier tous ses soucis, tous ses tracas. Un moment de pur bonheur qui allait l’aider.

Car au fond, outre vouloir du sexe, Mélonye était venue en toute sincérité, car elle était inquiète au sujet de son amie. Tout partait d’une attention noble et sincère, de sentiments purs et forts à l’égard de la princesse. La courtisane offrait son corps à Rhian, et il n’en tenait qu’à elle d’en faire ce qu’elle voulait, tant qu’elle pouvait en tirer plaisir. Les deux amantes se lovèrent donc l’une contre l’autre, ne se séparant sous aucun prétexte. Leurs bijoux émettaient de petits bruits ensembles, sous l’effet de friction. Cependant, si Mélonye perdait petit à petit la tête grâce à ce baiser, les merveilleuses sensations qu’elle ressentait au niveau de son cul étaient encore plus grandioses. « Haaannn oui … Ahhhhhhwwww … » Continuait-elle à gémir grandement, prenant de grande bouffée d’air tellement elle adorait cette petite sodomie.

Le baiser dura, longtemps. Aussi longtemps que Rhian et Mélonye s’amusaient à jouer avec leurs langues. Celle de la courtisane taquinait celle de la princesse, se tordant avec elle avec une tendresse hors-norme. Elle raclait chacune de ses dents, pour revenir en force s’acoquiner avec son appendice lingual, qu’elle éprouva de toute part. De temps à autre, elles écartèrent leurs lèvres pour venir se les capturer directement, voir les mordiller. Ces petites sensations étaient vivifiantes, électrisantes, et relevaient à merveille la fougue entre les deux femmes. Puis, à nouveau, Mélonye plongea sa langue et partit la fourrer dans la bouche de Rhian, quémandant à nouveau sa délicieuse langue. Après les fesses, les baisers étaient l’autre pratique favorite de Mélonye, surtout avec Rhian. Les baisers, selon elle, étaient le meilleur moyen de prendre du plaisir rapidement, d’être près de son partenaire … Et de lui témoigner aussi de son affection.

Mélonye avait un nombre incalculable de fétiches bien entendu, mais tous n’avaient pas la même importance à ses yeux. Si la sodomie et les baisers occupaient respectivement la première et seconde place, on pouvait citer des choses plus exotiques comme le fétichisme du pied, ou bien encore … L’ondinisme, tant qu’elle était avec une femme. Rien ou peu de choses effrayait Mélonye en matière de sexe, à vrai dire. Elle savait cependant qu’elle ne pouvait pas se permettre certaines choses avec Rhian, ayant beaucoup trop de respect pour elle. Donc, elle se contentait de satisfaire ses fantasmes et fétiches, quels qu’ils soient. Et pour l’heure actuelle, elle s’évertuait à l’embrasser, et à doigter encore plus habilement sa féminité.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 12 dimanche 15 novembre 2015, 11:33:22

Rhian avait beau être une Princesse, et une Princesse belle, elle n’était pas, pour autant, ce que son père pensait qu’elle était : une jeune femme dégourdie ne pensant qu’aux bijoux et qu’aux robes. Le Roi de Papua était un homme fort, rempli de qualités, mais qui avait aussi un certain nombre de défauts. Il n’avait jamais pris conscience que sa fille avait grandi, et n’était plus le petit enfant qui aimait sauter sur les genoux de son papa, ou qui adorait les bijoux de sa maman. Rhian était une véritable Papuanne, et un feu intérieur bouillonnait en elle. Elle avait soif de liberté et de reconnaissance, ayant toujours grandi dans l’ombre d’Herebos. Elle aurait pu jalouser et haïr son grand-frère en grandissant, mais, fort heureusement, Herebos ne l’avait jamais traité avec dédain. Il s’opposait même à l’idée d’un mariage politique, ce à quoi leur père ne voulait malheureusement pas entendre parler. Mais Herebos avait ciblé Rhian. Il avait dit que sa cire était de la même bougie, et que lui n’aurait jamais aimé qu’on le force à se marier avec une bibiche, juste pour de sordides tractations politiques.

Cette rage se manifestait dans le sexe, qui était toujours intense avec Rhian, a fortiori quand Mélonye était avec elle... Et, en ce moment, Rhian avait justement besoin de sauvagerie. Ses ongles griffaient la peau de la femme pendant qu’elles s’embrassaient goulûment. Mine de rien, le Palais était un endroit petit, où tout, tôt ou tard, se savait, et Rhian savait donc que Mélonye, outre son ambition dévorante, avait aussi des fantasmes très osés, mais qu’elle n’avait pas osé expérimenter avec Rhian... Car elle voyait la Perle de Sable comme une Princesse, et se disait peut-être qu’il ne fallait pas trop offenser le sang bleu.

« Hmmm... »

Après ce baiser, Rhian en sentit un autre, et finit par s’appuyer sur ses hanches... Puis retourna Mélonye, Rhian venant se dresser au-dessus d’elle, retirant, en toute logique, ses mains de ses fesses. Elle se tint ensuite au-dessus d’elle, posant ses mains sur ses épaules, s’en servant pour se redresser un peu.

« Je sais des choses sur toi, Mélonye... Ce Palais est ma maison... »

Elle rapprocha son visage du sien, et l’embrassa sur la joue, léchant sa peau douce et chaude, se rapprochant lentement de son oreille.

« Je veux que tu me baises, Mélonye... Que tu me baises comme si j’étais une servante, ce soir, et pas comme si j’étais une Princesse... Ne te retiens pas, et fais parler tous tes fantasmes avec moi... »

C’était dit !

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Mélonye Harubaal

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 13 jeudi 19 novembre 2015, 13:34:24

Mélonye pouvait-elle réellement laisser parler ses fantasmes ? Bien qu’il ne fallait pas s’attendre à des choses trop … Osées non plus, elle avait quand même une sacrée dose de retenue. Envers Rhian, en fait. Pour la Princesse, ce n’était donc pas un secret qu’elle était une fétichiste, dans beaucoup de genre. Rien que précédemment, elle a pu voir son excitation des plus particulières quand elle venait à peine de toucher à sa croupe. Mélonye adorait, et le mot était faible, qu’on s’occupe de cette partie. Véritable sodomite dans l’âme, elle était capable de jouir uniquement grâce à cela. Ça aurait été mieux si Rhian était dans la capacité de pouvoir réellement la sodomiser (donc, de posséder une verge, ce à quoi Mélonye avait le remède d’ailleurs !) mais, paradoxalement, la courtisane préférait nettement les rapports purement féminins que partiellement. Tout ceci pour dire que Mélonye hésitait beaucoup à faire parler ses fantasmes.

Car si ils ne s’en tenaient qu’au fétichisme du pied et des fesses, ça serait encore avouable. Mais, elle ne pouvait pas avouer son gout pour l’ondinisme à la Princesse ! C’était … Une pratique bien trop inhabituelle qu’elle pourrait mal le prendre. En même temps, elle savait à quel point Mélonye pouvait être perverse et joueuse. Peut-être qu’il fallait juste attendre le bon moment ? Elle ne savait pas. Et les choses ne s’arrangèrent guère quand Rhian vint renverser la jeune femme sur le dos, se mettant alors à califourchon sur elle. Ses douces mains caressants ses épaules la faisaient frissonner, autant que les baisers qu’elle lui donna sur sa petite joue toute chaude. Soupirant grandement, car adorant ce genre de caresses, la jeune femme ne répondit pas de suite. Elle bloqua son regard dans le sien, exprimant malgré elle une retenue qui ne voulait pas partir, malgré ce que venait de dire l’intéressée.

« Hum … Tous … Mes fantasmes ? Vraiment tous ? » Demanda-t-elle d’une petite voix, toute hésitante. Le mieux était encore de commencer par des choses plus douces, plus acceptables. D’un autre côté, Rhian voulait baiser, et pas seulement faire l’amour. Dur choix pour Mélonye qui avait certaines idées pour la satisfaire, mais dont elle n’était pas sûre du résultat. Et pour un début, elle avait déjà une petite idée, qui la fit doucement sourire. « Eh bien … Avec tout le respect que je vous dois, noble Princesse … Je rêve d’une chose. » Lui murmura-t-elle, avant d’approcher ses lèvres de son oreille. Elle mordilla tendrement son lobe, puis souriant malicieusement, lui déclara alors son premier fantasme. « Gouter à votre lait … » Lui dit-elle, retirant doucement son visage pour voir sa réaction. Fantasme simple, qui représentait potentiellement un bon début. La liste était longue, mais Mélonye voulait y aller progressivement.

En lui disant, vraisemblablement, qu’elle fantasmait sur ses seins et sur le fait qu’elle voulait les téter pour gouter à son lait, Mélonye espérait donc que Rhian accepte. Et pourquoi pas ? Ce n’était, après tout, pas quelque chose de repoussant … Voire bien au contraire, elle y prendrait surement beaucoup de plaisir ! Ainsi, la courtisane, attendant la réponse de son amante, glissa une de ses malicieuses mains sur le ventre de la Princesse, l’effleurant délicatement de ses doigts, avant que ceux-ci ne commencent à titiller gentiment ses tétons pointant, comme pour la teaser et lui faciliter le choix.
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Rhian Thoris

Humain(e)

Re : Perles de Sable [Mélonye Harubaal]

Réponse 14 jeudi 19 novembre 2015, 20:14:24

Dans un Palais, beaucoup de choses circulaient... A fortiori au sein d’un harem qui était très marqué par l’isolement, même si les courtisanes n’étaient pas coupées du monde, et n’étaient pas des prisonnières. Quoi qu’il en soit, Rhian savait qu’il y avait des rumeurs sur certaines tendances de Mélonye, des tendances... Humides. Mais était-ce vrai ou non ? Rhian ne s’attendait pas à ce que Mélonye le dise, surtout en ce moment troublé. Cependant, la manière dont Mélonye hésita, et Rhian le vit, la manière dont le mot « tous » résonna dans sa belle bouche, et dont ses yeux semblèrent se défiler, indiquèrent qu’il y avait un endroit sensible, quelque chose qui effrayait Mélonye. Rhian sourit malicieusement, avant de voir sa belle amante botter en touche. Ça commença bien, pourtant... « Avec tout le respect que je vous dois », comme pour annoncer quelque chose d’affreux, quelque chose qui aurait fait bondir de colère et de honte quiconque de censé l’aurait entendu.

Mélonye botta donc en touche, et fit sourire Rhian, une lueur amusée dans les yeux.

« Oh... Du lait, donc ? Tu me défonces joyeusement le cul, et tu rougis comme une petite timide à l’idée de me confier ton grand secret ? »

Rhian parlait sur un ton ironique, exprimant bien qu’elle n’était pas dupe... Mais soit, elle ne voulait pas forcer Mélonye. Et puis, elles avaient toutes la nuit devant elle. Rhian se redressa donc, et s’écarta, venant rejoindre l’un de ses placards.

« Néanmoins, je ne peux pas générer du lait comme ça, je ne suis pas une vache... »

Elle avait cependant des fioles spéciales pour ça Papua avait ses alchimistes et ses mages, car le royaume était versé dans la magie, et maîtrisait les subtilités de cette dernière. Elle récupéra donc une fiole contenant un liquide blanc, et retourna sur le lit, s’asseyant à califourchon contre Mélonye, puis lui sourit... Ensuite, elle décapsula la fiole, et l’avala d’une traite, avant de la jeter dans un recoin de son grand lit.

« Hummm... »

La fiole allait générer du lit dans ses poches mammaires, et elle soupira en sentant ses seins grossir légèrement, devenant... Plus douloureux. Un gémissement crispé s’échappa de ses lèvres, se seins devenant plus lourds.

« Voilà... Remplis de lait, Mélonye... Viens, ma chérie, viens t’y abreuver... »

Et, maintenant que ses seins étaient bien remplis, ils étaient aussi assez douloureux.

DC d’Alice Korvander.

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