Dans la confidence ... [PV : Tessia]

« Plus tu claqueras mes petites fesses, plus je m’appliquerai, maitresse … » Entendit la succube venant de la bouche de celle qui lui léchait si allègrement l'entrejambe.

- Est-ce une provocation petite esclave insolente ? S'amusa la succube.

Elle donna un coup de règle plus fort que les autres sur le postérieur rougit de la patronne d'Okimi médicals.

- Tu sembles avoir oublié à qui tu appartiens petite chienne lubrique. Tu es ma chose... Dit-elle en abattant la règle à nouveau. Ma propriété... Continua-t-elle en ajoutant un nouveau coup de règle à chaque nouvel argument. Mon animal de compagnie... Mon mobilier... Ma salope... Tu n'a droit qu'à ce que je décide ! Si je t'en donne pas la permission, tu devra rester entre mes cuisses des jours durant si je le souhaite ! Si tel est mon désir, je peux te ramener chez moi, dans le coffre de ma voiture, tel le meuble que tu es, et te suspendre dans un coin de ma chambre, avec de bon gros gode vibrant dans tous les orifices qu'il me plaira d'ainsi remplir et te laisser quelques jours ainsi pour réfléchir à ta condition. J'y ajouterais probablement ce sort que tu connais si bien. Celui qui permet de ressentir tout le plaisir que tu peux avoir, de te savoir sur le bord de ta jouissance mais sans jamais pouvoir y parvenir. Au bout d'a peine une heure, pour la plupart des mortels, ce plaisir devient souffrance... Comme un endroit qui gratte et qu'on ne parvient à atteindre. Et je te laisserais volontiers ainsi, souffrir de plaisir, quelques jours durant pour t'apprendre où est ta vraie place ma petit catin !

Malheureusement, la plupart de ces paroles étaient menaces en l'air. Tessia se doutait bien qu'elle ne pouvait pas réellement ramener chez elle sa vieille amie pour la torturer sexuellement quelques jours durant à l’improviste. Celle-ci avait des responsabilité et elle aussi. SI quelque-chose du genre devait réellement arriver, ce serait sans doute planifié longtemps à l'avance et il n'y aurait pas de réel enlèvement, juste une sorte de "séquestration" sur une durée convenue à l'avance. Cela enlevait beaucoup au stress de savoir "me relâchera-t-elle ou pas aujourd'hui ?" quand on savait que de toute façon le jeu s'arrêtait à une date convenue. Mais Mia et Tessia avaient migré dans le monde des humains et certaines conventions devaient en être respectées. Elles n'étaient plus aussi maîtresses de leur temps que quand elles étaient en enfer.

Mais Mia resta définitivement aussi douée avec sa langue qu'autrefois ce qui fit soupirer d'aise sa maîtresse succube. Celle-ci trembla dans la chaise, sentant ses muscles se contracter parfois quand des spasmes de plaisir la parcourait. Par-dessus la marché, Mia joua à insérer quelques doigts en elle...

- Hmmm... Soupira-t-elle pour le premier doigt. Espèce de petite salope...

- Hooooooooo... Soupira-t-elle plus profondément pour le deuxième. Chienne... Tu seras durement punie...

- Haaaannnnnnnn !!! Gémit-t-elle pour le troisième doigt. Une semaine... Avais-je dit ? C'est tout un mois que tu ne pourras plus t'asseoir ma puce...

La succube gémit et soupira pendant que Mia s'occupait d'elle. Tessia délaissa ses coups secs de règle pour des coups plus aléatoires et espacés, frappant parfois sur les stylos qui dépassaient des fesses de la patronne pour lui en faire sentir les vibrations plus profondément.

Il semblait évident que Mia souhaitait sa jouissance. Quelle délicate attention de sa part... Tessia se fit donc une joie de la lui offrir après de longues minutes de ce traitement sur sa vulve, peu après qu'elle ait recommencé à sucer son bouton de plaisir. Elle trembla de plus en plus pendant que sa respiration s'accélérait. Puis finalement, elle poussa un long et plus profond soupir tandis qu'un peu de cyprine était expulsé avec suffisamment de force de son intimité doigtée pour s'écraser sur le visage de la patronne qui lui faisait face.

- HAAAANNNNNNNN !!! Hmmmmmm... Tu as eu ce que tu voulais petite catin ? Tu m'a faite salir ton délicat visage de traînée lubrique... Sourit Tessia. Ça mérite une petite récompense... Te souviens-tu de ce liquide doré qui sort par le même orifice que celui qui t'a éclaboussée ? L’apprécies-tu toujours autant que dans mon souvenir ?

Ce disant, la succube caressa sa vessie à travers son ventre pour souligner l'origine du liquide en question. Dans son souvenir, Zaërith l'avait toujours apprécié.

Zaerith n’avait en rien perdu son sens de la provocation et de l’insubordination. Elle savait que dans leur petit jeu actuel, Tessia était sa maitresse absolue, incontestable, qui avait tout droit sur sa personne. Ne rien elle n’avait donc le privilège de la provoquer et encore moins de lui répondre. Mais voilà, Mia cherchait à parvenir à ses fins. Et c’était, en plus, pour son bien ! Car en tant que petite démone toute docile et soumise à sa maitresse suprême, elle cherchait à la faire jouir, à lui faire atteindre des strates de plaisir ! Rien qu’avec sa langue et ses petits doigts taquins qui remuèrent toujours aussi tendrement dans la chaleur de son intimité. Mia continuait de jouer de son bouton intime au même moment, sentant Tessia commencer sérieusement à s’échauffer.

Elle le sentit surtout quand elle entendit la longue et terrible menace de la professeure. Menace qui fit complètement frissonner Mia, qui savait quand même que ce n’était pas vraiment dit sérieusement … Même si l’idée de lui servir d’objet privé et exclusive, lui plaisait énormément. Si elles trouvaient le temps, Mia se laisserait bien séduire par cette promesse acide. Une promesse de la changer en une esclave sexuelle, torturée et stimulée avec amour … Oh oui, ça serait si fantastique. Cependant, Mia n’avait pas besoin de ça pour savoir où était sa place, et que représentait Tessia à son égard. Elle était tout simplement sienne. Quelque part, Mia ne plaisantait pas en lui disant qu’elle lui était sienne, soumise éternellement. Mia était, vraisemblablement, sa chose bien que cela n’était en rien péjoratif. Il suffisait de voir le pouvoir qu’avait Tessia sur Mia … Peut-être que elle-même ne se doutait pas de l’emprise qu’elle avait sur cette femme.

Mais, pour le moment, même si c’était dans le cadre des retrouvailles, Mia appréciait fortement cela. Elle continuait donc de lécher sa maitresse, jusqu’à ce que celle-ci n’intensifie ses coups de règles à mesure que Mia la doigtait de plus en plus hargneusement. D’ailleurs elle finit même par taper doucement les stylos qui étaient encore chaudement nichés entre ses fesses, faisant couiner Mia sur le coup. « Haa … » Gémit-elle en sentant les stylos remuer en elle, enfonçant donc encore plus le clou, pour une sodomite dans son genre. Tessia gémissait grandement et bientôt, sa mouille explosa au visage de Mia qui fut enfin satisfaite. Oui ! Elle venait ENFIN de la faire jouir ! Mia était satisfaite en tout point, et se pourlécha délicieusement les lèvres pour venir gouter à ce précieux nectar lui ayant giclé sur le visage.

« Ta mouille est toujours aussi délicieuse, maitresse … » Lui déclara-t-elle, en venant donner de petits coups de langue sur sa féminité, afin de la rincer. Et de se faire plaisir, aussi. Néanmoins, Tessia rappliqua en affirmant que cela méritait une petite récompense, et proposa alors quelque chose de pour le moins, surprenant. Cela stupéfia Mia pour deux raisons ; d’une part, la soudaineté d’une telle offre. D’autre part, le fait que malgré tous ces siècles, Tessia n’avait pas oublié les fétiches les plus intimes de Zaerith. Et c’était d’autant plus intime à présent qu’elle avait une forme humaine. Elle écarta doucement son visage, ses yeux se portant alors vers le haut, afin de contempler son magnifique visage en prenant un regard tout curieux.

La main de sa maitresse caressa sa vessie, comme pour confirmer à Mia ce qui allait arriver. Un petit sourire malicieux s’imprima sur ses lèvres, et elle vint alors caresser ses cuisses de ses douces mains. « Je n’ai pas vraiment changé, Tessia … Mes gouts sont toujours les mêmes. Et puis quand bien même … Je ne peux strictement rien refuser à ma maitresse absolue … Je te suis propriété, tu as tout droit sur ma personne, mon cœur … » Lui déclara-t-elle, d’une voix suave. Elle approcha ainsi son visage et déposa un révérencieux baiser sur sa féminité quelque peu éprouvée par son précédent orgasme. Mia était prête, il ne manquait plus qu’à ce que Tessia franchisse le pas. « Soulages-toi, maitresse, et n’ai aucune retenue envers moi ... » Lui confirma-t-elle alors, se tenant prête à apprécier ce fameux liquide doré, qu’elle n’avait pas eu l’occasion de gouter depuis tous ces siècles. Elle entrouvrit la bouche, s’attendant ainsi d’un instant à autre de voir ledit liquide se mettre à couler. Comparé à d’autre fétiche chez les démons, l’ondinisme n’était pas grand-chose, cela dit …

Tessia sourit. Mia Okimi, l'incarnation de sa vieille amie Zaërith, était nue sous son propre bureau, le derrière rouge et strié des marques de ses coups, son anus remplis de stylos et son visage maculé de cyprine. L'une des patronnes d'un des plus grand groupes pharmaceutique du monde et elle était traitée plus bas que la dernière des traînées par une institutrice !

Il est des situations qui mériteraient d'être immortalisées pour la postérité... Songea la démone avec un sourire taquin.

« Je n’ai pas vraiment changé, Tessia … Mes gouts sont toujours les mêmes. Et puis quand bien même … Je ne peux strictement rien refuser à ma maitresse absolue … Je te suis propriété, tu as tout droit sur ma personne, mon cœur … » Déclara Mia avant de se rapprocher à nouveau de l'entrejambe de sa vieille amie pour y déposer un baiser.

Elle demeura ensuite sur place, reprenant la parole d'une voix suave à souhait.

« Soulages-toi, maitresse, et n’ai aucune retenue envers moi ... »

- Je n'avais pas l'intention de m'en priver... Commenta Tessia. Bois, ceci est ta récompense...

Ce disant, la succube se laissa aller, laissant librement sortir ce liquide doré que Mia appréciait tant quand elle était démone. Elle le laissa couler dans sa bouche, sur son menton aussi le regardant glisser sur le corps offert de la patronne d'entreprise. Elle n'avait pas particulièrement anticipé cette situation et n'avait pas beaucoup bu avant de venir, aussi n'urina-t-elle pas très longtemps. Mais l'objectif était surtout de faire passer un message.

Uriner sur quelqu'un n'était pas anodin dans une société codifiée comme celle des humains, surtout en Asie. C'était l'un des plus graves manquement à l'hygiène et au respect qu'il pouvait se faire, même s'il existait des étapes au-dessus, mais Tessia ne les appréciait pas pour les avoir vécues. Mais c'était un signal très fort pour un soumis, un message très clair de sa position par rapport au reste du monde : celle en-dessous de tout. Même les chiens ne se laissaient pas uriner dessus à moins d'y avoir été dressés.

Et puis, c'était les des fantasmes de sa si chère amie. Elle aimait tellement ça que Tessia savait pouvoir lui faire très plaisir en accédant à son désir. Et la succube aimait faire plaisir, raison pour laquelle elle était une démone de la luxure.

- Tu as eu ton nectare me petite salope, qu'est-ce qu'on dit dans ces cas-là ? Demanda la succube avec un air malicieux sur la figure.

Une fois sa réponse obtenue, L'enseignante captura les joues de Mia avec sa main et la força à l'embrasser. Plusieurs saveurs se mélangèrent dans leurs bouches. Celle gluante et sucrée de sa cyprine, celle beaucoup plus âcre et salée de son urine, leurs salives respectives, un festival de goût que peu de gens appréciaient à leur juste valeur.

Tessia en profita pour mordiller les lèvres de son éternelle amante avant de se séparer d'elle aussi "brutalement" qu'elle avait forcé le baiser.

- Débarrasse mes affaires sans les salir de ton bureau et couche-toi dessus ! Il est l'heure de te démonter l'arrière-train. Gloussa la succube avant de la relâcher.

Pendant que Mia s'exécutait, Tessia recula le fauteuil et se leva pour se débarasser de sa jupe et de sa culotte. Elle sollicita ensuite ses pouvoirs et, dans un léger bruit de succion humide, fit émerger de son entrejambe une verge longue, dure et épaisse. Elle la prit en main et la masturba doucement en attendant que ses ordres soient exécutés.

Il était parfois bon d'être la maîtresse.

Il est toujours bon d'être la maîtresse !

Et dire qu’avec tous ces siècles, sa Tessia adorée n’avait en rien oublié ses gouts et ses fantasmes. Bien que Mia n’en avait jamais douté un seul instant, cela lui donnait tout de même une idée sur la solidité de leur amitié. Même si elles étaient à l’écart depuis un bon bout de temps. Mais ce simple geste, ce simple souvenir, donnait à Mia le sentiment que Tessia était peut-être la seule créature au monde pouvait être qualifiée d’amie, au sens propre. Elle était si proche de Mia, que ce soit par leur nature réelle ou par les innombrables souvenirs et moments qu’elles partageaient. De toutes évidences la succube était la plus fidèle et la plus sincère des amies que Mia avait. Et ça, rien ni personne ne pouvait l’acheter ni le remplacer. Avoir ce genre de relation était quelque chose que Mia, même dans son nature sombre et résolument mauvaise, estimait grandement.

Ainsi, comme pour toute belle amitié, cela s’entretenait. Pour des démones comme elles, le sexe était un excellent moyen d’entretenir cette flamme. Et puis, c’était aussi une façon de célébrer les retrouvailles ! Raison pour laquelle Mia ne se refusait rien, pas même son petit plaisir ondiniste. En effet, alors qu’elle était bien positionnée, elle tressaillit en sentant le liquide chaud et doré de son amie couler dans son bouche, puis le long de sa gorge et de son corps. « Hmm … » Gémit-elle en buvant ce qu’elle pouvait, et laissant couler le trop-plein. Un fétichisme assez exotique que, autrefois, elle et Tessia avaient expérimenté tant de fois, pourtant. D’autant plus que à présent qu’elles obéissaient, dans une certaine mesure, aux codes humains, se faire uriner dessus avait toute une dimension symbolique. Cela renforçait, voire pire, cela certifiait dans la pierre que Mia était et sera la petite soumise de Tessia, de manière indéterminée.

Et ça, c’était tout ce que désirait Mia. Elle étancha donc sa soif et absorba la moindre goutte du liquide acre qui sortait, jusqu’à ce que son amie ne se soulage entièrement. Quand le flot s’arrêta, elle se pourlécha les lèvres, puis esquissa un sourire vicié, face à ce que venait de lui demander sa maitresse. « Merci beaucoup, ma maitresse … » Répondit Mia de sa voix solennelle et fière. Oui, fière ; elle était si fière d’être la petite chose de Tessia en ce moment-même. Comment ne pas être fière d’avoir Tessia comme maitresse … On ne pouvait que l’être. Ainsi, elle se laissa faire quand la succube prit de force ses petites joues pour venir l’embrasser, participant même activement à cette étreinte. Sa langue fusa dans la bouche de son amante, et un savoureux balais commença dès lors. Mélangeant toute sorte de saveur pour le moins, exotique … Tel que la cyprine de la sulfureuse Tessia, ou son urine. Leurs lèvres se lovèrent l’une contre l’autre en un baiser extrêmement langoureux et mouillé, qui procura bien du bien à Mia qui raffolait toujours autant des lèvres de son amie.

Toutefois, ce baiser finit par se conclure aussi brutalement qu’il avait commencé, laissant la patronne sur sa faim. Mais, elle ne devait pas désobéir à sa maitresse incontestée, donc, elle obtempéra à sa nouvelle directive. Cette dernière lui fit tout de même extrêmement plaisir, car elle était le précurseur à ce qu’elle attendait depuis si longtemps … Ainsi donc, elle se releva puis entreprit de débarrasser les affaires de son amie, les déposant soigneusement sur l’une des banquettes moelleuses où elles étaient assises au tout début. Mia tressaillait d’impatience et d’excitation à l’idée de sentir, à nouveau, après ces siècles, l’impériale verge de son amie dans son fondement. Son gout prononcé pour la sodomie n’avait fait que devenir encore plus puissant, et Tessia allait bien vite le découvrir. Mia aplatit ses mains sur son bureau et se cambra bien devant sa maitresse, s’allongeant ainsi pour lui offrir sa belle et généreuse croupe. Ses fesses étaient … Bien ronde, bien charnues et assez grosses pour pouvoir avoir une prise des plus confortables et exquises.

Un fessier tout simplement parfait, pour la plus parfaite des femmes qu’était Tessia. Mia tourna légèrement la tête, puis esquissa un sourire taquin. « J’espère que maitresse n’a pas perdu la main après tout ce temps … Car mes petites fesses me brûlent énormément … » Déclara-t-elle dans un premier temps, voyant que son amie préparait son artillerie à la main. Elle finit par sentir sa lourde et chaude trique se frotter contre sa raie, et elle en gémit tout en serrant des dents. « Ahh, ça m’avait cruellement manqué ça … » Ponctua-t-elle, n’ayant aucun doute sur le fait que Tessia allait y mettre toute son énergie et son cœur dans cette sodomie.

Il fallait que Mia ne puisse plus s’asseoir pendant au moins une semaine ! Elle voulait avoir mal, elle voulait se faire, mot pour mot, baiser dans la règle de l’art !

« J’espère que maitresse n’a pas perdu la main après tout ce temps … Car mes petites fesses me brûlent énormément … »

La phrase fit sourire la succube. Elle n'avait plus pratiqué la sodomie avec l'ancienne forme de Mia depuis plusieurs siècles. Mais même maintenant, ce souvenir restait parmi ses meilleurs. Prendre le cul de son amante démoniaque avait été pendant longtemps une sorte de tradition entres elles. Car s'il y a bien une pratique inutile dans la copulation qui ne peut servir à la procréation, la sodomie en fait définitivement partie. Et surtout, si elle est très agréable pour celui qui pénètre, la personne pénétrée en souffre toujours un peu, surtout au début, avant que les muscles du colon ne se réchauffent, ce qui traduit à nouveau bien la distinction entre la dominante qui prend son pied tout du long et la soumise qui souffre tout autant qu'elle finit par avoir bon.

La succube n'hésita pas à approcher sa belle verge de sa soumise et venir en frotter le bout du gland contre son con dégoulinant avant de remonter étaler ce lubrifiant naturel contre l'anus de la pauvre Mia.

Enfin... Pauvre... Façon de parler quoi... Songea la succube alors qu'elle s'apprêtait à sodomiser une des personnes les plus riches de la planète.

« Ahh, ça m’avait cruellement manqué ça … »

- J'espère bien... Gloussa Tessia en se préparant pour la suite. Ton derrière ne m'a fait défaut que trop longtemps... Il est temps que tu paies cette absence... Et lourdement... Commenta l'institutrice démoniaque.

Elle se recula un tout petit peu, comme une plongeuse qui se prépare à sauter, puis s'enfonça brutalement et sans hésiter jusqu'au fond de l'anus de sa petite humaine. Elle lui avait promis une semaine de peine à s’asseoir, ce n'était pas le moment de la ménager.

- Hmmmm... Soupira-t-elle. Ton nouveau derrière est bien plus serré que l'ancien... Heureusement pour toi que ma verge est moins imposante sous forme humaine, sinon je t'aurais probablement causé une belle déchirure anale...

La succube commença ses mouvements de vas-et-viens, plus doucement que sa première pénétration, se délectant des cris et des gémissements de sa soumise.

- Hmmm... Délicieux... Commenta la succube avec délectation. Les petits culs de salopes sont décidément toujours les meilleurs...

Elle prit de moins en moins de gants au fur et à mesure que le temps passait et que le derrière de Mia s'acclimatait. Elle commença à l'enculer plus rapidement, plus sèchement... Pourrait-on dire, plus brutalement ? C'était difficile car Tessia gardait toujours une façon de faire les choses relevant plus de la dextérité plutôt que de la force. Mais il était indénibale que ses pénétrations anales devenait de plus en plus intense.

- Hnnn... Hooo... Si on m'avait dit... Hmmmm... Que je sodomiserais la... Haaa... Patronne d'Okimi médicals... Hmmmm... Le soir même de ma rencontre avec elle... Haaannnn !!! Soupira l'institutrice démoniaque.

D'ailleurs, voulant en ajouter un peu, Tessia se mit à gifler et griffer un peu les fesses de sa victime. Elle lui attrapa ensuite les poignets qu'elle rassembla dans le dos de Mia avant de les enfermer dans une cosse de matière noire et huileuse qui se solidifia juste après qu'elle les ait relâché, enserrant les mains et les poignets de la patronne dans un étau d'acier démoniaque. Elle repris ensuite le bandeau qu'elle referma à nouveau sur les yeux de sa victime tout en continuant à la sodomiser durement.

- Hmmm... Ce nouveau petit derrière que tu as est à tomber ma petite catin. On le sodomiserait pendant des jours !

Mia frémissait d’impatience à l’idée de se faire sodomisée, à nouveau, par son ancienne amie. Dans les anciens temps, Tessia était un peu la dominante dans leurs ébats. Malgré la carrure de Mia à l’époque, c’était belle et bien elle qui la faisait souffrir de ses sodomies abruptes mais cruellement jouissive. Il n’y avait qu’elle pour parvenir à faire pleurer de douleur notre démone corruptrice, jusqu’à ce que ces larmes ne se transforment en larmes de joie. Tessia était même à l’époque une femme remarquable, qui ne laissait pas indifférente notre démone. Et aujourd’hui, force était de constater que rien n’avait changé. Mia était toujours autant soumise à Tessia, et ce malgré qu’elle était riche et puissante. C’était comme ça. Elle ne pouvait lutter contre. Elle était irrémédiablement soumise à la succube qui, dès lors, en profita allègrement. Le bout de son avide gland vint à frotter contre sa raie, arrachant quelques délicieux soupirs de délice à Mia, qui hoqueta doucement en la sentant prendre un peu de sa mouille pour venir lubrifier son entrée.

Toujours aussi créative, pensa alors Mia avant de brusquement se crisper et serrer les dents. « Hnnn ! » Gémit-elle alors, son visage et ses muscles se contractant sous l’abrupte douleur qui la déchira. Tessia était toujours à la hauteur de ses espérances, et la terrible succube venait alors de l’empaler sèchement, d’un seul coup, sans préparation. Autant dire que c’était très comparable à vous déchirer l’anus en deux avec un pieux. Ses doigts se crispèrent contre son bureau, dont le bois s’égratigna à force. La douleur était insupportable, très tranchante, mais … C’était ce que voulait Mia. « Hrrrrrnnnn ! » Gémit-elle à nouveau, alors que Tessia se mit à la besogner doucement, rentrant et sortant de son généreux et délicieux cul. « Hmm … A-Ah oui ? Il te plait, mon c-cul ? » Lui répondit-elle, hoquetant en gémissant de douleur.

Plus le temps passait plus Tessia prenait de moins en moins de gants, au grand bonheur de Mia. Un peu de sa salive coula sur son bureau, à force de rester la bouche ouverte ainsi. Tout son corps remuait en avant et en arrière, suivant les terribles coups de trique de son amante. Amante qui ne la ménageait guère, la sodomisant méchamment avec force et hargne. La pénétration devenait plus intense ; les coups de Tessia étaient plus secs, plus vifs. À un tel point qu’on entendait clairement le bruit des claquements de peaux. Ses lourdes bourses vinrent à claquer contre elle à chaque fois, alors que son puissant membre s’enfonçait toujours plus profondément, procurant à Mia autant de douleur que de plaisir. Son petit ventre commençait à se déformer face à ces coups, d’ailleurs. « Haaaan ! Haaaaaaan !!! » Couinait-elle sans pouvoir se retenir, se laissant complètement envahir par les milliers de sensations qu’elle percevait.

Le meilleur fut quand elle se cambra un peu plus, puis que Tessia la gifla fortement. Elle poussa un hoquet à ce moment-là, alors que ses fesses tremblèrent face au terrible coup que Tessia leur avait donné. Tessia, fidèle à elle-même, décida de nouer les mains de son amie dans son dos grâce à l’un de ses pouvoirs, puis enfila à nouveau le bandeau sur ses yeux. « Hmmm T-Tessia … Hrmmm ! J-Je serai honorée de me faire … s-sodomisée tous les jours, par tes soins … » Lui avoua-t-elle, accro à la trique de Tessia. La douleur était toujours aussi insupportable, mais le plaisir commençait à venir en parallèle. Mia sentait ses entrailles se contracter, comprimant ainsi un peu plus la verge de la succube qui semblait ne pas en démordre. La position dans laquelle était Mia était une position de soumise, tel qu’elle le désirait au plus profond de son être. Son désir, c’était tout simplement que Tessia la soumette, de force, et la sodomise tellement fort … Comme elle le faisait à l’heure actuelle. La succube était en train de réaliser l’un des fantasmes de son amie, en fait.

« Claques-moi, je t’en supplie ! » Implora alors Mia, suppliant Tessia d’être encore plus méchante avec ses fesses. Déjà que les allers et retours de sa verge en elle étaient très douloureux, Mia en redemandait avec des gifles. Bras en arrière, yeux bandés, elle était complètement à la merci de Tessia et ne demandait alors plus qu’une chose ; se faire baiser. Le plaisir monta d’un cran quand son anus se contracta d’un seul coup, se crispant ainsi fortement autour de la verge de Tessia. De quoi faire monter sa rage et son envie de la détruire de l’intérieur …