Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Amour filial [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 30 samedi 21 mai 2016, 12:00:30

Maria doutait franchement que Monsieur Walker ait réellement incité ses élèves à ne pas venir en cours, mais elle avait un problème nettement plus important que les cours de mathématiques en ce moment. Un problème qui incluait la baisse de ses notes, et leur relation. Tout était lié, en réalité, et il y avait, avec ça, ce sentiment d’auto-culpabilité qui la traversait, lui reprochant cette relation incestueuse, lui hurlant qu’elle avait bousillé la vie de son fils à jamais, par pur égoïsme. Une voix terrible, implacable, qui l’assaillait surtout la nuit, quand elle se couchait, et qu’il n’y avait plus personne pour mentir à sa place. Elle était face à Andy, face à son fils, et il fallait qu’elle arrive à calmer ses ardeurs, qu’elle réfrène son envie de coucher avec lui. Avant d’être son amante, elle restait sa mère, et cet élément ne devait pas être négligé.

*Moi aussi, j’ai envie de te sucer, encore, encore et encore... Mais je ne peux pas...*

Une once de bonheur pour une vie de misère n’était pas une bonne équation. Maria le réalisait en voyant l’absence totale de remords ou de questionnement chez Andy. Il voulait baiser, tout simplement, et ne comprenait vraiment pas pourquoi sa mère se refusait à lui. Elle se mordilla donc les lèvres en le regardant.  Le rouge qui lui montait aux joues n’était pas celui de la gêne, mais d’une sourde colère, à la fois dirigée contre Andy, mais aussi contre elle-même.

*Tu n’as plus le choix, Maria... Tu t’es toujours battue contre l’autorité et contre les règles, mais Andy en a besoin. Autrement, il deviendra un loqueteux pensant juste à te baiser.*

Maria avait été, pendant son adolescence, proche de certains milieux anarchistes. Quand on venait d’une famille aussi stricte que la sienne, on avait tendance à tout rejeter en bloc... Mais, et même si elle était favorable d’une éducation « soft », elle considérait les études comme étant très importantes. À ce point-là, nier que leur relation avait un impact sur l’assiduité d’Andy, c’était s’aveugler, et c’était bien là une chose qu’elle se refusait à faire.

Elle soupira donc, et lui répondit alors, sur un ton qui n’était guère sensuel, mais autoritaire, et sec :

« Arrête de te tripoter et de me prendre pour une idiote, Andy. Je suis ta mère ! »

Ce n’était vraiment pas un rôle dans lequel elle était habituée, et elle se déplaça alors. La tâche était d’autant plus dure qu’elle portait une nuisette affreusement vulgaire, terriblement sexy, mettant en valeur ses superbes formes, et qui, pour elle, décrédibilisait d’emblée tout discours sérieux qu’elle aurait pu tenir.

« Je sais que tes résultats scolaires sont en baisse... Et ça vient de moi. Je... J’adore coucher avec toi, Andy, mais... Pas comme ça. »

Elle ferma alors les yeux, lui tournant le dos. Peu importe où elle se tournait, son corps n’était qu’un appel au sexe sauvage, car on voyait, du coup, ses fesses. Elle se retourna donc à nouveau, et décida d’utiliser cette nuisette à son avantage.

« Tu as envie de me baiser dans cette nuisette, hein ? Mais je ne suis pas ta prostituée, Andy. Tu m’as manqué de respect. C’est quelque chose que je ne peux pas tolérer ! »

Elle se rapprocha alors, et pinça le menton de son fils entre ses doigts, et l’embrassa alors... Mais en mordillant ses lèvres, tirant dessus, lui insufflant de la douleur.

« Tu vas aller dans ta chambre, maintenant, Andy. Et tu en sortiras quand je t’appellerais... Pour te punir. »

Elle se redressa alors, et croisa les bras, comme pour bien montrer qu’elle ne plaisantait pas, et qu’aucune négociation ne sera pas possible.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 31 mardi 24 mai 2016, 15:15:30

Andy connaissait suffisamment sa mère pour savoir qu’elle était excitée. Ses pupilles étaient dilatées, ses cuisses tremblantes, et elle parlait trop vite. Andy était presque certain qu’en pressant sa main sur sa culotte, il retirerait des doigts trempés de cyprine. Toutefois cette fois-ci, Maria était au moins aussi énervée qu’en chaleur et le tenait en respect en le fusillant du regard. Malgré son air bravache, le jeune homme n’en menait pas large. Etait-il allé trop loin avec elle ? Le jeune homme cessa de se branler et laissa stupidement retomber son bras le long de son corps. Lorsqu’elle reprit la parole, ce fut d’un ton impérieux que le blondinet ne lui connaissait pas. S’il était arrivé à Maria de sévir avec Andy dans sa jeunesse, il n’avait pas le souvenir de l’avoir déjà vue aussi en colère.

« Mais m’man je… »

Il était trop tard pour s’excuser ; le ton de Maria n’admettait nulle réplique. Saisi par la surprise, le jeune homme fit un pas supplémentaire en arrière, persuadé qu’elle allait le gifler. Elle n’en fit rien cependant, et se retourna un court instant, permettant au jeune homme de déglutir. Il se rendit compte que s’il avait largement la force physique pour la contraindre sa mère à assouvir le moindre de désir – il l’avait d’ailleurs déjà fait – l’autorité de sa mère lui avait ôté toute énergie. Putain quel cul remarqua-il silencieusement. Cependant, Maria avait fait volte-face, et s’avançait vers lui d’un pas rapide. Le dos musculeux d’Andy heurta le mur qui se trouvait derrière lui, et il appliqua ses paumes contre le papier peint fleuri.

« Oui heu… »

Inutile de mentir ; sa grosse queue dressée parlait pour lui, et se dressait entre leurs deux corps impudiques. C’est alors que sa mère l’embrassa, prenant le jeune homme au dépourvu. S’empressant de répondre au baiser, et certain d’avoir finalement triomphé, il posa ses mains sur les hanches de Maria, enfonçant doucement ses doigts dans la chair tendre de ses fesses. Cependant, le baiser se transformait en morsure et, les yeux écarquillés, Andy poussa un grognement de surprise et de douleur. Lorsqu’elle rompit le baiser, il s’écarta précipitamment d’elle, les sourcils froncés. Portant majeur et index à sa lèvre inférieure, Andy s’aperçut qu’il saignait légèrement.

« Ça va pas non ? Tu m’as fait super mal putain ! »

Cependant Maria le toisait, les bras croisés et l’expression indéchiffrable. Sur le même ton qu’elle aurait intimé à un chien d’aller à la niche, elle le consigna à sa chambre. La mort dans l’âme, Andy grommela et s’éloigna en traînant les talons. Au moment de monter les escaliers il se retourna pour voir si Maria ne fléchissait pas, mais elle ne laissait rien paraître. Le jeune homme soupira en constatant que son érection s’était évaporée et monta lentement les degrés, puis alla s’enfermer dans sa chambre.

Me punir ? Comment ça me punir…

Le blondinet s’était assis en tailleur sur son lit, en face de son poster de Taylor Swift qu’il trouvait vraiment bonne, même s’il lui manquait quand même un peu de formes. Aussi loin que remontait les souvenirs du jeune homme, Maria ne l’avait jamais formellement puni. Ce n’était pas le cas de ses camarades. L’un d’eux, Dean, avait passé trois semaines en camp de redressement après que son père l’ait surpris en train de fumer du cannabis à la fenêtre de sa chambre. Que diable allait bien pouvoir faire Maria ?

« J’ai merdé », se morigéna-il à voix basse.

Et si Maria avait décidé de mettre un terme à leur relation incestueuse ? Le cœur battant et la mort dans l’âme, Andy se mordit la lèvre inférieure. Les minutes qui suivirent lui semblèrent des heures et lorsqu’enfin Maria se manifesta, il sauta sur ses pieds, le cœur au bord des lèvres.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 32 mercredi 25 mai 2016, 08:55:52

Dès qu’elle l’eût consignée, Maria se sentit gênée de l’avoir fait... Mais sa propre conscience se calma devant la nécessité impérieuse de reprendre les choses en main. Tandis qu’Andy était consigné dans ses quartiers, elle, elle prépara sa punition. En l’état, il s’agissait juste de récupérer un produit dans sa pharmacie, et quelques autres tenues spéciales. Elle avait en tête quelque chose pour Andy.

*Tu ne peux plus reculer, maintenant, Maria, ou les effets en seront catastrophiques ! Il te faut aller jusqu’au bout !*

Oui, elle devait le faire, mais... Les hésitations continuaient encore à se bousculer dans sa tête. Est-ce que ça ne serait pas trop pour Andy ? Tous les adolescents avaient une période de trouble, une période où les résultats scolaires baissaient, après tout. C’était ça, l’adolescence, c’était l’âge idiot, celui où on en avait marre des études, où on voulait partir en croisade contre tout le système.

*Arrête de lui chercher des excuses, tu dois lui rappeler qui tu es, que tu es sa mère !*

Son garçon finit par revenir, et fila vers le salon, mettant par ce biais un terme aux hésitations de Maria... Pour constater que sa mère n’était pas là. Cette dernière s’était dissimulée près de la porte menant du couloir au salon, et, comme dans les films qu’elle avait vu, plaqua sur la bouche d’Andy, en se ruant dans son dos, un mouchoir imbibé de chloroforme.

« Ne t’inquiète pas, Andy... Mais il me faut plus de temps pour te punir. »

Elle le sentit se débattre, et alla lécher le lobe de l’une de ses oreilles, sa conscience étant curieusement atténuée par une sorte de... Franche excitation. Maria portait toujours sa nuisette, et, si Andy n’était pas trop paniqué, il aurait pu sentir les seins de la femme s’écraser contre son dos. En réalité, l’idée même d’abandonner leur relation incestueuse, si elle avait pu la caresser, lui était intolérable. Elle tenait bien trop à ça pour la sacrifier si facilement.

Maria maintint donc le mouchoir, jusqu’à ce que son fils s’endorme...

Puis elle prépara les choses.

*
*  *

« Réveille-toi, Andy ! »

Le coup de cravache claqua sur les fesses nues du jeune garçon, ce qui eut pour effet de le réveiller... Ça, ou les courants d’air frais qui résonnaient dans cette pièce sombre, et dénuée de fenêtres. Andy ouvrit alors les yeux, pour constater qu’il ne pouvait pas bouger... Ou, du moins, pas trop. Des liens entravaient ses poignets et ses jambes, le mettant dans une position assez humiliante, puisqu’il était à quatre pattes sur le sol, avec les bras redressés, maintenus en l’air par des chaînes et des liens, une barre à hauteur de la nuque permettant de soutenir l’ensemble.

Une position assez humiliante.

Difficile de dire si Andy reconnaîtrait les lieux, il n’avait pas l’habitude de se rendre dans leur cave. Sur une table dans un coin, il y avait quantité de sex toys. Un gag ball était posé sur ses lèvres, l’empêchant de parler, et des talons résonnèrent dans son dos, puis une main gantée caressa son dos.

« Tu es réveillé, Andy ? Oui, je le sens... Vilain garçon. »

Il n’était pas totalement nu. Lui qui aimait tant les vêtements de sa mère pouvait être ravie, elle lui avait mis sur le corps une lingerie fine, composée de sous-vêtements violets en dentelle, et de collants. Andy avait des jambes qui n’étaient pas aussi fuselées que les siennes, mais elle avait été ravie de voir qu’elle pouvait les lui mettre, sans que cela ne jure trop.

Et elle ? Elle finit par arriver devant Andy. Une forte prestance se dégageait d’elle, car sa nuisette transparente avait laissé place à une tenue nettement plus axée sur la domination. Un corset noir en cuir épousait ses formes, avec de longs collants noirs s’enfonçant dans des cuissardes en cuir... Sans parler des longs gants noirs qu’elle portait, ou, encore, de ce gode qui plantait le long de sa culotte.

« Tu as été un très vilain garçon, Andy... Et les vilains garçons comme toi méritent d’être punis ! »

Elle tira doucement sur ses cheveux. Le sadomasochisme était une chose qu’elle n’avait encore jamais exploré avec Andy, mais qu’elle avait couché par écrit. De fait, ses œuvres érotiques viraient de plus en plus vers cet art du sexe qu’était la domination. Elle avait aménagé sa cave depuis quelques semaines, déjà, en secret, avec le fantasme secret qu’Andy la prenne, en agissant sur elle comme un Maître dominateur et brutal... Mais, finalement, ce serait elle qui ferait la Maîtresse.

« Et, puisque tu ne respectes pas mon rôle de mère, que tu ne lui montres pas le respect qui lui est dû, je n’ai plus qu’à te dresser, afin que tu respectes ta Maîtresse ! »

Elle dégrafa alors le gag-ball. Son gode caressait entre-temps les joues d’Andy, tant elle était proche de lui.

« Je veux que tu le dises, Andy... Que tu confesses avoir été un garçon irrespectueux, un vilain garçon, et qui mérite d’être puni en conséquence. Allez... Dis-le ! »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 33 jeudi 22 septembre 2016, 12:36:44

Lorsqu'il sentit Maria se coller à son dos, Andy ne réagit pas immédiatement, croyant qu'il s'agissait là de quelque câlin de réconciliation ; il se rendit compte bien trop tard que dans la main que sa mère adorée avait plaqué contre son nez, se trouvait un mouchoir humide...Alors qu'il se sentait vaciller, Andy commença à se débattre mollement, mais la force commençait à quitter ses muscles et au bout de quelques secondes il s'écroula dans les bras de Maria, profondément assoupi.

« Clac ! »

Une douleur sèche sortit le jeune homme de sa torpeur. Andy frissonna, ouvrit un œil, et s'efforça d'étirer ses membres endoloris...En vain. « Hmm ? », s'étrangla-il, en découvrant au passage qu'il ne pouvait pas non plus parler, puisqu'on lui avait enfoncé quelque chose entre les dents. S'efforçant de ne pas céder à la panique, le joueur de base-ball remua la tête de gauche à droite. Il avait une migraine phénoménale et n'avait pas la moindre idée de la manière dont il avait atterrit ici... Ici où, d'ailleurs ? L’obscurité ne lui permettait pas de voir grand chose, Mais Andy reconnut dans un coin son vieux vélo d'enfant, avec ses petites roulettes. La cave, c'est la cave ?!

Soudain tout lui revint : sa dispute avec Maria, sa consignation dans sa chambre, puis le mouchoir et le chloroforme. Maria l'avait sédaté ! C'était carrément dingue ! Comme pour lui réponde, une paire de talons claqua derrière lui, alors que la voix de Maria, doucereuse, brisa le silence. « Hmm Hmm », protesta-il en vain, en fronçant les sourcils, alors que quelque chose de lisse lui caressait le dos. Sentant son regard sur son corps, le jeune homme baissa les yeux, pour constater qu'elle l'avait travesti en femme. Outré, le jeune homme remua de plus belles, faisant rouler ses muscles sous sa peau ambrée. Cependant, Maria l'avait contourné et le dominait à présent de toute sa taille, rehaussée par des talons aiguilles. Le regard du jeune homme s'attarda un court instant le long de ses jambes fuselées, gaînées par des cuissardes, mais lorsqu'il remarqua la verge en silicone qu'elle arborait, il commença à paniquer.

« Je suis désolé, maman, je ne referais pas, je te le promets ! Détache moi s'il te plaît ! », implora-il en balbutiant, lorsqu'elle lui ôta la gag-ball.

Désolé, ça il l'était ! Cependant, si le garnement aurait dit n'importe quoi pour échapper au courroux de sa mère, il n'en pensait pas moins. Détournant la tête lorsque le gode percuta sa joue glabre, Andy s'efforçait de calmer les battements de son cœur.

« Oui, je me suis mal comporté, j'ai été vilain et je devrais être puni pour ça. Mais pas comme ça, s'il te plait ! Je tondrai la pelouse pendant trois semaines », proposa-il tout de go, au désespoir. Il faut ici rappeler que le concept de punition corporelle était parfaitement étranger à Andy, que sa mère n'avait jamais frappé. Voire Maria se comporter de la sorte, et pas avec la douceur habituelle qui la caractérisait avait quelque chose de réellement inquiétant pour le jeune homme, qui craignait qu'elle n'ait littéralement perdu l'esprit. Que comptait-elle faire avec ce truc ?

"Je... je suis pas pédé !"

Les lycéens, surtout les sportifs, étaient loin d'être très tolérant en matière de sexualité et Andy en était un parfait exemple.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 34 dimanche 25 septembre 2016, 00:38:36

Pendant un bref instant, Maria hésita. Faisait-elle quelque chose de juste ? Est-ce que cette séance ne risquait pas de briser le lien de confiance l’unissant à son fils ? Est-ce qu’il ne risquait pas, par la suite, de se révolter contre elle, de devenir l’un de ces adolescents rebelles et colériques qui dénigraient leurs parents ? Maria n’en avait pas envie, mais... Ce bref moment de remords disparut fort heureusement assez vite, remplacé par une solide détermination, qui lui rappelait ce que son fils avait fait. Il lui manquait de respect, et il fallait qu’elle intervienne.

*Non, non, ne te laisse pas attendrir, Maria, tu dois faire ce qu’il faut faire !*

Le visage devant le gode de sa mère, Andy précisa alors qu’il n’était pas un pédé. Maria réagit alors, et posa sa main gantée sur les cheveux blonds de l’homme musclé, et tira dessus, soulevant sa tête.

« Depuis quand ai-je l’air d’un homme, Andy ? Et depuis quand décides-tu de ta punition ? C’est le sexe qui nous unit, c’est donc à travers le sexe que tu seras soumis ! Chaque fois que tu oublieras que tu dois du respect à ta mère, c’est Maîtresse Maria qui te punira ! »

Le ton était assuré, et elle relâcha sa tête, comme pour bien lui faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas. Maria se déplaça alors à nouveau, et retourna dans le dos de l’homme, puis massa ses fesses. Si les hommes adoraient l’idée de sodomiser des femmes, l’inverse, au contraire, les effrayait. Cependant, Andy n’avait plus le choix. Maria était bien décidée à le faire, et elle savait que l’homme allait apprécier ça. Elle posa sa main sur l’une de ses fesses, crispant ses doigts dessus, sentant ce dernier frémir sur place.

« J’adore à chaque fois que tu me sodomises, mon chéri, alors il n’y a aucune raison que toi aussi, tu n’aimes pas... Mais, chaque fois que tu me défonces le cul, tu t’imprègnes de ton autorité masculine sur la mienne. Il est temps de limer ta virilité, Andy ! »

Elle gifla alors ses fesses, relevant et abattant sa main, sentant cette dernière claquer sur le magnifique cul musclé d’Andy. Elle donna une première claque, puis encore une autre, un peu plus fortement, et une troisième fois encore... Et, tandis qu’elle le frappait, Maria se surprenait à réaliser que, contrairement à ce qu’elle aurait pu penser, elle aimait bien ça. Elle sentait des rougeurs pointer sur ses joues en le fessant, elle se mordillait instinctivement les lèvres, et commençait à frissonner sur place. Maria continuait donc à le gifler, jusqu’à finir par se redresser, crispant ses doigts.

*Il faut que je fasse attention, je pourrais y prendre goût... Seigneur, mais quelle mère suis-je donc ?!*

Maria se racla la gorge, en retournant devant Andy, et posa sa main sur ce gode, l’approchant de son visage.

« Maintenant, Andy, sois un bon petit chien, et suce ma queue ! »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 35 dimanche 25 septembre 2016, 23:08:40

Les yeux rivés sur le beau visage de sa mère, Andy y vit planer un court instant de doute, un moment où tout pouvait vaciller. Conscient que tout se jouait à ce moment précis, il retint sa respiration et espéra. En vain. A l’hésitation succéda une détermination sans faille, mêlée à une sourde colère, qui fit paniquer le jeune homme. Quoique Maria ait décidé de lui faire subir aujourd’hui, elle irait jusqu’au bout. Car Andy le savait ; Maria était douce, mais elle avait une force de caractère incroyable, celle-là même qui lui avais permis de l’élever en cumulant plusieurs boulots à la fois et de garder la tête haute en temps de disette. Non, elle ne renoncerait pas.  Andy grimaça lorsque sa mère lui tira les cheveux pour le forcer à la regarder, mais s’interdit de se plaindre.

« Non mais tu sais bien… Les mecs qui se mettent des trucs dans les fesses, c’est des pédés », lâcha-il, misérablement, alors qu’elle laissa retomber sa tête vers l’avant, avant de disparaître de son champ de vision. Ce qu’il y avait de terrible dans sa position, c’était l’attente, et la terrible incertitude qui le tenaillait. Bah, après tout, peut-être se contenterait-elle de lui faire sucer son truc et de lui administrer quelques coups de cravache bien sentis, songea-il, espérant ainsi se rassurer. Les mots qu’elle prononça ensuite le glacèrent d’effroi, et il sentit ses jambes faiblir.

« Non, non… Ça va faire mal… S’il te plait pas ça, m’man… »

Toutefois Maria semblait se moquer éperdument de ses protestations, et commença à la fesser sans ménagement, le faisant pousser un premier gris de surprise, puis des gémissements de protestation. Cependant, le souvenir de sa queue profondément enfoui dans l’anus spongieux de sa mère avait fait son chemin, et le sang affluait progressivement à sa verge, bien trop imposante pour les sous-vêtements féminins qu’il portait. « Aie… Arrête, ça fait mal ! », protesta-il une nouvelle fois. A l’excitation procurée par les mots de sa mère se mêlait la douleur de la correction qu’elle lui administrait, jusqu’à ce que malgré lui, la vive douleur ressentie à chaque claque se transforme en onde tiède se propageant jusqu’à son bas-ventre.

Lorsqu’elle s’interrompit, Andy se sentait bizarre, un peu largué. Hébété, de petites larmes au coin des yeux, il regarda Maria se repositionner devant lui, sa verge de silicone entre ses doigts gantés. Observant l’objet avec circonspection, l’adolescent leva les yeux vers Maria. La rougeur de ses joues trahissait son excitation, et l’étrange lueur qu’elle avait dans le regard n’admettrait pas la désobéissance. Ses fesses, lui cuisaient, et il n’avait pas particulièrement envie de se faire fesser une nouvelle fois… Si bien qu’il capitula.

Fermant les yeux, il avança les lèvres pour gober le gland du gode et, de mauvaise grâce, l’enfonça de quelques centimètres dans sa bouche, se contentant ainsi de suçoter le sexe factice. « hmm mhh », grogna-il ; c’était moins facile que ça n’y paraissait et Andy se demandait comment Maria pouvait gober sa bite, qui était sensiblement plus épaisse.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 36 mardi 27 septembre 2016, 11:06:55

Si son fils protestait, Maria se rassura en sentant une réaction immédiate. Pour un homme, il était techniquement impossible de dissimuler son plaisir, car elle sentit la verge d’Andy grossir rapidement sous ses claques, signe que son fils, malgré ses protestations, devait inconsciemment aimer profondément ce moment. C’était quelque chose que Maria acceptait volontiers, car, si elle punissait Andy, elle ne voulait pas non plus qu’il la déteste après ça. La jeune mère était dans une situation assez compliquée, partagée entre des sentiments contradictoires, et elle ne pouvait que se reposer sur elle-même. Sur ce point, personne ne viendrait l’aider à éduquer son fils, quand on connaissait la nature incestueuse de leur relation. Elle devait donc se débrouiller par elle-même, et constata, en regardant Andy, que ses joues rougissaient, et qu’il n’y avait plus, dans les yeux, ce regard de répulsion et d’horreur, mais, au contraire, de la surprise... Et peut-être aussi du plaisir.

Maria en frissonna encore, et sentit Andy ouvrir la bouche, pour venir attraper son sexe factice. La main de sa mère se crispa alors sur ses cheveux, serrant ces derniers plus fermement. Pendant quelques instants, elle se contenta juste de le laisser faire, sans intervenir, observant le visage de son fils se déplacer, constatant que ce dernier commençait, petit à petit, à prendre son pied.

« Tu aimes te faire punir, hein ? Tu es vraiment un vilain petit garçon, Andy... »

Il n’était pas sûr que cette méthode soit vraiment efficace sur le long terme, mais, pour l’heure, Maria était bien incapable, elle aussi, de lutter contre cette vague de plaisir qui la traversait. Soupirant lentement, Maria finit par se déplacer son bassin d’avant en arrière, accompagnant les mouvements de l’homme.

« Tu aimes, hein ? Et encore, ce n’est qu’un jouet en plastique, mon chéri... Mais... Tu sens comme elle est grosse, comme c’est dur de l’enfoncer, de la garder en soi ? »

Peut-être comprendrait-il un peu mieux ce dont sa mère était capable... Mais est-ce que cela l’amènerait à davantage le respecter ? Ça, c’était plutôt davantage le genre de prestations qui vous valait d’être joyeusement qualifiée de « super-salope » par tous ces mâles en rut.

« Hmmm... »

Elle s’en mordillait les lèvres, puis finit par se retirer de la bouche de l’homme, non sans avoir forcé le passage. Maria, juste avant d’éloigner son gode de ses lèvres, opta ainsi pour une gorge profonde, ce qui allait très certainement étouffer Andy. Elle resta comme ça pendant quelques secondes, avant, donc, de s’en extirper, le laissant reprendre son souffle.

« Bien... Maintenant que tu l’as bien humidifié, Andy, je vais m’occuper de ton postérieur... »

Maria soupirait lentement.

« Ça va te faire mal, oui, mais si moi, je l’endure, toi, tu devrais le faire aussi. Tu es plus résistant que moi, Andy... Et tu verras à quel point la douleur, en cette matière, peut être jouissive. »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 37 samedi 01 octobre 2016, 12:06:47

Andy commençait à réaliser que ce dont il avait le plus peur n’était pas les coups de cravache de sa mère, non plus que de s’étouffer avec sa queue en silicone… Ni-même qu’elle ne l’enfonce dans son cul – quoique si un peu quand même - ; c’était ses propres réactions qu’il appréhendait. Et si… Et s’il appréciait ça ? Cela serait-il de lui un pédé, comme Elie, un jeune androgyne auquel on prêtait des relations sexuelles avec le prof d’histoire, et qui traînait la plupart des temps avec les filles. Au lycée, tout le monde le disait : il devait sûrement se faire enculer à quatre pattes et couiner comme une catin ! Si au lycée on apprenait qu’Andy se faisait traiter de la sorte, il ne faisait aucun doute qu’il serait à son tour la risée du lycée ! « hmm… » Toutefois, le jeune athlète n’avait pas vraiment le choix ; il fallait bien s’occuper de ce gode. Son activité buccale l’empêchait de répondre à Maria, mais s’il avait pu le faire, il aurait probablement nié une nouvelle fois, bien que la raideur de son vit démontre le contraire.

Peu habile à la fellation, Andy s’appliquait néanmoins à prendre la verge de plus en plus profondément en bouche, s’arrêtant parfois pour la lécher, comme il avait vu maint fois Maria le faire, en guettant les réactions de cette dernière. Les rouges roses, le souffle court, Maria semblait apprécier le traitement prodigué par son fils, lequel ne put s’empêcher de sourire. Toutefois Maria s’enhardit et Andy hoqueta, alors qu’elle imprimait un mouvement de va-et-vient à son bassin, envoyant l’extrémité de la verge percuter la glotte du jeune homme, lequel s’efforçait tant bien que mal de suivre le mouvement sans trop s’étouffer. Le jeune homme respirait à présent par le nez, et sa salive, de plus en plus abondante, dégoulinait sur son menton. Lorsqu’elle s’interrompit, Andy haletait, la bouche entrouverte et le regard vitreux ; le manque d’oxygène lui donnait le vertige. La voix de sa mère lui parut lointaine, mais un frisson lui parcourt l’épine dorsale lorsqu’il comprit qu’elle n’allait pas tarder à le pénétrer. Était-ce de l’appréhension, du désir, ou simplement la température ambiante qui lui donnait la chair de poule.

« a…Attends », paniqua-il, en voyant sa mère se déplacer. « Mes fesses aussi doivent être préparées », balbutia-il, d’un air misérable.

Maria avait raison ; Andy usait et abusait de son anus, qu’il préférait désormais à sa chatte, parce plus étroit, et plus sale. Toutefois, conscient des dimensions de sa verge, il prenait toujours le temps de la préparer un minimum… Même s’il avait remarqué qu’avec le temps, le cul de sa mère tendait à se lubrifier naturellement. Il espérait que malgré sa colère, Maria ferait preuve d’un peu de clémence à son endroit.

« Plus résistant que toi ? » Andy ne put s’empêcher de froncer les sourcils. Il avait beau être un sportif de haut niveau, il était un grand douillet, et doutait de pouvoir endurer les sodomies comme Maria… Pourtant il sentait sa volonté s’amollir, alors que le désir affluait, et que ses muscles se détendaient. Qu’il le veuille ou non, Andy était prêt.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 38 vendredi 07 octobre 2016, 02:00:56

« Eh bien, tu es un garçon, et très bien musclé. Tu es forcément plus résistant que moi, mais tu manques d’expérience, alors... Forcément, ce sera différent pour toi, mais ne t’inquiète pas. Tu as tellement pris mon cul que je sais comment faire. Et puis, de toute manière, si tu ne ressentais que du plaisir, ce ne serait pas vraiment une punition, pas vrai ?  »

Maria, néanmoins, connaissait son garçon, et elle savait très bien ce qui le tracassait en ce moment. Ce n’était pas tant le fait de se faire sodomiser, que celui d’avoir l’impression qu’il aimerait un plaisir homosexuel. Elle savait que l’homme était très attaché à sa virilité, et ne supportait pas qu’on la remette en cause. Et, dans sa vision des choses, encore un peu bourrue et archaïque, l’homosexualité était un manque de virilité, et ce quand bien même les homosexuels étaient souvent des individus très costauds, justement pour lutter contre ce préjugé. Andy se refusait donc à apprécier ça, et il était aussi du devoir de Maria de l’éduquer sur ce point, et de lui montrer qu’il n’y avait aucune honte à aimer la sodomie.

Sachant très bien qu’elle devait le préparer, elle se contentait, en réalité, juste de le titiller pour l’heure, en caressant ses fesses avec son gode. Elle se mordillait tendrement les lèvres, et se pencha finalement vers l’avant, pliant les genoux, son visage arrivant à hauteur du postérieur musclé de son fils. Elle-même rougissait, ses doigts tremblant nerveusement, car c’était bien la première fois qu’elle allait s’attaquer au fessier d’un homme.

« Tu sais, Andy, il n’y a aucun mal à apprécier ça... C’est naturel. »

Elle écarta les fesses de son fils avec ses pouces, dévoilant ainsi l’accès à sa croupe, et soupira lentement, puis s’avança vers cette zone. Le délicat trou rosé apparaissait timidement, et elle écarta encore davantage les plis de chair, afin de pouvoir mieux le discerner. Son anus était là, et elle se pencha encore, allant tendrement le lécher, caressant ce dernier avec le bout de sa langue, sentant le corps d’Andy réagir en conséquence. Pendant quelques secondes, Maria se concentra, conservant les yeux clos, en léchant cette zone avec le bout de sa langue, encore et encore.

« Hmmm... »

Maria y allait tranquillement, essayant de forcer le passage avec sa langue, en laissant cet anus se dilater.

Le préparer, c’était un préalable indispensable, en effet, et c’était ce à quoi elle s’affairait en ce moment, non sans un certain plaisir, car elle-même commençait à sentir sa chatte s’enflammer...

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 39 dimanche 30 octobre 2016, 17:12:11

L’excitation croissante du jeune homme rendait ses protestations faiblardes, et ses dénégations ridicules. Le jeune homme s’en rendit compte, et décida en rougissant d’arrêter de se plaindre. S’il était émoustillé, il n’en restait pas moins inquiet ; sa mère lui avait expliqué à de multiples reprises qu’une sodomie était, devait être douloureuse, pour être jouissive, ce que le jeune homme avait toujours du mal à comprendre, même s’il avait vu Maria grimacer maint fois sous ses coups de butoir, avant de jouir bruyamment. Et il y avait encore la honte, bien sûr. Cela étant dit, personne n’était obligé de l’apprendre… Après tout, nul ne se doutait que Maria et Andy s’envoyaient en l’air plusieurs fois par jour

« Mouais… »

Maria le contourna une nouvelle fois, pour repasser dans son dos, et s’immobilisa un instant, le titillant avec l’extrémité de son gode, incitant le blondinet à se cambrer, bien malgré lui. « Humf… » soudain, sa mère s’agenouilla derrière lui, écartant doucement ses fesses pour dévoiler la corolle brune de son anus que l’excitation avait commencé à dilater. Andy sentit son rythme cardiaque s’emballer et un frisson lui remonta le long de l’épine dorsale alors qu’un léger courant d’air passait sur son anus offert.

Andy sentit les cheveux de sa mère effleurer sa croupe avant que sa langue dardée ne s’écrase contre son rectum, contact qui déclencha une série de soubresauts à son gros pénis qui pendait entre ses cuisses musculeuses. « Oh Mom’ c’est…trop bon… » A présent le jeune homme haletait, les yeux mi-clos. Ce n’était pas la première fois que Maria lui léchait l’anus ; le jeune homme aimait le contact de sa langue à cet endroit lorsqu’elle le masturbait. Outre la sensation – exquises- que cela lui procurait, il y voyait une forme de soumission prononcée de la part de Maria. Mais cette fois-ci, les rôles étaient inversés et sa mère ne se contenait pas de le lécher sagement, mais enfonçait profondément sa langue en lui, l’ouvrant progressivement. Cette sensation d’être rempli était nouvelle pour le jeune homme, qui ne pouvait s’empêcher de se cambrer pour faciliter l’intromission.

« Tu peux y aller maintenant », lâcha-il, finalement, en s’efforçant de maîtriser l’impatience qui transparaissait dans sa voix. Son pénis était en effet plus gonflé que jamais, et du pré sperme s’échappait de son méat, pour couler le long de sa hampe enflée.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 40 lundi 31 octobre 2016, 08:58:53

D’aucuns auraient pu douter de l’efficacité d’une punition qui était agréable chez la personne punie... Mais, à relation hors-normes, il fallait une punition hors-norme. Maria, en soi, ne cherchait pas à « punir » son fils, mais utilisait le concept de « punition » pour réinstaurer son autorité sur lui, une autorité bafouée et malmenée par la relation incestueuse que le couple menait. Ils faisaient en effet plusieurs fois l’amour par jour. Quand ils se levaient, pour commencer. Un rituel incontournable, vu qu’ils dormaient ensemble, et que son fils se réveillait toujours avec une trique incroyable. Il y avait donc toujours au moins une fois matinale... Si ce n’est deux, une fois au lever, une fois dans la douche. Ensuite, Andy revenait au déjeuner, donnant lieu à une autre séance de baise, et le soir... Ouhlàlà ! La première semaine, l’appartement était devenu un baisodrôme géant. Ils baisaient fréquemment le soir, ne faisant presque ça, ne se relâchant que pour mieux baiser encore, comme si les deux avaient une soif immense à épancher, comme si, inconsciemment, ils avaient toujours voulu s’envoyer en l’air. Les deux avaient donc rattrapé avec force le temps perdu.

Et maintenant... Maintenant, Maria ne voulait surtout pas arrêter ce rythme. Oh ça non ! Elle adorait la vigueur de son fils, son énergie, mais... Eh bien, elle avait aussi un ménage à faire tourner, de l’argent à amener, et elle ne pouvait pas se permettre de laisser son fils faire n’importe quoi. Alors, pendant qu’elle y réfléchissait, généralement la nuit, pendant que son fils dormait contre ses seins, leurs corps nus entremêlés l’un à l’autre, elle s’était dit que jouer la Maîtresse lui permettrait, peut-être, d’avoir satisfaction. Elle avait eu peur de bien des choses, notamment de se dégonfler au dernier moment, de ressentir des remords... Mais il n’y avait, fort heureusement, rien de tout ça. Ce qui dominait n’était rien de plus qu’une intense envie de plaisir, des frissons qui remuaient dans son corps, tandis qu’elle préparait l’anus de son fils.

Maria le prépara donc, sentant les résistances d’Andy s’évanouir. Il demanda alors à ce qu’elle y aille, et elle fronça les sourcils, pinçant alors sa fesse, et fit de même avec l’un de ses tétons, se courbant vers lui, et le pinçant avec son autre main.

« Tût-tût ! Ici, je ne suis pas ta mère, petit chien, je suis ta Maîtresse. Alors, tu me vouvoies ! Et, pour que tu le comprennes bien... »

Ne le sodomisant pas, elle attrapa un instrument sur la table, qui était un chat à neuf queues. Cet instrument de torture médiéval était une sorte de fouet minuscule composé de neuf lanières de cuir. Il n’était plus aisé pour torturer, et connaissait une nouvelle jeunesse dans les milieux sadomasochistes. Bien sûr, les lanières en cuir étaient effilées, mais l’ensemble était quand même assez douloureux.

« Voilà comment ça marche, Andy... Chaque transgression de la règle, de mon autorité, t’expose à une punition. En l’occurrence, pour te montrer que je peux être magnanime, tu n’auras droit qu’à cinq coups de fouet, mais, si jamais tu réitères... »

Inutile de préciser davantage, n’est-ce pas ?

Peu importe ce qu’Andy dirait, Maria s’écarta un peu, se mit à côté de lui... Puis abattit son fouet une première fois, ciblant à hauteur des fesses. Les lanières claquèrent sur la chair musclée de l’homme, heurtant le bas de son dos, et son beau petit cul. L’arme repartit en arrière, puis fusa à nouveau, donnant quatre coups supplémentaires. Et, au moment d’asséner le dernier coup, Maria y alla encore plus fort, ressentant un étrange flux d’adrénaline dans son corps. Sa main en tremblait nerveusement, et elle se mordillait même les lèvres.

*Hum... Fais attention, Maria, tu pourrais y prendre goût !*

Elle reprit son calme, et rangea le fouet, puis s’approcha encore d’Andy, retournant dans son dos.

« Bon... Est-ce que c’est clair, maintenant, petit esclave ? »

Maria caressait son anus avec son gode noir, une main dessus, l’autre s’appuyant sur son bassin.

*Je vais le pénétrer, je vais le pénétrer...*

Tout ce qu’elle attendait, c’était un « Maîtresse » pour le faire, car, à l’idée de sodomiser son propre fils, Maria, encore une fois, ne ressentait absolument pas la moindre gêne. C’était, au contraire, une furieuse excitation qui dominait en elle.

Comme un volcan sur le point d’entrer en éruption.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 41 mardi 01 novembre 2016, 20:28:38

Contrairement à ce qu’attendait – et espérait – Andy, Maria ne s’enfonça pas en lui, mais courroucée, le pinça à plusieurs reprises, suscitant un sentiment d’incompréhension et d’injustice chez Andy, qui manifesta sa désapprobation par des bref grognements rauques. Loin de s’arrêter là, la jeune femme saisit ce qui ressemblait à un fouet, mais muni de plusieurs lanières, et le souleva au-dessus de son dos… Avant de l’abattre sur son cul ambré.

« AIE ! OUCH », feula le jeune homme, en sentant finalement les lanières de cuir mordre sur sa peau nue. Aussi surpris que déçu, il se tortillait à présent de gauche à droite pour essayer d’échapper à l’ire de sa mère, mais celle-ci était intraitable. Elle le punit ainsi de plusieurs coups bien senti et lorsqu’elle cessa, Andy se rendit compte qu’une larme de douleur et d’impuissance avait coulé sur sa joue gauche et qu’il s’était mordu la lèvre inférieure jusqu’au sang. « Oui maîtresse, je…je suis désolé, je m’excuse… » bafouilla-il, prêt à tout pour éviter qu’elle ne réitère l’opération. Observant qu’elle rangeait le fouet, Andy ferma les yeux, réprimant un soupir de soulagement et se détendit un peu. Son postérieur lui cuisait, mais la douleur n’avait pas entamé son érection… Elle l’avait même renforcée, remarqua-il, étonné, alors qu’un peu de sperme s’échappait de son urètre pour couler sur le carrelage glacé de la cave. Comme tout adolescent, le joueur de base-ball avait regardé de nombreux films pornographique, y compris ceux qui mettaient en scène des femmes qui dominaient des hommes. Si ces scènes l'émoustillaient généralement beaucoup, le blondinet n'aurait jamais imaginé se retrouver un jour dans cette situation...Et pourtant, il y étaot, prêt à se faire pénétrer par un sexe presque aussi épais que sa propre bite.

« Mhh-hmm
», grogna-il, lorsqu’il sentit le gode de sa mère se frotter à nouveau contre son anus dilaté. Andy était bien obligé de le reconnaître à présent ; il mourrait d’envie que sa mère lui glisse ce gros sexe sombre dans le cul et remuait imperceptiblement du bassin vers l’arrière, attendant une pénétration qui ne venait pas. « mam…Maîtresse ? » osa-il, en lançant un regard inquisiteur par-dessus son épaule. « A…allez-y, sodomisez-moi, s’il vous plaît…J’en ai envie. », lâcha-il finalement, haletant. Davantage qu’envie, il en avait besoin à présent. Il avait toujours très peur, bien entendu, mais par une ruse de l’esprit, cette peur alimentait son désir… Et sa curiosité. Il allait enfin savoir ce que ressentait maria, quand il la défonçait brutalement, usant sans ménagement de son anus avant de jouir en elle. 

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 42 mercredi 02 novembre 2016, 16:02:47

Voilà maintenant qu’elle venait de le battre avec un fouet ! Et, le pire, c’est que, loin de s’en sentir coupable, Maria ne ressentait qu’une vibrante excitation, qui fourmillait à travers tout son corps. Face à elle, Andy demanda alors à ce qu’elle la pénètre, en l’appelant « Maîtresse ». À ce stade, refuser, ça aurait été de le pure méchanceté, autant pour elle que pour son fils. Et ça, Maria s’y refusait. Elle estimait, maintenant, que le message était passé, ou, plutôt, qu’un message était passé. Quant à savoir si c’était le bon, ça... Eh bien, seul l’avenir le dira. En attendant, Maria approcha encore son gode, qui appuya contre les fesses d’Andy, et soupira encore, puis força en avant, en grognant, bandant ses muscles...

Et le gode s’enfonça en lui. Un gémissement traversa les lèvres de Maria, qui soupira ensuite. C’était la première fois que quelque chose s’enfonçait dans le cul de son fils, et, même si elle avait veillé à le préparer auparavant, ce dernier était encore très dur, avec des parois qui ne se dilataient pas facilement. Elle soupira donc, se mordillant encore les lèvres, et, constatant qu’elle n’arrivait pas à s’enfoncer, se recula, tout en réfléchissant brièvement.

*Ma parole, mais comment fait-il quand il me prend ?*

Est-ce qu’elle n’était pas assez puissante ? Elle avait pourtant senti le bout de sa verge artificielle heurter la peau, s’enfonçant contre le trou rose, heurtant l’anus, l’extrême bout s’enfonçant, mais le reste bloquait... Alors, elle y retourna, et grogna, bandant, et poussant fort, serrant ses mains sur ses hanches, crispant son visage dans un rictus d’effort... Puis repartit en arrière, et donna un nouveau coup, fort, en avant. Les bandes et les chaînes retenant Andy se mirent à gémir, cliquetant sur place, tandis qu’elle repartait encore, donnant des coups de reins supplémentaires, en sentant la sueur commencer à couler le long de son visage.

« Dieu, t’as... T’as un de ces culs ! »

Dur de s’y enfoncer, mais, en un sens, c’était aussi ça qui rendait la scène excitante, car l’effort physique déployé augmentait son adrénaline, et, tandis qu’elle sentait, peu à peu, ce cul se dilater, Maria commençait à sentir un plaisir exquis se diffuser dans son corps.

« Haaa... An... Andy, hmm... ! »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 43 samedi 18 mars 2017, 11:54:15

Lorsque Andy sentit le sexe de silicone presser sur sa corolle vierge, il grogna de défiance, autant que d'impatience. Soudain, Maria poussa vers l'avant, investissant son anus, le faisait hoqueter de surprise et de douleur « Ahh... ! ». Mais le blondinet se mordit la lèvre inférieure jusqu'au sang pour ne pas crier. Soumis ou pas, il restait un homme... Et un homme ne chialait pas, même lorsqu'il en avait très envie. Pour Maria, la tâche n'était pas facile. Si le jeune homme s'était offert volontairement, il n'en restait pas moins terrifié et terriblement crispé. Quant au jeune homme, il pleurait silencieusement, souffrant comme jamais. Les larmes ruisselaient sur ses joues encore rebondies, et il serrait les dents chaque fois que le bassin de sa mère heurtait son cul musclé, enfouissant son pal au fond de son rectum. Sa grosse queue, légèrement débandée à présent, rebondissait sur son ventre glabre. Comment Maria pouvait-t-elle prendre un tel plaisir à se faire défoncer le cul ? C'était... Proprement inhumain. Ce dont Andy ne se rendait pas vraiment compte, c'est que petit à petit il se relâchait, permettant à sa mère de le pénétrer plus aisément. Et à mesure qu'il se relâchait, la douleur s'atténuait un peu, pour laisser place à une étrange sensation de chaleur, qui s'épanouissait dans son bas ventre. « Hu... », hoqueta-il, alors qu'un premier frisson de plaisir lui parcourut l'échine dorsale. « Att...Attends », grogna-il, presque paniqué devant l'étrangeté des sensations nouvelles qui l'assaillait.

Ses jambes athlétiques commençaient à trembler et son vit se gorgeait à nouveau de sang, tandis-ce que chaque nouvelle pénétration lui arrachait un long soupir. Bientôt, il commença à sentir le frottement du gode sur sa prostate gonflée. Cette esquisse sensation, ajoutée à celle de se faire remplir eut raison de ses dernières résistances et, chose extraordinaire, il commença lui-même à onduler du bassin, accueillant presque avec gourmandise cette grosse queue rigide.

« Mom' c'est bon maintenant... Je...Je me sens bizarre...Ahh... »

Soudain, Andy lâcha prise. Ses dernière barrières morales s’effondrèrent et il se laissa aller à apprécier l'épaisseur de cette verge qui coulissait à présent aisément dans son anus dilaté. Cela faisait-il de lui un pervers ? Un pédé ? Il n'en savait fichtre rien et s'en moquait éperdument, à présent. Un rapide regard derrière son épaule lui montra son adorable mère en nage crispée par l'effort. Ses gros seins se soulevaient à chaque coup de butoi mais son corps svelte et athlétique était tendu par l'effort. Andy avait toujours connu sa mère douce et avenante, il la découvrait à présent déchaînée et... Elle était terriblement bandante.

« Mère indigne », hoqueta-il, pour l’aiguillonner. « Enculer son propre fils de la... sorte... Tu es odieuse », persifla-il, assaillit par des ondes de plaisir. Andy et Maria avaient pour habitude se se rappeler mutuellement pendant leurs ébats à quels points ils étaient pervers et immoraux, ce qui décuplait le plaisir de leurs amours indignes. « Encule-moi, plus fort », grogna-il d'une voix moins assurée qu'il ne le pensait. Fébrile, le jeune homme était sur le point de jouir... Et il sentait que l'orgasme qui allait le foudroyer risquait d'être terrible.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 44 dimanche 19 mars 2017, 18:33:32

Cette nouvelle facette de la personnalité de Maria était aussi surprenante que bienvenue. Elle avait toujours été empreinte de douceur et d’amour, essayant d’élever son fils au mieux, sans être trop autoritaire, ni trop conciliante pour autant. Dans les faits, elle avait surtout été conciliante. Elle faisait des crêpes et des gâteaux le Dimanche, et s’était longuement dévouée à faire plaisir à son fils. Puisqu’elle n’avait pas réussi à trouver le bonheur en amour, elle l’avait trouvé en élevant son fils, et en accomplissant fièrement son rôle de mère, dans tout ce que cela impliquait. Il était donc difficile de retrouver cette femme dans celle qui, dans sa tenue de cuir, sodomisait durement les fesses de son fils, ce même fils qu’elle avait si souvent tenu entre ses bras, allaité généreusement, essuyé ses larmes… Elle qui l’avait aidé à faire ses devoirs de mathématiques, lui avait appris à se coiffer, à faire la cuisine, l’avait regardé gagner des matchs de base-ball… Et qui, maintenant, l’enculait sèchement, en y sentant un indéniable et sauvage plaisir.

Maria était paradoxale, à l’image, finalement, de l’être humain. C’était comme si toute sa douceur n’avait été que l’arbre cachant la forêt de sa passion. Ils avaient pu ébrécher l’image de sainteté de Maria, révéler, sous le masque doré, les craquelures de sa luxure. Maria avait sombré, et atteignait maintenant un stade supplémentaire de leur relation perverse et incestueuse. Son gode remuait dans le cul de son fils, écartant peu à peu les parois, les dilatant.

« Haaaaa… Hmmmmm… »

Là, il ne s’agissait même plus vraiment de punir. C’était l’excuse qu’elle pouvait se fournir, le mensonge qu’elle utiliserait pour tenter de justifier ce qu’elle faisait. Non, là, elle prenait juste son pied. Pour autant, le rôle qu’elle s’était instituée se rappela à elle quand, au milieu des coups de reins, Andy revint la narguer. Elle sourit alors, retenant son souffle, avant de s’immobiliser, son gode planté en profondeur en lui, sa main venant gifler le cul musclé de son fils.

« Ma parole… Je viens te dresser, et tu continues à me narguer ?! Quand comprendras-tu que tu ne t’adresses pas à ta mère ici… Je suis ta Maîtresse ! »

C’était un masque, et elle s’épanouissait dans ce rôle, comme Peter Parker gagnant en liberté et en assurance sous les traits de Spider-Man. Elle, elle se libérait, ayant une posture plus décomplexée, plus ferme, plus sûre. Elle reprit alors ses coups de reins, grognant, soupirant, griffant la peau de son fils, le giflant, s’habituant peu à peu à ce rythme, et y trouvant là une importante source de plaisir. Les chaînes cliquetaient, accompagnant les bruits de claquement quand la chair heurtait la chair.

Maria mouillait contre sa culotte. Andy ne le savait pas, mais la culotte qu’elle avait mise était dotée de vibromasseurs, orientés vers l’intérieur, qui permettaient ainsi de partager le plaisir. Et ces petits appareils remuaient en elle. Elle enclencha également la fonction vibrante du gode principal, celui qui était occupé à défoncer son fils, et sentit ce dernier remuer en lui, tourbillonnant sur place, heurtant les parois anales du jeune homme.

« Haaaaa… Hmmmm… Voilà ce qui se passe, Andy, quand on manque de respect à sa Maman, et qu’on ne l’écoute pas… Elle devient une Maîtresse, et… Mmmhmmm… Elle te punit ! »

Elle ne le voyait pas encore, mais, si elle avait pu observer la trique dure de son fils, elle aurait pu avoir des doutes sur l’efficacité de la punition. Mais, après tout, l’idée n’avait jamais été, vraiment, de punir son fils. Ils étaient en train de franchir une étape supplémentaire dans leur plaisir pervers. De fait, elle finit malgré tout par se pencher davantage, et tira sur un drap situé devant eux, révélant un miroir, ce qui leur permit de voir leurs reflets, mais aussi à Maria de voir la queue de son fils.

Un sourire ravi se dessina sur ses lèvres.

« Eh bien… On dirait que tu aimes bien être mon petit chien, claironna-t-elle. Ta queue, en tout cas, adore… »

Elle se pencha à nouveau, de manière à pouvoir attraper la verge d’Andy entre ses doigts, et commença à la masturber…

« Ta Maman te masturbe… »

Sa main serra alors le gros chibre de son fils, le serra fort, et elle le tira vers l’arrière, tout en venant lécher le lobe de son oreille, et le mordre.

« …Ta Maîtresse te bat ! »


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