Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Amour filial [PV]

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 15 vendredi 22 janvier 2016, 17:48:48

C’était la première fellation d’Andy, et le jeune homme jugeait que c’était l’expérience la plus agréable de sa vie. Les lèvres serrées de Maria coulissaient autour de sa grosse queue veineuse, que la jeune femme enfonçait toujours plus profondément dans sa gorge humide et chaude, produisant un obscène et sonore bruit de succion. Bordel, ce que ça pouvait être bon ! Les muscles bandés, Andy arquait son corps juvénile vers l’avant, agrippant les draps d’une main, alors que la seconde se perdait dans la cascade de cheveux noirs de sa mère.

« Haaaah… C’est trop bon m’man, mordille un peu ma grosse queue s’il te plaît ! »

Andy avait l’impression qu’il n’avait jamais bandé aussi fort. Les petits coups de dents appuyés sur sa verge et la légère douleur qu’ils occasionnaient décuplaient son excitation, et le blondinet avait l’épine dorsale parcourue de petits chocs électriques. Haletant, le jeune homme observait sa mère se repaître de son vit avec délectation, levant de temps à autres ses beaux yeux pour observer son fils. Son cœur, gonflé d’amour et de désir battait à un rythme infernal, alors que de légère rougeurs apparaissaient çà et là sur sa peau légèrement cuivrée. Sentant la main agile de sa mère se frayer un chemin entre ses cuisses, le jeune homme écarta davantage les jambes, alors que Maria s’emparait de ses grosses couilles gorgées de foutre. Andy poussa un gémissement rauque en sentant les ongles de la jeune femme effleurer la peau si sensible de ses bourses.

« Oh PUTAIN… » C’était bien trop bon pour qu’Andy soit encore capable de surveiller son langage. « Je… Je crois que je vais juter m’man, je vais remplir ta bouche de… De salope ! »

Alors que l’orgasme approchait, le jeune athlète agitait son bassin d’avant en arrière, accompagnant la fellation prodiguée par Maria, pour finalement envoyer carrément son gland percuter le fond de la gorge de sa génitrice, crispant sa main dans ses cheveux ; il lui baisait la bouche comme la dernière des chiennes, les yeux rivés aux siens. Cette inversion soudaine du rapport de force décuplait son émoi et le jeune homme râlait à présent comme un damné, en enfonçant toujours plus profondément son vit entre les lèvres de sa mère adorée. 

« Aaah ahh… Je… Je t’aim… AAAAAH ! »

Le corps de l’adolescent se tendit comme un arc, mais Andy résista à la tentation de rejeter la tête en arrière en se mordant la lèvre inférieure jusqu’au sang alors qu’il déversait un véritable déluge de foutre épais dans la gorge tiède de Maria. Plusieurs long jets tout d’abord, puis de petites éruptions brusques. Il avait éjaculé une quantité invraisemblable de semence qui déborda bientôt des lèvres de son amante pour couler sur son menton puis le long de son cou avant de se perdre dans le creux de ses seins.

« Ahh ahh… A-vale tout Mom’, le sperme de ton fils… »

Pantelant, le regard enfiévré, Andy retira sa grosse queue débandée d’entre les lèvres de sa mère, alors qu’il relâchait doucement son emprise sur ses cheveux bruns pour venir lui caresser la joue. A présent qu’il avait joui et qu’il recouvrait doucement ses esprits, il craignait de lui avoir fait mal, d’être allé trop loin.

« Je suis désolé Mom je… je n’ai pas pu me retenir. Te voir me sucer comme ça, ça… ça m’a rendu complètement fou ! »

Il n’alla pas jusqu’au bout de sa pensée ; la vérité c’est qu’en voyant sa mère se comporter comme une traînée, il avait eu envie de la traiter comme… Comme elle le méritait, comme une grosse chienne.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 16 samedi 23 janvier 2016, 14:07:11

La fellation gagnait progressivement en intensité et en brutalité. Leur relation était, de base, perverse, alors il fallait bien s’attendre à ce que ça reste à ce niveau. Andy se montra de plus en plus entreprenant, jusqu’à crisper ses doigts sur les cheveux de sa mère, tirant dessus, tout en la prenant, encore et encore, accompagnant ses mouvements de succion. Maria avait depuis longtemps retiré ses mains, et utilisait l’une d’elles pour se masturber, enfonçant ses doigts contre sa culotte et contre ses lèvres intimes trempées. Elle suçait la grosse queue de son fils… Il avait une verge énorme, qui aurait fait hurler n’importe laquelle des adolescentes de son lycée, et cette queue, cette grosse queue… Elle était pour elle, rien que pour elle ! Maria s’en sentait toute excitée, et, quand son fils l’insulta… Oh, que Dieu la maudisse, mais ça ne fit que la faire mouiller encore plus, Maria se mettant à gémir de plus bel, relevant les yeux pour regarder le visage de son fils, un visage irradiant de plaisir et d’envie. Ils étaient comme deux pervers occupés à se faire l’amour, et elle mordilla sa queue, la léchant encore, fantasmant sur cette taille, sur cette queue énorme… Oh, encore, encore ! Elle voulait y goûter encore par la suite, elle voulait jouer avec ce membre, sans arrêt, sans relâche, le baiser, encore et encore !

*Oh, Andy, je t’aime tellement !*

Il finit par jouir en elle, et ce fut un magnifique orgasme, après de multiples gorges profondes. Maria avait parfois cessé de se masturber, pour caresser les boules de l’homme, et elle le sentit ensuite se vider, au moment où elle soupesait ses testicules, les frottant avec ses doigts. C’est là, dans ces conditions, qu’il vida ses bourses dans sa bouche, balançant de multiples filaments de sperme, laissant ensuite Maria sur la touche. Pendant de longues secondes, son fils se vida en elle, et le sperme coula sur les seins de la femme, puis il termina, en sentant son excitation redescendre.

Ce faisant, Andy se sentait confus, et Maria, elle, était assise sur le sol, face à lui, la tête penchée vers le bas. Le sperme avait filé sur ses vêtements, mais aussi dessous, et elle pouvait le sentir glisser sur sa peau, le long de ses lèvres. Confus, Andy semblait vouloir s’excuser, et elle observa son sexe, ayant, ici et là, des traces de sperme.

« Hm… »

Maria, silencieuse, se redressa, et retira ses affaires du haut, finissant rapidement seins nus, et s’assit à côté de l’homme.

« Andy… Tu n’as pas à t’excuser… »

Maria lui sourit alors, et vint caresser l’espace entre ses seins, imbibant ses doigts d’un peu de sperme, puis vint les sucer entre ses lèvres.

« Hummmm… Ton foutre est délicieux, mon chéri ! »

Elle lui sourit ensuite, et alla poser sa main sur son menton, le soulevant un peu, puis alla l’embrasser, tout en aventurant sa main sur son sexe, le masturbant un petit peu.

« Mais, maintenant, il faut être un gentil garçon, et nettoyer ta Maman… Ensuite, ce sera à ton tour de te trouver à genoux, car ta grosse queue m’a bien excité… Mais… Je te laisse me déshabiller, si tu veux… Mais, d’abord, tu me nettoies ! »

Sentir la langue de son fils entre ses seins, et sur son cou… Han ! Maria trouvait ça follement excitant. Envolées, les doutes et les questions. Seul le plaisir dominait… Le plaisir, et la luxure.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 17 lundi 25 janvier 2016, 22:33:59

Même dans les vidéos les plus hard que Andy avait eu l’occasion de regarder sur internet, le jeune homme n’avait vu une femme pren-dre autant de plaisir à sucer une queue. Pendant de longues minutes, sa mère s’était acharnée à lécher, mordiller et gober son énorme bite, scrutant la moindre des réactions de son fils qui n’avait pas pu se retenir bien longtemps. Inondée de foutre, Andy n’en trouvait Maria que trop belle. Lorsqu’elle se débarrassa de son corsage, Andy ouvrit des yeux écarquillés.

« Oh Mom, ils sont… tellement gros ! »

Maria avait beau être mince, le jeune homme avait oublié que ses dessous cachaient une paire de seins aussi volumineuse. Des gros seins qu’on avait envie de malaxer et de suçoter… Chose qu’il avait fait pendant de long mois peu après sa naissance. Alors que sa mère s’asseyait à côté de lui, Andy ne put s’empêcher d’esquisser un petit sourire. Il y avait quelques années, Maria lui avait avoué avec un adorable petit rire gêné qu’il lui avait tété le sein jusqu’à un âge assez tardif, et qu’elle avait dû le sevrer parce son père trouvait la situa-tion inconvenante… Et voilà qu’un retour aux sources s’annonçait. Le regard fiévreux, l’adolescent regarda le doigt fuselé de sa mère glisser le long du sillon de ses seins, récoltant un peu de semence, avant qu’elle le porte à ses lèvres. Il eût encore envie de l’insulter, plus tendrement cette fois-ci, mais il se retint. Oh mon dieu, quelle… Quelle salope !

L’instant d’après Maria se penchait sur lui, lui faisant sans vergogne gouter sa propre semence, alors que leurs langues se mélangeaient fiévreusement. Andy avait déjà eu son foutre en bouche, et le goût ne le dérangeait pas, sans pour autant qu’il trouve l’expérience très excitante… Mais partagée avec sa mère, c’était autre chose. D’autant que ses doigts s’étaient à nouveau refermés sur sa queue légèrement débandée, qu’elle commença à astiquer doucement. 
 
« D’acc’ Mom je… Je ferais tout ce que tu veux. Je vais te nettoyer comme… Comme un bon chien ! »

A son tour de se retrouver à genoux ? Maria entendait-elle par là qu’il allait pouvoir la baiser, ou sous-entendait-elle qu’elle entendait se livrer à un petit jeu d’un autre genre ? Les deux perspectives l’excitaient terriblement et il se mordit la lèvre inférieure, alors que sa grosse que retrouvait de sa superbe. Sans hésiter, le jeune homme sourit, et saisit sa mère par les épaules pour la faire basculer sur le dos, avant de se pencher sur elle pour échanger un second baiser sonore. Ce fut ensuite son menton qu’il embrassa, puis lécha, avant de faire glisser sa langue tiède le long de son cou, lapant consciencieusement son propre foutre. Pendant ce petit manège, sa main écarta doucement les cuisses de sa mère, pour caresser son pubis à travers le tissu de sa culotte. Andy n’avait jamais caressé de chatte, mais il savait qu’il fallait être doux au début, plus vigoureux ensuite. Écrasant son visage ravi entre les gros seins de sa mère, l’adolescent promena furieusement sa langue sur les globes de chair, avant de pincer l’un des tétons du bout de ses lèvres, malaxant le second de sa main libre.

« Oooh m’man, tu me fais tellement bander… Je vais te sucer, comme quand j’étais gamin… »

Joignant le geste à la parole, Andy commença à littéralement téter Maria, produisant un bruit de succion des plus caractéristiques. Les yeux clos, le jeune homme creusait les joues et jouait du bout de sa langue pour exciter le mamelon maternel. Maladroitement le jeune homme glissa sa main sous la culotte Maria, plaquant ses doigts contre la vulve gonflée et baveuse.

« T’es carrément trempée, c’est ma queue qui te fait cet effet-là ? »
, lâcha-il à la fois surpris et ravi. Recourbant avec précaution son majeur, il pressa à l’aveugle la pulpe de son doigt contre l’intimité de sa mère, et poussa… L’intrus pénétra les chairs sans grand diffi-cultés, et Andy le fit lentement coulisser, sans cesser de pétrir et de mordiller les seins de Maria. Il doigtait sa mère adorée, et ça lui filait une érection presque douloureuse. Le pire était que les choses ne faisaient que commencer.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 18 jeudi 28 janvier 2016, 22:49:50

Le couple incestueux continuait à joyeusement se découvrir, et à s’enfoncer dans les voies délicieuses et sans fin de la perversion. Maria lui avait ensuite proposé de la nettoyer, une idée qui sembla ravir Andy, tandis qu’elle-même conservait, sur ses lèvres, le goût de la bouche de l’homme, et de son sperme. Andy avait bien grandi, oui, et, vu sa queue, vu ses muscles, et vu son ardeur, il était, depuis longtemps, largement prêt à ce genre de choses. Seul le puritanisme de cette société avait empêché Maria de lui faire l’amour, ça, et rien d’autre. Mais elle avait décidé que la morale ne serait plus un carcan qui viendrait restreindre leur relation. Elle l’aimait, oui, d’un amour sincère et profond, bien plus qu’une mère se devait normalement d’aimer son enfant... Mais en quoi est-ce que ce serait problématique ? Ce n’était pas du viol, car Andy était volontaire, et majeur. Légalement, Maria n’avait rien à se reprocher ! Ils ne faisaient rien de mal, juste du plaisir mutuel... Et, quand l’homme la coucha sur le dos, Maria sentit plusieurs frissons la traverser, ces frissons venant s’accentuer quand l’home l’embrassa, la lécha, et la caressa avec ses mains.

« Ooohh, Andy... »

La jeune femme se pinça les lèvres, avant d’écarter un peu ses cuisses en sentant la main d’Andy, la douce et vorace main de son fils, filer sous sa culotte. Elle ne lui cachait rien, désormais. Maria s’offrait à son fils, et posa une main sur ses cheveux quand il vint suçoter son sein, plaquant sa bouche dessus, mimant les gestes de son enfance, ces multiples fois où, bébé, il avait été le sein de sa mère, refusant catégoriquement le biberon, ne cessant de pleurer que quand il tétait le sein de sa mère. Oui, Maria se souvenait bien évidemment de tout cela.

Andy commenta son humidité locale, et Maria lui sourit, en caressant ses cheveux, ses doigts se crispant régulièrement sur sa chevelure.

« Hm... Haaa... »

Elle soupirait, et gémit encore, en sentant les doigts de l’homme remuer en elle, et entreprit, entre plusieurs soupirs, de lui répondre :

« N-Non, Andy, ce... Ce n’est pas que ça... C’est... C’est tout toi qui m’excite... Tout toi, mon chéri... »

Et, au-delà de ça, c’était aussi de très lointains fantasmes qui étaient enfin en train de s’accomplir, et de se dévoiler.

« Oui, haaa... Continue... Hum ! »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 19 jeudi 03 mars 2016, 11:50:54

Chose peu commune, l’amour fusionnel entre Maria et Andy était tel que ce dernier se souvenait – même s’il s’agissait d’images assez floues – de ces instants d’éternité où il tétait avidement le lait des mamelons gonflés de sa mère. Y poser à nouveau ses lèvres était comme un retour au paradis perdu. Et cette fois-ci, ce n’était pas à cause du lait que les mamelons de Maria étaient érigés. La respiration lourde, l’expression languissante, sa mère s’offrait sans réserve, écartant ses longues jambes fuselées pour faciliter l’introduction des doigts d’Andy dans son intimité. Avec un sourire ravi, le jeune apollon se recula un peu, délaissant l’opulente poitrine pour saisir les bords de la culotte de sa mère avant de la faire lentement glisser le long de ses cuisses. Intimant à la jeune femme de soulever son fessier l’espace d’une seconde, il fit glisser le sous-vêtement sur ses chevilles étroites, déposant au passage un baiser tiède sur le dessus de l’un des pieds menus de Maria.

« M’man, tu sens bon… »

Andy n’avait pas résisté à l’envie de presser la culotte contre son visage, humant avec délectation l’odeur de femelle en rut qui l’imprégnait. Il s’en désintéressa cependant rapidement pour se pencher vers les lèvres charnues et baveuses de l’intimité de Maria, les joies rougies par l’excitation. C’était la première fois qu’il voyait un sexe féminin de prêt ! Là encore Maria s’entretenait soigneusement et nul poil disgracieux ne camouflait ce bel abricot joufflu. Intrigué, Andy posa son index sur la fente humide, avant de le faire glisser de haut en bas. Guettant les réactions de sa mère, un peu inquiet à l’idée de lui faire mal, il humecta soigneusement son majeur avec sa propre salive avant de poser la pulpe de son doigt quelques centimètres au-dessous du clitoris, d’où suintait un mince filet de cyprine odorante. Son sourire s’élargit lorsqu’il constata que les deux premières phalanges s’y enfonçaient sans difficulté. Voir son doigt coulisser en elle était terriblement excitant et le jeune homme ne put s’empêcher de se mordre la lèvre inférieure, avant d’agripper sa grosse queue bandée, qu’il s’empressa de faire coulisser doucement entre ses doigts serrés.

« Tu aimes qu’on te touche le clitoris, Mom ? »

Dans la plupart des films pornographique qu’Andy avait regardés, cette zone érogène était généralement ignorée, mais le jeune homme avait lu sur internet que stimuler cette zone pouvait multiplier par dix le plaisir ressenti par une femme à l’occasion de la pénétration… Et même que certaines femmes ne pouvaient jouir que par ce biais. Sans même attendre la réponse de la jeune femme, il courba l’échine pour presser ses lèvres contre sa vulve, qu’il embrassa langoureusement, produisant un obscène bruit de succion qui le fit encore rougir davantage. Retirant doucement ses doigts détrempés de son intimité il les suça longuement avant de se pencher à nouveau et d’écarter doucement les chairs roses pâles, faisant ressortir le clitoris gorgé d’envie.

« Ça a l’air tellement étroit… », Constata-il pensif, avant de relever le visage vers le haut, affichant une moue inquiète. « Tu penses que je pourrais te faire l’amour sans te faire mal ? »

Sa mère après tout, n’était pas une actrice porno que l’on pouvait farcir comme une dinde sans se soucier des conséquences, mais l’être qu’il aimait le plus au monde… Et Andy n’avait pas envie de lui infliger une pénétration douloureuse, même s’il mourrait d’envie de s’unir à elle. Dardant sa langue vers l’avant, Andy écrasa son visage contre la vulve de Maria et commença à la laper avec toute l’avidité et la légère maladresse d’un adolescent de seize ans, agaçant son bouton de rose de l’index. Oh, comme il pouvait aimer Maria ! Entre ses jambes musclées, son sexe veineux pulsait sous l’effet de l’excitation et il sembla à Andy qu’il pourrait jouir sans stimulation, rien qu’en léchant Maria, tant l’osmose entre leurs deux corps brûlants de désir était parfaite.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 20 jeudi 03 mars 2016, 18:27:46

« Oui… Haaa… J’aime… J’aime quand tu me le touches, Andy. »

La précision était importante. Maria aurait sans doute été une parfaite patiente pour un psychiatre, et, en l’occurrence, elle songeait surtout au sexe. Oh, elle n’était pas spécialement nympho’, mais il fallait admettre que, depuis qu’elle était célibataire, elle n’avait couché avec personne d’autre. Elle s’était souvent masturbée, mais, à chaque fois, ses pensées revenaient vers Andy. Même quand elle pensait à quelqu’un d’autre, Andy revenait fréquemment dans ses pensées, et, plus la frustration croissait, plus les fantasmes devenaient osés. De simples coïts au début, elle était pensée aux fellations, aux sodomies, et même à des pratiques sexuelles encore plus inavouables… Et là, tandis que son fils triturait son sexe, en cherchant son clitoris, la faisant vibrer et gémir, Maria repensait à ça, à tout ça, à ces rêves qu’elle faisait, à cet érotisme qui ne demandait qu’à s’affirmer et à exploser. Elle se tortillait contre les doigts de l’homme, remplissant la pièce de ses soupirs, puis Andy finit par lui poser une question.

Un sourire amusé vint, en retour, éclairer les lèvres de Maria, qui caressa les cheveux de son fils, et l’embrassa doucement sur les lèvres.

« Hum, le petit Andy, qui se fait du souci pour sa Maman… »

Souriant encore, Maria l’embrassa sur le bout du nez.

« Évidemment que ce sera douloureux, Andy… Ceux qui te disent que le sexe n’est que plaisir, et que la souffrance en est absente, se trompent. Le sexe, c’est un condensé de plaisir et de douleur, un mélange des deux, mais c’est le plaisir qui l’emporte. Et les deux sont liés, tu comprends ? Plus la douleur est forte, et plus le plaisir procuré est important. Du moins, jusqu’à un certain seuil… »

Maria faisait ce qu’elle avait toujours rêvé de faire. Elle éduquait sexuellement son fils. Une horreur dans cette société bienpensante, et une horreur aussi selon une partie de la psyché de Maria, mais cette partie était si minoritaire, en ce moment, qu’elle en était inaudible.

Sa main se déplaça de ses cheveux pour empoigner l’une des fesses du jeune homme.

« Et c’est pareil avec les fesses… Enfin, c’est même encore plus intense. Là, la douleur est totale, et le plaisir ne vient que dans la souffrance. »

Elle lui sourit de nouveau, en caressant son dos.

« Tout ça n’a rien d’effrayant, Andy, mais ce sont des jeux adultes… Mais toi, tu n’es plus un enfant. Ton oiseau est devenu un aigle royal, et il est légitime qu’il veuille répandre ses œufs dans un nid. »

La métaphore se tenait, et, joignant le geste à la parole, Maria s’écarta d’Andy, et se laissa glisser sur le sol, finissant à quatre pattes à côté de lui.

« Prends-moi par l’arrière… Sois l’homme fort que je veux que tu sois, Andy, déverse toute ta frustration sur le corps de Maman… Mais prends-moi par le vagin. Tu n’es pas encore prêt pour t’attaquer au cul de Maman, mais… Tu le feras, sois-en sûr. »

Car une mère, une mère aimante, ne pouvait rien refuser à son fils, n’est-ce pas ?

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 21 vendredi 04 mars 2016, 18:12:29

Andy était aux anges ; sa mère le lui répétait encore et encore : elle l’aimait lui, et lui seul ! Être l’unique objet de l’amour et de l’affection d’une femme aussi extraordinaire que sa maman le comblait de fierté et de reconnaissance. Il y avait des années que son père les avait quittés, et nul autre homme ne s’était ainsi aventuré entre les cuisses de la plantureuse jeune femme. Pauvre petite Maman, comme l’abstinence avait dû être difficile ! Sous ses caresses maladroites, le corps alangui de Maria frétillait, alors que les plus doux des gémissements s’échappaient de ses lèvres entrouvertes. Les derniers rayons du soleil de l’après-midi venaient mourir sur la gorge diaphane de sa mère, colorant ses seins d’ombres mordorées. Le quartier résidentiel était désert à cette heure-ci, et seul le gazouillis des oiseaux venait parfois interrompre les soupirs lascifs de Maria.

S’amusant de son inquiétude, la jeune femme rassura bien vite sa progéniture, en passant ses doigts fuselés dans ses cheveux en bataille, avant de l’embrasser tendrement, goûtant par là-même à la cyprine qu’il lapait consciencieusement. « M’man, arrête, voyons », grogna-il pour la forme, le souffle court et les joues roses pivoines. Andy affectait l’agacement devant ses copains lorsque sa maman l’infantilisait, mais en vérité il y puisait un satisfaction un peu honteuse et surtout… Une excitation sexuelle que d’aucuns qualifieraient de malsaine.

« Ah bon ? C’est bizarre. J’ai toujours pensé qu’il fallait être le plus doux possible avec les filles… C’est ce que tout le monde dit ! »
Andy avait cessé son délicieux manège pour se redresser, pendu aux lèvres de sa mère, les sourcils relevés. Si comme tout adolescent en fleur, il s’était masturbé sur des vidéos pornographique hardcore, il s’était interdit de faire subir des traitements aussi dégradants aux femmes avec lesquelles il coucherait… Ainsi les femmes appréciaient-elle réellement des rapports sexuels brutaux, voire violents ? Le jeune homme se mordit la lèvre inférieure, alors qu’un frisson remontait le long de son échine. Il y avait en lui une violence sourde, instinctive, qui se manifestait lorsqu’il se masturbait mais dont il avait presque peur, puis honte, une fois l’orgasme survenu. Devait-il la laisser s’exprimer pleinement ?

« Hein, heu… Les fesses ? »

Andy se raidit légèrement lorsque la main de maria se referma sur son fessier, qu’il avait plutôt musclé. Le jeune homme avait parfaitement compris que sa mère parlait de sodomie mais feignait cette fois-ci, la plus complète ignorance. D’une part parce qu’il avait intégré qu’il s’agissait d’une pratique taboue et un peu sale, et d’autre part parce que ces deux aspects l’excitaient terriblement. Et puis… Il y avait autre chose. Un jour qu’il se savonnait, il avait doucement glissé son annulaire dans son petit œillet brun, pour voir ce que ça faisait. Car Andy avait bien évidemment déjà visionné des films gays avec ses petits camarades, pour rigoler. Il avait trouvé l’expérience douloureuses, mais la légère chaleur qui avait envahi son bas-ventre et la sensation de salissure qui l’avait envahi l’avaient bien plus émoustillé qu’il ne se plaisait à le croire.

Cependant, Maria avait ramené ses genoux à elle, et s’était laisser glisser sur le moquette de la chambre, lui présentant sa croupe. « Le vagin… Okay Mom’. » Il avait conscience de répéter bêtement ce que Maria lui disait depuis cinq minute, mais cela faisait beaucoup à encaisser d’un coup, pour un adolescent qui s’attendait un quart d’heure plus tôt à devoir faire son baluchon. Sa mère Ne venait-elle pas de lui dire qu’elle le laisserait ensuite la sodomiser ? Oh mon Dieu, je dois être en train de rêver… Juste au-dessus de la fente entrouverte de Maria, son anus brun palpitait doucement, comme pour l’inviter à s’y enfouir. Sa main crispée sur sa verge veineuse, Andy se mordit la lèvre inférieure ; la tête lui tournait presque et du pré-sperme jutait doucement de son méat pour s’instiller entre ses doigts serrés.

« Cambre-toi bien, Mom », lui intima-il sur un ton dolent, avant de se reprendre et de s’adresser à elle sur un ton plus autoritaire. « Et écarte ton gros cul avec tes mains, je veux voir bailler ta vulve baveuse ». Comme c’était enivrant, d’utiliser ainsi de mots sales et vulgaires ! Lorsqu’elle se fut exécutée, Andy se redressa sur les genoux et saisit fermement l’une des hanches de sa mère, ses doigts s’enfonçant sans peine dans la chair tendre et tiède. De l’autre main, il présenta son gland gonflé et violacé devant les lèvres charnues de Maria et poussa. « OOOOOH » Il était en elle, Il avait glissé sa grosse queue dans l’intimité de sa mère ! « M’man, c’est booon… », Grogna-il, alors qu’il l’empalait progressivement mais inexorablement sur son pal de chair. Lorsqu’enfin ses belles bourses pleines s’écrasèrent contre le cul de Maria, il raffermit sa prise… Et commença à la baiser doucement en poussant de petits râles rauques qui n’avaient rien d’enfantins.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 22 mercredi 09 mars 2016, 22:40:19

« Oui, il faut être doux… Au début. Mais le sexe, c’est de la passion, et la passion est nécessairement violente. »

Le sexe n’était pas un jeu d’adulte pour rien, car il faisait appel à des sentiments contradictoires, à des paradoxes qui, dans le sexe, se retrouvaient pour s’unir en une décoction explosive et jouissive. Maria expliquait ça aussi simplement qu’elle le pouvait à son fils, en lui faisant comprendre que, parfois, et même souvent en matière de sexe, avoir mal était agréable. Cependant, les choses étaient compliquées, car, pour autant, la douleur pure ne procurait aucun plaisir. Un viol n’était jamais agréable. Il fallait, tout simplement, ce mélange des deux, plaisir et douleur. La douceur était bonne au début pour exciter les sens, mais, ensuite, il fallait que l’homme se rappelle sa part de virilité. Le sexe, donc, était loin d’être aussi facile que ce qu’on pensait. On pouvait schématiquement le résumer à une queue rentrant dans un trou, mais, au-delà de ça, les émotions complexes faisait que la nature profonde d’un rapport sexuel était difficile à établir, quelque chose à mi-chemin entre douleur, plaisir, violence et douceur.

Et le fait est que, en l’espèce, ils allaient, tous les deux, enfin passer des mots aux actes, et appliquer concrètement ce qu’ils avaient en tête depuis un certain temps… Au moins des mois pour Maria. Se pinçant les lèvres, la jeune mère obéit aux ordres de son fils, et posa ses mains sur ses fesses, se trouvant, de ce fait, dans une position un peu grotesque, avec le cul relevé, et la tête couchée sur le lit. Elle déplaça son bassin de gauche à droite en écartant ses fesses.

« Là, Andy… Tu les vois, mes lèvres ? Ma bouche n’attend plus que ton sexe ! Viens… Viens, viens, viens, mon fils ! »

Andy se rapprochait d’elle, prêt à exaucer le plus haut fantasme de sa mère. Dans le sexe et la perversion, le duo allait sceller leur union incestueuse. Andy se rapprocha donc, et, dans un ultime soupir, sa queue rentra en elle, faisant gémir la belle Maria, qui se tortilla en sentant cette queue rentrer en elle.

« Haaaaaaaaaaaaaa… !! »

Un cri joyeux s’échappa de ses lèvres, alors qu’elle sentait ce mandrin s’enfoncer lentement en elle.

« Ooooh, Andy, haaa… Hummm… !! »

Soupirant encore, Maria gémit à nouveau. Entre-temps, elle avait remis ses mains sur le lit, afin de s’y appuyer, redressant ainsi un peu son buste.

« Vas-y, vas-y, mon chéri, baise-moi !! Encore, encoooore, haaa !! Défonce la chatte de ta Maman, allez !! »

Maria en aurait presque pleuré tant elle était heureuse.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 23 mercredi 20 avril 2016, 18:38:07

Andy écoutait religieusement les conseils que Maria lui donnait. A vrai dire le jeune homme avait du mal à imaginer comment plaisir et douleur pouvait être lié l'un à l'autre, même s'il croyait sa mère sur parole. Esquissant un nouveau sourire le jeune homme se demanda combien d'adolescent avait eu la chance d'être initiés au stupre par leur mère. Mais bientôt, il fut en elle, et toute tentative de réflexion logique, ou cohérente fut balayée par le torrent de sensations qui s'emparaient de lui. Les parois tièdes et humides de l'intimité de Maria enserraient doucement sa grosse queue, qu'il faisait glisser d'avant en arrière en ondulant du bassin, poussant ses belles fesses musclées vers l'avant. Les cris et gémissements que poussait sa mort le rendait ivre de désir, à tel point qu'il croyait en perdre la tête. « Ça te plaît de te faire baiser par ton fils, pas vrai ? Oooh, quelle vilaine maman tu fais », gémit-il en enfonçant ses doigts dans la chair tendre de ses hanches pleines. Sa mère s'était redressée à présent, ses mains crispées sur les draps de son lit, son orgueilleuse poitrine dressée vers l'avant. Ses gros seins s’élevaient et s'abaissaient au rythme de ses coups de butoirs de plus en plus vigoureux, de plus en plus nerveux. Sans trop savoir ce qu'il faisait, l'adolescent envoya une belle claque rougir la croupe de sa mère, puis une seconde. « Ma petite maman est... une...grosse salope », ânonna-il entre deux grognements de plaisir.

Lui-même surpris de l'aisance avec laquelle il la baisait, Andy sourit, et retira presque entièrement sa queue de son écrin de chair, n'y laissant que son gland violacé. « ré...réclame encore... Chienne ! » grogna-il, exalté. Lorsqu'elle s'exécuta, il claqua ce bon gros cul rebondi et s'enfonça d'une seule traite en elle, jusqu'aux couilles. « Haaaan... » Écrasant son torse musculeux contre le dos de sa mère, il ondula doucement en elle pendant quelques secondes, avant de saisir ses longs cheveux de jais entre ses doigts, pour lui tirer la tête vers l'arrière, le jeune homme se pencha pour susurrer quelques mots suaves à l'oreille de sa mère « Je vais te baiser maman... Comme une pute... Okay ? » joignant le geste à la parole, il posa la paume de sa main libre sur le bas du dos de la jeune femme et commença à la bourrer sauvagement, sans la moindre retenues, ses bourses pleines venant percuter l'intimité humide de la ravissante brunette. L'amour profond et inconditionnel qu'il ressentait pour elle le disputait à l'envie de la souiller comme la dernière des catins.

« Tu n'as que ce que tu... mérites... Hum... », grogna-il, en relâchant ses cheveux pour raffermir sa prise sur ses hanches. Il la pilonnait à présent avec une rage et une violence qu'il ne se connaissait pas. L'orgasme le surpris alors qu'il s'était une nouvelle fois penché vers l'avant pour enfouir son nez dans la cascade de cheveux noirs de Maria. « Je vais... Je vais jouir mom... Je vais juter dans ta chatte ! Une flopée de frisson dériva le long de sa colonne vertébrale, et il hoqueta en agitant furieusement son sexe en elle, alors que son pénis déversait de longs jets de sperme dans son intimité massacrée. « AAAAAAH ! » C'était tellement bon, tellement dingue, de jouir dans les entrailles de sa mère !

Le feu d'artifice se tarit lentement, et pantelant, Andy s'écroula sur Maria, se sentant redevenir l'adolescent sage et un peu timide qu'il était au quotidien. Foudroyé par sa propre jouissance, il roula sur le sol, emportant Maria avec lui, sa queue toujours profondément fichée en elle. Passant un bras alors de ses épaules, il se lova contre Maria, et l'embrassa tendrement sur la joue. « Je t'aime m'man », lâcha-il finalement, avec un sourire béat.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 24 jeudi 21 avril 2016, 00:06:34

Andy et Maria, le fils et la mère, étaient engagés dans un ballet torride et violent. Son fils s’avérait être un amant particulièrement brutal, non pas dans le sens où il la battait, mais où il se mit rapidement à l’injurier, comme s’il avait conscience du caractère profondément immoral de leur relation, et compensait le plaisir qu’il ressentait en l’insultant. Est-ce que cela réfrénait les ardeurs de Maria ? Et bien, en réalité, pas du tout, et ce dans la mesure où elle-même ressentait ces élans. Elle-même se sentait, paradoxalement, coupable et excitée, et le fait de se sentir coupable, très étrangement, semblait accroître encore son excitation. Andy couchait avec elle, et, même si, en temps normal, elle essayait de le nier, ici, là, maintenant, face à son propre désir, l’inévitable se constituait devant elle... Oui, elle avait envie d’Andy, profondément envie de lui, de sa matraque en elle, de ce corps qui se dandinait dans son dos, de ces mains qui la claquaient, tiraient sur ses cheveux, de cette queue qui remuait en elle... En elle, en elle, UNIQUEMENT en elle ! Oh, oui, elle n’aurait clairement pas supporté qu’Andy puisse coucher avec quelqu’un d’autre, forniquer avec l’une de ces pétasses en minijupe qu’il devait côtoyer tous les jours. Ah ! Ah ! Quelle fierté de sentir son amant le prendre, quelle fierté de se dire que, alors qu’il devait côtoyer tous les jours des filles qui devaient roucouler devant ses muscles, c’était finalement exclusivement pour sa mère qu’il se dévouait !

« Haaaa... Haaaa... O-Ouuuiii, Andy, haaaannn... U-Une chienne, hummmm... TA chienne ! »

Elle hurlait, maintenant, crispant ses doigts sur le lit, sentant Andy remuer en elle. Il y allait furieusement, intensivement, comme s’il attendait ça depuis des mois, des années... Maria hurlait et couinait, en se demandant, en effet, depuis combien de temps Andy pensait à elle... Il ne pouvait en tout cas espérer, avec sa faible expérience sexuelle, tenir longtemps la cadence, ce qui fit que, pendant que Maria mouillait sur place, elle sentit l’homme soupirer, se crisper... Puis se vider en elle.

« HHMMMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Avec joie, et un sourire ravi sur les lèvres, Maria sentit son fils venir en elle, se répandant dans son con, aspergeant son sexe de son foutre. Maria se surprit à en pleurer de joie, plusieurs larmes glissant le long de ses joues pendant que, dans son dos, et avec une force renouvelée, l’homme se vidait en elle.

Maria souriait de plaisir, et sentit ensuite Andy s’affaler à côté d’elle, laissant un filament de foutre s’échapper de ses cuisses.

« Oh, Andy... »

Maria l’embrassa tendrement, caressant son corps, le câlinant doucement. Ses mains glissaient sur sa peau, puis caressèrent son torse, l’amenant à se coucher sous elle, leurs jambes s’entrelaçant, la queue d’Andy se frottant contre son bassin.

« Tu es... Vraiment très énergique. La simple idée de voir à quel point je peux t’exciter, c’est... »

La jeune femme s’en mordilla les lèvres, et l’embrassa une nouvelle fois.

« Depuis combien de temps est-ce que tu rêvais de pénétrer ta mère comme ça, mon chéri ? »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 25 samedi 23 avril 2016, 11:56:26

Les yeux-mi clos, un léger sourire sur ses lèvres juvéniles, Andy caressait les cheveux de sa mère dans un état second, alors que sa queue débandait doucement, jusqu'à s'extirper des cuisses de Maria, emmenant avec elle une belle quantité de foutre, qui dériva entre ses cuisses. Si Andy était encore sonné, Maria s'était rapidement remise de ses émotions. Sa mère s'était retournée pour l'embrasser, promenant ses mains tièdes sur sa peau ambrée. Le jeune homme s'était masturbé un nombre incalculable de fois, mais le faire avec quelqu'un qu'il aimait plus que tout au monde... ça n'avait rien à voir.

« Hmm... » marmonna-il, alors que la jeune femme l'enfourchait à présent. Le jeune homme se redressa légèrement, et empoigna les fesses de sa mère, rougies par les claques dont il l'avait gratifié quelques instants plus tard. « ma petite maman », s'amusa-il, en reprenant doucement ses esprits. « tu n'as pas idée ! » En effet, il avait beau avoir joui trois minutes plus tôt, sa queue reprenait déjà de la vigueur au contact de la peau de sa mère.

Lorsqu'elle se pencha pour l'embrasser, le jeune homme se cambra légèrement pour presser son sexe contre le ventre de la brunette, enfouissant sa langue entre ses lèvres. Il ramena l'une de ses mains derrière sa nuque pour prolonger le baiser, la seconde flattant son postérieure rebondi. Oh, comme son cou gracile était délicat, entre ses doigts ! « Depuis... Au moins dix ans m'man. J'ai eu mes premier émois en pensant à toi, tu sais... » Andy avait en effet été un enfant précoce et avait eu dès l'enfance de solides érections, même s'il n'avait découvert la masturbation que très tardivement. « Je ne veux plus jamais me masturber seul... Maintenant c'est toi... que j'irai voir quand je serai excité », reprit-il, d'une voie enjouée.

Dans le feu de l'action, Maria lui avait hurlé qu'elle était sa chienne, ce qui aux yeux d'Andy, était une nouvelle déclaration d'amour qui n'avait pas manqué de le toucher et... De l'exciter. « Tu sais m'man », lui glissa-il dans le creux de l'oreille, en caressant sa belle chevelure de jais « moi aussi je t'appartiens. Seulement à toi. Tu peux me demander ce que tu veux. » Les yeux dans le vague, caressant la joue de sa mère du dos de l'index, Andy sourit à nouveau ; leur vie allait devenir tellement différente, à partir d'aujourd'hui !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 26 dimanche 24 avril 2016, 01:03:14

Maria et Andy se reposaient, maintenant. Ils venaient de coucher ensemble, elle avait pris la virginité de son fils... Oh, comme elle aurait voulu que ce moment dure à jamais, sans fin ! C’était là, typiquement là, qu’elle voulait figer le temps. L’après-séance, du sexe, ce moment parfait où le temps semblait se figer sur lui-même, et où rien ne se passait, ce moment où on était juste avec son amant, dans un délicieux cocon. Le corps était fatigué, tout comme l’esprit, et ces doux moments étaient rares, précieux. Il fallait les savourer. Maria était là, avec son fils, en lui ayant pris sa virginité. Pouvait-on seulement rêver d’une meilleure chose ? Elle se pressait tendrement contre son corps, et l’homme lui expliqua que, depuis dix ans, il pensait à ça... Ce qui toucha Maria. Elle en rougit même légèrement, le sentant contre elle.

Andy lui avoua que, maintenant, tout serait différent, et la femme se mit à sourire, lentement. Elle caressa le nez d’Andy, puis ses lèvres, et le caressa encore, frottant son corps contre le sien, serrant un peu ce dernier contre le sien.

« Oui... Il n’y aura plus que nous, désormais, Andy... Aucun autre homme ne rentrera désormais chez nous, c’est notre foyer. »

C’était une manière claire de dire que, désormais, Chris ne viendrait plus. Désormais, oui, il n’y aurait plus qu’Andy et Maria. Rien qu’eux, et juste eux. Maria savait que c’était mal, moralement répréhensible... Mais c’était tout ce qu’elle voulait, et là, en ce moment, elle ne pouvait pas le nier, ni se mentir à elle-même.

« Je serais la seule à te masturber, maintenant, Andy... Oui, la seule... »

Et c’est ainsi que tout se ferait, désormais...

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 27 lundi 25 avril 2016, 16:29:24

Andy s’étira. Comme d’accoutumé il s’était endormi dans le lit conjugal, après avoir longuement fait l’amour avec Maria. Cela faisait plusieurs semaines qu’il formait un couple avec sa mère, et pas un jour ne passait sans qu’ils ne s’envoient en l’air. Après la chambre d’Andy, ça avait rapidement été celle de sa mère, puis la salle de bain, le salon ou encore la cuisine. Le péché mignon du moment du blondinet était de baiser sa mère par derrière lorsqu’elle préparait le petit déjeuner. En effets les deux amants ne se cachaient rien. Andy se promenait la plupart du temps dans la maison nu, ou muni d’un simple boxer et sa mère n’était pas beaucoup plus couverte. Le jeune homme bailla pour la troisième fois et repoussa les draps, constatant sans surprise qu’il avait une superbe érection. La pendule murale indiquait onze heures ; Maria était probablement levée depuis longtemps. La jeune femme se levait généralement aux aurores et profitais du sommeil de son fils pour écrire quelques pages de sa série érotique. « Hmm. » Maria lui avait promis qu’elle écrirait une scène incestueuse, mais qu’elle aurait probablement lieu entre deux femmes, pour ne pas attirer les soupçons. Même s’il était déçu, Andy avait hâte de découvrir le résultat. Il était devenu un lecteur assidu des romans de sa mère et s’émerveillait de l’infinie perversité de son imagination. A côté de certaines des scènes qu’elle décrivait, leurs séances de sexes torrides étaient gentillettes.

« M’maaan ? »

Si sexuellement, Andy et Maria étaient un couple fusionnel, il n’en restait pas moins qu’en dehors de leurs ébats, leurs places restaient bien définies. Maria était sa mère, et c’était elle qui commandait… Même si Andy avait parfois du mal à l’accepter. « M’man j’ai faim ! » Si les premiers jours étaient idylliques, depuis peu Andy exagérait un peu. Il insistait pour faire l’amour alors que Maria était occupée, regimbait pour les tâches ménagères et manquait de sérieux dans son travail scolaire ; Comment Maria pouvait-elle être à la fois sa chienne, et lui donner des ordres ?

« Bon… »

Andy descendit les escaliers en écartant quelques mèches blondes de ses yeux. Si Maria ne lui avait pas répondu, c’est parce qu’elle était au téléphone. Assise sur un tabouret à la table du salon, La jeune femme avait coincé son téléphone portable entre son épaule et son oreille, et pianotait sur son ordinateur portable en discutant avec son interlocuteur. Elle portait une nuisette transparente, et riait de bon cœur aux propos de ce qui semblait être son éditeur. Ce n’était pas la première fois qu’Andy assistait à ces petits rendez-vous téléphoniques ; en effet depuis une bonne semaine, elle procédait avec lui, à la correction des coquilles de son prochain ouvrage, qui devait sortir prochainement en librairie. Andy, inévitablement jaloux, se rapprocha en catimini de sa mère, pour coller sa grosse queue érigée contre son dos. Sans vergogne le blondinet enlaça sa mère pour attraper ses gros seins et les pétrir entre ses doigts, tout en se, frottant lentement à elle, étalant un peu de liquide séminal sur le tissu de sa nuisette. Cela naturellement ne manqua pas de perturber Maria qui essaya gentiment de le chasser. Mais Andy n’en avait cure, et se branlait littéralement contre elle, commençant à soupirer longuement. Odieux, il poussa même le vice jusqu’à lui mordiller le lobe de l’oreille disponible. Agacé, sa mère fut obligée de mettre fin à la conversation, expliquant à son employeur qu’elle le rappellerait ultérieurement. Lorsqu’elle se retourna vers lui, Maria n’avait pas l’air très content mais Andy, triomphant, affichait un grand sourire.

« J’avais envie de te baiser », annonça-il simplement.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 28 jeudi 28 avril 2016, 12:49:24

Depuis leur séance dans la chambre d’Andy, plusieurs semaines avaient passé… Et la vie de Maria n’était toujours pas ce long fleuve tranquille que les gens espéraient atteindre, sans jamais l’avoir. Elle était maintenant confrontée à des problèmes hormonaux dans lesquels il était difficile d’avoir une réponse, car elle se voyait mal aller voir un psy’ pour lui dire qu’elle avait des problèmes à imposer son autorité avec son fils, avec lequel elle partageait une relation incestueuse. Jusqu’à quel point leurs problèmes relevaient-ils d’une relation normale entre mère et fils, et d’une relation incestueuse ? Car des problèmes, il y en avait. Ils avaient progressivement émergé, au fur et à mesure qu’Andy besognait et insultait sa mère. Son fils s’était découvert une passion pour les fesses de Maria, et adorait la prendre en l’insultant de « chienne ». Or, si Maria y voyait là un simple plaisir sexuel, répondant à un fantasme profond, pour Andy, les choses n’étaient pas aussi simples. Son fils prenait des aises avec elle, et, surtout, négligeait ses études, prétextant, à chaque fois que Maria le trouvait chez eux, que le professeur était absent.

Il y a quelques jours, elle avait reçu un premier signal d’alarme, quand un courrier de l’administration du lycée était arrivé pour la prévenir d’une hausse d’absences injustifiées, et d’une baisse subite dans quelques interrogations. Alors, Maria réfléchissait. Elle se sermonnait d’être une mauvaise mère, d’aimer autant la trique de son fils, ses coups de reins, sa force… Mais elle ne pouvait pas non plus laisser ce dernier devenir un macho’ en puissance, qui confondait le plaisir et la réalité. Si Maria pouvait accepter un jeu sexuel consistant à devenir une « chienne », elle n’était guère prête à l’assumer au quotidien. Elle avait connu ça avec ses parents. Son père était un héritier de la tradition familiale romaine antique, le « pater familias », exerçant sur sa domus la puissance paternelle, la « patria potestas », avec une femme qui était soumise à ce dernier, comme le reste de la famille. « Vitae necisque potestas » ; le Père avait droit de vie et de mort sur les siens. Comme si cela était génétiquement encodé, Andy était, peu à peu, en train de raisonner ainsi. Avant leur union incestueuse, les relations entre eux étaient distendues, et, si elles s’étaient rapprochées, elles n’étaient toujours pas harmonieuses.

Andy était amoureux d’elle, mais d’un amour dévorant. Il voyait Maria comme une amante, comme sa chose avant d’être sa mère. Et elle, il fallait bien reconnaître qu’elle avait toujours été favorable d’une éducation tolérante, compréhensive, bien loin de la rigidité sévère de ses parents. Alors, comment concilier les deux ? La jeune femme hésitait, en proie à de multiples doutes.

*D’un côté, je ne peux pas arrêter de lui faire l’amour, mais, de l’autre, il doit comprendre que je suis sa mère, et que, en tant que tel, il me doit le respect…*

S’agissant d’un adolescent, la tâche était compliquée. Les hormones parlaient à la place de leur cerveau, avec ce mélange d’insouciance et d’égoïsme issu de l’enfance. Maria, néanmoins, commençait à avoir des idées, et, depuis quelques jours, avait mis en place un projet qui, l’espérait-elle, lui permettrait de rappeler à son fils qu’elle était la Mamma.

Là, elle était en train de téléphoner à son éditeur, un homme charmant, qui aimait blaguer, et elle entendit Andy se rapprocher, se collant à elle.

« Andy ! Je suis au téléphone, là ! »

Elle tenta en vain de le repousser, tandis que, au bout du fil, Andrew, son éditeur, sembla s’étonner du changement de ton.

« Euh… Vous allez bien, Maria ?
 -  Hein ? Oui, oui, Andrew, ne vous en faites pas !
 -  …Bon, parce que je ne voudrais pas qu’il y ait un malaise entre vous, parce que, de vous à moi, vous… »

Main sur le combiné, regard furieux envers son fils.

« Andy, tu arrêtes ça immédiatement ! » siffla-t-elle.

Peine perdue ! Il continua à s’astiquer dans son dos. En même temps, elle avait choisi d’enfiler une nuisette très sexy. C’était le petit truc qu’elle autorisait à Andy : il sélectionnait des vêtements sexy, et elle les enfilait. De base, son plan reposait là-dessus…

« …Non, parce que, c’est vrai, ce que vous écrivez, c’est vraiment très beau, c’est de la sensualité, de l’érotisme, sans tomber dans le porno’ moche et gras, avec de la suggestion, et tout… Alors, je me demandais si on ne devrait pas viser plus large, vous comprenez ?
 -  Hhmm… ? Co… Comment ça ?
 -  Et bien, euh, vous savez, en ce moment, tout ce qui est fantasy, science-fiction, ça marche très fort, et je me disais que… Vous êtes sûre d’aller bien, Maria ?
 -  Je… Dé… Désolée, Andrew, je… Je viens d’attraper une migraine, et… Est-ce que je peux vous rappeler ?
 -  Oh euh... Ouais, enfin, oui, je suppose. Ménagez vos neurones, surtout, vous voulez que je vous rappelle quand ?
 -  Je… Je vous rappelle plus tard, Andrew, et… Merci pour vos idées, je vous promets d’y jeter un œil, et de voir si… Enfin, King a bien écrit pendant des années sous un pseudonyme, je suppose que je peux faire pareil, alors… Je vous promets d’y réfléchir ! »

Ce fut tout ce qu’elle arriva à dire avant de couper le téléphone, et de se retourner vers Andy, jetant vers lui un regard furieux.

Le sourire arrogant de son fils ne fit que la rendre encore plus furieuse.

« Non, mais à quoi tu joues, Andy ? Sérieusement ?! Est-ce que je ne t’ai pas enseigné le respect ? J’étais au téléphone, là ! Avec mon patron ! Tu saisis ? Celui grâce à qui on a de l’argent ! Et puis… T’es pas censé être en cours, là ? Ne viens pas me dire que ton prof’ était encore absent, le Vice-proviseur a appelé hier ! À quoi ça rime, toutes ces absences injustifiées ? À quoi est-ce que tu joues ?! »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 29 mercredi 18 mai 2016, 20:59:14

La réaction de Maria ne fut pas tout à fait celle qu’Andy attendait. Interdit, il recula d’un pas, sa queue toujours stupidement érigée vers le ciel. Ces derniers temps, il était arrivé que Maria rechigne un peu à l’ouvrage, du moins au début : elle aimait bien trop le sexe s’en priver. Mais cette fois-là, sa mère adorée semblait vraiment en colère, et pas du tout partante pour une petite partie de jambes en l’air matinale. Pourtant, elle portait la lingerie qu’ils avaient achetée ensemble en ville le week-end dernier… C’était à ne rien y comprendre !

« Mais mom’ enfin… » Le jeune homme avait attrapé son vit et le masturbait doucement en faisant la moue, autant pour maintenir son érection que pour tenter sa mère, pour la faire fléchir. En temps normal Maria ne résistait pas à la vue de cette grosse queue joufflue, et finissait toujours par le sucer goulument.  « C’est bientôt les vacances, et monsieur Walker nous a dit que nous n’étions pas obligé de venir en cour de math si nous n’en avions pas envie, aujourd’hui. Et moi je n’avais pas envie. » Ce n’était pas tout à fait vrai : ledit professeur avait en effet exempté les élèves qui… avait une moyenne de plus de quatorze en mathématique, ce qui était loin d’être le cas d’Andy, naturellement.

« Et puis je suis certain que ton éditeur veut coucher avec toi, et on dirait que c’est réciproque, vu le temps que tu passes à roucouler avec lui au téléphone. »

Le jeune homme savait pertinemment qu’il était en tort, et que sa mère faisait probablement un peu de zèle pour rester en bon terme avec son éditeur… D’autant que lui-même n’avait pas vraiment un comportement exemplaire ces derniers temps. A cause de la sexualité débridée qu’ils menaient, sa mère et lui, le jeune homme avait manqué de nombreuses fois le lycée et ses notes étaient en chute libre. A vrai dire, il avait du mal à se concentrer sur autre chose que le corps de sa mère, et il arrivait que même ses entraînements sportifs passent à la trappe. Toutefois… Il n’avait nulle envie que cela change. Après une première phase d’émerveillement, il en était venu à la conclusion qu’il avait un droit sur le corps de sa mère : celui de pouvoir la baiser comme il le voulait, et quand il le voulait. Et pour l’heure, Maria n’avait pas remis en cause cette coutume.

« J’avais envie que tu me suces un peu, en me massant les couilles avec tes doigts comme tu le fais si bien. Ensuite on pourrait baiser dans le jardin. »

Il parviendrait à faire plier sa mère une nouvelle fois, il en était persuadé. Cependant, Andy s’aperçut de quelque chose de tout à fait étonnant : la colère qui se lisait sur le visage de sa mère lui donnait un air sauvage, qui contrastait avec sa douceur habituelle. Et… cela la rendait encore plus séduisante que jamais.


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