Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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En intimité (PV)

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 15 lundi 28 septembre 2015, 19:38:46

Akiko était donc face à la voiture, et son cœur bondit à nouveau dans sa poitrine en voyant Kurokawa-senseï revenir vers elle. Elle n’était plus dans cet état d’esprit consistant à croire que tout cela était irréel, mais plutôt à trépigner d’impatience. Elle se mordillait les lèvres en se dandinant sur place, quand la senseï lui dit d’entrer. Sa voiture était une petite voiture aux vitres fumées, ce qui faisait qu’il était impossible de voir ce qui se passait à l’intérieur. Se retournant, la femme ouvrit la portière, et s’assit sur le siège. Elle referma la porte, nerveuse... Et, sans même qu’elle ne puisse dire «ouf », Kurokawa-senseï l’attrapa par le col, serrant son noeud papillon, et l’embrassa.

« Hum... !! »

Akiko gémit de surprise, mais très rapidement de plaisir. Kurokawa-senseï rompit le baiser pour mieux le reprendre, et Akiko posa ses mains sur les hanches de la femme, ses doigts se crispant dessus. Yeux clos, elle goûta aux lèvres de la femme, à ce baiser, aussi bref qu’excitant. Elle termina en gobant sa lèvre inférieure. Le contact des dents de sa Maîtresse déclencha dans le corps d’Akiko un frisson de plaisir, et elle sentit ensuite un petit frisson électrique sur ses lèvres quand la femme alla les pourlécher. Elle s’écarta ensuite, laissant Akiko avec les yeux rouges. Cette dernière s’humecta les lèvres, et sourit devant le compliment de la femme.

« Me... Merci, senseï... Je... Les vôtres aussi, elles sont... Vraiment magnifiques... »

Akiko cligna ensuite des yeux, et la voiture fit une marche arrière, puis quitta le parking. Le pire, c’est qu’elle ne rêvait pas... Elle était dans la voiture de sa prof’, et elles allaient faire l’amour ce soir ! C’était un fantasme qui se réveillait ! Un fantasme classique, commun à tous les élèves qui avaient de beaux enseignants ou enseignantes, et qui s’imaginait être formés par eux. Ce schéma traditionnel du fantasme lycéen allait maintenant s’exprimer pour Akiko, qui voyait la voiture rouler. Elle pensa à mettre sa ceinture de sécurité, et tritura lentement cette dernière. Son sexe continuait à frissonner, et elle devait serrer ses cuisses pour soulager un peu cette tension nerveuse qui chauffait entre ses jambes.

Kurokawa-senseï ne laissait pas le silence s’instaurer trop longtemps. L’imagination d’Akiko revint donc à la réalité quand elle lui parla de ce qu’elle comptait lui faire, et, surtout, du fait, qu’elle était une Futanari. Silencieuse, Akiko se mit à penser à la première fois qu’elle avait vu une Futa’... Warren-san lui avait montré dans sa chambre, faisant glousser les autres filles allongées sur son lit, tandis qu’Akiko, la bouche desséchée avait vu ce sexe. Elle l’avait touché, embrassé, pour se persuader que c’était un vrai, et, en souriant, Mélinda lui avait expliqué qu’il existait bien des Futas à Mishima, comme Ichtora-senseï... Ichtora-senseï, qui était aussi sa professeur de mathématiques, et également une femme à la beauté magnifique. Akiko l’adorait aussi beaucoup, même si son coup de cœur était clairement pour Kurokawa-senseï. Elle fut donc naturellement surprise d’apprendre cette révélation... Mais pas effrayée. Au contraire, depuis qu’elle savait qu’une femme pouvait avoir un pénis ici, dans ses fantasmes, elle imaginait Kurokawa-senseï avec un sexe.

La jeune prof’ lui confia aussi qu’elle n’était pas la première de ses amantes au sein du lycée... Elle aurait pu s’en formaliser, mais, en réalité, savoir que Kurokawa-senseï couchait régulièrement avec des élèves ne faisait que la rendre... Encore plus excitante, encore plus perverse, et, surtout, encore plus expérimentée. Tandis qu’elle parlait, Akiko oscillait entre la vision de ses pieds et de son corps. Elle était vraiment magnifique, et, avec l’éclairage de la voiture, et celui des réverbères publics, sa beauté était en quelque sorte mystifiée, magnifiée et amplifiée. Une beauté redoutable.

Elle frissonna quand l’une des mains de la senseï vint ensuite se positionner sur sa cuisse, se déplaçant peu à peu. Elle écarta d’elle-même ses jambes, facilitant ainsi l’accès de cette main sous sa minijupe, alors qu’elle la caressait.

« Hunnn... »

Elle gémit en enfonçant sa tête contre l’appui-tête, tandis que, calmement, Kurokawa-senseï lui expliqua le programme de la soirée., tout en attendant sa version des faits.

« Je... Déjà, Senseï, je... Warren-san m’a déjà montré ses... Son attribut masculin. Je... Je sais donc ce que c’est, et je dois bien admettre que... Que j’espérais que vous soyez, vous aussi, une Futanari. »

C’était la première précision à faire, et elle la regarda encore, se pinçant les lèvres, avant de se lâcher :

« Warren-san... Elle m’a initié au sexe, mais... J’ai refusé que ça aille très loin, parce que je voulais vous offrir mon corps. Néanmoins, elle m’a quand même... Elle ne m’a pas pris ma virginité, mais... Elle a pris l’autre trou... Elle m’a sodomisé. »

Elle venait d’arriver à le dire, et ne put que soupirer devant l’ampleur du mot, les joues rougies.

« Je veux que vous me fassiez l’amour toute la nuit, Kurokawa-senseï, mais... Je ne veux pas que vous me fassiez l’amour comme si j’étais votre égale, mais... Comme si j’étais votre élève, votre... Votre chose, votre esclave... Je veux que vous soyez autoritaire, que vous agissiez comme une Maîtresse avec moi, que vous me fassiez l’amour dans toutes les positions, et que vous exploriez tout mon corps. Je veux vous sentir dans mes fesses, je veux sentir votre sperme sur mes seinns, je veux le boire à pleines gorgées, je veux vous sentir me prendre, encore et encore, je veux lécher vos pieds, je... Hun ! »

Elle soupira en perdant le fil de ce qu’elle venait de dire.

Mais c’était relativement clair, non ?

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 16 mercredi 30 septembre 2015, 19:16:41

Et un problème de moins. Sera avait eu un peu d'appréhension à avouer à Akiko qu'elle était une futa', pour la simple et bonne raison que cela pouvait rebuter plus d'une personne, mais elle avait quand même pris le risque de lui dire son petit secret. Tout d'abord du fait que Mélinda aie joué les entremetteuse, elle était quasiment certaine qu'elle avait du au moins montrer à Akio ses propres attributs, mais aussi car la jeune fille l'excitait tellement qu'elle savait qu'elle ne pourrait pas se retenir au bout d'un moment. Alors qu'elle avait de nouveau sa main glissée dans la culotte d'Akiko, bien fourrée entre ses cuisses chaudes, contre son intimité mouillée, elle se disait qu'elle ne résisterait pas à l'envie de vouloir la pénétrer avec son gros chibre, et de prendre ainsi sa virginité.
Ainsi, quand Akiko lui avoua qu'elle avait espéré qu'elle soit bien une futa', Sera sentit sa dernière source de doute s'effacer. Sa jeune élève cachait en réalité bien son jeu, et était au fond une petite coquine timide, qui avait juste eu besoin d'un coup de pouce, et de se rendre compte que ce n'était pas difficile, pour se lancer. Les aveux sur ses fantasmes achevèrent de convaincre Sera.

*Un peu masochiste sur les bords, avide de découverte, et belle comme un coeur...voilà une perle rare comme on en trouve peu.*

Sera se sentit excitée par tout ce qu'elle lui disait. Qu'elle s'était déjà faite prendre le cul, et qu'elle rêvait que sa Senseï vienne aussi se fourrer dedans, entre autres choses. Tout ce qu'elle disait pouvait se résumer en une phrase: Akiko voulait se faire baiser ce soir, et Sera, en dévouée Senseï, allait se faire une joie de lui enseigner et de lui faire découvrir à quel point le sexe pouvait être épanouissant. Mais sous les caresses attentionnées de Sera sur sa fleur intime, la lycéenne commençait à avoir du mal à parler.

Chuuuuuuut ma puce...tu m'a fait un bien bel exposé de tes fantasmes, très complet, et je pense avoir maintenant une idée plus précise de tes envies.

Oh oui, avec ces quelques informations, Kurokawa-Senseï voyait le programme de cette soirée se faire dans sa tête. Elle avait demandé à son élève d'énoncer ses fantasmes à haute voix non seulement par pur plaisir un peu pervers, mais aussi afin d'avoir une idée de comment bien aborder le sujet avec elle.

Nous sommes bientôt arrivées ma chérie, en attendant je vais continuer de te caresser, j'adore ta façon de gémir, ce petit mélange de timidité naturelle et d'assoifée du sexe en devenir. Tu es tellement craquante Akiko, je vais te faire l'amour très fort ce soir, et durant bien d'autres soirs...

Dans l'esprit de Sera, il était clair qu'elle ne se limiterait pas à une aventure d'un soir avec cette jeune lycéenne. Tout d'abord par respect de ses sentiments, elle ne doutait pas de la sincérité d'Akiko quand elle disait l'aimer, et si Sera ne pouvait pas s'avancer autant quand à son attachement envers son élève, elle tenait suffisament à elle pour ne pas l'abandonner après usage pour ainsi dire. Et puis, Sera ressentait une attirance très forte envers Akiko tout simplement, son caractère de timide, sa gentillesse et son corps de rêve en faisaient une petite soumise idéale, qui souhaitait en plus être dans cette position. Durant les quelques minutes que durèrent encore le trajet, la main de Sera ne quitta pas un seul instant la culotte de son élève, qui trempait dans sa mouille. Elle adorait la sensation de ses doigts couverts de cyprine, et qui baignaient au sein de cet environnement chaud et humide qu'était l'entre-cuisse de cette lycéenne en chaleur.
Puis, au bout de ces quelques minutes, Sera finit par se garer le long d'un trottoir, juste devant une petite maison, et elle sortit alors très délicatement sa main pour la lécher.

Nous y voici...hum...mon petit chez moi...han...ta mouille est vraiment...hum...délicieuse ma puce...

Elle léchait ses doigts tout en parlant, puis sortit alors de la voiture en faisant signe à son élève tremblante d'excitation de suivre, et mena la direction jusqu'à l'entrée de sa petite maison, en banlieue de la ville. Elle ouvrit la porte, puis laissa Akiko rentrer avant de refermer derrière elle.



Sans être un manoir, ni même une véritable maison vu sa taille réduite, l'habitat de Kurokawa-Senseï était tout de même assez grand pour recevoir des invités, et avait l'avantage d'être séparé de ses voisins par des petits jardins bordant le tout ainsi que des hautes haies, qui assurait la tranquilité de la Senseï durant ses ébats, ainsi que celle de ses voisins qui n'entendaient généralement...pas trop. Maintenant qu'elle était chez elle, avec sa belle élève, Sera n'avait pas à se retenir, aussi laissa-t-elle tomber sa blouse blanche de travail, et elle plaqua Akiko contre le placard dans l'entrée tout en se collant à elle. La Senseï l'embrassa gouluement, tandis qu'une de ses mains alla enfin empoigner l'un des seins de la lycéenne. Elle le sentait, gros, et tout dur.

Akiko...

Parvint-elle à gémir entre deux baisers, avant de retourner à l'assaut de la bouche de son élève. Elle ne montrait ici, chez elle, aucune retenue, car il n'y avait plus le risque que quelqu'un les surprenne à l'improviste comme dans son bureau. Son autre main, posée sur la hanche d'Akiko, se faufila alors sous sa jupe pour aller attraper son cul, son délicieux cul rebondi et ferme.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 17 mercredi 30 septembre 2015, 19:54:51

Ce soir... Ainsi que « durant bien d’autres soirs »... Kurokawa-senseï comptait donc faire une relation durable ? Revoir et baiser la petite Akiko ? Cette dernière s’en mordilla les lèvres, et, puisqu’elle avait assez parlé, elle se contenta de soupirer, tentant, tant bien que mal, de retenir ses gémissements. Elle n’était guère inquiète pour la conduite de Kurokawa-senseï, qui tenait le volant d’une main, et ne la regardait même pas, déplaçant sa main. Akiko, elle, avait bien écarté ses cuisses, à tel point que l’une de ses jambes s’était rapprochée du frein à main, et que son corps avait lentement glissé vers le bas, redressant ainsi légèrement son bassin. Les doigts de Kurokawa-senseï glissaient en elle, et, avec tout ce qui se passait, tout ce que cette femme disait, et tout ce qu’elle faisait, Akiko ne pouvait que mouiller, humidifiant sa culotte, permettant ainsi à la femme de mieux sentir sa mouille. Sous tension, la lycéenne soupirait faiblement, les seins lourds et endoloris.

« Hnnnn... »

Elle ne s’était jamais ressentie dans un tel état d’impatience. La pauvre avait chaud, tellement chaud... Tout son corps semblait être en train de bouillonner sur place, alors qu’elle se dandinait sur le siège, de gauche à droite, se mordillant les lèvres, la gorge asséchée. Même quand Warren-san l’avait conduite chez elle, et qu’elle s’était déshabillée sous ses yeux, Akiko n’avait pas été autant... En transe. Le coup de foudre, voilà ce qu’elle avait ressentie en voyant Kurokawa-senseï, et, dans sa tête, les délicieux mots de sa senseï continuaient à rebondir dans les coins de sa cervelle. Elle adorait sa façon de gémir... Elle lui avait dit qu’elle était « très craquante », et qu’elle allait lui « faire l’amour très fort ce soir »... Soit autant de délicieux mots qui flattaient d’autant plus une jeune femme qui n’était guère habituée à recevoir des compliments de la part de sa famille. Elle ronronnait donc sous les multiples mots de sa senseï, ainsi que sur ses doigts qui continuaient à caresser ses lèvres intimes, s’y enfonçant parfois un peu. Kurokawa-senseï, toutefois, ne cherchait pas à la faire jouir, mais à la frustrer, ou, plutôt, à maintenir son état d’excitation... Et ça, elle y arrivait très bien.

Sa voiture venait de rejoindre un quartier résidentiel constitué de rues solitaires et symétriques, une zone pavillonnaire rappelant ces séries sur l’Amérique profonde, avec des rangées de rues toutes similaires les unes aux autres. Elle se gara devant un petit pavillon, et retira ses doigts trempés de mouille, les léchant encore sous le nez d’Akiko, la faisant déglutir.

« Ohhh, senseï... »

C’était si beau, si beau à voir... Akiko sortit de la voiture, l’esprit et le corps en feu, laissant le long de ses cuisses une fioriture de cyprine. Allait-elle se transformer en femme-fontaine ? Sentir les doigts de sa Maîtresse triturer son sexe avait été terriblement jouissif... Elle entra à la suite de cette dernière dans un petit pavillon, et, à peine eut-elle le temps de rentrer qu’elle sentit la porte se refermer. Son regard parcourut le salon rapidement, puis elle vit la blouse blanche de la femme tomber sur le sol... Puis cette dernière se rua sur elle, et le corps d’Akiko heurta le grand placard dans le vestibule, ses jambes partant à gauche et à droite de la femme.

Kurokawa-senseï opta, cette fois-ci, pour un vrai baiser, en allant emprisonner la bouche d’Akiko contre la sienne, et, devant cet élan fougueux, Akiko gémit encore, posant une main sur les longs cheveux bleus de la femme, et une autre sur son épaule, en soutien.

« Ku... Hummm... Kurokawa-senseï, haaaa... »

Akiko parvint aussi à gémir le nom de sa Maîtresse, avant de répondre à ses baisers, tout son corps se nichant contre le sien. Ses jambes se rabattirent, et vinrent s’enrouler contre le corps de la femme. Kurokawa-senseï était seule avec elle, sans personne pour venir les interrompre, et Akiko crut qu’un orgasme allait la traverser à l’idée d’être seule avec elle, et de pouvoir lui faire l’amour toute la nuit. Il aurait en effet fallu de titiller son sexe avec les doigts pour la faire jouir, mais, plutôt que de faire ça, Kurokawa-senseï s’attaqua aux autres parties de son corps, ses seins et ses fesses.

Quand les doigts de sa senseï se crispèrent sur son sein, elle gémit longuement, tout autant quand elle sentit l’autre main se perdre sur ses fesses. Du fait de sa grande excitation sexuelle, tout son corps était nettement plus réceptif à ce genre de délicates attentions.

« Haaaaannn... Hmmmmmmmmmmmmmmmmmm... !! »

Elle en mordillait les lèvres de sa senseï, ses jambes se contractant contre le bassin de sa Maîtresse, avant de le relâcher, et d’appuyer à nouveau, tout son corps étant tendu sous l’effet d’une vague énorme de plaisir... Et aussi d’une incroyable bouffée d’amour à l’encontre de sa senseï...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 18 samedi 03 octobre 2015, 14:01:35

Akiko était absolument adorable, ses gémissements, son air timide, son corps, le tout formait un ensemble qui rendait Sera absolument folle. Elle qui ne s'était jamais intéressée à la jeune fille comme partenaire potentielle se fustigeait intérieurement, car elle avait laissé les apparences la tromper, sous ce masque de timidité se cachait une petite perverse en devenir, à moins qu'elle ne le soit déjà ? Et puis, les sentiments que la lycéenne éprouvait à son égard étaient vraiment touchants, car ils se sentaient aussi à la façon dont Akiko réagissait à chaque fois que Sera l'embrassait ou la touchait. C'était comme si elle était hypersensible, bien plus qu'avec d'autres de ses partenaires où le plaisir était simplement sexuel, elle n'avait de fait pas de souvenir d'une de ses élèves qui appréciait autant ce qu'elle lui faisait. Mine de rien, c'était très gratifiant. Avec leurs corps scellés l'un contre l'autre, leurs poitrines s'écrasaient mutuellement, mais difficilement vu que leurs seins étaient tendus et durs, et ceux de Sera commençaient à la faire un peu souffrir, ils réclamaient d'être mis à l'air libre.
Elle continua à embrasser encore un peu Akiko toutefois, mais surtout à palper son corps, avant de doucement cesser, et de la regarder avec un sourire entendu, car la jeune femme était toute rouge.

Tu as chaud ma puce ? Hum...je ne vois qu'une seule solution pour remédier à ça...

Sera était toutefois du genre à privilégier d'abord le plaisir de ses partenaires, et puis, outre l'envie de se dénuder elle même, la Senseï avait surtout et encore plus envie de déshabiller un peu sa belle élève. Ses seins serrés dans sa chemise blanche la narguaient, l'invitaient, et elle posa alors ses deux mains sur chacun de ces globes de chairs pour les presser.

Tes seins...ils sont tellement durs Akiko...

Puis ses mains remontèrent le long de sa chemise, pour commencer à défaire le noeud en tissu, qui était un des rares maintiens de ce vêtement. Elle le défit, sensuellement et en prenant son temps, avant de s'attaquer un à un aux boutons de cette chemise. Puis elle posa ses mains sur les épaules de la jeune fille, et les glissa de façon à emporter dans le mouvement cette chemise, qui tomba au sol. Le soutien-gorge à ce moment là ne fût qu'un piètre obstacle, que Kurokawa-Senseï ne manqua pas d'enlever également. Elle aurait pu s'attarder un peu dessus, jouer encore un peu, mais elle aussi se sentait fébrile, elle avait surtout envie de voir ses seins, et elle les vit.

Oh ma puce...tu es belle...

Elle ne résista alors pas d'avantage, elle baissa son visage et alla le fourrer dans la poitrine d'Akiko. De sa main gauche, elle vint pétrir le sein correspondant, le prenant plainement dans sa paume, ses doigts se serrèrent dessus dans une étreinte passionnée, à l'exception de son index qui lui décrivait de petits cercles sur son téton. Le sein droit de la lycéenne lui ne demeura pas en reste, puisque très vite, Kurokawa-Senseï déplaça son visage de façon à aller s'en occuper. Elle voulait le sucer, et c'est éxactement ce qu'elle entreprit de faire. Son téton rose, bien pointu, était une cible trop belle pour être ignorée, aussi le prit elle bien entre ses lèvres et se mit à le sucer audiblement.
Quand à sa main libre, et bien Sera n'avait pas manqué de noter que sa belle puce était encore sur le point de jouir, alors elle fit ce que toute amante ferait à sa place, elle glissa sa main dans la culotte de la jeune fille pour la caresser énergiquement, déformant largement sa culotte avec ses doigts remuant dedans.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 19 samedi 03 octobre 2015, 20:39:08

Le plaisir augmentait furieusement, et s’accompagnait d’une impatience et d’une douleur de plus en plus forte. Akiko était, pour le dire simplement, extrêmement excitée. Plaquée contre le placard, son corps et sa bouche faisaient l’objet d’un assaut merveilleux et interminable de Kurokawa-senseï, qui, encore et encore, inlassablement, l’embrassait. Une bouche magnifique, un contact inouï, exquis de douceur et de sensualité, des sensations qui germaient et croissaient dans le corps de la jeune Akiko, explosant à toute allure, remontant dans tout son organisme. S’appuyant contre les hanches de sa Maîtresse, Akiko avait fini par y trouver un appui solide, tout en répondant aux baisers de la femme, gémissant et soupirant, chaque interruption n’étant pour elle qu’un appel à un autre, confirmant la passion innée et intense de la jeune femme pour tout ce qui relevait des baisers. C’était idiot et simple, mais Akiko adorait ça, surtout quand la bouche qu’elle embrassait était celle de Kurokawa-senseï. Plus ce rêve éveillé se prolongeait, et plus Akiko était en train de prendre conscience de sa chance unique. Elle couchait avec sa professeur ! Elle couchait avec la femme qu’elle aimait ! Oh, que c’était bon ! Oh, mais qu’elle était chanceuse !

Kurokawa-senseï continuait ainsi à l’embrasser, sans arrêt, et, plus le baiser se poursuivait, et plus ses seins se tendaient. La douleur à hauteur de ces derniers devenait terrible, lui rappelant ce qu’elle avait pu ressentir chez Warren-san, quand son amie s’amusait à la frustrer en jouant sur ses pulsions voyeuristes. Ici, plus leur baiser se prolongeait, et plus cette douleur montait, tout comme un feu qui brûlait entre ses cuisses.

« Hmmmmmm... »

Le baiser se poursuivait donc, mais Kurokawa-senseï, sentant probablement la frustration de son élève et amante, finit par le rompre, et posa ses mains sur ses seins, les compressant à travers sa chemise d’écolière.

« Ahhh... Senseï ! » gémit Akiko en se tortillant.

Elle se heurta au placard, et serra ses cuisses contre le corps de Kurokawa-senseï. La femme continuait à joyeusement la torturer, malmenant ses seins, et, prenant conscience de leur dureté, entreprit de déshabiller un peu Akiko, qui, effectivement, avait bien chaud. En soupirant et en gémissant, cette dernière sentit alors les mains de sa Maîtresse tirer lentement sur son nœud papillon, et prit peu à peu conscience que, visiblement, sa belle amante aimait bien la frustrer.

« Hunnn... Maî... Maîtresse, pitié... Occupez-vous de... De mes seins... »

Instinctivement, sous l’effet de l’excitation, Akiko l’avait surnommé « Maîtresse », ce qui était une manière de lui montrer ce que, profondément, elle voulait comme relation amoureuse avec elle. Son visage é&tait tout rouge, ses yeux suppliants, et, quand sa chemise s’écarta sous les mains chaudes et expertes de Kurokawa-senseï, elle soupira. Ses tétons pointaient à travers son soutien-gorge. Elle avait dû, pendant un moment, porté ceux de sa mère. Son père n’&était pas très doué en ce qui concernait la lingerie féminine, et Akiko avait toujours eu une poitrine très volumineuse, ce qui faisait qu’elle portait des soutiens-gorges pour adultes... Et pour des adultes ayant un superbe tour de poitrine.

Kurokawa-senseï lui ôta donc son haut, et Akiko se retrouva seins nus, ses tétons tout durs, tout tendus, pointant vers la femme, qui alla alors nicher son visage entre ses seins, faisant soupirer à nouveau Akiko, dont l’une des mains retourna se poser sur les cheveux de sa Maîtresse, se posant sur sa nuque... Et ensuite, comme si elle acceptait sa prière, elle alla jouer avec ses sens. Sa main gauche vint malaxer son sein droit, ses doigts s’enfonçant dans sa chair, son index venant titiller son téton, faisant soupirer Akiko, qui en avait la langue pendue, peinant à ravaler sa salive, sa tête révulsée en arrière, tapant contre la porte du placard... Puis elle continua à gémir en sentant la bouche de sa Maîtresse se poser sur l’autre sein, venant le suçoter, avec un talent inouï, et un plaisir... Incommensurable !

« Ooooooooooh, Maîtresse, haaaa... Hummmmm... »

Ses jambes se serrèrent encore, et le plaisir explosa en elle, son corps étant traversé par d’innombrables sensations, mais dont, au centre, on ne trouvait qu’une seule chose : un amour sans fin pour sa Maîtresse !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 20 dimanche 19 juin 2016, 18:19:21

Il était parfois saisissant de voir à quel point les lycéens de nos jours pouvaient être précoces, même du côté de ceux et celles qu'on qualifierait d'avantage de timides que de dévergondés. Akiko elle était une sorte de subtil mélange des deux, d'un caractère assez soumise, mais néanmoins très perverse, il avait juste fallu à la jeune lycéenne un coup de pouce d'une de ses camarades pour oser avouer son amour à sa Senseï. Sera, après s'être assurée qu'elle n'était pas forcée, n'avait pas vu de raison de refuser, car cette belle jeune fille avait vraiment un corps de rêve, et c'était avec un grand plaisir qu'elle était en train de s'occuper de la poitrine de son élève. Dieu, qu'elle avait de beaux seins, gros et fermes, Sera elle même n'en possédait pas une telle paire à cet âge là. Le visage fourré à leur niveau, la Senseï se faisait plaisir à sucer fortement l'un des seins d'Akiko, tandis qu'elle utilisait son autre main pour malaxer le deuxième, afin qu'il n'y aie pas de jalousie, tandis qu'elle était en même temps en train de caresser intimement la magnifique Akiko. Les doigts de Sera se perdaient dans la mouille de la lycéenne, en plein dans cette culotte détrempée, et elle finit par retirer sa main au bout d'un moment, ses doigts couverts de sa cyprine encore chaude, et elle approcha ses doigts de la bouche d'Akiko.

Suce mes doigts Akiko, goutte à ta mouille ma puce, goutte comme elle est bonne...oh ma chérie.

Sera se blottit encore d'avantage contre son élève, qui avait les cuisses écartées, et elle pu ainsi facilement coller son bassin contre le sien, et se frotter contre elle. La Senseï sentait de vraies bouffées de chaleur la traverser, à l'idée qu'elle allait baiser cette belle petite fleur, qui avait de plus conservé sa virginité pour elle. Bien que vierge, Akiko ne semblait pas avoir plus peur que ça de se faire prochainement prendre par Sera, et avait même auparavant avoué qu'elle était heureuse que sa Senseï soit une futanari. La professeure ne parvint d'ailleurs plus beaucoup à se retenir, et en se concentrant un peu, elle fit sortir son gros sexe, qui se trouva coincé au sein de sa culotte, la déformant, alors qu'elle se frottait contre la lycéenne, qui pu de ce fait sentir la verge de sa Senseï...un gros sexe, bien tendu et assoiffé.

Haaaan ma puce...je pensais pouvoir me retenir un peu plus que ça mais, tu es si jolie que je n'y arrive pas.

Entretemps, Akiko aurait fini de sucer les doigts de sa Senseï, qui saisirait alors doucement son élève par les épaules pour la retourner, et la plaquer contre le placard, tandis qu'elle même viendrait se coller dans son dos. Akiko pourrait sentir le gros mandrin de sa prof' se frotter contre son cul, tandis qu'avec ses mains, Sera tira sur la culotte de la lycéenne, qui était tellement trempée qu'elle parvint à la déchirer. Elle ne portait ainsi plus que sa mini-jupe et ses collants noirs. Sera était vraiment partagée, par quoi commencer ? Tellement de choses lui faisaient envie avec cette petite qu'il était difficile de déterminer qu'est-ce qui lui ferait le "plus" envie. Elle fini toutefois par se décider, et se retira délicatement, reculant un peu, afin de se déshabiller. Elle ôta son haut et son soutien-gorge, se retrouvant ainsi dans les faits avec juste sa culotte, qui était fortement déformée par un gros sexe tendu.

Viens me sucer ma chérie, mets toi à genoux devant moi, et approprie-toi ce sexe. J'ai goûté à ta mouille tout à l'heure, il faut également que tu goûtes à ma crème.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 21 dimanche 19 juin 2016, 19:52:25

Ce moment, pour Akiko, serait à marquer d’une pierre blanche. Depuis qu’elle avait rejoint les rangs de Mélinda Warren, Akiko, maintenant une esclave, avait été heureuse de voir que, quand elle avait confié à sa Maîtresse son plus grand fantasme (coucher avec sa senseï), Mélinda l’avait aidé. À sa manière, Mélinda avait été l’aide indirecte et silencieuse dont Akiko avait eu besoin pour se lancer. Elle affirmait sans peine, et sans ombrage, être amoureuse de Kurokawa-senseï. Elle l’était depuis longtemps, et, là, plaquée contre ce placard, ses seins mis à nu, mouillant contre les doigts de sa seconde Maîtresse, Akiko en était plus que jamais sûre. Oh oui, elle était heureuse, si heureuse ! Ce que la jeune femme ressentait était d’une intensité telle qu’aucun mot ne lui semblait assez fort pour résumer ce qu’elle ressentait. Amoureuse, voilà très bien ce qu’elle était... Amoureuse et perverse. Là, contre ce placard, elle s’offrait sans aucune retenue à sa Maîtresse, ses beaux seins d’amour se tendant sous les efforts de cette dernière, les doigts de la senseï recueillant d’impressionnants dépôts de cyprine.

Le temps défilait, rythmé par les soupirs d’Akiko, qui finit alors par lécher les doigts de sa Maîtresse, tout en sentant sa queue pointer, tapant contre ses cuisses. Quand Akiko sentit cette queue, comme l’affirmation de tous ses fantasmes, elle mordilla les doigts de sa Maîtresse en gémissant, et poussa un long couinement de plaisir.

« Hnnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Akiko en ferma les yeux pendant quelques secondes, avant de sucer plus frénétiquement les doigts de sa Maîtresse, buvant, non seulement sa propre mouille, mais aussi les paroles de la femme. Mélinda, de fait, l’avait déjà forcé à boire sa mouille, notamment en la faisant jouir au-dessus d’un bol, remplissant ce dernier. Son initiation à la perversion avait donc bien commencé, mais elle ne demandait qu’à se poursuivre, car, quand la vampire avait appris combien Akiko fantasmait sur la femme en train de la caresser, elle avait levé le pied. Comme quoi, Mélinda et elle se connaissaient plutôt bien, la preuve en étant qu’Akiko était toujours vierge, alors que, par tradition, Mélinda prenait toujours la virginité de ses filles, que ce soit la virginité anale ou vaginale... Mais là, elle avait refusé, ce qui, en un sens, avait été une dose de frustration supplémentaire pour Akiko, car elle faisait toujours l’amour avec une ceinture de chasteté, ouverte seulement à hauteur de son petit cul.

La belle lycéenne avait donc deux raisons d’être très excitée par ce moment, puisque, outre coucher avec sa Maîtresse, cette dernière allait aussi lui ravir sa virginité. Et sentir son sexe... Ha, quelle belle queue ! Akiko en avait le cœur qui battait la chamade. La femme la retourna alors, la plaquant contre le mur,  et déchira sa culotte, faisant couiner la petite Akiko, qui s’en mordilla ensuite les lèvres, tout en continuant à mouiller :

« Hîîîî !! »

Elle soupirait en sentant son sexe, un membre veineux, tendu, assoiffé, caresser ses petites fesses, mais, plutôt que de la pénétrer, sa senseï s’écarta, et, sous les yeux ébahis d’Akiko, se déshabilla. En voyant ce corps nu, parfait, ses seins gigantesques, cette silhouette de rêve, à la fois musclée et belle, une femme aux formes généreuses, Akiko sentit sa gorge s’assécher. Elle déglutit sur place, serrant ses petits poings, tout en voyant la culotte de Kurokawa-senseï être déformée par son mandrin, une belle verge qui tirait sur ce sous-vêtement, faisant déglutir la jeune femme.

Akiko, elle, portait désormais de longs collants noirs avec sa minijupe, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir affreusement chaud, ses seins restant très tendus et très lourds après le traitement magnifique de la femme. Désignant son sexe, sa Maîtresse lui demanda alors de bien la sucer, ce qui amena les yeux d’Akiko à luire de désir. En souriant, elle hocha la tête, et se mit à genoux, devant cette verge.

« O-Oui, Maîtresse, tout de suite... J’en ai tellement envie... »

Sa main se releva alors, et massa ce sexe à travers la culotte, Akiko s’en mordillant doucement les lèvres.

« Votre queue... Elle est si grosse, si dure... »

Ce n’était pas de l’exagération, Akiko le pensait sincèrement, et, pendant quelques secondes, ne fit rien de plus que masser ce sexe à travers la culotte, avant de finir par se rapprocher. S’humectant les lèvres, elle glissa ses mains sur le rebord de ce sous-vêtement, et tira lentement dessus, le faisant coulisser le long de sa verge. Puis, au bout de quelques secondes, la culotte atteignit l’extrémité du membre, et, quand elle tira dessus, elle vit cette queue pointer, remuant un peu, et rougit furieusement, tout en laissant la culotte glisser le long des cuisses de sa Maîtresse.

Akiko était là, face à cette verge, un membre parfait, devant une hermaphrodite tout aussi parfaite. Elle regardait ce membre avec des yeux légèrement écarquillés, telle la dévote devant son idole, puis se rapprocha un peu. Elle ne le lécha pas, mais commença par le renifler, s’imprégnant de cette odeur, son visage contre sa queue, ses mains posées sur les cuisses de la femme, son menton caressant les testicules de la femme.

« Hmmm... J’adore cette odeur... »

Elle  lécha alors ce membre, un peu comme une glace, s’imprégnant davantage de sa dureté, de son épaisseur, puis alla enfin le prendre en bouche, entreprenant de le sucer, l’une de ses mains allant rapidement caresser les testicules de la femme, les soupesant, pendant que ses lèvres filèrent d’avant en arrière le long de son membre.

« Hmmmm... !! »

Han, que c’était bon !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 22 dimanche 19 juin 2016, 21:24:11

Akiko était un perle comme il était rare d'en trouver, très belle et d'un naturel soumise, il se dégageait également d'elle un délicieux mélange de douceur et de perversité, et puis le fait que la jeune fille soit son élève rajoutait en quelque sorte de l'intérêt pour Sera, surtout dans un pays où le rapport au Senseï était aussi grand. Sera se régalait des petits couinements de la lycéenne, de sa douce voix, légèrement altérée par son état d'excitation intense, voir les adolescents en pleine puberté s'émoustiller devant elle était un spectacle dont elle ne se lassait jamais, surtout dans le cas de telles beautés. Akiko s'exécuta rapidement, et s'approcha d'elle tout en se mettant à genoux, le visage donc juste à hauteur du sexe bien tendu de sa Senseï, qui déformait grandement sa culotte. Sa jeune élève commença doucement, par masser son sexe au travers du tissu, ce qui la fit frémir, elle avait vraiment des doigts de fée cette petite. Loin de la forcer, elle laissait à Akiko le soin d'y aller à son rythme, surtout que Sera avait une queue vraiment grosse, ce que la lycéenne ne manqua pas de souligner.

Hmmmm oui ma puce, tu vois dans quel état tu me met ? Tu es tellement adorable...

Maintenant pour le moment ses mains posées sur ses hanches, Sera laissait à Akiko le soin de donner le rythme, car il lui fallait découvrir son sexe. Retirant finalement la culotte de sa Senseï, cette dernière se retrouva ainsi toute nue, et plus rien n'empêchait alors cette queue de se dresser pleinement, tendue, il lui arrivait de tressauter sous l'effet de l'excitation, et de sentir de souffle chaud de la jeune femme tout contre. Akiko s'approcha alors un peu plus, et se colla contre cette verge, la reniflant, déclarant qu'elle aimait cette odeur, avant de commencer à donner des coups de langue dessus.

Haaaaaa oui...c'est bien...oh tu es douée ma jolie...

Tandis qu'Akiko remontait progressivement ses lèvres vers le gland de sa verge, Sera commença à poser ses mains sur la tête de cette dernière, carressa ses cheveux pour l'encourager, et elle se tendit quand enfin la lycéenne prit son gros sexe dans sa bouche, telle une gigantesque sucette qu'elle se mit à sucer, en gémissant.

Oui...Hmmmmm oui...suce moi bien ma jolie...ma jolie Akiko...haaaaan...

Sera, tout en crispant un peu ses doigts dans les cheveux de son élève, se mit à donner de légers coups de bassin, pas très prononcés, mais qui témoignait d'un désir profond de remuer sa queue dans cette bouche chaude et humide. Son sexe trempait dans la salive de la jeune femme, qui utilisait sa langue contre, jouant avec, et elle sentait à l'occasion ses dents frotter contre ce mât de chair qui allait et venait progressivement entre ses lèvres.

Tu aimes hein ? Tu aimes sucer la queue de ta maîtresse...oh ma chérie, huuuuum !

Remontant une de ses mains pour malaxer l'un de ses propres seins, Sera conservait toutefois toujours une main sur la tête de sa belle élève, et peu à peu accentuait l'amplitude de ses mouvements de bassin. Il était clair qu'elle allait devoir fourrer complètement sa queue dans la bouche de cette petite perle, et enchaîner les gorges profondes pour ensuite inonder sa cavité buccale de sperme chaud, mais il fallait y aller en douceur.

Je vais commencer à m'enfoncer plus loin ma puce, respire bien par le nez, et reste calme...

Sera s'enfonça alors, et donna au début juste de petits coups qui faisaient taper son gland contre l'entrée de la gorge de la lycéenne, elle se retirait tout aussi rapidement, et répétait plusieurs fois de suite. Sentir une queue aussi massive s'enfoncer aussi loin demandait de la préparation, et elle passa plusieurs minutes à éprouver la résistance de sa gorge, qui peu à peu s'amenuisait. Puis, finalement, elle serra ses doigts contre l'arrière du crâne d'Akiko, finit par s'enfoncer pleinement dans la gorge de son élève, et se retira pleinement aussi sec, la laissant tousser et respirer.

Là, reprends ta respiration ma puce, ensuite on recommence.

Elle lui laissa le temps de respirer, puis, en tenant son sexe d'une main et la tête d'Akiko dans l'autre, Sera rediriga son sexe contre les lèvres de sa petite puce. Elle remua, vivement, mais sans taper contre sa gorge pendant un moment, avant d'à nouveau finalement s'enfoncer en elle, cette fois un peu plus longtemps. La Senseï sentit alors la gorge d'Akiko se contacter sur son sexe, lui procurant un grand plaisir, puis elle se retira à nouveau, mais le bout de son gland restait à l'intérieur de sa bouche. Quelques secondes de répit, puis elle repartit à l'assaut, répétant ces mouvement de plus en plus, et de progressivement plus fort.

Haaaaaaan ma toute belle...suce moi...suce moi fort...haaaaaaa !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : En intimité (PV)

Réponse 23 dimanche 19 juin 2016, 22:16:20

Akiko suçait donc la belle queue de sa Maîtresse, une verge bien dure, bien grosse. C’était tout ce qu’elle aimait, et, tout en la suçant, on pouvait l’entendre gémir et soupirer. Quand l’une des mains de sa Maîtresse se posa sur sa tête, Akiko frissonna, et s’amusa régulièrement à lever les yeux, s’excitant en voyant le plaisir irradier le visage de sa si belle Maîtresse. Elle était belle, si belle... La voir heureuse, c’était un spectacle très impressionnant. Akiko continuait donc à filer, sans rien dire, recevant les consignes de sa Maîtresse. Effectivement, avec une aussi grosse sucette dans la bouche, il était impossible de respirer normalement, alors elle utilisait ses narines, les consignes de Kurokawa-senseï prolongeant celles de Warren-san sur ce domaine.  Elle respirait donc par le nez, tout en filant d’avant en arrière. Maîtresse remuait son bassin en même temps qu’elle, et, quand Akiko sentait ses doigts se crisper sur ses cheveux, elle en tremblait.

La jeune femme faisait du mieux qu’elle pouvait pour lui offrir une fellation phénoménale. Dans sa bouche, elle sentait ce membre, cette texture, cette dureté, cette queue qui filait en elle. Sa langue glissait dessus, la léchant, et, avec ses dents, elle appuyait tout doucement sur la verge, tout en creusant ses joues, aspirant l’air, ce qui faisait trembler ce membre dans sa bouche, un membre qui s’enfonçait de plus en plus.

« Mmmhmm... »

Elle avait senti les deux mains de Kurokawa-senseï sur sa tête, et, quand l’une des deux se releva, Akiko la suivit du regard, et rougit de plaisir en voyant la femme pincer ses seins, seins qui avaient effectivement l’air bien lourds, bien tendus, assoiffés, trahissant tout le désir que leur propriétaire recevait. Akiko continuait à sucer cette queue, encore et encore, sentant, progressivement, ce membre s’enfoncer en elle. Elle en soupira encore, en sachant ce que Kurokawa-senseï voulait faire, mais... Sa queue était grosse, si grosse...

*Et je la suce, mon Dieu, je la suce...*

Chacun des mots de Kurokawa-senseï, chacun de ses soupirs, de ses encouragements, rebondissait dans l’esprit d’Akiko, qui avait très chaud dans sa propre intimité, et finit même par déplacer l’une de ses mains, maintenant l’autre sur le bassin de sa Maîtresse. Elle enfonça deux doigts dans sa chatte, et se masturba, soupirant encore, respirant frénétiquement par le nez, tout en sentant la main de sa Maîtresse se maintenir sur sa tête. C’était doux, doux et, en même temps, très intense, car la senseï visait clairement à faire une gorge profonde.

Elle commença donc, et Akiko gémit profondément, avant de sentir, au bout de quelques secondes, la queue de sa Maîtresse se retirer.

« Haaaa... Pffff... Hmmmm... En... Encore, Maîtresse, haaaa... »

Elle sentait de curieuses sensations le long de ses lèvres et de sa bouche, mais, surtout, elle se sentait comme vide, sans la présence de cette virilité en elle. Elle revint donc en elle, et, petit à petit, sa Maîtresse accéléra le rythme, amplifiant et multipliant les gorges profondes. Akiko, qui avait eu un rôle assez actif au début, se retrouva à crisper sa main sur l’une des belles fesses de sa Maîtresse, l’autre continuant à la masturber, sa mouille dégoulinant sur le sol, ruisselant le long de ses doigts, trahissant tout son bonheur.

Maîtresse continua donc, et Akiko suivait le rythme, en gémissant longuement.

« Hmmmmmmmmmmm-hmmmmmmm... »

Comme pour mieux apprécier ce moment, elle fermait les yeux, léchant cette queue quand elle repartait en arrière, avant de gémir de plaisir quand elle s’enfonçait, encore et encore, tapant contre sa gorge. Sa main continuait à palper le cul de sa Maîtresse, ses ongles caressant parfois sa croupe, et, tout ce qu’elle attendait, en ce moment, c’était de sentir sa Maîtresse jouir en elle.

Ça, ce serait sa plus grande récompense !


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