Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Psychosocial [Vaashounet :3]

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 75 mardi 19 avril 2016, 12:52:50

Leur voisin ne tarda pas à peloter le cul de Lucrezia, ce qui semble quelque peu indisposer cette dernière, puisqu’elle demanda à son amant d’intervenir. Vaas se contenta de décapsuler une cannette, et, tout en l’avalant, tourna la tête vers la femme. Difficiel de voir en elle la Duchesse, cette psychopathe redoutable qui défrayait la chronique de Seikusu. On aurait presque dit un couple normal, si ce n’est qu’elle était habillée comme la pire des putes, et que lui avait encore quelques traces de sang sur ses vêtements. Cependant, comme elle avait demandé à Vaas de faire parler son esprit galant, celui-ci intervint donc, en hochant la tête à destination du voisin :

« Tu le sens, hein, comme il est ferme ? Crois-moi, mi hermano, c’est un cul qui a roulé sa bosse, ça. »

À quoi fallait-il s’attendre d’autre ? Qu’il se lève pour défendre la « vertu » et la « pureté » de Lucrezia ? De qui se moquait-on ? Habillée comme ça, impossible de se tromper, et Vaas n’était pas homme à mentir sur les évidences. C’est ce qui amena Lucrezia à se coller contre l’homme, et ce dernier vint, de nouveau, palper ce délicieux cul, qu’il avait déjà sodomisé à bien des reprises, et sur lequel il avait le sentiment qu’il reviendrait à bien des occasions encore. Tout contre lui, Lucrezia roucoulait de plaisir, et vint finalement à lui faire une proposition, en demandant à aller… Se faire tatouer.

Interloqué, Vaas la regarda, sans trop savoir quoi en penser. Pour le coup, vu le mystère de la femme, il s’était attendu à quelque chose d’un peu plus… Glamour. Quelques secondes s’écoulèrent donc, avant que Vaas ne haussa les épaules, allant embrasser la femme.

« Si tu veux… Te faire tatouer, pourquoi pas ? On ne refuse rien à sa femme, après tout ! »

Vaas sourit ensuite, maintenant ses deux mains sur les fesses de la femme.

« Et puis, quoi de plus normal, pour une vachette comme toi, que de se faire marquer ? »

C’est vrai, c’était dans la logique des choses ! Fort de cette idée, Vaas se retourna, et fila le long du trottoir, enfilant rapidement son hot-dog. Le duo s’aventura dans les rues piétonnes, comme une sorte d’étrange couple, avançant dans un étrange lieu romantique. Des salons de tatouage, il y en avait plusieurs dans le coin. Des bâtiments aux murs délavés, qui sentaient la pisse, mais qui abritaient les salons de tatouage et autres.

Il y avait ici de tout pour rendre une Duchesse heureuse.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 76 samedi 23 avril 2016, 11:51:48

« Et puis, quoi de plus normal, pour une vachette comme toi, que de se faire marquer ? »
« Chuuuuuuuut... » lâchât alors la jeune femme en posant son index sur les lèvres de son amant avant de lui soutirer un autre baiser sulfureux.
« tu verras »

Sur ce, la jeune femme prit son sandwich et, avec un grand sourire radieux et légèrement joueur, elle suivie son amant jusqu'à un salon de tattouage lambda, comme il pouvait en fleurir des dizaines dans ce quartier pourris. L'endroit était pas forcément super propre, le tatoueur avait la gueule percer de partout et, au milieux dans l'arrière boutique, on pouvait sans mal voir le fauteuil d'opération illuminé par des néons rouges qui ce trouvait aussi dans la boutique.
Lulu avait entre-temps engloutie son sandwich et, alors qu'elle observait d'un œil curieux l'établissement, ledit tattoueur vint à la rencontre du petit couple.

« Hola compagnas, bienvenue au « rusty needle's » qu'est ce que ce sera, hm ? »
« C'est pour moi ! » S’exclamât alors lulu, toute joyeuse, en ce frottant contre le bras de son amant.
« Ha ? Et ce sera quoi pour la demoiselle, un jolie tattouage sur les fesses ? L'avant bras ? »
« Nan... » Répondit elle alors avant de regarder Vaas dans les yeux. « Je voudrait un piercing à la langue… »
« Hoho ! Mademoiselle est… Joueuse, hm ?  Et bien… Oui, je peut faire ça là, il y a pas de soucis. »

L'homme c'était alors mis à regarder vaas avec un sourire amusé, lui avouant alors ceci :

« Et ben mon pote… On peut dire que tu as de la chance… Le piercing à la langue, c'est le pied, éhéh » Lâchât il alors en indiquant à la Duchesse la salle d'opération, la laissant entrer la première pour ensuite la voir s'installer sur le fauteuil en regardant Vaas d'un air joueur, lui faisant même un petit clin d’œil au passage tout en tirant, une dernière fois, sa langue vierge de tout artifice.
Puis… Le tatoueur, ce lavât brièvement les mains à l'alcool, avant d'enfiler des gants en latex et amena prêt du fauteuil un petit chariot en inox, un peu comme celui de Lulu… Sauf que ce brave type ne devait sûrement pas tuer de pauvres jeunes femmes.

« Alors misstinguette… Une idée en tête pourla forme du bijoux ? Hm ? »
« Hmmm… Une perle noire… Enfin, un truc à surface lisse… Huhu ! »
« Hmm… Je vois... » Murmura l'homme en préparant son matériel, regardant une fois encore Vaas d'un air amusé.
« On a aussi des piercings lumineux… Ou vibrant... »
« Hmmm… Nan, juste un piercings normal pour l'instant… Un truc qui reste relativement discret. »

L'homme hochât de la tête puis sortit une seringue jetable de son pochons, avec dedans une dose anesthésiant.

« Heu… Par contre, si vous pouviez mettre seulement la moitié de la dose anesthésiant… J'aimerais bien pouvoir parler sans trop zozoter... »
Le tatoueur fronçât alors les sourcils en affichant une mine assez curieuse puis… Hochât de la tête.
« Ok… je vais voir ce que je peut faire."
« l'homme souria puis, calmement, il attrapât les joue de lucrezia en lui demandant de tirer la langue, ce que le a jeune femme fit avant de sentir une petite pointe de douleur lui traverser la langue… Puis… L'homme fit ce qu'il avait à faire.

Environs une petite dizaines de minutes plus tard

«  et voilà choupette… Normalement, là ou il est, il devrait pas trop gêner, bien ce voir et qui plus est, sa saignera pas trop normalement… juste, évite de manger des truc acide ou épicé, mange des esquimaux et- »sucer des bites, ze peux ? »
« Euh... »

L'homme haussa un sourcils, avant de ce gratter l'arrière de son crane rasé

« Bas… Paradoxalement, la langue est l'endroit où il y a le moins de risque d'infections, grâce à la salive… Mais bon… Sans vouloir rentrer dans les détail, je vais te filer deux flacons de bains de bouche spécial, au cas où... même-ci c'est pas conseillé, hein… Je pense que tu peut le faire sans « trop »  risques… Juste t'auras un peu mal… hum ! »

Sur ce, l'homme ce retira et laissa lulu ce relever de son siège, cette dernière fit plusieurs mou assez étrange, avant d'approcher de Vaas en souriant silencieusement.

« ... »

Puis elle fit frotter son pouce, son index et son majeur entre eux, signe que Vaas devait passer à la caisse, cependant… Ce petit bijoux était aussi un cadeaux pour lui… Dans un sens.
Lulu, elle, sentait plus trop sa langue… Mais bon, vus qu'elle avait l'habitude des calmant et autres produit dans le genre et vus que l'homme lui avait mis qu'une demi-dose, Lulu pouvait encore sentir les rebord de son appendis buccal… enfin, un peu.

« On y vas mon ssoux… Hmmpffr ! »

Ah ça par contre… Le zozotage… Pas moyen de l’atténuer.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 77 lundi 25 avril 2016, 01:20:04

Non, Lucrezia ne voulait pas se faire tatouer, mais se faire... Percer. C’était une fascination très étrange. Autant Vaas pouvait comprendre les tatouages, qui étaient fréquents chez les Rakyats, mais les piercings... Il y avait encore bien des choses qu’il ne comprenait pas chez les gens du monde, mais il laissait néanmoins l’étonnante Duchesse se faire percer, en l’attendant dehors. Il en profita pour observer les gens qui passaient. Il y avait des prostituées, des dealers... L’éclairage public fonctionnait difficilement ici. La police venait très rarement dans ce coin, qui se composait de ruelles et de rues piétonnes. Bras croisés, Vaas observait. Ce n’était pas la jungle de Rook Island, mais celle de Seikusu avait des points communs.

Vaas entendit alors du bruit, et, en se retournant, vit Lucrezia débarquer... Avec un piercing sur les lèvres, ce qui la fit zozoter. Le mercenaire la regarda silencieusement, sans trop savoir quoi en penser.

« Tu sais, bébé, sur mon île, j’ai souvent rencontré des mecs qui aimaient se faire percer... J’&adorais arracher leurs anneaux avec des pinces, ils pleuraient , et le sang coulait comme vache qui pisse, c’était fendard ! »

Il sourit alors, comme s’il trouvait sa blague drôle., puis se mit à marcher. Il y avait quelque chose d’irréel, là-dedans, et il en avait bien conscience. Vaas savait ce que c’était... Cette ville, cette pollution, tous ces gens, gras, gros, moches, qui vivaient dans des taudis, toute cette ville, ce gris, ce béton... Rook Island lui manquait. C’était son île, son refuge, son sanctuaire, un sanctuaire pour lui et sa sœur. Ensemble, ils avaient terrassé les narcotrafiquants, et, si Vaas était venu ici, c’était bien pour poursuivre cet objectif, parce qu’il savait que l’homme ayant envoyé Hoyt Volker sur son île y retournerait. Vaas avait pris les devants.

L’homme était venu à Seikusu pour y apporter la guerre qui avait ensanglanté son île. Cependant, depuis qu’il était là, il prenait conscience de la dangerosité de Seikusu. Protéger son île ne serait pas aussi facile que ça. Et puis, il y avait la Duchesse. Ce coup-là, il ne l’avait pas vu venir, et il se demandait quoi faire d’elle, surtout si elle se mettait à se percer et à agir comme toutes ces pisseuses qui venaient sur son île en le prenant pour un autochtone local.

Vaas réfléchit très sérieusement à l’hypothèse de l’abattre sur place, avant de mettre ça de côté. Pas encore... Cette femme était encore assez utile pour le moment. Et puis, malgré son côté chieuse et gamine écervelée, elle était... Plutôt cool, en réalité. Un peu bizarre, mais qui, en toute honnêteté, ne l’était pas ?

« Bon... Et maintenant, darling, on fait quoi ? Qu’est-ce que tu as envie que ton chevalier servant te fasse ? Profite-en, ce n’est pas tous les jours qu’on a un Vaas comme guide ! »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 78 lundi 25 avril 2016, 15:30:33

« Bon... Et maintenant, darling, on fait quoi ? Qu’est-ce que tu as envie que ton chevalier servant te fasse ? Profite-en, ce n’est pas tous les jours qu’on a un Vaas comme guide ! »

à cette question, Lulu vint à réfléchir quelques secondes, avant de regarder Vaas en lui souriant avec amusement. C'est vrai, que faire ? La ville était vaste, ma la nuit n'était pas éternelle, elle. Cependant, Lulu sentait que son amant commençait à « douter » d'elle (intuition féminine, cherche pas ! èé) et, avant de recommencer quoi que ce soit, elle voulue le rassurer.

« Ze serait bien tenté de te dire qu'on pourrait repartir en Ssasse, toi et moi, main dans la main… mais, t'as du voir que z'ai des « phasses »… Hm ? Ze veux dire… C'est pas vraiment à la demande quand je tue… C'est plus complexesse que ça tu vois… Me regarde pas comme ci z'était une merdeuse vaas… Tu t'en mordrais les doigts, car j'ai beau être soumise au hommes, z'en suis pas moins une tueuse qui est mondialement connue, MOI ! » Alors… Ok… C'est vrai, ze me suis faite faire un piercingz… Mais ! C'est juste que z'aime bien ssa… Et puis il y a le coté finanssier derrière… Tu sais… »

Et là, lulu ce mit à mimer un fellation, en ouvrant la bouche en rond, avant de remuer son poignet de concert avec sa langue, langue qu'elle faisait taper contre l'intérieur de sa joue.

« Un client satisfait, c'est un client qui reviens… c'est KSD. »

Lulu regardât enssuite les alentours et, ne voyant personne, elle ouvrit son sac à mains pour montrer son contenue à son amant, continue qui n'était autre qu'un grand couteau, son scalpel, des seringue, du formole et… Deux trois autres petites choses.

« Allez… On vas en découper des minettes… Tout plein même ~
 
C'est vrai, Lucrezia était une femme curieuse et, à la voir ainsi, on pouvait aisément croire qu'elle n'était qu'une bête pute un peu greluche… Mais Vaas semblait ne pas savoir ce qu'était une vrai tueuse en série. Beaucoup de tueur ce créait un masque de normalité pour cacher leur véritable visage et, si même Vaas commençait à avoir un doute sur lulu, c'est que ce masque était donc bien fait ! D'un coté la sinistre Duchesse… De l'autre une pute en manque de bite et gamine… Hmmm Ok, Il n'y avait pas beaucoup de différence entre les deux, mais toujours est il, ça marchait !
Et puis… C'est vrai, Lulu tuait par « pulsions » elle, Vaas c'était peut être par amusement, mais Lulu, elle, c'était différent, poins.


« En attendant mon sous… Ze suis peut être pas dissposée à tuer mais… Z'ai une grosse envie de baizer !… Et… ze zouait les prude toute à l'heure, pour faire zenre mais vrai… ça te tente un Gangbang toi ? Hm ? »


Lulu souriat légèrement en ce dandinant devant vaas, tout en se mordillant les lèvres, son regard ce voulant alors légèrement jouer et enfantin à la fois. Genre (ou Zenre) comme une gamine qui demanderait un truc à son poupaw <3


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 79 mardi 26 avril 2016, 19:51:47

Lucrezia essaya de rassurer Vaas sur sa dangerosité, mais, avec son affreux zozotement, il avait l’impression de voir un paon essayant de rugir comme un tigre. Pour autant, loin, bien loin de lui l’idée de sous-estimer la Duchesse. Vaas avait beau être cinglé, instable, il n’en était pas moins intelligent. À sa manière, il était un vrai stratège, et il s’était renseigné sur cette ville. Il savait qu’il y avait des justiciers dedans, des individus qui se prenaient pour des auxiliaires de justice, et qui étaient certainement bien plus dérangés que lui. Il le savait d’autant plus que ces individus, qui étaient hors du système, étaient aussi hors de la mainmise d’Akihiro Guramu, ce qui avait le don d’énerver profondément la Baleine. Ces individus menaçaient son affaire, son business, et ça, c’était quelque chose que la Grosse Vache ne pouvait pas tolérer. Vaas savait qu’un excellent moyen de se faire mousser serait de parvenir à vaincre l’une de ces Batgirls qui le menaçaient, et qui, en agissant ainsi, amenaient la police à sortir, peu à peu, des griffes du « seigneur de Seikusu » autoproclamé.

Mais il fallait bien admettre que, sur le coup, il était difficile d’associer cette fille à la Duchesse. C’était… Hum… Vaas n’était peut-être pas le plus grand psychologue qui soit, mais il y avait en elle une sorte de relent schizophrénique, comme si deux personnalités se battaient en elle. Une « gamine » d’un côté, et une « tueuse » de l’autre. Lucrezia et la Duchesse ? Comme le putain de Janus, le Dieu à deux têtes.

Schizophrénique, Vaas l’était également, assurément, mais sa psychose s’exprimait de manière bien différente de celle de Lucrezia. Il était juste… Profondément instable. Moins que psychopathe, Vaas tenait plutôt du sociopathe. Indifférent aux normes sociales, instable, et fortement impulsif, il ne supportait pas l’ennui, avait toujours besoin de stimulation, et son indifférence totale à la morale le rangeait plutôt dans cette catégorie… Mais ça, honnêtement, Vaas ne se posait pas la question. Lui n’était pas fou, ça n’était pas ça, la folie, il en avait sa propre définition.

En attendant, Lucrezia lui proposa un peu de sexe, comme pour les dérider, et faire oublier à Vaas l’ennui mortel de cette soirée. Ouais… Très clairement, l’homme n’aimait pas se faire chier, et, quand il ne savait pas quoi faire, c’était toujours les autres qui finissaient par trinquer. Contrairement à ce qu’on pouvait croire, torturer et massacrer son prochain pouvaient prodiguer en vous des sources d’énergie sans commune mesure, stimulant follement votre imagination. Autant dire que Vaas s’était bien éclaté à Rook Island, et, ça, ça, ça faisait des souvenirs impérissables.

Lucrezia n’avait pas envie de tuer, mais avait tout de même envie de s’amuser. Vaas considéra donc silencieusement sa proposition, puis caressa alors son visage, et l’embrassa.

« Je te l’ai dit, Lucrezia, tu es mi Princeza, je t’aime de cœur, je te ferais jamais rien de mal. »

Et c’était vrai. La seule chose, c’était que le cœur de Vaas était froid comme la glace, et ne battait que pour lui. Ce qu’il disait à Lucrezia, il aurait pu le dire avec la même intensité à un steak haché qu’il allait enfourner par la suite. Néanmoins, l’idée de baiser Vaas ne manqua pas de stimuler en lui un certain regain, mais poireauter comme ça l’amenait à devoir sortir de la longue léthargie dans laquelle il avait été plongé.

« Je crois qu’il est temps que tu visites ma demeure, Lucrezia… Là, tu pourras te faire péter le cul bien comme il faut… Mais pas avant que tu te prennes un bain de bouche pour tes zozotements de pucelle. »

Ça, non, elle ne pourrait guère espérer y échapper !

Il ne restait plus qu’à trouver une petite ruelle pour faire leur affaire…

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 80 mercredi 27 avril 2016, 16:20:03

« Je crois qu’il est temps que tu visites ma demeure, Lucrezia… Là, tu pourras te faire péter le cul bien comme il faut… Mais pas avant que tu te prennes un bain de bouche pour tes zozotements de pucelle. »
« Neuneuneuh ! »

En disant cela, lulu avait tirée la langue en grimaçant légèrement, exhibant alors  une jolie perle noire et luisante, qui trônait au bout de son appendice linguale, taquinant du bout dudit appendice son amant foufou en dandinant ses grosses fesses puis, sur ceux, elle vint à voler un autre baiser à Vaas en faisant par la frotter son nez contre le siens.

« Tu veux que ze te suce mon gros vilain ? Hm ? »
Cette affirmation fit légèrement rire lulu qui, en ce déplaçant, faisait claquer ses talons sur le sol.
« Avoue, ça te plaît mon piercingz, hmhm ! »
Et hop ! Sur cette nouvelle affirmation, Lulu vint à se pendre au cou du mercenaire en faisant tinter ses innombrables bracelets entre-eux tout en collant ses gros obus bien ronds contre le torse de l'homme, homme qu'elle regarda longuement avec ardeur et passions, visiblement désireuse de sexe… à nouveau. La femme se dandinait outrageusement contre lui, en lui faisant comprendre qu'elle était dispo à lui faire tout ce qu'il voulait !

Avec Lulu, sexe et meurtre étaient grossomodo les mêmes choses, un moyens d'assouvir des envies, des pulsions. Aussi dépravée était sa vie, aussi sinistre était son passé, tout était lié au sexe et au sang, lucrezia était la version féminine d'un Jeffrey dahmer ou d'un Edmund Kemper, le sexe était son motif ! le frissons, l'orgasme, ses fantasmes omniprésent dans sa tête, tout ça, c'était ce qui la poussait à tuer et, entre chaque meurtre, Lucrezia baisait comme une pute ou se masturbait abondement… Une « lust killer » à l'état pur, une tueuse de luxure, voilà ce qu'était lucrezia.

Cependant, son coté « pimpant » et adolescent, lui, était du a sa mauvaise « structure » familiale et au manque d'affection qu'elle eu envers ses parents adoptifs une fois sa mère décédée. Adolescente, Lucrezia avait creusée les sillons de sa folie et de sa dépravations en usant très jeune des stupéfiants mais aussi en ayant très vite prit goût au sexe. Turbulente, rebelle, violente, fugueuse, à 15/16 ans Lulu était une vrai saloperie, devenant un échec profond pour ses parents adoptifs qui, une fois la jeune femme partit pour ses études de médecine, n'eurent plus jamais de nouvelles… Hors-mis lorsque cette dernière eu essayée de mettre fin à ses jours, quelques mois avant de… Commettre son premier meurtre.

Mais maintenant, tout ceci était du passé et, pour l'heure, Lulu s'affaira à suivre Vaas dans les ruelles sombre et puante du quartier de la Toussaint, sous le regard de quelques autres putes et de certains mac.

« Regarde là celle là… Un vrai cagot ! Ahah ! » Dit alors l'une des putes, visiblement avec une pointe de jalousie.
« Tu parle de toi là, Kazumi ? »
« Du calme mes bitche's, au lieux de regarder les copines, faite donc votre boulot. »

Kazumi, hein ? Tout en suivant Vaas, lulu c'était brièvement retournée en faisant un petit coucou à la jeune femme… Mais genre le petit coucou de pétasse avec le sourire de peste.
Un sourire qui voulait dire, au fond, un truc comme « tu vas finir dans un sac poubelle, tas de foutre. » Mais ça, kazumi le savait pas.
Suite à cette petite scène, le petit couple vint enfin à se retrouver au bout d'une ruelle, dans une impasse bien tranquille.

« Bon alors… Se sera quoi pour se monsieur, hm ? »

langoureusement, Lulu vint alors à glisser ses mains sous le débardeur de Vaas, éprouvant ainsi les beau muscles de l'homme puis, en ne le quittant pas du regard, elle s'accroupit puis, toujours aussi calmement, elle attrapa du bout des lèvres la braguette du pirate, la faisant alors descendre de manière sulfureuse et aguicheuse en regardant toujours son amant avec gourmandise. Puis, calmement, elle enfouis sa main dans la prison de tissue, extirpant ensuite la verge de l'homme de là, verge qu'elle masturba quelque peut pour finalement ce mettre à la faire tapoter contre sa joue.

C'est clair, les sandwich poulet/curry, ça remet lulu d'applomb !


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 81 jeudi 28 avril 2016, 12:49:45

En voyant la fille lui tirer la langue, Vaas dut résister à l’envie, fugace mais forte, de lui arracher ce morceau noir qui dépassait avec une pince. Ce n’était pas… Harmonieux. Et puis, ça la faisait zozoter ; c’était insupportable. Franchement. Elle se colla contre lui, plaquant ses lourds seins contre son torse, et Vaas sentit la pointe d’excitation le traverser, entrouvrant légèrement les lèvres quand la femme lui demanda si son piercing lui plaisait. Pour toute réponse, il posa ses mains sur les fesses de la femme, et rajouta ensuite, essayant de noyer le poisson :

« Tant que tu continues à être de qualité, ma chérie, je peux aller avec quelques excentricités. Il faut bien que tu te singularises… »

Néanmoins, c’était bizarre, cette obsession pour les piercings. Les tatouages, Vaas n’avait rien contre, mais se faire trouer la peau… Lui avait bien un trou dans ses oreilles, certes, mais, de là à se mettre l’une de ces saloperies en métal sur la langue. Même pour lui, c’était un peu hard. Il devait toutefois admettre que ça lui donnerait des idées vraiment fun à essayer. En attendant, il avait une envie de plus en plus furieuse d’aller baiser la belle Lucrezia, qui se dandinait contre lui, l’émoustillant en frottant ses seins, son envie de sexe semblant revenir en force.

Le duo se déplaça donc, jusqu’à croiser quelques prostituées. C’était le coin. Ce quartier appartenait aux Guramu. Il était situé dans le quartier traditionnel de la Toussaint, entièrement sous contrôle yakuza. Les prostituées portaient des tenues moulantes en latex, qui brillaient légèrement, amplifiant leurs formes. Il en vit une avec une agréable robe argentée, mais continua à suivre la Duchesse.

Il est vrai que, avec son corps aux formes généreuses et lourdes, elle s’éloignait des biscottes, qui caractérisaient généralement les putes asiatiques. Plusieurs commentèrent ainsi son apparence. Vaas, lui, en-dehors du crêpage de chignons, attendait surtout de voir les macs leur tomber dessus, à l’idée d’une concurrence non voulue. Le duo rejoignit donc une ruelle isolée, une petite impasse, et, rapidement, la Duchesse passa à l’action, avec cette sensualité et cette bestialité qui avaient su attirer l’attention  de Vaas.

« Ah, bébé, là, tu me parles… »

Vaas caressa ses cheveux, et soupira lentement en sentant son sexe sortir à l’air libre, sa hampe de chair venant se poser sur le visage de la femme, caressant doucement ce dernier.

« Vas-y, vas-y, mon cœur, commence par me mettre en jambe… Ensuite… Ensuite, je crois que j’irais visiter le petit cul de ma vachette adorée… »

Tout d’un coup, l’envie de tuer Lucrezia s’était totalement éclipsée. Ainsi raisonnait et fonctionnait Vaas, tuer quelqu’un était pour lui similaire à se faire sucer, ou à aller manger un hamburger.

Un individu totalement amoral, mais qui, en sentant la bouche de Lucrezia, se mit à bander joyeusement…

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 82 mardi 04 octobre 2016, 20:11:25

« Vas-y, vas-y, mon cœur, commence par me mettre en jambe… Ensuite… Ensuite, je crois que j’irais visiter le petit cul de ma vachette adorée… »

Lulu continua de regarder Vaas dans les yeux en faisant allégrement glisser la queue de l'homme sur son visage et ses lèvres, avant de lécher la hampe de ce dernier dans toute sa longueur, son piercing glissant habilement sur la peau, avant que notre duchesse ne vienne embrasser sa cerise qu'elle happât ensuite goulûment, pompa ainsi son gland avec avidité en ne quittant pas l'homme des yeux.

« hmmmmgmmm… Hmmmaammm.. « 

Lucrezia aimait faire du bruit en suçant. Elle avait appris au fil du temps que cela plaisait beaucoup à ses partenaire. Gémir, soupirer, couiner et aspirer bruyamment la queue joufflue de l'amant en question. Tout en continuant de pomper ardemment Vaas, Lulu vint à légèrement tirer sur son haut en latex, faisant alors jaillir ses gros seins de leurs étreinte noire et luisante puis retira l'espace de quelque secondes, le sexe du mercenaire de sa bouche, afin d'ensuite le prendre d'une main pour faire glisser son gland contre l'un de ses tétons tout en regardant l'homme avec envie.

«hmmm z'aime la bite <3 » Lui dit elle alors avant de tirer la langue en décalant le sexe de l'homme de son seins, pour le faire taper contre ladite langue, langue qu'elle passa ensuite dans chaque interstice de cette queue avant de la ravaler goulûment en aspirant fermement ce morceaux de chair juteux, tachant de l'enfoncer de plus en plus loin dans sa gorge


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 83 vendredi 07 octobre 2016, 02:16:07

Des putes, Vaas en avait souvent vu au cours de son existence pleine de vie et de joyeusetés, mais il fallait rendre à César ce qui lui appartenait. Lucrezia était d’une catégorie au-dessus de toutes ces salopes qu’il avait eu l’occasion de fourrer. Avec elle, Vaas sentait un truc, un lien, et le fait que la Duchesse soit encore en vie en était la plus belle illustration. Vaas l’aimait bien, cette folle aux gros nibards. Elle était tarée, cruelle, avec une absence totale d’empathie, et se payait le luxe d’être aussi perverse que bonne. La baiser, c’était divin, comme se taper une star de luxe 4 étoiles, et se l’enfiler sec en sentant son corps vibrer en harmonie. Vaas bandait dur, flottant comme Mario dans les étoiles quand sa Princesse-Pute lui suçait la pine. Car c’était bien ça que Lucrezia faisait en ce moment : elle suçait la queue de son guerrier, son chevalier chevaleresque qu’elle récompensait pour ses efforts. Ils étaient venus ici pour prostituer Lucrezia, parce que c’était son kif’, mais Vaas ne serait pas un bon marchand, s’il ne s’assurait pas de la qualité du produit avant...

Alors, elle le suçait, et les mains de Vaas se crispaient sur sa tête. Elle filait sur sa queue, ce membre qu’elle devait maintenant commencer à plutôt bien connaître, à force de s’empaler dessus. Hey, il fallait bien avouer que, ensemble, ils avaient déjà fait les quatre cent coups. Tout ça augurait d’une fantastique relation pour la suite ! Elle finit par s’arrêter brièvement, juste le temps de lui dire qu’elle aimait ça, ce qui ne manqua pas de faire sourire Vaas, qui la regardait silencieusement.

« Vu la manière dont tu gémis, ma salope, j’ai eu l’occasion de le réaliser, héhé... Vas-y, suce, suce bien, fais-toi plaisir, c’est ton gâteau ! »

Lui-même commençait à avoir un rôle plus actif, crispant ses mains sur la chevelure de la Duchesse. Il s’en servit alors pour remuer plus nerveusement en elle, d’avant en arrière, donnant des coups de reins qui gagnaient progressivement en force et en intensité. L’homme ne la ménageait pas, car il savait que c’était ce que Lucrezia aimait. Soupirant longuement, Vaas se laissait ainsi aller, son membre tapant contre la gorge de la femme, glissant en elle.

« Oh, chica, chica, chica, putain de sa mère... ! »

Dieu, qu’elle était bonne, cette salope ! C’était avec plaisir que Vaas s’enfonçait en elle, jusqu’à lui balancer, une fois n’est pas coutume, sa doucereuse crème, qui éclata dans sa bouche. La récompense des justes... Le divin cadeau blanc rien que pour elle !

N’était-elle pas chanceuse ?

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 84 mercredi 12 octobre 2016, 18:57:19

« Vu la manière dont tu gémis, ma salope, j’ai eu l’occasion de le réaliser, héhé... Vas-y, suce, suce bien, fais-toi plaisir, c’est ton gâteau ! »

Et quel délicieux gâteaux ! Une fois encore lulu se régalait à sucer ce beau mat veineux et char,ue, passant allégrement ses lèvres dessus en aspirant le plus goulûment possible ce morceaux de viande chaud et palpitant de désir. Notre tueuse prenait comme à son habitude un grand soin à astiquer et à lustrer la queue de son nouvelle amant, alternant entre gorge profonde, suçage de gland et malaxage de couille, prenant de temps à autre des petite pause pour branler vigoureusement le mat de Vaas, avant de l'étreindre une nouvelle fois entre ses lèvres pulpeuse et luisante de pré-sperme et de salive.

« Gmmmhh… Shhllrpphmm <3 »

Mais alors qu'elle prenait de plus en plus de plaisir à sucer son amant, tout en le regardant dans les yeux de temps à autre, notre tueuse vint à sentir l'homme se crisper avant de jurer un bon coup, ce qui marquât alors le début de son orgasme. Là, bien au chaud dans la bouche de Lucrezia, Vaas fini donc par copieusement éjaculer, envoyant avec vigueur une énième rasade de sperme qui alla directement dans l’œsophage de la tueuse, tueuse qui, bien entendue, avala bruyamment chaque gorgée de ce délicieux miel, avant d'attraper la queue de Vaas par la base pour l'extirper de sa bouche à la quelle un ou deux filet de sperme dégoulinait encore. Sur ce, la femme prit ensuite un malin plaisir à nettoyer de long en large la queue du mercenaire en le dévorant de ses yeux de chiennes, racla du bout de sa langue chaque petit centimètres afin d'y récolter le sperme encore présent et ce en poussant de long soupir lascif et provocateur.

« Et zoilà, ce monsieur est servit, ça fera 3000 yens <3 » Dit elle alors en posant un petit baiser sur le gland de son amant, avant, une fois encore, de faire glisser la bite de Vaas sur son visage.

Lucrezia donna ensuite un ultime coup de langue sur toute la hampe de cette magnifique verge, puis se releva afin d'embrasser son amant sur le bord de ses lèvres, un baiser rapide et un brin enfantin, qui fit glousser Lulu de plus belle.

« Bon… Maintenant tu veux me faire quoi, vilain cosson <3 »


En réalité… Lucrezia le savait déjà plus ou moins et, sans attendre, elle prit position contre un mur, dos à Vaas, remuant ardemment devant ce dernier son gros popoton qui débordait outrageusement de sa jupette de latex.

« Tu zveux me refaire les fessessss ? <3 » Lui demanda t-elle alors en le regardant par dessus son épaule d'un air joueur.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 85 lundi 17 octobre 2016, 02:29:24

Vaas ne saurait expliquer concrètement tout le charme que cette femme opérait sur lui. Avec elle, il n’arrivait pas à débander, et, les rares fois où sa queue finissait au repos, c’était pour mieux économiser ses forces avant de repartir. Il fallait être honnête : cette salope avait un putain de sex appeal, comme si quinze putes de luxe avaient décidé de se réunir en un corps. Le mercenaire ne pouvait que reconnaître que cette nana avait du talent. Un sacré talent, en fait. Dieu, il en était fan ! Elle le suçait avec énergie, avec cet insatiable appétit qui était la marque des amoureuses. Ses mains se posaient sur sa tête, se crispant sur ses cheveux, fonçant dessus, d’avant en arrière, en lui baisant bien la bouche, exactement comme il le fallait. Elle n’aurait pas aimé qu’il agisse tendrement. Là, dans cette ruelle sinistre, à peine plus glamour que l’entrepôt froid et poussiéreux où ils étaient tantôt, il était comme le Chevalier honorant sa Duchesse par son foutre. Vaas lui offrit donc ce cadeau qu’elle cherchait tant, ce sperme chaud et intense, et se retira. Sa queue avait dégrossi, mais l’homme pouvait encore sentir qu’il n’était pas à court de jus. Était-ce l’un des effets secondaires de tout ce rakyat qu’il prenait depuis des années ? Ou le superbe cul de Lucrezia ? Ou le mélange des deux ?

Elle lui expliqua qu’il lui devait 3 000 yens, ce qui l’amena à renâcler brièvement, comme pour contester ce prix :

« Ne te mésestime pas autant, ma chérie. Le mufle qui te donnera 3 000 pauvres yens de merde pour ta bouche mérite que je l’émascule, et que je lui fasse bouffer ses propres couilles. »

Aucune fausse note dans sa voix, comme si Vaas ne faisait que dire la vérité. 3 000 yens, ça faisait à peine plus de vingt euros... C’était le prix qu’on donnait pour des putes désespérées et droguées dans les caveaux de Bangkok. Pour la Duchesse, il fallait bien rajouter un zéro. Et ça, c’était le rôle de Vaas. Mais, pour l’heure, il en était encore au test de la marchandise. Respirant lourdement, il vit Lucrezia se redresser, filant contre le mur, en bombant de la manière la plus insolente son petit cul, parfaitement moulé dans sa minijupe serrée en latex. On voyait également la ficelle rose de son string, qui passait par-dessus, tandis qu’elle l’invitait à se rapprocher.

Soupirant à nouveau, il se rapprocha alors.

« Seul le plus parfait des goujats refusera une telle proposition, ma colombe... »

Vaas n’était pas venu à Seikusu pour ça, mais, pour autant, il n’arrivait pas, ce soir, à penser à autre chose. L’amour était un concept assez creux pour le mercenaire, pour ne pas dire inexistant. Difficile, en conséquence, d’expliquer l’attraction qu’il ressentait pour cette femme, car, ce soif, Vaas la kiffait à fond. C’était sa meuf, et il avait une furieuse envie de la sauter, encore et encore, de l’exhiber auprès de ces autres putes dégrossies, pour mieux s’en vanter.

Notre homme rejoignit donc Lucrezia, et posa ses mains sur ses fesses. Venant de jouir, sa queue était encore un peu trop molle pour honorer sa salope comme il le fallait, mais Vaas, fort heureusement, avait à sa disposition quelques techniques efficaces. Il se pressa donc contre le corps de Lucrezia, sa bouche venant mordiller le creux de son cou, quelques propositions salaces ne tardant pas, ensuite, à s’échapper de ses lèvres :

« Tu aimes ça, hein ? Tu es déjà la Reine des putes avant même d’avoir commencé, Lucrezia... Dieu, ce que t’es bonne, ma chérie ! »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 86 jeudi 12 janvier 2017, 18:41:45

Vaas était un curieux personnage... C'était... Un sociopathe et Lulu était bien consciente que leur relation était pas vraiment une relation d'amour sincère comme celle des autres couples mais... Il y avait un truc, une sorte de drôle d'alchimie tordue qui commençait à apparaître, un atome de paradoxe étrange que seule deux psychopathe comme eux pouvait pleinement appréhender. Quand le demoiselle toute de latex lui avait dit qu'une pipe valait 3000 yens, l'homme avait surenchérie en disant qu'elle valait mieux que ça... Et ouai, elle valait mieux que ça mais en général, quand lulu demandait 3000 yens (ou plus) il y avait un autre trucs à ajouter à la balance... C'est que lulu, en bonne petite salope désireuse d'avoir de quoi se remplir le ventre (autre qu'avec du foutre) avait tendance, parfois, avec les clients peu attentif, a voler durant la fellation quelque billets en plus... Voir même carrément la totalité du porte monnaie ! Au fond, elle se débrouillait tellement bien la bougresse que bien souvent ça passait crème au yeux du clients qui ne remarquait la chose qu'une fois la belle déjà loin de lui... ça lui apprendra a ce taper la mauvaise pute ! Mais bon, encore une fois, notre charmante Duchesse ne faisait ça qu'au client peu habitués au prostitués, ceux qui venait là par désespoir ou juste pour voir un peu ce que ça valait une pute... Avec un tel coup, le type devait plus trop avoir envie de revenir ce faire beurrer la biscotte dans la Toussaint après.

Enfin, toujours est il, notre charmante duchesse avait pour l'heure une tout autre soif que celle de l'argent car, en elle, le brasier du sexe brûlait toujours ! Est c'est toujours dos à son amant des îles qu'elle vint à nouveau a dandiner son jolie popotin en regardant l'homme avec des yeux fiévreux et amusé. L'homme fini donc par tout naturellement ce rapprocher d'elle avant de lui dire ces quelque mots qui... Dans une autre situation aurait put être poétiques.

« Seul le plus parfait des goujats refusera une telle proposition, ma colombe... »

Un vrai roméo ! Lucresia en entendant cela se mordit à nouveau les lèvres en continuant de faire bouger son imposante et exquise paire de fesses, caressant ainsi le mat de son amant dans le noble but de lui faire retrouver sa vigueur.
Quand Vaas vint à lui caresser les fesses tout en lui mordillant le cou, notre plantureuse Duchesse laissa échapper un petit couinement faussement plaintif, elle était désireuse de poursuivre cette soirée en sa compagnie car, depuis l'époque ou elle était encore une femme «normale » notre belle tueuse n'avait jamais rencontrée d'homme qui a ce point était en accords avec ses principes de vie assez... bordeline.

« Hgmmmfff... VaaAaas... » souffla t-elle alors avant de légèrement retourner ça tête vers l'homme pour lui voler un long et langoureux baiser, sa langue s'enfouissant alors dans la bouche dudit amant afin d'un faire une belle valse linguale qui se répit ensuite avant que Lucrezia ne vienne à férocement remuer ses fesses contre le bat ventre de l'homme, de belles fesses qui rebondirent et vibrèrent joyeusement.
« Z'ai envie de faire tout plein de trucs dégoûtants ce zoir... en ta compagnie <3 »

C'était encore une fois une bien curieuse relation qui était entrain de se tisse là.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 87 dimanche 15 janvier 2017, 23:04:36

La verge de Vaas ne tarda pas à se dessiner un passage dans l’étroit cul de la Duchesse. Étroit... En réalité, vu le nombre de fois où, ce soir, Vaas avait exploré le fessier de la psychopathe, il n’eut aucune difficulté à se glisser encore en elle. Si elle avait désespérément envie de sexe, c’était aussi le cas pour lui, qui ressentait une inexplicable alchimie envers cette femme, une attirance aussi forte que mystérieuse. C’était une tueuse, une folle, aussi belle que meurtrière. Vaas le savait, bien entendu, mais, loin d’en avoir peur, il en était, au contraire, profondément excité, convaincu d’être devant une pair, une égale. Il la sodomisa donc dans cette ruelle, se régalant de ses soupirs. Le fait qu’elle ait encore choisi de zozoter (ce qu’il avait horreur, en réalité) ne l’avait, fort heureusement, pas réfréné au point d’oublier de la prendre.

Vaas l’encula donc, avec tendresse (pour ainsi dire). Il remuait lentement en elle, soupirant et grognant, pinçant ses fesses, avant d’accélérer petit à petit le rythme. Le mercenaire la prit donc par là, pendant plusieurs minutes, grognant et soupirant. Ils n’étaient plus dans l’entrepôt, et, parfois, des gens passaient devant eux, jetant des regards surpris, mais filant rapidement. Dans ce quartier, ce n’était pas si inhabituel que ça. Le Japon aussi avait ses zones d’ombre, ses quartiers dangereux, craignos... Et, quand Vaas était dans le coin, on avait généralement tendance à filer droit.

Notre homme la prit donc pendant un certain moment, giflant parfois ses belles fesses, et finit par agripper les cheveux de Lucrezia d’une main, les tirant en arrière, soulevant un peu son massif corps, tout en sentant sa queue durcir, croître, devenir plus insistante, plus assoiffée.

« Hmmm... Sa-Salope, putain... Putain de bordel, ouais... ! T’as... T’as un de ces p’tains de cul, ma salope... !! »

Il soupira encore, ferma les yeux, puis se vida encore une fois en elle, venant remplir ses belles fesses, pour la relâcher. Lucrezia tomba sur le sol, reprenant ses forces. Toutefois, Vaas finit par se pencher vers elle, et posa doucement une main sur son épaule, la retournant, venant la coucher sur le dos, puis se dressa ensuite au-dessus d’elle, avant de s’allonger à son tour. Et là, à même le sol, il se coucha contre elle, et enfonça sa queue dans son vagin. Le rakyat, que Vaas prenait depuis son enfance, ou presque, avait visiblement eu des effets secondaires très impressionnants sur sa libido. Il la pénétra donc, et l’embrassa.

« Ma Princesse... glissa-t-il une première fois, juste après le premier baiser. Je t’aime, ma magnifique pute... »

Fin séducteur, homme galant et plein de romantisme, il commença à remuer en elle, étouffant des grognements, tout en retournant régulièrement l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche.

« Ça... Ça te dit, un restaurant, a-après... ? » demanda-t-il soudain.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 88 dimanche 26 février 2017, 12:11:10

Aaaaah, quel homme fabuleux ce Vaas...

Malgré les multiple coït que nos deux tourtereaux avaient partagés, il était encore en mesure de baiser sa « Princessa » avec fougue et courage , tel un chevalier servant plein de charme et de charisme, jamais en reste pour explorer les tunnels de notre Duchesse à l'aide de sa lance de chair, faisant soupirer la femme sans fin. Et, Lucrezia avait beau avoir le cul tellement ouvert par les sodomies répétitive de son amant, elle continuait de prendre un plaisir fou à baiser avec lui... Elle pourrait le faire encore pendant des heures et des heures, jusqu'à ne plus sentir que la bite et le sperme et même là, elle continuerai de s'offrir à lui avec grand plaisir car, Vaas était à lui seul un condenté de toutes les plus belles conquètes que la Duchesse avait pue faire depuis des années.

« hmmmgmmm Vaas... Hanw... Tu est tellement hmmpfff... Vigoureux.. » Lui lacha t-elle alors avant de l'embrasser à nouveau sur le bouche en lui roulant un beau patin.

Oui... Il était vigoureux et, au delà de ça, il était fou... Il était comme elle, un homme qui ne risquerait pas de la dénoncer ou de la juger, un amant parfait avec qui elle pouvait baiser sans se retenir, sans se cacher derrière sa tenue de pute en brandissant son pseudonyme de « lulu » afin d'éviter tout soupçons. Et puis... Il pouvait la protéger aussi, bien que Lucrezia soit une femme forte et en mesure de dessouder bien des gens, elle avait ses limites, face à des policier ou à des malfrat un brin entraînés, la Duchesse savait qu'elle ne ferait pas le poids, mais avec Vaas a ses coté, elle pouvait se targuer d'avoir un garde du corps en quelque sorte, fort et virile qui n'avait pas peur de se salir les mains pour elle.
L'homme la baisa donc férocement contre le bitume, à même le sol, avec comme unique matelas un vieux cartons crasseux et gras. La scène était assez glauque au fond, celui d'un homme en rûte entrain de ce farcir une nana entre deux conteneurs à poubelles mais... Cet scène sale et profondément déviante attisait plus encore le désir de la Duchesse, sans compter le risque de ce faire prendre... Bien que, dans la Toussaint, ce genre de chose soit relativement courante au final, l'idée qu'un intrus les voie entrain de baiser comme deux chiens en pleine rue avait vraiment de quoi faire mouiller la Duchesse à flot.

La femme enroula alors ses jambes autours de la taille de son amant en poussant de nombreux cris et soupir à chaque coup de butoir que ce dernier déniait lui offrir, faisant tressauter la lourde poitrine de la femme par la même occasion.

« Hmmmf V-Vaas p-p-plus fort ouii ! Haaaaaanww ! J'vais putain d'j-jouir ! Aaaah ! Oui ! Oui ! Vas y bourre moi ! HAAAAAAAAAW ! »

La femme ce mit alors à rouler des yeux en tirant la langue comme un chienne sous ce torrent de fougue et de sexe, enfonçant ses ongles dans la chair de son amant, griffant se dernier par la même occasion. Elle n'en pouvait plus ! C'était tellement bon ! Son corps étant parcourut par une multitude de frissons délicieux qui finirent par la faire hurler en pleine rue, avant de finir par jouir, éclaboussant le bas-ventre de son amant avec sa cyprine.

« AAAAAAAHHHHHHH VAAAAAAS !!!! »


Une fois la tempête fini... Lulu se laissa aller sur le sol, tendis que Vaas continuait de la bourrer sans vergogne, voulant lui aussi finir son affaire, toutefois, lucrezia, d'une voix éreinté lui demanda une petite faveur.

« Haaanw oui... emmène moi dans... Haa... Hmmff... Un restaurant de luxe... Mais a-avant... Balance ton jus sur ma gueule... encore... hmmmpff.. »


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 89 lundi 06 mars 2017, 00:53:31

Quand on était amoureux comme lui, n’était-il pas normal de vouloir offrir à sa dulcinée le meilleur du meilleur ? Quoi de mieux qu’une soirée en amoureux dans l’un des restaurants de luxe de la ville ? Vaas savait où ils se trouvaient, et il ne voyait aucun meilleur endroit pour poursuivre cette soirée en compagnie de la Duchesse. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il était fan d’elle, mais, ; indéniablement, le mercenaire aimait le style de cette femme. Lorsqu’il était arrivé à Seikusu, il avait entendu parler d’elle, et avait, instinctivement, ressenti comme une sorte de connexion, de lien... Comme s’ils étaient destinés à être ensemble. Qui sait ce qu’une telle association pourrait donner ? Deviendraient-ils les Bonnie & Clyde de Seikusu ? L’hypothèse était séduisante, en réalité, et amusait beaucoup Vaas.

Mais, pour l’heure, il avait une priorité autrement plus importante à remplir. Libérant son membre du corps de Lucrezia, il l’approcha rapidement à nouveau. Son vit turgescent se positionna devant le visage de la femme, et il commença à se masturber rapidement. Sa queue était recouverte de la mouille de la Duchesse, qui glissa le long des doigts, huilant cette queue, permettant d’amplifier les mouvements qu’il faisait sur son vit.

« Hmmm... T-Tout pour.. Pour te servir, ma chérie ! »

Quel homme ! Galant, et tout ce qu’il fallait avec, charmant au possible. Sa main continuait à glisser sur son membre, de plus en plus fortement, jusqu’à l’approcher du point de rupture, qui était imminent, au vu de son excitation. Il tremblait sur place, et continua à pomper son dard, jusqu’à expulser d’épais filaments de foutre. Le sperme afflua depuis sa queue, et éclaboussa le visage de la jeune femme, se répandant sur elle par à-coups. Le corps de Vaas sembla se plier, tandis qu’une vague de plaisir le traversait. Il balança son foutre chaud, éclaboussant le visage de la jeune femme.

« Voilà... Oui, voilà... »

Autant dire que ça faisait du bien ! Le visage de Lucrezia était recouvert de son foutre, de sa semence chaude, qui avait fusé sur tout son visage, maculant ses joues, son front, son menton, son nez, et, bien entendu, ses lèvres. Reprenant son souffle, Vaas l’observait, sans rien dire, avec une sorte de curieuse fascination sur le visage. Quelques secondes passèrent même, avant que le mercenaire ne finisse par réagir.

« Un restaurant de luxe, donc ? Mais, pour ça, il va falloir qu’on se change, ma belle... On ne peut pas se rendre chez les fricards en étant habillés comme des clodos ! »

Et Vaas n’avait pas de smoking chez lui...

Il allait donc falloir qu’il en emprunte un, car rien n’était trop beau pour sa dulcinée, sa douce et belle Lucrezia.

DC d’Alice Korvander.

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Tags : torture psychopathe