Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Psychosocial [Vaashounet :3]

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Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 15 jeudi 24 septembre 2015, 10:12:30

Les deux Yakuzas se retrouvèrent attachés... Et nus. Vaas avait regroupé leurs vêtements dans un coin, après les avoir attachés à des fauteuils médicaux, similaires à celui sur lequel Lucrezia avait été ficelée auparavant. L’homme pouvait sentir toute la nervosité de la femme, ou, plutôt, son manque de motivation. Elle n’allait pas les tuer par plaisir, mais par nécessité. Ceci étant dit, Vaas ne comptait pas non plus les tuer pour se marrer, mais bien parce que ces deux mecs en avaient trop vu. La Duchesse et lui les attachèrent, sans réveiller les deux hommes, et, avant de les réveiller, Vaas se rapprocha de la Duchesse, et l’embrassa à nouveau, plaquant sa bouche contre ses belles lèvres pulpeuses. On aurait dit un couple de jeunes amants ne pouvant s’empêcher de se bécoter, et, encore une fois, la Duchesse put sentir son érection taper contre son bassin. Ils s’embrassèrent donc, puis Vaas s’écarta un peu, et caressa l’une des joues de la femme.

« Ne t’en fais pas, mon bébé, je sais que tu n’aimes pas ça... Mais il va falloir qu’on les torture un peu. Tu vois, le plan, il est pas très compliqué... Ces mecs travaillent pour la Grosse-Vache, Akihiro Guramu... Et Akihiro est en guerre avec les Ruskofs. Donc, tu vois, on va les amocher suffisamment pour que leur chef pense que ce sont les Russes qui ont fait le coup... Tu vois ? »

Le plan était simple, mais il allait falloir jouer un peu avec eux. Les deux hommes reprenaient cependant peu à peur leur esprit, et Vaas observait les différents outils dont la femme disposait. L’un des hommes finit par grogner en revenant pour de bon à lui, et tira sur les sangles.

« Putain, c’est quoi ce bordel ?
 -  Hey ! Mi amigo !! Tu es enfin réveillé ? T’as fait une grosse sieste, toi, dis-moi...
 -  Vaas... Espèce de foutu taré, lâche-moi, connard, ou je...
 -  Ou tu... ? Ou tu quoi, hein ? »

L’homme se tut en voyant le poignard de Vaas, un couteau qui se mit à luire. L’homme s’était retourné, et marcha vers lui.

« ’Fais pas ça... Si tu me tues, Akihiro te...
 -  Akihiro par-ci, Akihiro par-là... Tu es quoi, exactement ? La main qui lui sert à se branler ? Tu bois sa putain de pisse, hum ? Sincèrement, qu’est-ce que tu crois que j’en ai à foutre, de ce gros con ?! Mais toi, tu t’es foutu de moi... Tu me prends pour un taré, je le sais, je le renifle... Mais, hey, qui est le plus taré des deux ? Le fou ? Ou celui qui le suit ?
 -  Mais putain, libère-moi !! »

Vaas se contenta d’un sourire, et se rapprocha encore.

« Mais c’est ce que j’ai prévu de faire... »

Il posa sa main sur l’épaule de l’homme, leva le couteau... Puis l’abattit alors sur son torse, le plantant dans sa chair. Le sang jaillit, et l’homme se contorsionna sur place, en se mettant à hurler. Les coups de couteau... Une spécialité des Russes. Vaas avait planté le couteau dans sa chair, et se redressa.

« HAAAAAAAAAAAAA !!! Putain, putain de taré, bordeeelll... !!! »

Des lignes de sang coulèrent le long du torse poilu de l’homme, et Vaas alla récupérer d’autres outils, à savoir une batterie de moteur avec des pinces, et la rapprocha. L’homme tremblait sur place, tandis que son comparse était à son tour en train d’émerger.

« Putain, tu... Tu fais quoi, là ?!
 -  Je me fais mon sapin de Noël en avance...
 -  Non, fais pas ça, ‘fais pas ça !! »

Vaas posa les pinces sur le sexe de l’homme, puis s’écarta, avec un sourire.

« On dit que des stimulations électriques sur le sexe le font bander... T’en penses quoi, bro’ ? Que tu vas bander comme un putain de taureau quand je vais te griller les couilles ? »

Avec le couteau toujours planté en lui, le Yakuza serra les dents, puis lui cracha dessus, balançant un caillot de sang, en continuant à se débattre.

« VA CREVER, CONNARD !! JE TE PISSE À LA GUEULE, SALE ENCULÉ !! JE... HNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »

Vaas venait de tourner le commutateur de la batterie, le mettant à fond, et l’électricité ne tarda pas à se répandre, amenant le corps de l’homme à se trémousser sur place.

« Désolé... Mais la dame n’aime pas les hurlements... »

Il n’était cependant pas sûr que l’homme puisse l’entendre. Il continuait à se tortiller sur place, ses hurlements s’étant transformés en borborygmes, tandis que de la salive commençait à dégouliner de ses lèvres. Toute cette agitation avait eu pour effet de réveiller le second larron, qui gesticulait sur place, en peinant à retenir ses larmes. Sans en tenir compte, Vaas retourna vers la femme en latex, et lui glissa dans la main le manche d’un couteau, avant de l’embrasser sur les lèvres.

« À toi, mi Princesa... »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 16 jeudi 24 septembre 2015, 18:45:04

Durant toute la séance où vaste tortura le Yakuza, Lucrezia resta murée dans un silence presque religieux, ce contentant simplement de regarder l'homme planter puis électrifier l'un de ces deux types. La jeune femme aurait put avoir peur, elle aurait put êtres dégoutté ou au moins essayer d'arrêter la folie meurtrière de Vaas mais… Nan. Au lieux de ça, Lucrezia resta gentiment derrière ce grand-fou, prête à  lui apporter son aide en cas de besoin, un peu comme avec les chirurgiens à l'époque où notre chère Duchesse travaillait encore à hôpital. Et enfin, quand le premier des deux types claqua sur son siège, Vaas vint à ce retourner vers Lulu en lui donnant le manche d'un couteaux avant de délicatement l'embrasser sur les lèvres, un baiser qui dura plusieurs secondes avant de lentement ce rompre. Sur ce, Lucrezia hocha calmement de la tête en regardant Vaas dans les yeux avant de ce retourner vers le dernier des deux yakuza, ce dernier était apeuré et semblait être moins grande gueule que son copain ce qui, dans un sens, arrangeait Lulu.

« Bon... »

Calmement, sans montrer la moindre émotions, Lucrezia vint à s'approcher de l'homme qui était nu sur sa chaise. Dans un premier temps, la Duchesse dévisagea le yakuza de long en large, voyant alors un homme en somme plutôt banal avec un corps banal et… Une verge qui fit sourire Lucrezia de part sa taille.

« pfff… C'est ça ton attirail ? » demanda t-elle alors en soulevant légèrement la verge du type avec le bout de son couteau.
« C'est pas glorieux… »
Honnêtement, Lucrezia ne savait pas trop quoi faire, torturer des hommes c'était pas vraiment son truc, elle trouvait ça moins amusant, moins… Attractif. Cependant, elle voulait y mettre du cœur et montrer à son nouvel amant toute sa dévotion et, au lieux d'opter pour la manière « forte », Lucrezia opta pour la manière « vicieuse ».
« Mais tu sais ce que l'on dit… La taille ne fait pas tout. Tihihi ! »
L'homme ravala faiblement sa salive en regardant cette sinistre femme de latex dans les yeux, femme de latex qui, en arquant un petit sourire vint lentement poser son arme sur un petit chariot médicale qui ce trouvait à coté du lit.

« Aller… Je vais te montrer à quel point toi et tes copains vous vous trompaient sur mon compte... » Lachat elle alors en ce crachant dans les mains, avant de les frotter lui contre l'autre.
« Ne… N-ne me faite pas de mal j-je… J'vous jure que je dirais rien… Hein Vaas… T-tes un mec cool, hein… »

Lucrezia poussa un petit gloussement avant de calmement prendre la verge de l'homme en main tout en ce penchant légèrement, montrant légèrement son cul et son intimité a son compagnons de boucherie.

« Voyons… Je ne vais pas te faire de mal, regarde… ça fait mal ça ? » Soufflât t-elle alors en masturbant légèrement le Yakuza, tout en gardant un regard à la fois froid et lubrique.
« Haa… Haaa ! »
Alors, Évidemment, on était en droit de ce demander ce que Lucrezia était entrain de faire et… Et bien elle était tout bonnement entrain de s'amuser  sauf que, voilà, elle s'amuser pas vraiment de la même manière que Vaas pour le coup mais… Que ce dernier ce rassure, Lucrezia comptait nullement offrir de « bon moment » à cette petite fiotte de bas étages. La femme masturba donc le yakuza pendant… Quoi, deux à trois minutes, puis, sans dire un mot, elle grimpa à califourchon sur les jambes du type, maintenant toujours sa verge au niveau de la base. Là, la Duchesse vint a légèrement remuer sur l'homme, découvrant alors son intimité de quelque petits centimètres en remontant sa jupe.

« Hmmm… Tu veux me baiser ? Regarde… Ma grosse chatte en a bien envie elle… Haaa… Regarde... » Lui dit elle alors avant de faire tapoter le gland de l'homme contre ses lèvres baveuses, et ce, dans un bruit de clapotis pervers.
L'homme couina alors en soupirant, il ne comprenait rien à ce qui était entrain de ce passer et, dans le doute (et sûrement à cause de la peur) il resta silencieux, ce contentant simplement de gémir et de soupirer de temps a autre.
« Hmmpfff… A-arrête sale… p-pute… Haa... » Articula t-il faiblement, faisant alors sourire la Duchesse qui, légèrement amusée, vint a approcher sa bouche de l'oreille de l'homme, écrasant sa poitrine contre son torse nu.
« Moi ?… Un pute ? Naaaaa...Moi… Je suis une salope… Fuhuhu... » Lui murmurât alors Lucrezia avant de lui lécher le l'homme d'oreille. Ce sur quoi la Duchesse vint a légèrement lever son bassin au dessus de la queue de l'homme, une queue que sa bouche baveuse vint à engloutir sans mal, faisant alors couiner l'homme au passage. Ce type avait beau bander, il n'était pas du tout enchanter par la situation, pour lui, cette scène était juste atroce et, bien que Lucrezia soit une belle femme, elle n'en restait pas moins une cinglée ce qui, bien évidement ne signifier rien de bon pour ce Yakuza.
« Hmmm… Je ne sent rien baby… rien du tout… Haaa... »

Langoureusement, la femme vint a onduler sur le corps de ce mafieu et ce durant plusieurs longues minutes. Des minutes où, outre le fait d'onduler ses hanches et son cul comme une traînée (sûrement dans le but d'attiser la trique de Vaas), Lucrezia embrassa le corps de l'homme, apposant ici et là de gros suçons bien rouges. Mais… Voilà que Lucrezia attrapa d'une poigne ferme les deux tétons du type, tétons qu'elle tira et pinçât avec force en planquant sa chatte contre le bat ventre dudit type dont la verge était complètement enfouie dans lulu.

« Hmmmmgmm ! Mais merde ! Je sent que-dalle putain ! »
« HaaaAAAaAaA S-salope !!! »
« Voilàààààà baby ! Enfin tu trouve les bons mots ! Ahahahah ! »
« Pfff… S-sale tarée !!! Je… »

Cet alors que lulu vint a rapidement poser son index sur la bouche de l'homme, l'interrompant alors dans son discours.
« Attend… »
Là, lucrezia étendit son bras afin d'attraper le couteau que Vaas lui avait confié plus tôt, attisant alors les craintes de l'homme qui, après un petit moment d’héroïsmes mal placé, vint a écarquiller les yeux en tremblant sur place. Lucrezia ce cambra alors légèrement (tout en ayant la bite de l'homme en elle)
«  J'aime pas torturer les mecs comme toi… Mais même en essayant de trouver un juste milieux, ta petite bite puante ne me satisfait pas… Pfff… Quel piètre sextoys tu fait franchement... »
Cet alors que le visage de l'homme vint à ce contracter de rage, avant que ce dernier ne vienne a cracher au visage de Lucrezia. La femme, en ce recevant le glaviot, ferma les yeux… Avant de lentement les rouvrir pour mieux dévisager l'homme… Et elle le dévisagea, oh que oui ! Les deux êtres ce regardèrent pendant de longue secondes… Puis finalement Lulu vint à lever le couteau au dessus de sa tête puis… L’espace d'un instant, l'homme hurla, un hurlement qui vint alors a disparaître dans un bruit atroce… Celui d'une lame que l'on plante dans un crane, crane surlequel la Duchesse s’acharnât férocement, faisant alors grincer le fauteuil tout en éparpillant du sang partout autour de la scène mais aussi sur son corps, son corps voluptueux qui, petit à petit, vint à ce couvrir du sang de ce type. La femme soufflat et soupirer à chaque coup qu'elle portait au crane maintenant déformé de ce type sans pour autant décrocher une seule parole juste… La hargne et la violence.

« Haaa… Haaa… »

Puis… Après cet intense moment de violence, Lucrezia, qui était toujours sur le cadavre de l'homme, vint à lâcher son couteau don le bruit de la lame qui heurte le sol résonna dans toute la pièce.
« Haaa… Pfiuuu ! » Lâcha t-elle alors en s'étirant tout en passant ses mains couvertes de sang dans ses cheveux avant de finalement ce retirer définitivement de sur le siège en regardant Vaas avec un petit sourire en coin genre… Genre c'était normal.

« Alors bon beau… Tu l'a trouvé comment ta Princesa de la Muerte ? » lui dit elle alors en ce pendant a son coup avant de l'embrasse sur la bouche une nouvelle fois.

Et ouai, Lulu avait de légère notions d'espagnole !


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 17 lundi 28 septembre 2015, 10:21:28

« Voilà pourquoi elle me rend folle... Je te comprends, mon frère, je suis victime, moi aussi, tout comme toi ! Elle a le cul en feu, si tu la voyais... Tout le temps à demander qu’on la baise, qu’on lui défonce son petit cul de pute... Merde, mec, par rapport à ton pote, qui est en train de cramer comme une putain de saucisse géante, t’es verni ! »

Il n’était pas sûr que l’homme puisse entendre les commentaires de Vaas, qui s’amusait de la situation. Est-ce que Lucrezia cherchait à le rendre jaloux en se tapant ce pauvre loser ? Difficile à dire... En tout cas, le spectacle était assez sensuel, il fallait bien le reconnaître. La femme vint se dandiner sur lui, s’empalant sur sa verge, mais, avec son collègue dont la peau était en train de noircir, dégageant une atroce odeur de chair brûlé, le Guramu ne semblait guère être à fond dedans. Il grognait, gesticulant sur son fauteuil médical, comme pour se libérer de l’étreinte de cette femme... En vain, bien entendu, car il était prisonnier, fait entre les cuisses de la femme, qui s’empalait longuement sur lui. Elle soupirait de plaisir, et Vaas savait qu’elle ne simulait pas. Cette folle aimait vraiment ce qu’elle était en train de lui faire, et, lui avait fini par s’adosser contre le mur, bras croisés, ne pouvant qu’admirer ce singulier et jouissif spectacle. Il fallait bien admettre que ce spectacle était loin d’être dégueu’.

Lucrezia continuait donc à s’empaler sur cet homme, à l’embrasser, avant de s’énerver, car l’homme avait du mal à prendre son pied, ce qui l’amena à serrer les couilles de l’homme, amenant une grimace de compassion à venir sur les lèvres de Vaas.

« L’amour, ça fait mal... Je compatis, mi hermano, je compatis... »

La Duchesse enfonça cette queue aussi loin que possible dans sa pluvieuse grotte, et continua ensuite à danser, encore et encore, jusqu’à récupérer un couteau. Vaas, de son côté, se déplaça, et coupa la batterie électrique. Mieux valait éviter de provoquer une surtension... De la fumée s’échappait de la carcasse noirâtre de l’homme. Sa peau s’était craquelée à force d’être électrocuté, sans qu’il n’y ait de flammes, mais il y avait clairement une odeur de cramé, et un corps qui n’était pas très attirant... Pas sûr que même sa mère puisse reconnaître ce brave garçon.

Lucrezia avait récupéré un couteau, et mit fin à son petit jeu sexuel en poignardant l’homme. Elle enfonça le couteau dans son crâne, puis le retira, et l’enfonça encore, à nouveau, encore et encore, multipliant les coups et les attaques. Son poignard s’enfonçait rageusement, et l’homme s’agita nerveusement, sa queue toujours plantée en elle. Il s’agitait nerveusement sur le fauteuil, et son sang afflua de sa bouche, éclaboussant le visage de la Duchesse, ainsi que son corps, le sang venant peu à peu s’écouler en abondance sur le sol. Dans un crâne, il y avait énormément de sang, et ce dernier fusa comme une fontaine.

Le corps s’agita encore pendant quelques secondes, puis la Duchesse continua à le poignarder, faisant couler des bouts rosâtres de sa cervelle le long de son visage, son sang venant s’étaler un peu partout. La femme se calma petit à petit, respirant lourdement, et jeta le couteau au sol, un couteau trempé de sang. Elle s’essuya ensuite le visage puis se retourna, délaissant le cadavre affaissé de l’homme. Vaas put ainsi voir son visage... C’était comme si des mains en acier s’étaient plantés au milieu de son crâne, et l’avaient déchiré, l’ouvrant en deux comme une boîte. Des morceaux d’os coulaient sur son torse, et un bout de cervelle avait atterri sur le sexe de l’homme, tandis que son sang continuait à filer. C’était une image atypique : un homme cramé, et un autre ensanglanté...

...Et, face à lui, une femme couverte de sang, qui s’approcha de l’homme, avec une lueur épanouie sur le visage. Elle se rapprocha de lui, et, en souriant, l’homme répondit à son baiser, venant l’embrasser. Le sang de la femme heurta son torse, et elle put à nouveau sentir son érection, alors qu’elle venait requérir son avis. Le baiser dura quelques secondes, et Vaas le rompit, puis posa son front contre le sien, avant de l’embrasser là, et de maintenir ses bras contre son corps.

« Je dirais juste que... Que tu as du charme, et que tu es visiblement en manque d’affection. »

Il caressa ses joues. Les lèvres de la femme étaient encore un peu ensanglantées, et il l’embrassa une nouvelle fois, mordillant sa lèvre inférieure, et se déplaça un peu, venant plaquer Lucrezia contre le mur, le corps de Vaas heurtant le sien, l’une de ses mains venant caresser les hanches de la femme.

« Je vais soulager le feu qui brûle en toi... Car, pour être honnête avec toi, coucher comme ça avec cet homme, c’est... C’est ce que ferait une salope... Alors... Je crois que c’est comme ça que je vais te baiser... Comme si tu étais une salope... »

Sa bouche s’approcha alors de son oreille, et laissa s’échapper quelques mots :

« Tu aimes qu’on t’appelle ainsi pendant le sexe, hein ? Les jurons, les putains de mots sales, et toutes ces conneries bandantes ? »

Et, tandis qu’il parlait, son membre continuait à caresser ses cuisses.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 18 lundi 28 septembre 2015, 17:31:31

« Je dirais juste que... Que tu as du charme, et que tu es visiblement en manque d’affection. »

Suite à ces mots, l'homme vint a tendrement caresser la joue de notre Duchesse en l'embrassant ensuite avec passions, leurs lèvres venant une fois encore à s’entrelacer entre elles. En manque d'affection ou… En manque tout court ? Là question n'était pas vraiment dur à résoudre, Lucrezia étant une éternelle chaude du cul, et ce, même lorsqu'elle avait ses  périodes, périodes où, paradoxalement, notre Duchesse était plus vorace encore mais… Aussi plus irritable, la transformant alors en une espèce de salope hystérique et soupe au lait… euh… Bas en faite, il y avait pas énormément de différence avec l'habituelle Duchesse…
Le femme soupira en fermant les yeux, ondulant alors contre le mur en carrelage blanc qui ce trouvait derrière elle, elle qui était une fois encore contre le corps virile d'un beau mâle bien portant, un homme et un fou délicieux dont la verge solidement bandée venait frotter contre les beles cuisses de Lucrezia.

« Haaa… Hm... »
« Je vais soulager le feu qui brûle en toi... Car, pour être honnête avec toi, coucher comme ça avec cet homme, c’est... C’est ce que ferait une salope... Alors... Je crois que c’est comme ça que je vais te baiser... Comme si tu étais une salope... »

La femme hocha légèrement la tête en ce mordant les lèvres, offrant au yeux de Vass un petit regard mutin et soumis teinté d'une pointe de désir. Dieu que ce type donnais envie à lucrezia, malgré l'odeur de cochon cramé qui régnait dans la pièce et le sang qu'elle avait sur elle… Oui, il y a vraiment que les cinglés pour avoir de telles envies dans de telles circonstance. Mais cet alors que Vaas vint a susurrer quelque mots à l'oreille de Lucrezia qui, tout en plaçant sa main derrière la nuque de l'homme, plaqua la tête de ce dernier dans le creux de son cou.

« Oh oui… Prend moi en m'insultant comme une traînée… Je suis tus putas princesa… haaaa… » Lui murmura t-elle en venant gracieusement lever sa jambe droite le long du corps de Vaas.
« Vas-y… Demande moi ce que tu veux… Je le ferais sans broncher… mi señor~ »

Elle l'embrassa à nouveau en ce tortillant contre lui, répandant sur ses vêtement un peu de sa cyprine avant de carrément bondir sur lui en ce cramponnant a son cou avec ses bras et à son bassin avec ses jambe, en mode Koala.

« Alors mi señor… Où veux tu combler ta princesa ? » Demanda t-elle alors en l'embrassant langoureusement, enfouissant sa langue dans sa bouche en soupirant et en ce dandinant tout contre lui, sa lourde poitrine s'écrasant contre le torse chaud de l'homme.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 19 mardi 06 octobre 2015, 10:35:53

Cramer un mec avait visiblement réveillé les chaleurs de la Duchesse, qui se frottait contre lui, le corps à moitié en sang... Pas le sien, évidemment, mais celui du mec qu’elle avait violé, avant de le tuer. Il y avait d’ailleurs encore  du sang qui coulait du corps de l’homme, mais qui s’en souciait ? En ce moment, les pensées de Vaas étaient toutes tournées vers cette femme qui se frottait contre lui, en lui suppliant de venir la prendre, de l’insulter... Les mains de l’homme se déplacèrent d’elles-mêmes, venant caresser les cuisses de la femme, sous sa robe en latex. Il buvait son odeur, savourait sa peau, ce contact en latex, le sang ruisselant sur elle, la faisant ressembler à une belle glace à la fraise. Sa respiration devenait plus lourde et plus profonde, puis la femme l’embrassa à nouveau, un baiser auquel le taciturne homme répondit... Avant de soupirer en la sentant appuyer sur sa nuque, pour bondir contre son corps, venant s’y lover amoureusement.

Les mains de Vaas se posèrent sur ses cuisses, remontant, pour sentir l’absence de culotte sous cette robe en latex... Ce qu’il avait déjà pu observer en la voyant coucher avec le Guramu... Mais, maintenant, il y repensait avec un soupçon d’excitation, et remonta l’une de ses mains, s’y cramponnant sur les cheveux de la femme, son autre main allant se rapprocher de ses fesses, en caressant l’ourlet, toujours sous sa robe d’infirmière.

Usant de son buste et de ses muscles, l’homme la déplaça alors, et Lucrezia vint à nouveau heurter le mur. Difficile de comprendre comment ces deux-là avaient fait pour s’entendre, alors que Vaas, s’il avait été un peu plus raisonnable, l’aurait tué dès le début. Comment faire confiance à une telle cinglée ? Mais... C’était plus fort que lui. Les hormones, ça ne se contrôlait pas, et c’était bien eux qui parlaient en ce moment, eux qui lui disaient de la baiser, eux qui le conseillaient sur la marche à suivre, eux qui s’imposaient en lui.

La main sur ses cheveux s’était déplacée, afin d’éviter d’être écrabouillée contre le mur, et il la posa sur l’un des seins de la femme, , venant le faire sortir de sa combinaison ouverte, et embrassa brièvement le téton, le léchant, amenant ainsi ses lèvres à se couvrir de sang, ce sang qui jurait avec la peau très pâle de la femme.

« Tu mouilles tellement, ma chérie, que... Je crois qu’on va sauter les préliminaires... » grogna-t-il.

Il se redressa alors, et décroisa les jambes de la femme.

« Allez, mets-toi à quatre pattes, devant ton œuvre... Comme une sale petite chienne obéissante attendant de se faire fourrer par la putain de queue de son putain de maître... »

Sa voix était lourde, ses propres sifflants. Il la laissa faire, et palpa sa chair à travers la robe de latex, soupirant profondément, tout en jouant avec son pantalon, le faisant tomber sur le sol, révélant son vit. Son haut tomba également, et, en quelques secondes, Vaas se retrouva tout nu, son torse exhibant des cicatrices et des blessures de guerre, résultant de ses années d’exil à Rook Island. Il continua donc à palper cette chair, son membre venant se glisser sous le bord de la robe de latex, caressant la croupe de la femme, qu’il écartait avec ses pouces.

« Je vais te baiser dans tous tes trous, ma salope... Et, pendant que je le fais, tu... Enfin, entre tes hurlements de salope à la chatte en feu... Tu vas me séduire... Ouais, bébé, me séduire, putain... Tu vas me raconter... Tes meilleures fois... Avec les filles... Car j’ai bien vu comment tu bandes, ma chérie, à l’idée de torturer ces sales putes... Alors... On va faire un mélange des genres. »

Vaas sourit à nouveau, puis donna ensuite une gifle sur le cul de la femme... Puis alla ensuite poser sa main sur son sexe, et le rapprocha de sa grotte trempée.

« Oh ouais, bébé, tu vas voir, hum... Ça va être... Super... ! »

Son mandrin alla ensuite se glisser dans son vagin, et il commença à la prendre, en allant poser ses mains sur le latex de sa robe...

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 20 jeudi 08 octobre 2015, 19:56:05

« Allez, mets-toi à quatre pattes, devant ton œuvre... Comme une sale petite chienne obéissante attendant de se faire fourrer par la putain de queue de son putain de maître... »

La femme soupirât brièvement lorsque Vaas vint à la reposer sur le sol afin de lui laisser la liberté de… Ce mettre à quatre pattes. Ce que notre Duchesse alla faire, bien évidemment, juste après avoir embrasser son homme sur la bouche tout en caressant le torse de ce dernier. Lucrezia lâcha ensuite un petit rire amusé puis s'en alla d'un pas lascif ce mettre à quatre pattes comme l'homme lui avait demandé, homme qui, rapidement, vint à ce mettre à nu avant de venir attraper notre belle Duchesse par les hanches.

« HmmMMm... »
« Je vais te baiser dans tous tes trous, ma salope... Et, pendant que je le fais, tu... Enfin, entre tes hurlements de salope à la chatte en feu... Tu vas me séduire... Ouais, bébé, me séduire, putain... Tu vas me raconter... Tes meilleures fois... Avec les filles... Car j’ai bien vu comment tu bandes, ma chérie, à l’idée de torturer ces sales putes... Alors... On va faire un mélange des genres. »
« Oh oui… avec plaisir... » Lui répondit t-elle alors en ce mordant les lèvres et en bougeant ses jolies fesses.
Sur ce bref échange, l'homme s'en alla ensuite pénétrer notre charmante tueuse, gratifiant cette dernière avec une jolie petite fessée directement portée sur son jolie cul rebondi. Lucrezia poussa un bref soupir quand, lentement, son amant vint à la pénétrer en palpant continuellement les hanches fortes et amples de la tueuse. Cette dernière, dans un soucis de confort vint alors a sortir son autre sein de sa combinaison avant de doucement aller chercher l'une des mains de Vaas, guidant par ladite ladite main vers l'un de ses seins.

« Mmmh… Haaa… » soupira t-elle brièvement en tournant son regard vers l'homme tout en remuant légèrement son bassin en ce cambrant langoureusement afin de suivre au mieux les mouvement de son amant fou, ses hanches glissant alors sous les doigts dudit fou. Notre Duchesse était en feu ! Et, alors que les premier coup de reins fusèrent, Lucrezia ce mise à table… avec grand appétit ! 

« Hmmmm… haa… Je… Hmmpff… J'ai tuée ma première victimes lorsque j'était Haaancore… hmmpf ! In-firmirmière… haaa… ha… »
La femme marqua une courte pause en ce mordant les lèvres puis, elle reprit.
« Elle… hanwmmm...elle s'appelait Ashley je crois… Elle avait était admise pour un problème pulmonaire…. Haa ! Je...Hmmm… Je l'ai bourrée de drogues et j'ai abusée d'elle m-mais.. hmpff ! Je… Je j'ai commencée à éventrer mes victimes Haa… a-après ma fuite de l’asile, hmmm putain ! »

La femme soupirait lourdement sous les coup de butoir de Vaas, toutefois, cela ne l’empêchait pas de parler ni de ce dandiner joyeusement sur la queue de ce bel homme <3.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 21 mercredi 14 octobre 2015, 10:21:32

Et c’était parti pour leur rodéo ! Une alchimie classique, une danse ancestrale, un couplet simple, régulier, et ô combien fascinant. Position né dans le dos de cette femme, Vaas n’avait que des raisons de bander. Tout ça, c’était... Dingue ! Et, bon sang, ce qu’il pouvait adorer ça ! Ce sentiment grisant de liberté, de joie, de plaisir exquis... Les gens le prenaient pour un barge, mais, lui, il pensait que c’était ce monde qui était fou, ce monde avec sa logique d’automates, ce monde où tout devait être mécanique, ce monde où, plus généralement, l’être humain appelait à la mécanicité du comportement, au conformisme de la société. C’était un monde chiant, tout simplement, un monde dans lequel Vaas n’avait aucune envie de vivre. Lui voulait se revendiquer libre, et c’était bien ce qu’il faisait. Le brave homme besognait le corps de cette femme, remuant d’avant en arrière, et, quand il sentit l’une des mains de la femme venir saisir la sienne pour la poser sur son sein, sa main se crispa dessus, et il continua à remuer en elle, son membre s’engouffrant dans son corps, disparaissant dans sa peau.

On pouvait l’entendre soupirer lourdement, son corps se perdant contre le sien, et elle se mit ensuite à parler, adhérant à son idée. Lui s’engouffrait en elle, et il fallait bien admettre... Que c’était bon. Vaas n’était guère un homme recommandant la chasteté sexuelle. Rien de tout ça, en réalité. Diable, il adorait baiser ! Défoncer des culs, prendre des femmes, sentir leur beauté, la douceur et les courbes du beau sexe, entendre les gémissements et les soupirs... Ouais, ouais, ça, c’était bon ! Il continuait à se perdre en elle, son sexe disparaissant dans son corps, d’avant en arrière, et il continuait à remuer, là, encore, encore...

« Haaa... »

Cette femme avait un sacré cul ! Il pouvait le sentir à travers ses doigts, et sentir ce plaisir inouï... Ça lui rappelait tant de bons souvenirs... Et, au milieu de ses gémissements, la femme se mit à parler, racontant son premier souvenir... La fois où, en tant qu’infirmière, elle avait violé et tué une patiente, Ashley. Le tableau était intéressant, mais... Il manquait de consistante. Dommage, Vaas aurait aimé en apprendre plus. Il remuait en elle, encore et encore, s’enfonçant dans son sexe, s’unissant, tandis qu’elle continuait à parler.

« Hum... C’est intéressant, ma chérie, mais... »

Il gifla alors ses fesses, tout en pinçant son sein, puis se pencha vers elle, son torse venant heurter son dos, et il mordilla son cou.

« Des détails, ma chérie, des détails... »

Ce n’était pas compliqué à comprendre... Il se redressa ensuite, et recommença alors ses coups de reins, allant toujours plus fort dans ses mouvements...

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 22 mercredi 21 octobre 2015, 21:13:37

Et voilà… Une fois encore la machine était lancée, une machine solide et brutal comme lulu les aimaient. Notre tueuse pouvait aisément sentir la verge de cet homme ce perdre en elle dans un rythme délicieux et fort à la fois, un ensemble contradictoire mais c'était ça le sexe, un mélange de plaisir et de violence qui aboutissais toujours (ou presque) à un orgasme. Ce Vaas était plutôt bien bâtit, notre tueuse pouvait le sentir ça aussi et elle ne doutait pas une seule seconde qu'il était capable d'être encore plus brutal. Lucrezia soupirait lourdement sous les coups de butoir de ce bel homme qui la surplombait magnifiquement en la prenant comme un animal.
Notre Duchesse était donc à quatre pattes, légèrement cambrée tendis que sur son visage  l'expression était parfaitement lisible. Lucrezia avait les trait légèrement contractés et elle ce mordait les lèvres de plaisir, son corps avançant légèrement à chaque vas et viens de Vaas en elle,  faisant alors bouger rebondir ses opulents seins.

« Hmmmpfff ! Aaaah ouii ! Hmmm… » Soupira t-elle alors en levant les yeux au ciel avant des les refermer en soufflant de plus belle tout en griffant le sol.
« Hum... C’est intéressant, ma chérie, mais... »
L'homme allât ensuite claquer le cul de Lucrezia, faisant alors vibrer ses chair à la fois molles et ferme dans un claquement parfaitement audible puis… Il reprit.
« Des détails, ma chérie, des détails... »

Il voulait des détail ? Lulu ça la dérangeait pas outre mesure mais… Voilà quoi, c'était pas lui qui était entrain de ce faire ramoner les cuisses alors les détails… Voilà quoi, fallait les sortir. Toutefois, comme lulu est une bonne chienne obéissante, elle ravala bien vite sa salive afin de reprendre là où elle en était.

« Hmpff… Ha-Ha… Je me souviens de.. Hmm-Haa… D-d'une petite… hmm… Haaan… Une petite française je crois… Une touriste, hmmMm… Ouii, c'est bon comme ça… continue à cette cadence ! Hmmpff ! » Soupira t-elle alors en remuant légèrement son bassin avant de ce remettre à parler de sa voix chaude et sensuel. « Haaa… ouii… Hmm ! J-je me souviens qu'elle avaiat perdue son chemin et qui… Hmpff… Que je suis venue à elle assez n-haaaaAAnnnTuuurelemhaaAAAaan oui putain !! Hm ! I-il lui a suffit d'un moment d'inattention pour.. hmmm ! Pour que je l'assomme avec une bouteille de whisky que j'avais bue et avec laquelle je… hmmm putain… Je m'était masturbée avant. Ensuite Hmmm… Je l'ais trainée dans un vieille abattoir désaffecté… hmmmaaa ! Et là… Je l'ai violée longuement en position du ciseaux HaaaAAa-vant de commencer à la mutiler de partout hmmm ! A-avec un scalpel. Une f-f-fouUuuhouaaaaAA que j'eu j-jouie je l'ai suspendue à un vieux crochet de boucherie rouillé et.. ; Hmmhaaan… Je l'ai vidée comme une truie.. hhAAAaaa… j'ai répendue ses boyaux partie et je me suis doigter juste en dessous de son son cadavre qui-qui haaAAAAAAAAaa !!!! Qu-qui… Ha put… Hmmm ! Qui pendait comme une vieille pinata qui aurait crachée ses bonbon fabuleux.. hAAaa oui… C'est ma putain de french pinata… Han-enfin je crois… hmmm... »

Lucrezia éprouvait un immensse plaisir à raconter ses petites saloperie, ce type c'était un peu son confident, un beau confident bien musclé et virile qui pour une fois, ne risquait pas de l'emmenait en taule ! Ce type était juste… Parfait. Oui… Lulu le trouvait super ce mec car pour la première fois, elle avait trouvée quelqu'un avec qui baiser et tuer en même temps…. Enfin… première fois, c'était totalement vrai car lulu avait déjà fait la rencontre d'une autre tueuse, une gamine du nom de chainsaw qui entretenait avec lucrezia une relation étrange car, si Chainsaw de toute évidence semblait aimer lucrezia, lucrezia, elle, en avait un peu… Pas grand-chose à faire. Quand elle avait baisée avec elle, Lucrezia avait eu l'impression de niquer avec un cadavre vivant, sauf qu'il n'y avait plus rien d'amusant à ça, alors ok, il arrive à lulu de refaire l'amour au femme qu'elle vient de tuer mais là, avec chainsaw c'était… Étrange, c'était comme ci il y avait deux aimant dans la tête à lulu, des aimants qui à la fois s'attire et ce repousse, une sorte de puissant paradoxe qui empêchait lulu d'aimer complètement cette jeune tueuse qu'était chainsaw. Alors bon, lulu ne détestait pas chainsaw, hein, c'est juste que… Enfin, c'est Lucrezia quoi.

Pour l'heure, notre Duchesse était bien trop occupée à ce faire labourer pour penser à elle de toute façon. Nan, là, ce qui comptait, c'était lui : Vaas, ce grand fou ténébreux qui,pour sur, allait faire vivre à lulu de bien belles aventures <3.
« Modifié: lundi 26 octobre 2015, 10:07:27 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 23 mercredi 28 octobre 2015, 17:31:24

Des détails, des détails ! La pauvre... Elle comptait juste se faire tringler joyeusement, et voilà que le salopard dans son dos lui demandait de réfléchir, de se concentrer, de faire appel à des souvenirs... Mais, hey, c’était encore plus excitant comme ça ! L’amour, c’était des mots, après tout. Communiquer, c’était important, et Vaas aimait parler avec ses partenaires. Et, en toute franchise, sur une échelle de 1 à 10, il avait rarement eu des amantes dépassant le 6 ou le 7, mais Lucrezia, là, cette petite beauté bien roulée avec sa combinaison en latex, elle venait d’emblée de taper entre 8 et 9. Le 10 était encore très virtuel, car, après tout, il fallait bien se le dire, la perfection n’était pas de ce monde. Seul le Seigneur pouvait être de niveau 10, et, si Dieu était une femme, nul doute qu’elle serait la plus baisable des nanas. Mais, pour l’heure, Vaas se contenterait volontiers de Lucrezia. Qui aurait cru qu’il aurait pu tomber sur une si belle nana dans ce trou pourri ? Ah, Seikusu était une ville merveilleuse !

Il écouta donc la femme parler. Cette dernière avait du mal à s’exprimer, ce qui était d’autant plus vrai que Vaas ne cherchait guère à la ménager. Elle-même lui avait dit de ne pas diminuer les coups de reins. Sa queue lui faisait atrocement mal, car le cul de cette salope de latex était étroit, bien serré, serré comme le foutu cul d’une nonne, et Vaas avait donc mal... Mais, loin de le restreindre, cette douleur ne faisait que l’exciter davantage, lui donnant envie de la baiser encore plus fort.

« Oh, t’en fais pas, ma chérie, hummm... Pour rien au monde, j’arrêterais la cadence, baby... »

Vaas continuait à la prendre, savourant ce moment. Le sexe... Simple, efficace, puissant, passionnel. Il adorait ça. Ouais, clairement... Et encore plus avec une femme face à qui il se sentait lié. Rien à voir avec ces pisseuses qu’il se farcissait sur Rook Island, qui hurlaient et piaillaient sans arrêt. Elle, elle avait quelque chose... Elle raisonnait sur la même longueur d’onde que lui, et, tandis que l’homme la sodomisait, elle lui racontait la manière dont elle avait violé et torturé une touriste, lui ouvrant les tripes après l’avoir violé. Vaas imaginait un corps suspendu à des crochets, avec son ventre s’ouvrant en deux, vomissant sur le sol ses intestins, comme une sorte de grosse vache qu’on aurait ouverte en deux. L’image ne manquait pas de piquant, et il sourit...

...Puis termina les explications de la femme en administrant sur ses fesses une délicieuse gifle, une belle claque qui résonna dans la pièce.

« Haaaa... J’aime ton... Hummm... Ton sens de la mise en scène, ma chérie... Oh ça oui, putain, haaaa !! »

Il respirait lourdement, ses mains se crispant encore sur sa chair, déformant le latex, et il continua ses coups de reins. La tâche devenait de plus en plus facile, car le cul de la Duchesse se faisait à son sexe, et il continuait à filer en elle.

« Ha-ha-ha-ha, putain, ouais !! »

Vaas se mettait à rire en la prenant, sans qu’il soit vraiment possible d’en comprendre les raisons. C’était l’image, l’image de cette Française ouverte comme une huître. C’est ça qui le faisait marrer, car les Français étaient friands d’huître, et, là, cette image, il imaginait cette Française comme une grosse huître à qui on venait d’ouvrir le ventre pour en extraire tout le jus.

« T’es... T’es une foutue artiste, ma chérie, et... Hum... J’adore ça... ! »

Rien que pour ça, ça méritait bien de la sodomiser. On disait qu’il n’y avait rien de mieux qu’un orgasme anal.

Ce serait l’occasion de vérifier cette théorie.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 24 dimanche 01 novembre 2015, 15:55:09

La sodomie… Voilà un acte que lulu adorait profondément et ce, dans tout les sens du terme ! Notre Duchesse aimait sentir au seins de son fondement le sexe d'un homme, mais aussi tout une tas d'autre choses ! Il suffisait de voir le nombre faramineux de plugs et de jouet anaux que lulu posséder pour comprendre que la sodomie était l'un de ses fétiches sexuel les plus poussés.
D'ailleurs, Vaas, à ce moment précis, devait sûrement être entrain d'en prendre conscience, au vus de comment Lucrezia ce trémoussait sur son vit tout en lui lançant d'innombrables regards par dessus son épaules, des regards qui mélangeant douleur et plaisir. Les mains de notre tueuses ce crispaient à chacun des vas et viens de son amant en elle, des vas et viens qui, au fur et à mesure ce faisait deplus en plus intenses et fort, le sexe de l'homme allant alors ce perdre dans les entrailles de Lucrezia en s'enfouissant dans ses belle fesses bien rondes et bien dodues, fesses que Vaas n'hésitait pas une secondes à giflait, faisant alors vibrer la chair de notre tueuse au cheveux bleus. 

« HgmMm ! Haaa ouiii ! Encule moi comme ça… Hmmm ! »

Lulu en avait des frissons ! Et comme pour attiser la flamme de son amant, la duchesse ce mit a ce masturber, suivant alors la cadence donnée par Vaas. Lucrezia alla donc caresser sa fleur du bout de ses doigts gantés de latex, imprimant tout d’abords un geste circulaire au niveau de son clitoris, avant de finalement ce mettre a enfoncer son majeur et son index dans son vagin dégoulinant de cyprine. Et pendant qu'elle faisait ça Lucrezia continuait de bouger son cul sur le mat de l'homme, comme pour l'exciter encore plus, offrant a ce dernier un autre regard fiévreux et suave par dessus son épaule.

« Haaa… HmmMm… HaAaAan ! »

Petit à petit, Lucrezia sentait le plaisir monter en elle, plaisir décuplé par sa masturbation couplée a cette délicieuse et folle sodomie ! Le cul de notre Duchesse était maintenant bien habitué à la queue de son amant, encerclant cette dernière bien comme il faut, ce qui, à n'en pas douter, devait offrir bien du plaisir à l'homme qui, à présent ne ce retenait plus du tout ! Vaas labourait sèchement le cul de notre tueuse qui ce mit à gémir et à couiner de plus en plus sous tout le plaisir qu'offrait ce moment de sexe intense.

« HaaaaaAAaA !! Han ouii ! Ou-oui ! HmmmM !!! Je sent que ça viiii-hmmmpff ! »

Le visage de Lucrezia vint alors a ce crisper tendis qu'elle ce mit a serrer les fesses afin d'offrir plus encore de plaisir à Vaas et… Et à elle, bien sur ! Notre Duchesse ne voulait pas jouir avant lui, elle voulait un belle orgasme simultané, car, après tout, n'était ca pas là leur premier acte sexuel ?   


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 25 dimanche 08 novembre 2015, 16:28:44

La simple levrette avait mué en sodomie quand Vaas avait retiré son sexe, et l’avait envoyé dans un autre trou. L’homme en avait vaguement pris conscience, car la résistance était devenue d’un coup bien plus forte... Mais, fort heureusement, la Duchesse ayant l’habitude de se sodomiser toute seule, ses parois anales se détendirent et s’écartèrent assez vite. On sous-estimait bien trop les capacités d’adaptation du corps humain, et, peu à peu, les deux amants ne devinrent plus que ça. Plus la peine de séduire l’un ou l’autre, ils se contentaient de baiser, comme deux animaux en rut, en oubliant pendant un temps le reste. Les deux cadavres qui gisaient à côté d’eux, l’odeur de brûlé qui continuait à remplir l’air, ou cette ganguro toujours ligotée, et qui, en tendant l’oreille, pouvait entendre les hurlements de plaisir de Lucrezia, comme une sorte d’ultime provocation envers cette dernière.

Vaas remuait donc dans son cul, mains crispées sur sa robe de latex, et... Ah, diable, c’était si bon ! Il bandait dur, tout en continuant à s’enfoncer en elle, à défoncer ce petit cul de salope. Elle gémissait, couinait, et lui grognait, soupirait, de la sueur glissant le long de son corps. Son membre était endolori par les frottements sur le corps de la femme, mais ce n’était pas pour le déranger.

« Hummm... »

Respiration lourde et profonde, Vaas continuait à jouer en elle, la sodomisant avec énergie. Son corps se courbait lentement vers l’avant, et il savourait ce corps. C’était curieux à dire, mais il n’aurait jamais cru que le latex puisse être si excitant. De base, Lucrezia était déjà d’une grande beauté, avec son corps lourd, ses hanches solides. Elle n’avait pas une taille de guêpe, une taille de mannequin anorexique, mais c’était ça qu’il aimait... Les femmes fortes, qui, tout en étant solides et musclées, continuaient à être d’une grande beauté. Et Lucrezia était dotée d’un magnifique habillage, avec cette tenue noire moulante, brillante et fascinante. Ses mains se crispaient dessus, et, quand il la prenait, quand il l’enculait, il pouvait sentir tout ce latex crisser sous ses doigts, provoquant de délicieux bruits. Une magnifique ambiance sonore.

Tout simplement, Vaas avait rarement eu autant plaisir à sodomiser une femme, ou, plus généralement, à coucher avec une femme. Dieu, cette séance de baise était... Ah, divine ! Il adorait ça, tout simplement, et l’homme continuait à la prendre, encore, encore et encore, avec force, avec rage, la douleur le motivant, ses mains venant régulièrement gifler la femme, ou, plutôt sa croupe.

« Oh ouais, ma chérie, haaa... T’as un de ces culs, ma beauté, hum ! »

Que vive Seikusu ! L’homme était en train de continuer à la prendre, encore et encore, son membre s’enfonçant profondément en elle. Il se perdait jusqu’à la garde, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, dessinant un mouvement simple et compréhensible. Et lui était aussi excité que la femme. Il y avait bien trop longtemps qu’il n’avait pas eu l’occasion de coucher avec une femme, et, mine de rien, c’était quelque chose de délicieux

Il continuait donc à la prendre, le plaisir croissant, croissant... Jusqu’à atteindre le point de rupture. Vaas ne se fit pas prier longtemps pour jouir, et, après plusieurs minutes à labourer le cul de cette femme, son mandrin se contorsionna, et expulsa en elle des filaments de foutre, l’homme soupirant profondément, en sentant tout son corps se détendre, des pieds à la tête.

« Oh putain !! s’exclama-t-il, tout en inondant le cul de sa dulcinée de son foutre. Ouais ! Ouais ! OUAIS ! »

Ça, ça faisait du bien !

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 26 lundi 23 novembre 2015, 14:04:12

Finalement, après plusieurs longues et délicieuses minutes de sexe intense, Vaas vint enfin à jouir dans le cul de notre charmante Duchesse. Un orgasme qui, bien évidement, entraîna celui de Lucrezia avec lui, faisant alors vibrer cette dernière de plaisir. Notre charmant tueuse en série était au anges, cet homme là… C'était comme un prince charmant, son prince charmant à elle, un homme qui ne la jugerais pas et qui s’amuserait avec elle sans jamais risquer de la balancer au autorités.
Ce type était au moins aussi barré qu'elle, voir plus, il était beau gosse et puis, avec son petit accent là, lulu le trouvais drôle et ce, malgré le petit coup de gueule qu’il avait eu. C'est donc dans un grand râle de plaisir que Lulu vint à jouir à son tour, son corps ce cambrant sous le plaisir immense que lui procurait le mandrin de son amant. La jeune femme remua légèrement son bassin, faisant alors crisser le latex de sa robe, robe que Vaas semblait ne pas vouloir lâcher au vus de comment il ce cramponnait au hanche de lucrezia.

« HmmmMM… Haaa... »

Lentement, le corps de notre duchesse vint à ce détendre. Elle était en sueur, sa respiration était forte, lourde mais… Un immense bien-être l'emplissait et, au fond, c'était bien là la seule chose qui comptait. Lucrezia remua légèrement ses jolies fesses rondelettes afin d'extirperla queue de son amant de là, cette dernière glissa rapidement dudit endroit, laissant de son passage une  traîné de foutre sur l'une des miches de la tueuse.

« Haaa… On peut dire… Haa… Que tu sais combler une femme toi <3 »

En disant cela, Lucrezia avait tournée son regard vers son amant, avant de langoureusement déplacer l'une de ses mains vers son fondement, enfouissant par la suite trois de ses doigts dans ce dernier afin d'extirper le délicieux nectar que Vaas avait laissé là, nectar qu'elle porta ensuite à sa bouche avec un air gourmand au fond des yeux.
Une fois cela fait, la femme avala le sperme de son amant avec gourmandise en gardant au bout des lèvres un sourire joueur. Elle était impatiente de connaitre la suite du programme, dans ça tête, Lulu avait plusieurs idées mais, comme d'habitude avec un homme, elle aller laissait le choix à son partenaire.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 27 vendredi 27 novembre 2015, 13:11:01

Vaas était un homme vigoureux et fort, mais ce n’était pas pour autant qu’il n’avait pas connu de panne sexuelle... S’il devait faire un Top de toutes ses prestations sexuelles, celle qu’il venait de faire en ce moment méritait bien de figurer en place numéro deux, tant ça avait été... Bon. Putain, ouais ! Il avait bandé comme un foutu taureau, et avait joui dans le cul de cette salope après l’avoir baisé royalement, en mode grand-seigneur ! Merde, quoi ! Vaas en suait de partout quand il se retira du cul de cette femme. Qui aurait cru que le latex aurait pu autant le faire bander ? Mais il n’y avait pas que ça... C’était tout un ensemble, cette femme dans tout ce qu’elle avait. Une psychopathe, une tueuse, une prédatrice, comme lui, disposant en plus d’un très bel emballage cadeau... Et d’un corps très agréable. Si Vaas n’avait pas réussi à la baiser, c’est qu’il était pédé !

Il la vit alors se masturber le cul, pour boire son foutre, qu’il avait laissé en elle. La Duchesse semblait avoir encore envie de se faire baiser, et, à bien y réfléchir... Même malgré sa fatigue, Vaas avait une belle érection aussi, et, devant cde spectacle insolent, se mit à se masturber légèrement. Il fallait néanmoins bien admettre que sa queue avait bien diminué. Une chose inacceptable... Il reprenait son souffle, tout en voyant la femme le regarder. Elle attendait la suite, dans une posture assez soumise.

*’Va falloir t’y habituer, Vaas, c’est toi l’homme...*

Un couple... L’idée était atypique et amusante. Un couple relativement instantané, car ils n’avaient pas attendu longtemps avant de s’envoyer joyeusement en l’air. D’un autre côté, ensemble, il y avait peu de risques qu’ils finissent par se trahir, car, à bien les regarder, il était difficile de dire lequel des deux était le plus cinglé. Aucun des deux n’avait donc intérêt à aller saisir les flics... Mais, d’un autre côté, de tels individus pouvaient-ils vraiment comprendre ce qu’était l’amour ?

Vaas soupira lentement, et baissa les yeux sur son sexe.

« J’espère que tu ne comptes pas te reposer vite, poupée, car la nuit ne fait que commencer... »

Il désigna sa queue, et reprit :

« Viens me sucer, chica, rends à ma queue la taille qui t’a fait hurler comme la dernière des putes... »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 28 lundi 30 novembre 2015, 14:57:02

« J’espère que tu ne comptes pas te reposer vite, poupée, car la nuit ne fait que commencer... »

Lulu ? Ce reposer ? Alors qu'elle venait juste de ce faire enculer ? Ahah ! C'était là bien mal la connaître notre Duchesse que de croire qu'une simple sodomie pouvait la fatiguer ! Lucrezia était une véritable endurcie du cul, une pervenche qui avait un sacré paquet de kilomètre péniens derrière elle et bien que cette sodomie ais était fort musclée, elle en avait connue des bien plus féroces*.
Mais… Finalement, Vaas, au lieu de remettre directement le couvert, ce mit a pointer sa verge du doigt avant de demander à notre Duchesse de lui rendre sa taille d'origine et ce, à l'aide de sa bouche… Une fellation donc, un domaine dans lequel notre tueuse excellait !

Lucrezia vint alors à ce retourner face à vaas, avant de ce mettre en position accroupie car, avouons le, à genoux, notre pauvre duchesse aurais du mal . D'ailleurs, lulu avait toujours au fond d'elle cette petite anecdote qui est que, un jour, à l'époque où elle était encore une jeune étudiante en médecine, elle c'était lancer le paris de rester toutes une après midi en compagnie de trois jeunes infirmiers (plutôt séduisant) fan de jeu vidéo en ligne. Mais… Les trois  hommes n'était pas dans un bon jours cet après midi là et lulu, en bonne collègue de travaille avait due jouer de ça bouche pour faire redescendre la pression et encourager ces trois valeureux paladins. Malheureusement ? Elle n'avait pas prévus de genouillères et… Avait due vider la moitié d'un tube de crème apaisante le soir même.

Mais bon, bref, revenons en à lulu. Cette dernière, une fois accroupie vint à gracieusement écarter ses cuisse en gardant les yeux rivés sur le mandrin de son amant, puis, délicatement, elle le prit en main, le masturbant alors avec expertise.

« Hmmm… Je pourrais certes sucer cette belle queue mais… Je sais pas… Mes pipes sont une choses qui mine de rien ce mérite et... en générale, j'aime les faire jusqu'au bout. »

Comprenez par là, « je veux m'en prendre plein la gueule », hors, Vaas voulait seulement raffermir son petit soldat, en vus d'une autre baise en bonne et due forme du coup… Lulu opta prudemment pour une autre alternative, après, libre à Vaas de dire ci oui ou non il voulait que ça continue. Cet ainsi que Lucrezia, tout en continuant de branler le mat de son amant, ce mit a lui sucer les bourse, faisant alors tourner sa langue sur celles-ci l'espace d'une petite minute puis, lentement, la jeune femme vint a ce redresser légèrement tout en prenant sa poitrine en mains et hop ! Elle vint a enfouir le sexe de l'Homme entre ses seins, seins qu'elle ce mit alors a faire rouler sur la belle verge de son homme tout en gardant au fond des yeux une lueur espiègle et amusée.

« Hmmm aller… n'est ce pas agréable une bonne cravate ? Hm ? »

La jeune femme esquissa alors un petit sourire, avant de baissait la tête pour venir embrasser le bout du gland de son amant.



* Nous retiendrons notamment son cassage de cul avec nathan et sa sodomie à sec avec ulrik  ::)


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 29 vendredi 04 décembre 2015, 20:27:43

À côté de leur trophée, les deux amants continuaient à joyeusement s’envoler en l’air, comme s’ils étaient une variante du putain de couple de Bonnie et de la putain de Clyde... Et merde, que c’était bon ! Quand il vit la femme caresser son sexe, Vaas en frémit légèrement. Son esprit était rempli de ce magnifique latex, de cette sensation, de ces délicieux crissements, de ce corps lourd et souple... La Duchesse avait toutes les qualités du monde pour plaire à un homme tel que lui... Pour plaire à n’importe quel homme, en fait ! Aux chiottes, les putes anorexiques ! Les mannequines qui pensaient que la beauté consistait à avoir le moins de kilos possible sur le cul ! Elle, elle était... Juste parfaite !

« Ah, chérie, tu me fais rêver, putain ! Haha ! »

Elle ne voulait pas d’une fellation sans boire de crème, la belle salope ! Mais pourquoi pas... Vaas allait devoir se surpasser pour la contenter, mais... Ladies first, comme on disait chez les mangeurs de Big Mac. Il fallait savoir se forcer pour ces dames, mais, avant de s’attaquer à sa bouche, la femme avait une autre option, et glissa son sexe contre ses lourds seins. Ah, la vache ! Quelle vue ! Madre de Dios ! Il en aurait chié des pendules à voir cette belle femme se dandiner contre sa verge. Ses seins étaient d’une douceur incroyable, son sexe s’y perdant avec délice, sa verge tendue glissant contre ses beaux mamelons, remuant dans tous les sens, soulagée d’être ainsi choyée et câlinée. Cette belle beauté savait y faire, et elle tenait à le lui montrer, agissant avec talent et envie.

Peu à peu, l’érection du brave Vaas s’accrut, ce dernier se mettant à légèrement soupirer, sa main venant caresser les beaux cheveux bleus de cette belle femme sexy... Des soupirs profonds et courts s’échappaient de ses lèvres, son membre regagnant sa dureté et sa raideur naturelle.

« Agréable ? Hey... Sacrément bandante, ouais, mi Princesa... »

Sa respiration devenait plus hachée, au fur et à mesure que l’excitation pointait en lui, et ses mains se crispèrent sur les cheveux de la femme.

« Ouais... Je vais te décorer de ma crème, ma chérie... Puis je te baiserai la gueule, bien profond... Ouais, ouais, ça, ça me branche ! HAAAAA... Ouuuaaaaaiiiis, puuutaaaiiinnnn !! »

Il se mit à crier, la tête penchée en arrière, tout en éclatant de rire en même temps, alors que ses doigts continuaient à se crisper sur les cheveux de la femme, tirant parfois un peu dessus.

Ouais, la nuit était loin d’être finie !

DC d’Alice Korvander.

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