Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Psychosocial [Vaashounet :3]

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 60 jeudi 11 février 2016, 17:06:31

Lucrezia masturba donc son amant durant plusieurs longues et délicieuses minutes avant que ce dernier ne finissent par jouir abondement sur ses pieds. Pieds que l'homme ce mit ensuite à nettoyer du bout de sa langue, un acte qui surpris quelque peut Lulu mais qui, avouons le, ne lui déplaisait pas le moins du monde. La femme observât ensuite son amant avec un léger sourire en coin avant de lentement ce laisser glisser le long du siège, ce retrouvant alors au dessus de Vaas, à quatre pattes.
« Hmmm Je sais pas… Monsieur le mercenaire, hmuhu ! »
Et hop ! Voilà que la jeune femme volât un autre baiser à son homme avant de faire frotter son  nez contre le sien. Lucrezia n'avait pas beaucoup plus d'idée que Vaas et, l'espace de quelque secondes, elle observât passionnément son amant avec un regard toujours teinté d'une pointe de domination. Mais… Très vite, les yeux de notre charmante duchesse vinrent à ce lever vers la table de laquelle dépassait le bras de la ganguro, bras que lucrezia ce mit à tapoter légèrement.
« Eyh… Tu vie encore toi ? »


Bien évidement, la pauvre femme n'était pas en état de répondre et, sentant l'heure de cette demoiselle approcher, Lucrezia ne put que délaisser son amant alors même qu'ils étaient tout deux en bonne voie pour un autre coït. Cet ainsi que notre luxurieuse meurtrière vint à ce ré-asseoir à califourchette sur sa victime, palpant ensuite les gros seins de la femme avec acharnement et… curiosité.
« hooo… C'est pas naturel ça… Attend voir... » Et hop !, Lulu mit plusieurs petites tape au deux seins de la ganguro avant de prendre un petite mine faussement boudeuse. « Hmm… Nan… C'est clairement pas naturel. Dit moi tout… C'est les yakuza qui te les ont payés ? »
Sur ce, Lulu vint alors à faire jaillir sa propre poitrine de son uniforme, poitrine quelle massa d'une main tout en continuant de masser l'un des deux seins de la pute qui ce trouvait au dessous d'elle, dans le but de « comparer » un peu.
Et… Oui, cette femme c'était faite refaire ! Et, au fond, c'était pas trop surprenant non plus. Les yakuza avait très souvent recourd à ce genre de choses, pour plusieurs raison d'ailleurs ! Le principale étant bien souvent pour ce mettre une futur pute dans la poche, généralement les guramu (et les autres clans) recherche des nanas un peu paumée et superficiel et leur offre une foule de choses avant de lentement les attirer vers le bas pour qu'elle devienne des putes et, parmi toutes ces « choses », il y les prothèses mammaires… Enfin, pour les nanas qui son un peu trop plates.
Fort heureusement, Lucrezia, elle, jouissait depuis toujours d'une poitrine très opulente ! On peu dire qu'elle en est fière de ses obus notre lulu, oh que oui ! Tellement fière qu'elle ce mit à les soupeser joyeusement quelque seconde, avant de regarder vaas dans les yeux tout en reprenant en main son scalpel.

« t'as déjà vus des prothèses ? C'est… Marrant... »
Une fois encore, Lucrezia fit furtivement passer sa langue sur sa cicatrices puis, avec un dextérité affolante, la tueuse vint à faire une large incision au niveau de la base du seins de la ganguro, avant de plonger sa main dans ladite incision avant d'en extirper une sorte de grosse boule vaguement blanche/transclucide, boule qu'elle agita ensuite devant vaas avec un sourire joueur.

« éhéh… C'est tellement bidon comme truc...beuark… T’imagine si ça éclate à l'intérieur ? Genre… J'ai déjà crever un de ses truc et… il y a une sorte de gel tu vois… Ahaha ! C'est fou la médecine ! »


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 61 jeudi 11 février 2016, 19:09:24

Qui oserait nier de toute la galanterie de Vaas, maintenant ? N’était-il pas, à sa manière, un homme charmant, aimant, et dévoué ? Il avait léché et embrassé les pieds de Lucrezia comme si elle était sa princeza… Car c’est ce qu’elle était, tout simplement. Vaas se redressa ensuite, en constatant que la Duchesse était retournée s’occuper de la femme, et ne put s’empêcher de faire une grimace quand elle la mutila à nouveau, arrachant aux silencieuses lèvres de la femme un vain soupir de douleur. Elle avait retiré la silicone, et le sang ruisselait le long de la poitrine de la femme.

« Ouw, ça a dû faire mal, ça… »

Elle lui montra le bout de plastique, une sorte de gelée blanche sanguinolente, et Vaas s’approcha lentement, se glissant dans le dos de la femme. Ses yeux étaient terrorisés, et semblaient supplier qu’on mette fin à son calvaire.

« Ouais… Y a pas à dire, bébé, t’es douée avec ton bistouri… »

Vaas se rapprocha à nouveau d’elle, et déposa un baiser sur ses lèvres, soupirant contre elle, serrant son doux et chaud corps contre le sien. C’était plus fort que lui, cette femme l’excitait à la folie, réveillant dans le corps de Vaas des élans d’amour et d’affection.

« Y a pas à dire, c’est vraiment dégueu… Regarde-moi, chérie, t’es beaucoup moins baisable, maintenant… On a fait des folies sur ton corps, mais il faut nous pardonner, c’est la passion et la folie des gens heureux qui fait ça ! »

Le mercenaire offrit à la ganguro souffrante un sourire particulièrement moqueur, comme s’il venait de dire une bonne blague, puis planta soudain son couteau dans le corps de la femme, pile entre les deux seins. La ganguro écarquilla les yeux, et cracha du sang supplémentaire depuis ses lèvres tuméfiées, puis Vaas  retira le couteau, et la planta à nouveau, à quelques centimètres du corps de Lucrezia, soit à hauteur du ventre, puis le sang jaillit à nouveau, et il entreprit ensuite de poursuivre l’incision. Le sang affluait dans tous les sens, et on put voir le corps de la ganguro se tortiller, se débattre.

Et, pendant que Vaas l’ouvrait en deux comme un gigot, il y allait de ses petites anecdotes :

« T’sais, bébé… J’viens d’une île… Une île avec un volcan très élevé, et… Pas mal de grottes. Une fois, j’ai été coincé dans un éboulement avec… Un type. La grotte était instable, on est restés plusieurs jours coincés là-dedans, à attendre que les secours viennent nous libérer. C’est là, bébé, que… Que j’ai compris que je serais un… Un survivant. C’était lui ou moi, ma chérie. On s’est battus, je lui ai fracassé le crâne avec un caillou, j’ai frotté des pierres pour faire un feu, puis je l’ai ouvert, comme les biches, et j’ai cherché ce qui était bon ou pas… »

Tout en parlant, Vaas torturait la femme, et réussit à l’ouvrir, provoquant une large incision, puis usa de ses mains pour écarter un peu la longue ligne rouge qu’il avait tracé, jusqu’à la base de son cou, faisant vomir du liquide rouge un peu partout. Il glissa ensuite ses mains à l’intérieur, peinant à s’y enfoncer, à cause de tous les trucs qui s’y trouvaient, et de la quantité incroyable de sang qui sortait.

« Qu’est-ce que tu dirais que… Hum… Je me charge du dîner ce soir ? »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 62 vendredi 12 février 2016, 19:24:12

« Qu’est-ce que tu dirais que… Hum… Je me charge du dîner ce soir ? »
« … Qu…  »
Lulu était d'un seul coup devenue beaucoup plus silencieuse… en faite, Vaas ne l'avait peut être pas remarqué mais, depuis qu'il avait commencé à éventrer la ganguro. Sur le coup, le visage de la duchesse c'était lentement déconfit mais… Elle resta calme durant les premières secondes… Puis là Vaas lui expliqua son histoire, histoire que Lucrezia n'avait par ailleurs aucunement écouter car trop absorbée par la vision de Vaas éventrer sa victime. La jeune femme tenta bien de parler mais… Nan, mise à par quelque petits hoquetement sourds, Lulu n'arrivait pas à sortir le moindre mots… Avant de finalement voir l'homme plonger ses mains dans les entrailles de sa victime.
Là… à ce moment précis, Lucrezia eu un déclic et, comme piquée par une mouche, Lulu vite a bondir de sa place avant de violemment repousser Vaas sur le sol en s'écriant alors :
« ARRETE ! »

Sur ce, la femme observa alors son amant avec un regard à la fois colérique et déçus. Lourdement, la poitrine de la meurtrière s'abaissait et ce soulevait, preuve d'une forte stimulation cardiaque et pulmonaire. Lucrezia était elle entrain de perdre les pédales ? Vaas aurait il eu tort d'éventrer lui même ce beau gigot ? Et bien… Peut être car, peu après ces quelque secondes de battement, Lulu ce mit à légèrement paniquer sur place, retournant alors au chevet de la femme afin de voir son état.
Lulu tapota d'abord les joue de la femme… puis elle essaya des claque plus forte.. puis encore plus forte, le son de sa main raisonnant alors dans toute la pièce tendis que Lulu, en voyant que la pute était visiblement morte, ce mordit les lèvres en poussant un lourd soupir… Soupir que lucrezia ponctua d'un « front-à-front » avec la ganguro.
« Bordel… Aller… ALLER !!!! »

L'espace d'un instant, Lucrezia resta figée dans cette position en marmonna des trucs incompréhensibles, puis… Elle ce redressa rapidement en grognant et en soufflant de colère, plongeant alors ses mains dans les entrailles fumantes de la ganguro, arrachant et balançant le foie, le coeur, éclatant la vessie de la femme entre ses mains sanguinolentes tout en continuant de marmonner toute seule d'un ton colérique et paniqué. Entre ses mains, Lucrezia fit ensuite glisser les 9 mètre d’intestin, les balançant ensuite sur le sol. Une fois le contenue de ventre de la ganguro éparpillé partout, la duchesse vint enfin à ce relever en tournant toujours le dos à Vaas, puis, lentement, elle attrapa son scalpel et, d'un mains hésitante, elle essaya de ce masturber en tranchant « quelque-chose » dans la pauvre pute… Mais en vain, après une dizaine de caresse et un grognement d’insatisfaction Lucrezia ce mit à hurler d'un coup, hurlement qui fut suivie de plusieurs coup de scalpel dans le crane de la pute.

« CONNARD ! CONNARD ! CONNARD!!!CONNAAAAAAARD ! »

Et bam ! Lucrezia descendit ensuite maladroitement de sa table en faisant violemment basculer sa victime sur le sol. Apparemment, Vaas avait fait une boulette en éventrant lui même cette pauvre femme… C'est ça le soucis avec le fait d'avoir une tueuse en série comme copine, on peut lui pisser dessus MAIS ! Pas touche à ses jouets. Nan… Enfaite, la réalité était tout autre, si Lucrezia réagissait ainsi, il y avait forcement une raison… Pas claire, certes, mais il y avait une raison. L'éviscération d'une victime, c'était le « truc » de lulu, c'était son truc rien qu'a ELLE et lui, lui là, avec son iroquois, il avait tout gaché ! Et pour faire quoi en plus ? Des bouchée à la reine de ganguro ! Lulu était donc hors d'elle et, en ce retournant vers vaas, le femme ce mit à le pointer silencieusement du doigt, un doigt accusateur accompagné par un regard noir et emplie de colère.

« t'avais… PAS LE DROIT PUTAIN ! T'AVAIS PAS LE DROIT !!! » s'exclama t-elle alors en avançant d'un pas sec vers son amant qui, à peine quelque minutes plus tot était pour elle le plus chouette des copains. Une fois face à l'homme Lucrezia ce mit à faire taper son index contre le torse du mercenaire en le regardant fixement dans les yeux.

« Ta pas à faire ça ! T'a pas le droit ! C'ETAIT A « ELLE » ! TA PAS LE DROIT PUTAIN !
Sur ceux, la jeune femme vint à faire un tour sur elle même en crispant ses mains sur sa propre tête, visiblement complètement paumée et énervée par le geste pourtant si « galant » de son amant. Lucrezia était lunatique, ça, même Vaas devait l'avoir compris depuis le début de leur rencontre.
Mais ce lunatisme ne date pas d'hier. Aussi loin qu'elle s'en souvienne, Lucrezia a toujours eu de brusque sauts d'humeur, passant de la joie à la colère (ou la déprime) en un éclair ! Sauf que… Bas voilà, là, c'était pas un mec « normal » qu'elle avait en face d'elle… Mais ça, lulu semblait l'avoir oubliée et alors qu'elle était toujours en proie à une violent frustration, elle envoya une forte gifle dans la tronche a Vaas avant de ce stopper net, laissant un long silence s'interposer dans las scène.
La femme ce tut alors en ce mordant les lèvres, affichant une mou à la fois colérique et apeurée.
Là… Lulu était entrain de ce dire « meuf, t'as peut être fait une boulette… » tendis qu'une autre partit de son cerveau lui hurlait « mais frappe putain ! Ce mec a tout pété ton « offrande », créant alors au fond de notre duchesse un mélange d'émotions contradictoire qui vinrent à ce mélanger et à exploser quand le regard de l'homme recroisa celui de la femme.

« Heu… T'avais… »
Sur ce, Lucrezia recula de quelque pas en ravalant fébrilement sa salive avant de commencer à renifler en sentant des petites larmes lui monter au yeux. Puis, rapidement, elle essuya ses yeux larmoyant d'un revers de son bras droit avant de fuir à toute allure cette pièce en manquant de tomber à plusieurs reprise. Et elle courra notre lulu, elle courra vite ! Car, elle le savait, ce coup de sang n'avait pas plus à Vaas et, sans ce retourner, sans réfléchir, la femme s’élançât à bride perdue dans les interminables couloirs de son « château », elle devait le semer ! Le fuir ! Même ci… Elle ignorait si l'homme l'avait suivit.
« Haa… Haa… Haaa !  L-LAAAISSE MOOOIIII !!! » hurlât elle alors en manquant un fois encore de tomber avant de repartir de plus belle, tournant à toutes les intersections possible, passant de pièces en pièces (reliées les pièces, bien sur) dans l'espoir de pouvoir ce débarrasser de ce « possible » poursuivant.
Et… Ce fut au bout d'une petite dizaine de minutes que Lucrezia commença à vraiment ce sentir mal, l'obligeant alors à s'arrêter dans un placard à balai (the best cachette) pour reprendre son souffle. Notre Duchesse écoutât attentivement les alentours et, n'entendant pas les pas de l'homme, la tueuse eu la sensation qu'une boule c'était crevée dans son ventre. C'est donc plus ou moins « rassuré » qu'elle ré-ouvrit timidement la porte de placard en prenant tout de même soins de regarder si, par hasard, Vaas n'était pas là et… Nan, il n'était pas là. Ouf !

Sur ce, Lucrezia ravala une fois encore sa salive en reniflant timidement à cause de ce trop-plein d’émissions et, prudemment, elle rejoignit le seule endroit où elle pouvait ce réconforter : Son « sanctuaire ». Sanctuaire qui n'était autre que la morgue du sanatorium, une pièce sinistre que Lucrezia stockait tous ses secret et tous ses trophée, pièce que la jeune femme avait par ailleurs scellée avec une chaîne et un lourd cadenas dont elle seule avait les clés. Une fois devant les porte de la morgue, Lucrezia sentit une fois encore son cœur fondre mais… Elle ce retint de pleurer et, rapidement, en gardant un œil sur les alentours, la jeune femme farfouilla brièvement sur le rebord qui ce trouvait en haut de la porte, attrapant ainsi l'une des deux précieuse clé.

« je suis désolée… Je suis tellement désolée... » murmura t-elle alors en ouvrant maladroitement le cadenas qui, ensuite, tombas mollement au sol avec la lourde chaîne et ce, dans un bruit de tout les diables. Une fois cela fait, Lucrezia ouvrit la porte de la morgue et… Et… Et d'abord, dans un premier temps, elle ce contenta simplement de garder le silence en écoutant une fois encore si, par hasard, son amant fou était pas loin. Là, oreille contre l'une des deux lourde porte à hublot, la jeune femme restât silencieuse pendant plusieurs seconde, avant de lentement fermer les yeux en lâchant un long soupir. Puis… Elle ce retourna, offrant alors à ses yeux bleus la vision d'une pièce recouverte d'écritures sanglantes, de dessins, de photos, une pièce sombre et malodorante au milieux de laquelle trônait un squelette de femme aux membres légèrement pas de la même taille, habillé d'une robe usée par le temps. Tout autours du squelette (et dans la pièce en générale d'ailleurs), il y avait des hortensias… Des centaines d'hortensia fanées tendis que, tout au fond de la pièce, juste derrière le squelette, il y avait deux grandes armoires en fer, là aussi mise sous scellée.
Lucrezia eut ensuite un petit soubresaut en voyant son « sanctuaire »… Puis un autre… Puis elle reniflât à plusieurs reprise en s'essuyant les yeux avant de… Fondre en larmes comme la gamine immature qu'elle était au fond.
Notre Lulu pleura donc, là, contre un mur, recroquevillée sur elle même, sa tête entre ses genoux.
Visiblement, Vaas avait déclenché un petit truc chez Lucrezia… Un truc qui, théoriquement, ce serait produit d'une manière ou d'un autre mais… Là, la duchesse n'avait pas eu sa phase dite de « totem », tout son « cycle » avait était foiré alors… Pourquoi est ce qu'elle pleurniche ? Bas… ça, faut demander à docteur Freud… Ou a Hannibal Lecter.

En tout cas, c'est pas  ce cher Vaas qu'il faudra demander… Et d'ailleurs… Il est où lui ?


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 63 lundi 15 février 2016, 07:33:39

Elle n’aimait pas le ragoût d’humain ? Salé et épicé, c’était pourtant merveilleux.

Au lieu de ça, il se retrouva sur le sol, surpris dans un premier temps, puis se redressa ensuite. Le problème était que, si Lucrezia était lunatique, Vaas était loin d’être un exemple de stabilité mentale, et, en la voyant s’exciter sur le cadavre, il se demandait quelle mouche avait bien pu la piquer. Elle massacra le corps, faisant pleuvoir du sang et des organes, en mode totalement hystérique, le sang venant éclabousser le corps déjà sanguinolent de Vaas, puis, comme si ça ne suffisait pas, elle l’insulta, et se rapprocha de lui. Elle fit mine de le gifler, mais Vaas avait déjà perdu quand elle l’avait insulté.

Elle.

L’avait.

Traité.

De.

« Connard ».

Connard. Connard. Connard. Connard. Le mot rebondissait dans sa tête, avec des insinuations moqueuses, malsaines, comme si, malgré tout ce qu’il faisait, il était toujours ce jeune enfant à qui on pouvait manquer de respect. Et c’était bien de ça, dont il était question. Le respect. Mais on en avait rien à foutre, du respect, dans une société capitaliste. Non, chacun pensait qu’à sa gueule, et on ne pensait pas à respecter les autres. Tout ça pour quoi ? Parce qu’il s’était montré un peu créatif ? Aurait-elle été jusqu’à le frapper ou non que ça n’aurait pas changé grand-chose. Les yeux rieurs de Vaas étaient devenus sombres, et une lueur froide et malsaine s’échappait de son corps. Or, et malgré toute la férocité de Lucrezia, c’est lui qui restait l’homme, doté de muscles, originaire d’une île où il avait grandi en chassant des tigres et des ours.

Un déclic sembla se faire dans l’esprit de la femme, qui se mit à décamper à toute allure. Vaas resta là, pendant un temps qui semblait interminable, puis entendit un gros choc sourd, en contrebas, qui résonna dans tout l’immeuble... Et l’homme se retourna alors vers le cadavre de la ganguro. Il gisait sur le sol, et elle ne ressemblait plus à rien. Il observa sa tête, massacrée par les coups de Lucrezia, puis soupira.

« Tant de viande de gâchée... Et tout ça pour quoi ? Ah, je sais on doit te sembler ridicule... Les histoires de couples, tu vois, c’est jamais très simple... Mais t’inquiètes pas, bébé, je vais pas te laisser tomber, oh ça non, ma petite dinde... »

Vaas se pencha vers le cadavre, et l’embrassa sur le crâne, en notant que la cervelle de la femme suintait des plaies qu’elle avait reçue.

Dans tout l’immeuble, on put ensuite entendre le son d’un corps qui glissait sur le sol, en laissant derrière lui une fine traînée liquide. On entendit ensuite quelque chose dégringoler le long des escaliers, chaque son étant amplifié dans cet immeuble, poussiéreux, vétuste, et mal isolé. Que faisait Vaas ? Difficile à dire...

Toujours est-il que, au bout d’un moment, la porte de la morgue finit par s’ouvrir, puis claqua quand Vaas la referma, plongeant la pièce dans l’obscurité.

Quelques secondes passèrent.

La porte s’ouvrit ensuite de nouveau, tandis qu’une lueur brûlait devant la porte. Une petite bougie avait été posée sur un objet.

La bougie avait comme socle un crâne, avec un trou dans ce dernier, et, en retirant la bougie, on pouvait voir qu’un petit mot était niché à l’intérieur :

Citer
« J’ai préparé la bouffe. »

Il s’était renseigné dans les cuisines du réfectoire. Le réfectoire était plongé dans la pénombre, avec quelques bougies autour d’une table au centre, où on pouvait voir plusieurs morceaux de viande.

Vaas avait remis ses vêtements, et, sur la table, il y avait deux objets.

À sa gauche, un gode.

À sa droite, un pistolet.

Prometteur.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 64 mercredi 17 février 2016, 01:05:25

Lucrezia pleura un petit moment avant d'entendre du bruit en provenance de la porte de la morgue. Dans un premier temps, la jeune femme craignant que ce soit Vaas et, par reflexe elle attrapa un bout de verre qui ce trouver à coté d'elle mais… Nan… personne n'entra. Cependant lulu avait entendue les étrange frottement qui c'était produit avant cela et commença à ce poser des question sur ce que son amant était entrain de faire.
Mais, bientôt, la fine lueur d'une bougie vint à attirer l'attention de notre duchesse qui, curieuse (et légèrement calmée) vint a prudemment ce lever en tenant, par sécurité, son bout de verre.
Lucrezia ouvrit ensuite la porte et, avec un certain étonnement, elle put voir à ses pied un crane avec une bougie et… un petit message… Serait ce un mot doux ?

« hm ? »

Citer
« J’ai préparé la bouffe. »


à la vus de ce petit mot, le sang de Lucrezia ne fit qu'un tour. Mais… La jeune femme était curieuse… Peut être ne lui en voulait il plus, peut être avait il compris qu'elle avait eu un simple coup de sang et que ça n'était pas grave, que ce genre de choses arrivait de temps à autre.
Mais la femme resta prudente et, par acquis de conscience, elle garda son bout de verre, avant de s’avancer dans le couloirs, visualisant rapidement une longue traîné de sang. Sur ceux, notre duchesse n’eut cas suivre a longue trace, à la manière d'une petite poucette, une trace qui, bien évidement, l'emmena jusqu'au réfectoire du sanatorium. Une fois devant la porte de ce dernier, Lulu hésitat un peu, son coeur battant fort dans sa poitrine mais… Par on ne sait qu'elle envie, elle poussa timidement l'une des deux portes battante avant de dire ces quelques mots :

« V-vaas ? Tu es là chou ? Je… Tu sais mec… J'ai un peu craquée tout à l'heure et… Enfin, si tu veux, je te suce, hein ? Ça te dit la « pipe du pardon » ou, la « pompe de l'amitié » ou… « La gorge-profonde de la réconciliation »… c'est toi qui choise'… VaaaAaaAs ? »
en disant cela, la jeune femme c'était mise à marcher d'un pas malassuré, son regard scrutant prudement et nerveusement chaque recoins du refectoire qui, avouons le, était très mal éclairé. Puis, la femme ce stoppa net, l'orsqu'elle vit un peu plus loin, la luer de plusieur bougie autour d'une table.
« Ah… Ahah… Vaas… écoute mec… Euh… C'est cool la viande humaine, mais tu sais, moi, ça me botte pas, hein… Je tu suce, tu m'encule ? Et… Et c'est déjà pas mal uesh… Sérieux, c'est cool déjà ça comme façon de ce faire pardonner, nan? »

La jeune femme marqua alors une pose dans l'espoir de l'entendre revenir, joyeux, la bite en main pour la lui mettre… Mais… Nan. Au lieux de ça, lulu entendit le bruit du vent qui s'engouffrait dans les fissures et les porte de sanatorium, la faisant frissonner légèrement.
« aller lulu… Te démonte pas, ce type ne peut pas te tuer… Quand bien même il le ferait, ça changerait quoi ? Hein ? Ta vie est déjà complétement en ruine, tu vas perdre quoi à mourir ce soir ? »
La femme marqua alors une paude dans ses pensé, avant de dire a voix haute :
« Merde… Je pourrait plus vivre quoi… ça me ferait bien chier... »
Et… sur cette belle phrase pleine de philosophie, notre tueuse s'avança vers la table d'un pas un peu plus sur, visualisant alors un gode… et un flingue. Cet vision amenât lucrezia à légèrement reculer d'un pas puis… Elle hésita. Avant de finalement ce remettre à regarder autour d'elle une dernière fois.

« V-Vaas… Sérieux… C'est pas cool ça… »


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 65 mercredi 17 février 2016, 13:57:57

La fourchette se planta dans le morceau, et le couteau trancha, découpant la chair, tendre et agréable. Tandis que la femme parlait et déblatérait des conneries, Vaas avala plusieurs morceaux. Il maintenait un silence troublant, et il était difficile de savoir ce qu’il pensait, ni à quoi rimait cette petite mise en scène, une mise en scène se voulant romantique, mais qui, en réalité, était d’un romantisme glauque et macabre. Que pensait-il ? Qu’avait-il en tête ? Toutes ces questions, Lucrezia se les posait, avant de finir par se rapprocher de la table, et de noter la présence du flingue et du gode. Elle lui signala ensuite que c’était pas cool, et, lentement, Vaas se redressa, levant la tête.

« Assieds-toi. »

Aucune intonation, juste un regard serré, et un visage fermé. Le reflet des flammes des bougies dansait autour de lui.

« Ça, ça symbolise le boulot, fit-il, en désignant de la main le pistolet, et même en le soulevant un peu, avant de le reposer. Et ça, c’est le plaisir... »

Vaas indiqua le gode, puis laissa planer quelques secondes, toujours aussi froid, avant de reprendre.

« Tu vois, bébé, y a des lois dans la Nature, et dans la profession que je fais. On mélange pas le privé et le boulot. C’est simple, c’est clair, c’est... C’est la ligne, la putain de frontière. Et, tu sais, si les gens ont inventé des frontières, c’est pas pour rien, c’est pour... Pour l’ordre. Tu vois ? Que les choses... Que les choses soient droites, et que tout aille bien dans un ensemble, que l’ensemble fasse partie du tout, et toutes ces conneries. »

Il n’était pas sûr qu’on comprenne ce qu’il disait dans le détail, mais, tant qu’on saisissait l’idée, c’était l’essentiel. Vaas reprit donc rapidement, en récupérant le pistolet, et en se relevant, écartant bruyamment la chaise.

« C’est la règle, Lucrezia, et elle n’est pas très compliquée. Et, chaque fois qu’on s’en éloigne, chaque fois qu’on s’en écarte, même d’une seule petite seconde, même un tout petit écart à la con, qui serait, genre, plus petit que la bite d’un nouveau-né, ça finit par nous péter en pleine gueule. Et je peux pas me permettre de prendre un tel risque, poupée... »

Vaas se rapprocha d’elle, et s’assit sur le rebord de la table, à côté d’elle, le pistolet rivé sur sa tempe. Il était là, prêt à tirer, prêt à lui exploser la cervelle.

« Alors, crois bien que je sois désolé, poupée, mais... Notre romance va devoir s’arrêter là. »

Et il tira.

Le coup partit, aussi violent qu’un coup de tonnerre.

*FWOOSH !!*

Un jet d’eau...

Un jet d’eau venait d’atterrir sur son visage, et Vaas se mit alors à sourire, avant de se mettre à rire.

« Oh PUTAIN, PUTAIN, mais PUTAIN, QUOI, la TRONCHE ! Hahahaha !! Putain, la vache !! Hooooooo, putain... !! »

Vaas en avait même du mal à respirer, tant il riait, et il dut même s’essuyer les yeux.

« Oh putain, je savais que ça marcherait, mais, là, quand même... Merde, t’aurais vu ta tronche, putain... Ouw, putain... ! »

Il sourit encore, en respirant lourdement, avant de sortir sa langue, et balança le pistolet sur les genoux de la femme.

C’était un vulgaire pistolet à eau.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 66 jeudi 18 février 2016, 15:32:10

« Assieds-toi. »

Silencieusement, Lulu acquiesça et pose son cul sur la vieille chaise en fixant son amant, quelque peu circonspecte. Puis, toujours sans dire un mots, la femme écoutât son amant lui expliquer le fond de sa pensé. L'homme était calme, froid, un comportement qui fit légèrement frissonner notre duchesse. s'asseoir sur la table en prenant le pistolet en mains. La duchesse suivait tout du de ses grand yeux légèrement noircie et dégoulinant de maquillage, ce demandant avec crainte ce qu'était entrain de faire l'homme avec son pistolet et surtout, qu'est-ce qu'il avait en tête.
« C’est la règle, Lucrezia, et elle n’est pas très compliquée. Et, chaque fois qu’on s’en éloigne, chaque fois qu’on s’en écarte, même d’une seule petite seconde, même un tout petit écart à la con, qui serait, genre, plus petit que la bite d’un nouveau-né, ça finit par nous péter en pleine gueule. Et je peux pas me permettre de prendre un tel risque, poupée... »
« Vaas je… que… ? »
Lorsque l'homme vint à poser le canon de l'arme contre sa tempe, le visage de Lucrezia vint à ce déconfire d'un coup, ses grands yeux bleus s'écarquillant alors en grand sous l'action de la peur et de l'incompréhension. Lulu aurait aimée lui dire d'arrêter, elle aurait aimé lui hurlait un grand « STOP3 bien sonore et bien audible mais… nan, là, la bouche entrouverte, la jeune femme ne put rien dire d'autre que… Bas que rien du tout enfaîte, elle ne put qu’emmètre quelque petit hoquetements, tendis qu'au fond d'elle même, son coeur battait la chamade, la faisant même légèrement ventiler, sa poitrine ce levant et s'abaissant alors lourdement.

« Aaaah… V-vaas... »
« Alors, crois bien que je sois désolé, poupée, mais... Notre romance va devoir s’arrêter là. »
et la… Lulu fermât les yeux en ce crispant d'un coup… Avant de sentir un liquide froid éclabousser son visage, ruisselant ensuite dans le creux de sa poitrine.
« que... »
Sur ce, la femme écarquilla une fois encore ses grand yeux, avant de regarder ses seins, ses mains puis vaas d'un air surpris… Très surpris même !
Puis, voyant l'homme ce bidoner comme un gosse, Lucrezia vint à sentir le rouge lui monter au joue, joues qu'elle gonflât légèrement sous l'effet de la colère et de la peur, avant de ce lever en attrapant le gode pour en donner un coup sur l'épaule de son amant… puis un autre… Puis encore un autre et ce en ce mettant a crier légèrement !
Raaaah sale… sale ! Sale ! Grrrr ! T-t-tu…
La femme ce crispa alors sur place, tenant toujours le gode entre ses mains, visiblement peu amusée par cette farce de très mauvais goût.
« tu.. rrrhmmpffr ! »
Et là… Le regard de la duchesse vint à recroiser celui de l'homme et… Comme dans les films disney, le visage sévère de lulu s’effaça au profit d'une petite mou à la fois triste et confuse puis… Elle alla ce coller au torse de l'homme, pleurant alors à chaude larmes contre ce dernier.
Tout ceci en était un peu trop pour notre Lulu qui était à présent entrain de sangloter contre son amant, victime malgré elle de cette mauvaise farce.

Aaah… Sacré Vaas.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 67 samedi 27 février 2016, 12:53:53

Vaas avait-il vraiment fait une blague ? Oui, indéniablement... Mais on pouvait autant dire qu’il faisait une blague à quelqu’un quand il le lâchait face à deux tigres affamés, à poil. Vaas avait, tout simplement, une morale très atypique. Point de Bien ou de Mal chez lui, il ne se définissait même pas comme un agent du Mal. Il était la preuve que la folie prenait bien des formes. Aucun besoin d’accomplir des meurtres rituels chez lui, il faisait juste partie de ces gens qui ne respectaient rien, qui ne croyaient en rien, des individus purement et totalement nihilistes, sans aucune once de moralité. Il était totalement amoral, en ce sens que, pour lui, manger une glace, exploser la cervelle d’un mec, découper une nana en tronches, lui pisser dessus, puis bouffer son cadavre, c’était du pareil au même.

Lucrezia n’avait visiblement pas rigolé à sa plaisanterie, puisqu’elle le tapa à l’épaule avec son gode.

Elle se mit ensuite à pleurer contre son épaule, et la main de Vaas alla se poser sur ses cheveux, une autre vint caresser ses épaules.

« Allons, allons, ma douce colombe, pourquoi te mettre dans tous tes états ? Okay, tu m’en as collé une, mais, tu vois, je l’ai pris avec le sourire. Mais évite de recommencer. Tu sais ce qu’on dit... L’erreur est humaine, la répétition est diabolique. Alors, peut-être bien que la prochaine fois, je te tirerai une balle dans la tête qui enverra ta cervelle décorer un mur, mais, pour l’heure... Relaaaaaaaaaaaaax’, take it easy, baby ! C’est cool ! Franchement, c’est cool ! »

En souriant de nouveau, il posa l’une de ses mains sur le menton de la femme, et souleva un peu son visage, puis alla ensuite doucement l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes.

« Tu vois ? C’est cool... Allez, sèche tes larmes, ma donzelle, ‘faut qu’on cause business... »

Vaas lui fit une petite tape sur les fesses, puis retourna sur le sol, et, tout en déambulant, se mit à parler :

« J’ai compris que ton domaine réservé, c’était de torturer et buter des nanas, et ça tombe bien... Parce que, pour te la faire courte, je suis en pleine expansion dans des mafias organisées... Et toi, ma petite cocotte, t’es le petit cheveu sur la soupe. Tu touches aux putes, et j’crois bien que c’est la foutue Divine Providence qui nous a réussi... Tôt ou tard, les Yakuzas t’auraient mis le grappin dessus, et... *BANG !* Enfin, tu m’as compris, hein ? Ouais, tu m’as compris... Tout ça pour te dire, mi amor, que... Là-dessus, j’peux t’couvrir. Nickel, no souci. Mais, en retour, ‘va falloir que tu m’aides un peu. »

Il se rapprocha ensuite d’elle.

« ’Va falloir que m’tues des putes... Avec tout ton talent. »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 68 dimanche 28 février 2016, 15:29:27

Calmement, l'homme ce mit à caresser l'épaule de sa « colombe » en lui avouant que sa petite giflette n'avait, pour ce coup ci, rien de bien grave mais, il lui ajouta par la suite que, la prochaine fois… Bas… La prochaine fois, Lulu risquerait bien de mourir. Ce sur quoi la femme ce reprit rapidement en mains en reculant légèrement, essuyant de sa main droite ses larmes en hochant la tête. Puis, finalement, l'homme vint une fois encore à expliquer des choses à lulu, choses que notre jeune femme ne compris plus où moins qu'à moitié d'ailleurs.

« J’ai compris que ton domaine réservé, c’était de torturer et buter des nanas, et ça tombe bien... Parce que, pour te la faire courte, je suis en pleine expansion dans des mafias organisées... Et toi, ma petite cocotte, t’es le petit cheveu sur la soupe. Tu touches aux putes, et j’crois bien que c’est la foutue Divine Providence qui nous a réussi... Tôt ou tard, les Yakuzas t’auraient mis le grappin dessus, et... *BANG !* Enfin, tu m’as compris, hein ? Ouais, tu m’as compris... Tout ça pour te dire, mi amor, que... Là-dessus, j’peux t’couvrir. Nickel, no souci. Mais, en retour, ‘va falloir que tu m’aides un peu. »

Lâcha t-il alors en ce rapprochant de notre Duchesse avant de… Lui dire ces quelques mots :
« ’Va falloir que m’tues des putes... Avec tout ton talent. »

La femme fronçât alors légèrement ses sourcils en ce grattouillant l'arrière du crane d'un air quelque peu… interrogatif. Ce type était chelou quand même, un coup il dit « tuer des putes, c'est dangereux » et après, v'la qui dit « faut que tu tues des putes » Faut ce mettre à sa place aussi… C'est confus comme plan. Mais bon, bien vite, notre tueuse ce remit à légèrement sourire, avant d'embrasser gaiement son amant sur les lèvres en l’enlaçant par le cou.

« Mouiii… Tout ce que tu voudras. Mais, avant, j'aimerais qu'on sortes de là tout les deux… Ont a une voiture, j'ai de quoi me changer et me mettre incognito alors… Oui, je tuerais toutes les nanas que tu veux mais sortons d'ici non de dieu ! Je veux m'éclater ce soir, j'en ais ENFIN les moyens !

La femme embrassa a nouveau son amant avant de lui attraper les mains, les faisant ensuite valdinguer de gauche à droite en gardant au fond des yeux son amant.

Je t'ais toi mon Vaas… Tu es la couverture idéal ! Une pute et un homme, quoi de plus banal à Seikusu ? Et puis, surtout, tu sera là pour me protéger Vaas… Je vais pouvoir enfin sortir et vivre, vivre, VIIIVRE !!!!

Et hop, sur ces belles paroles, la femme leva ses bras au ciel en lâchant les mains du pirate, avant de joyeusement tourner sur elle même d'un air enjouée  et rêveur. Et oui… C'était bien la vie de tueuse, mais ça avait plusieurs inconvénient et, même ci les gens la croyais presque tous morte, Lulu ne pouvait désâment pas sortir dehors comme elle le voulait. Et puis… Lorsqu'elle était habillée en pute, ça pouvait le faire, oui mais… Voilà… La couverture était fragile. Alors qu'avec Vaas, qui donc viendrait l'enquiquiner ? Qui donc irait ce dire « diantre, cette nana, c'est la Duchesse ! » alors qu'elle est accompagné d'un homme ? Hm ? Personne. Lucrezia aller, et depuis longtemps, pouvoir enfin vivre et respirer… Car c'était tout ce qui comptait à ses yeux, l'éclate !

« Roooh… Attend moi ici mon chou à la crème de marron, je vais te faire une surprise <3 »

Et hop ! Aussitôt, la femme alla à toute allure vers sa chambre…  Avant de revenir une bonne trentaines de minutes plus tard… Habillée en tenue de femme qui travaille tard le soir.

« taaaaaadaaaaa ! Tu me trouve comment mon chou ? » Lui demanda t-elle alors en prenant le pose.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 69 dimanche 28 février 2016, 22:02:53

La crise au sein du couple était passée, et il était temps de passer à la suite. Vaas voyait en effet Lucrezia, non seulement comme une distraction très agréable, mais aussi comme une excellente alliée en devenir. Cependant, la jeune femme ne donnait pas l’impression d’avoir tout compris, et ce n’était pas grave. Ils auraient largement le temps de revenir là-dessus par la suite. Pour l’heure, l’idée de sortir sembla l’exciter, surprenant un peu l’homme. N’avait-elle pas dû sortir pour aller ramasser sa ganguro ? Il resta néanmoins silencieux, et la femme lui glissa qu’elle devait enfiler une tenue « discrète ». Toute guillerette, et à mille lieux de l’état émotionnel dans lequel elle se trouvait suite à la plaisanterie de Vaas, elle fila donc, ses talons claquant sur le sol, laissant au brave mercenaire l’occasion d’observer son délicieux cul.

« Ouais... Cool... »

Il sortit un joint, et tira dessus, tout en s’asseyant sur le rebord de la table, et laissa le temps passer. Il tira sur sa clope, puis la jeta dans un coin, et explora ensuite un peu le coin. L’endroit, à n’en pas douter, était franchement flippant. Noir, sombre, avec du carrelage à l’ancienne, comme dans ces vieux films sur les asiles. Il imaginait sans peine les moribonds en train de se faire exploser la cervelle par les bistouris et les scalpels de médecins dégénérés travaillant pour le gouvernement. Nul doute que cet endroit avait dû connaître son heure de gloire pendant la Seconde Guerre Mondiale, et que des petits Chinois avaient dû servir sur place.

Vaas se déplaça un peu, et finit par entendre des bruits de pas. Lucrezia revenait, et la Duchesse s’était comme métamorphosée, ce qui ne manqua pas d’étonner Vaas. Il en était alors à son quatrième joint, et la fumée lui sortait des narines... Ce qui ne l’empêcha pas d’émettre un sifflement admiratif en voyant Lucrezia transformée en « pute-vachette », avec un collier autour du cou,e t une petite clochette qui tintait à chacun de ses déplacements.

« Et ben... »

Elle tourna devant lui, et il admira, tout naturellement, son boule, superbement bien moulé dans sa tenue de super-pute ayant envie de se faire super-baiser. Il se rapprocha, venant tout naturellement enlacer la femme de ses puissants bras, posant chacune de ses mains sur son petit cul de salope, et se pencha vers elle, venant l’embrasser. Pour lui répondre, sa queue était réveillée, et caressait les cuisses de la femme.

« Ta tenue discrète, hein... Tu te fous de moi ? Ma chérie, j’ai eu l’impression de voir un défilé de dix putes condensé en un seul corps... »

Sa langue fila le long de la joue de la femme, remontant jusqu’à son oreille, et il soupira contre elle, appuyant de ses mains sur les fesses de la femme, plaquant ainsi davantage le corps de la Duchesse contre le sien.

« Mais t’es pas déguisée en pute, hein ? T’es en vachette... Une belle petite vachette rien que pour moi... Et, tu sais, j’connais bien les vaches... Si on les trait pas, ça leur fait mal. Le lait, t’vois, y reste coincé dans les mamelles, et... Humm... C’est douloureux. »

Il souriait, et l’embrassa encore, sans pour autant relâcher son emprise sur ses fesses, si ce n’est pour donner quelques gifles dessus.

« On va sortir, ouais... Je serais ton berger, toi ma petite vache toute belle... Mais j’veux pas lancer sur le marché un lait de mauvaise qualité, alors... ‘Va falloir que je m’assure que tu sois de la bonne vachette, t’saisis, d’la vachette de luxe... »

Récupérant son joint, qu’il avait mis dans une poche, il le glissa dans les lèvres de la Duchesse, l’invitant à tirer une bouffée, avant de tirer la sienne à son tour, puis donna alors une gifle un peu plus forte.

« Allez... Mets-toi à quatre pattes, ma chérie, je vais te péter le cul, et tu vas meugler comme une folle devant le bâton de ton fermier rentrera dans ton verger. »

Tout en finesse, tout en poésie...

Vive le cul.

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 70 samedi 05 mars 2016, 17:59:27

Visiblement, Vaas aimait beaucoup la tenue de notre Lulu et… Comme toujours, il y allait de son petit mot de poésie et de sa note d'humour ! Sans déconner… Une vachette. Même Lucrezia émit un petit gloussement quand l'homme lui avait dit ça. Et puis…

« Allez... Mets-toi à quatre pattes, ma chérie, je vais te péter le cul, et tu vas meugler comme une folle devant le bâton de ton fermier rentrera dans ton verger. »

En entendant ces mots, Lucrezia vint à rouler des yeux en baissant les bras, lachant ou passage un petit soupir.
« Rooooh Vaashoux… Je veux aller me promener moiiiiii ! J'aime bien me faire péter le cul mais sérieux… ça peut pas attendre là, hm ?

En disant cela, la jeune femme avait prit soin d'esquisser une petite mou légèrement mécontente et boudeuse à la fois dans l'espoir d'attendrir son amant mais… Voilà quoi, Lulu commençait à connaître son nouvelle amant et elle savait que l'homme était du genre soupe-au-lait donc au bout de quelque secondes de silence passée à le regarder dans les yeux, Lulu lachat un autre soupir avant d'elle ce mettre prêt d'une table où elle posa ses mains et son sac en cambrant légèrement son dos, ponctuant le tout d'un petit remuage de popotin très aguichant.

« Bon allez mon Vaassoux.. pète moi le roudoudoux vite fait et après on sort <3 »

C'est qu'elle en avait envie notre lulu ! Depuis le temps, elle allait enfin pouvoir s'amuser comme une ado, aller en boite, manger au  KFC tranquille sans risque de ce faire enquiquiner par des flics ou des lourdingues à la con. Toujours en tendant son gros cul moulé de latex, lulu continuait de frétiller devant Vaas, en prenant un grand plaisir à remuer outrageusement ses deux masses de chairs devant lui. C'est qu'elle avait un sacré cul lulu quand même… Un beau cul bien rond et bien modelé. Aaaah… Elle ce rappelle encore des rire moqueur de certaines collègues un peu jalouse qui, part dépit l'appellait « gros cul » mais, au fond, ce gros cul, c'était lui qui lui avait permis d'avoir facilement 50 000 yens de plus par mois dans son porte monnaie, ahah !

« Par contre met une capote chou… ça glisse mieux et ça évitera de tout salir ma tenue... »


Et hop, sur ce, la jeune femme farfouilla dans son sac et sortit un préservatif qu'elle tendis à son amant avec un sourire en coin.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 71 mercredi 09 mars 2016, 22:31:31

Vaas sentit bien la résistance de la jeune femme à l’idée cette séance de sexe. Il en était même surpris. Qu’attendait-elle, à se pavaner devant lui en étant habillée comme la dernière des putes ? Vaas était un homme, il était sensible à la beauté féminine ! La femme aurait, au contraire, dû se sentir flattée qu’il bande encore en pensant à elle, tout comme lui se sentait flatté de susciter tant de passion chez elle. La Duchesse était, indéniablement, une femme très belle, très talentueuse, qui remplissait toutes les qualités d’une femme parfaite. Vaas était en love, mode high tendance, désireux à 500% de s’envoyer en l’air avec Lulu-La-Vachette. Merde, ce surnom lui allait quand même franchement bien !

Sa vachette finit par se mettre contre une table, en se cambrant, remuant un peu son cul. Vaas avait l’impression de voir une pute gavée de foutre de la tête aux pieds remuer son cul flasque devant son quinzième amant de la journée. Ce manque de passion, c’était terrible… Mais il voyait ça comme un défi personnel, et s’avança vers elle, obnubilé par la vue de son fessier. Lucrezia avait, effectivement, un joli cul, qui ressortait bien sous sa minijupe noire brillante. Mais est-ce que ça le dérangerait vraiment ? Non, au contraire. Il aimait les femmes charpentées, solides. Les biscottes, elle se craquait trop facilement, et, partant de là, Lucrezia était tout simplement parfaite.

Il se rapprocha donc quand elle lui tendit une capote. Fronçant les sourcils, Vaas s’arrêta, et ses lèvres s’entrouvrirent légèrement, pour finir par former un sourire.

« Chica… Sérieusement, tu t’attendais à ce qu’on baise dans un sac plastique ? »

Vaas secoua la tête à nouveau, et donna une grosse claque sur les fesses de la femme, la faisant rebondir.

« J’aime ton putain de cul, ma chérie… Et, tu me connais, t’vois, je suis quelqu’un qui… Qui aime le contact. C’est important, le contact. »

Tout en disant cela, le tueur s’était glissé dans le dos de la femme, et cette dernière pout sentir qu’il avait enlevé son pantalon et son boxer, son sexe caressant sa minijupe en latex. L’une de ses mains massait l’un des opulents seins de la femme, et l’autre caressait le bas de son ventre. Il mordilla son cou, son corps puissant s’aplatissant contre le sien. Vaas témoignait de sa musculature, car il maintenait Lucrezia, embrassant et mordillant son cou, avant de le lécher, sa langue remontant le long de sa douce peau, pour gober quelques-unes de ses mèches de cheveux.

Puis sa main défit la ceinture de sa minijupe, et elle tomba sur le sol. Ensuite, il remua un peu, puis s’enfonça en elle, écartant la ficelle de son string rouge, et soupira contre son oreille. Les mouvements de Vaas, du fait de la position respective des deux amants, furent lents et appuyés. Sa main serra le sein de la femme, pinçant le téton, et l’autre s’appuya sur ses hanches, puis il remua, encore et encore. En réalité, que la Duchesse soit consentante ou non, pour lui, ne changeait absolument rien. Elle était la femme, il était l’homme. Autant il pouvait tolérer certaines excentricités, mais il ne fallait pas non plus pousser le bouchon trop loin. Vaas estimait être quelqu’un de très tolérant avec les femmes, mais la tolérance se devait d’être réciproque

« Hmmm… »

Ses coups de reins déplaçaient le corps de Lucrezia d’avant en arrière, et, au bout de quelques instants, l’orgasme vint, à nouveau. Vaas se vida en elle, et, dans un ultime soupir, la retourna ensuite, avant de la tenir par les épaules, serrant un peu.

« Je suis l’homme, chica. Et j’ai bien compris que tu veux sortir pour bénéficier de ma protection. Avec moi, tu crains rien, et je te fais rien payer. J’suis gentil et tout, alors, ‘me fais pas des caprices de gonzesse. D’accord, hm ? D’accord ?! »

Il posa un doigt sur les lèvres de la femme, comme pour se laisser le temps de conclure :

« Tu portes une nouvelle tenue, c’est à moi de l’inaugurer, c’est tout, c’est aussi simple que ça. »

Sa main se déplaça ensuite pour caresser son cou, et on aurait presque pu craindre qu’il ne vienne à serrer.

« Mais ‘te fous pas de moi, okay, chica ? T’as beau être mi princeza, je suis pas le larbin de service. Okay ? Bien… »

Vaas l’embrassa ensuite sur les lèvres avant de lui sourire.

« Allez… Dis-moi où tu veux aller ce soir, bébé, et je t’y emmène. »

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 72 dimanche 17 avril 2016, 16:39:42

« Je suis l’homme, chica. Et j’ai bien compris que tu veux sortir pour bénéficier de ma protection. Avec moi, tu crains rien, et je te fais rien payer. J’suis gentil et tout, alors, ‘me fais pas des caprices de gonzesse. D’accord, hm ? D’accord ?! »
« Oui, oui ! »
Comme ci c'était son habitude de faire des caprices... Mais bon, Vaas avait raison de mettre un point là dessus car lulu était une femme au fond et... Enfin, les femmes quoi... toujours à demander ceci ou cela.
Tout en remettant sa jupette et sa culotte bien en place, Lulu se retourna v ers son amant, ce dernier l'embrassant alors fougueusement, avant de lui donner d'autres instructions.

« Allez… Dis-moi où tu veux aller ce soir, bébé, et je t’y emmène. »

En entendant cela, Lulu ce recula brièvement, avant de ce grattouiller légèrement la tête en fronçant les sourcils. Il y avait une tonnes d'endroits que Lulu voulait visiter, enfin, pas « des tonnes » au sens littérale mais… Enfin bref, Pour l'heure lulu n'avait pas vraiment d'idée en tête et vint simplement ce blottir contre Vaas en caressant les abdos de son homme en le regardant d'un air joueur.

« Moouh je sais pas, j'irais bien manger un morceaux d'abord  puis après… Hmmm je sais pas, on pourrais aller ce promener <3 »

Et hop, sur cette petite phrase, Lucrezia vint à voler un autre baiser à son amant, avant de ce reculer légèrement. Une fois tout ceci mis au clair, le « charmant » petit couple ce mit en route pour rejoindre la voiture des deux trou-duc, un espèce de gros SUV assez coûteux mais qui fort heureusement restait assez discret et passe partout. La jeune femme grimpa par la suite à l'intérieur dudit véhicule, avant de dire sur un ton amusé ces quelques mots :
« C'est marrant, généralement quand je grimpe dans une voiture c'est toujours dans cette tenue, huhu <3 »
au fond… c'est un peu normal… D'ailleurs, en y repensant bien, Lucrezia n'avait pas conduit depuis  fort longtemps… La dernière fois remontant à l'époque de son évasion puis ensuite… Bas… Plus rien, juste sa BM-double pieds quoi.


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 73 lundi 18 avril 2016, 01:05:47

Une rencontre hors-normes, celle entre Vaas et Lucrezia, la Duchesse. Vaas et elle venaient de joyeusement copuler ensemble, et ils allaient maintenant... Faire une virée ensemble, tout simplement, comme des amoureux. L’image était touchante, non ? Le duo retourna vers le SUV, et la voiture fila, tandis que Lucrezia indiqua avoir envie de manger.

« Ouais... Bouffer, c’est une bonne idée, on s’est beaucoup dépensés, après tout. »

Vaas fila rapidement. Ils étaient dans un quartier assez pauvre de la ville, peuplé de magasin qui avaient fermé sans jamais être repris, exhibant ainsi des endroits vides, encore recouverts par les portails abattus sur les devantures des magasins.

« Toujours dans cette tenue, hum ? Ma foi, elle te va bien... »

L’homme posa une main sur sa cuisse, la tapotant légèrement, en lui faisant ensuite un doux petit sourire, puis continua à rouler. C’est ainsi qu’ils s’éloignèrent de ce quartier, pour se rapprocher de quartiers un peu plus vivants, où Vaas s’arrêta près d’un vendeur ambulant, un petit snack vendant des hot dogs, des barquettes de frites, ou des ramen, le tout à l’orée d’une série de rues piétonnes. Jadis, cet endroit avait été un coin sympa de la Toussaint, un petit centre-ville local. Maintenant, c’était un endroit sinistre, envahi par les toxicomanes, les squatteurs, et les putes. La grosse majorité des clients de ce snack étaient, soit des macs, soit des toxicos’.

Vaas trouvait l’endroit parfait, et arrêta la grosse voiture, puis sortit, tenant ensuite Lucrezia par la main. L’improbable duo se rendit ainsi vers le snack, et Vaas commanda une barquette de frites avec un hot dog, tout en laissant Lucrezia choisir. Les hommes présents reluquèrent immédiatement son corps, surtout son petit cul. Et, naturellement, ils regardèrent ensuite Vaas, oscillant à nouveau sur le cul de Lucrezia.

« Sympa, ta gonzesse.
 -  Elle s’entretient, j’ai pas de mérite là-dessus », répondit modestement Vaas en haussant les épaules.

Ce n’était clairement pas l’endroit prévu pour une soirée romantique... Du moins, pour des gens qui ne seraient pas Vaas Montenegro ou Lucrezia H. Nietzsche. Vaas avait sa vachette.

Il était normal qu’il l’expose fièrement auprès d’autres mâles en rut, non ?

DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Psychosocial [Vaashounet :3]

Réponse 74 mardi 19 avril 2016, 09:23:39

Après quelques minutes de route, nos charmants tourtereaux vinrent à s'arrêter devant un snack ambulant un peu miteux. Cet ainsi que la jeune femme vint à parcourir la liste des trucs en vente et… Son choix ce tourna vers un hamburger au poulet et au curry accompagnée par un grand soda.
Mais alors qu'elle faisait son choix, la jeune femme vint à attirer sur elle le regard de plusieurs, ses dernier reluquant alors son petit (enfin, gros plutôt) cul qui ce dandinait fièrement, moulée à l’extrême dans sa jupette en latex.
« Sympa, ta gonzesse » lâchât alors l'un de ces messieurs, visiblement très attiré par le popotin dodu et bien rond de mademoiselle la duchesse. Visiblement, Vaas était fier d'exposer sa concubine au cheveux turquoises et il avait de quoi ! Lulu étant une femme très belle, il est normal d'être fier de l'exposer comme un jolie trophée tout de latex vêtue.
C'est donc tout naturellement qu'au bout de quelques minutes, notre charmante lulu vint à sentir une main bien indiscrète lui tripoter les fesses, ce qui la fit légèrement sursauter sur place, poussant un petit « ouh ! » au passage, juste avant de venir ce coller à son amant en regardant l'homme avec un regard un peu farouche.

« Meh !  Vaassoux… Dit un truc… Il me tripote... »


En disant cela, Lucrezia gonfla ses joues légèrement en fronçant les sourcils, visiblement impatiente de voir Vaas dire un truc à cet indiscret bonhomme. Mais… Rapidement, le regard de Lulu devint moins froncé et, discrètement (ou pas) elle ce mit à regarder l'homme de haut en bas avant de ce blottir encore plus contre Vaas, son gros cul venait de lui même ce trémousser contre la main du mercenaire, comme pour l’incitait à… On sais pas trop quoi… 'fin bref.

« Vaas… viens... »
Lachat elle alors en prenant la main de son amant en croisant son regard. « Ont prend nos sandwich et… »[/i] Et c'est alors que Lulu vint, d'un coup d'un seul et sans aucune raison apparente à avoir une idée qui, depuis trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès longtemps, lui trottait en tête… Mais genre vraiment longtemps, tellement longtemps que c'était presque invraisemblable que cette dernière y repense là, ce soir et à ce moment précis.
« Et ont vas chez un tattoueur <3 Je veux me faire un truc depuis longtemps mon choupidou <3 ça vas te plaire en plus, j'en suis sur ! »
*
En disant cela, notre duchesse affichât un grand sourire avant de tirer la langue à son amant, langue qu'elle pointa comme un serpent en la faisant gigoter à quelque millimètre de la bouche du pirate.
Au fond… Cette « chose » n'était peut être pas revenue sans « aucune raisons » car, l'un des hommes qui attendait leur collassions avait un piercing au nez… Oui, Lulu voulait ce faire percer et depuis longtemps, mais jamais elle n'avait eu le courage ou la motivation de le faire auparavant, mais là, avec Vaas, elle avait vraiment, VRAIMENT, envie de le faire.



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