Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Stupre et homonymie [Cata]

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Jack Taylor

Humain(e)

Stupre et homonymie [Cata]

lundi 17 août 2015, 16:38:16

Il était curieux de constater à quel point les paysages japonais pouvaient être contrastés ; une petite demie-heure de taxi et un environnement tropical et paisible s'était substitué au centre-ville hyper-moderne de Seikusu. 

« Ça vous fera 14 000 yens, m'sieu ». Le véhicule s'était arrêté à l'entrée d'une grosse station balnéaire. De sa fenêtre entrouverte, Jack apercevait un petit port auquel étaient affrétés yachts, catamarans et même un petit voilier en bois de noyer. Plus loin, surplombant la plage, se trouvaient les hôtels, les clubs et les casinos, attraction privilégiée des lieux.   

Jack paya le taxi sans regimber, et ouvrit la portière de la mercedes neuve avant de rabattre ses solaires sur son nez. Il était dix-neuf heures passées, mais le soleil chauffait encore l'asphalte de la marina. L'agent Taylor était parvenu à négocier quelques jours de congés avec ses employeurs, à condition de ne pas trop s'éloigner de Seikusu. Ponctionnant ses économies, l'homme avait décidé de réserver une suite au Mermaids, un luxueux hôtel du bord de mer, pourvu d'un SPA, d'une immense piscine commune et de nombreuses autres réjouissances que le site internet du palace invitait à découvrir par soi-même.

Alors qu'il traversait le port de plaisance, croisant de riches vacanciers en maillot de bain, Jack surpris le regard appréciateur d'une jeune femme qui sirotait un cocktail coloré à l'arrière de son yacht et lui adressa un grand sourire en retour. Le prétendu professeur de lycée avait troqué son habituel costume pour une tenue estivale plus appropriée ; chemise en lin rayée bleu et blanche , aux manches retroussées, chino khaki et bottines en cuir de cordovan – même en vacances, Jack tenait à être d'une élégance irréprochable.

« Fiouh », lâcha Jack, lorsqu'il pris possession de sa chambre, une vingtaine de minutes plus tard.

Comme dans la plupart des hôtels de luxe, il s'agissait davantage d'un petit appartement aux couleurs chatoyantes, pourvu d'une immense salle de bain, d'un bar américain, d'un petit salon, et d'une grande chambre qui faisait face au levant et... A l'océan. Une petite terrasse , une dizaine de mètres au plus au niveau de la mer, permettait d'apprécier davantage la vue sur la plage de sable fin.

« J'aimerais savoir si vous disposez de cigares cubains », hasarda-il à l'intention du garçon d'étage, qui se préparait à s'éclipser discrètement.

« Monsieur trouvera probablement son plaisir dans le fumoir. Vous disposez également de plusieurs paquets de cigarettes différents, ainsi que de deux pipes neuves. Si vous manquez de tabac, je vous invite à solliciter la réception. »

Jack eût une moue appréciatrice, en contournant le mini-bar, généreusement pourvu en alcool en tout genre, y compris en whisky, ce qui le fit sourire.

« Décidément, on ne manque de rien ici, hm ? Peut-être d'une ou deux jeunes femmes dénudées, à la limite... », lança-il d'un ton badin, pour taquiner son pauvre interlocuteur, qui s'empourpra légèrement, sans toutefois se démonter. Ce n'était probablement pas la première fois qu'il avait ce genre de conversation avec un client.

« La grande salle de réception à l'étage accueille des... artistes, à partir de vingt-deux heures. Probablement pourrez-vous vous entretenir avec l'une d'entre d'elles. Les tarifs de leurs...prestations sont bien évidemment compris dans le prix de votre suite. »

Contrairement à ce qu'on pouvait penser, les hôtels qui employaient des escort-girls n'était pas une chose rare, surtout s'agissant d'établissements de luxe. Il était arrivé à plusieurs reprises que l'agent Taylor trompe ainsi sa solitude. Néanmoins ce soir, les services d'une professionnelle ne l’intéressaient pas; il rêvait de tranquillité. Hochant la tête pour congédier le jeune homme, Jack se servit un verre de Yamazaki single malt - sans glace, un étonnant alcool japonais, élu meilleur whisky du monde un an plus tôt. Ouvrant la porte fenêtre de la véranda, Jack s'installa dans un confortable canapé à l'extérieur, pour siroter sa boisson, et posa ses lunettes de soleil sur une table basse. Bercé par le roulis des vagues et le chant des grillons, le brave homme ne tarda pas à s'assoupir, alors que la nuit commençait à tomber sur la station balnéaire.     

Catalina Taylor

Humain(e)

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 1 vendredi 13 novembre 2015, 23:36:43

Le conseil d’administration s’était terminé fort tard. Presque deux heures après l’heure prévue. Etouffant un bâillement, la brune -seule femme de la réunion- sortit d’un pas las. Majoritairement constitués de japonais, et d’hommes, ces réunions étaient d’un profond ennui. Les remarques sexistes n’étaient jamais loin, de même que les commentaires racistes chuchotés en pensant qu’elle n’entendait pas. Parce qu’elle, cette étrangère, cette femelle, investissait de grosses sommes dans certaines petites entreprises dédiées aux nouvelles technologies, les mâles se sentaient menacés. Et quand ils étaient menacés, ils se montraient obtus et désagréables, presque condescendants. Combien de fois avait-elle entendus des discussions à voix basses, plaignant la famille qui devait supporter cette mégère de femelle ? Combien de fois avait-elle saisi des échanges qui se voulaient discrets sur sa sale manie de ne pas rester à sa place ? Elle ne comptait plus. Elle les ignorait, royalement. Elle savait qu’elle était aussi compétente qu’eux. Qu’elle était même plus riche encore. Mais à la longue, ça devenait lassant.

Se glissant dans sa voiture, Catalina jeta enfin un coup d’œil à son téléphone. La diode clignotait vert, signalant un message. En allumant l’écran, alors qu’elle venait de mettre le contact, la veuve réprima un sursaut de surprise. Les battements de son cœur s’accéléraient tandis qu’elle lisait le rappel qu’elle avait enregistré sur son téléphone. "Réservation hôtel valide jusqu’à 20h30 pour aller prendre les clés de la suite" Elle avait complètement oublié. Elle avait réservé une suite, pour décompresser quelques jours, dans une station balnéaire assez proche de Seïkusu, mais complètement dépaysante. Marmonnant un juron, la brune enclencha la première, et fit vrombir le moteur de sa petite sportive jusqu’à chez elle. Clayton devait sûrement se demander ce qu’elle faisait. Elle lui avait dit qu’elle serait rentrée pour dix-huit heures. Et il était presque vingt heures. Son colocataire, charmant au demeurant, aurait alors le penthouse pour lui tout seul pendant ces quelques jours. Catalina lui faisait confiance.

Arrivant finalement à son étage, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent pour la laisser entrer dans le séjour. Elle bénit sa prévoyance en apercevant ses bagages prêts, près de l’entrée. Saluant rapidement le pompier, la brune descendit le tout à sa voiture sans perdre de temps. Elle ne perdit pas non plus de temps sur la route, franchissant allègrement et sans remord les limitations de vitesse qu’il pouvait y avoir. Le GPS lui indiquait la route, et la radio diffusait quelques notes de rock agréables. Et finalement, elle arriva à destination. Saisissant ses deux sacs, la veuve noire adressa un signe de tête au voiturier qui partit garer sa voiture plus loin. Elle avait laissé quelques billets en pourboire, sur le tableau de bord. Généreuse, elle n’avait même pas compté. Il y avait sûrement assez pour contenter l’homme.

A la réception, une hôtesse lui appela un groom. Il la conduirait à sa chambre et lui remettrait la carte magnétique de la suite. Un coup d’œil à la pendule lui avait néanmoins fait froncer les sourcils. Catalina était arrivée avec à peine cinq minutes d’avance sur l’heure limite, et ça ne plaisait pas à la réceptionniste sévère. Mais la brune n’en avait cure, des états d’âme de la femme. Elle rêvait de se détendre dans une des merveilleuses suites du Mermaids.

Remerciant rapidement le garçon d’étage, l’ancienne tueuse à gage referma la porte derrière lui. La première chose qu’elle allait faire, ce serait de prendre une bonne douche chaude, délassante. Elle admirerait la suite après. Déposant les sacs à côté de la salle de bain, la jeune femme apprécia le luxe de celle-ci. Robinetterie en cuivre, baignoire en marbre, miroirs un peu partout… Défaisant habilement l’agrafe de sa robe, dans son dos, la brune l’enjamba sitôt qu’elle eut touché le sol. Elle se défit aussi de ses escarpins et de son tanga, laissant une piste séductrice de l’extérieur de la salle de bain jusqu’à la douche à l’italienne, entourée par un paravent de verre opacifié.

Elle fit couleur l’eau chaude, dénouant sa crinière de la stricte queue de cheval qu’elle s’était imposée, et posant la paire de lunettes rectangulaires sur le rebord du lavabo. Elle n’avait pas vraiment besoin de lunettes. Pas tout le temps. Seulement pour les travaux de minutie et fatigants pour les yeux. Comme cette réunion du conseil d’administration, avec tous les documents aux petites lignes qu’elle avait eu à consulter. Elle avait, de ce fait, oublié de retirer ses verres avant de partir.

Délaissant le grand miroir en pied, à côté du lavabo rutilant, la brunette se glissa avec plaisir sous le jet brûlant de la douche, offrant son visage, son cou et sa poitrine à l’eau qui ruissela contre sa peau à peine hâlée.
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Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
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Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 2 lundi 16 novembre 2015, 19:49:13

Jack frissonna, et se redressa légèrement alors qu'il entrouvrait les paupières. La nuit était tombée depuis qu'il s'était assoupi et le vent du large chargé d’embruns, s'était rafraîchit. Après tout, c'était l'Océan pacifique, pas la Méditerranée. L'agent Taylor s'étira longuement, les yeux rivés sur la marina endormie, puis constata que son verre était vide ce qui était évidemment inacceptable. Se levant à regret, le prétendu professeur passa dans le salon l'homme se dirigea vers le minibar d'un pas rapide pour se resservir, avant de froncer les sourcils et de se baisser. A ses pieds, une robe noire légère, aérienne, négligemment abandonnée sur le parquet ciré. La coupe du vêtement et sa taille laissaient supposer une silhouette gracile.

Intéressant.

Saisissant le tissu entre ses doigts, l'agent spécial ne put s'empêcher de soupirer d'aise en humant le parfum et l'odeur de femelle dont elle était imbibée. Quelques pas plus loin, une paire de Louboutin avaient été abandonnés et à l'entrée de la salle de bain, trônait le dernier rempart à la nudité de sa propriétaire. Jack s'immobilisa sur le pas de la porte, une moue amusée sur ses lèvres pleines. Le verre pilé l'empêchait de distinguer les traits de l'intruse, mais les formes qu'il laissait deviner – un beau petit cul rebondi, des reins creusés et une poitrine haut-perchée-  achevèrent le tirer de sa torpeur. Se pouvait-il que l'hôtel lui fasse une surprise, ou bien s'agissait-il d'une erreur ? L'homme croisa les bras et s'adossa quelques instants dans l'encadrement de la porte. L'homme n'était pas un voyeur – il aimait être acteur et non spectateur – mais il fallait avouer qu'observer sans être vu une charmante créature en train de prendre sa douche avait quelque chose de satisfaisant. Hésitant sur la conduite à suivre, l'homme se mordilla la lèvre inférieure en observant son propre reflet dans l'un des nombreux miroirs de plein pied de la salle de bain. Il fut tenté de se dévêtir à son tour et de rejoindre la belle inconnue, mais il se pouvait qu'elle ne soit pas dans les mêmes dispositions que lui, et l'agent spécial souhaitait éviter au maximum les scandales.

« Bon. » Il allait la jouer subtilement, pour une fois.

L'homme tourna les talons et rejoignit le salon d'un pas tranquille. Ouvrant l'un des placard en ébène de la suite, il en sortit deux verres à vin qu'il déposa sur une table basse encadrée par deux confortables fauteuils. Avisant la bouteille de Romanée-Conti que la réception avait déposé à son attention sur le buffet, il la cala sous son bras, et la déboucha sans le moindre bruit. avant de remplir à demi les deux verres en cristal. Ceci fait, il se laissa tomber dans celui des fauteuils qui faisait face à la salle de bain et allongea ses jambes, posant ses talons sur la table basse vitrée, et trempa ses lèvres dans le liquide incarnat. Il existait une infime possibilité pour que cette femme soit ici pour lui faire la peau, mais Jack n'y croyait guère, sa couverture au Japon étant encore intacte. En outre, il eût été plus avisé de le tuer de son sommeil que de prendre le risque qu'il ne se réveille ; même s'il n'était pas armé, Jack Taylor représentait une menace non-négligeable. Les minutes qui suivirent lui parurent interminables, mais finalement le bruit de la douche diminua avant de se tarir. S'armant de son sourire le plus dévastateur, l'homme se prépara à accueillir son invitée surprise.

« Je pense que l'un de nous deux s'est trompé de suite », lança-il d'un ton badin, prétendument absorbé dans l'observation du contenu de son verre, alors que Catalina quittait la salle d'eau. Puis il leva ses yeux vairons vers elle. Et ne fut pas déçu. "Je ne pense pas que ce soit moi", acheva-il avec une petite moue appréciatrice.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 3 mercredi 11 mai 2016, 18:42:53

Prendre une douche chaude après une telle journée, c’était vraiment la meilleure chose à faire. Se prélassant sous les jets qui massaient son dos, laissant la paume de douche au-dessus d’elle tremper sa crinière, Catalina émit même un petit gémissement de satisfaction. Elle roula des épaules un instant, dénouant ses muscles raidis, et se baissa pour attraper le shampoing qui trônait sur une étagère en contrebas. Elle saisit ensuite le gel douche, une fois que la mousse du shampoing eut complètement disparue, et apprécia les saveurs de vanilles qui s’élevaient dans la douche à mesure qu’elle frictionnait son corps las. Le gel douche était censé être énergisant, selon l’étiquettes, mais il participa à cette douce torpeur qui commençait à envahir la brunette.

Finalement, alors qu’elle avait fermé les yeux et qu’elle s’offrait toute entière aux jets de massage et à la paume de douche, elle secoua la tête. S’écartant d’un pas vers l’arrière, cognant presque son dos contre la paroi vitré, elle éteignit l’eau et essora sa chevelure avant de sortir de la douche. Elle tendit le bras pour attraper une petite serviette accrochée sur son support chauffant, et elle y enroula ses longues mèches sombres à l’intérieur pour en absorber l’humidité. Elle attrapa une seconde serviette qu’elle enroula autour de son corps, avant de frictionner doucement sa crinière dans la petite serviette et de retirer cette dernière pour la reposer à sa place. Ses cheveux étaient encore humides, mais ils n’étaient plus détrempés.

Se plantant devant le miroir, elle se félicita de n’avoir pas mis de maquillage le matin même. Elle avait complètement oublié de se démaquiller, et elle aurait eu l’air d’un panda ensuite. Dénouant la serviette, elle se sécha le dos avec soin avant de la faire passer sur son buste et de sortir de la salle de bain en essuyant doucement sa poitrine et son ventre.

Elle ne remarqua pas tout de suite l’homme, assis dans l’un des fauteuils face à la salle de bain. Ce n’est que lorsqu’il prit la parole qu’elle avisa sa présence et qu’elle se figea, une expression troublée sur les traits. La serviette échappa à ses doigts et glissa jusqu’au sol tandis qu’elle levait un sourcil interrogateur. Ses prunelles étaient encore en train de chercher si elles n’avaient pas d’hallucination, et son cœur manqua un battement quand elle se rendit compte que non, ce n’était pas un effet de son imagination. Il y avait bien un homme assis dans l’un des fauteuils, avec un verre de vin à la main.

Déglutissant difficilement, elle détacha son regard des iris vairons et aperçu un second verre de vin. La serviette caressa son pied quand elle bougea, et elle se rappela alors qu’elle avait glissé. Elle se pencha rapidement pour la reprendre et l’enrouler autour de son buste avant de s’éclaircir la gorge.

« Je ne… Crois pas que ce soit moi non plus… Le groom m’a bien guidée vers cette suite… »

Elle fronça les sourcils un court instant, en essayant de se rappeler ce qu’elle avait dit à la réception. Elle avait bien demandé la suite réservée au nom de Taylor, pourtant.

« Je suis pratiquement sûre d’avoir correctement articulé lorsque j’ai demandé ma suite, réservée au nom de Taylor. Êtes-vous sûr de ne pas vous être trompé ? »

Elle esquissa un sourire discret, ayant momentanément oublié l’instant de surprise précédent et le fait qu’il ait eu une vue complète sur son corps nu. Elle préféra s’avancer, ses pieds laissant une légère trace humide sur le parquet, pour venir s’installer sur le second fauteuil. Un verre de vin l’attendait sur la petite table basse. Pile ce qu’il lui fallait pour conclue cette journée harassante. Et tant pis si elle devait le prendre en compagnie d’un inconnu.

Ayant attrapé le verre, elle le porta à ses lèvres et en huma discrètement la fragrance avant d’y plonger les lèvres. Il était délicieux, et elle posa un regard satisfait sur l’homme en face d’elle. Elle le détailla plus précisément, à présent que la surprise avait cessé de faire battre son cœur plus vite. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle appréciait ce qu’elle voyait.

« Santé, souffla-t-elle en anglais, avant de prendre une autre gorgée de vin. »
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Jack Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 4 mercredi 18 mai 2016, 21:06:00

Jack était un très bon agent de la CIA. Ses méthodes discutable et son train de vie scandaleux n’en faisait pas un candidat à l’avancement, mais ses qualités exceptionnelles étaient unanimement reconnues par ses supérieurs. Parmi ses compétences, la furtivité figurait en tête de liste. Il n’était donc pas étonnant que Catalina ne soit pas rendu compte de sa présence, quand bien même il se trouvait dans son champ de vision.

« Je suis désolé de vous avoir surprise »,
reprit Jack, qui ne l’était pas. « Malgré tout, je dois reconnaître que le jeu en valait la chandelle. » Confuse, la belle inconnue avait laissé tomber la serviette qui lui ceignait les hanches, offrant au plaisantin une vue imprenable – au clair de lune qui plus est- sur ses formes généreuses. Sa poitrine haute-perchée était étourdissante, mais son cul… Son cul était tout bonnement à se damner ; ferme et rebondie, il était une véritable incitation à la luxure. Prenant conscience qu’il avait cessé de respirer, Jack expira, et décroisa les jambes. « Etrange… » Sauf à jouer divinement la comédie, la jeune femme semblait être de bonne foi. Cependant, lorsqu’elle reprit la parole, un large sourire s’épanouit sur les lèvres de Jack, et lui désigna du menton le fauteuil qui lui faisait face dans lequel elle s’installa tranquillement.

« Ma chère, croyez-le ou non, mais nous sommes affublés du même patronyme. De toute évidence, on nous aura pris pour de jeunes époux venus batifoler à l’orée des beaux jours.  »

Que deux personnes portant le même nom de famille séjournent dans un même hôtel était relativement rare, d’autant plus qu’ils étaient tous deux anglo-saxon et que l’on se trouvait au Japon : la coïncidence était incroyable. A son tour, il trempa ses lèvres dans le nectar vermillon, les yeux mi-clos. Assurément, il pouvait dire c’était une bonne bouteille, bien que ses connaissances en la matière soient rudimentaires. Reposant le pied du verre sur la table basse, il tendit sa main à l’intruse, et la garda un certain moment contre sa paume tiède. « Je m’appelle Jack Taylor. Je suis professeur d’anglais au Lycée. Et vous ? » Ce n’était pas tout à fait exact, mais ça restait proche de la vérité.

Relâchant à regret la douce menotte de l’inconnue, l’homme sourit à nouveau, alors qu’une idée amusante germait dans son esprit facétieux. Après quelques instant d'un silence savamment entretenu, il reprit :

« Ma petite femme a-t-elle fait bon voyage ? Tu m’as terriblement manqué, dans l’avion. »

Après tout, pourquoi ne pas jouer jusqu’au bout au jeune couple en vacances ? Jack n’avait jamais été marié, et ne comptais pas s’unir à quiconque pour une durée supérieure à quelques années. D’une part parce que son boulot impliquait des voyages incessantes, d’autre part parce qu’il avait généralement rapidement tendance à se lasser d’une vie commune avec une seule et même personne. Il avait eu trois ou quatre relations plutôt longues, qui s’étaient soldées par des échecs retentissants. Cependant, jouer au mari énamouré le temps d’une soirée lui paraissait être un tableau plutôt….Marrant. Quant à la la brunette,  si elle ne s’était pas enfuie en courant, ou n’avait pas essayé par tous les moyens de le mettre dehors – bien qu’il puisse d’ailleurs prétendre au même droit -, c’est qu’il ne lui était pas désagréable. Le regard inquisiteur qu’elle lui jeta ensuite le lui confirma.

Allait-t-elle rentrer dans son jeu ?

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 5 mercredi 25 mai 2016, 18:37:57

La veuve avait l’habitude que l’on admire son corps. Quand elle était vêtue, elle n’y faisait pas attention, sauf dans le cas où la personne responsable était dans son objectif de drague. Mais quand elle était nue, elle était déjà plus troublée. Elle ne s’y habituait pas vraiment, à celle lueur d’admiration qui était perceptible dans le regard, quand on flattait ses généreuses formes. Elle savait qu’elle était belle, qu’elle était bien pourvue. Mais elle gardait cette modestie presque innocente, ne prenant pas l’admiration des gens pour acquise.

C’est pourquoi elle avait légèrement rougi quand le regard appréciateur de l’homme s’était attardé sur ses formes. Mais elle avait vite repris la maîtrise d’elle-même, plus préoccupée par ce quiproquo au niveau de la réservation de la suite que sur sa pudeur -qu'elle n’avait presque pas. Une fois installée dans le fauteuil face à lui, il était plus aisé de se détendre. Surtout quand elle eut goûté au vin qu’il avait servi. Elle n’y connaissait pas grand-chose non plus, à l’œnologie, mais elle savait ce qu’elle appréciait, ou pas. Et ce vin était tout simplement divin pour ses papilles.

Il répondit ensuite à leurs interrogations, après qu’elle lui ait donné la clé de toute cette histoire. Le même patronyme, hein ? Quelles chances avaient-ils de se retrouver dans le même pays et dans le même hôtel ? Probablement une sur des millions. Ou des milliards. Un sourire amusé chassa l’expression interloquée de la brunette quand il dévoila la raison de la méprise du complexe hôtelier, et elle se détendit contre le fauteuil, buvant de petites gorgées du vin.

Elle plaça délicatement sa main dans celle qu’il lui tendait, souriant plus franchement.

« Catalina Taylor. Actionnaire majoritaire de plusieurs sociétés, répondit-elle, laissant volontiers ses doigts entre les siens plus longtemps que les convenances le voudraient. »

Il était séduisant, elle en convenait volontiers. Et il n’était pas plus responsable qu’elle de ce problème d’attribution des réservations. Par ailleurs, elle avait eu une longue journée, épuisante émotionnellement, et elle n’avait pas envie de se battre avec les gérants de l’hôtel pour trouver une autre suite pour le moment. Elle n’aspirait qu’à se détendre.

Lorsqu’il reprit la parole, elle réprima un gloussement amusé. Il lançait le jeu, basé sur la confusion de l’hôtel, et elle n’hésita qu’un instant avant de le rejoindre. Arquant un sourcil de manière entendu, elle étendit doucement ses jambes devant elle, jusqu’à ce que ses pieds nus effleurent ceux de Jack.

« Le trajet était rapide, mais il me manquait bien la présence de mon cher et tendre pour le pimenter, glissa-t-elle en souriant. »

Elle avait été mariée plus d’une dizaine de fois, pour le compte de ses anciens employeurs, et elle en avait retiré des leçons sur la façon dont pouvait vivre un couple. Toutefois, elle n’avait jamais vraiment éprouvé de sentiments forts qui l’attacheraient à une personne. Elle avait cru, lors de son premier mariage, qu’elle aimait l’homme qui l’avait épousée. Peut-être d’ailleurs l’avait-elle vraiment aimé, dans sa naïve jeunesse. Mais la découverte de ses tromperies avait muselé ce sentiment, et elle s’était soigneusement gardée détachée de ses cibles avant de les abattre.

Refoulant ses souvenirs, bien qu’ils ne soient pas particulièrement pénibles, la brunette posa son verre sur la table basse, s’avançant sur son siège jusqu’à ce qu’elle soit assise à la limite. La serviette nouée autour de son buste se relâcha légèrement, les pans bâillant de plus en plus à mesure qu’elle se penchait vers lui.

« Heureusement, nous nous sommes retrouvés, susurra-t-elle en lui faisant du pied sans se cacher, amusée. »

Elle tendit la main pour la poser sur son genou, peu intimidée par la situation. La veuve était une femme volontaire, de manière générale. Et elle ne s’embarrassait des convenances que lorsque c’était absolument nécessaire. Ce qui était loin d’être le cas, ce soir.

« As-tu eu le temps de visiter notre suite, depuis ton arrivée ? »

Ses prunelles céruléennes brillaient de malice. Et d’autre chose aussi, qui ressemblait à de la concupiscence. C’est qu’il lui plaisait beaucoup, cet inconnu qui portait le même nom de famille. Elle vrilla les yeux vairons de ses prunelles, joueuse, alors que ses ongles glissaient sur le chino kaki qu’il portait, aventureux.
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Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 6 vendredi 04 août 2017, 13:16:19

Tout aussi gênante que pouvait être la situation, Jack était bien moins troublé que son homonyme, ce qui était relativement normal étant donné que, tout d'abord, ce n'est pas lui qui venait de faire tomber sa serviette devant un parfait inconnu, mais également parce que paraître à l'aise en tout circonstance faisait partie de son job. Toutefois Jack n'avait pas à feindre grand-chose : Catalina avait tout de l'hôtesse idéale. Polie, charmante et peu vêtue. L'homme frissonna légèrement lorsque ses doigts s’échappèrent des siens, même s'il s'efforça de n'en rien laisser paraître. Actionnaire majoritaire de plusieurs sociétés ? Ça envoyait du lourd. Qu'était un professeur de lycée pour une femme d'affaire ? Quelque roturier, peut-être. Pourtant la jeune femme rentra immédiatement dans le jeu qu'il venait d'initier.

« Ma foi, c'est qu'une horde de lycéennes réclamait mon attention Cata, et tu sais bien que je ne peux rien leur refuser. » Cata, c'était forcément son surnom. Ça lui allait trop bien pour que ce soit une erreur.

L'agent Taylor avait connu bien de femmes depuis sa prime jeunesse. Des prudes et des hardies. Catalina faisait assurément partie de la seconde catégorie ; lui-même, qui n'était pourtant pas bien farouche ne put réprimer un haussement de sourcil lorsqu'il sentit la jambe de son interlocutrice masser consciencieusement la sienne. Affectant la plus complète indifférence, Jack continua de badiner.

« Fort heureusement oui... Je pense que nous avons tous les deux besoin de prendre un peu de bon temps. De nous détendre ».

La vue panoramique que son homonyme lui offrait sur son orgueilleuse poitrine était bien trop perturbante pour qu'il puisse rester de marbre, malgré tout le self control dont il disposait. Ses derniers mots s’étranglèrent dans sa gorge et son regard se troubla lorsque la brunette posa sa paume tiède sur son genou.

« Oui j'ai inspecté...Heu visité un peu. La vue à l'extérieur est à tomber et... Il y a même un jacuzzi. ».

Quelque part dans l'esprit du trentenaire un signal d'alarme s'était allumé. Les choses n'allaient elles pas trop vite pour qu'il ne s'agisse pas d'un piège ? A plusieurs reprises, l'appétence de l'agent Taylor pour les plaisir de la chair avait manqué de lui coûter la vie. Les rares ennemis qui connaissaient son identité n'hésitaient pas en effet à se servir de cette faiblesse pour tenter ponctuellement de le faire disparaître. Son regard fit plusieurs allers et retour rapides entre la voluptueuse brunette et la porte de sortie, pour finalement s'attarder sur elle. Sur sa chevelure de jais, sa poitrine laiteuse, ses doigts fuselées qui s'égaraient sur le tissu de son pantalon....Et puis merde, conclut-il, alors qu'il se penchait à son tour, saisissant son poignet entre ses doigts.

« Viens. » lui intima-il simplement, sur un ton qui relevait davantage du commandement que de la requête.

Posant son propre verre à côté du sien sur la table basse, il la tira doucement, mais fermement vers lui, jusqu'à ce qu'elle soit obligée de se lever. Ce hasard ne pouvait pas en être un. Jack avait toujours eu un côté un peu mystique – qui ne s’était pas arrangé lorsqu’il avait découvert – et fricoté avec les créatures surnaturelles qui avaient élues domicile à Seikusu. Il pensait que les choses avaient toujours lieu pour une raison. Et il pensait que si Catalina et lui avaient été réunis ce soir, c’était pour baiser jusqu’à épuisement. Pressant son front contre celui de la jeune femme, il respirait bruyamment, se contenant pour ne pas la saillir sur place. Sa main fiévreuse se referma sur son petit cul bien ferme, alors qu’il écartait quelques mèches rebelles de son visage avant de se pencher pour l’embrasser fougueusement,  glissant sa langue tiède entre les lèvres entrouvertes de sa belle homonyme. Sa queue, brûlante gorgée de sang, palpitait contre leurs deux corps amollis par le stupre.

« Quel heureux hasard, vraiment », lâcha-il à mi-voix.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 7 lundi 22 janvier 2018, 23:15:02

Un sourire mutin arquait ses lèvres pleines alors qu'elle conversait avec son homonyme. Le jeu de rôle était excitant. Se glisser dans la peau d'un couple, à cause d'une erreur de l'hôtel, était amusant. Surtout que son partenaire n'était pas pour lui déplaire. Au contraire, même. Elle se mordilla la lèvre quand il parla du jacuzzi, imaginant déjà ce qu'ils pourraient faire à l'intérieur, quand Jack se pencha en avant.

Mordillant toujours sa lèvre, Catalina laissa son regard dériver sur le visage de l'homme. Un éclat lascif traversa fugitivement ses prunelles quand il enroula ses doigts autour de son poignet. La veuve se fit docile, se levant pour se rapprocher, laissant sa serviette commencer à se dénouer sous le mouvement. Elle leva la tête, posant une main contre son torse, et lui sourit doucement. Front contre front, présentant une scène intime qui n'aurait pas dénotée dans un vrai couple, Catalina et Jack semblaient tous les deux au même point. Elle prit une inspiration, tremblante tant le désir faisait soudain bouillir ses veines, gardant ses lèvres entrouvertes. Ils n'avaient encore rien fait. A peine avaient-ils flirté. Et pourtant, elle avait déjà envie de plus. Elle se pressa contre lui quand il initia le baiser, sa langue venant rencontrer sa compagne pour la caresser, la découvrir. Elle se cambra légèrement, autant pour laisser sa poitrine s'écraser contre son torse que pour sentir sa main contre ses fesses.

Sa serviette glissa finalement alors que Catalina remontait ses mains contre Jack, appréciant les contours de ses muscles. Elle ne cachait plus rien de sa poitrine, qu'il avait déjà pu apercevoir peu avant. Elle ne tenait sur sa croupe que grâce à la main qui flattait la courbe de ses fesses. Un petit soupir lui échappa, alors qu'il souffla quelques mots. Un petit rire de gorge suivit, avant que la brune ne décide de se montrer plus entreprenante.

« Un hasard que nous allons apprécier exploiter, j'espère, susurra-t-elle à mi-voix également. »

Ses lèvres, après avoir laissé passer ces quelques mots, revinrent contre celle de l'homme. Sa langue reprit son exploration, mais ses mains poussaient le professeur d'anglais en arrière. Elle l'accompagna dans le mouvement alors qu'elle l'enjoignait de se rasseoir. Elle finit par se jucher sur ses genoux, ses jambes emprisonnant les siennes tandis que son intimité mise à nue venait s'appuyer contre l'érection qu'elle sentait à travers le pantalon. Elle venait même s'y frotter, féline, alors que ses lèvres quittaient à nouveau celle de Jack. Sa langue s'amusa un instant sur leur pourtour, ses dents le mordillèrent un moment, et elle releva la tête, lui offrant la vision de sa poitrine arrogante alors qu'elle expirait doucement. Ses doigts venaient déjà agacer les boutons de la chemise pour les défaire, un à un.

« Tu permets que je nous mette à égalité, mon chéri ? Fit-elle semblant de demander la permission. »

En réalité, elle n'attendait pas vraiment de réponse. Elle avait déjà commencé, défait deux boutons, et ne comptait pas s'arrêter. Elle voulait à son tour le voir sans ses vêtements, pouvoir admirer son torse, ses fesses, et cette queue déjà dressée qu'elle ne faisait que sentir au travers du pantalon, contre la peau sensible de son intimité. Elle se frottait contre lui, attisant le désir qui flambait entre eux, et réussis enfin à venir à bout de la chemise.

Le regard assombri par la concupiscence, la brune détaillait ce corps qui s'offrait à elle, repoussant la chemise sur les épaules pour la faire glisser et disparaître. Elle n'était pas farouche, ce soir, c'était certain. Elle attendait avec impatience qu'il se retrouve nu à son tour pour pouvoir découvrir son corps par ses baisers, par ses caresses. Par sa langue mutine et ses dents joueuses.
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Jack Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 8 lundi 12 février 2018, 08:27:04

La tension sexuelle irradiait la pièce. Dès l’instant où Jack avait posé le regard sur Catalina, il avait su qu’il ne quitterait pas cette chambre d’hôtel sans l’avoir possédée. Et à en croire les mimiques et le langage corporel de la brunette, celle-ci était du même avis. Indolente, le regard fiévreux, elle s’abandonna contre lui lorsqu’il prit ses lèvres, posant ses doigts fuselés sur le coton de sa chemise. De jolies mains. Qui s’enrouleraient bien autour de sa queue. Puis la serviette humide se dénoua, glissant sur ses hanches, dévoilant une sculpturale paire de sein qu’elle écrasa contre son torse musculeux.

« Oh, ma Cata », souffla-il, d’une voix sourde, alors que sa prise se raffermissait sur son cul. « J’ai envie de te baiser comme une chienne », indiqua-il, doucereux, avant de l’embrasser à nouveau, sans lui permettre de répondre.

Mais la belle s’enhardissait déjà, le repoussant contre le dossier du fauteuil pour l’enfourcher ensuite, ses gros seins se balançant de droite à gauche sous l’effet de la gravité. Sa queue, énorme, pulsait entre ses cuisses tièdes, effleurant le renflement de ses lèvres intimes à travers les différentes couches de tissu qui les séparaient encore : son jean, son boxer et un pan de serviette. Amusé, Jack s’abandonnait à ses doigts agiles qui virevoltaient autour de ses boutons de chemise. Leurs deux corps frémissant de désir projetaient des ombres fantastiques sur les murs immaculés de la chambre d’hôtel. Bientôt, la brunette dévoila le torse ciselé de son amant, l’explorant du regard et de ses doigts pressés. Il se débarrassa rapidement de sa chemise qu’il envoya valser à travers la pièce, avant d’attraper sa belle homonyme par les hanches et l’embrasser à nouveau en grognant d’aise. L’homme civilisé laissait peu à peu à sa place à une bête, avide de luxure. Pressant son chibre emprisonné contre l’intimité de sa partenaire, il s’y frotta sans vergogne, lui donnant un avant-goût de ce qu’elle allait bientôt recevoir.

Enfin il se pencha vers son oreille, le souffle court, brûlant. « Lève-toi », lui ordonna-il, avant de la repousser gentiment. « Laisse-moi te regarder, ma petite femme. »

Lorsque la jeune femme s’exécuta, la serviette qui lui ceignait encore les reins chuta sur ses chevilles. Plutôt que de se jeter sur Catalina pour la saillir, comme son corps le lui ordonnait, Jack contempla un court instant cette silhouette sculpturale, amollie par le désir, ces lèvres légèrement entrouvertes, cette vulve tiède… Catalina était presque trop belle et il n’avait qu’une envie à présent ; la voir s’abaisser, et la souiller. A son tour, l’homme redressa son imposante silhouette dans la pénombre, et se débarrasser furieusement de ses bottines ainsi que de son jean avant de s’avancer vers la jeune femme qu’il dominat d’une bonne tête. L’une de ses paluches se referma sur l’un de ses seins moelleux, le pressant tendrement avant d’en agacer le tétin du pouce et de l’index. Approchant son visage de celui de la jolie brunette, il s’empara de son poignet pour écraser sa paume contre sa grosse queue palpitante à travers son boxer. Il voulait qu’elle se rende compte qu’elle aurait besoin de ses deux mains pour l’empoigner, qu'elle imagine ce gros chibre la limer jusqu'à ce qu'elle se pâme.

« Tu vois comme tu m’as manqué ? », lui glissa-il en grognant, alors que le tissu de sa prison de coton s’humidifiait de liquide pré-séminal brûlant et visqueux.
 
Sa main avait quitté celle de Catalina pour se poser sur son ventre tiède, glissant lentement entre ses cuisses galbées pour s’épanouir sur son pubis. Avec une lenteur calculée et de la pulpe de ses doigts, il caressait ses lèvres entrouvertes et son bouton de rose, ses yeux vairons plongés dans les siens, s’abreuvait de chaque frémissement, halètement ou soupir de son amante.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 9 lundi 12 février 2018, 19:53:29

Ne pouvoir que ressentir son désir à travers le jean frustrait la veuve. Elle haletait à chaque fois qu’il se pressait contre elle, son désir manifeste humidifiant sans vergogne le tissu. Un sourire restait accroché à ses lèvres, lorsqu’ils ne s’embrassaient pas. Un sourire coquin, malicieux. Plein de promesses, de luxure, d’envie bestiale. Obéissante, elle se releva quand il le lui ordonna. Ses dents mordillaient sa lèvre inférieure alors qu’elle sentait son regard sur elle. Elle ne se privait pas non plus de l’observer, serrant les poings pour s’empêcher de venir caresser sa peau afin de le laisser apprécier la vue. Quand il ôta son jean, ses prunelles s’attardèrent sur la proéminence marquée au travers du boxer. Elle en eut la gorge sèche, d’un coup, alors qu’une décharge de désir faisait vibrer son corps. Il semblait bien pourvu, et elle adorait ça.

Relevant la tête pour accrocher son regard, Catalina lui offrit un regard enjôleur. Elle cambra le dos pour offrir sa poitrine à sa main, retenant un autre halètement de plaisir en sentant sa paume chaude l’enrober. Son souffle filait au travers de ses lèvres entrouvertes, rougies par leurs baisers, quelque peu erratiques par instant, comme lorsque le séduisant professeur guida sa main contre la protubérance masculine qu’il arborait, qui se dressait pour elle. Elle se mordilla à nouveau la lèvre inférieure en laissant ses doigts en prendre la pleine mesure, son excitation grimpant d’un niveau encore. Elle en tremblait presque d’impatience.

Non, en fait, elle tremblait d’impatience. Alors qu’elle pressait la virilité érigée entre ses doigts, au travers du boxer, il avait glissé sa main contre son ventre, contre sa fleur. Son cœur loupa un battement, son souffle se bloqua un instant dans sa gorge. Ce simple contact l’électrisait déjà. Il pouvait voir ses pupilles s’écarquiller encore plus, mangeant presque l’intégralité de la glace de ses prunelles, alors qu’elle expirait en tremblant.

« Il faut rattraper ce temps perdu, souffla-t-elle en réponse, résistant à l’envie de fermer les yeux pour profiter de ses caresses, gardant son regard lié au sien. »

Sa main se resserra un peu plus sur la masse de chair, mais la présence du tissu était vraiment trop encombrante. Trop frustrante. La belle quitta alors un instant la communion de leurs yeux, délaissant à regret les fascinantes prunelles dissemblables de Jack, pour se poser sur ce que sa main massait fermement. Elle déglutit difficilement, mais un sourire mutin éclaira ses traits alors qu’elle s’agenouillait lentement, laissant la main masculine quitter ses chairs intimes. Sa seconde main se joignit à la première, appréciant dans un premier temps la forme virile, avant de remonter pour faire glisser le sous-vêtement, dégageant délicatement l’organe fièrement dressé. Quelques perles humides suintaient de son sommet. Elle se lécha les lèvres, redressant rapidement le regard pour lui adresser un clin d’œil, et elle rapprocha ses lèvres de sa friandise masculine.

Sa langue, d’abord, entra en scène. Elle lapa doucement, de bas en haut, laissant une traînée humide sur son passage. Elle explorait la chair tendre, prenant son temps pour en apprécier chaque relief veiné, et poussa même sa découverte jusqu’aux bijoux mâles gonflés, léchant, aspirant entre ses lèvres gourmandes, attentive aux réactions de Jack. Elle inspira profondément, en remontant vers l’extrémité violacée qu’elle caressa du bout d’une langue joueuse, avant d’ouvrir grand la bouche et de l’y guider, appréciant le goût légèrement salé qui enivrait ses papilles.

Ses prunelles remontèrent alors vers lui, observant les traits de son visage à mesure qu’elle faisait pénétrer la rigide virilité plus loin entre ses lèvres. Elle prenait son temps pour bien le lubrifier, sa langue le caressant à mesure qu’il progressait, et elle inspirait profondément par le nez. A mi-chemin, elle commença à l’aspirer plus fermement, et franchit la distance la séparant de la base d’un coup plus sec, franchissant aisément la barrière de sa gorge expérimentée. Elle se laissa un petit temps d’adaptation, fermant les yeux pour apprécier le membre palpitant contre sa langue affectueuse et pour réprimer son réflexe laryngé, avant de l’en ressortir doucement, luisant de sa salive.

« Tu sais combien j’adore que tu me baises comme ta chienne, minauda-t-elle d’une voix rendue plus grave par le désir. »

Elle se mordilla un instant la lèvre inférieure, avant de venir reprendre ses caresses buccales, enjôleuse, emplie d’un désir brut qui lui faisait presque mal.
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Jack Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 10 mardi 13 février 2018, 19:35:04

Un frisson électrique parcourt l’échine de Jack lorsque les doigts fuselés de la jeune femme agrippèrent sa queue turgescente. Le souffle court il lui sourit, la défiant de ses yeux vairons. Dans son regard brûlant, un désir immarcescible et la promesse d’ébats torrides. Et Catalina de se crisper sous ses doigts fouisseurs, glissant sur ses lèvres entrouvertes, agaçant son bouton de rose. De la main gauche il saisit le menton de la volcanique brunette pour mieux se noyer dans ses pupilles bleues dilatées et l’embrassa une fois encore voracement, mordant presque sa lèvre inférieure jusqu’au sang. Puis il la laissa lui échapper, poser ses genoux nus sur le parquet pour enfin libérer sa virilité brûlante et frémissante. Jack ne put s’empêcher de grogner d’aise. Le souffle tiède de Catalina caressait son gland humide. Ça y était, ça y était enfin.

« Suce-moi », gronda-il. Sa physionomie agréable s’était durcie, déformée par l’excitation.

La brunette darda sa langue sur son frein avant le laper consciencieusement, arrachant des râles étouffés au vigoureux Jack dont les jointures devenaient blanches à force de serrer ses poings. N’y tenant plus, il glissa ses doigts tremblant dans la chevelure de j’ai de sa chienne, les crispant lorsqu’elle s’attarda sur ses grosses bourses juteuses. Oh, comme cette région était sensible chez le colosse. Il regretta même un instant qu’elle ne pousse pas davantage son exploration. Mais la jolie catin le narguait à présent, son insidieuse petite langue rose dansant autour de son méat. Catalina semblait avoir ce talent si particulier de pouvoir se livrer à la plus complète débauche, tout en restant élégante…Du moins pour le moment.  Oh, comme la gourgandine allait regretter son impudence ! Il mourrait d’envie lui casser les reins, de lui faire mal.  Soudainement ses lèvres humides se refermèrent sur sa queue, le faisant hoqueter de surprise, alors qu’il manquait de l’inonder déjà de son foutre. Un jet s’échappa, puis un second, avant qu’il ne comprime fortement son sexe de ses doigts. Qu’est-ce qu’elle était bonne, décidément !

« Oh putain… », parvint-il à articuler en réprimant une énième secousse électrique le long de son échine. « T’es belle ma puce, » souffla-il en l’observant engouffrer cette grosse queue qui lui déformait les joues. Le corps arqué vers l’avant, l’agent Taylor avait de légers soubresauts qui faisaient tressauter sa bite dans la gorge tiède de son amante. Quant à Catalina, les lèvres humides et les yeux rieurs, elle rayonnait, satisfaite de sa performance.

« Toujours aussi pute. Je t’ai bien choisie, décidément », constata le mâle, en lui caressant la joue du revers de l’index et du majeur. Sans crier gare, il empoigna ses longs cheveux soyeux et s’enfonça de nouveau dans sa gorge, lentement mais inexorablement, jusqu’à écraser ses couilles tièdes contre ses lèvres entrouvertes. « Mords-moi ma chérie, griffe-moi. Tu sais comme j’aime quand tu me résiste », lui glissa-il, avant d’imprimer plusieurs secousses brutales à son bassin, faisant hoqueter sa belle chienne.

La sexualité de Jack Taylor était chaotique. Il aimait l’excès, la violence, la passion. Ses tendances dominatrices s’accoutumaient – voire se nourrissaient- des audaces de ses amantes. Celles qui le défiaient, marquaient sa chair, il se vengeait en les baisant brutalement, jusqu’à leur faire rendre les armes. S’échappant de ses lèvres avides, il écrasa son sexe luisant de salive et de foutre sur son beau visage, et s’y frotta sans vergogne en soufflant bruyamment par le nez comme un animal en rut. Enfin, il la libéra et se radoucit. « Je veux que tu te fasses du bien ma belle. Je veux que tu te branles la chatte avec tes jolis doigts pendant que tu me suces, que tu me branles. »

L’homme civilisé laissait peu à peu place à une bête sauvage. Un animal brutal, assoiffé de stupre. Incessamment, il l’inonderait généreusement de sa semence. Avec l’énergie sexuelle démoniaque et inexplicable dont il disposait, il se savait en mesure de remettre immédiatement le couvert.

Catalina Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 11 samedi 17 février 2018, 14:01:01

Amatrice de plaisir comme elle l’était, la jeune femme n’avait aucun mal à jouer un rôle. C’était amusant, et ça pimentait les étreintes. Elle se complaisait dans celui de la femme dévouée, appréciant à sa juste valeur la taille du sexe qui envahissait sa bouche. Elle le marquait de sa salive, le lubrifiait comme il le fallait, et se délectait de son goût, de son odeur mâle.

Elle releva les yeux vers lui quand il prit le contrôle, ses yeux brillants d’une satisfaction perceptible, et haussa un sourcil joueur alors qu’il lui demandait de lui résister. Elle ne se fit pas prier, endossant un autre rôle dans son premier rôle. Elle baissa le regard, par contre, incapable de masquer le plaisir qu’elle ressentait à le sentir cogner contre sa gorge, pour mieux jouer les résistantes.

Ses mains agrippèrent les hanches de son amant, ses ongles s’enfonçant sans douceur dans la chair, comme si elle tentait de le repousser. Ses dents se firent plus ferme sur le sexe qui coulissait entre ses lèvres. Elle n’avait pas assez de latitude pour le blesser sérieusement, mais assez pour râper légèrement la peau fragile. De petits gémissements quittaient ses lèvres, s’étouffant contre l’ardeur virile. Elle ne pouvait pas les retenir, mais ils pouvaient passer pour de la protestation alors que ses doigts se crispaient sur les hanches de Jack, ses ongles griffant son partenaire, glissant bientôt sur ses fesses, sur ses cuisses.

Ses cuisses à elle luisaient du plaisir qu’il faisait naître en son sein. Elle ne résista pas plus longtemps à l’envie de le regarder, et ses prunelles voilées par un désir brut accrochèrent les siennes. Si son corps faisait mine de résister, si ses ongles laissaient des traînées rougies sur sa peau, son regard ne pouvait pas mentir, en revanche.

Un gémissement parvint à quitter ses lèvres gonflées quand il s’extirpa de sa bouche, et elle ferma les yeux en levant le visage pour qu’il se frotte mieux à elle. Elle haletait, reprenant un souffle moins précipité, alors qu’il exposait son désir. Le coin de ses lippes s’étira, et la brune acquiesça. Sa main droite se saisit de la rigidité mâle, peinant à l’encercler, pour glisser sur le manche lubrifier, pour le porter à ses lèvres, à sa langue, comme une sucette particulièrement grosse et savoureuse. Sa main gauche, elle, glissa sur son corps nu, chassant les dernières gouttes d’eau de sa douche qui perlaient encore sur ses clavicules, chassant le léger voile de sueur que le désir faisait naître en elle, et caressa sa poitrine, descendant toujours plus bas.

Elle serra sa main droite plus fort autour du sexe massif, ses ongles agaçant la peau sensible, tandis que la gauche trouvait enfin le chemin de ses lèvres humides. Elle les écarta avec douceur, écartant d’ailleurs un peu plus les genoux pour que Jack puisse observer son manège, et ses doigts se firent inquisiteurs, étalant l’expression de son plaisir autour de sa fleur, agaçant son clitoris déjà gonflé pour finir par s’introduire dans sa chair moite, brûlante.

Le plaisir que Catalina prenait à le branler, à le sentir aussi rigide entre ses doigts, entre ses lèvres, se mêla à celui qu’elle déclenchait en elle en se masturbant ainsi. Le faire face à Jack, pour son plaisir, l’augmentait encore. Elle soupirait, elle gémissait, lorsque sa bouche n’était pas occupée à le flatter, à le sucer, le mordiller. Ses reins ondulaient contre ses doigts inquisiteurs qui s’enfonçaient toujours plus loin. De deux, elle passa bientôt à quatre, gardant le pouce pour caresser sa perle gonflée. Ses yeux se fermèrent, et elle donna plus de voix.

« Tu es si… Si dur, haleta-t-elle. Si bon… »

Sa tête s’inclina en arrière, le plaisir montant en flèche dans son corps tremblant. Elle frotta sa joue contre le chibre épais, luisant, alors que ses doigts redoublaient de vitesse, brillants de sa propre sève qui s’écoulaient plus abondamment d’entre ses cuisses.

« Oh Jack, laisses-moi te goûter, t’avaler, soupira-t-elle en soulevant à demi ses paupières. Imprègnes-moi de ton odeur, termina-t-elle dans un petit gémissement. »

La veuve, en tout cas, n’allait pas tarder à se sentir partir. Ses muscles se crispaient en rythme contre ses doigts, cherchant à les retenir, à les avaler plus profondément. Elle s’agitait, ses reins ondulants rapidement, alors que sa jouissance était proche. La brune se montrait plus décidée encore, aspirant la queue épaisse avec ferveur, sa main droite massant les bourses avec plus de délicatesses mais tout autant de passion. Et finalement, alors qu'elle se plaisait à faire une gorge profonde au si séduisant professeur, son corps se tendit. Ses gémissements s'étouffèrent contre le sexe imposant, ses doigts se crispèrent, autant autour des testicules qu'elle flattait que contre son bas-ventre, son pouce écrasant son clitoris maltraité. Elle flirtait avec les sommets de la jouissance, les yeux fermés sous l'intensité de son orgasme.
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Jack Taylor

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Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 12 dimanche 04 mars 2018, 13:07:09

Les dents serrées, les lèvres entrouvertes, Jack toisait la brune incendiaire à genoux devant son chibre poisseux de salive et de foutre. Les yeux écarquillés, presque incrédules, il l’observait engloutir goulument son chibre qu’il envoyait sans vergogne cogner jusqu’au fond de sa gorge. Et la jolie catin de faire mine de se rebelle, meurtrissant sa chair de ses ongles effilés, mordillant sa grosse queue veineuse en soupirant. Puis sa prise se raffermit sur sa nuque, alors qu’il écrasait le beau visage diaphane de Catalina contre son pubis en nage, ses couilles pressées contre ses lèvres. Il était bien trop fort pour qu’elle ne puisse le repousser et Jack savoura quelques secondes l’ivresse de sa toute-puissance sur la jolie brune avant de la relâcher. Immédiatement, la jolie catin s’enhardit, écrasant sa queue entre ses doigts fuselés. Oh, c’est qu’elle en avait de la force dans ses petites mains ! entre ses lèvres, son sexe avait encore enflé alors qu’elle l’agaçait du bout de sa langue. Tandis qu’elle l’astiquait, son autre main s’était frayée un passage entre ses cuisses amollies, qu’elle écarta ostensiblement, dévoilant le mont de son pubis. La position de la jeune femme, presque assise sur ses talons ne lui permettait pas de voir ses doigts pénétrer son sexe, simplement de les imaginer au rythme des oscillations nerveuses de son poignet…Ce qui paradoxalement, était presque plus excitant encore.

« Ça te plaît toujours autant de te branler devant moi, hum ? Garce ! » A en juger par ses gémissements et au mouvement qu’elle imprégnait à ses hanches, la brunette prenait un délicieux plaisir à s’exhiber de la sorte. Il nota soigneusement cet élément dans un coin de sa mémoire. 

A présent, un léger clapotis caractéristique s’ajoutait aux obscènes bruits de succion que produisaient ses lèvres autour de son chibre turgescent. « Tu mouilles ma belle », constata Taylor, alors que Catalina se lovait contre le pénis de son amant, compressant son gland violacé avec sa joue. Puis elle renfourna cette queue colossale, dont la largeur excédait celle de son propre poignet avec une surprenante facilité, empalant d’elle-même sa gorge meurtrie sur le pal. N’y tenant plus, il agrippa à nouveau la chevelure de jais de la jeune femme et la serra entre ses doigts tremblants, alors qu’il se penchait à son oreille, l’abreuvant de son souffle tiède. 

« Baise-toi ma puce, baise-toi FORT », lui susurra-il d’un ton inégal, alors qu’elle s’oubliait, se masturbant presque frénétiquement, les joues déformées par le chibre qu’elle cajolait.

De toutes évidences, sa petite femme n’allait pas tarder à jouir. Qu’elle était belle ainsi, évertuée à lui faire plaisir, sa grosse queue fourrée au fond de sa gorge ! Ce fut l’orgasme de la jeune femme qui le fit partir à son tour. Lorsque les doigts de Catalina écrasèrent ses couilles il écarquilla les yeux, presque surpris de l’onde de plaisir qui l’assaillait. « Oh pu-tain », parvint-il à articuler avant de se raidir en se mordant la lèvre inférieure jusqu’au sang. Puis il déchargea. Sa queue s’agita de brefs soubresauts, avant de cracher son foutre tiède en puissants jets qui brûlaient son urètre. « Hmmpf. » La semence déborda bientôt de la commissure des lèvres de la brunette. Ôtant précipitamment son sexe des doigts de fée de Catalina, il saisit son vit entre ses doigts serrés pour se branler lui-même. Les muscles raidis par l’orgasme, Jack hoqueta en dirigeant de nouvelles salves de sa semence vers le visage de Catalina pour la souiller. Il l’aspergea littéralement, maculant son visage altier, ses cheveux défaits, ses seins lourds, jusqu’à ce que le flot ne se tarisse et que pantelant, il n’écrase son gland visqueux sur ses lèvres.

« Ooh… » trempé de sueur, le corps sculptural de l’agent spécial sembla chanceler un court instant, alors que ce dernier se passait une main dans les cheveux, afin de repousser les mèches qui l’aveuglaient. Mais il se reprit bien vite. S’emparant des coussins qui trônaient sur le canapé, il les jeta un à un à même le sol juste à côté de Catalina, alors que la jolie brune reprenait ses esprits, formant une espèce de matelas improvisé plutôt confortable sur lequel il se laissa tomber. Sa queue, partiellement débandée restait énorme entre ses cuisses musculeuses et son méat suintait encore, tâchant le lino de la chambre d’hôtel. Sur le flanc, soutenant sa tête avec sa main il l’observa un court instant, le sourire aux lèvres, avant de l’attirer tendrement vers lui, l’allongeant sur la couche improvisée.

« Quel goût a mon foutre ? », lui glissa-il en se penchant sur elle, avant de l’embrasser subitement, mélangeant sa langue à la sienne, pendant de longues secondes avant de séparer leurs lèvres, reliées par un onctueux filet de salive et de semence. Puis il enlaça son corps tiède, caressant distraitement ses cheveux souillés. « Dire que je me préparais à passer la nuit seul, comme un célibataire endurci. »

Alors qu’il s’apprêtait à embrasser encore la jeune femme, la porte de la suite s’entrouvrit et un rai de lumière les aveugla alors qu’une silhouette indistincte s’avança…Avant de s’arrêter tout net en étouffant une exclamation de surprise. L’inconnu se retira, refermant précipitamment la porte en bredouillant des excuses. Interdit, Jack haussa les sourcils avant de regarder Catalina, puis d’éclater de rire. Décidément, cet hôtel enchaînait les bourdes.

« J’aurais dû l’inviter à rentrer, tu ne crois pas ? »

Il n’avait pas vu à quoi ressemblait l’inconnu et à vrai dire, s’en foutait pas mal ; sa question visait davantage à sonder l’ouverture d’esprit de son amante…Du moins pour l’instant.

Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 13 samedi 10 mars 2018, 20:57:39

Hagarde après l’orgasme qui l’avait terrassée sans prévenir, qui l’avait propulsée dans les strates supérieures du plaisir, la veuve avait pourtant accueillie avec ferveur la jouissance de son amant, avalant de grandes gorgées de son foutre sans parvenir à tout garder cependant. Elle avait ouvert la bouche en grand quand il s’était extirpé de l’étreinte voluptueuse de ses lèvres rougies et elle avait, de plus belle, reçu de nouvelles salves de son plaisir en poussant des petits gémissements langoureux. A chaque jet qui s’échouaient sur son visage, sur ses seins ou même dans ses cheveux, la brune soupirait, alanguie, flottant encore sur le nuage crépitant de l’orgasme.

Ses paupières entrouvertes, sa vision était désormais gênée par ce sperme, un peu gluant, qui couvrait son visage. Mais ça ne la dérangeait pas. Elle était honorée par son compagnon, et elle en était fière. Sa langue sortie lapa même à quelques reprises le gland qui s’était reposé contre ses lèvres avides. Elle léchait la sève qui le maculait, qui la maculait également, avec des petits couinements satisfaits.

Le souffle court, Catalina ôta doucement la main qui s’était enfouie entre ses cuisses, dans les replis de sa chair tendre. Une main luisante, désormais, couverte des fluides de son orgasme. Elle reprenait son souffle sans cesser d’observer Jack. Et quand il s’allongea à ses côtés, sur les coussins qu’il avait jeté au sol, elle lui offrit un sourire gourmand, repue momentanément mais pas rassasiée. Elle se laissa avec plaisir couler contre lui, se lovant contre son corps ferme, brûlant. Ses lèvres gonflées répondirent d’instinct à son baiser, libérant le passage à sa langue enjouée. Elle le laissa avec joie goûter à son sperme, son bras gauche venant s’enrouler autour de son cou pour mieux que leurs corps s’imbriquent. Le droit, lui, passa dans son dos, en caressant rêveusement les muscles, ses omoplates, sa colonne vertébrale, le pressant contre elle si le besoin s’en faisait sentir.

Elle lâcha un petit rire à sa remarque. Elle était bien, à ses côtés. Elle n’imaginait plus que la soirée ait pu se dérouler autrement. L’erreur de l’hôtel avait été une véritable bénédiction. Elle avait levé vers lui un regard malicieux, et elle lui tendait même à nouveau ses lèvres quand la porte s’ouvrit.

Trop rapidement pour que l’esprit alangui de la brune puisse réagir, un inconnu entra, les aperçut, et s’empressa de sortir en s’excusant. D’abord interdite, trop surprise pour ressentir une quelconque émotion, elle se mit à sourire plus largement alors que le rire de Jack résonnait dans son torse, contre sa poitrine encore sensible. Le petit courant d’air frais apporté par l’ouverture de la porte avait contribué à garder la pointe de ses seins tendue, écrasée contre les pectoraux du professeur d’anglais.

Ses lippes toujours étirées en un sourire amusé, la veuve se redressa sur un coude pour venir embrasser Jack. Elle glissa contre ses lèvres, contre sa joue, et fila lui mordiller légèrement le lobe de l’oreille.

« Tu aurais peut-être dû, en effet. Je n’ai rien contre un peu de compagnie en plus. Je n’ai que très peu de limites, tu le sais bien, mon cher époux, lui souffle-t-elle avec un petit ricanement amusé. Plus on est de fous, plus on rit, n’est-il pas ? »

Pour être ouverte d’esprit, elle l’était, c’est certain. L’ancienne tueuse à gage n’avait effectivement que très peu de tabous. Et encore, c’en était uniquement parce qu’elle ne prenait pas de plaisir à les exécuter. Ce n’était pas, en soi, quelque chose de choquant. Comme elle l’avait dit, elle n’avait rien contre un peu de compagnie en plus. Ce n’est pas qu’elle était insatiable dans les jeux de l’amour, mais qu’elle avait une assez grande endurance. Si la gourmandise était un vilain défaut, l’un des péchés capitaux, alors elle se damnait volontiers et ce depuis longtemps.

Catalina lui sourit, à nouveau excitée par cette idée qu’il avait évoquée. Lovée contre lui, il pouvait sentir la chaleur qui s’emparait de ses reins. Surtout lorsqu’elle glissa une jambe entre les siennes, chevauchant presque sa cuisse, s’y frottant, lascive. D’une main caressante, elle effleura son front, venant mêler ses doigts dans les cheveux de Jack, l’agrippant pour mieux se coller à lui.

« Oh, mon chéri, tu es encore d’attaque j’espère, après cette longue journée de séparation. Parce que tu m’as tant manqué que chacun de tes mots éveillent mon appétit, lui susurre-t-elle, coquine. »

Elle prononçait chacun de ses mots avec douceur, à peine un souffle s’écrasant contre son oreille qu’elle maltraitait gentiment entre ses dents, tout en ondulant contre sa cuisse, serrant les siennes autour. Elle frottait son corps souple contre le sien comme pour le marquer de son odeur, un peu comme une chatte en chaleur. Féline et affamée.
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Stupre et homonymie [Cata]

Réponse 14 lundi 19 mars 2018, 18:07:19

La belle brunette s’était-elle aperçue de l’ombre qui était passée sur le visage de l’agent américain, lorsque l’inconnu avait pénétré leur dit douillet ? Apparemment point, puisqu’elle se lovait amoureusement contre lui, ses formes voluptueuses écrasées contre ses muscles saillants.

« Oh, oh, tiens donc ? Comme tu le sais, je suis d’un naturel plutôt partageur… Peut-être pourrais-je rappeler ce groom ? » s’il n’avait pas pu distinguer les traits de l’intru, il avait entraperçu la livrée rouge de l’établissement avant que la porte ne se referme. Et la belle dévergondée de se frotter à lui, frôlant et frottant sa grosse queue encore engourdie contre sa croupe. « Tu es tellement insatiable que je m’en voudrais de ne pas te combler toute entière, ma chérie. Par ailleurs, il me semble parfaitement injuste de laisser ce pauvre bougre, avec la belle érection que tu lui auras sûrement inspirée. » les doigts de l’agent Taylor se refermèrent sur la cuisse de Catalina pour en pétrir la chair, alors qu’il enfouissait son nez dans ses cheveux défaits pour en humer les embruns. Par chance, le téléphone se trouvait sur une table basse à portée de main. S’emparant du combiné, Jack appela la réception qui lui répondit après une unique sonnerie.

« Bonsoir Monsieur…Taylor. Comment puis-je vous aider ? »

La légère oscillation des hanches commençait à faire son effet. Doucement, inexorablement, l’énorme queue du professeur reprenait du volume. « Oui, bonsoir mademoiselle… Mon épouse et moi avons été disons, un peu perturbé par l’entrée d’un membre de votre personnel… » Sa main libre se referma sur le sein gauche de son amante dont il tritura négligemment le tétin déjà érigé. Au bout du fil, la jeune femme marqua un temps de pause, avant de reprendre la parole, visiblement très gênée.

« Oui c’est… Un de nos nouveaux employés. Il a cru que vous l’aviez invité à entrer après qu’il ait frappé à la porte, mais il semble qu’il y ait eu méprise…Soyez certains que nous l’avons sévèrement réprimandé. Par ailleurs, l’hôtel se permet de vous offrir une bouteille d’un excellent Moët & Chandon pour le dérangement. »

« Ah oui ? Ecoutez, ce n’est pas bien grave. En vérité, il me semble avoir déjà vu ce jeune homme quelque part, c’est la raison pour laquelle je vous appelle. Pensez-vous pouvoir me le renvoyer ? »
il marqua une pause. La feinte curiosité qu’il avait employée dans le ton de sa voix était un peu surjouée, mais il espérait que ça passerait. « Avec le champagne, bien entendu », ajouta-il, en souriant à Catalina. « Ne vous inquiétez pas, je ne lui passerai pas de savon supplémentaire ». Bien au contraire, l’employé n’allait pas regretter sa journée, si les choses se passaient comme prévu ! A l’idée de se partager la belle brune avec un parfait inconnu, sa bite se gorgea encore de sang. Reculant légèrement le bassin, il guida éhontément son gland vers la vulve entrouverte de Catalina. Coinçant le téléphone entre son épaule et son oreille il raffermit sa prise sur les hanches de la brunette et poussa d’un coup sec, enfouissant brutalement une bonne moitié de son chibre veineux dans l’intimité de la jeune femme et se mordant les lèvres pour ne pas grogner de plaisir. De l’autre côté du combiné, son interlocutrice s’impatientait.

« Monsieur Taylor ? »

« Humm…Moui ? Excusez-moi, j’ai été…Distrait. »

« Ce n’est pas grave. Je vous envoie Ian immédiatement ».

Lorsqu’elle raccrocha, Jack laissa tomber le téléphone sur la moquette pour envoyer une belle claque rougir le cul de la belle brune avant de s’enfoncer en elle jusqu’à ce que ses couilles ne percutent son postérieur rebondi. « Hmf », grogna-il, lui brûlant la nuque de son souffle d’animal en rut. « Tu vas être gentille avec « Ian », d’accord ma puce ? Tu vas bien le sucer pour qu’il puisse te baiser comme une chienne », lui glissa-il, alors qu’il s’enhardissait, écrasant ses fesses musculeuses contre les reins de la jeune femme, la faisant rebondir contre sa grosse queue gonflée. Il s’apprêtait à claquer une nouvelle fois les fesses de l’élégante catin, lorsque trois coups brefs furent frappés à la porte de leur chambre.

« Entrez ! », cria-il, sans cesser de besogner Catalina.

La porte s’entrouvrit, une nouvelle fois, dévoilant le visage circonspect d’un groom, tenant un plateau sur la paume de sa main droite. Si ses yeux s’écarquillèrent devant l’impudeur du couple, il parvint à conserver son assise et sa dignité. « Monsieur m’a fait demander ? » l’employé était un homme solidement charpenté au charme un peu brut. Il portait une courte barbe drue qui le vieillissait de quelques années et ses cheveux blonds mi-longs étaient réunis un court catogan. Malgré le calme qu’il s’efforçait d’observer, il avait le souffle court, ce qui mettait en valeur la musculature qui gonflait le tissu de sa chemise. Mais là ou le corps de jack restait relativement sec et élastique, Ian avait des muscles plus lourd, probablement issu du travail manuel. « C’est… exact. Hmpf… Fermez la porte, Ian… Et…Foutez-vous à poil. »

Cette fois-ci, Ian tituba et manqua de faire tomber son plateau. « Mais enfin Monsieur, je ne…Ce n’est pas permis ! » malgré ses dehors de gaillard, une certaine naïveté se dégageait du regard et du ton du groom. Voyant que le pauvre bougre restait figé, Jack saisit l’une des cuisses de Catalina pour l’écarter, dévoilant la vulve écartelée de l’incendiaire Catalina. Ian déglutit, puis sembla réaliser qu’une énorme érection déformait son pantalon. Dans un état second, il ferma la porte, déposa le champagne sur la table passe puis se dévêtit précipitamment, faisant sourire l’agent Taylor.

« Hé bien ma foi, le groom a une grosse queue, lui aussi ! Voilà qui va plaire à ma petite femme ! Allons du nerf mon garçon, vous voyez bien que l’amour de ma vie lorgne votre bite ! »


Le jeune homme hocha la tête avant de s’accroupir, puis de s’agenouiller devant le couple enlacé. Souriant un peu bêtement, il s’empara de son pénis, qui tenait presque la comparaison avec celui de Jack, puis le présenta à Catalina.

« Euh…Enchanté m’dame, moi c’est Ian… »


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