Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dans de beaux draps ! Dans les ennuis, hein... pas de vrais draps. Quoique... PV

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Roxie

Humain(e)

 
Roxie observait un pianiste en train de taper sur le clavier de son instrument, installé dans la salle principale de l'auberge. Il s’agissait d’une musique douce, mais particulièrement complexe qu’elle s’efforçait de déchiffrer. Elle posait parfois une question au musicien,mais au bout de deux ou trois grognement comme simple réponse, elle abandonna. Elle soupira alors et patienta encore un peu avant de se lever brusquement et d’aller dans la chambre qu'elle avait louée. Elle ne croisa presque personne à l’exception d’Hélène, une serveuse qu’elle ne connaissait que depuis hier soir. La jeune femme attrapa quelques affaires et prit un bain singulièrement froid. Sûrement un souci de chaufferie. Elle eu beau ensuite se frictionner avec la serviette de toilette, elle ne parvint pas à se réchauffer correctement. Heureusement dehors, le soleil brillait de tous ses rayons et pas un seul nuage ne venait gâcher cette belle journée. Elle enfila donc une de ses robes légère, noua ses cheveux argent avec un ruban et déposa sur sa tête un large et élégant chapeau de paille qui la protégerait sans mal du soleil. Après avoir chaussé ses sandales, elle sortit de l’auberge.

Roxie se dirigea alors vers la rivière en contrebas du village et enleva une sandale pour tremper un orteil dans l’eau. Elle grimaça. Le soleil avait beau chauffer, cela ne suffisait pas à rendre l’eau agréable. Et puis de toute manière cela lui éviterait de reprendre un autre bain. L’eau froide c’est bon pour la santé mais avec modération tout de même.
Elle jeta alors un œil aux alentours. Son ventre gargouilla et elle rougit. Elle n'avait pas prit de petit déjeuner ce matin et pour cause, sa bourse était fortement réduite. Elle devrait peut-être se débrouiller par elle-même. Avec un peu de chance, les arbres de l'autre coté de la rive donnaient de bon fruits. Elle hésita encore un peu puis se décida à se diriger vers l'autre rive. Il y avait un petit pont un peu plus loin.
Et en cherchant bien, elle trouva quelques fruits délicieux et sucrés.

Il était maintenant grand temps de rentrer. Elle repartit alors vers la centre du village. Le sourire aux lèvres, elle était ravie d’avoir réussi. Mais il restait encore à retrouver l'auberge. Et là se posa le problème. Les minutes passaient et Roxie n’avait toujours pas aperçut le bâtiment… et les rues ne lui disaient soudain plus rien du tout. Oh non ! Elle s’était perdue ! Elle s’arrêta alors au milieu d’une ruelle, le cœur battant et scruta les bruits aux alentours. Mais rien, tout semblait tout à fait silencieux. Bizarre. Elle allait reprendre sa marche, en réalisant qu'elle se trouvait dans un quartier très peu fréquentable, lorsque soudain, des bruits de pas retentirent. Elle retint une exclamation de frayeur et chercha une porte qui pourrait l’emmener dans une maison quelconque et lui servir de cachette. Elle en aperçut une et s’y engouffra, la refermant vite en tentant de ne pas trop se faire repérer. Elle était tout à fait dans le noir désormais. A tâtons, elle avança centimètre par centimètre. Soudain son pied se déroba ou roula sur quelque chose et dans un cri qu’elle ne put retenir, elle s’étala de tout son long sur le sol. Elle gémit en sentant une douleur à sa cheville, puis paniqua lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir. Elle se releva et s’avança dans l’obscurité totale sans réfléchir à ce qui pouvait se trouver sur son chemin. Elle avança ainsi un moment et se plaqua dans un coin sombre au moment ou de la lumière pénétra la pièce. Elle ouvrit de grands yeux et plaqua ses petites mains sur sa bouche pour ne pas hurler en voyant que ce sur quoi elle avait trébuché près de la porte était... un corps humain. Surtout ne pas crier… ne pas vomir. Quelle horreur ! Mais où se trouvait-elle donc ?

Rahemar

Dieu

On dit qu'un dieu, par extension, parfait, ne devrait pas avoir à supporter l'ennui. Et pourtant… pourtant, il fallait avouer une chose : Rahemar était en manque d'une nouvelle distraction, d'un nouveau jeu ! Il lui fallait donc trouver quelque chose, que ce soit une nouvelle tête à) martyriser, une ancienne à faire replonger, ou les deux en même temps, bref, trouver une victime qui puisse présenter une quelconque forme d'intérêt, aussi temporaire que ça puisse l'être. Oui, il pouvait très bien garder un jeu sur des millénaires ou moins d'une heure ! Cela dépendait du plaisir qu'il tirait de la situation. Avec Roxane, par exemple, le jeu prenait un temps considérable… il sourit à cette idée.

Errant dans les terres, kil finit par s'engouffrer en ville. Là, la populace abondante  lui permettrait de trouver chaussure à son pied alors qu'il  déambulait, invisible, éthéré, intangible, comme une chose inaccessible. Il finit par être attiré, du coin de l'œil, par une jeune femme qui s'engouffrait dans le véritable dédale que formaient les ruelles de la basse-ville. Il sourit et regarda la jeune femme avec un petit sourire non sans se dire, au fond « pourquoi pas »…

Il la suivit, sans faire le moindre bruit, et constata avec un brin de déception qu'il n'était pas le seul à la suivre, un groupe de malandrins, il lui semblait ; Ou un de ces groupes d'esclavagistes dont il avait su protéger sa « chère » Roxane. Il prit l’apparence de la victime et partit sur une autre piste, disparaissant dans un cul-de-sac pour les y planter et reprendre sa route vers le bon chemin. Voilà, bon débarras !

Il revint vers elle et passa sous la porte qu'elle avait empruntée comme de la fumée. Pour voir ce qui se passait… elle était là !  Parfait !  Parfaitement parfait ! Il eut un petit sourire en coin en voyant la présence du cadavre. Il avait la gorge ouverte, d'un bout à l'autre, les yeux énucléés et vu la quantité de sang et le joli petit tas de peau, il avait été, en partie au moins, écorché vif… cela ressemblait à une forme de torture. On lui avait infligé tout ça pour qu'il parle. Avait-il parlé ? Vu la mort miséricordieuse, sans doute, oui.

Il en eut une sorte de frisson d'excitation, alors que l'idée prenait déjà corps dans son esprit… il repassa de l'autre côté de la porte, comme il était venu et prit l'apparence d »'un soldat, musculeux, une épée courte à la main, un bouclier accroché dans le dos, une armure en cuir qui lui couvrait le pectoral. Il tambourina plusieurs fois à la porte.

« Gurkhal, ouvre ! »[/b][/i]

Plusieurs invectives suivirent avant de finalement  enfoncer la porte comme de rien, d'un coup d'épaules. Il avait une carrure impressionnante, si bien qu'il dut légèrement se baisser pour passer par l'encadrement. Il resta figé devant le cadavre un moment, comme figé, avant de détailler le reste de la pièce. Et de voir la mine de l'inconnue. Elle avait du sang sur selle !  Rahemar était ravi, en exprimant ce regard comme si c'était elle, forcément !

« C'est toi qui a fait ça ! » [/b][/i]

Il se jeta sur elle pour la saisir par les cheveux et la soulever du sol.

« Pourquoi ! Allez, raconte-moi tout ! Et je te jure que tu ne souffriras pas plus que lui ! »* [/b][/i]

Il s'agissait d'un grondement alors que la lame venait caresser sa gorge...


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