Un retour de campagne mouvementé (PV)

Roxie était très gênée. Elle enchaînait décidément les bêtises depuis tout à l'heure, ce qui n'était pas trop dans ses habitudes. Mais cela devait certainement venir de la fatigue, mais aussi de la présence et du comportement d'Arthur. Elle était une jeune femme, et ne pouvait pas rester insensible face à ses compliments, ses regards et sa gentillesse. Et tout ceci bien entendu la troublait et la poussait donc à agir de manière bizarre et peu réfléchie. Voilà pourquoi elle se retrouva comme une idiote dans la chambre de l'aventurier alors que celui-ci se changeait.
Roxie ne pouvait que rougir et tenter de ne pas regarder. Elle aperçut néanmoins qu'il était bien battit... et blessé. Elle s'en inquiéta sur le coup, car la blessure avait l'air assez grave. Mais comme l'homme ne semblait en souffrir pour le moment, elle se garda de lui faire la moindre remarque. Peut-être avait-il eu des ennuis avec d'autres bandits ? A cette idée, la demoiselle se dit qu'elle était bien heureuse qu'il n'ait pas eu à se battre tout à l'heure, car cela aurait pu être grave pour lui.

La jeune femme se proposa de sortir, pour lui laisser un peu plus d'intimité, tout simplement. Mais Arthur n'avait apparemment pas très envie qu'elle s'en aille. Il s'approcha et tenta d’atténuer sa nervosité et ses reproches à son égard. Il lui dit qu'elle était trop dure avec elle-même et qu'elle n'avait pas à s'en vouloir encore pour si peu. Ce n'était que du vin, c'est vrai. Pourtant, la demoiselle aurait préféré ne pas donner cette image maladroite d'elle-même qui était fausse. Attentionné, Arthur posa ses mains sur ses épaules pour la masser doucement. Roxie ne put que fermer les yeux et apprécier. C'était la première fois qu'on la massait, et après tant de journée sur les routes, cela était particulièrement délassant et agréable. Elle sourit. Arthur était vraiment un homme gentil et aux petits soins pour elle. Elle en était touchée.

Elle sortie un peu de ses rêveries lorsqu'elle le sentie bouger et se retrouver face à elle. Il plante son regard dans le sien, et Roxie se sentit toute chose. Comme si ce regard la captivait. Il lui caressa la joue, lui dit qu'elle était magnifique, et qu'il la désirait. Le cœur de la demoiselle se mit à battre la chamade, elle rougit, le souffle coupé par cet aveux. C'est alors qu'il l'embrassa. La jeune femme fut incapable de bouger, quand bien même elle en aurait eu envie, elle n'aurait rien pu faire.
Ce baiser était agréable. Surprenant, mais agréable. Elle était nerveuse, car elle n'avait jamais fait une telle chose avec un garçon. Mais Arthur avait le don de lui inspirer confiance. Elle commença alors tant bien que mal à se détendre, et entrouvrit légèrement ses lèvres pour accueillir davantage le baiser de l'homme et y répondre. C'était timide, léger, et elle glissa tendrement une main dans la nuque du voyageur tandis que leurs souffles se mêlaient. Qu'était-elle en train de faire ?

Arthur prit les devants avec la jeune femme en l'embrassant de la sorte. Il sentait bien qu'elle était gênée mais pas contre de cette approche charnel. Le jeune mercenaire sentait bien que la jeune femme avait pas l'habitude de ce genre d’événement et qu'il faudrait aller doucement avec elle de peur de l'effrayer. Ce n'était pas grave pour le chevalier d'un soir. Il avait l'intention de ce montrait doux et d'y aller délicatement avec elle. Le baisé dura une éternité. Cela était agréable pour le jeune homme qui avait connut que la guerre, la violence et la haine ces dernières semaines et ce retrouver au contacte d'un langoureux baisée d'une douce jeune femme à la gentillesse incroyable contraster avec la vie du mercenaire. Cette douceur était tellement apaisante que Arthur arrivait à oublier ses blessure.
 
longuement mais assurément, les deux corps ce rapprochaient l'un de l'autre sentant une envie de ce contacte si agréable. Il passa ses mains derrière la jeune femme et l'enlaça pour la sentir contre elle tout en conservant ce baisé. L'excitation du jeune homme  monta alors en flèche ne pouvant que la désirer d'avantage. Finalement, le baisé ce termina et toujours en gardant la jeune femme dans ses bras, il plongea son regard dans les yeux de la jeune femme. Il pouvait apercevoir le teint rougeâtre de Roxie mélangeant gêne et plaisir coupable. Elle était tellement mignonne avec cette ce visage.

-n'ayez pas peur et laissez moi faire. Je vous promets de faire très attention à vous.

Lui chuchota t'il dans l'oreille pour espérer la rassurer légèrement. Arthur ce doutait fortement que ça devait pas être évident pour elle. Sur ces mots, il plongea doucement dans le cou de la jeune et commença à y déposer de très délicat baisé sur la peau de son cou. De même que ses mains faisaient de très léger mouvements de caresse dans le dos de la jeune femme.

Il jouait de langue dans le creux du cou. Tantôt il montait légèrement, tantôt il embrassait cette douce peau. Il faisait très attention aux réactions de la jeune femme pour savoir à quel endroit la faisait réagir au mieux. Discrètement, sa main droite revint devant la jeune femme et attrapa les lacet qui servait à attacher la robe de la jeune femme. Très délicatement, il tira dessus et dénoua la robe. Avec l'aide de son autre main, il écarta l'ouverture de la robe cherchant ainsi à dévoilé les épaule de la jeune femme. Ses baisés accompagnait l'ouverture de la robe embrassant petit à petit la peau qui ce dévoilait.

Dans son action, Arthur cherchait à faire tomber la robe sur le sol afin de dévoilé la beauté charnel de Roxie caché par ses vêtements.

Roxie avait cette sensation étrange d'être comme une voleuse que l'on prend en flagrant délits. Pourtant... le désir était-il vraiment interdit ? Non, pas qu'elle sache. Mais c'était sans doute sa bonne éducation et sa peur de l'inconnue qui lui donnait cette impression. Mais plus elle y réfléchissait et plus le baiser durait, plus elle se disait que ce n'était pas la peine d'être aussi gênée et peureuse face à cela. Après tout, elle n'était ni la première, ni la dernière à faire cela. Et si la majorité des gens aimaient beaucoup ces contacts, c'était sans aucun doute pour une bonne raison, n'est-ce pas ?
Malgré tout, Roxie rougissait encore, c'était plus fort qu'elle. Son cœur battait tellement fort, comme si elle avait encore cette sensation de braver l'interdit. Remarque, c'était assez grisant quand on y pensait.

Lorsque le baiser prit fin, elle se sentait toute chose. Cela fut si agréable de sentir ses lèvres et son souffle chaud contre sa bouche. Oui, elle devait bien avouer que cela avait déclenché quelque chose d'agréable en elle. Arthur était quelqu'un de bien et de doux et il lui prouva une nouvelle fois en la rassurant et en lui disant  qu'il ferait très attention à elle, qu'elle ne devait pas avoir peur. Roxie avait confiance, elle hocha donc doucement la tête sans le quitter des yeux. Elle était curieuse de savoir ce qui allait se passer ensuite, même si elle était toujours intimidée.
L'homme commença alors à l'embrasser dans le cou. La demoiselle se mit à frissonner, c'était un contact particulièrement agréable qui fit grimper la température dans son corps. Sans parler des caresses dans son dos qu'il faisait avec ses mains chaudes et puissantes.

Roxie se sentait bien et se collait contre lui, fermant les yeux pour mieux apprécier les sensations qui montaient en elle. Puis elle sentit quelque chose d'humide et chaud contre sa peau. Arthur se servait de sa langue pour lécher la peau délicate de son cou et cela déclencha une véritable petite décharge électrique en elle. Elle se mordilla la lèvre et soupira de plaisir. Oui, elle commençait à comprendre que cette chaleur en elle et ces frissons étaient tout bonnement de l'excitation et de l'envie. Et étrangement, ce fut plus prenant encore lorsqu'elle comprit qu'il cherchait à dénouer puis faire glisser sa robe. Elle aurait du se sentir gênée et peut-être l'en empêcher et pourtant, elle n'en avait aucune envie. Bien au contraire. Jusqu'à présent elle avait eu peur, mais maintenant, elle en avait envie. Oui, elle voulait découvrir le plaisir charnel avec lui, il lui donnait cette envie, elle ne pouvait pas lutter contre ça.

Alors, la demoiselle fit doucement rouler ses épaules, puis ses hanches, pour laisser le tissu glisser sur sa peau et envoyer sa robe au sol, dévoilant alors un soutien-gorge et une culotte en dentelle blanche, un peu transparent cela dit. C'était peut-être étrange des sous-vêtements aussi affriolants pour une vierge comme elle, mais elle avait toujours aimé la lingerie. Elle souleva une jambe, puis l'autre, et d'un coup de talon, elle envoya la robe un peu plus loin derrière elle, retournant également à l'assaut des lèvres de l'homme. Elle aimait ses baisers et le lui faisait comprendre. De son côté, elle ne savait que faire. Donner du plaisir à un homme semblait peut-être facile à imaginer, mais bien plus compliquer à concrétiser. Elle préférait donc attendre un peu de peur de faire une bêtise.

La jeune amante ce laissait faire et n'opposait aucune résistance quand Arthur lui défit les lacets de sa robes pour la lui faire glisser le long du corps dévoilant ainsi le sublime corps de la jeune femme. Arthur appréciait particulièrement l'observer ainsi. Il sentait aussi que la jeune femme se laissait aller petit à petit au plaisir de la chaire et qu'elle ce détendait gentiment. Les souffles et petits gémissement venant de la jeune femme excitait d'avantage le jeune bretteur. Et comme signe de désire, la jeune femme revint à l'assaut de langoureux baisé. Des baisés que le jeune lui rendait avec une envie et un désir non dissimulait. Bien qu'elle semblait hésitante, elle ne cachait pas son envie.

Lors de ses baisés interminables, Arthur prit davantage la jeune femme dans ses afin que leurs corps à moitié nu puisse avoir un premier contacte ensemble. Ces baisés ne semblait jamais ne vouloir ce terminer tant ils étaient passionné et langoureux. Arthur laissa aller ses mains parcourir le corps de la jeune femme. Tantôt il lui caressait le dos, tantôt il passait sur les hanches sans oublier de caresser les douces fesses de la jeune amante. Délicatement et sans cesser ce contacte passionné des lèvres. Arthur ce dirigea dans la pièce entraînant la jeune femme avec lui pour que cette dernière ce retrouve dos lit. Toujours délicatement, il pencha la jeune femme et la coucha sur le doux matelas. Il libéra alors ses lèvres de celle de Roxie et, positionné sur elle tout en faisant bien gaffe à ne pas l'écraser de son poids, la regarda droit dans les yeux.

-tu es magnifiques.

Lui chuchota t-il doucement. Et sur ces mots, il fondit à nouveau dans le creux du cou de la jeune femme tout en laissant ses mains continuaient à caresser le corps de Roxie. Puis très discrètement, ses mains remontèrent vers la poitrine de la jeune femme et décrocha furtivement son soutien-gorge. Il allait doucement pour dévoiler les seins de la jeune femme conscient que cette dernière n'était pas très habitué.

-n'ai pas peur. Je te promets que tu vas apprécier.

Lui dit-il pour ne pas la brusquer trop.

-laisse toi faire.

Rajouta t-il tout en lui attrapant ses poignées et en les plaçant aux dessus de la tête de la jeune femme pour que cette dernière puisse ce laisser faire doucement. C'est alors que le jeune homme descendit sa tête vers l'un des seins et qu'il commença à jouer avec sa bouche. Il embrassait le bout du sein et de sa langue jouait avec le tétons cherchant à lui faire le plus de plaisir possible ainsi. Quelque fois il lâchait le sein pour porter son attention au cou de la jeune femme et d'y lasser un sillage de baisé sur la douce peau avant d'aller chercher les lèvres de Roxie pour lui offrir un baisé passionné et ensuite il redescendait pour s'amuser de la même manière avec l'autre sein. Il continua son manège un long moment alternant douceur et quelque fois ce montrant plus envieux et intense

Roxie se laissait petit à petit emporter par ses émotions, ses envies et ses désirs. C'était plus fort qu'elle, même si cela la gênait beaucoup de réagir ainsi, elle savait parfaitement qu'elle avait envie de faire l'amour avec Arthur, de découvrir ce que c'était. Cette sensation augmentait pendant leur baiser et continuait allègrement sous les caresses de l'homme. Leurs corps étaient très proches, et elle frissonnait un peu, car le corps puissant et masculin du guerrier lui faisait beaucoup d'effet, elle qui n'aurait jamais cru réagir autant à cela.

Même les mains masculines qui descendirent le long de sa taille et sur ses fesses de la choquèrent pas, ni ne l'effrayèrent. Elle s'était tout simplement faite à l'idée qu'elle allait faire l'amour avec lui, et qu'il allait donc parcourir son cœur intimement, comme jamais personne ne l'avait fait. Peu importe, cela lui convenait et lui faisait même plaisir. Elle s'avouait enfin aimer ces attouchements.

Au bout d'un instant, l'homme l'entraîna vers le lit. Elle n'avait toujours pas peur et le laissa faire, se retrouvant alors allongée sur le lit. Voilà... l'instant fatidique approchait encore davantage, son souffle se faisait plus saccadé, son cœur palpitait follement dans sa poitrine, et le désir chaud envahissait son corps tout entier, si sensible à chacun de ses caresses. Il cessa un instant leur baiser pour lui dire qu'elle était magnifique, et cela la fit rougir et lui fit plaisir, la rassurant. S'entendre dire par un homme qu'on a corps magnifique, pour une jeune femme comme elle, cela était émouvant.

Les mains d'Arthur vinrent alors se balader de nouveau sur sa peau, jusqu'à venir sur ses seins. Roxie ressentit un frisson à ce niveau là, surtout lorsqu'il dégrafa son soutien-gorge et laissa ses seins légèrement tendus et durcis d'excitation à l'air libre. Roxie retenait presque son souffle, mais le jeune homme continuait de la rassurer sur un ton doux et chaud. Alors elle se laissa faire et elle ne fut pas déçue.

Il prit ses poignets entre ses mains pour les relever, puis il commença à jouer avec ses seins à l'aide de sa bouche. Roxie ressentit un désir très fort l'envelopper toute entière, et elle sur se mordiller les lèvres pour retenir un gémissement. Ses seins étaient plus tendus que jamais, appréciant véritablement ce traitement excitant. La jeune femme pouvait aussi sentir cette envie dans son intimité qui malgré elle, mouillait doucement. Elle avait envie de lui, c'était indéniable.
Il alternait entre sa poitrine et sa bouche et elle lui rendait passionnément ses baisers en gémissant doucement. Jusqu'à ce qu'elle ose enfin murmurer :

- Hum... Arthur... j'ai tellement envie de toi...

Oui, elle avait osé le dire et ses joues rougirent en entendant ses propres paroles. Mais son intimité semblait la brûler tant le désir était brûlant. Elle était vierge et la plus petite des caresses ne manquaient pas de lui faire beaucoup d'effet. Doucement, tout doucement, elle approcha sa main entre eux et celle-ci se posa au niveau de l'intimité de l'homme qu'elle sentit plus gros et dur. Elle rougit encore un peu, quoique contente de lui faire un tel effet et souffla :

- J'ai envie de te sentir... en moi.

L'envie était trop grande pour qu'elle se taise, maintenant. Qu'allait-il décider ?

La tension était de plus en plus puissante dans ce lit. Les deux amants ce désiraient mutuellement et la chaleur augmentait au grès des attouchements que prodiguait le jeune mercenaire sur la belle aventurière. On pouvait entendre que les gémissements de la belle Roxie ce faisait de plus en plus perceptible. Elle semblait entrer de plus en plus dans ce jeu charnel. Cette envie grandissait en elle et cela pouvait ce voir sur le bout de ses tétons qui c'étaient durcit sous les traitement de jeune homme. Entre deux gémissements, la jeune femme lâcha dans un petit chuchotement combien elle avait envie de lui. Pour Arthur, elle ce sentait prête à aller plus loin et cella était même plus qu'un désir qui ce lisait aussi bien sur son de sa voix que sur sa façon de réagir aux moindre petite caresse.

Comme pour lui dire qu'elle ne pouvait plus attendre qu'elle le voulait en elle tout de suite, elle posa ses mains sur le membres tendu du jeune homme comme pour le caresser dont l'envie était perceptible à travers son vêtement. Comme pour répondre à son envie de de caresse, Arthur dégrafa son vêtement et sortie son sexe tendu par l'envie afin de sentir les douces mains dessus ce membre.

Suite à ça, Roxie exprima une seconde fois son envie de faire l'amour tant elle brûlait d'envie et de désir. Elle était et elle en avait plus qu'envie, alors Arthur libéra les poignées de son étreinte et ce mit à longer le corps de la jeune femme tout en laissant de très léger baisés dans son sillage. Il partie de la poitrine tout en passant pars son ventre pour enfin arriver à la limite de la peau et du sous-vêtements aux niveau du bas-ventre. Puis délicatement, il attrapa les cotés de la culotte et commença à la retirer. Il descendit le vêtement jusque vers les pieds de la jeune femme pour enfin lui ôtait totalement et remonta doucement vers son entrejambe qui dévoilé un sexe qui mouillait très légèrement. Arthur n'en n'avait pas terminé avec l'idée de lui procurer du plaisir et ainsi cultiver cette envie chez la jeune demoiselle. Toujours délicatement, il approcha sa bouche vers le sexe de Roxie et ce mit à la lécher. Sa langue baladait tout autour de cette et par moment frôlait l'ouverture du bout de la langue. Il s'amusait aussi à titiller le petit clitoris. Il avait envie de torturer d'avantage la jeune femme pour que cette dernière le désir encore plus.

Lors de ses attouchements, Arthur constata que la jeune femme était encore vierge. C'était une chose dont il ce doutait fortement et qu'il avait décidé d'y aller doucement avec elle. Cela ne ralentie en rien son envie de passer du bon temps avec elle. Il s'amusa à la torturer de cette manière un très long moment attendant le meilleur moment pour enfin passer au chose sérieuse.

Dès qu'il jugea que le moment était venu, il détacha alors son attention du sexe de la jeune femme et remonta doucement pour que leur corps puisse ce sentir l'un contre l'autre et que son sexe tendu soit prête à passer cette porte du plaisir. Il regarda Roxie dans les yeux et finalement entra en elle avec toute la douceur dont il était capable. Doucement mais sûrement, il la pénétra jusqu'à un certain niveau et fit une pause pour que la jeune femme puisse s'y habituer facilement.

-je vais aller délicatement.

Dit-il entre deux souffle d'excitation et un baisés passionné. Des qu'il sentit que c'était bon pour la jeune femme, il commença alors à faire de très délicat va et viens. Pour le jeune homme, cette sensations était parfaite et ce sentait merveilleusement bien,

Roxie était  vierge et ainsi elle était plus sensible aux caresses et aux attentions. C'était sans doute la raison pour laquelle elle était un peu empressée et bien plus à fleur de peau qu'elle ne l'aurait du. D'un côté, c'était comme si elle voulait que tout se passe vite, comme si elle craignait quelque chose, sans doute la douleur du dépucelage. D'un autre côté, c'était aussi dans l'envie de découvrir cette sensation de pénétration, ce fameux bonheur ressentit lors de l'union de deux êtres.
Mais Arthur savait comment s'y prendre et savait que passer aux choses sérieuses tout de suite aurait été du gâchis et une erreur, car elle l'aurait sans doute regretté plus tard. Au lieu de répondre à sa demande, il continua de la caresser et sortit son sexe de son pantalon.

Lorsque le membre fut en contact avec ses mains, la jeune femme rougit de plus belle, mais ne put s'empêcher de le toucher, de le prendre en main et de le caresser un peu, découvrant alors ce membre si étrange et si convoité. C'était étrange, mais agréable.

Arthur commença alors à descendre le long de son corps, et lui enleva le dernier morceau de tissu qu'elle avait sur elle. Le souffle court, elle le laissa faire et l'aida un peu en soulevant ses fesses. Elle se demandait ce qu'il avait derrière la tête au juste. Elle comprit assez rapidement lorsqu'il approcha son visage entre ses cuisses pour jouer de sa langue avec son intimité. Roxie eut un hoquet de surprise et de plaisir, plaquant alors ses mains de nouveau libre sur sa bouche pour réprimer un petit cri de plaisir. La sensation fut si brusque et si puissante qu'elle s'était vraiment laisser surprendre. Son corps fut secoué d'un tremblement et le plaisir grimpa en flèche, la paralysant presque.
Respirant profondément, elle se calma un peu, profitant de ce traitement aussi gênant que délicieux.

Au bout d'un moment, il cessa et remonta le long de son cœur. Elle sentit son membre viril se presser légèrement contre son entrée interdite, alors elle retint un instant son souffle. Voilà, le moment fatidique allait arriver, elle allait perdre sa virginité et découvrir ce que c'était de faire l'amour. Cette idée la terrorisait autant qu'elle lui plaisait. Arthur la pénétra alors, tout doucement, la rassurant avec sa voix douce, avant d'entamer des vas et viens.
Lorsque l'hymen de la demoiselle se brisa, elle poussa un petit cri de douleur et se crispa, mais réussit sans trop de mal à oublier ce mauvais passage pour ne se concentrer que sur le plaisir. Et il était au rendez-vous. Plus il la pénétrait et plus le plaisir était intense.

Roxie laissait parfois échapper de petits gémissements entre deux soupirs, glissant ses mains dans le dos d'Arthur et écartant les cuisses pour lui faciliter le passage. C'était si bon ! Si prenant ! Elle comprenait pourquoi les gens aimaient tant cela. Et encore... elle n'avait pas vu grand chose.

- Hnnn... aaah... Arthur...

Elle ne pouvait s'empêcher de gémir, c'était plus fort qu'elle ! Pourtant elle essayait de se retenir, par gêne et parce qu'elle ne voulait surtout pas que des gens l'entendent.

Les premiers instants avaient pas étaient les plus agréables pour la jeune femme mais visiblement ce ne fut que de courte duré. Arthur pouvait voir et sentir que la gêne de toute à l'heure disparaissait petit à petit et que la jeune Roxie y prenait de plus en plus de plaisir. Il sentait son membre dans le sexe de la jeune femme et ce fut un moment délicieux. Après des semaines de guerre, il était toujours aussi agréable de sentir la douceur d'un corps féminin contre le siens. Malgré que ce soit la première fois pour Roxie, cette dernière semblait adorer ça et réclamer de sentir d'avantage ce contacte charnel en enlaçant le jeune guerrier. De plus, ses mouvements et ses petits gémissements retenue excitait davantage le jeune bretteur.

Profitant de cette étreinte, Arthur plongea sa bouche dans le creux du cou de la jeune femme et recommença à lui embrasser sa douce et à jouer avec sa langue. De temps à autre, il remonta son attention plus hauts plus attraper les lèvres de Roxie et ainsi lui voler de passionnant baiser. Contrairement à la jeune femme, Arthur n'en n'avait cure de savoir si oui ou non les chambres voisines les entendaient pendant leur débat. Il adorait profiter à fond des ces moments charnels.

Il avait commencé ses mouvements relativement doucement mais il augmentait petit à petit ses mouvements de bassins. Désirant de plus en plus la jeune femme. Allant de paires avec l'intensité naissante de ses va-et-viens, son souffle était de plus en plus prononcé et ses baisés était plus intense. Allant progressivement, il s'enfonçait d'avantage dans la jeune femme. Cherchant à la faire réagir d'avantage, il attrapa un de sein avec sa bouche et joua avec le tétons durcit de cette avec sa langue allant même jusqu'à très légèrement la mordre. Il adorait toujours autant torturer doucement ses conquêtes.

Puis au bout d'un long moment de débat intense avec la jeune femme, il ralenti très légèrement ses actions et tout en restant dans la jeune, s'écarta légèrement d'elle. Il avait une certaine idée derrière la tête. Il agrippa fermement les hanches de la jeune femme et très doucement, il ce mit à pivoter sur le coté. Il roula doucement avec la jeune femme afin qu'ils changent de position et le jeune guerrier ce trouva sur le dos toujours avec Roxie qui était assise sur lui. Il voulait que cette dernière s'empale de tous son poids sur son membre dresser par l'excitation. Sachant que Roxie était  pas encore habituer à cette posture, il y allait doucement et repris ses mouvements tout en tenant fermement les hanches et les cuisses de sa compagnes d'un soir. Il ne fallut pas longtemps pour reprendre un bon rythme de va-et-viens.

Arthur sentait son excitation grimper en flèche et son souffles s'accélérait au même rythme que ses mouvements.