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Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

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Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

dimanche 21 juin 2015, 20:54:00

Actuellement, il fait chaud. Du genre tellement chaud que je pourrais faire ma cuisine simplement en tendant une poêle à frire vers l’extérieur et la rentrer immédiatement pour avoir à manger. Mon stock de gâteau au chocolat ainsi que celui comportant toute la famille Kinder (Bueno, Country, Pingui pour ce qu’il reste) est littéralement clouée au frigo vu que je ne peux pas les sortir sans qu’ils fondent à vue d’œil. Et avec ma flemme, je suis restée pratiquement toute la journée sous la fenêtre à me masturber mollement l’entrejambe tout en mangeant des glaces à l’eau. Et toujours par flemme, je ne me suis même pas habillée. Même la nuit il fait chaud donc pourquoi s’encombrer ? Si je pourrais, je resterais dans le congélateur à ne rien faire d’autre que dormir, mais bon y’as pas marqué Häagen-Dazs sur mon front. Le magazine que je lis est relativement naze aussi. Il me servira limite me faire patienter quand je serais aux toilettes.

Mais ça, c’était avant. Avant quoi ? A la fin de ce magazine, j’ai trouvé un prospectus parlant de manière criarde qu’une séance photo allait se dérouler non-loin d’ici, à Seikusu city, où de la chair fraîche pourrais se présenter pour un shooting. J’ai pas tout compris, mais en gros, on pourrait paraître dans le prochain numéro ou non suivant comment se déroulerait la séance. Vu que celui-ci n’a pas l’air connu, c’est plutôt une bonne initiative de leur part. Et vu que c’est exactement le genre de choses que j’aime pour me faire connaître, je me suis dit que c’était une occasion à ne pas louper. Mais un gros problème était là... Vous savez, le genre qui vous regarde avec ses gros yeux rouges et qui cache toute votre misérable existence juste avec son ombre.

Il fallait… Que je me lève.

Sans rire, être allongé comme ça en train de manger une glace tout en me tripotant le minou au bord de la seule place où je peux avoir un renouvellement de l’oxygène, c’est le paradis. Et puis… J’ai vu que cela commençait dans quelques minutes.

Je me suis donc empressée de venir simplement vêtue d’un shorty blanc en jean et un top bretelle léger de même couleur avec Donald Duck dessus. Et maintenant, j’attends dans le couloir que la séance commence. Je ne me suis pas maquillée au cas où il y aurait du monde pour ça, mais si c’est pas le cas, je suis déjà bien canon sans artifices de toute façon. Ah et j’adore cette climatisation ! Même s’il fait toujours chaud à transpirer facilement.


Mélinda Warren

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 1 mardi 23 juin 2015, 00:09:35

Mélinda n’avait pas l’habitude de sortir de son manoir pour faire autre chose que trouver de nouvelles proies. Pour autant, elle savait qu’il fallait aussi diversifier son activité, et étendre son Empire commercial. C’est à ce stade qu’elle en était aujourd’hui : s’étendre. Maintenant qu’un clan vampirique allait se former, et que Mélinda était mariée, elle avait quantité de projets et d’idées qui remuaient dans sa tête. La simple gestionnaire d’un bordel de luxe disparaissait devant la Comtesse qu’elle avait toujours rêvé être... Et une Comtesse se devait d’avoir autre chose, comme revenus, qu’un simple harem. Et, surtout, une Comtesse devait faire plaisir à son aimée. Tout cela, toute sa nouvelle situation, Mélinda la devait à Vanillia Carnelle, qu’on pouvait, de fait, maintenant appeler Vanillia Warren. Les deux femmes s’étaient mariées dans la plus pure tradition vampirique, et, depuis lors, Mélinda avait été officiellement anoblie, mettant fin à l’ignominieuse décision de son père, il y a plusieurs siècles, de la déshériter en faisant d’elle une esclave. Elle était maintenant une noble, et elle comptait offrir un cadeau à Vanillia... Joindre l’utile à l’agréable. Mélinda avait donc décidé de s’inscrire à un concours de photographie organisée par une mystérieuse société japonaise. Un nom incompréhensible et qui ne voulait rien dire, pour dissimuler les activités réelles de la société-mère pour laquelle cette filiale travaillait : la pornographie.

Le Japon était un pays qui avait une approche très paradoxale à l’égard du sexe, résultant d’une histoire spéciale, marquée par la sensualité, et heurtée par l’arrivée du catholicisme. Il en résultait ainsi cette situation troublante, selon laquelle on pouvait tout montrer, à l’exception des organes génitaux. Une sorte d’étonnante ambivalence amplifiée par le fait que, si la législation était assez stricte à l’égard de véritables personnes physiques, elle était beaucoup plus lascive à l’égard des dessins animés, dans la mesure où les dessins animés ne représentaient pas des personnes réelles. En conséquence, la société effectuant ce shooting très particulier avait pris énormément de précautions Mélinda avait choisi de s’y rendre, car elle avait envie de se constituer un book érotique pour l’offrir à Vanillia... Et, pour une fois dans sa vie, elle s’y rendait seule, et non en compagnie d’une armada d’esclaves.

Le fait que le concours commence à Seikusu l’avait intrigué, et, en faisant des recherches, elle avait découvert que, visiblement, la société en charge de cette séance était en réalité dirigée par des Tekhanes. L’idée était de réaliser dans plusieurs villes du Japon des compétitions en vue d’un grand concours national, lesdites compétitions s’étalant sur plusieurs jours, avec différentes épreuves, et un jury strict qui se chargerait peu à peu d’éluder toutes les participantes pour ne conserver que les meilleures. Un concours exclusivement féminin, qui, sous des termes pompeux et élusifs, se proposait de « photographier la magnificence du beau sexe », dans le « respect des traditions picturales et visuelles du Japon ». Un ensemble de phrases creuses pour désigner des photos de cul.

*Parfois, il faut dire les choses simplement...*

Mélinda avait opté pour des vêtements urbains, délaissant sa longue robe dorée au profit d’une chemise à manches courtes et d’une minijupe, portant aussi des collants et des bottes. Ses longs cheveux bouclés filaient en cascade dans son dos, et elle s’avança dans un hall central aux murs blancs. Tout était froid, sexy, chromé, avec des hôtesses dans de séduisants tailleurs bien coupés, mettant en valeur leurs seins. Tout le building appartenait au même groupe, « EUGENIX », avec un beau logo au centre du hall d’accueil. Des femmes à la voix sensuelle lui dirent où se rendre, et Mélinda eut l’intime conviction qu’il s’agissait de Tekhanes.

*Ce n’est pas surprenant, Ashnard dispose aussi d’une société fictive à Seikusu...*

Cette société se chargeait notamment de permettre aux citoyens ashnardiens de régler tous les problèmes administratifs. Quand on venait d’une autre dimension, il pouvait être difficile de justifier de son identité, et c’était pour éviter ce genre de soucis, susceptible d’aboutir à de gros problèmes, que le Conseil Impérial, en toute discrétion, avait chargé les services secrets impériaux de constituer une société-écran à Seikusu, dont le seul but était d’offrir à des gens comme Mélinda les moyens de pouvoir agir sur Terre sans avoir à craindre des problèmes administratifs.

Elle y songeait quand l’ascenseur la laissa à un étage. La vampire s’avança, se rapprochant du bureau, tenant entre ses mains l’invitation. Elle s’avança donc, et vit alors une jeune femme, avec un mini-short en jean minuscule, et un haut à l’effigie de Donald Duck... Et une longue chevelure rousse. Mélinda s’avança vers elle, et lui sourit.

« Hey ! Salut ! Je m’appelle Mélinda. Tu viens pour le concours de photo, toi aussi ? »

Elle l’observa un peu, en papillonnant des yeux, et la porte à côté de laquelle elles attendaient s’ouvrit rapidement, laissant place à une superbe femme dans une tenue blanche, avec une culotte, un ensemble typiquement tekhan.

« Salut, les filles ! Je vous en prie, rentrez... »

Elle les laissa entrer dans une grande pièce avec plusieurs appareils photos sur la droite montrant une sorte de chambre improvisée. Il y avait un ensemble informatique sur la gauche, avec plusieurs ordinateurs, et la femme leur sourit.

« Je m’appelle Pepper, c’est moi qui serais votre coach pour les séances photos ! Vous voulez un truc à boire ou à manger avant de commencer, les filles ? »

Pepper les dévisageait avec une lueur joyeuse dans les yeux.

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Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 2 mardi 23 juin 2015, 20:38:31

- Hey ! Salut ! Je m’appelle Mélinda. Tu viens pour le concours de photo, toi aussi ?

Je n’avais pas tilté que quelqu’un était arrivé jusqu'à entendre cette question à la réponse évidente. A vrai dire, j’étais plus concentrée sur l’air de la climatisation sur mes perles de sueurs que sur le restant de l’humanité. Cette femme était plutôt bien roulée, y’avais pas à dire. Je serais prête à parier une séance de pole dance payée plein pot que cette nana sait faire fantasmer les gens. Une poitrine mieux fichue que la mienne et mieux mise en évidence, même si de mon côté c’était limite fait exprès, un visage de princesse Disney pour adulte et toutes les fringues qui savait bien la mettre en évidence. Bon sang, si j’aurais été un mec, j’aurais explosé mon short et l’aurait salué avec ma virilité plutôt qu’avec des mots, une bise ou une poignée de main. Mais bon, je ne suis pas une bête sauvage non plus. En revanche, suivant ce qu’il allait se passer durant la séance, y’a de fortes chances que je mette à penser à elle quand je passerais sous la douche.

- Ho salut ! Oui c’est une bonne occasion de savoir ce que mon corps peut offrir. Tu peux m’appeler Liléanne.

Si cette fille n’est pas trop idiote, elle pourrait facilement deviner que la fille souriante et toute mimi en face d’elle n’était très clairement pas Japonaise, que son prénom était peu commun OU mieux qu’elle connaisse son pseudo de blogueuse, et qu’enfin ses fringues était surtout choisie à la va vite. Oui, je parle de moi à la troisième personne. Cela vous pose un problème ?

Pas longtemps après ce très court dialogue, la porte qui allait être tout notre centre d’intérêt finit par s’ouvrir. Une femme toute aussi canon, mais dans un autre registre, en sortit avec le sourire aux lèvres. Je me serais presque attendue à ce qu’elle veuille nous vendre des produits de beauté, mais fort heureusement pour mon compte en banque ce n’était pas le cas. Il ne fallait pas me le dire deux fois, quand elle nous proposa de rentrer, je n’ai pas attendu que trois guerres mondiales éclatent. Je crois qu’en fait, il n’y aura pas qu’une visite surprise dans ma tête lorsque que j’irais me doucher.


- Salut et merci ! Dites il y a moyen d’avoir un exemplaire de votre tenue ? Elle fera trop classe sur mon blog.

Ben quoi ? Si ses fringues appartiennent à l’entreprise, je n’ai pas de raison à ne pas en demander une. Surtout que le bas semble être comme un maillot de racing queen et le haut également, mais dans un genre différent.  Vu que je n’ai pas encore de tenues futuristes ou en rapport avec la course auto-moto, je me ferais plein de vue comparée à tout ce que je possède et qui a été vu et revu sur mon site.

La salle où l’on allait sûrement bosser était technologiquement cool. J’ai surtout remarqué les appareils photos qui étaient tout sauf des instruments photographiques de tapette. Une fille de mon âge ne pourrait normalement jamais avoir des trucs pareils même dans ses rêves les plus fous. Ce qui me fait penser que ma mère n’a pas encore envoyé la caméra que je lui avais demandée. D’ailleurs, elle devait dormir dans un lit à peu près aussi similaire que celui qui se trouvait bien en vue du matos. A part ça, c’était plutôt vide à mon goût. Mais bon, on est dans un studio photo après tout et non pas une chambre de jeune femme célibataire qui qui se tripote le minou quand elle s’emmerde.


- Je m’appelle Pepper, c’est moi qui serais votre coach pour les séances photos ! Vous voulez un truc à boire ou à manger avant de commencer, les filles ?
Merci mais pas pour moi. Je n’ai pas envie d’aller aux toilettes en plein milieu d’une séance.

Si elles n’étaient pas encore habituées à ma franchise, il fallait de toute façon le faire dès maintenant. Oui, si je bois trop, faut que j’aille pisser. Et vu la chaleur de folie qu’il fait dehors, il me faudrait non pas un verre ou une bouteille, mais une citerne entière pour pouvoir calmer ma soif. Et vu que je n’ai pas envie de rejouer la catastrophe de Malpasset, je vais m’abstenir avec une joie immense.

On était donc que toutes les deux pour la séance photo ? Voilà qui est bien triste. J’aurais tellement, mais tellement préféré que l’on soit au moins avec une troisième personne histoire que ça soit plus fun. Si ça se trouve, il y quelque par une kunoïchi sexy qui nous attends, cachée sous le lit ou au plafond et qui attends le bon moment pour débarquer et faire la photo du siècle. Ou encore une blonde toute en beauté et un peu maladroite qui va arriver en retard par la même porte où l’on est toute passée pour une inscription de dernière seconde. Je rêve peut-être un peu, je l’avoue sans honte, mais ce n’est clairement pas ma faute si mon crétin de père a déteint sur moi ! Oui bon, en fait, je devrais essayer de sympathiser avec Mélinda même si je ne devrais pas avoir de soucis.


- J’espère que l’on va bien s’entendre toi et moi. Même si je ne pense pas qu’une femme au visage de princesse soit réellement maléfique.
« Modifié: lundi 29 juin 2015, 13:51:42 par Anne-Lily Beauregard »

Mélinda Warren

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 3 jeudi 25 juin 2015, 20:33:21

Cette Pepper était une Tekhane, Mélinda en aurait mis sa main à couper. Son look, toute cette technologie... Tout ça puait Tekhos à plein nez. Liléanne, en revanche... La vampire avait bien compris qu’elle n’était pas typée japonaise, mais c’était tout ce qu’elle pouvait en dire. Son statut de bloggueuse ? Aucune chance que Mélinda soit au courant, la vampire avait une sorte d’incompatibilité chronique avec Internet, ou, plus généralement, avec l’informatique. Oh, elle en comprenait clairement les bienfaits, mais, après plusieurs siècles à avoir usé de la plume et de l’encre, la gestion d’un clavier et d’un écran numérique était extrêmement difficile pour elle. Il ne fallait pas oublier que, même si elle était très bien conservée, en tant que vampire, Mélinda existait depuis déjà plusieurs siècles.

Liléanne rejeta l’idée d’un rafraîchissement, et Mélinda haussa les épaules.

« Je vois que j’ai affaire à de vraies bosseuses. Okay, les filles ! Mais il y aura des parts de gâteaux pour après, la séance risque d’être longue. »

Pepper s’écarta, ses fesses moulées dans sa culotte blanche. Mélinda l’observa brièvement. Grâce aux avancées en matière de chirurgie esthétique, les Tekhanes avaient souvent des silhouettes parfaites. Grâce à la technologie, aux nanomachines, et aux implants chirurgicaux, les Tekhanes pouvaient modeler leur corps, modifier leur masse corporelle, leur pilosité faciale, même la douceur de leur peau, de manière à être les plus belles possibles. La technologie était bluffante. Mélinda observa le coin photo, et Liléanne se rapprocha alors d’elle, en lui parlant :

« J’espère que l’on va bien s’entendre toi et moi. Même si je ne pense pas qu’une femme au visage de princesse soit réellement maléfique. »

Mélinda sourit devant le compliment.

*Et c’est là que je lui dis que je suis une esclavagiste perverse et nymphomane...*

Au lieu de ça, elle s’humecta les lèvres.

« Merci pour le compliment... »

Liléanne avait l’air d’être assez cool à l’égard du sexe. Elle avait commencé en parlant des avantages de son « corps », puis avait demandé à Pepper la même tenue. Cette dernière n’avait pas encore relevé, et avait été voir sa régie. Maintenant, sa dernière remarque avait également quelque chose tenant de la séduction. Mélinda la regarda donc, et reprit rapidement :

« Je me disais aussi que ton magnifique corps se devait d’être honorée comme il se doit ici... Après tout, quand on est belles comme nous, c’est bien pour en profiter, non ? »

Mélinda ne faisait l’humble que quand elle jouait un rôle. En temps normal, elle ne cherchait pas à masquer son arrogance, et Liléanne ne semblait pas non plus être particulièrement humble. Les deux femmes se regardaient donc quand Pepper se releva.

« Je vois qu’on commence déjà à sympathiser... Tant mieux ! »

Elle souriait à nouveau en se rapprochant d’elles.

« Bien... Vous ne le savez sans doute pas, mais, lorsque nous avons reçu les candidatures, nous avons déjà fait une présélection. Maintenant, ce que vous devez savoir, les filles, c’est que nous faisons une campagne publicitaire vivant la sensualité... Cette campagne repose sur plusieurs médias : outre des affiches publicitaires classiques, il y a aussi des clips publicitaires destinés à tourner sur les chaînes télévisées ou sur Internet. Donc, outre les photos, on pourra aussi faire des vidéos... Et, si tout se passe bien, peut-être que je te donnerais un exemplaire de ma tenue, ma chérie. »

Elle avait dit ça en regardant Liléanne, avec un sourire sur les lèvres.

« Si vous êtes prêtes, on va pouvoir commencer. Allez sur le coin photo, et mettez-vous face à l’autre, en vous collant l’une contre l’autre... Comme si vous vouliez vous faire un câlin. Ensuite... Laissez-vous faire, et les appareils mitrailleront. »

Mélinda hocha la tête, et nicha sa main dans celle de Liléanne, en lui faisant un sourire :

« Moi, je suis prête à me coller contre toi, Liléanne... »

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Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 4 lundi 29 juin 2015, 13:50:29

Nous somme trois belles femmes réunies dans un studio photo moderne avec deux qui vont passer une séance photos érotiques. Personnellement, je la sens bien cette séance photo. A peu près autant qu’un camion-citerne qui essaierait de me rentrer dans le derrière. En moins bourrin, peut-être. J’avais déjà fait une séance comme ça par le passé, à l’époque où j’étais encore une Américaine importée. Bon d’accord, ce n’était pas quelque chose de professionnel vu qu’on était juste une bande de copines voulant s’amuser et le tout avec du matos un peu pourris, mais ça n’est pas la première fois. Je ne sais d’ailleurs pas si ça vient de ça, mais je ne me sens absolument pas stressée. Quoi que je ne l’ai jamais été aussi loin que je me souvienne…

En tout cas, Mélinda semblait avoir aimé mon compliment. Quoi que ça soit un peu exagéré de dire cela comme ça vu qu’elle a VRAIMENT un visage de princesse. Même si je n’en ai jamais croisée à vrai dire. On va dire qu’elles ont à peu près un visage comme ça, ça me plait comme idée. Bref, son sourire avait un petit côté charmeur qui était assez plaisant, je me dois de le souligner.


- Je me disais aussi que ton magnifique corps se devait d’être honoré comme il se doit ici... Après tout, quand on est belles comme nous, c’est bien pour en profiter, non ?
C’est drôle, je pensais à la même chose. Tu sais que c’est un de mes principes de faire plaisir à des femmes comme nous ?

Pourquoi mentir ? La beauté naturelle est quelque chose qu’il ne faut pas prendre à la légère quand on la possède. Et dans mon cas, je sais que je l’ai et je sais également que Mélinda l’est également vu que je n’arrive pas à deviner un seul artifice utilisé. Donc soit elle est au naturel, soit avec des bidules tellement de bonne qualité que je serais incapable de savoir quoi que ce soit à leurs sujets. Vu que la seconde proposition est trop peu réaliste pour que le public la garde, le vote désigne plutôt la première. En plus, ça m’arrange de le croire.

On était toutes les deux l’une avec l’autre lorsque notre photographe en chef revenu de ses bidouillages, ou du moins ce que je pensais en être. Cette miss avait un cul d’enfer en plus d’avoir une silhouette de rêve et tout le tralala nécessaire pour une jolie fille. Combinez ça à la tenue moulante qu’elle porte et sa façon de bouger, vous avez là un objet de fantasme sur pattes. Mais ça, je l’ai déjà dit. Bref, elle nous bazarda avec des explications comme quoi ce n’était pas réellement une séance de photos, mais plus une campagne qui n’avait pas pour but la même chose que ma venue initiale. C’était même mieux ! En gros, je pouvais rapidement devenir connue simplement en faisant du posing photo suivit de vidéos si tout se passait bien. Le rêve ! Et en cadeau bonus, je pouvais donc bel et bien gratter une tenue comme Pepper. J’espère qu’ils ont ma taille car je compte bien y aller à fond.


- Cool.

Donc en gros, il fallait bouger jusqu’à là où il y avait tous les appareils. Le temps que mon cerveau lise et transmette les informations, Mélinda avait joint sa main avec la mienne, déjà parée à faire ce pourquoi on était là.

- Moi, je suis prête à me coller contre toi, Liléanne...
Mais tu n’es pas la seule, ma beauté.

A rester coller ainsi, il y a de fortes chance que l’une puisse humer de façon plus ou moins volontaire le corps de l’autre surtout que l’on devait rester collée, mais Pepper n’avait absolument pas dit de quelle manière. Je comptais donc y aller à la cool avec tout le naturel que je puisse avoir, d’autant plus que Mélinda était partante sans aucun soucis. En apparence du moins, mais je ne pense pas qu’elle mente à ce sujet-là. Main dans la main, il ne nous pas fallut beaucoup de temps pour nous installer, moi avec mon shorty ainsi que mon tee-shirt Donald Duck asymétrique et Mélinda avec sa tenue citadine très japonisée, féminine et sexy dans son genre. Je profitais d’un moment pour attraper entre deux doigts une mèche de cheveux ondulée et me rapprocher pour humer son parfum… Qui était assez particulier.

- Tu savais que l’on peut savoir quel genre de femme à qui ont à faire juste par son odeur ?

Oui, j’ai dit ça pour qu’elle se rapproche davantage de moi, avec une petite voix mystérieuse. Et puis cela pourrait rajouter un peu de piquant dans notre petite affaire, je pense. Je ne sais pas ce qu’elle pourrait sentir venant de moi, en tout cas pas de parfum vu que cela fait un moment que je n’en ai pas mis, mais cela pourrait être amusant de le savoir. Surtout que je n’ai aucune preuve de ce que j’ai avancé en lançant cela.

Je fis une petite approche, en lui faisant face. Depuis tout ce temps, je tenais sa main dans la mienne vu que je n’avais aucune raison particulière de la relâcher. Prise d’un éclair de malice, mon autre main alla sur sa taille, provoquant une légère pression dessus, puis je me suis mise à me pencher doucement, donnant une fausse indication comme quoi je comptais l’embrasser. Oui, fausse car je déviais exprès vers la fin pour aller sentir son cou, humant son parfum. Notre poitrine était l’une contre celle de l’autre, la mienne seulement dérangée par le tee-shirt et celle de Mélinda gardée très probablement par un sous-vêtement… Brrr saleté de sous-habits.


- D’après toi, qu’est-ce que je peux déduire de là où je suis… ?

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 5 vendredi 03 juillet 2015, 01:40:13

Face à elles, il y avait toute une flopée de caméras et d’appareils photos. Plusieurs étaient montés sur trépied, mais d’autres se trouvaient sur le plafond, et se mirent à les mitrailler quand Liléanne s’approcha de Mélinda. La vampire laissa cette dernière triturer ses cheveux, sans rien dire, et sans la repousser... Ce qu’elle aurait tout à fait pu faire, car les cheveux de Mélinda étaient sacrés. Les esclaves de cette dernière le savaient plutôt bien, car elles étaient toujours au moins deux à coiffer leur Maîtresse, à shampooiner et à savonner sa chevelure. Elle laissa donc LIléanne la toucher, souriant devant les compliments et les avances que cette dernière lui faisait.

*Elle n’a pas froid aux yeux, cette petite... Mais j’aime ça.*

Liléanne était douée, et montra rapidement qu’elle était aussi très sensuelle. Elle vint se blottir contre le corps de Mélinda, qui frissonna en voyant ses lèvres se rapprocher. Les appareils photos se déclenchèrent. Le jeu de la séduction reposait sur la posture du corps, le regard, la position des mains... Celui de Mélinda était fixé sur celui de Liléanne, et elle se mordilla les lèvres quand la main de la belle femme en face d’elle toucha ses hanches. Elle ne l’embrassa pas, mais alla contre son cou, faisant soupirer Mélinda, qui déplaça, elle aussi, ses mains. L’une s’écarta de la main de Liléanne pour se poser sur son épaule, et l’autre se glissa dans le bas de son dos, appuyant dessus, ses doigts se rapprochant de ses fesses.

Elle maintenait ainsi le corps de Liléanne contre le sien, et entendit cette dernière parler dans le creux de son oreille. Liléanne avait complimenté son odeur, ce qui l’avait fait poliment sourire. On parfumait les cheveux de Mélinda, mais elle-même mettait assez rarement du parfum. Elle n’en avait pas besoin, car, de base, elle avait une hygiène irréprochable, notamment pour que la qualité de son sang reste au plus haut niveau. Sa propreté faisait qu’elle était donc une femme bonne à renifler, comme Liléanne le découvrait en ce moment, nichée dans le creux de son cou.

Pour première réponse, la langue de Mélinda fila sur le cou de la femme, et elle lui fit un suçon, délicatement, avant de lécher sa joue, à nouveau :

« La même chose que moi... Que tu as une peau merveilleuse, ma belle... Et un corps des plus bien formés... »

C’était le cas de le dire, et, tout en l’ayant dit, Mélinda descendit un peu sa main, la posant désormais sur le postérieur de Liléanne.

« Ouais... Super, les filles ! Ne soyez pas timides, c’est ce qu’on veut ! »

Mélinda sourit. Timide, elle ? Ah ! On s’adressait à la mauvaise personne. Elle écarta son visage, puis se plaça devant Liléanne, sa main remuant un peu sur son fessier, se crispant dessus. Son front heurta ensuite le sien, et elle s’amusa, non pas à l’embrasser, mais à remuer son nez contre ses joues, ou à lui faire de tendres baisers d’esquimaux, pendant lesquels leurs nez se frottaient. Mélinda soupirait alors, fermant les yeux, sentant le poids des photos sur elle et sur son corps. Oui, oui, elle allait devenir une future star !

La vampire termina finalement par le baiser tant attendu. Sa main remonta pour se poser sur les cheveux de la femme, et, avec une tendresse infinie, elle alla l’embrasser, plaquant sa bouche contre la sienne, rompant le baiser en faisant claquer ses lèvres, avant de l’embrasser à nouveau, yeux clos, savourant ce moment. Un moment délicieux, jouissif, simple... Et très agréable.

« Ouais ! s’exclamait Pepper de son côté. C’est géant ! »

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Anne-Lily Beauregard

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 6 samedi 04 juillet 2015, 15:06:51

Ow yeah ! J’adorerais qu’une musique façon Western-spaghetti se déclenche. Ça irait trop avec l’ambiance cowgirl solitaire sexy qui en croise une autre sous le soleil couchant et canasson qui picole de la bière à l’abreuvoir. Un harmonica pour citer la base, deux trois souffles dedans et hop, ambiance romantique de l’ancienne Amérique !

Ce n’est peut-être qu’une supposition malvenue de ma part, mais je pense que Mélinda avait quand même pas mal apprécié ce que je lui avais dit et fait. De par mon expérience personnelle et ressentie, beaucoup de femme tiennent leurs cheveux en haute estime, surtout au Japon médiéval où la chevelure d’une dame lui était bien plus cher que sa féminité. Couper tout ça signifiait mettre un terme non seulement à la beauté que Eve nous a offerte, mais également briser une partie du mental comme l’on pourrait le faire en coupant une artère cardiaque. De plus, la chevelure de Mélinda était fournie en taille, soyeuse comme ce qu’on peut voir dans les pubs Schwarzkopf ou Fructis, souple comme un string de bain jeté à la merde et bouclée comme une ceinture. Cela voulait donc dire qu’elle en prenait soin, donc que faire une bonne remarque ou attention dessus ne serait pas de trop pour lui faire plaisir. Et puis si elle n’avait pas aimé, je me serais sûrement retrouvée avec les joues endolories.

Sa réponse fut rapide, mais d’abord de façon physique. Elle fit passer le bout de sa langue sur mon cou, aussi proche que le sien l’était de moi à plus ou moins égale mesure vu notre taille respective, puis usa de ses lèvres pour ensuite reprendre avec sa langue. Apparemment, je n’étais pas la seule à avoir de l’expérience ! Ce qui parait logique car vu son corps, sa façon de s’habiller ainsi que l’espèce de charisme qu’elle dégageait, cela aurait été étonnant que ça soit une sainte nitouche juste là pour montrer son cul façon danseuse bourrée en boite de nuit. Ibiza s’en remettra.


- La même chose que moi... Que tu as une peau merveilleuse, ma belle... Et un corps des plus bien formés…
Ho mais tu m’es supérieure sur ce dernier point, baby…

J’avoue avoir la chance d’avoir de jolies formes pour ma corpulence et de savoir bien mettre tout ça en valeur. Néanmoins, je reste quelqu’un d’assez maigre et tout ce qui symbolise la féminité en prend quand même pour son grade. D’autant plus que je ne porte pas de sous-vêtements  donc ça gonfle moins dessous et donne davantage une sensation moulante. Pour le bas du moins puisqu’en haut ça flotouille un peu suivant ce que je mets. Et puis pour être franche, cette femme avait un corps de rêve ! Plus j’y pensais et plus j’avais envie de me tripoter même si ça serait assez mal venu pour l’instant. Ho quoi que… Hum ça tuerais l’ambiance sensuelle de ce moment alors vaudrait mieux éviter, et peut-être espérer que je ne serais pas découverte trop tôt ? Ça ferait mauvais genre en plus de paraître pour une nymphomane vulgaire et pas très pudique. Même si la vulgarité mise à part, ce n’est pas faux.

Pepper semblait déchaînée derrière, sûrement contente de voir un tel résultat se profiler. Beaucoup de filles passant ce genre de petit contrat sont bien plus timide et moins expérimentée que moi ou Mélinda, du moins de ce qu’en déduisait pour cette dernière, et voir quelqu’un bien se débrouiller lui faisait très certainement plaisir par rapport aux potentiels échecs sur pattes qu’elle avait dut rencontrer plus tôt. En considérant que ça soit bel et bien elle qui s’en est occupée. Puis Mélinda savait clairement se montrer sensuelle, qui déjà me faisait plaisir, et ensuite devait également motiver Pepper plus loin derrière. D’autant plus que je n’ai pas pu m’empêcher d’emmètre un petit rire amusé quand cette dernière parlait de timidité. J’avais envie de lui dire que je ne l’étais pas, mais j’aurais été capable de raconter ma vie. Du genre que c’est moi qui suis allé devant les gens quand j’ai changé de pays deux fois, quand j’ai voulu perdre mon hymen en allant voir un gars très renfermé qui me plaisait bien, que je commentait sévère à l’époque où j’entendais mes parents baiser tous les soirs avant de dormir… Oups désolée. J’allais réellement raconter ma vie là.

Ma partenaire s’amusait à jouer avec son nez juste après que nos têtes respectives se trouvaient de nouveau face. Elle le passait sur mes joues, heurtait délicatement le mien de temps à l‘autre, le tout en agrippant mes fesses alors que je n’avais même pas remarquée quelle avait une main dessus. Depuis quand elle se trouvait là ? Sûrement quand j’étais trop concentrée à humeur son odeur. Et vu que du coup j’ai eu droit  une main inactive, je me pris pas de court à la mettre dans son dos, l’avant-bras longeant sa colonne vertébrale, et je fis descendre l’autre vers ses fesses qui me faisait assez envie. Tant qu’à faire, autant que j’en profite également, et je finis par savourer un baiser des plus agréables. Non vraiment, elle avait super bien fait durer le plaisir tout en utilisant sa sensualité pour arriver à un baiser romantique et doux, avec un bon côté sulfureux en prime. Si j’étais une aussi bonne parieuse que ma mère, j’aurais parié que la miss serait du genre à savoir se faire satisfaire par les autres. Mais je ne m’avancerais pas trop dans ce genre de débats.

Toutes paupières closes, nous étions en train de profiter des lèvres de l’autre pendant que Pepper nous regardait. Je ne vous cacherais pas, parce que de toute façon c’est d’une telle évidence que même le plus crétins des hébétés le remarquerait, que je suis de plus en plus en proie à mes désirs. Entre la voyeuse qui faisait son travail, ma tentative de séduction ayant plutôt bien marché et celle de Mélinda qui renforçait mon besoin, autant dire que j’étais bien servie. Puis étant lancée, je lui fis part d’une spécialité française, l’une des seules que j’aimais bien avec les jeux de mots et le cassoulet, passant mes lèvres sous un autre angle tout en lui tenant le menton avec la main qui lui parcourait autrefois le dos. Ce qui par chez nous s’appelle…


- French kiss

Je finis par rompre de moi-même cette embrassade. Je n’avais absolument aucune idée de si Mélinda connaissait cette technique ancestrale et transmise de génération en génération par le peuple autrefois appelé Gaulois, mais si je pouvais lui apprendre un truc ça serait cool. En plus, j’avais dit ça comme une japonaise parlant anglais alors ça devait bien faire son petit effet cette tri-culture, non ?

J’entendais une nouvelle fois Pepper au loin, mais je ne me préoccupais que de ma partenaire, du moins réellement. Je repartis sur un baiser à la française, sauf qu’au lieu de lui tenir le menton, je lui caressais la joue du même côté de ma main, avec le dos de mes doigts, de façon à seulement l’effleurer. Je voulais lui donner une sensation de confort, voire de flottement. Comme si nous étions en train de léviter dans un ciel sans vent, avec seulement quelques nuages furibond qui nous observeraient au loin comme des jeunes pucelles timides et discrètes. Oui, je suis poète quand j’embrasse une jolie dame.

J’avais également une petite idée derrière la tête, puis tout en prenant un petit air de… Enfin comme si j’étais désireuse d’aller plus loin sans pour autant vouloir sauter les étapes, je quittais ce nouveau baiser en ouvrant grand la bouche, reculant mon visage, puis me mordillant la lèvres inférieure. Je pris une des mains de Mélinda pour la poser sur mon sein gauche, ne lésinant pas sur la possibilité que celui-ci aie droit à un traitement de faveur. Avec mon regard presque en mode supplice, je fixais ma partenaire intensément, restant sensuelle, femme.


- Tu sens comme mon cœur bat ? Il bat pour toi, ma chérie…

J’avoue, c’était un peu surfait comme jeu d’actrice. Mais d’une part cela m’amusait, et d’une deuxième part j’offrais une ouverture terrible sur les quelques possibilités qu’offrait mon geste. J’avais hésité à prendre un doigt pour le sucer à la place, mais ce n’étais pas encore le moment. Et puis, le thème reste la sensualité, pas vrai ?


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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 7 vendredi 10 juillet 2015, 02:10:21

Ah, comme Mélinda pouvait aimer les humains ! Ils proliféraient comme de la chienlit, et étaient tous différents les uns des autres. Des timides, des nerveux, des rapides, des arrogants... Mélinda ne connaissait pas grand-chose de cette Liléanne, mais elle aimait son côté entreprenant, son côté « j’ai-pas-froid-aux-yeux ». C’était... Très rafraîchissant, et très encourageant. Inutile de prendre des gants, et ça, ça allait faire plaisir à Pepper. Dans leur dos, la Tekhane s’enthousiasmait. Elle qui trouvait les Terriens coincés du cul, elle était bien contente d’être tombée sur ces perles.  Qui sait quelle tête elle fera le jour où elle apprendra que l’une des deux nanas en train de se rouler des pelles et de se peloter sans pudeur était une vampire esclavagiste ashnardienne ? Mélinda était une femme prétentieuse, mais elle savait que son visage n’était pas très connu à Telkhos. Il fallait connaître le milieu de l’esclavagisme pour entendre parler d’elle auprès des Tekhanes. Mélinda embrassait donc Liléanne, quand cette dernière lui proposa un « Frenh kiss ». Mélinda la laissait jouer avec son corps, appréciant ses initiatives, et elle sourit, ses beaux yeux verts dévisageant le visage de Liléanne.

« J’en ai entendu parler... » souffla-t-elle rapidement.

Mélinda savait qu’il existait quantité de baisers différents, et le French kiss en faisait partie. Quand on voyait une telle appellation, on ne pouvait que se dire que la France était un pays de romantiques où on adorait s’embrasser. Il y avait quelques Français à Seikusu... Ils étaient toutefois rares, et, du peu que Mélinda avait vu, ils n’avaient pas l’air bien différents des autres. Le French kiss, donc, désignait un baiser avec la langue, un « baiser amoureux », à l’image de Paris, ville de l’amour, avec la Tour Eiffel, le bon bordeaux, les rives de la Seine, les bateaux-mouches... Un tableau idyllique qui oubliait la pollution, les clochards, les sacs poubelles, les nuages gris rendant la ville irrespirable quand des pics de pollution montaient... Tout cela, Mélinda le savait, car elle se renseignait, mais ça ne changeait rien au moment présent.

Liléanne attrapa l’une de ses mains pour la mettre sur son sein gauche, avant de lui faire une remarque sur les battements de son cœur. Mélinda sourit, et pressa ce sein, son pouce glissant sur le téton. Leurs corps étaient toujours entremêlés, et il y eut plusieurs photos de cette main, ou de celle de Liléanne caressant sa joue. Ces humaines ne se rendaient pas compte assez de leur chance... À Ashnard, on dépensait une fortune pour avoir le droit de coucher avec Mélinda. Sa beauté était aussi l’un des arguments de vente du harem. Ici, Mélinda le faisait gratuitement, mettant son corps à disposition pour ses intérêts. Qui sait ? Peut-être allait-elle se laisser tenter pour faire de cette jeune femme une nouvelle esclave ? Ce serait... Amusant.

*Oh, mais je le sens, ma chérie, ton sang... Il palpite dans tes veines comme mille carillons qui résonneraient contre mes tympans.*

Ça, pour le coup, oui, elle le sentait... Mais elle savait que ce n’était pas de ça que Liléanne parlait. Ce n’était qu’une métaphore pour l’inviter à pétrir son sein. Ce que Mélinda fit sans aucune objection. Sa main remuait le long de cette confortable masse de chair.

« Quel honneur... Mais... Je crois que nous pouvons le faire battre encore plus... »

Pepper les encourageait, et Mélinda embrassa Liléanne, optant pour ce « French kiss » que la femme avait demandé du bout des lèvres. Les lèvres de Mélinda se pressèrent contre la lèvre inférieure de Liléanne, et elle lui fit montre de toute son expertise. Plusieurs siècles à embrasser des milliers de bouches, il fallait bien que ça serve... On aurait pu croire qu’elle aurait fini par se lasser, mais c’était quelque chose qu’elle appréciait toujours autant. Embrasser de belles nanas... Qui pouvait s’en lasser, franchement ? Elle tirai donc sur la lèvre inférieure de Liléanne, envoyant ses dents la mordiller, et releva sa lèvre supérieure, forçant ainsi Liléanne à écarter les lèvres, créant un petit trou de souris, par lequel elle put glisser sa langue.

L’appendice lingual fila donc dans la bouche de Liléanne, et elle joua avec la langue de la femme, la caressant, la léchant, sentant de petits picotements, comme des frissons électriques. Sa langue raclait aussi ses belles dents, et elle se pressa contre elle, en gémissant, les photos continuant à fuser. Sa main, elle, se crispait sur le sein de la femme, son pouce frottant sur le téton, à travers ses vêtements. Elle remuait son corps, notamment son bassin, comme pour inciter davantage Liléanne à lui palper les fesses. C’était un élément caractéristique de Mélinda : elle était très tactile à hauteur du fessier. De fait, elle adorait la sodomie, sans trop pouvoir se l’expliquer. Qu’était-ce qu’un cul, si ce n’est une courbe ? Et pourtant, c’était si bon... Comme les lèvres, comme tout ce qui touchait au sexe, dans le fond.

« Ah, les filles, vous êtes de vraies artistes ! »

Le baiser s’éternisait, car rien ne pressait. Pepper n’avait quasiment rien à leur dire. Elle s’était juste contentée de lancer le truc, et voyait maintenant ces deux femmes agir sans aucun problème, et sans aucune gêne. Ah ! Que c’était bon à voir ! Mélinda continuait à l’embrasser, et finit par écarter ses lèvres. Un mince filet de salive les relia, et sa langue l’effaça d’un coup, avant d’attendre que la langue de Liléanne sorte... Pour la léchouiller hors de sa bouche.

Et sa main, elle, continuait à malaxer son sein, se crispant parfois dessus.

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 8 vendredi 24 juillet 2015, 21:44:15

Et bien, pour être parfaitement honnête avec tout le monde, je ne pensais pas que Mélinda allait réitérer ce que j’ai fait en plus bref tout à l’heure. Il faut dire qu’embrasser quelqu’un de bien foutu et qui en plus avait un goût d’enfer, il est parfaitement impossible de trouver ça chiant ou dégueulasse. A moins d’être une vieille mamie n’ayant jamais réussie à tirer le moindre coup de toute sa vie de merde. Les lèvres de Mélinda étaient experte, et je ne m’en lasserais probablement que dans le cas où ça me couperais l’arrivée d’air ou de nourriture. Embrasser jusqu’à la mort, c’est certes d’un romantisme fou, mais j’ai envie de tout sauf de crever avant d’avoir passé l’âge à faire l’amour de façon agréable. Même si ma meurtrière a du potentiel à me donner de l’inspiration quand je me tripote.

Le baiser commença donc. C’était à la fois une excellente expérience d’en recevoir un, alors que je vous avouerais que j’en suis la principale donneuse d’habitude, mais davantage d’une femme qui ne viendrait probablement pas du même pays que moi. Par ailleurs, je trouvais ça très bizarre cette aisance naturelle et cette hyper-sexualisation de sa personne. Non pas que des nanas bien gaulée ne doivent pas s’habiller comme ça, j’en veux pour preuve que dans la famille on est toute comme ça, Stalonette compris, mais il était très clair pour moi que cette femme était obligatoirement du genre à avoir au moins un truc sexuel par jour. Je suis même certaine que son expérience de la chose est terrible comparé à moi qui a pourtant commencé vachement en avance. Et comme dernière preuve, j’ajouterais pour la défense qu’elle embrasse foutrement bien. Vous pouvez disposer.

Pepper était à fond. Etait-elle là en simple spectatrice, évaluatrice ou bien un rôle que je n’avais pas calculé ? Mystère, mais pour l’instant, j’aimais bien me sentir matée ainsi. Et quand je serais devenue célèbre, autant vous dire que ça va être encore mieux ! Mais là n’est pas la question.


« Je porterais une de ces saleté de culotte, elle serait dans un drôle d’état »

A peine j’avais eu le temps d’avoir cette pensée que le French Kiss était en train d’être rompu. Dommage, mais en même temps ça se comprends. Je déplaçais ma main pour attraper le bout du filet de bave me reliant à Mélinda, le fit se décoller de sa bouche à l’aide de mon pouce et sans le briser, je réussis à le faire tomber dans la mienne avec un brio qui aurait peut-être étonné mon crétin de père. J’espère d’ailleurs très sincèrement ne pas avoir son don pour être douée dans tout ce qui ne sert à rien…  Enfin bon, j’ai lâché un petit rire très court quand j’ai réussis à faire ça. C’était stupide, ça okay, mais au moins cela brisait un peu l’ambiance trop sérieuse qui… Ouais trop sérieuse.

Je me rapprochais un peu plus de Mélinda, étant partiellement éloignée le temps de faire ma petite connerie, histoire de revenir à mon point de départ. Ma main droite partit à vitesse lente vers son dos, ou plus précisément le bas du dos… Enfin le cul quoi. Je l’avais faite partir de bas en haut et par conséquent, vu que ma mémoire de poisson-rouge m’a fait oublier qu’elle était en tenue de ville, cette coquine s’était rendue sur son vêtement caché dessous... Je ne comprendrais jamais pourquoi les gens en porte m’enfin, ils font ce qu’ils veulent tant que je ne suis pas forcée de faire pareil. Mon autre main s’était place sous la cascade de cheveux de Mélinda et poussait légèrement cette dernière pour avoir son visage dans mon cou, et tant qu’à faire avoir le mien dans le sien. Une fois à portée, mes lèvres ne purent résister à l’envie de mordiller cette peau. Je ne voulais pas lui faire de mal, après tout j’en suis incapable, ni même la salir, mais juste embrasser cette peau qui provoquait de terribles sensations. J’en ai profité pour également détacher un bouton de sa chemise et ainsi avoir plus d’espace à ma disposition. De toute façon, à un moment ou un autre on se retrouvera parfaitement nue donc autant commencer ! Mais tranquillement car je vais déjà assez vite en besogne sur mon blog ou avec certains mecs trop à fond dans leurs fantasmes.

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 9 jeudi 30 juillet 2015, 12:03:46

Plus Pepper les observait, et plus elle était convaincue d’avoir déjà vu cette Mélinda quelque part. Elle n’aurait pas su dire où avec précision, mais ce visage angélique, ces beaux yeux verts, cette peau pâle qui rougissait facilement, et cette longue chevelure bouclée châtain, ne lui étaient pas inconnues. Pepper venait de Tekhos, et n’avait quasiment jamais mis les pieds à Ashnard, mais elle avait entendu parler du harem de Mélinda Warren, et ce précisément parce que, les rares fois où elle s’était rendue à Ashnard, elle avait été se reposer dans ce harem, que ses cocontractants ashnardiens lui avaient chaudement recommandé. Pour le coup, elle n’avait guère été déçue. Pepper était venue à Ashnard pour prendre des photographies. Elle ne mentait pas à ces deux jeunes femmes : elle était venue ici pour prendre des photos. Elle aurait pu faire ça sur Tekhos, mais c’était plus simple sur Terre. Les gens ne connaissaient pas Tekhos, et ne risquaient donc pas de poser des questions ou des problèmes ensuite. Et puis, Pepper découvrait ainsi les charmes de la Terre, tout en ratissant de nouveaux terrains.

Son objectif n’était donc « que » de photographier ces deux poupées... Mais, plus elle les voyait se rouler des pelles, et plus elle se disait que se cantonner à un rôle de simple spectatrice serait particulièrement frustrant pour elle. Ces deux filles étaient douées, ça, elle le leur reconnaissait volontiers. Douées, belles, et suffisamment perverses pour se rouler des pelles avec conviction face à un public, Pepper voyait en elles de superbes perles rares... Et elle entendait bien en profiter.

Mélinda, elle, se faisait la même réflexion vis-à-vis de Liléanne. Cette belle nana aux lèvres tendres et raffinées n’avait pas froid aux yeux, et ses mains commençaient à parcourir son corps. La vampire se mordilla les lèvres quand elle sentit la bouche de la femme se perdre dans le creux de son cou, et sa main commence à déboutonner sa chemise. Sous cette dernière, Mélinda portait un soutien-gorge noir, qui allait à merveille avec sa culotte, également noire, une belle culotte à dentelles. Habituellement, elle ne portait pas de soutien-gorge, car sa robe dorée avait des bonnets suffisamment solides pour les remplacer. Mais, là, avec une chemise, c’était préférable. Un soutien-gorge servait à tenir et à immobiliser ses seins, et c’était donc plus agréable pour marcher. Elle frissonna donc quand les doigts de Liléanne s’immiscèrent dans sa chemise, et lui sourit, ses mains se glissant le long de ses hanches pour venir empoigner ses fesses. Elle commença à les malaxer.

« Hum... Oh, ma belle... » soupira-t-elle.

Pepper tapa soudain dans ses mains. Elle tapa fort, et Mélinda relâcha le fessier de Liléanne, pour se tourner vers elle.

« Les filles, vous êtes des vraies Déesses ! J’espère que vous le savez, parce qu’il était clairement important que je vous le dise ! »

Elle avait un grand sourire sur les lèvres, et s’avança un peu vers le matelas. Elle apparut dans le champ de l’objectif, et ses mains caressèrent les cheveux des deux femmes.

« Je vous ai dit qu’on faisait une campagne publicitaire sur le désir... En réalité, on fait la promotion d’un parfum aphrodisiaque, les filles. Le slogan est : ‘‘Un baiser, une nuit’’. C’est un parfum que la firme pour laquelle on travaille décline aussi en rouge à lèvres, et l’idée est d’emballer son partenaire avec un baiser... Alors, je suppose que vous comprenez où je veux en venir, car je sens bien que votre beauté n’est que le reflet de votre profonde intelligence... »

Mélinda eut un sourire un peu moqueur, car elle se doutait bien de ce que à quoi cette femme pensait.

« Et je suppose que, si ce parfum aphrodisiaque pouvait emballer d’autres personnes, ça ne serait que... Plus vendeur ? »

Pepper hocha la tête avec une lueur malicieuse dans les yeux. La vampire reporta son attention sur Liléanne, et lui posa une question à laquelle elle avait déjà une petite idée de la réponse :

« Tu en penses quoi, ma chérie ? Est-ce que Pepper te convient pour que nous poursuivions à trois nos séances photos ? »

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Anne-Lily Beauregard

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 10 lundi 07 septembre 2015, 12:18:17

Si s’occuper de belles femmes de façon purement érotique serait un art, non en fait pas besoin de parler comme une hypothèse puisque s’en est forcément un, je dirais que je serais au pinacle du mien. J’avais déjà fait quelques séances vidéos avec des copines juste pour s’amuser, donc autant dire que je savais autant modérer mes envies que jouer un rôle, ou encore me montrer excitante pour toute personne pouvant me regarder. Sauf que bien souvent, ce n’est pas forcément réciproque car mes partenaires se laissent trop souvent distraire par la présence d’une caméra ou d’un appareil photo. Et bien que je ne sois pas parfaite non plus, ça me crispe de voir une vidéo avec une fille qui arrête pas de regarder vers l’objectif… C’est comme si pendant que l’on baise, nos partenaire regardaient sans cesses ailleurs comme s’ils en avaient rien à foutre de ce qu’on leurs fait. Exactement comme quelqu’un qui ne te regarde même pas qu’on lui parle. Enfin bon…

Mélinda appréciait ce que je lui faisais, sans aucun doute. Je ne suis pas la dernière quant il faut prendre des initiatives et j’ai un certain œil sur ce qui peut faire plaisir à mes partenaires. Bon d’accord faut que je teste un peu le terrain avant, mais bon, personne ne peux pas tout savoir sur tout le monde simplement en les regardant hein ! Ma partenaire soupirait, ce qui me fit plaisir puisque cela me faisait une vraie preuve comme quoi ce que je faisais était bien fait. Pepper finit par nous rappeler sa présence en faisant des sortes d’applaudissements. L’une comme l’autre, nous avions stoppées net nos actions et tournés la tête pour savoir ce qu’il pouvait bien se passer. Notre évaluatrice venait nous trouver tout en nous complimentant de "déesses". Woah et bien, je crois que c’était la première journée de ma vie où l’on me considérait vraiment ainsi. Par contre, j’avoue avoir un peu décrochée sur sa tirade suivante.


Je vous ai dit qu’on faisait une campagne publicitaire sur le désir... En réalité, on fait la promotion d’un parfum aphrodisiaque, les filles. Le slogan est : ‘‘Un baiser, une nuit’’. C’est un parfum que la firme pour laquelle on travaille décline aussi en rouge à lèvres, et l’idée est d’emballer son partenaire avec un baiser... Alors, je suppose que vous comprenez où je veux en venir, car je sens bien que votre beauté n’est que le reflet de votre profonde intelligence...

Donc en gros, on était là en réalité pour la pub d’un parfum et parce qu’on était belle voulait dire qu’on était intelligente ? Si j’étais à côté de la plaque, je ne saurais dire si j’étais à gauche ou à droite. Mais j’avais compris une chose cependant. Quelque chose qui se trahissait dans le regard de Pepper et que Mélinda m’avait confirmé par sa phrase suivante. J’alternais mon regard entre les deux, un regard assez neutre bien qu’un peu perdu, je dois l’avouer. Je répondis une fois que ce dernier c’était à nouveau posé sur Pepper.

- J’ai pas tout saisi, mais si c’est pour faire un plan à trois, je suis partante. Surtout qu’il me manquait sur mon cv la partie avec deux filles en plus de moi-même.

Puis je me suis mise à hausser les épaules, comme si de rien étais. Nous serions dans une espèce de série télévisée érotique, c’est là que les rires préenregistrés se feraient entendre. Mais bon, j’avais déjà fait avec deux mecs, un gars et une nana, c’est d’ailleurs ce dernier type de plan à trois que je faisais le plus souvent les quelques fois où ça arrivait, mais jamais avec deux nanas. Surtout des aussi bien gaulée physiquement. Je profitais d’ailleurs de ce petit moment de calme pour préciser une petite chose qu’il fallait sortir. Désolée Mélinda !

- Tant que l’on est en pause, il faut que je dise un truc.

Je me suis mise à pivoter à la fin de ma phrase, histoire d’être en face de ma partenaire initiale. Puis je dégainai mes index.

- Je… Déteste… Ces… Machins !

J’avais désigné à chaque mot quatre endroits différents à l’aide de mes index. Tout d’abord, les bretelles de soutien-gorge. Puis après avoir reculé mon buste légèrement puisque à la base je collais presque Mélinda, ce qui pouvait également montrer que j’étais un peu souple, les bonnets. Ensuite, après avoir redressé légèrement la barre et plié les jambes, le devant de la culotte. Et pour finir, en me rapprochant un peu, le fessier. Le tout de façon à peu près symétrique. Une fois finit, je me redresser entièrement, parée à ce que l’on se moque de moi. Même si je vais le prendre plutôt bien. J'espère juste qu'elles vont comprendre que je parle des sous-vêtements et non de la poitrine des fesses et de... Non elles ne sont pas stupides quand même, non?

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 11 mercredi 09 septembre 2015, 02:15:55

Pepper avait le don de parler de façon à la fois complexe et facile. C’était un trait commun à bien des Tekhanes, qui jouaient avec les mots, plutôt que de dire correctement ce qu’elles voulaient. Néanmoins, la belle Liléanne comprit l’idée essentielle : s’envoyer en l’air à trois. Avec les Tekhanes, il fallait toujours s’attendre à ce que les choses dégénèrent de manière sexuelle... Ce qui n’était pas pour déranger Mélinda. Son amant retint donc les informations essentielles, mais rappela à Mélinda qu’il y avait quatre choses qui l’embêtaient chez elle, les lui montrant à l’aide de touchers tactiles. Bien évidemment, la vampire comprenait ce à quoi elle faisait allusion, et esquissa un léger sourire en coin.

« Je te comprends, ça gâche la vue... Alors, pourquoi s’embêter à les porter, hum ? »

Et, sans attendre l’autorisation de quiconque, Mélinda entreprit de se déshabiller intégralement. Esquissant un sourire coquin, Pepper la suivit également, se déshabillant également intégralement, et, en quelques secondes, les trois femmes se retrouvèrent toutes délicieusement nues. Le sexe de Pepper était aussi bien épilé que celui de Mélinda, laissant apparaître une délicate fente intime, de belles lèvres roses, ainsi que des seins lourds et généreux, des hanches agréables, le tout sur un corps parfait, aux formes harmonieuses. On disait que les Tekhanes les plus fortunées utilisaient des traitements graisseux et hormonaux auprès de cliniques privées pour que leur corps soit régulièrement au top de la perfection, en fonction des critères esthétiques en vigueur.

Maintenant toutes nues, Mélinda se mordillait les lèvres, et les mains de Pepper caressèrent leurs cheveux.

« Moi, il y a une partie de ton corps que j’aime beaucoup, Liléanne... »

La main de Mélinda se posa sur sa hanche, puis glissa rapidement, pour venir se poser sur l’une de ses fesses. Elle vint le masser tendrement, et Pepper sourit, puis fit descendre ses propres mains, caressant les dos des deux beautés face à elle. Ses doigts longèrent la colonne vertébrale, provoquant de petits frissons, puis descendirent pour venir se poser sur les fesses de ses partenaires respectifs.

« Moi aussi... Vous avez de la matière, les filles... Et de délicieux culs ! »

Pepper ponctua le geste en donnant deux belles claques sur chaque postérieur, un grand sourire sur les lèvres, puis entreprit ensuite de les pincer, et de les masser. Concernant Liléanne et son postérieur, Mélinda avait une main sur une fesse, et Pepper sur l’autre, tandis que leurs corps se rapprochaient, à tel point que leurs jambes se frôlaient tendrement. Elles étaient toutes les trois belles, et la main de Mélinda se posa alors sur le popotin de Pepper, la pinçant, un sourire moqueur venant éclairer ses lèvres.

« Alors, Liléanne ? demanda soudain la vampire. Est-ce que tu trouves qu’on a de belles fesses ? »

La meilleure réponse consisterait sans doute à tâter, et ainsi à finir cette tendre chaîne de sodomites en herbe.

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Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 12 mercredi 16 septembre 2015, 12:16:23

Je dois avouer que les choses ne se passaient pas comme prévu. A la base, et oui je me répète, j’étais juste en train de signaler que je haïssais les sous-vêtements et que les voir aussi facilement m’irritait la vue. Au lieu d’avoir une moquerie quant à ma petite action rigolote, j’ai eu grosso modo droit à un « OKay. Donc tout le monde à poil !". Pourquoi ? Et bien Mélinda dit ouvertement qu’il était inutile de se faire chier à tout porter, et quand Pepper vit ça, et bien, elle se mit à tout simplement faie pareil. Sauf qu’elle n’avait pas de sous-vêtement, elle. Donc visuellement, ça me dérangeait bien moins. Mais bon, je n’allais tout de même pas me plaindre non plus hein ! Enfin bon, je n’avais pas d’autres choix que de suivre le mouvement. Tout d’abord, les chaussures, puis le shorty et enfin le tee-shirt. J’avais remarqué qu’on était toute épilée. Vu que je déteste les poils, je fais en sorte de m’en débarrasser dès que j’en vois un se profiler. Je compte me faire une épilation laser pour n’en avoir plus jamais à en voir mais… Je ne connais pas d’endroit qui le font. Peut-être que les deux autres savent ? Je leur demanderais plus tard.

- Moi, il y a une partie de ton corps que j’aime beaucoup, Liléanne...
Je crois savoir laquelle, chérie…

Comme je l’avais deviné, elle reposa sa main sur mes fesses. J’avais bien vu que Mélinda semblait particulièrement fan de cette partie du corps. D’une part parce qu’elle n’avait pas hésité à faire de même tout à l’heure, et elle semblait avoir rencontré le messie quand je m’étais occupée de la sienne, de paire.

La situation était très amusante, et je ne cachais absolument pas que je trouvais ça amusant vu qu’un sourire un peu bête et pas vraiment contrôlé ornait mon joli visage d’ange. J’avais peut-être l’air un peu insouciante, mais bon, c’est pas ma faute si mon sourire actuel me fait paraître ainsi hein ! Bref, j’avais une main libre d’un côté et une autre qui c’était posée par réflexe sur la partie bombée inférieure de ma première partenaire. C’est la remarque de Mélinda qui me fit penser qu’il serait peut-être temps que j’arrête de délaisser Pepper, même si cette dernière ne semblait pas tenir rigueur de mon retard. C’est en passant ma langue sur mes lèvres que je me suis mise à faire un grand geste avec mon bras, me courbant également sur le coté de façon légère, et pour finir, la pose de ma main sur sa fesse libre avec un son assez caractéristique, mais sans être non plus violent. Bon okay, il y avait des chances que ça fasse une petite marque rouge, okay… Mais ça n’est pas comme si j’avais mis une claque façon Ken le survivant hein !


- Sans vouloir créer de second sens, j’avoue que je me tâte…

La réponse était assez évidente. Je fis des cercles avec mes mains plus ou moins organisés, ma main droite étant ma principale celle qui s’y trouvait avait donc un meilleur rendu, tout ça pour faire des caresses simples et pas vraiment sexuelles. Puis j’empoignais doucement un peu de matière avant de reprendre les caresses. Je devais donner un avis, mais je ne saurais dire laquelle je préfère, de paire de fesses.

- Niveau préférence, je suis assez embêtée. Mélinda à toutes les formes que j’aime à ce niveau-là.. *j’étais en train de regarder son cul au moment de dire ça, puis je fis pareil avec Pepper* … mais notre patronne possède tout ce que j’aime au niveau de la texture. Je ne peux pas choisir !

Je me demande d’ailleurs ce que préférais les deux, mais ça, je ne pouvais le deviner. Mélinda possédait un corps foutrement bien gaulé, franchement. Le genre qu’une reine se devait d’avoir pour imposer ses modèles de beauté et pouvoir se faire baiser par n’importe qui tellement personne n’aurais rien à dire sur la générosité de ses formes. Pepper quant à elle, et bien, je la considérerais davantage comme étant une générale pour rester dans le contexte. Elle était davantage proche du genre grande asperge, mais avec du muscle davantage mis en valeur. Ses formes étaient les égales de Mélinda, mais vu qu’elle avait un corps plus élancé, ses formes l’étaient également. Et les miennes ? Ho et bien je ne suis ni très grande, ni très grosse ni exceptionnellement bien formée contrairement à ce qu’avait fait remarquer bouclette. Il l’est peut-être dans le sens où les formes sont adaptées à mon corps, mais ce n’est pas particulièrement imposant. Du genre petit seins et cul plat, en exagérant un peu bien entendu.

J’avais repris des caresses avec mes mains. Et puisque nous étions toutes collées les unes aux autres, tout en remuant mon popotin, ce qui faisait frotter mes cuisses contre celles de mes partenaires, j’en profitais pour faire une remarque sur quelque chose que moi aussi j’aimais bien. Histoire de rester dans le contexte.


- Il y a moi aussi une partie du corps que j’aime…

Je n’avais ciblé personne en particulier, mais Mélinda pouvait se sentir visée vu ce que je m’apprêtais à faire avant que l’on se fasse interrompre. Doucement pour ne pas percuter quelqu’un, je me baissai légèrement pour aller lécher le bout des tétons les plus proches avec le bout du bout de ma langue, l’une comme l’autre y passant quoi qu’il en advienne. Mon but n’était pas d’y aller franco, notre position générale ne permettant pas vraiment de le faire sans fatiguer rapidement du cou, mais juste pour leur faire comprendre que ce petit machin capable de pointer était ce que je préférais. Les fesses, c’est bien une fois en main. Mais on peut davantage faire de choses avec les tétons ! Autant hommes que femmes et pas seulement avec une partie de l’anatomie.

J’avais fait ça brièvement, de façon à réveiller davantage de désir plutôt que réellement soulager quiconque était passé. Après tout, j’étais là à la base pour cette pub, même si au final elle n’existe pas, ce que je trouve dommage personnellement, donc autant continuer dans cette lancée. Personne n’avait encore réellement commencé le sexe et je n’étais pas prête à le faire vu que pour l’instant, cette situation me faisait bien tripper. Enfin… Pas tripper dans le sens où ça me faisais rire, mais plus parce que cela me plaisais. C’était calme, doux et progressif.


- Vous en pensez quoi les filles ? Vous aimez ça aussi ? Vous avez une préférence ?

C’était un peu copié sur Mélinda comme réplique, même si là je parlais des tétons plus que des seins, mais bon tant qu’on était lancée hein… Et puis, cette dernière pouvait savoir sans réfléchir laquelle des deux était ma préférée.

Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 13 dimanche 20 septembre 2015, 10:59:43

La séance de shooting avait lentement dérivé sur quelque chose d’infiniment plus sexuel et de plus coquin... Les trois femmes, nues face-à-face, ne se privaient pas pour se masser les fesses, tandis que Liléanne, sans problème, suivait la perversion des deux femmes. Une vampire, une Tekhane, et une humaine... Voilà bien qui constituait un magnifique trio ! Sentir deux mains différentes sur ses fesses était, pour Mélinda, très agréable, et, en sentant les corps des deux autres femmes contre le sien, leurs jambes qui se frottaient, tout son corps frémissait de plaisir. Oh oui, que d’exquises sensations ! Et ce n’était naturellement qu’un début. Liléanne, en effet, ne tarda pas à dévoiler son attirance pour une autre partie de l’anatomie féminine, en approchant sa bouche des seins de Mélinda, et alla en suçoter un.

« Hum... »

Oui, il fallait bien admettre que, quitte à choisir entre les seins ou les fesses, le choix n’était pas aussi aisé que ça. Les seins étaient doux, tendres, et, quand on les pressait bien, pouvaient même produire du lait. La poitrine, autrement dit, avait des arguments pour elle, alors que les fesses... C’était une zone plus rondelette, plus découpée, à la base des jambes, tout en courbe, excitant une autre forme de désir sexuel. Même avec des siècles de sodomies et de relations sexuelles en tout genre, la vampire était toujours bien incapable de s’expliquer en quoi elle adorait les sodomies, mais, et c’était là un avantage dans l’opposition entre fessier et poitrine, le fessier, lui, avait un trou... Et ça, c’était un gros argument en sa faveur ! Toujours est-il qu’il était possible de scinder le monde en deux catégories : ceux qui préféraient les seins, et ceux qui préféraient les fesses. Si Mélinda appartenait à la seconde catégorie (sans dédaigner la première), Liléanne, elle, aurait davantage tendance à relever de la première.

La vampire esquissa donc un sourire face à l’ultime question de la femme, qui faisait écho à ses propres réflexions.

« Tant qu’on s’occupe de mon corps, moi... »

Néanmoins, elle continuait à masser et à presser chacune des fesses des deux femmes. Fort heureusement, Mélinda n’était pas une femme dénuée d’imagination, et tourna son regard vers Pepper, avec un petit sourire en coin destiné à Liléanne. Est-ce que cette dernière voyait où Mélinda voulait en venir ? Dans le doute, la vampire émit quelques précisions :

« Mais, pour l’heure, je pense qu’il faille davantage s’occuper du corps de notre hôte. Après tout, sans elle, on ne se serait jamais croisées. Je propose donc que l’une soit devant elle, et l’autre... Derrière.
 -  Je dois admettre que... J’aime bien cet agencement » rétorqua Pepper en se mordillant les lèvres.

Évidemment, le choix de qui irait devant ou derrière n’était pas très difficile à élaborer, et Mélinda se rendit donc rapidement dans le dos de la femme, fléchissant les genoux, afin que son visage se retrouve à hauteur de ses belles fesses, tout en laissant à Liléanne le soin de s’occuper de ses seins. En souriant devant l’initiative de ces femmes, la grande personne vint caresser les cheveux de Liléanne, et la tira un peu vers elle, afin d’être sûre qu’elle s’occupe le plus vite possible de ses seins en manque.

« Viens traire ma poitrine, ma belle... »

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : Shooting sous un soleil de plomb [Mélinda Warren]

Réponse 14 vendredi 05 février 2016, 15:11:13

Boobz ! Les seins c’est la vie et la féminité puissance maximale. Certes, une paire de bien avec des formes placées comme il le faut est également une preuve de féminité, preuve en est que j’utilise souvent ma démarche pour draguer quand j’en reçois le besoin ou l’envie, mais la poitrine c’est au-delà de ça, à mon sens. Après, vous pouvez tous me dire que c’est en réalité les lèvres inférieures avec le clitoris et tout l’arsenal qui font le plus féminin, mais franchement, c’est majoritairement moins beau. Des fois il y a trop de peau, ou des poils mal placés, un clito’ aussi gros qu’un cornichon, lèvres irrégulières,… Bref ! Personne ne me fera changer d’avis sur les seins. Et tout particulièrement les tétons. C’est petit donc discret, sauf quand on porte une tenue trop moulante, sensible et agréable à la fois en main et en bouche. C’est également un bon moyen de se donner du plaisir sans forcément que ça se remarque donc, c’est juste parfait !

Mélinda m’avais fait une remarque qui transpirait le bon sens, à défaut de notre sueur à nous. C’est vrai que vu comment elle était foutue et comme elle semblait ouverte d’esprit, elle devait aimer que l’on s’occupe d’elle. J’avoue que si eut j’aurais les même proportions qu’elle, je me toucherais bien plus souvent, et peut-être même devant un miroir. Quant à Pepper… J’avoue que je ferais sûrement la même chose, mais en un peu moins régulier peut-être. Cependant, j’avoue ne pas avoir beaucoup d’apriori avec elle. Si elle est capable de coucher avec ses… euh… Modèle ? Oui je crois que ça dis comme ça, et bien, sa vie sexuelle ne devait pas vraiment être la chose la plus délaissée. Et je n’oubliais pas qu’elle me devait sa tenue ! Elle me l’avait promise ! Enfin, pas vraiment mais c’est comme ça que je l’avais entendu et assimilé.


- Mais, pour l’heure, je pense qu’il faille davantage s’occuper du corps de notre hôte. Après tout, sans elle, on ne se serait jamais croisées. Je propose donc que l’une soit devant elle, et l’autre... Derrière.
 -  Je dois admettre que... J’aime bien cet agencement.

Je n’avais rien dit à ce moment-là, ayant été passablement occupée avec le téton de Mélinda, ma réponse n’avais pas besoin d’être réellement bordée de mots, les actes suffisaient amplement à tout ça. Pepper n’avait pas eu le besoin réel de changer sa position, alors que Mélinda était partie derrière notre patronne. Je n’avais pas grand-chose à chose à rajouter, si ce n’est un puissant haussement d’épaule et un regard très intéressé. Le genre à dire "Bon et ben, c’est partit". Et je posais ma bouche sur le premier sein venu.

Tout d’abord, je prenais son téton sur ma petite langue, sans faire quoi que ce soit de charnel avec mes lèvres. Mon but était de jouer doucement avec cette petite extension féminine avant toute chose. Tout en faisant ça, passant rapidement à de petits cercles linguaux, je baissais ma tête et fixais le regard de la belle photographe. Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour après tout prendre en bouche, y allant un peu plus franchement, mais pas suffisamment pour que ça soit hard. Ma langue faisait le tour de son mamelon et, de temps en temps seulement, je j’aspirais comme un bébé ferait pour traire. Sauf que je ne suis pas un bébé donc ça faisait bien plus érotique. Voire sexuel… tout dépends du point de vue !

Faire ça m’excitait grandement, et je sentais une grosse chaleur dans le bas ventre. Mais en mon état actuel, ça n’était juste pas possible d’utiliser ma main pour me soulager, et ce même si j’en crevais d’envie. Le temps de changer de sein et reprendre comme si je n’avais jamais arrêté, ma salive coulant finement sur son premier mont de chair et de graisse, je fis doucement glisser la main que j’avais posée sur son ventre jusqu’à arriver à son nombril, faisant des cercle au-dessus de son bouton pour susciter davantage de désir. Je n’ai certes pas beaucoup d’expérience pour une personne moyenne, mais j’en ai pas mal pour mon âge. Et je sais que faire ça permet d’accentuer les effets promulgué à la suite. De plus, de notre position respective, Mélinda pourrais s’occuper de la doigter pendant que je m’occupe de ses seins et de son clitoris. Chose que je commençais par ailleurs à faire.

Mélinda allait-elle capter mon message même pas transmis ? Vous le saurez au prochain épisode !



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