Long Live The Vampire [Vanillia Carnelle]

Une vieille légende de poètes disait que, jadis, hommes et femmes ne formaient qu’un seul sexe, puis qu’ils furent un jour divisés. Depuis ce jour, depuis ce moment, ce moment fatidique où chaque âme a été séparée en deux, l’amour est née, comme la tentative, pour chaque morceau d’âme, de retrouver la sienne. Une fadaise de poètes, une ineptie que Mélinda avait toujours dédaigné... Mais, plus elle rencontrait Vanillia, plus elle la côtoyait, et plus cette légende absurde lui revenait en tête. Avait-elle fini par trouver celle qu’elle pensait ne pas exister ? Sa fameuse âme sœur ? C’était impensable ! Et pourtant... Il y avait tellement de points communs entre elles que c’était troublant. Mélinda était clairement amoureuse, un sentiment avec lequel elle avait un peu de mal, tant il était inédit. Ce n’était pas le même amour, pourtant fort, qu’elle ressentait envers ses servantes, mais... Quelque chose de nettement plus fort, de nettement plus intense. Et elle le ressentait à l’égard de Vannilia, de sa belle Vanillia. Mélinda la laissait donc sucer sa queue, ses mains se crispant sur les cheveux de la femme, avant de sentir ses doigts se glisser dans son cul.

Un nouveau soupir de plaisir s’échappa des belles lèvres de Mélinda, qui donna un coup de reins subit vers l’avant. Ses mains se crispèrent sur les cheveux de Vanillia, et elle commença à imprégner cette danse avec ses mouvements. Elle savait que Vanillia avait un côté de soumise, et qu’elle aimait bien, parfois, se faire maltraiter par Mélinda. Rien à voir avec de la torture ou quoi que ce soit, c’était cette maltraitance tendre et douloureuse dont Mélinda avait le secret, et qu’elle appliquait volontiers sur elle. Vanillia avait beau être sa femme, elle était loin d’être autant « Maîtresse » que Mélinda, même s’il leur arrivait parfois d’inverser les rôles. Leur couple n’était pas un couple pervers pour rien, et Mélinda se disait surtout que son ascendant psychologique tenait davantage à son expérience sexuelle, immense, plutôt qu’à de véritables éléments de personnalité, et ce dans la mesure où, sur ce point, les deux femmes se ressemblaient énormément.

« Haaa... Va-Vanillia, haaa... »

Rien ne semblait plus pouvoir arrêter son amante, qui faisait doublement plaisir à Mélinda, que ce soit en suçant avec passion sa grosse queue, ou en explorant son petit cul. Vanillia était douée, très douée, et Mélinda était heureuse, si heureuse... Oh oui, elle tremblait sur place, et ses mains remuaient la tête de Vanillia... Puis, peu à peu, ce fut Mélinda qui se mit à agir, en baisant la petite bouche de Vanillai, grognant et soupirant, déplaçant son corps d’avant en arrière, faisant taper sa queue contre la gorge de sa femme, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, enfonçant sa queue jusqu’à la garde, ce qui fit que ses bourses allèrent frapper le menton de la femme, avant de repartir en arrière, puis en avant, et ainsi de suite... Un mouvement éternellement classique, et éternellement jouissif.

« Ouuuuiii-oouuiii... Hum, Vanillia, haaa... Que j’aime ça, putain !! Aaaah, ma chérie, je pourrais te baiser la gueule pendant des heures ! »

Bon, Mélinda exagérait sans aucun doute, mais le sexe vous amenait à dire des folies. En tout cas, elle adorait remuer sa queue en elle, et elle finit ainsi par jouir dans Vanillia...

Et par jouir généreusement.

Il était évident que Vanillia possédait un côté soumise et docile envers Mélinda. Quand elles faisaient l’amour, le cas général était que ce soit Vanillia qui jouait ce rôle. Elle se laissait malmener par Mélinda, à sa façon. Comme présentement, par exemple, où non contente de prodiguer volontairement une bonne fellation, elle se laisser faire baiser la gorge en toute soumission. Ses petits doigts continuaient à tripoter son fessier, et en particulier sa rondelle qui était soumise aux petits jeux taquins de la vampire. La noble savait que sa femme avait un penchant pour cela, pour tout ce qui se rapprochait de la sodomie … Bien qu’en réalité, elle semblait avoir un penchant vers tout. C’était d’ailleurs ce détail qui faisait aussi que les deux vampires s’entendaient si bien. Une perversion immense, une absence quasi-totale de limite en matière de sexe. C’était ça qui faisait que leurs câlins étaient toujours aussi fabuleux !

Vanillia continua donc à pomper sur cette grosse et délicieuse queue, l’enfonçant du plus profondément dans sa gorge. Elle couinait de plaisir à chaque fois, et le fit encore plus quand son épouse décida d’agripper ses cheveux, et de venir enfoncer son mat d’elle-même, avec force. Elle tira un peu, venant forcer la vampire à gober son sexe. Bon sang, ce qu’elle aimait quand Mélinda était si … Sauvage, si autoritaire ! Soumise, avec plaisir, Vanillia se laissa faire et redoubla en parallèle dans son appétit. Elle dévora la verge de Mélinda toute entière, l’accueillant avec hargne dans sa bouche. Sa langue la léchait de toute part, tournant tout autour pour sentir la moindre parcelle de peau. Quand Mélinda retirait son sexe, pour mieux l’enfoncer ensuite, la vampire elle bloquait volontairement l’accès en enserrant ses lèvres autours de son gland. Un double plaisir ; d’une part cela permettait à Vanillia de gouter à ce gland si chaud et délicieux, et d’autre part, cela faisait que Mélinda devait forcer l’accès, et donc stimulait encore plus la sensation de pénétration.

Le mouvement se répéta inlassablement, Mélinda étant complètement en train de fourrer la gorge de son épouse. Celle-ci gémissait grandement, alors qu’elle se sentait elle-même sur le chemin de la jouissance. Et en parlant de jouissance … La tête du harem finit par se lâcher. Après d’innombrables allers-retours, la jeune femme craqua complètement. Elle affirma même, son dans son euphorie, qu’elle pouvait lui baiser la gueule pendant des heures complètes ! Ce qui n’était qu’en accord avec Vanillia, que si la bouche n’était pas remplie, lui aurait rétorqué qu’elle serait aussi prête à la sucer pendant des heures et des heures … Dans tous les cas, la fellation présente finit par connaitre son terme, au moment où Mélinda crispa ses mains dans la chevelure de Vanillia, et qu’elle balança hargneusement sa crème dans la gorge de son amante.

Celle-ci gémit lourdement, et ses joues se mirent à gonfler tellement recevait-elle de foutre. Son petit délice tant mérité était enfin arrivé, et elle attendit que sa tendre amoureuse finisse de se vider les couilles en elle. Elle y était allée si généreusement, elle avait complètement comblé sa petite femme ! Cette dernière finit par avaler, lentement, savourant chaque goutte de ce nectar. C’était un délice sans pareil, et elle en profita sur la durée. Gorgée par gorgée, elle but le sperme de Mélinda avec appétit, se pourléchant les lèvres et les alentours afin de grappiller les gouttes qui étaient tombées. « Hmm … Toujours aussi délicieux, ma chérie. » Dit-elle, avec un sourire satisfait aux lèvres. La verge de Mélinda flottait devant son nez. Avant de se relever, Vanillia sourit puis partit donner un dernier baiser à cette intime amie. Ses lèvres s’éprirent avec douceur de son gland, l’embrassant très fougueusement et fortement. Lui roulant presque une pelle, à ce stade-là. Un baiser d’au revoir, qu’elle conclut avec un deuxième baiser.

Finalement, la vampire se releva reprit sa place aux cotés de sa femme. Lui souriant, elle partit lui donner un grand bisou sur sa joue, en passant son bras en dessous le sien au même moment … Comme le fond des jeunes mariés. « Merci pour ce délicieux moment, mon amour … Et je peux t’assurer que si tu veux me baiser la gueule pendant des heures … J’en serai que plus heureuse. » Lui confia-t-elle, donnant un second baiser sa joue. Ses doigts allèrent finalement se croiser avec les siens, raffermissant donc son emprise sur sa main.

Mélinda avait l’habitude de juter de manière gourmande, mais, cette fois... L’orgasme masculin venait comme une sorte de marée, par une série de vagues qui remontaient depuis les entrailles de votre corps, et, parfois, on pouvait ressentirces vagues, qui remuaient dans votre bassin, pour se cristalliser dans la queue. Du moins, Mélinda ne voyait pas comment l’expliquer autrement, et, en ce moment, ces vagues en question déferlaient en escadrille dans la bouche de Vanillia, ses mains se crispant sur ses cheveux. Elle lui baisait joyeusement le visage, inondant sa belle petite bouche de sperme, le fond de sa gorge, puis sa langue, se retenant difficilement de ne pas terminer en jouissant sur son visage, car elle veillait à bien maintenir la tête de Vanillia, de manière à ce qu’elle avale tout son foutre. Il ne fallait pas encore la salir, après tout... Et, ainsi dans de longs et délectables soupirs, Mélinda s’abandonnait en elle, se répandant contre elle, se noyant dans une vague incroyable et immense de bonheur et de plaisir... Une extase complète et magique. Pendant plus d’une minute, Mélinda jouit ainsi, gonflant les joues de Vanillia, avant de lentement se retirer, ses mains se déplaçant ensuite pour se décrisper sur les cheveux de sa femme, et les caresser délicatement, tendrement. Elle sentit ensuite Vanillia lécher son sexe, et Mélinda gloussa doucement. Sa verge avait bien diminué, mais elle était encore recouverte de foutre, que Vanillia s’amusait à lécher comme une glace... Puis elle alla l’[|i]embrasser[/i], faisant frémir Mélinda, qui observait ce baiser sans rien dire, lèvres légèrement entrouvertes.

*Par tous les vampires, j’ai encore envie de la baiser, c’est terrible...*

Vanillia se redressa finalement, et Mélinda, dans un soupir, rétracta sa verge, tout en refermant sa robe. Leurs seins se frôlèrent, et, quand Vanillia la cita, un phénomène étrange, très étrange, se produisit chez Mélinda... Ses joues s’empourprèrent légèrement, et elle devint, très subitement, gênée... Elle sentit un second baiser sur sa joue, et caressa tendrement le dos de Vanillia.

« Hum... Tu sais, quand je suis excitée comme ça, il m’arrive d’être grossière, mais... Enfin, je ne veux pas que tu te sentes... Choquée ou quoi que ce soit ! »

Une inquiétude amusante, mais qui, fort heureusement, restait purement hypothétique. L’amour... Une sensation inédite pour Mélinda, mais, plus elle côtoyait Vanillia, et plus elle était convaincue de son fait. Oui, elle l’aimait. Un amour profond et sincère, alors qu’elle sentait, contre ses cuisses, la propre verge de Vanillia, formant une petite bosse le long de la robe. Oh, comme il aurait été tentant de la sucer à son tour, de goûter à ce délicieux fruit... Mais, à force, les filles risquaient de s’impatienter ! Mélinda se recoiffa donc une ultime fois, et, glissant sa main dans celle de Vanillia, elle lui sourit, et les deux femmes sortirent, puis se mirent à marcher.

Le cœur de Mélinda battait la chamade dans sa poitrine, lui hurlant toute la portée et toute l’intensité de son amour envers Vanillia, la belle et magnifique Vanillia...

« Allons-y... »

Main dans la main, elles rejoignirent un ascenseur.  Le harem avait beau être à Ashnard, Mélinda avait su s’équiper, et elles rejoignirent la cabine, puis descendirent à un étage. Pendant le chemin, l’attention toute entière de Mélinda se concentrait sur son amante, juste à côté d’elle... Puis les battants de l’ascenseur s’ouvrirent, et Mélinda eut un sourire amusé.

L’ascenseur s’ouvrit sur une salle de réception, grande, qui avait été transformée en un immense lit nuptial, avec, au centre, une estrade circulaire sur laquelle on avait installé un lit circulaire faisant plusieurs dizaines de mètres... Et tout le harem était là, les accueillant joyeusement, tandis que des confettis jaillirent depuis les balcons.

« JOOOYEUX MAAAAAARIAAAGGGGEEEEE !! »

Dès lors, le plan de Mélinda apparaissait clairement...

En guise de nuit de noces, une immense orgie !

C’était bien la première fois que Vanillia voyait sa femme avoir une telle réaction. De la gêne, ses joues qui rougirent, et sa voix qui se faisait petite. Avait-elle … Honte de ce qu’elle avait dit ? Si c’était cela, c’était juste impensable ! Les deux avaient fait d’innombrables fois l’amour, avaient expérimenté toute forme de perversion et vice, et là … Pour une phrase, Mélinda se sentait gênée ? Cette vision avait donné envie à la vampire de rire, gentiment. C’était à la fois surprenant, et mignon, de la voir réagir ainsi. Pour répondre à son inquiétude, la noble pencha son visage et vint déposer un baiser sur sa joue. Un baiser pas à but purement sexuel et/ou affectif, mais un bisou chaleureux, doux, qui avait pour simple but d’être sincère et rassurant. Son regard changea, et se voulut très tendre. « Ne t’inquiètes pas, mon amour. » Lui répondit-elle simplement, en serrant sa main dans le sienne.

Il était vrai que sa verge frottait sa cuisse, et lui donnait une immense envie de s’en servir. Et le regard de sa femme n’était pas passé inaperçu ; Vanillia avait bien vu que son amie semblait avoir envie de venir à son tour lui passer le bonjour. Mais à force, les deux allaient finir par se faire sérieusement l’amour, et allait passer à côté de la réception spécialement organisée pour elles, pour leur mariage. C’était dur de résister. Vanillia, malgré le fait qu’elle s’était rassasié avec le nectar de sa femme, avait encore furieusement envie d’elle, de son corps, de son sexe. Sa respiration était haletante, mais elle tentait de se contenir, et de simplement profiter de ce jour si beau et si spécial. Main dans la main avec sa femme, ses doigts serrèrent les siens, alors qu’elle la regardait d’un œil des plus amoureux et sincère. Finalement, les deux épouses se décidèrent à y aller, et prirent alors le chemin menant vers l’ascenseur.

Ce n’était pas parcequ’on étai dans un harem à Ashnard qu’on avait pas le droit à de la technologie bien confortable ? C’était assez pratique comme dispositif. Les deux femmes, silencieuses, continuaient à rejoindre le second étage, toujours main dans la main. Et la façon dont elles se les serraient témoignait rien qu’à elle seule de l’intensité de leur amour. Se tenir la main, pour Vanillia du moins, c’était la manifestions d’une volonté. Celle de ne jamais lâcher Mélinda, celle de ne jamais l’abandonner, et d’être toujours sienne. C’était tous ces messages qui étaient véhiculés rien que par ce geste si anodin, mais qui allaient être très souvent réitéré entre les deux femmes. Heureuse et comblée, Vanillia tressaillait à l’idée de découvrir ce que lui avait réservé sa petite femme. Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent, et à ce moment-là, tout devint clair. Tout le projet de Mélinda fut enfin découvert, laissant la noble avec de grands yeux, la bouche entrouverte tellement la surprise était grande, et agréable.

Un énorme Joyeux mariage fut prononcé, alors que des confettis furent lancés, et que la fête semblait commencer dès maintenant. Toute la salle avait été convertie en une sorte de lit géant, avec au centre un autre lit, circulaire, un peu plus hauteur. Sans doute là que les deux épouses allaient enfin et joyeusement consommer leur mariage dans la règle de l’art. « Oh … Mélinda c’est FANTASTIQUE !!! » Cria-t-elle, ne pouvant retenir ses émotions et sa joie. Tellement fut-elle agréablement surprise, elle tourna sa tête et partit chercher un nerveux baiser à sa femme, l’embrassant très fougueusement. « Mmmmmmhhhhh !!! » Ronronna-t-elle, alors que ses lèvres quittèrent les siennes, et que sa main serrait encore plus la sienne. L’idée plaisait énormément à la noble, qui ne pouvait plus patienter à l’idée de participer à une orgie de cette envergure …

Le tendre baiser de Vanillia devant ce spectacle magnifique amena Mélinda à lui mordiller les lèvres, prolongeant le baiser en portant ses mains sur ses fesses. Elle se crispa tout contre son corps, yeux clos, et le baiser dura encore pendant quelques secondes, avant que les lèvres de Mélinda ne s’y retirent, avec un léger sourire amusé. Elles venaient de goulûment s’embrasser, au milieu de ce spectacle de toute beauté. Des hommes beaux comme des Dieux grecs, quantité de femmes habillées de manière sexy et outrancière, portant des corsets, des guêpières, des combinaisons moulantes en cuir... Oui, ce mariage allait être formidable, une fête magnifique, magistrale, et somptueuse.

« Allons-y... »

Mélinda souriait, contente de son effet. Son érection s’était encore accrue, et elle se mit à marcher, rejoignant le lit central... Où deux femmes s’étaient allongées. L’une portait une élégante robe chinoise rouge, énormément fendue, et l’autre avait une fine nuisette  blanche, avec une culotte, et de beaux collants blancs... Mélinda les connaissait bien, et elle sourit devant Vanillia.

Il y avait sa fille, Akira Warren, et sa meilleure amie, Alice Korvander, la Princesse de Sylvandell, et qui, pendant ce mariage, avait fait office de témoin. Mélinda et Vanillia les observèrent, main dans la main, et Mélinda posa sa tête sur le cou de Vanillia, en souriant, puis  l’embrassa dans le creux de la nuque, la léchant légèrement.

« Nos premières amantes... Ma fille avait très envie de découvrir sa belle-mère... »

Akira souriait, et sa main écarta un pan de sa robe chinoise, dévoilant son sexe, proprement taillé, sans aucun poil pubien gênant.

« Je comprends mieux pourquoi Maman est tombée amoureuse de moi, Vanillia... Mais oui, j’avais très envie de te rencontrer... Intimement... »

Mélinda sourit, et se pencha vers Alice, tout en défaisant sa robe, tirant sur le lacet noir à hauteur de ses seins, dévoilant sa belle verge, bien érigée.

« Oh...
 -  Ma chère Alice, j’espère que tu t’es préparée à ce moment... Car tu vas, non seulement te faire baiser par moi, mais aussi par Vanillia, et je crois bien que tu ne pourras pas te reposer avant plusieurs jours... C’est l’inconvénient d’être un témoin de mariage. »

La vampire souriait malicieusement, et Alice sourit à son tour, en hochant la tête :

« Oui, je m’y attendais... Viens me faire l’amour, Mélinda... Et toi aussi Vanillia... Vous m’avez tellement excité, tout à l’heure, dans le bain sanguin... »

Mélinda ne put que sourire, en se mordillant les lèvres, et se rapprocha alors, puis embrassa la femme sur les lèvres.

Il était temps de commencer la fête...

Il ne faisait aucun doute sur la volonté de Mélinda à vouloir faire de ce mariage un évènement mémorable. Les jeunes mariées allaient se souvenir à vie de ce jour, non seulement car c’était le jour où elles s’unirent pour l’éternité, mais aussi pour l’orgie qui s’apprêtait à être menée. Vanillia n’osait imaginer combien de temps sa tendre épouse avait investi pour tout préparer, rien que pour leur fête. C’était une énième preuve d’amour, qui toucha directement le cœur de la vampire. Prenant la main de sa femme dans la sienne, elle s’avança avec jusqu’au grand lit central, où deux magnifiques femmes séjournaient. Vanillia cru en reconnaitre une, celle possédant une longue robe chinoise, mais ne connaissait pas du tout l’autre. Même si elle l’avait aperçu quand elle était dans le bassin de sang. Un sourire vint éclairer son visage quand sa chère Mélinda vint poser son visage contre son cou, l’embrassant doucement. C’était typiquement ce genre de petit geste qu’adorait Vanillia ! Peut-être était-elle un peu top sentimentale ou fleur bleue, mais bon sang, elle adorait se montrer très câline envers Mélinda.

C’était sa femme après tout ! Et si ce n’était envers elle, envers qui pourrait-elle se montrer aimante et douce ? Il lui faudrait peut-être un temps pour complètement réaliser que Mélinda était à présent celle qui partageait sa vie, et ce éternellement. C’est-à-dire que, pour toujours, irréfutablement, Mélinda serait sa femme. Pour toujours, elle allait être à ses côtés, et pour toujours, elle allait l’aimer. C’était si beau, si rêvé pour Vanillia … Qu’elle avait encore un peu de mal à réaliser ceci. Néanmoins, le moment était à la fête, et elle n’allait pas tarder à commencer. L’épouse de Vanillia finit par lui présenter les deux femmes. Ainsi donc, la fille à la robe chinoise était la fille de Mélinda. Fille vampirique, d’ailleurs. Ce qui faisait de Vanillia, sa belle-mère effectivement ! Et il n’était pas abusé de dire que sa belle-mère avait elle aussi, envie de la connaitre intimement. « Ta maman m’a beaucoup parlé de toi, Akira … Je suis impatiente de te connaitre plus en profondeur, moi aussi … » Lui répondit-elle, un avec un petit clin d’œil.

Sa tête se tourna vers l’autre femme, qui s’avéra être une princesse. La princesse Alice Korvander, qui s’avérait être aussi la témoin de leur mariage. Mélinda et Vanillia allaient lui faire l’amour, et ça, c’était fantastique. Vanillia avait l’embarra du choix ; d’un côté elle souhaitait réellement s’acoquiner avec Akira … Mais d’un autre côté, elle avait aussi envie de cette princesse. Mais réfléchir trop n’était bon, pour la situation actuelle. La vampire rejoignit les deux somptueuses femmes sur le grand lit, les regardant à tour de rôle. « Et si toute les quatre, on se faisait l’amour en même temps ? » Dit-elle, ne sachant pas si c’était, en fait, déjà au programme. Elle pensait que c’était à tour de rôle, et avait donc suggéré que tout se fasse en même temps. Une sorte de partie à quatre, en fait ! En attendant une réponse, elle tourna son visage vers Akira puis lui sourit de toutes ses dents. « Mais sinon, on peut d’abord faire connaissance … » Dit-elle, avant de lentement approcher son visage, puis de venir déposer ses douces lèvres sur celles d’Akira.

Sa main joignit le mouvement, et alla se blottir contre sa joue, qu’elle caressa tendrement. Ses yeux se fermèrent, alors que sa langue se mit à s’enfoncer entre ses lèvres, venant chercher celle d’Akira. L’incitant à venir jouer avec elle. La fille de Mélinda s’apprêtait à faire l’amour à sa belle-mère … Mais si l’on prenait en compte que Mélinda et Vanillia partageait le même sang, donc qu’elles étaient des … Sœurs, en quelques sortes, Vanillia était en fait sa tante.

Ces histoires de sang pouvaient rapidement être utilisée pour faire toute sorte de liens de parentés intéressants …

Commencer avec Alice et Akira leur somptueuse fête semblait être, pour Mélinda, un très bon début. Il y avait, d’un côté, sa meilleure amie, une jeune tête blonde avec laquelle elle avait progressivement sympathisé. Mélinda était devenue sa confidente et son amante principale (au-delà même de sa femme), et elles n’avaient pas de secrets, l’une pour l’autre, car Alice savait que Mélinda, malgré ses apparences, était une femme bonne, et qui savait garder un secret. Et Mélinda, elle, savait qu’elle ne risquait rien à se confier à la Princesse. Et puis, il était toujours adorable de la pervertir un peu, car, malgré sa forte expérience sexuelle, qui avait maintenant de quoi concurrencer un acteur porno, Alice restait toujours aussi douce, naïve, et, en un sens, presque timide. Elle était vraiment une femme adorable, et, même si Mélinda ne le lui disait pas assez, et qu’elle jouait souvent le rôle de la dominatrice avec elle, elle l’aimait beaucoup. Qu’Alice ait donc accepté, sans aucune honte, et sans aucune attente, d’être son témoin de mariage, lui avait fait énormément plaisir.

Et, de l’autre côté, il y avait Akira. Une humaine transformée en vampire. Mélinda avait parlé à Vanillia d’Akira, elle n’avait rien caché de ses penchants sombres, et Vanillia avait été touchée par cette honnêteté. Akira l’avait haï, jadis, mais, maintenant, sa fille et elle entretenaient une relation très fusionnelle, et Akira était donc ravie de pouvoir enfin coucher avec sa belle-mère... Qui proposa de faire l’amour à quatre. Mélinda sourit alors, allongée au-dessus d’Alice.

« Gourmande... Ne t’inquiète pas, tu pourras pénétrer Alice aussi longtemps que tu le désires. Cette fête est la nôtre, ma chérie, la nôtre avant tout le reste...
 -  Oui... Et puis, je suis le témoin, c’est normal que je me fasse prendre par tout le couple... »

Cette fête avait aussi pour but de célébrer le harem, et de rassurer les nombreux esclaves de Mélinda sur un point simple : ce n’est pas parce qu’elle venait de se marier qu’elle ne coucherait qu’avec Vanillia. Il lui avait d’emblée semblé important de rassurer les femmes sur ce point, et, surtout, de montrer à tout le personnel de ce harem que Vanillia ne les prendrait pas de haut. Mélinda sourit donc, puis alla embrasser Alice, tandis que Vanillia faisait de même avec Asuka.

« Hmmmm.... !! »

Pendant ce baiser, les mains d’Akira allèrent se poser sur les fesses de Vanillia, les massant à travers la robe. Elles feraient l’amour à quatre, si c’était là ce que Vanillia voulait... Mais, avant cela, il fallait se découvrir mutuellement. Mélinda, elle, embrassait Alice avec plaisir, retrouvant avec une joie manifeste ses belels lèvres, son corps doux, tendre, et chaud.. Alice gémit contre elle, leurs langues venant jouer ensemble, et elle sentit la main gantée d’Alice se poser sur ses cheveux, l’autre caressant ses hanches, se crispant un peu contre sa nuisette.

« Tu sais que vous m’avez furieusement excité, toutes les deux, dans ce bassin ?
 -  Ah oui... ?
 -  Vous étiez si belles, ensemble... Tu fais vraiment un merveilleux couple avec Vanillia... »

Et, en disant cela, il y avait une lueur d’envie palpable dans les yeux d’Alice. Mélinda était, là aussi, la seule à savoir qu’Alice regrettait son mariage avec Sakura. Elle avait été jeune, à l’époque, et avait surtout voulu libérer Sakura de son asservissement et de son statut d’esclave. Mais sa femme n’était plus là, et Alice hésitait parfois à divorcer. D’un autre côté, elle s’occupait d’Ayano, la jeune sœur de Sakura, qu’Alice aimait bien... Mais elle regrettait aussi de ne pas voir davantage sa femme.

Mélinda lui sourit, et mordilla alors son cou, rappelant Alice à des moments plus heureux.

« Oui, Vanillia est magnifique... Et encore, tu ne l’as même pas senti te rentrer dans le cul... »

La Princesse lui sourit, puis Mélinda se redressa alors, et retira sa robe, se dévoilant dans son plus simple appareil, avec son membre dressé.

« Allez, Alice, je sens toute ton excitation... »

Il était temps de lui faire passer, à elle aussi, un agréable moment... Et Mélinda s’empressa d’aller la prendre, enfonçant joyeusement sa verge dans son intimité, le tout en poussant un soupir de plaisir.

« Haaaa... !! »

Ce soir, Mélinda allait beaucoup niquer !

Une chose était sûre ; ce soir ça allait être une grande fête. En des termes plus simples, ça allait s’envoyer en l’air dans tous les sens ! Une immense orgie s’apprêtait à démarrer, avec Mélinda et Vanillia comme principales intéressées. Cette dernière proposa de faire un plan à quatre au beau milieu de tout ce sexe, ce qui semblait plaire. De toutes les façons, tout le monde allait coucher avec tout le monde ce soi. Mais, la vampire avait une furieuse envie tout de même. Cependant, elle savait qu’avant cela, il fallait faire plus ample connaissance, notamment avec Akira, la fille vampirique de Mélinda. En premier lieu, elle décida de venir lover ses lèvres contre les siennes, venant donc lui voler un baiser des plus sensuels et gouteux. Sa main caressait doucement sa joue, y allant d’abord avec une grande délicatesse. C’était que Vanillia aimait la douceur dans un premier temps, surtout avec des femmes aussi jolies que Akira.

Mais, celle-ci, répondant généreusement au baiser, finit par glisser sa main sur les fesses de sa belle-mère, et elle se mit à les masser au travers le fin tissu de sa robe. « Ahh … » Gémit doucement Vanillia, qui adorait ce genre d’attouchement. Ses yeux se plantèrent à nouveau dans ceux de sa ravissante amante, puis elle partit chercher un baiser, encore une fois. Mais là, elle le fit plus acéré, plus vorace, mordillant volontairement sa langue et ses lèvres. Sa main cessa de caresser sa joue, pour venir empoigner tendrement ses cheveux. Jouant avec beaucoup de vivacité, Vanillia se pressa toute contre Akira pour l’amener à s’allonger contre le lit. Ainsi fait, elle demeura au-dessus d’elle, à califourchon mais … Pas pour très longtemps.

En effet, Vanillia fut prise d’une irrésistible envie de se lover contre Akira, du plus que possible ! Ainsi, elle plaqua sa poitrine contre elle, puis agrippa ses mains avec les siennes, les collants au-dessus sa tête, contre le lit. Elle sentit les cuisses d’Akira prendre en étau ses hanches, alors que les deux femmes continuèrent de perdre le souffle à force de s’embrasser encore et encore. « Hmm … » Couinait Vanillia, qui adorait ce genre de long et sulfureux baiser ! Toute pressée contre la vampire, la noble s’autorisa à lui mordre gentiment ses lèvres de temps à autre. L’excitation ne cessait de croitre cependant, et bientôt, elle demanda quelque chose de bien supérieure à de simples baisers. Elle retira ses succulentes lèvres, en déposant au passage un savoureux baiser sur sa joue, avant de se redresser à nouveau. « Je sens qu’on va adorer se faire l’amour toi et moi … » Dit-elle en perçant la fille de Mélinda par le regard.

Passant doucement ses mains sur sa belle poitrine, Vanillia finit par les porter sur elle-même et retira alors sa robe par le haut, la jetant d’un geste coquin sur le côté. « Toute à toi ma petite ! » Dit-elle, dévoilant son corps à Akira. Aucun sous-vêtement, rien pour obstruer sa ligne charmante et toute en courbes des plus féminines ! Et, rien pour obstruer aussi sa verge, qui avait bien durcie depuis le temps. Erigée de plaisir, son sexe pulsait tendrement entre ses cuisses, n’attendant donc qu’une chose … Que Vanillia ne tarda guère à faire. Elle se plaqua complètement contre Akira, une nouvelle fois, et vint l’embrasser comme une droguée, nichant très tendrement sa langue entre ses lèvres pour venir jouer et gouter à la sienne. Perdu dans un petit monde de pur délice, Vanillia bougea son bas-ventre et vint alors titiller la féminité d’Akira … Avant de la lui faire rencontrer ce qu’elle avait de plus intime.

« Haaan … » Soupira-t-elle au moment où elle s’enfonça en elle, mordillant doucement sa langue. « Ma chérie m’a pas menti sur toi … » Lui susurra-t-elle, l’empêchant de répondre en venant capturer ses lèvres à nouveau. À partir de là, elle commença à la prendre à cœur joie, entamant des aller et des venues, tout en continuant de se blottir au maximum contre elle en refusant continuellement d’arrêter son baiser. Le nuit ne faisait que commencer …

Il était temps, après la cérémonie, de passer à la fête. Une fête qui, dans un harem, serait forcément sexuelle. Une orgie magnifique, comme pour signaler ce nouveau chapitre, ce profond virage dans la vie de Mélinda Warren. Mariée ! Elle était mariée ! Au-delà de son statut de Comtesse recouvré, cette information était la plus importante à retenir. Elle était mariée, et le harem, dans sa globalité, se dotait donc d’une nouvelle Maîtresse, aussi belle et aussi perverse que la vampire d’origine. Une nouvelle femme que tous les esclaves du harem avaient naturellement envie de découvrir, comme la promesse que les deux filles risquaient de ne pas se reposer avant un certain temps.

Vanillia, elle, s’occupait donc de sa belle-fille, et ne tarda pas à se déshabiller, après un long baiser, auquel Akira répondit sincèrement. Sa jeune fille avait été très réservée pendant un temps, mais, depuis quelques semaines, elle s’était lâchée. Lors de l’anniversaire de Mélinda, les deux femmes avaient définitivement enterré la hache de guerre, et Mélinda avait joyeusement fait l’amour à Akira. Maintenant, Akira Warren avait pleinement accepté son nom et sa nouvelle vie, même si elle ne considérait pas comme une Maîtresse. Elle était en tout cas ravie de coucher avec sa belle-mère, et sourit, une lueur d’émerveillement dans les yeux, quand elle vit cette dernière retirer sa robe.

« Oh ouiii... Viens me prendre, belle-Maman... »

Mélinda souriait en les voyant, mais se concentra rapidement sur Alice, qui était aussi occupée à les regarder. Les deux femmes se sourirent, puis la main d’Alice caressa doucement le visage de la vampire, écartant quelques-unes de ses mèches de cheveux.

« Vous formez un couple magnifique, toutes les deux...
 -  Hum... Tu trouves ?
 -  Oh oui.... »

La vampire sourit de plaisir, et alla embrasser doucement Alice sur les lèvres, avant de choisir l’option de Vanillia. Elle retira à son tour sa robe, s’offrant à Alice dans sa belle nudité, dans le plus simple appareil. Akira, de son côté, avait écarté les pans de sa robe chinoise, afin de permettre à Vanillia de la prendre dans cette tenue... Comme sa mère, elle avait hérité de ses traits fétichistes, et les deux femmes se mirent à sourire ensemble.

Puis Mélinda alla pénétrer Alice, qui soupira joyeusement, serrant son corps contre celui de Mélinda.

« Haaaa... !! »

Mélinda se mit à remuer en elle, d’avant en arrière, et Akira, quant à elle, retourna poser ses mains sur le petit cul de Vanillia, en lui souriant malicieusement.

« Prends-moi, mon corps est à toi... » susurra-t-elle, toute excitée.

Une magnifique et somptueuse orgie s’offrait au couple ! Vive les mariées, cette phrase ne pouvait pas être plus vraie qu’à cet instant. C’était leur fête, leur moment, et elles étaient maitresses de tout à ce moment-là. Plus particulièrement Mélinda, qui demeurait en plus la propriétaire du harem. Cette orgie était un symbole fort de leur mariage, car il témoignait de beaucoup de choses. D’une, il témoignait de leur amour, car Mélinda avait dû sué pour pouvoir organiser tout ça, rien que pour les beaux yeux de sa femme. De deux, il faisait comprendre que le mariage des deux femmes n’allait pas signifier une fidélité sexuelle. Si Vanillia et Mélinda étaient fidèles par les sentiments, et justement, par ce type précis de sentiment, il en était différent pour le sexe.

Elles n’allaient pas devoir se tenir fidélité pour ce point. De toute les manières, c’était quelque part contre leur nature. Toutefois, dans la pure théorie, cela n’aurait gêné en rien la noble de jurer fidélité auprès de sa femme. Même si, en pratique … Les choses auraient été très dures. Mais, le plus juste avait été fait et à présent, l’heure était à l’amusement. Et par amusement, on entendait bien sur les jeux de jambes en l’air. Le sexe allait se sentir partout dans le harem cette nuit, et c’était tout simplement fantastique. Au niveau des deux épouses, elles s’adonnaient déjà pleinement à cela avec leurs premières partenaires. Pour Vanillia, pouvoir coucher avec Akira était à la fois l’occasion de faire connaissance avec la fille de Mélinda, mais de pouvoir aussi tisser des liens avec.

Le sexe avait ce si beau pouvoir de rapprocher les gens rapidement ! Et c’était d’autant plus vrai que Vanillia commençait déjà à aimer réellement partager la couche d’Akira. Elle l’avait embrassé très tendrement et longuement, avant de se dénuder pour elle, pour mieux venir la prendre ensuite. Toutefois, elle constata qu’Akira conserva sa robe chinoise (Qui était très sexy et délicieuse … Donc ne posant aucun problème), mais en écartant un pan pour laisser la voie libre à la vampire. Agrippant ses doigts en les croisant avec les siens, Vanillia s’allongea sur tout son être, se lovant sensuellement contre elle, tout en l’embrassant voracement. Sa verge était veineuse, et quémandait à travailler. Ce qui n’allait pas tarder, surtout quand la vampire commença à bouger du bas-ventre pour bien s’orienter.

« Et je l’accepte avec plaisir … » Répondit-elle à Akira, qui lui avait donné son corps. Après de longues minutes de baiser, Vanillia finit de s’orienter puis … Donna un premier coup de butoir, lentement, ne faisant alors plus qu’un avec son amante. « Haa … » Soupira-t-elle sensuellement, agrippant plus fermement les doigts d’Akira. Sa poitrine se lovait contre la sienne, et chaque microfrottement entre les deux procuraient de merveilleuses sensations. Ainsi, Vanillia commença à lever son bassin, pour mieux l’abattre, entamant alors une belle séance de labourage … Tout en douceur, cela dit. Tout comme sa tendre épouse à coté, elle se mit à remuer tendrement en elle, enfonçant son intimité toujours plus intensément en elle.

De grands soupirs ne tardèrent guère à s’échapper de ses lèvres, surtout quand Akira vint prendre en otage ses petites fesses. Elle la sentit aussi se serrer davantage contre elle, renfonçant alors la pénétration. Vanillia s’en donnait à cœur joie, et ne put longtemps se retenir d’aller l’embrasser en même temps ! C’était que ses lèvres avaient aussi hérité du pouvoir addictif de ceux de sa mère. Bien que, Vanillia aura toujours une nette préférence pour ceux de cette dernière … Ce n’était pas comparable ! Ainsi donc, la vampire remuait joyeusement, tout en embrassant fougueusement Akira, ne lui laissant donc aucun répit …

Akira ne pouvait qu’être ravie de ce moment. Bien sûr, la jeune fille de Mélinda n’avait pas oublié leurs premiers moments. Ses parents biologiques étaient les héritiers d’un clan chasseur de vampires... Du moins, surtout son père. Un tueur de vampires, qui prétendait être un samouraï des temps modernes, en lutte contre toutes les forces obscures qui, depuis des éons, menaçaient le Japon. Et, si Akira reconnaissait volontiers qu’il existait bien des vampires cruels, comme les Nefarius, elle avait, en elle, même quand elle était humaine, une critique inconsciente à l’encontre des méthodes de son père, qui tuait systématiquement les vampires. Et, avant d’être la fille de Mélinda, Akira avait été formée à tuer les vampires, elle aussi. Quand Mélinda l’avait capturé et transformé en vampire, Akira n’avait été qu’une semi-victime, car elle traquait alors une vampire sévissant du côté de Mishima. Autrement dit, si les rôles avaient été inversés, Akira aussi aurait tué Mélinda. Les évènements avaient voulu que ce soit Akira qui soit capturée. Mélinda l’avait violé et avait bu son sang, mais l’avait bu trop fort. Akira avait failli mourir dans sa cave, quand Mélinda, dans un sursaut de conscience, avait choisi de l’épargner, en lui faisant boire son sang. Akira était ainsi devenue ce qu’elle avait toujours haï, et, pendant des semaines, si ce n’est des mois, elle avait eu du mal à accepter à sa « mère », ou même, tout simplement, à la considérer comme sa mère. Il avait fallu du temps pour qu’elle accepte pleinement d’être sa fille, et qu’elle renie son père, qui  voulait désormais la tuer. Le harem de Mélinda, puis son futur clan (car Akira était au courant des projets de sa mère), constituaient désormais la nouvelle famille d’Akira, et une famille qu’elle acceptait joyeusement.

Cette robe chinoise en était l’illustration. Elle avait été spécialement conçue pour elle, sur sa demande, et elle était si fendue qu’on pouvait la baiser à même la robe, comme un moyen d’honorer les pulsions fétichistes de la famille Warren. Et là, face à sa belle-mère, son cœur bouillonnait d’amour. Elle avait assisté à ce mariage avec un plaisir intense, une joie folle qui brûlait dans ses yeux. Ce moment était aussi important pour Mélinda que pour sa fille, car il était la preuve de la consécration de leur nouvelle vie. Elle avait maintenant deux Mamans, deux mamans délicieusement perverses et belles... Et, quand Vanillia se planta en elle, Akira soupira de plaisir, venant masser le cul de la femme, tout en l’embrassant vigoureusement, avant de gémir et de soupirer.

« HAAAAA... Haaaaaaaaannnn... !! »

Ses ongles s’enfoncèrent légèrement dans la chair de Vanillia, venant la comprimer et la serrer. Alice, de son côté, n’était guère en reste non plus. Ce n’était évidemment pas la première fois qu’elle couchait avec Mélinda, mais aujourd’hui était un jour particulier, et, ainsi, tout en sentant la femme en elle, elle caressait ses cheveux d’une main, et, avec son autre main, venait enfoncer un doigt dans son fondement, ce qui accrut la vitesse et la pénétration de Mélinda, renforçant l’excitation de son amie et amante. Fraîchement mariée, Mélinda redoublait de hargne, et, pendant ce temps, les esclaves environnantes gloussaient entre elles, et commençaient à se rapprocher, caressant les dos de Mélinda et de Vanillia, venant parfois leur donner de petites gifles, ou même les embrasser un peu.

« Vous êtes si belles...
 -  Nos Maîtresses... »

Dans le harem de Mélinda, tout n’était que volupté luxure... Et coups de trique. Les deux femmes remuaient dans leurs amantes, et leurs premiers orgasmes ne seraient que les débuts d’une longue série.

Une très longue et joyeuse série !

Ce soir, tout n’allait qu’être orgasmes, sueurs, et plaisir ! Ça, c’était quelque chose de sûr. Au plus grand bonheur de Mélinda et Vanillia, qui l’avaient amplement mérité après leur passage dans le bassin sanguin. Jeunes mariées, les deux femmes s’étaient faites plaisir ce soir, et comptaient bien profiter de la fête. Avant que les affaires sérieuses ne reprennent, il fallait bien s’amuser, se détendre et se faire plaisir. Vanillia pensait surtout à sa femme qui allait être confrontée à toute ces histoires de clan, d’ancienneté, de rivalité, etc. Et en tant qu’épouse désormais, il allait être de son devoir de l’accompagner durant toute ces épreuves, pour lui apporter un soutien sans faille. C’était ça aussi, l’amour ; la confiance, le soutient, l’aide. Vanillia n’éprouvait pas que du désir envers sa chérie, mais toute une pléthore d’autre sentiments.

C’était bien pour ça qu’elles s’étaient mariées, toute les deux, car pour une fois … Tout n’était pas que sexe et physique. Et la vampire savait que cela allait être éternel, car tout était sincère à la base. Aussi longtemps qu’elle allait vivre, elle allait être mariée à Mélinda. Et aussi longtemps que ce mariage tiendra, aussi longtemps qu’elle veillerait sur elle et lui donnerait tout l’amour et le soutient qu’elle pouvait. Quelque part, c’était beau à voir, même si c’était entre deux vils créatures bien perverses, qui étaient en train de méchamment baiser en continu. Au moins, formaient-elles, paradoxalement, un couple parfait !

Néanmoins, avant de penser à quoique ce soit de sérieux, il fallait profiter de cette nuit de noce. Ce qu’elles comptaient bien faire, puisqu’elles étaient généreusement en train de faire l’amour à deux sublimes femmes. Vanillia remuait joyeusement en Akira, tout en l’embrassant voracement. Il y avait ce petit quelque chose en elle, ce petit détail qu’elle retrouvait aussi chez Mélinda, et qui causait en elle une curieuse réaction. Cette réaction qui la poussait à s’adonner à fond, à y aller avec tout son être. Elle ne savait pas ce que c’était, mais c’était là … Et elle s’amusait donc à pilonner de toute ses forces la jeune Akira, qui hurlait de plaisir sous ses terribles coups. Et alors que les deux femmes étaient solidement attachées l’une à l’autre, en train de s’embrasser, Vanillia, autant que sa merveilleuse femme, sentie des mains se poser sur son dos.

Des esclaves vinrent et commencèrent à les caresser, et même à les embrasser ici. Seulement voilà, la chance légendaire de Vanillia fit qu’une esclave, un peu trop téméraire, prit une curieuse initiative. C’était une Terranide, visiblement, et surtout, une Terranide très bien membrée, qui tout simplement … Décida de monter Vanillia. « Ohhh bon saaaaang … Haaaaaannn !!! » Couina Vanillia, sentant la terrible femme se plaquer dans son dos, son gland tapant contre sa petite rondelle. Ni de une ni de deux, la jeune femme se mit à enfoncer le tout d’un coup sec et vif, arrachant un râle mêlant douleur et plaisir à la vampire. « HAAAANNNN !!! » Hurla-t-elle, sentant ce gros gourdin de chair s’enfoncer dans son rectum.

Une bien belle soirée, décidément …

On ne pouvait pas demander aux esclaves de Mélinda de rester spectatrices trop longtemps. Elles avaient mis plusieurs jours à confectionner cet immense lit, transformant tout un hall en chambre à coucher. Il y avait un énorme drap, qui avait été conçu auprès d’un atelier de tisserand, quelqu’un qui, habitué aux fantaisies et excentricités de ses clients, avait mis plusieurs semaines à obtenir la quantité de tissu nécessaire, et à faire cet immense drap rouge, agréable et confortable. Il était très particulier, car il se constituait, ici et là, de « poches », c’est-à-dire de petites ouvertures pour s’y glisser. Les esclaves avaient ensuite dû attendre plusieurs heures, essuyant aussi les caprices de leur Maîtresse, puisqu’elle avait choisi de les faire attendre en s’envoyant joyeusement en l’air avec Vanillia dans la salle de bains.

Dès lors, alors que Mélinda pénétrait Alice, et que Vanillia pénétrait Akira, il fut impossible de repousser les femmes les plus proches. Une verge s’enfonça dans le cul de Vanillia, la propriétaire de cette verge étant une Terranide issue de zones tropicales, des îles paradisiaques et sauvages, où les Ashnardiens avaient des colonies, et vendaient régulièrement des Terranides. Nylla, car tel était son nom, était ainsi une Terranide qui avait été transformée en Futanari par les bons soins de Mélinda, et qui s’amusa à pénétrer joyeusement Vanillia, comme elle aimait bien le faire. En voyant ce spectacle, Mélinda ne put que sourire, tandis que Nylla, elle, donnait de grands coups de reins, en soupirant profondément.

Pendant ce temps, une autre esclave vint caresser les fesses de Mélinda, avant d’aller l’embrasser doucement. C’était une belle femme, une ancienne prostituée originaire de Seikusu, une toxicomane que Mélinda avait arraché de sa vie de servitude et de souffrance pour lui offrir une nouvelle vie, faite de servitude, mais aussi de plaisir. De cette manière, Naomi était devenue une esclave, restant dans le domaine sexuel, mais consciente et heureuse de sa situation. Elle embrassait donc les fesses de Mélinda, avant de se rapprocher, offrant l’accès de ses fesses à une autre femme, qui enfonça une verge dans son cul, la faisant soupirer. Cette verge venait d’une autre Terrienne, Ayumi Nasegawa.

Naomi, quant à elle, alla embrasser le visage d’Alice.

« Oh, Naomi...
 -  Vous êtes heureuse d’être là, Majesté ?
 -  Oh oui... »

Alice embrassa Naomi en retour. C’était Alice qui avait retrouvée Naomi en pleine rue, alors qu’elle mangeait dans les poubelles. Elle l’avait emmené au manoir, où elle avait été sevrée, et avait veillé sur elle. Naomi sourit donc, et Mélinda l’embrasser également, tout en ayant Ayumi dans son dos, qui remuait de plus en plus.

Quant à Akira, elle, elle avait rejoint ses jambes le long du bassin de Vanillia, mais elle les écarta quand Nylla se rapprocha, et alla alors mordre le cou de sa belle-mère, sans avaler son sang, juste pour la faire hurler à nouveau. Elle-même était très excitée, après tout, hurlant et couinant ensemble.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN... !! »

Avec Nylla qui venait de les rejoindre, c’était... Et bien, c’était encore plus intense ! Akira en avait même du mal à avaler sa salive, tant le plaisir devenait fort... Plaisir qui, en fait, était autant du plaisir que de la douleur, un curieux et violent mélange de ces deux sensations.

« OOOO-OUUUUIIIIIIIIIIIIIIII... HHHMMMMMMMMMMMMM !! »

Prise en sandwich entre la belle Akira, et la terrible Terranide hermaphrodite, Vanillia perdait rapidement l’esprit. Elle ne pouvait plus embrasser sa belle-fille sans risquer de s’étouffer, car elle n’arrivait tout simplement plus à contenir ses soupirs. D’un côté elle était en train de labourer intensément Akira, ne lui laissant aucun répit … Et d’un autre coté elle se faisait elle-même butiner par l’une des esclaves. Celle-ci était très audacieuse et, de par sa nature de Terranide félin, se mit à griffer doucement le dos de la vampire, exhaussant cette belle sodomie qu’elle lui prodiguait. « HOOOOO P-P-PUTAIINNNNNN !!! » Gémit lourdement Vanillia, incapable de retenir sa langue. Ses dents se crispèrent, autant que ses doigts qui s’enfoncèrent dans le matelas. Prise en étau, en un délicieux étau même, elle subissait et donnait au même moment.

La Terranide gloussa, et prit alors une autre initiative … En se mettant à gifler les petites fesses de Vanillia, qui remuaient tendrement sous chaque coup. (Bon sang el-elle va me rendre folle !!!) Pensa Vanillia, peinant à garder les pieds sur terre. Pourtant, sa langue pendouillante et sa salive coulant de temps à autre sur les draps trahissait de son état d’extase pur. Elle aussi maintenait l’effort pour offrir à Akira tout ce qu’elle pouvait, mais c’était de plus en plus dur. De longues minutes s’écoulèrent ainsi, et la vampire perdait réellement pieds. Son bassin remuait au rythme des coups de la Terranide, et voyait donc ses propres coups de butoirs de faire augmenter en force. Akira n’allait pas tarder à jouir si cela continuait … Autant que Vanillia.

« OUIII, OUIIIIIIII ! HAAAAAANNN !!! » Couina la noble en serrant durement les fesses. Sentir ce véritable pilon s’enfoncer en elle était fantastique, surréaliste ! La Terranide employait tant de force, tant de vigueur dans ses coups, c’était tout simplement délicieux. Vanillia sentait sa lourde trique l’écarteler de l’intérieur, s’enfonçant toujours plus en profondeur dans son rectum, qui se serrait autour de son gourdin de chair. Les minutes passèrent encore, et la pauvre vampire ne pouvait plus encaisser tout ceci plus longtemps. Dans un dernier soupir, un dernier cri, elle laissa exploser son extase, provoquant alors un de ses plus gros orgasmes … Elle en faillit s’en casser la voix. Sa propre verge se mit à entrer en éruption, balançant de violente et chaude salve de foutre dans l’intimité d’Akira, pendant une bonne dizaine de seconds voire plus.

Au même moment, la Terranide jouit, et se mit à généreusement fourrer les entrailles de Vanillia, remplissant ses intestins de sa chaude crème. Cependant, elle en fut des plus généreuses, voire trop. Elle jouit tellement que le petit ventre de la vampire avait gonflé un peu, et cela se voyait à vue d’œil. Un trop-plein de sperme, dont l’esclave finit de cracher à même la croupe de Vanillia, et sur la base de son échine. Entre Akira et la Terranide, elle avait été éprouvée. Pas assez pour la fatiguer, mais assez pour l’essouffler. Elle sentait comme si elle venait de faire un long sprint ; son cœur battait très fort et très vite. Les yeux mi-clos, elle savourait cet après-coup, se reposant sur ses coudes. C’était que cette Terranide lui avait bien pété l’arrière-train … Vanillia avait réellement adoré ça, et elle se demandait si cette petite esclave serait prête à recommencer, un jour.

« Hmm … » Gémit Vanillia, en reprenant son souffle, et en sentant la douleur liée à la sodomie abrupte la reprendre. Ses yeux se braquèrent contre ceux d’Akira, et elle lui esquissa son plus beau des sourires. Juste avant d’approcher son visage, lentement, pour finir par mêler ses lèvres aux siennes, en un doux et succulent baiser. Elle ferma ses yeux à ce moment-là, afin de mieux se transporter dans ce moment intime avec Akira. Bien que, l’intimité … N’était pas vraiment de mise. Mais par défaut, Vanillia considérait toujours un baiser affectif comme intime. Sa langue se lova tendrement contre la sienne, dansant lentement, prenant alors tout son temps avec sa belle-fille. Mais ça, c’était sans compter que la Terranide, la belle et terrible Terranide, allait revenir à la charge, bien que moins abruptement.

La jeune et pétillante esclave se pourlécha les babines, avant de se glisser complètement dans le dos de Vanillia, pour venir l’embrasser dans le cou. Pour que la vampire n’ai pas à supporter son poids, elle se tenait à quatre pattes, les bras bien tendus. Elle embrassa chaudement Vanillia dans le cou, et mordilla son lobe à intervalle régulier. Ce petit jeu dura un moment, jusqu’à ce que la noble se retire des lèvres d’Akira, en lui souriant. « Aussi succulente et enivrante que sa maman … Je suis bien chanceuse. » Lui déclara-t-elle, en lâchant un petit soupir en sentant la Terranide lécher son fin cou. Mais, au milieu de tout ce sexe et cette volupté … Les bras de Mélinda commençaient à lui manquer ! Ni Akira, ni cette Terranide n’équivalaient son épouse, qui resterait à jamais sa meilleure amante.

Nylla était, de base, une femme endurante, et une amante terrible. Coucher avec elle relevait véritablement du sport physique, un sport intense et lourd. Mélinda le savait, car elle avait déjà dû supporter la trique de Nylla, dont les orgasmes étaient… Clairement orgasmiques. La Terranide jouissait à chaque fois abondamment, vidant ses testicules dans des érections incroyables et exceptionnelles, spectaculaires par leur intensité. Très rapidement, les ébats à trois, entre Nylla, Vanillia, et Akira, furent uniquement rythmés par Nylla, qui donnait de terrifiants coups de reins à cette dernière.

« Hmmmmm… !! »

Et *VLAN !*, elle alla donner de grosses claques sur le cul de Vanillia, puis reprit ses massifs coups de reins. Belle et forte, elle avait une verge disproportionnée, épaisse et grosse, qui continua à labourer fièrement et joyeusement le cul de la belle vampire, soulevant et abaissant lourdement son corps, tous les muscles et les biceps de la Terranide concourant à la prendre joyeusement et fermement. Nylla grognait, et Akira, à son tour, hurlait également, enfonçant ses mains dans le cul moelleux de Vanillia, le faisant légèrement saigner.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !!! »

Les trois femmes continuaient ainsi à se faire joyeusement l’amour, pendant que, de son côté, Mélinda était entourée d’esclaves. Même ses mains étaient embrassées et sucées, avant de finir se poser sur des sexes, les masturbant. Sous son corps, Alice l’embrassait et la griffait, étant, elle aussi, pénétrée par la belle femme. Une pénétration magnifique, comme toujours, un coït torride, même si cette partie du lit rebondissant à cause de Nylla. Alice n’avait, encore, jamais eu la « chance » de coucher avec elle, mais, à voir la force dont elle faisait preuve avec Vanillia, elle n’était pas totalement sûre d’avoir très envie de coucher avec elle.

Les séances de sexe se poursuivirent donc, et les premiers orgasmes finirent par arriver, Vanillia se vidant le corps d’Akira, tout comme Mélinda dans celui d’Alice. Elle déversa son sperme dans son corps, et, ainsi, tout le monde put avoir quelques orgasmes initiaux…

« Haaaaa… »

Et, après cela, Mélinda retrouva sa belle Vanillia, la couchant sur le dos, et l’embrassa goulûment, caressant avec une main son ventre arrondi.

« Hmmm… »

Mélinda l’embrassa pendant de nombreuses seconds, sa main caressant le ventre bien arrondi de Vanillia. Diable, on aurait pu croire que la femme était enceinte, tant son ventre était tendu ! Un joli spectacle à voir pour la vampire, qui souriait malicieusement.

« Nylla t’a bien fourré, hein ? »

Rien de bien surprenant venant de sa part, Nylla restait fidèle à sa réputation.

« J’aime sentir ton ventre bien rond… Mais n’oublie pas, Vanillia… Si jamais tes forces viennent à te manquer… Il te suffit de mordre dans un cou… »

Et, tout en souriant, Mélinda tapota le nez de Vanillia avec son doigt, avant d’aller tendrement lui faire un baiser d’esquimau.

« Car, crois-moi, ce soir, je vais te pousser à bout… »