Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

[FINI] Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Morgan Clayton

Avatar

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 15 vendredi 31 juillet 2015, 16:33:15

Ça doit faire au moins une bonne demi-heure que je baisse comme une bête. Peut-être même une heure entière.... en fait, j’ai littéralement noyé ma notion du temps dans le fond de cette débauche jouissif. Je n’y vois pas d’un mauvais œil, c’est même bon signe que je m’éclate à mort ! Plus précisément cette sensation d’éjaculer qui monte qui monte et qui va jaillir d’un moment à un autre avec perte et fracas.
Pourtant, j’ai cette curieuse obsession de diversifié mon modus opérantus en matière de sexe en faisant appel à mon imagination lubrique. Même Pamela m’encourage à employés les milles possibilités que me confère mon statut d’Avatar en citant deux exemples dont je peux effectuer aisément. En effet elle n’a pas tort.... après tout je ne suis plus vraiment un humain a proprement parlé, nullement limité à la biologie restreinte d’un corps humain. Seul mon esprit reste dans un schéma purement humain. Je peux revêtir n’importe quel forme.... créer des clones.... créer n’importe quel forme de plantes à partir d’une infirme parcelle de matière florale... et bien autres encore dont la liste est beaucoup trop long à énumérer..... pourquoi devrais-je m’en privée !? Ce serait trop stupide, évidement !! Je suis peut être un jeune Avatar encore habitué a agir physiquement comme un être humain, néanmoins rien  ne m’empêche d’expérimenté diverses méthodes d’accouplement sexuel qui me passe par la tête !

Et je compte bien m’y aventurer.... maintenant.
Pamela le désire ? Dans ce cas ce sera avec joie de lui faire plaisir !

-   Mhuuumpff...... avec joie ma fleur bien aimée.....Uughhh.... t’inquiète pas, j’ai.... mhuumpff.... prévue de m’occuper de ton vilain petit cul..... Mmuughhh !!!

Je fais donc poussé un deuxième « baton de maréchale » juste en dessous de son frère, gros comme une bite de cheval et qui se courbe pour venir s’enfoncer au fin fond du cul bombée de Pamela. Me voilà donc avec deux grosses bites qui bourine la belle rousse à l’unissons, le tout dans la joie et la bonne humeur ! Ah ouais en effet..... c’est un tout autre effet que de pénétrer la chatte et le cul d’une partenaire en même temps ! Ca confère deux fois plus de plaisir et me procure deux fois plus d’orgasme ! C’est aussi perturbant que fantastique.
Mais je ne compte pas m’arrêter là. Ô que non, bien au contraire ! Je veux aller plus loin..... que dis-je, beacoup plus loin ! Savoir qu’on peut aussi bien procurer un plaisir toujours plus inhumain à nous comme à notre partenaire de couche me fait tourner la tête à tel point que je souhaite encore repousser les limites sans cesse.

Vient alors l’idée de me faire pousser une paire de protubérance tentaculaire au niveau de mes muscles pectoraux, dont le bout est pourvu de bouche contenant plusieurs centaines de langues triangulaire à l’intérieur ainsi que d’une trompe à leurs centres. Suffisamment fine pour se faufiler à travers les tétons érigés d’Ivy. Elles gobent tout rond ses seins opulent, tandis que les langues lèches sa douce peau et que les trompes s’enfonce dans les nichons pour titiller l’intérieur par des dizaines de longues langues fillaires pas plus fines que des poils de cheveux. Comme tous ceci est une extension de mon corps, je peux ressentir leurs sensations tactiles. J’en avais oublié à quel point sa peau est aussi douces qu’un pétale de rose. Parallèlement, je découvre des sensations que je n’aurais jamais pu croire que cela puisse exister, tel que l’intérieur de la poitrine d’Ivy.

Un baiser fougueux  vient se poser sur les lèvres pulpeuses de ma belle Pamela, avant que je vienne lui mordiller l’oreille droite.

-   T’aimes ça mon cœur, hein ? Tu en raffole ? Aaaah, t’es tellement belle quand tu jouie à gorge déployé. Attends.... j’ai une nouvelle surprise pour toi, humhumhum......

Car oui, la surprise en question ce sont les grosses piques bombées que je fais pousser sur tout le long de mes deux chibres pour accentuer davantage (et pas qu’un peu d’ailleurs) l’orgasme de Pamela par les massages procurés par eux, sous les coups de reins toujours aussi rapide et vigoureux auparavant.
Je suis raide dingue de Pamela.... au point que je souhaite lui offrir une expérience qu’elle n’oubliera jamais et que personne d’autres sur ce monde, comme sur notre monde originelle, ne pourra égaler mon niveau. Encore moins à le surpasser. On ne se connaît pas depuis longtemps, certes, mais je suis persuadé que nous pouvons former un magnifique couple, tous les deux.

Et je compte bien à garantir cette évènement !

Poison Ivy

Créature

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 16 mercredi 05 août 2015, 02:41:30

Quand on était l’Avatar du Green, du Red ou du Rot, le seul véritable obstacle à votre pouvoir était, en fin de compte, l’imagination humaine. Les pouvoirs procurés par ces forces fondamentales dépassaient l’entendement. Morgan aurait même pu affronter quelqu’un comme Superman, et avoir toutes ses chances. Alors, forcément, en matière sexuelle, il était de bon aloi que Pamela exige plus que ce qu’un humain normal, aussi bien membré fût-il, puisse offrir. Elle couchait avec un Dieu vivant, elle voulait une expérience divine, qui surclasserait toutes les autres. Morgan le comprit, et entreprit donc de la satisfaire… Non pas que la pénétration qu’il lui faisait soit déplaisante, loin s’en faut. Pamela était plutôt une femme très gourmande, et Morgan le comprit.

Il se concentra donc, et, en conséquence, Pamela sentit une verge supplémentaire jaillir de son corps, caressant ses fesses, avant de décrire un mouvement d’arc de cercle. Elle se pinça les lèvres, et sentit ce membre s’enfoncer en elle.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNN… !! »

Un cri virulent s’échappa de sa gorge, et ses mains se crispèrent contre le torse de cet homme musclé et bien bâti. Il lui avait dit, de sa voix rauque, qu’il s’occuperait de son « vilain petit cul », et ce juron l’avait fait frissonner. Habituellement, Pamela ne supportait pas que ses amants l’insultent… Mais, avec lui, c’était différent. Fondamentalement, elle était dans le même état d’esprit que si elle faisait l’amour avec Harley ; elle acceptait tout. Ici, la subtilité était juste que, compte tenu des pouvoirs surnaturels de Morgan, il était normal que ce soit lui qui la domine… Et, bon Dieu, il la dominait bien ! Pamela sentait ses deux trous être bien remplis. Les verges de Morgan montaient et redescendaient avec férocité. C’était du sexe brutal, intense, douloureux, comme elle l’aimait. Il la prenait si fort qu’elle n’arrivait parfois même plus à avaler sa salive. On voyait alors son visage se pencher vers le haut, yeux écarquillés, lèvres entrouvertes, son expression faciale figée en un cri silencieux de plaisir. Un plaisir partagé par Morgan.

Il la bourrinait, clairement, la prenant comme on l’avait rarement prise, sensation renforcée par sa force, par son impressionnante puissance. C’était tout simplement un sacré amant, violent et ardent, passionnel dans sa démarche, qui ne laissait rien au hasard. Son objectif était de la baiser, de la prendre sèchement, et c’était quelque chose qu’il faisait avec talent. Ça, elle ne pouvait pas le nier ; c’était bon, brutal… Hum, si brutal… Poison Ivy sautillait contre lui, véritable poupée de chiffon,.

« Ouuuiii-Ooouuuuiiii, haaaaaaaaannnn… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… HMMMMMMMMMMMMMM… OUUUUUUUUUUUUUUUUIIIII !!! »

Elle hurlait, vociférant sa joie, sa mouille se répandant le long du sexe de l’homme. Elle était en train de mouiller abondamment, et eut un orgasme avant que Morgan ne décide d’augmenter le rythme. Non content de la pénétrer, il transforma son torse, et deux espèces de bouches tentaculaires jaillirent de ses pectoraux et se crispèrent à hauteur de ses seins, les englobant, et les léchant, à l’aide d’une multitude de petites langues triangulaires. Autrement dit, il n’y eut pas un seul millimètre des deux seins de Pamela qui ne fut pas recouvert des langues de Morgan. L’Avatar veilla tout particulièrement à ses tétons, et Pamela gémit à nouveau, hurlant à s’en casser les cordes vocales. Si un homme passait par là et l’entendait crier, il aurait pu croire qu’elle était en train de se faire dévorer par un loup, tant ses cris étaient forts.

Ses yeux étaient clos, et ses hurlements remplissaient l’air. Morgan la dominait totalement, et Ivy sentit rapidement un second orgasme venir. Or, chacun de ses orgasmes était assez particulier, car sa mouille était aphrodisiaque, et, en tout état de cause, dégageait une délicieuse odeur parfumée. Ils s’enfermaient ainsi dans un cocon de sexe sauvage, de baise féroce, et Morgan, qui jouait avec ses tétons, put sentir du lait en jaillir. Pamela continuait à hoqueter, le corps broyé et rempli par les deux massives verges de l’homme, ses seins diffusant des torrents ardents de plaisir. Ses mains basculèrent dans le vide, et elle les posa ensuite sur les épaules de l’homme, répondant avec plaisir à son baiser, en gémissant de plaisir, enfouissant son corps contre le sien.

Il lui parla ensuite, et elle crut qu’elle allait fondre quand il choisit de l’affubler du qualificatif « mon cœur ». Elle soupira, et gémit.

« Oooo-ouuuiiiiii-haaaaaaaaannn… Encore, huuuummmmm… Encoooreee !! »

C’est tout ce qu’elle se demandait, et c’est ce à quoi elle eut droit, quand l’homme fit pousser autour de ses verges des sortes de petites bosses. Ces bosses se frottèrent contre ses parois, et elle put le sentir remonter encore plus dans son canal anal, filant dans son corps. Elle gémit, et n’arriva même plus à parler, ses lèvres s’ouvrant de part en part, comme si elle était en pleine extase sexuelle.

Un troisième orgasme vint ainsi la traverser, et, en papillonnant des yeux, elle réalisa qu’elle en avait un peu pleuré… De joie, ou de souffrance, sûrement un intense mélange des deux.

« Baise-moi, Morgan… Encore, encore, encore, haaaaannn… Baise-moi jusqu’à plus soif, jusqu’à ce que tu n’en puisses plus… HUUUUNNN… !! BAISE-MOI, MON AMOUR !! »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Morgan Clayton

Avatar

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 17 samedi 08 août 2015, 01:12:26

Ah ça oui il n'y a vraiment pas a dire..... Pamela est en pleine extase. C'est pas tous les jours que j'arrive a faire jouir une femme a un tel niveau de plaisir à en crever le plafond. Encore moins d'entendre une qui en redemandait toujours. De mon côté aussi je vibre par cette orgasme inhumain qui me ronge toute mon âme. Mon buste massif se bombe et se contracte entre deux coups de reins viriles, malgré l'absence d'organes pulmonaires. Difficile de savoir si c'est moi qui simule inconsciemment, ou bien de probables organes végétaux jouant le rôle de poumons. Mais ce dont je suis sûr c'est que l'orgasme, lui, est plus que vrai. Et bon dieu qu'il est bon !! Autant que le doux nectar onctueux et savoureux du lait mammaire d'Ivy qui jaillit de ses tétons, imbibant mes trompes pourvues de sens gustatives et tactiles. Car oui, je le bois par le biais de mes tentacules buccales en ce moment même ! Étrangement, je ne sens pas une quelconque odeur de transpiration. Au lieu de ça j'ai plutôt droit à une odeur parfumée qui émane de Pamela. C'est agréable.

Après je ne pourrais dire si c'est moi ou bien le lait et l'odeur aromatique, mais je suis soudainement frapper par des pulsions bestiaux qui me font tourner la tête à mesure que je contemple Ivy. Le genre de truc qui me donne une érection de malade, faisant croître le volume de mes chibres de plusieurs centimètres d'envergures par cette envie furieuse de baiser Pamela comme une grosse bête en chaleur. Lui pilonnait son jolie boule et sa chatte toute humide de toutes mes forces..... lui fouttre des claques vigoureus à ses deux grosses pommes que seule ma volonté retient une paluche tremblant à cette idée.

Mais je ne dois pas céder ! Il n'en n'est pas question !!

Car comme je l'ai déjà dit, si je me laisse submerger par mes pulsions sexuelles.... il n'y aura plus de digues mentales pour retenir ma force et à coup sûr, entraîner la mort d'Ivy. Alors je secoue spontanément et vivement ma tête comme pour chasser une nuisance sur mon visage, avant de diminuer sensiblement la force de mes coups de reins un poil trop brusque à mon gout. Et je dis bien "sensiblement" car je n'arrive plus a avoir la volonté de me retenir davantage. C'est pire que de stopper un puissant courant fluvial qu'on aurait libérer depuis seulement cinq minutes ! Et vue que je ne ressens aucune forme d'épuisement ou de fatigue, je ne trouve plus de limite a mon appétit sexuel. Et moi qui pensait que je n'aurais pas a faire ça, voila qu'une claque vient claquer malicieusement les douces fesses de la femme hybride. N'empèche, qu'est-ce que c'est jouissif !

Oh mon dieu..... je ne peux plus me retenir...... Il faut que ça SORTE !!! Plus moyen de me retennir pour celui-ci !!!

- UUUUGGGGGHHHHHHHAAAAAAAAAAHHHH !!!!!

Aaaaah putain..... ça ce sont mes verges mastoches qui vomissent un torrent de liquide spermale gluant et aromathisée d'un vert translucide qui innonde brutalement ses intestins et tout l'intérieur de son vagin. Gonflant rapidement son bas ventre qui s'élève à l'oeil nue et faisant déborder des quantités de spermes aux bords de son intimité par le pillonage de mes énormes manches. Poussant parallèlement un long et puissant soupire de ma bouche entrouverte, les yeux clos de ma tête braqué au ciel. Ça... c'est pas de l’éjaculation d'ados prépubère. Aaah ça non.... c'était limite l'ouverture d'un tuyau d'extincteur !
Me vient alors l'idée d'expérimenter une nouvelle façon de faire l'amour qui me titille l'esprit. Et qui m'excite tellement que je m'empresse de faire immédiatement !

Mais tout d'abord, je dois informer ma douce compagne.

- Accroche toi bien ma belle.....je vais expérimenter une nouvelle façon de te faire l'amour, alors détends toi bien et laisse moi faire. Tu ne vas pas regretter..... mais alors la, loin du compte........

Je retirent mes grosses bites des orifices intimes d'Ivy en la soulevant puis en la reposant par terre. Au même moment, j'écarte les bras de mon autre corps utiliser pour baiser Pamela avant de se déformer en se fondant dans ce mur végétal sortant du lotus géant et enfermant Ivy à l'intérieur dans une espèce de cocon végétal faisant au moins dix mètres de haut pour cinq de larges.
Puis en me focalisant j'anime le sperme végétal qui s'étends et recouvrent toutes les surfaces où il va. Il ne se contente pas seulement d’envelopper tous les muscles et organes internes de Pamela, il suinte et recouvre également toute la surface extérieur. Parallèlement, il se transforme en une membrane végétal verte à la fois lisse, doux et très agréable à toucher qui fait office de seconde peau en se collant fermement à sa peau par moulage moléculaire. S'infiltrant dans ses pores épidermique pour être relié à ses terminaisons nerveuses à celles de la membrane vivante en train de l’envelopper de la tête au pieds. Matière que j'incarne simultanément comme si c'était un clone de moi, ne laissant échapper aucun espace non recouvert par ma matière. Seules les cheveux restent exposés. Plus qu'une matière végétal vivante prenant la forme d'un costume intégrale c'est tout simplement moi, mais en une sorte de "symbiote" en totale symbiose avec son hôte..... et je dois dire que je n'avais jamais ressentie de tel. C'est infiniment mieux que d'être fortement collée contre sa partenaire ! Je me sens carrément comme un poisson dans un aquarium de luxe ! C'est TELLEMENT excitant !!!

Et pendant que je recouvrais Ivy, un liquide rosé jaillie abondamment sous les pieds de ma partenaire et remplie tout l'intérieur. Ma belle rousse ne risque pas de se noyer puisque mon corps se perdent et se complexifient dans ses voies respiratoires, filtrant continuellement l'air dans l'eau rosée pour lui assurer un approvisionnement d'air constant.
La première chose que devrais ressentir mon amour, c'est un sens du toucher amplifier à l'extrême par la densités monstrueuses des terminaisons nerveuses contenue dans chaque centimètres carrés de ma matière symbiotique. Donc, c'est plus qu'une simple conservation de ses sens tactiles que je lui bénéficie, mais ce n'est pas tout ! Je suis allée beaucoup plus loin en diffusant une substance chimique exotique et ultra concentrée dans la totalité de son organisme. Ses propriétés peuvent se résumer en un relâchement absolue de tous ses muscles, couplée à une elastification de ceux-ci ainsi qu'un décuplement exponentielle de son endurance par ses effets anti oxydants contre l'acide lactiques principalement responsable de la fatigue. Ouais, j'avoue m'être intéresser pendant un brève temps dans la biologie afin d'améliorer mes exercices de musculations durant ma période humaine.....
Comme si cela ne suffisait pas, j'en remet une bonne  couche en boostant la résistance musculaire et osseuse d'Ivy à des niveaux plus que surhumain, limite semi-divine, par synthétisation d'une autre substance chimique densifiant les tissus jusqu'à l'échelle céllulaire. Comme ça, je pourrais enfin me lacher complètement sans risquer de lui briser les os.
Pour finir, certains effets combinés de mes subtances sécrété en ma partenaire affecte profondément son cerveau et qui lui offre ce que nulle drogue ne pourrait lui donner : c'est à dire une sensation euphorisante divine.

Au même moment, deux tentacules végétales poussent sur les épaisses parois du cocon pour engloutir les bras de Pamela afin de la maintenir efficacement pendant la prochaine étape qui suit et qui ne tardent par a arriver sous les traits deux protubérances phaliques en dessous-d'elle, plus une autre au dessus. Grosses comme des bites de baleines. Ouais, carrément !! Et comme pour les autres, elles sont également des bosses tout le long de leurs manches.
Sans plus attendre, je lui plantes les deux du dessous dans ces deux orifices qui se dilatent facilement, déformant aisément son bas ventre ainsi que son ventre. Son parler de son bassin. Tandis que l'autre s’engouffre dans la bouche de ma rousse préférée, se perdant dans sa gorge qui elle aussi s'élargie par le diamètre "Enorme & Sec" du manche. Les vas et viens, eux, n'ont pas diminuer en intensité. C'est même tout le contraire, étant donnée que j'ai adapté le corps d'Ivy au sexe surhumain de l'extrême.

Nous voila déjà au dernier niveau de notre partie.

Poison Ivy

Créature

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 18 samedi 08 août 2015, 11:36:57

Ils baisaient comme des hyènes en furie, avec, toujours, cette règle qui caractérisait la puissance de Morgan : la seule limite à son pouvoir était son imagination. Et cette règle allait encore se confirmer dans les minutes qui suivraient. Morgan continuait à la prendre contre lui, et l’homme approchait du point de rupture... Un point que Pamela, en toute honnêteté, avait déjà franchi il y a longtemps. Cet homme n’était pas qu’un simple homme, c’était comme si un grizzly était en train de la prendre. Son torse s’écrabouillait contre elle, ses queues la pilonnaient, et elle avait l’impression que son corps allait se rompre à chaque moment. Difficile de dire, à ce stade, si ce qu’ils faisaient était du plaisir sexuel ou de la torture. Comment évaluer la différence ? Ivy souffrait autant qu’elle prenait son pied, et les deux sensations étaient désormais jointes en une sensation unique et totalitaire. Comment qualifier une sensation qui cumulait plaisir et souffrance, tout en les transcendant ? C’était comme un orgasme perpétuel... Et, quand Morgan éjacula en elle, répandant dans son corps son sperme verdâtre, Ivy se sentit à nouveau partir. Il s’abandonna généreusement en elle, et, s’il avait ralenti le rythme, elle, elle n’en avait rien ressenti. Pamela était limitée par sens d’humains, et c’était comme regarder une vidéo. Traditionnellement, une vidéo tourne à 30 images par secondes. Si vous passiez à 40 images par seconde, l’œil humain ne faisait pas la différence. Et bien, pour reprendre cet exemple, Pamela était un peu dans cette situation durant tous leurs ébats. Morgan avait beau réduire la cadence, elle ne le sentait plus. Tout ce qu’elle sentait, c’était le sexe, comme une sorte de pulsion l’englobant totalement.

En revanche, elle sentit bien Morgan jouir en elle, et le fait d’être le réceptacle du sperme de cet être (on ne pouvait guère le considérer comme un simple homme, maintenant) provoqua en elle de multiples frissons de plaisir et des bouffées de fierté. Elle sentit son ventre grossir et enfler, comme si elle était enceinte, et Morgan cessa ensuite de remuer. Il conserva en elle ses queues, mais elles réduisirent en taille, permettant ainsi à Pamela de retrouver quelques sensations... Blottie contre l’homme, elle reprenait son souffle, sperme et cyprine glissant le long de ses jambes. Morgan était toutefois loin d’en avoir fini, et ça, Pamela s’en doutait. Vouloir l’épuiser était vain, car il était ici comme un Dieu omnipotent. Elle avait peut-être (et ce « peut-être » était à prendre avec toutes les pincettes de rigueur) fatigué le corps devant elle, mais ce corps n’était qu’une représentation de l’Avatar. Morgan Clayton était partout autour d’elle, il était même maintenant en elle. Et ce constat sembla s’imposer autant à elle qu’à lui, car il décida de changer, de laisser parler son imagination, et d’expérimenter des choses sur elle.

« Oui... Vas-y, Morgan, hummm... Fais ce que tu veux de moi, mon amour... »

Pamela ignorait s’il avait besoin de sa permission ou non... Pour elle, elle avait déjà été suffisamment claire sur le fait qu’elle était son esclave ici. Une esclave consentante, qui accepterait avec plaisir d’être l’objet des tests de Morgan. Elle avait en lui une confiance inébranlable, parce qu’il représentait tout ce pour quoi elle se battait depuis le jour où une expérience de chimie avait fait d’elle une nouvelle femme. Il la repoussa alors, et elle se retrouva au milieu d’une espèce de curieux cocon végétal. Ce qui suivit fut ensuite assez difficile à expliquer et à comprendre pour elle, a fortiori après avoir été tringlée comme une bête pendant des heures (car elle avait bien le sentiment de coucher avec Morgan depuis des heures).

Le sperme de Morgan était une partie inhérente de l’Avatar, comprenant son ADN. Si des chercheurs avaient voulu analyser son sperme, ils auraient sans doute fait de drôles de têtes. Ce n’était pas un simple sperme, tout comme la mouille d’Ivy n’était pas une simple cyprine. Elle sentit ces kilos de sperme que l’homme avait largué se déplacer en et hors de son corps. Assise sur le sol, ayant du mal à se relever (il fallait bien avoir en tête que son ventre était disproportionné, presque sur le point de craquer), elle frissonna en sentant le sperme se déplacer. Il recouvrit le cocon, puis s’aplatit ensuite sur elle. L’image était autant dégoûtante qu’attirante, et, tandis que Pamela sentait le sperme la recouvrir, elle sentit aussi sa conscience s’élever... Morgan était en train de fusionner avec elle, elle le comprit instinctivement, mais ceci eut aussi pour effet qu’elle se rappelait... Ou, plutôt, qu’elle retrouvait l’ivresse qu’elle avait eue quand elle s’était rendue en Amazonie, et que le Parlement des Arbres l’avait trouvée. Morgan était en train de l’oindre, la recouvrant de son sperme, et elle commençait à sentir son lien avec la Nature s’amplifier. De base, Pamela était liée à la Nature, pouvant la plier à sa volonté... Mais là, c’était autre chose. Là, elle ne cherchait pas à la plier, mais... Elle se mélangeait avec elle.

*C’est si beau...*

Elle se voyait comme si elle était à l’extérieur de son corps... Tout en étant à l’intérieur. Elle voyait le sperme se mélanger à son corps, inondant ses yeux, ne laissant que ses cheveux, sa longue chevelure rousse qui fascinait les hommes. Il était très difficile d’expliquer avec des mots ce qu’elle ressentait, car les mots étaient faits par les hommes, pour décrire des sensations humaines... Or, ce qui se passait ici dépassait ce qu’un simple être humain pouvait ressentir. Morgan était en train de l’améliorer, ne se contentant pas de simples modifications physiques. En elle, son sperme s’enroulait autour de ses os, se diluait dans ses muscles et ses organes, les durcissant.

Pamela vit et sentit sa bouche se déformer légèrement, des dents pointues se formant, et ce fut tout comme son corps qui évolua... Comme si un symbiote végétal venait de la recouvrir. Son corps était à la fois le sien, et à la fois quelque chose d’autre. Elle observa sa main, voyant sans voir, car elle n’avait plus vraiment de yeux, maintenant... Tout en étant capable de voir. Elle ne voyait plus avec ses yeux, mais avec des milliers d’yeux braqués partout.

Trois énormes tentacules phalliques jaillirent ensuite. Pamela poussa un hurlement de plaisir et de douleur quand les deux premiers rentrèrent en elle...

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Puis le cri mourut dans sa gorge quand un troisième s’enfonça dans sa bouche, venant se perdre dans sa gorge. Elle se retrouva suspendue en l’air, prise par trois membres disproportionnés. Une douleur fulgurante la traversa, et son soupir de plaisir sortit de son corps, se répercutant dans les environs, heurtant chaque feuillage et chaque brindille d’Eriendor. Une sorte d’extase terrifiante.

Mais Pamela ne comptait pas simplement en rester là. Morgan l’avait relié, et elle comptait bien agir en conséquence. Hors du cocon, l’Avatar était toujours là, et dut sentir des mouvements, comme des perturbations. Pamela était reliée à la forêt, que ce soit par les tentacules la bourrant violemment, ou par ce cocon, dont les racines se plantaient dans le sol. C’est ainsi qu’un clone d’Ivy apparut, poussant dans l’herbe. Une autre Poison Ivy, verte aussi, nue, qui se dressa hors du cocon, au milieu de la forêt.

« Je peux en faire autant que tu le souhaites... », glissa le clone.

Et, si on regardait bien, on pourrait voir que le clone était en train de mouiller sur place.

Après tout, son hôte d’origine était en pleine extase.
« Modifié: samedi 08 août 2015, 17:40:04 par Poison Ivy »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Morgan Clayton

Avatar

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 19 dimanche 06 septembre 2015, 22:09:30

Depuis que j’ai transcendé les limites corporelles de Pamela et ceux jusqu’à ce que notre copulation ne cessent, je peux enfin me défouler pleinement sur elle ! A cœur joie ! Avec une toute nouvelle façon de faire l’amour. Et j’avoue que je ne regrette pas ! Ô ça nan ! Je jubile à gorge déployé de sentir mes grosses queues bourriner férocement ma partenaire. Et caresser toutes les parois chaudes et humides de tous ses pores. Mais c’est encore mieux quand, en plus, je ne fais plus qu’un avec Ivy ! Je peux voir toutes les organes de son corps ! Aussi bien de manière normal qu’a l’échelle cellulaire.
Néanmoins, c’est dans les zones sensibles de son intimité que j’excite frénétiquement par des léchouilles de toutes les parois par des myriades de langues végétales, tandis que l’une de mes gros phallus pilonne son vagin et le dilate à un diamètre hallucinant ! Moi-même qui commence à m’habituer des surprises qui ne manque pas sue terra, j’ai été étonné ! Non sérieux..... son orifice vaginale est suffisamment large pour y introduire sans problème un lampadaire ! Une femme de constitution normal aurait eu son intimité plus que déchiré et du sang aurait abondamment coulé, en plus d’en être morte. Est-ce que Pamela en souffre ? C’est même tout le contraire ! Elle aussi jubile et est consumé par une extase surpuissante ! On baise outrageusement, comme des bêtes en chaleurs. Je dirais même que j’ai franchi le seuil du non retour en m’aventurant dans la découverte de ce que je pouvais faire en tant qu’Avatar de la Sève. Je n’sais même pas si je vais m’arrêter un jour... tant je suis entièrement consumé par cette inondation de pulsions sexuels mêlée à ces vagues scélérates de sensations charnels s’enchaîner et me bombarder violemment ! Il n’y a pas à dire, c’est infiniment plus addictive que les drogues les plus dures du monde ! A ce stade, ce n’est même plus une addiction que je subis ! Ca va beaucoup plus loin que ce que je l’aurais crue.

Pendant que Pamela se tient à l’intérieur du cocon végétal, je vais rendre son séjour encore plus agréable en inondant tout l’intérieur d’un liquide rosée jaillir sur toutes les parois, sans interrompre le rythme fougueux de mes va et viens. Qu’est-ce donc que ce liquide ? Rien de bien extraordinaire. Juste de l’eau issue de la rivière où flotte le nénuphar géant. Absorber et traitée par le cocon pour en faire une eau parfumée d’une odeur si fine et tellement délicates qui rappelle la fraise.
Voilà maintenant que Pamela flotte joyeusement à l’intérieur du cocon. Masser par des geysers de bulles générer par les orifices sur les parois du cocon, s’ouvrant et se refermant successivement. En fait, elles simulent mes expirations. Du moins, ce que j’aurais fait si j’étais contraint à devoir respirer. Heureusement pour ma belle partenaire, elle ne risque pas de se noyer. Mon corps symbiotique filtre le liquide de la même manière que les branchies des poissons. Donc, impossible qu’elle puisse se noyer.
Mais alors que je continue de la baiser et me jouir en elle, je sens quelque chose poussé à l’extérieur du cocon. Et quand je tente de voir de l’extérieur en poussant un œil sur la partie extérieur du cocon, c’est pour y voir un clone de Pamela venant tout juste de poussé dans l’herbe. Un peu comme moi quand je construis une enveloppe corporelle pour m’incarner. J’écarquille subitement mon œil. Apparemment, en « améliorant » son corps, j’ai également renforcé ses pouvoirs pythokinétique et peut être même sa structure génétique temporairement pour tisser un lien avec la Sève. J’avoue que ce n’était pas prévu au programme..... mais elle semble s’en foutre royalement. C’est une bonne chose ! 

Faire autant de clones que je souhaite ? Ohoooh.... voilà une idée qui me plait énormément ! Tout souriant devant cette révélation, je fais pousser un corps de la paroi extérieur du cocon, tout en continuant de baisé passionnément la vraie Pamela. Puis je m’approche du clone dont je remarque l’abondante fuite de cyprine éjaculé de sa moule, suintant le long de ses jambes. Mon torse se colle contre sa poitrine, alors qu’un index habile palpe délicatement les lèvres gonflées de son vagin et, lentement, s’y glisse au fond. L’autre main se glisse sous son menton qu’il fait monter, afin de relever la tête d’Ivy vers moi.

-   Pas besoin d’un harem de clones. Cette unique clone suffira largement.

Et hop ! Sans attendre une seconde de plus, mes mains s’agrippent à ses manches pour d’abord la soulever, puis la retourner afin de mettre son intimité au même niveau que ma bouche. Pour me mettre aussitôt « dévorer » sa chatte. Léchant et me délectant allégrement de sa cyprine, tandis qu’elle peut pomper l’énorme dard à l’entrejambe.


Poison Ivy

Créature

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 20 mardi 08 septembre 2015, 02:29:08

Ce que Pamela avait pu remarquer quand elle avait couché avec des Alraunes, c’est que le sexe floral se pratiquait sans limites, et était donc dangereux. Quand on couchait avec la Nature, on se heurtait à l’absence de retenues. Les animaux ou les plantes n’avaient pas en eux cette retenue humaine existant depuis des milliers d’années, et qui, en fonction de la réaction de votre partenaire, pouvaient amener à vous calmer. Non, on se contentait de vous faire l’amour jusqu’à satiété, et c’était à vous de suivre, car il n’y aurait pas de temps mort... Et c’était exactement le cas avec Morgan. Pamela l’avait attisé, elle avait provoqué son désir, son envie de lui faire l’amour en s’affranchissant des limites de son ancien corps humain, de ses anciens schémas, afin qu’il adapte ses pulsions à sa nature d’Avatar de la Sève. Et, le moins qu’on puisse en dire, c’est qu’il s’en sortait bien. Il avait usé de son pouvoir et de la nature d’hybride de Pamela pour la transformer, et, dans sa nouvelle apparence, celle-ci ne ressentait plus vraiment les choses comme un être humain normal. Oh, les coups de reins, les queues qui s’enfonçaient en elle, ça, elle les ressentait toujours, et même avec davantage d’intensité, mais elle sentait aussi... Autre chose. Ivy percevait toute l’harmonie de cette forêt, une forêt ancestrale, remuant à l’unisson avec Morgan, qui en était le cœur vivant.

Emprisonnée dans le cocon, Pamela sentait donc tout cela, et hurlait, hurlait... Quand sa bouche n’était pas remplie par un tentacule. Ils grouillaient autour d’elle, immobilisant ses jambes et ses poignets, tandis que, entre ses doigts, elle sentait des phallus verts se nicher, l’extension de longs tentacules gluants, et elle les masturbait frénétiquement, son corps n’étant plus qu’une épaisse poupée de chiffon qu’on tortillait dans tous les sens.

« Hmmmmmmmmmmm... Hmmmmmmmmmmmmmmm !! »

Elle sentit ensuite le cocon se remplir d’un liquide rosé qui la recouvrit, dégageant de délicieuses odeurs, et ce liquide se mélangea rapidement avec ses multiples orgasmes. Sans la transformation, Ivy aurait probablement sombré dans le coma, tant les tentacules de Morgan s’enfonçaient profondément en elle, mais, là, avec sa nouvelle situation, elle arrivait à tenir le choc. Son corps se courbait presque en deux tant Morgan remuait voracement en elle. C’était clair... Elle était en train d’épancher la frustration sexuelle d’un Avatar de la Sève. C’était comme si l’Olympe entière venait voir une humaine pour qu’elle soulage les Dieux grecs de ne pas avoir couché pendant des siècles et des siècles. Morgan se lâchait, et faisait jouir Ivy à répétition, tandis que les tentacules jouissaient en elle, ou sur elle. Une fois encore, tout le corps d’Ivy était mis à contribution, ses seins étant tiraillés par des tentacules qui pompaient ses tétons, faisant jaillir une sorte de lait végétal qu’Ivy se mit à fabriquer elle-même. Sous cette forme, elle n’était pas dénuée de pouvoirs, et ce essentiellement parce que, depuis des années, elle apprenait elle-même à utiliser ses pouvoirs. Elle était juste moins forte que Morgan dans ses possibilités et son contrôle intuitif sur la flore, mais Ivy connaissait ce pouvoir, ce qui faisait qu’elle le contrôlait.

Son plaisir s’exprimait sur Taharqa de façon bizarre. Chacun de ses orgasmes faisait pousser de magnifiques fleurs aux alentours, comme une Gaïa dont le ruissellement de cyprine sur les racines d’arbres morts les réveillerait à la vie... Et, pendant que la femme était prise de partout, et que son ventre commençait à enfler, dehors, l’autre Ivy, ayant pris une apparence plus classique se retrouva prise par un autre clone de Morgan. En soi, ce n’était pas la première fois que Pamela arrivait à créer un clone d’elle-même, mais, ici, la facilité avec laquelle elle l’avait fait était assez impressionnante.

Morgan souleva donc ce clone, et lécha sa fleur, tandis qu’elle-même se mit à pomper son dard, venant poser ses mains sur les hanches de l’homme, remuant sa tête d’avant en arrière dans un premier temps. Ensuite, si elle continuait à sucer cette queue disproportionnée, sa main se déplaça pour masser et soupeser ses testicules. Le corps extrêmement musclé de Morgan soulevait ce clone sans problème, et, à l’intérieur du cocon, par-dessus les coups qui pilonnaient sa fleur, Pamela ressentit également les coups de langues de l’homme, et continuait à se laisser aller. Les racines du cocon absorbaient sa mouille, la rediffusant ensuite dans le reste de la forêt, ce qui permettait justement de faire de nouvelles fleurs.

Ainsi, le sexe ne devenait plus que la satisfaction d’un plaisir égoïste, mais aussi une osmose avec la forêt... Et Pamela en savourait délicieusement chaque moment.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Morgan Clayton

Avatar

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 21 vendredi 11 septembre 2015, 21:17:34

Plus moyen pour moi de m’arrêter ! Je laisse pratiquement libre cours à ma dépravation sexuelle, savourant chaque goutte exquise de luxure trop précieuse pour être gâché. Je n’me retiens même plus de faire des gestes que je n’aurais jamais fait en temps normal. Comme foutre de belles claques aux fesses D’Ivy entre deux malaxages de ses grosses pommes. A vrai dire, je n’en n’ai même plus honte, si bien que je pourrais continuer aussi longtemps que j’en aurais envie. Voilà une excellente raison de plus d’adorer plus que tous mon statut d’Avatar de la Sève. Mais également de passer le meilleur moment de ma vie. Le genre où je ne risquerais pas de revivre pareil expérience. Sauf peut-être au Sein de la Sève, le jour où je serais remplacé par un nouveau candidat pour X ou Y raison. J’ai parfaitement conscience que ce moment fatidique arrivera tôt ou tard et qu’il serait aussi vain que stupide que je résiste à la décision prise par le Parlement des Arbres. Je ne suis rien de plus que leurs instruments. Mais un instrument fier d’être utile pour la Sève. Après tout, qui je suis pour les contester, eux qui ont vécue bien plus longtemps que moi de plusieurs siècles, voir de milliers d’années ?
C’est pourquoi je déchaine toute mes passions dans cette relation charnelle et étroite avec cette beauté plantureuse dont je suis raide dingue d’elle. Tous les deux nous jouissons comme nous n’avons jamais jouie jusqu’ici. Pour moi c’est une évidence, mais pour ma partenaire, j’en sais trop rien. En tout cas, ce qui est sûr, c’est que je suis persuadé qu’aucun de ses ex-partenaire lui ont fait vivre pareil expérience. Aucun ne devait ressembler à une entité capable d’incarner plusieurs corps modulable à souhait et s’en servir pour réaliser l’impossible.

Toujours avec cette expression d’épanouissement  et de béatitude absolue sur mon visage : tête penché vers le ciel, yeux clos et bouche entrouverte où s’échappe des halètements suaves et sensueux bruyant à répétition. Et c’est dans un long et et vigoureux gémissement sensuel que je décharge des litres impressionnant dans la bouche de Pamela par une énième éjaculation de mon énorme mandrin. Pas seulement venant de mon clone, mais incluant aussi celle des trois autres verges dans le cocon végétal me servant de « deuxième enveloppe corporelle » où un énorme geyser de bulles énormes enveloppe le corps original de l’Empoissoneuse. Remplissant davantage son intimité de semences. Les coups de queues sont toutes aussi violentes que mon clone.

Je ne veux pas que cela s’arrête ! Il est beaucoup trop tôt pour arrêter maintenant.....
Je veux continuer de pétrir son cul délicieux... le palper encore et encore....
Sentir toujours son intérieur chaud et humide tellement confortable.
Aller toujours plus loin..... jusqu’à ce que j’en ai marre......


*********************

une semaine plus tard..........

Whouaouu..... mon Dieu qu’est-ce que c’était bon !! Je ne sais plus depuis combien de temps s’est écoulé, mais je n’ai plus compté le nombre de vois que j’ai assisté a toutes ses successions de nuits et de jours se déroulait pendant que je copulais joyeusement avec Pamela. Nous avons baisé sans relâche pendant des nuits et des jours entiers, sans que la moindre once de fatigue ait diminué notre rythme ne serait-ce qu’un brève instant ! Je ne me suis pas seulement contenté de lui faire l’amour avec les mêmes gestes. Ô que non ! Je lui aie fait gouter les joies de toutes les positions que je connaissais. Allant de l’hélicoptère Moldave à l’Andromaque en passant par la reine fière, la danse du missionnaire, la déesse et bien d’autres postures qui serait trop longues à énumérer sans risquer d’y passé toute la journée.
Cela ne voulait pas dire que je mettais de côté mes devoirs d’Avatar pendant le passage à l’acte. A maintes reprises, j’ai dû intervenir dans certaines régions de Terra où la végétation subissait une pollution agressif. C’était généralement vite réglé ! Je me manifestais uniquement par des hectares de végétations vivantes s’attaquants aux responsables, les faisant fuir. Ce fut quand même assez dur d’agir à plusieurs endroits simultanément tout en continuant à me farcir la fleur d’Ivy. En fait, j’intervenais d’un endroit à un autre, au lieu de plusieurs simultanément. Je faisais en sorte que mon intervention soit courte, mais violente. Juste assez pour faire fuir les ennemies de la Nature pour ensuite penser a rien d’autre qu’à mon instant intime.

Je me tiens allonger à plat dos sur le lotus géant qui nous sert de plateforme. Tandis que Pamela se tiens sur mon torse robuste. Le symbiote végétal qui la recouvrait et auquel je m’étais incarner n’est plus. Elle se tient de nouveau comme elle était lors de notre rencontre : nue. L’une de mes mais caresse délicatement ses fesses, alors que l’autre glisse sur son dos de haut en bas.
Si je me fie à la position du soleil qui commence à se lever sur l’horizon, il doit être dans les huit heures du matin. A peu prêt. Cela ne fait qu’à peine cinq minutes que nous avons arrêté de copuler. Du moins, c’est moi qui aie arrêté, jugeant que c’était assez pour aujourd’hui.

Je me penche en avant vers Ivy avec le sourire de l’amant satisfait de partie de jeu de jambe avec son épouse.

-   Alors ? Comment t’as trouvé notre sauterie, mon trésor ? Ça t’a plu, hein ? Avoue qu’aucun de tes anciens partenaires ne t’as fait autant d’effet avant moi ?

Je détourne mon regard pour fixer le vide sur le côté.....

-   Je vais devoir te laisser. J’ai quelque chose d’important à faire ailleurs. Mais avant que je te laisse, j’ai quelque chose à t’offrir qui devraient te plaire.

Je tends la paume de ma main droite près d’Ivy pour aussitôt fait pousser une plante ressemblant à une version miniature d’un arbre.

-   Ce petit arbre est spécialement conçu pour que je puisse entendre ton appel si tu souhaites que je vienne te rendre visite. Il suffit juste que tu m’appelle par l’intermédiaire de lui, tout en apposant tes mains dessus et je pourrais écouter ton message.

Une fois qu’elle l’ait pris, je lui adresse un dernier baiser langoureux.

Avant que mon corps ne se désagrège a vitesse grands V. ne laissant que des amas de plantes s’éparpillant dans les airs.
« Modifié: vendredi 11 septembre 2015, 23:51:11 par Morgan Clayton »

Poison Ivy

Créature

Re : Nymphéas verts [Morgan Clayton]

Réponse 22 samedi 12 septembre 2015, 10:27:34

Ils firent l’amour pendant une période incalculable, et, à aucun moment, Ivy ne ressentit la fatigue... Tout en baisant, Morgan la nourrissait, enduisant son corps à l’aide de seringues, permettant de lui donner des nutriments, ou de quoi empêcher son métabolisme de dormir, tâche simplifiée par le fait que Pamela était partiellement végétale, et que son corps était sensible à la photosynthèse. Ils baisèrent dans les tréfonds de la forêt, vaporisant suffisamment de sperme et de mouille pour que les fleurs poussent en abondance, et que les champs agricoles se fertilisent joyeusement. Le blé poussa plus vite, l’herbe vint davantage en abondance, permettant de nourrir chevaux, poules, et porcs. Le Green était au cœur de ce vaste écosystème qu’on appelait le cycle naturel. Là où le Red tournait autour de la prédation, le Green, lui, avait réellement un rôle centralisateur, nourrissant le Red et toute forme de vie. Si proche de Morgan, elle put le sentir communier avec la nature, voyageant avec lui dans le monde du Green, cette zone primaire qu’elle avait déjà eu l’occasion de voir, une sorte de zone située en-dehors de la réalité telle qu’on la concevait habituellement, à travers les cinq sens. Le Green formait une sorte de sens à part, le sens végétal, où on pouvait tout ressentir. Pendant ces quelques jours, Pamela eut l’impression d’être une Déesse, sa connexion étant renforcée par le symbiote qu’elle portait, et par son union avec le Gardien de la Sève. Ils firent donc l’amour, leurs hurlements se perdant le long de la forêt.

Le temps s’écoula comme dans un siphon, et ce fut au bout d’une bonne semaine qu’ils finirent par s’arrêter, dans une fleur qui flottait au milieu de la forêt, et dont les pétales s’ouvrirent le matin. La fleur avait poussé au-delà des arbres, et la forêt d’Eriendor, belle et magnifique, s’étalait à leurs pieds. Leur séance de baise avait impacté sur l’écosystème, car, dans le monde du Green, tout était lié, formant une étroite et délicate harmonie. C’était la théorie de l’effet-papillon : si on faisait pousser dans un endroit une simple pousse d’herbe, cette pousse pouvait évoluer, amener des insectes, insectes qui fuiraient un autre écosystème, empêchant ainsi de nourrir des herbivores, empêchant de nourrir les prédateurs, puis les humains. Ainsi fonctionnait le Green, comme un curieux ensemble, une délicate alchimie, la balance naturelle. Un monde dont le Gardien de la Sève avait la charge. Sa tâche n’était pas de faire triompher le Green sur le Red ou sur les êtres humains, mais de veiller à l’harmonie, ce qui comprenait aussi bien les grandes et vastes forêts que des choses comme les algues.

Et là, le soleil était en train de se lever, les dardant de leurs rayons. Ils avaient arrêté, et c’était une cascade étoilée qui tombait. Ils avaient couché à l’intérieur, dans la plante refermée, dans un mélange assez incompréhensible de sperme et de mouille, mélangée à un liquide jaillissant de la plante, et qui leur avait permis de respirer. La plante avait fini par s’ouvrir, et tout ce liquide tombait en cascade sur le sol, faisant jaillir des fleurs.

« Une baise mémorable, oui... »

Elle lui sourit, heureuse et épanouie, et l’embrassa. Ils devaient s’arrêter, probablement parce que Morgan allait maintenant devoir rétablir l’harmonie d’Eriendor.

*Quoi de plus normal ? C’est le rôle d’une femme d’apporter un peu de désordre dans un système si bien ordonné...*

Pamela plaisantait, bien sûr. Elle était une scientifique, elle, mais elle était bien placée pour savoir que les êtres humains pouvaient parfois tout dérégler avec une touche de fantaisie... Harley Quin était là pour le lui rappeler. Néanmoins, Morgan avait un cadeau à lui adresser, et elle sourit en voyant ce petit arbre, qui permettrait de le contacter quand elle avait besoin d’aide...

« Ou quand j’aurais envie de me faire baiser par toi, Morgan... Ne sois pas trop occupé, ça risque d’arriver vite. »

Ils s’embrassèrent une ultime fois, Pamela devant retenir l’impulsion de coucher à nouveau avec lui... Puis elle sentit le corps de l’Avatar disparaître, le contact de ses lèvres étant la dernière chose restante... Suivie d’une brise d’air. Ensuite, Pamela resta toute seule sur sa fleur, perchée au-dessus de la cime des arbres, le vent faisant remuer ses cheveux dans tous les sens.

Néanmoins, elle avait hérité d’un autre cadeau de Morgan... En souriant, elle observa sa main. L’arbre s’y était enraciné, et elle le fit disparaître dans sa paume, l’arbre s’entortillant alors autour de ses jambes, réapparaissant sous la forme de racines. Elle le planterait  chez elle... En l’état, elle se concentra un peu, et vit le symbiote végétal revenir, tournoyant autour d’elle, avant qu’elle ne le fasse disparaître à nouveau.

*Nous nous reverrons, Morgan...*

C’était une certitude pour elle.

Elle n’allait pas passer à côté d’un tel amant !



Épilogue

« Nous... Nous avons dû arrêter le chantier, Monsieur. »

Jorgen tremblait sur place. L’homme âgé avait été embauché pour réaliser un travail d’importance : déboiser la forêt d’Eriendor de plusieurs hectares, afin d’y permettre l’installation de sites pour le Baron. Malheureusement, comme il l’expliquait au Baron dans son manoir de Nexus, l’opération avait échoué.

Le bureau du Baron était plongé dans une relative pénombre, éclairé par quelques bougies brûlant dans les coins, rendant difficile de voir ce qu’il y avait. Le mobilier se composait de plusieurs bibliothèques, et il y avait, dans un coin, une cheminée éteinte. Jorgen était venu aussi vite que possible, à cheval, mais rejoindre cette partie-ci de Nexus depuis Eriendor avait bien pris plusieurs jours. Nexus était une ville immense, et il fallait bien une bonne journée pour la traverser de part en part. Jorgen était arrivé vers dix heures du matin en ville, et avait ensuite rejoint le manoir du Baron, le long de l’une des falaises de la ville, dans la soirée. Les portes s’étaient ouvertes sur son passage, et les pages s’étaient contentés de lui dire qu’il était attendu à l’étage, dans le bureau du Baron.

Maintenant, il tentait de se justifier, devant la sombre silhouette du Bureau, assis derrière son bureau. Une seule bougie éclairait son corps, son visage dissimulé dans la pénombre, ses mains cachées derrière des gants en cuir. Déglutissant devant son silence, Jorgen reprit :

« Ce... La forêt est vraiment protégée ! Les vieilles légendes étaient réelles, nous n’avons rien pu faire. Il y avait ce... Cette chose verte qui jaillissait des arbres, et... D’autres hommes m’ont parlé d’une nymphe verte, aussi belle que terrible. Nous... Nous sommes prêts à vous dédommager pour... »

Le Baron se releva alors, et se mit à marcher. Jorgen dut froncer les sourcils pour essayer de voir où il était passé.

« Je sais... Les vieux Gardiens ont donc choisi leur nouvelle pousse... Mais le fait qu’il vous ait épargné... Voilà qui, en réalité, me surprend. Il est encore jeune, inexpérimenté. »

Un rire étrange et glauque traversa alors le corps du Baron, tandis que sa voix était à vous glacer le sang. Jorgen n’avait qu’une envie : filer d’ici le plus vite possible. Instinctivement, il marchait en arrière, se rapprochant de la porte.

« Nous... Le syndicat est parfaitement clair là-dessus, vous serez remboursés pour...
 -  Ooooh, mais tu n'as pas à t’en faire... L’argent n’a jamais été un problème pour moi. Pourquoi prendre cette mine si triste, mon ami ? C’est au contraire une excellente nouvelle... J’attends depuis si longtemps... Pouvoir offrir à ma fille, Abigail, un monde qui soit enfin digne de moi, de nous... »

Une voix sinistre, hachée, comme si elle jaillissait d’outre-tombe. La main de Jorgen tâtonnait dans le vide, à la recherche de la poignée de la porte... Quand le Baron s’approcha de lui, et posa sa paume de la main sur sa nuque. Quelque chose le mordit alors, et les yeux de Jorgen s’écarquillèrent, tandis que son sang se mit à noircir, et sa peau à se flétrir.

« Ça risque d’être un peu douloureux... Mais je n’ai pas encore totalement perdu la main. »

Alors, avant de mourir, et de renaître sous une nouvelle forme, Jorgen eut une ultime vision d’horreur, une vision qui, s’il n’était pas mort dans la seconde suivante, aurait probablement hanté jusqu’à la fin de ses jours ses nuits, son sang dégoulinant de la main de la chose se trouvant devant lui :


FIN (?)
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :