Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Anne-Lily Beauregard

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mardi 12 mai 2015, 23:59:24

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~ Moi, moi et moi ! ~
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Je m’appelle Anne-Lily Élodie Beauregard. Mais je n’aime pas les prénoms multiples et le nom de riche derrière. Donc je préfère que l'on m'appelle par mon nom de bloggeuse, Liléanne. Contraction de tout mon prénom à particule avec le "É" d’Élodie au milieu. Je suis née le 12 Décembre 1996, mais ça on s'en fout.Mon groupe sanguinest O positif. Mais là aussi on s'en fout. Quant à ma famille, là ça devient intéressant. Mes parents sont divorcés depuis presque deux ans avec mon père soi-disant partit en Australie jouer les vieux play-boys, et ma mère à Las-Vegas cramer des dollars dans les jeux bien qu’elle revient très régulièrement au Japon. Le pire, c'est qu’elle a de la chance à partir du moment où il y a des trucs à gagner. J'ai aussi une sœur qui me ressemble tellement qu'on pourrait nous croire jumelle alors qu'elle a cinq ans de plus que moi. La même coiffure, la même silhouette... Tout pareil je vous jure ! Elle a juste plus de muscles que moi. Ah et j'ai aussi un frère qui sert à rien.

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~ Ho un miroir ! ~
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En l’absence de mon blog, je vais devoir décrire chaque parcelle de peau dévoilée de ma voix d'ange à la place! Par où commencer... Par mon visage ! Il est aussi finement ciselé qu'une gravure appartement à un musée. Un visage que certains considèrent comme étant angélique alors que ce n'est juste pas dans les habitudes japonaises que de voir un visage européen dans leurs quotidiens monotones. C’est vrai que je ressemble parfois à un ange descendu du ciel avec ma trogne sans bouton ni quelconque imperfection. Mais juste parfois ! Vous verrez bien plus tard pourquoi je dis ça et je ne pense pas que beaucoup serons déçus en regardant cette partie-là.

De quoi parlions-nous déjà ? Ah oui de mon visage ! Donc j’ai de longs cils que je sais très bien mettre en évidence. Avec du maquillage, cela va de soi, mais pas seulement. Je connais pas mal d’autres techniques ultrasophistiquées pour ressembler à une femme fatale rien qu’en bougeant ces petites extensions de poil ! Oui je prends bien soin de mon regard vu que cela fait partie des premières choses que le commun des mortels se doit de regarder. Après l’intégralité des seins ainsi que les fesses féminines de cette planète à n’en pas douter le moins du monde. Mais ça on verra plus tard, c’est moins important. Donc de cils en Maybelline, j’ai de beaux yeux aussi ! Un peu grand également mais je fais avec car tout le monde sait que ce n’est pas la taille qui compte, mais ce que l’on sait faire avec ! Mais je m’égare… Mes yeux sont à peu près aussi bleus qu’une jaquette de Wii U, le coté flashy remplacé par la transparence d’un iris impeccable. Un bleu si clair que les gens me disaient souvent que c’était Bleu "Eau-de-roche". Personnellement, je l’ai toujours vu aussi transparente que de l’oxygène mais bon, je ne vais pas non plus me lancer dans des débats chimiques inutiles.

Quant au reste de ma capillarité se trouvant sur ma tête, j’ai des sourcils très communs, si ce n’est un peu trop expressif à mon goût. Ni trop épais, ni trop large. Seulement un peu trop révélateur de mes pensées si vous voyez ce que je veux vous faire comprendre. En somme, je peux facilement me faire trahir à cause de ces maudites extensions de poils arcadiens. Je ne sais pas si ça se dit mais je m’en fous ! Puis il ne faut pas croire que je suis juste une bête bizarre avec juste des cils, sourcils et yeux hein ! Non, comme tout le monde ou presque, je possède également des cheveux. Les miens me vont jusqu’aux fesses à peu près. Après je n’ai jamais mesuré tout ça donc je fais avec ce qu’on me dit. Puis c’est un peu beaucoup difficile de se regarder le dos à la perfection quand on n’a pas de miroir double dans sa propre chambre ou salle de bain. Ma petite tisse de cheveux, qui ne l’est pas tant que ça vu que c’est juste une expression, se trouve être ce que les gens bataillent à me dire "Blond vénitien". En gros, c’est aussi sombre que du brun tout en gardant un coté rougeoyant à souhait. Presque comme du sang humain, sauf que ce dernier est plus coupé avec du noir que du brun. Et ils sont incroyablement lisses et fins ! Il faut dire que comme toutes les parties de mon corps, je mets un temps fou à m’en occuper tous les jours, ou du moins presque tous les jours. C’est mon droit quand même, non ?

Hum… Si je dois citer ma musculature, et bien je dirais être ni vachement grande ni être une naine. Je ne me suis pas mesurée depuis à peu près cinq-six ans donc je pense avoir atteint au moins le mètre soixante-dix. Avec des talons. Ou sans peut-être. Je n’en sais rien en fait. Et je ne suis pas une experte du bodybuilding donc peu me chaud de dire que je suis une armoire à glace. J’ai un minimum de quoi tenir quand même, mais sans être une hulk féminine. Même si à mon avis, c’est impossible de réunir les deux à la fois. Ah et j’ai failli oublier un détail d’une importance capitale pour celles et ceux qui veulent me connaître ! Vous savez, je fais partie de cette catégorie de gens refoulée à travers le monde. Mais si, celle que les gens enchaînant les régimes détestent plus que tout ce qui peut exister en ce bas monde… Ceux qui sont capable de passer leur vie dans le Mc Donald du coin et qui ne prennent jamais un gramme ! Mouahahahahaha ! Tremblez pauvres mortels devant la toute puissante digestion de calories ultime… D’accord j’exagère un peu. Dans la réalité, ça m’emmerde plus qu’autre chose. Pourquoi ? Parce que je peux me gaver de n’importe quel type de nourriture, cela ne change rien à mon métabolisme rachitique à souhait. Donc il y a de fortes chances que je reste maigrichonne toute ma vie… Ouin.

Après, j’ai également de la chance dans le sens où j’ai beau être creuse en ventre et un peu trop effilée aux bras, je rattrape ça sur les fesses et la poitrine. Oui la partie que j’ai citée comme étant moins importante, un peu plus tôt. Je suppose que je ne suis pas totalement à plaindre, ma corpulence naturelle étant finalement pas si nulle que ça. Et puis, j’avoue porter pas mal de vêtements sachant mettre en valeur tout cet amas de chair et de graisse, ainsi que les positions et postures qui vont bien avec tout ce fatras de fétichistes. Et de pervers également, mais ça c’est autre chose. Donc oui je travaille bien ma gestuelle, et c’est normal vu ce que je fais avec cette acquisition d’Eve. Je fais très attention à ne pas faire n’importe quoi et me blesser ou d’autres choses peu recommandable pour une jolie demoiselle des temps modernes. J’essaie également de ne pas faire trop pute ou idiote dans mes mouvements. Une mauvaise réputation est si vite arrivée de nos jours et les pimbêches japonaises ne sont certainement pas mieux que les françaises ou américaines. C’est même à se demander si elles ne se passent pas le mot… Mais ça n’est pas du tout le sujet pour l’instant.

Il ne reste plus qu’à parler de façon de m’habiller maintenant. Je pourrais très bien résumer en une phrase et dire que je porte absolument de tout, ce qui n’est pas réellement faux. En effet, je peux très bien passer d’un look citadin proche du glamour à une tenue plutôt ethnique africaine. J’ai même essayé de porter les grandes robes médiévales de style gothique ! Du genre comme dans certaines comédies musicales, mais avec le maquillage et tout le bazar. Pour citer un cliché, je parlerais bien de Morticia, de la Famille Adams, mais ça serait ouvrir un débat de mauvaises langues. Après, j’ai bien évidement des préférences vestimentaires. Je ne porte pas quotidiennement des ponchos ou des corsets noirs avec des têtes de morts façon smiley non plus. Je porte principalement des tenues qui ne collent pas trop au corps, bien que je fasse pas mal d’exceptions,  et dans un style assez sophistiqué ou coquet suivant l’humeur. Cela peut passer par des tee-shirts à manches courtes aux tops bretelles estivaux. J’ai souvent des habits en jean aussi, mais ça c’est plus pour ce qui concerne la partie sous la ceinture. Cela peut être des pantalons ou des shorty, mais jamais de jupes. Ou du moins jamais si je prévois de sortir, j’en veux pour preuve que je me change dès qu’il y a une situation qui fait que je n’ai pas le choix. Il m’arrive aussi de porter des vêtements en denim, mais vu comment est la matière, je préfère éviter.

Transition made in me, les artifices. Oui parce que je peux autant user et abuser de crème et autres choses dans ce genre-là pendant un sacré moment. Vous savez, je fais partie du cercle ultime des demoiselles pouvant rester l’équivalent de deux guerres mondiales devant une glace à se pouponner allégrement en écoutant du Avril Lavigne. Mais pas trop parce qu’à force ça m’agresse les tympans. Moins vite que René la taupe mais à la fin ça me fait le même effet. Donc, je peux passer un temps incroyable à regarder ce coffre à maquillage remplit de tout ce qui peut exister sur cette terre. Mascara, fard à paupière, eyeliner, rouge à lèvres, fond de teint … J’ai de tout ! Mais vu qu’il y a énormément d’accessoires fantasques à prendre en compte, j’ai souvent la flemme juste à en regarder le contenu. Et quand je dois renouveler le stock en période de pénurie, c’est encore pire. Surtout que je me fait souvent agresser par des femmes qui adorent papoter quand elles voient une jeune femme aussi ravissante que moi. C’est elles qui le disent, pas moi !

Même si je n’ai pas souvent le courage de me pouponner comme si j’étais la Barbie des adultes, je porte souvent pas mal de bijouterie. Pas forcément du vrai vu que j’ai pas mal de toc, mais j’aime bien arriver avec un collier à moitié planqué dans mon débardeur ou des bagues qui me font briller dès que je passe trop près des réverbères. Pas comme les tenues fluos que les types à moitié lampions peuvent porter quand ils vont en boite de nuit pour défoncé de la rétine, mais plus comme des bouts de verres bien polis. Je porte également pas mal de ceintures, mais là c’est plus pour ne pas me retrouver avec un pantalon plus proche de mes talons que de mes fesses. Je porte également des bracelets en tout genres, mais souvent des cloutés. J’ai jamais compris vraiment pourquoi, mais j’ai toujours trouvé que ça puait la classe. Donc j’en porte.

J’ai également quelques petites choses plus ou moins dissimulées à même le corps. Pour ceux et celles qui ne comprennent rien, je parle de piercings et de tatouages bien entendu ! Bon d’accord, j’admets ne pas en avoir des tonnes mais… J’y travaille ! J’adorerais être couverte de tatouages avec pas mal de piercings un peu partout, mais sans aller dans l’exagération suprême et extrémiste que l’on voit parfois dans des émissions insolites. Déjà parce que s’il y en a trop, c’est moche, mais surtout ça bousille la peau ! Du moins c’est ce que j’en déduis car à force de piquer et étirer tout ça, ça doit bien finir par être déformé. Bref, j’arrête de dévier. Donc j’ai un joli papillon dans le dos, à peu près au niveau de l’omoplate. C’est mon tout premier et j’en suis fière ! Ensuite, j’en ai un autre tout récent en forme de plume au bassin qui est plutôt discret. Vous ne pouvez pas savoir à quel point j’ai souffert le martyr. Non sans rire vous ne pouvez pas, pas la peine d’essayer. Et pour finir, j’ai un simple piercing au nombril. Rien de bien folichon, mais j’aime bien.

Ah une ultime chose. Je ne porte JAMAIS de sous-vêtements ! Mon dieu s’il y a bien une chose qui a le don de me gêner, c’est bien ces machins-là. Je déteste cette sensation depuis ma plus tendre enfance, et le passage à l’adolescence n’a rien arrangé quand la poitrine s’est mise à travailler d’une main ferme avec mes hormones. Déjà que j’ai toujours été sensible à porter ces fringues là, mais avec la croissance que ça a pris… Rien n’a été arrangé. Du coup c’est passé d’une forte réticence à me vêtir sous mes vêtements à un profond dégoût de la partie intime des habits. Pour vous dire à quel point j’ai horreur de ces machins-là, je vais vous raconter un truc. J’ai été invitée chez une amie un peu spéciale et alors qu’elle insistait pour me faire porter une de ces choses, j’ai balancé son string à 500€ dans la cheminée. Même si je doute réellement que ça eut coûté ce prix-là car sinon, il aurait été créé pour s’occuper de la féminité de celle qui le porte de façon autonome et sans lavage. C’est triste, mais c’est comme ça.

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~ Ma tête, mon foutoir !  ~
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Alors là, il a beaucoup de choses à dire. Et pour être franche, je ne sais pas par où commencer. Ah si remarque. Je suis quelqu’un qui a beaucoup de mal à se décrire de façon spontané. Un peu comme dans un entretien d’embauche où je dois parler de moi sans non plus raconter ma vie… Vous voyez ? Dans ce genre de situation j’ai tendance à me sentir gênée car je ne sais jamais quoi dire. Enfin si mais pas dans quel ordre, ce qui doit être dit ou pas,… Je préfère clairement que l’on me pose des questions de façon directe plutôt que de me laisser galérer à savoir quoi dire. C’est bien plus facile pour moi parce que là au moins, je connais la réponse ! Donc je suis sûre de ne pas me tromper. Du genre si on me demande quelle est ma plus grande passion, je répondrais sans hésiter ce qu’il en est.

Je vais en parler d’ailleurs tient. En fait, je suis totalement mordue de lecture en tout genre. Je peux autant lire des Achille Talon, Super Picsou Géant, Artemis Fowl, Succubus blues,  Air Gear, Dusk maiden of amnesia,… Oups j’étais partie pour citer tout ce que je possède dans ma bibliothèque. En tout cas, les connaisseurs ont dut le comprendre, je suis capable de passer des bandes dessinées aux romans, en passant par les mangas ou les nouvelles. Et de tous les âges puisque j’ai également de vieux livre pour gamines dont je n’ai jamais réussis à me débarrasser, valeur sentimentale trop élevée, et des livres érotiques voire pornographiques. J’avoue tout de même avoir plus de mangas et romans qu’autre chose, que ça soit connu ou pas du tout. Avec un peu de musique, c’est toujours plus agréable.

Ah la musique ! Hors de question que j’oublie ce délice pour les oreilles inventé par les humains, même si certaines mélodies ressemble plus à de la cacophonie tout droit sorti de la grotte d’un vieil ours aussi balafré que puceau. Donc, par où passer… Ah et bien en ce moment, j’écoute beaucoup de musiques sans paroles, un peu comme dans certains jeux-vidéos. Le genre de musique lente et pas un poil agressif. Le genre idéal pour se poser sur un fauteuil et faire une sieste avec un livre ouvert sur les yeux. Très cliché mais bon, ça m’est déjà arrivé… Donc j’en parle ! Mis à part ça, je pense que ce que j’ai le plus écouté dans ma vie reste du métal symphonique, punk-rock ou du rock alternatif… Je suis très naze pour donner un nom au type de musique donc si ça se trouve j’me goure complètement. Pour ce qui connaissent c’est en gros ce qui ressemble à respectivement du Within temptation, Blink182 et Linkin Park. Pour des sons plus récemment placé dans ma playlist, j’ai rajouté The Pretty Reckless (Make me wanna die), Deathstars (Cyanide), Mindless Self Indulgence (Witness) et un remix bien plus moderne de Billy Idol (Rebel Yell). Je pense que tout ça peut donner une idée sur ce que j’écoute. Et ça peut être de toutes les époques car, après tout, pourquoi se limiter à des choses plus récentes si les plus anciennes sont meilleures ?

Ensuite quoi dire sur moi… Ah oui ! Je vous ai parlé plus tôt des fois où je peux dormir avec un bouquin sur le bec. Et bien pour rebondir là-dessus, je peux vous avouer sans crainte que je fais partie de cette catégorie de gens que l’on appelle des flemmards. Mais pas n’importe quel genre… Une flemmarde hors-pair que je suis ! Pour vous donner une idée, je peux rester dans mon lit sans bouger le moindre petit muscle pendant deux heures juste parce que j’ai la flemme de me lever. Ou encore, je peux rester assise sur ma chaise longue et vouloir boire un coup. J’utile une force démentielle pouvant détruire l’équivalent de cinq galaxies complètes pour lever mon bras, mais si je ne touche pas le verre même d’un seul millimètre, et bien je ne me lèverais pas. Quitte à mourir de soif sous un soleil de plomb. C’est con, mais c’est comme ça. Après, je peux être une vraie bête de course une fois lancée. Du genre à vouloir tout finir d’un seul coup tant que j’y suis et ne pas y revenir avant un bon moment. Je ne suis pas maniaque, mais je préfère gagner du temps pour m’économiser des efforts pour plus tard. La flemme, c’est sacré.

Et quitte à parler de flemme, je peux également dire sans soucis que j’ai souvent la flemme d’aller voir les gens... Non je rigole ! En fait c’est juste que je ne sois pas du genre à arriver vers quelqu’un et engager la conversation de but en blanc. Pour ça que quand je suis au lycée je reste souvent seule avec mon mp3 quand j’en ai l’occasion. Déjà parce que j’ai jamais le temps de me faire suffisamment de connaissances fiables quand je suis dans un établissement scolaire, ça on verra encore et toujours plus tard, mais également parce que je ne vis pas forcément le même genre de vie que tout le monde. Après, si des gens viennent me voir je ne vais pas les repousser contre le mur hein ! Je ne suis pas une sauvage non plus. D’ailleurs, il m’arrive de temps à autres de rejoindre quelqu’un qui écoute de la bonne musique ou qui est trop stylé. Je me rappelle d’un gothique que personne ne voulais apprendre à connaître et que j’ai presque réussis à m’en faire un ami. Presque.

Quelqu’un connais internet ? Me dites pas non car vous ne seriez pas à lire tout ce que je me tue à raconter depuis le début sinon. Bref, je suis une farfouilleuse invétérée de ce monde virtuel et vaste. J’aime beaucoup prendre ma souris et fouiller sur divers sites diverses choses. Cela peut être des sorties de livres, des renseignements sur certains jeux-vidéos dont des gens parlent sans arrêt et que je pourrais éventuellement me prendre, des boutiques en lignes sur lesquels je peux faire des affaires plus dorées qu’à Shibuya quarters. Pour ceux qui ne le savent pas, qui auraient oubliés ou lu en diagonale, je tiens un blog qui commence à être populaire où je raconte ma vie, mes passions, mes délires, poste des photos, … Mais avec quand même du Pegi 18 dessus donc pas accessible pour tout le monde.

… Et vu que je sais déjà plus de quoi parler, on va parler de cul ! Voilà. Donc s’il y a des mineurs qui regardent, ils peuvent aller retourner se chercher une bière et se décrasser les yeux. De toute façon ils ne partiront pas… Donc pour commencer tout en douceur, je suis ce que l’on appelle une bisexuelle n’ayant pas peur de regarder des deux côtés de la route. Le problème est que vu que j’ai du mal à me décider d’aller voir les gens, et bien je ne repars pas très souvent avec une paire de fesses en plus. Je ne suis pas hyper difficile pourtant, mais bon on ne se refait pas comme ça du jour au lendemain. Encore que j’aie la chance de me faire souvent draguer donc je peux quand même me vanter d’avoir un certain succès. Je n’ai jamais compté si j’avais plus de chance avec les mecs qu’avec les nanas, mais bon je m’en fiche. Je n’ai jamais tilté si j’avais une préférence amoureuse non plus. Mais ça c’est sûrement parce que je n’ai jamais réellement cherché à me caser.

Tant qu’on reste dans le sujet, il faut que j’avoue un truc. Je ne sais pas si l’on peut appeler ça un tic, une obsession ou une dépendance mais bon… Peut-être que je saurais le terme exact un jour. En vérité, je suis ce que j’appelle une masturbatrice compulsive. Dans les faits, j’ai tout le temps, ou presque, envie de me tripoter. Que ça soit chez moi, en cours, dedans, dehors, au café, au cinéma,… Presque tout le temps quoi ! C’est très handicapant dans énormément de situations et en plus de ça, et bien ça perturbe mes pensées quand je dois me concentrer sur quelque chose. Vous vous imaginez suivre un cours de sciences et vie de la terre, en train de disséquer une merde de hibou et d’un seul coup se rendre compte subitement que vous avez envie de mettre votre main dans le pantalon ?
« Mais… Qu’est-ce que vous êtes en train de faire !? » - « Ben j’me masturbe monsieur. Votre merde d’oiseau m’excite grave en vrai »

… Bonjour la honte. Et puisqu’on emprunte la route de la honte, il faut que je raconte autre chose. Je suis également un peu exhibitionniste sur les bords. Du genre à me mettre un peu à poil dehors à la vue des gens. Après, je fais super attention à ne pas me faire attraper par les autorités du coin ou à me faire violer par une troupe de militaire en rut. Je connais quelques endroit stratégiques à Seikusu, mais pas encore assez. Je compte remplir le catalogue en temps voulu. Par ailleurs, les gens qui suivent les activités de mon blog, ou encore mieux, ceux et celles qui sont abonnés et qui ont donc accès à la totalité du site, pourront voir que je pose parfois dans des positions et tenues pas forcément adaptées à l’endroit où je suis. Je suis sexy, donc j’en profite. C’est normal après tout, pas vrai ?

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~ Ma vie, ma bataille ! ~
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Avant de parler de moi de but en blanc, il faut que je vous parle de la conception. Parce que d’après ma mère, c’était quelque chose d’assez folklorique. A la base, mes parents ne voulaient pas d’enfants supplémentaires sachant qu’il y avait déjà ma grande sœur qui était une vraie rebelle et le frère qui ne servait déjà absolument à rien. Mon père qui se faisait encore plus chier qu’un curé bourré aux laxatif avait décidé d’aller prendre des vacances avec tout le monde au Parc Astérix soi-disant parce qu’il voulait vérifier si la potion magique rendait plus fort les bijoux de famille. Ou du moins plus vigoureux pour rester plus cohérent. Sans même avoir prévenue au préalable ma mère et la fratrie, il avait déjà réservé tout ce qu’il y avait à réserver en plus des billets d’entrées. J’vous dis pas à quel point il était motivé. Mais bon, pour les conneries, ça a toujours été le premier donc je peux croire ça sans même douter.

Arrivé au parc, à peine tout le monde était rentré qu’il fonça aller voir les mecs déguisé en Astérix et Obélix pour leur poser sa question. Quand les mascottes lui firent comprendre que ce n’était pas le cas, ou du moins à ce qui avait été compris, il avait entreprit de se casser fissa avec tout le monde alors que ça faisait genre même dix minutes que tout le monde était rentré. Ma mère à dut employer ses gros arguments encore bien garnis pour le convaincre de rester
:

- Pas de séjour promis, pas de partie de jambes en l’air ce soir.
Ah bah dans ce cas, on reste ! Je parie qu’on peut trouver de la potion magique par ici et qu'il la garde pour eux !

Autant dire qu’il était plus motivé à partir de là. Ma sœur faisait le tour des attractions en épuisant un peu tout le monde tellement elle débordait d’énergie, tandis que le padre en profitait pour chercher en vain son objectif à la con. Manque de bol, au moment d’aller se remplir l’estomac, il se trouvait qu’au menu au on pouvait commander une boisson appelée « Potion magique ». Inutile de préciser à peine ses yeux était dessus qu’il harcela le serveur de lui en livrer. Trois selon maman. Il parait même qu’il les a toutes bues cul sec et qu’il a presque gueulé dans le restau’ quelque chose qui sonnait comme ça :

- Putain comme c’est dégueulasse ! Par contre c’est normal qu’il y ait pas les éclairs et autres effets spéciaux ?

Normalement, tout le monde serait mort de honte. Mais bon, depuis le temps qu’ils étaient mariés, autant dire que ce n’est pas l’habitude qui manquait. Le reste de la journée fut à peu près tranquille si on met de côté la pile à durée illimité qui voulait voir chaque brin d’herbe du parc. Sauf que le soir, bah quand le monstre était blottit sous la couverture à force de courir partout, et bien je peux vous dire que la soirée fut non pas torride, mais animée sexuellement parlant. Encore et toujours d’après ma super mère, tout ce bazar aurait duré la moitié de la nuit. Son mari était dans une sorte de période de rut vachement prononcée, persuadé que c’était l’effet de la boisson dégueulasse qu’il avait bue au restaurant. Franchement, je me suis toujours demandée comment il faisait pour sortir des conneries pareilles et ne pas retourner dans son célibat de branleur solitaire sans en mourir de honte. Mais il parait que les idiots vivent longtemps. Donc il doit être une espèce de divinité immortelle pote avec Apollon, Isis et Freddy Mercury, non ? Enfin bon… Tout ça a fait que je suis arrivée par Madame Choupinette en plein mois d’hiver, avec mon papa qui a fait un scandale à cause du fait que je n’étais pas son mini-Obélix adoré. Et heureusement !

Maintenant, on peut réellement parler de moi ! J’ai fais ce que j’ai pu pour rassembler tous mes souvenirs, photos et témoignages de gens me connaissant. J’en ai donc conclu que mes premiers souvenirs intéressants remontent à la maternelle… Mais qu’est-ce que j’étais moche à l’époque ! Il parait que c’est parce que j’ai eu la varicelle super tôt et que même après, j’avais plus de bouton sur le corps qu’il doit y en avoir au Pentagone, en plus d’être déformée comme pas deux. Hugly Betty version école pour moins de cinq ans aurait été une vraie bombe sexuelle à côté de moi. Toujours selon les gens autour de moi, j’aurais même hurlé à la mort en me regardant dans la vitre d’une boucherie et faillit tuer une petite mamie qui venait faire ses courses. D’une crise cardiaque. Vous imaginez, être meurtrière à seulement quatre ans un quart ? Et avec ma tête d’alien venu tout droit de la planète Trukmosh, j’aurais finit en taule avec des gamins tatoués, cicatrices, vestes en cuir en santiags. Non, mon père n’a absolument pas déteint sur moi !

A la maternelle, j’étais du genre super calme et ne parlais jamais à personne, pas même à la prof. J’étais souvent dans mon coin à écouter ce que les autres disaient, même si ça se résumait à des conneries la plupart du temps. Du genre que ça apprends des nouveaux mots et que ça les utilisent n’importe comment. De l’autre, la prof me parlait comme si j’étais une espèce de bête de foire. Même si d’un côté… Bon, je ne vais pas me répéter. Donc elle essayait de me faire parler en me disant des mots à la con, ou me faire raconter la vie de mes parents. J’en profite d’ailleurs pour vous dire que j’ai mis un petit bail à apprendre mon premier mot. Et quel était ce mot d’après vous ? Putain ! Non ce n’est pas une blague. Et donc je vous laisse imaginer le discourt que j’ai pu sortir à un moment où je voulais enfin parler. En gros, c’était quelque chose dans ce genre-là
:

- Ben oui je parle ! Tu parles bien toi non ?

… Bon après, je ne vous cache pas que l’attitude de la dame a radicalement changé après avoir entendu ça.

Après la maternelle vient la primaire. J’ai commencé à être davantage ouverte en discussion tout en restant assez discrète pour ne pas m’attirer plus d’ennuis que déjà fait en maternelle. Vous ne pouvez pas savoir comme cela m’a mise dans une situation de non-étude, c’est pour dire à quel point j’ai pris du retard. J’ai réussis à me faire pas mal d’amies mais c’est quand même plutôt limité pour l’époque. Enfin bref, tout ça pour dire que j’avais beau ne pas me montrer totalement sous mes jours courants, tout se passait plutôt bien. Malgré que c’était bourré de gamins faisant partie soit du camp de ceux qui adoraient l’école et donc foutaient la paix aux autres, soit le camp de ceux qui léchaient tellement les pieds des profs qu’on aurait pu croire à des podolingus pour ensuite les enculer une fois le dos tournés, soit de ceux qui ne voulais rester avec leurs potes en faisant le bazar sans se soucier des conséquences. Des crétins, oui.

A cette époque de découvertes due à la jeunesse insouciante, je ne cache pas que j’en ai appris des choses. Et pas qu'à l'école. Par exemple, un soir je devais aller me brosser les dents après avoir cherché le dentifrice pas encore rangé sur un meuble deux fois trop haut pour moi. Donc j’ai dut aller chercher une chaise et tout le toutim… Mais ça on s’en fout. La chose importante à retenir, c’est qu’en entrant dans la salle de bain, j’ai surpris mon père se tenant le sexe en érection bien fermement, assis sur la seule chaise de la pièce comme s’il était le calife à la place du calife. Sur le coup, je n’ai pas eu de réaction particulièrement bizarre, ce qui n’était absolument pas le cas de mon père. Quand il a entendu le flotch-flotch de mes chaussons mouillés et malodorants, il s’est subitement tourné vers moi en sursautant comme un chat au plafond. Sauf qu’il n’était bien évidemment pas un chat et que le plafond était trop haut pour lui. Je pense que je me souviendrais pour le restant de ma vie de la discussion qu’on a eu à ce moment-là
:

- Wow ma puce ! C’est pas bien de déranger papa pendant qu’il discute avec sa virilité. Tu le sais ça ?
Non papa ! Dis, c’est quoi ce truc moche dans ta main ?
Ce n’est pas un truc moche ma fille ! C’est le symbole de la masculinité et de la virilité suprême. Le Saint Graal qui embellit ta mère dès qu’elle y plonge ses lèvres, l’artefact ultime que même le Roi Arthur n’aurait jamais voulu enlever de ce piédestal,…

Je passe volontiers la série de comparaison entre son entrejambe masculin et diverses célébrités/légende/tout ce que vous voulez qui peut se trouver dans de vieux livres poussiéreux historiques. Sinon il y en aurait pour des heures. Après tout ça, j’ai posé pas mal de questions sur les mots qu’il avait utilisé et que je trouvais chiant à l’époque. Pour finir, il m’a carrément expliqué comment il baisait ma mère et que ce genre de trucs pouvait faire naître de jolies petites créatures comme moi. Tout en se vantant à mort bien entendu. Après cette très longue discussion et ayant oublié de me brosser les dents, j’ai fini par aller me coucher la tête pleine de nouvelles infos. Et le tube de dentifrice en guise de doudou.

Le lundi qui arriva après ce vendredi de folie, il s’est passé pas mal de choses. La première étant mon air habituel qui avait carrément changé à ce qu’il parait. Je faisais plus insolente et beaucoup moins coincée qu’avant la discussion avec mon imbécile de père. Lors de la récré du midi, après avoir mangé, la prof m’a même séquestrée dans la salle de classe pour savoir pourquoi j’avais autant changée. Quand je lui raconté non seulement ce que j’avais appris de mon père, mais également les travaux pratiques fait avec ma mère le dimanche, elle était encore plus choquée que le type sur le tableau de Picasso : Le Cri. Le soir même, mes parents avaient prévus de déménager car j’avais un peu trop foutu le bordel et il y avait des risques de séparation entre mes parents et moi-même via la DASS ou un truc dans ce genre-là.

C’est là que j’ai commencé ce que l’on peut appeler ma nouvelle vie en Amérique, là où ma mère avait un peu de famille et en ayant marre du pays des coqs. C’est aussi la période où j’ai plus de souvenirs car j’y ai vécu autant de temps qu’en France, mais je ne me souviens absolument pas de tout dans ce pays de merde dirigé à l’époque par Monsieur Chirac. Pas celui qui se balade en moule-burne dans un camping high-tech, mais celui avec un costard-cravate avec une femme contenant plus de rides qu’autre chose. En tout cas, dès notre jour d’arrivée, mon crétin de père n’a pas pu s’empêcher de se faire remarquer en route. Comment ? Et bien en passant une pause près d’un endroit fermier, il a voulu voir si les taureaux amerloques avaient de plus gros engins que les européens. Je crois que je ne l’ai jamais vu courir aussi vite de toute sa vie qu’après avoir empoigné le sexe de ce pauvre animal en train de bouffer de l’herbe. Et je crois que je n’ai jamais vu ma mère autant rigoler alors que son mari lui demandait de l’aide. Heureusement que c’était un vieux bestiau qui allait pas vite.

On a fini par arriver chez la personne qui nous a hébergés pendant toute la période américaine, après quelques péripéties sans intérêt. Vous voyez Silvester Stalone ? Et bien c’est le même. Du moins si on rajoute le rouge à lèvre, le tablier au-dessus d’une espèce de tenue militaire et des bijoux que même moi je refuserais de porter dans une vidéo ou photo tellement j’aurais honte. Un vrai pro de la tartiflette, steak de bison, gâteau au chocolat et de la découpe de sushi. Ah et il aime également fait de gros câlins aux personnes qu’il apprécie jusqu’à vous briser les côtes. Et le problème c’est que si on refuse, il chouine dans son coin. Viril hein ? En tout cas, j’ai été très surprise de voir que ma mère connaissait quelqu’un comme ça dans sa famille. Comme quoi, je ne la trouvais pas assez épique à l’époque. D’autant plus que Stalonnette avait une baraque plutôt grande avec plein de trucs et de machins partout, bien que trop souvent à portée d’escabeau plutôt qu’à portée de talon haut.

Je n’ai pas tardée à prendre mes repères par ici. Je vous avouerais qu’à la base, une frenchie avec des cheveux proches du roux et une bouille d’ange ça n’a pas attiré les faveurs du jury d’entrée de jeu. Les ricains et les ricaines n’étaient pas spécialement chauds de me recevoir dans leurs classes, mais j’avais trouvé le truc. Quoi de mieux que s’intégrer dans une classe de gamins amerloques, dieu que j’aime les deux dernières syllabes aujourd’hui, que de leur montrer que la France en elle-même leurs sont inférieurs ? C’est crétin diriez-vous, mais quand pas longtemps après ils se rendent compte que je suis largement plus cultivée qu’eux et avec de meilleures notes, vive les cancres, ils se rendent compte que je leur suis supérieures. Mon père m’a toujours dis que les américains étaient cons jusqu’à la plus petite racine, et vu comment est mon père, s’il le dit, c’est qu’il y a bien une raison. Donc tout ça pour dire qu’il m’a certes fallu un temps pour m’adapter, mais qu’au final ça a bien réussi. Je parlais déjà un peu anglais et Stalonette m’a pas mal aidée concernant les mots et expressions pour survivre comme il se doit.

Mon parcours scolaire aux États-Unis s’était plutôt pas mal déroulé en ce qui concerne la primaire. En revanche, le collège c’était autre chose. L’écart d’âge entre les plus jeunes et les moins jeunes prouvait une chose. C’est les grands qui rendent les petits glands. Oui parce que quand j’ai vu les têtes d’ampoules, au sens le plus littéral et boutonneux du terme j’entends, tenir des discours tout nazes sur leurs supériorité tout en jouant de leurs petits poings sur ceux qui n’étaient pas d’accord… En gros, bienvenue dans la période de ma vie qui s’est trouvé être la plus longue, frustrante et désagréable de toute mon existence ! Je ne comprendrais décidément jamais pourquoi les gamins sont heureux de passer au niveau supérieur alors qu’on se fait rouler dessus comme des cadavres de pigeons sur le bord d’un trottoir à New York.

J’ai eu droit à pas mal de soucis gratuits qui m’ont empêchée de savourer ma partie adolescente. Déjà, le hasard a fait que j’étais tombée dans des classes plutôt bruyantes à chaque fois, que nous étions majorités de filles et dieu sait que les Californiennes ne pensent qu’à Californiquer, je tombais plutôt souvent dans des classe minoritairement composée de gens que je connaissais déjà, les profs semblaient être autant passionnés par leur boulots que moi par les sous-vêtements et pour finir, les gros lourds qui me draguaient sans comprendre que je m’intéressais plus à la qualité de leurs matières grises plutôt qu’à leurs sexe présomptueusement gros. Même si j’avouerais sans crainte que je songeais déjà à pas mal de choses concernant le sexe à cette époque. A vrai dire, c’est même au collège que j’ai été dépucelée. D’abord par une copine de classe, une des rares personne à qui j’accordais suffisamment d’importance pour pouvoir la fréquenter, suite à une discussion qui a plutôt bien tournée et avec laquelle on s’est plutôt bien chauffées. Ensuite, par un des rares beaux gosses de la classe qui était un peu renfermé sur lui-même, le genre Caliméro mais en plus sexy. Ironie du sort, il avait un cheveu sur la langue. Vous pensez qu’il s’agit de son destin d’être comme ça ?

Revenons à nos bisons. Mes études ont donc été assez laborieuses et ce n’était pas faute d’essayer d’avancer. Même si je préférais raconter des conneeies avec le peu d’amis que j’avais. Mais la chose qui m’a le plus marquée, c’est la tentative de viol dont j’ai été la victime, vers la toute fin de mon cursus collégien. Maintenant je peux en parler sans aucun problème, mais pendant un sacré bout de temps, j’étais encore plus muette qu’un pirate Jacksparrovien à qui on aurait coupé la langue. Pour vous expliquer, imaginez que vous êtes de service après les cours, me demandez pas pourquoi je ne m’en souviens plus, et que le prof qui vous a demandé de rester décide de vous baiser parce que vous n’êtes qu’une française avec un joli cul ne portant pas de culotte et possédant une impertinence sans borne uniquement destinée à se faire remplir le derrière pour fermer sa gueule. Depuis ce jour, j’ai changé de personnalité, je dois avouer. J’ai eu un coup de chance magistral que quelqu’un ait vu la scène et appelé les flics. Par ailleurs, j’ai appris par ma sœur que mes parents avaient disparus pour revenir plus tard sans rien dire ce jour-là. Et jamais ils n’ont évoqué cette absence qui à mon avis était liée à ce que j’ai lu dans le journal quelques temps plus tard. En tout cas, notre famille n’a pas trainée pour à nouveau déménager. Au Japon cette fois. Dieu comme Stalonette et ses gâteaux au chocolat me manquent depuis ce jour…

Et c’est ainsi que nous sommes venus dans mon actuel pays de résidence. Mais pas mon habitat actuel HEUREUSEMENT. J’insiste à monter le ton sur ce dernier mot, car c’est certainement la baraque en bois la plus miteuse que je n’ai jamais eue l’occasion de connaître. Bon j’exagère un peu, mais quand on est habituée à avoir sa chambre rien qu’à soi et bien isolée du bruit tout en n’ayant aucune odeur d’humidité salée, ça fait bizarre. Non pas que dormir dans le même lit que ma sœur ou entendre mes parents faire l’amour tous les soirs me dérange, mais c’est quand même plus difficile de dormir dans ces conditions-là. Surtout quand ma mère à décider de virer chaque goutte de liquide provenant de mon père afin de le rendre plus sec qu’un gâteau militaire. Enfin bon, je n’ai pas été la seule personne à se demander pourquoi ce crétin avait choisi cet endroit. Et quand il s’est décidé à nous répondre, je vous donne en mille ce qu’il nous a répondu :


- Mais… Mais c’est évident allons ! Cette maison… Ce terrain… Il possède la plus grosse bite d’amarrage que j’ai jamais vue de toute ma vie !!!

… Avec la pose exagérée qui va avec. Bref, une fois son discours terminé, on est restés tous les quat… Ah non cinq pardon. J’avais oublié l’existence de mon frère. Donc comme je disais, on était tous dans un état d’hébétude absolu pendant une dizaine de seconde facile. Puis après un haussement d’épaules, je me suis dit qu’au final ce n’était pas si étonnant que ça comme réponse.

Il m’a fallu plus de temps qu’en Amérique pour m’adapter ici, en comptant le fait que je me remettais de ma dernière péripétie sur le nouveau continent. La raison principale étant que je ne connaissais aucun mot japonais, mise à part "Yamede" que j’ai entendu en boucle dans les hentaï qui passaient à la télé. Et encore, j’ai eu de la chance que pas mal de japonais comprennent et parlent l’anglais. Sinon j’aurais été encore plus dans la merde qu’un asticot dans son purin. Surtout que niveau social, ce n’était pas trop ça à mes débuts au japon. Quel genre ? Et bien il fallait que je me lève super tôt pour prendre le shinkansen et rejoindre le lycée parce que la ville la plus proche était trop loin pour que j’ai, comment dire… Le courage d’y aller et revenir ? On peut résumer ça comme ça. D’autant plus que je n’avais pas encore fini le collège que je me retrouvais déjà au stade au-dessus quoi. Là encore, l’insertion a été dure, mais folklorique. Je croyais que les lycées pour filles étaient tous en dehors des clichés perpétuels que l’on voit dans les mangas, et franchement, à moins que le hasard aie fait en sorte que je tombe sur ce genre de lycée pour nunuche pour prouver que je me trompais, et bien, je m’étais royalement gourée. Seul point positif, l’uniforme qui m’a aidée à faire mon blog dans mes tout débuts.

Je me suis ennuyée. Mais ennuyée vous ne pouvez pas savoir à quel point. Je n’ai jamais vécu de cours aussi ennuyeux de toute ma vie et je pèse mes mots. Entre les voix barbantes des profs trop sérieux et l’ambiance plus morte que Toutencarton, tu meurs justement. Après, j’ai eu du bol d’avoir une vraie pipelette en partenaire de chambre une fois que je m’étais décidée à dormir sur place, plutôt que dans la cabane au fond du patelin. J’ai appris à mieux parler avec elle que dans les cours de japonais fait à l’arrache, et peut-être même les hentaï qui passaient à la télé. J’ai d’ailleurs réussis à la draguer et aller plus loin dans notre relation de simples partenaires de chambres, mais la gardienne n’aimait pas trop ce qu’on faisait à partir d’une certaine heure. C’est réellement le seul bon souvenir que j’ai dans cet endroit. Avec les jus de fruits au melon dans le distributeur de la cantine.

Lors des vacances, me demandez pas lesquelles je m’en rappelle plus, ma frangine m’a fait remarquer que nos parents ne restaient plus beaucoup ensemble, à part pour les traditionnels rendez-vous sous la couette. Chose rare car d’habitude, impossible d’en voir un sans l’autre. Même pour aller pisser des fois ils y allaient ensemble donc c’est pour dire s’il se passait quelque chose d’anormal ! A un moment, pendant qu’on bouffait du riz bas de gamme, ma sœur a réussis à dévier la discussion, parlant à la base du fessier de ma mère à ce qui se tramait entre les deux. Silence, puis haussement d’épaule de la part du papa et la maman qui semblait réfléchir. On attendait une vraie réponse, puis après avoir finir son bol de riz, c’est mon crétin de père qui prit la parole d’un air plus détaché que d’habitude
:

- Vu qu’avec ta mère, on s’emmerde dès qu’on baise pas et que je ne suis pas une réserve illimité de foutre, on va divorcer. Ce riz est vraiment dégueulasse au fait.

Surprise ! Je dois avouer que je m’y attendais pas à celle-là. Je crois que ce qu’il m’a le plus surprise dans ce qu’il venait de dire, enfin au moment où il a parlé plutôt, c’est qu’il avait l’air vraiment sérieux. Pas genre comme quand il se vante de sa grosse bite d’amarrage ou qu’il connait un Silvester Stalonne travesti, mais genre aussi sérieux que n’importe quel prof que j’avais dans mon bahut tout moisi par le silence. J’en avais lâché mon bol sur la table tellement ce sérieux m’a complètement décontenancée ! :

- Temps mort. Et vous allez plus vous voir alors ?
Bien sûr que si ! Pour rien au monde je ne lâcherais ce cul d’enfer dans la nature.
Et on va faire comment nous ?
On va vous donner de quoi vivre plusieurs années sans bosser.
Ouaip ! Vous aurez pas à tourner des film pornos trop vite les filles !
Bon et bien, tout va bien alors. Il reste du poulet ?

Et chose promise, chose due. Peu après cette journée, chacun est partit de son coté. Mon père est partit en Australie avec ma mère parce qu’il voulait se la faire sur le sable chaud. Un vieux rêve comme il disait même si je doute réellement que ça soit la seule raison. Ma mère est repartie en Amérique après quelques temps, histoire de dévaliser tous les casinos avec sa chance tellement insolente qu’on devrait en faire un film avec Terence Hill et Bud Spencer. Ma frangine est restée au japon pour sa part. Elle traîne ici et là à faire ses affaires à Seikusu, là où on a déménagée toutes les deux. Quant à moi, et bien j’ai mon petit appartement façon Nana si vous connaissez le manga. Je tiens à jour mon blog tantôt mignon tantôt plus qu’érotique tout en suivant mon cursus au lycée de Seikusu.

Et j’ai l’impression d’oublier quelque chose… Ou peut-être quelqu’un. Mais ça ne dois pas être bien important.

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~ Encore plus d’infos ? Bandes de coquins ! ~
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Mon pouvoir pour commencer. En fait, je suis capable de manipuler la chance. Autant la mienne que celle des autres, excepté ma mère qui n’en a pas besoin, et ce à un degré que je ne contrôle pas parfaitement. Je peux choisir si ça sera de la chance ou de la malchance, c’est déjà ça, mais ça peut aller d’un extrême à l’autre. Soit ça change tellement rien que si je n’aurais pas agi ça serait pareil, soit ça tranche complètement par rapport à avant. Mais des fois, la chance se change en malchance et inversement, malgré que ça soit rare. Et je peux avoir un contrecoup du même genre, positif comme négatif. Le tout étant temporaire.

Ensuite, comme j’en ai parlé plus haut, je tiens un blog où je raconte ma vie, poste des photos de moi ou des trucs que j’aime bien. Par exemple, une fois j’ai ajouté une photo de mon père bourrée en plein Las-Vegas qui voulait se taper une bouche d’égout. Le blog est gratuit, mais il faut être inscrit pour accéder au contenu érotique et plus. Et je touche des sous quand des gens s’inscrivent ! Ah et il est disponible en français, anglais et japonais. Vu que je parle et écrit les trois dialectes, cela ne me pose pas de problème de répondre dans une de ces trois langues.

Je suis inscrite au lycée de Seikusu depuis quelques temps, et j’ai réussis à attirer pas mal de foule autour de moi. Je suis assez populaire, certes, mais je ne suis pas célèbre comme Madona non plus. Le pire, c’est que j’ai retrouvé quelques connaissances à moi venues d’Amériques et France. Le monde est aussi petit que le zboub de mon père c’est moi qui vous le dit !

Je crois que c’est tout… Si jamais j’oublie quelque chose d’important, je vous raconterais ça.

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~ Mon album de famille! ~
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Un peu de patience. Cela viendra en temps voulu.
« Modifié: mercredi 13 mai 2015, 15:39:26 par Lyan Rose »

Konrad Pavelov

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 1 mercredi 13 mai 2015, 00:20:53

j'ai bien aimé ta fiche xD bienvenue!

Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 2 mercredi 13 mai 2015, 00:23:29

Merci.
« Modifié: mercredi 13 mai 2015, 11:12:39 par Anne-Lily Beauregard »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 3 mercredi 13 mai 2015, 00:25:06

le bleu tue un brin les yeux, mais bienvenue parmi nous ;)

La fiche est très sympa^^

PS :  si tu te fais gauler en pleine exhibition, vinens me voir, on s'arrangera :p

S.E.R.F - 23

Légion

Re : *clic*

Réponse 4 mercredi 13 mai 2015, 00:27:03

J'avoue, la fiche était bien drôle par moment. On ira au casino un de ces jours, tes pouvoirs ont l'air cool.

Bienvenue. ♥


« Le jus d'Homme, la nouvelle boisson énergisante, par SERF. Goûtez-y, et vous serez accroc.  Attention, l'abus de jus d'Homme peut provoquer des fécondations. » - Lionne

Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 5 mercredi 13 mai 2015, 00:28:41

Je dirais surtout que ça tue l'haleine en temps que fromage. Mais merci quand même Gabriel.

Si tu n'as pas peut d'un échec critique, on pourra s'y retrouver. Et merci S.E.R.F.
« Modifié: mercredi 13 mai 2015, 11:13:00 par Anne-Lily Beauregard »

Shaka

Humain(e)

Re : *clic*

Réponse 6 mercredi 13 mai 2015, 00:33:51

Manipuler la chance ? Absurde vu que le hasard n'existe pas  ;D

Bienvenue en tout cas ^^

Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 7 mercredi 13 mai 2015, 00:35:53

C'est également ce que j'ai lu dans un excellent manga. Merci Shaka.
« Modifié: mercredi 13 mai 2015, 11:13:19 par Anne-Lily Beauregard »

Naisho Yujima

Humain(e)

Re : *clic*

Réponse 8 mercredi 13 mai 2015, 00:36:36

Oh boy, m'as pris du temps à lire sa, mais c'est fait. Très belle fiche, drôle et le personnage est très attachant. Amuse-toi bien avec!

S.E.R.F - 23

Légion

Re : *clic*

Réponse 9 mercredi 13 mai 2015, 00:37:24

Un échec critique? Je suis une femme chat, pas un Mac. D:


« Le jus d'Homme, la nouvelle boisson énergisante, par SERF. Goûtez-y, et vous serez accroc.  Attention, l'abus de jus d'Homme peut provoquer des fécondations. » - Lionne

Anne-Lily Beauregard

E.S.P.er

Re : *clic*

Réponse 10 mercredi 13 mai 2015, 00:39:58

C'est ce que je compte faire. Merci Naisho !
« Modifié: mercredi 13 mai 2015, 11:13:35 par Anne-Lily Beauregard »

Cassidy Green

Avatar

Re : *clic*

Réponse 11 mercredi 13 mai 2015, 01:15:34

Bienvenue ;D
Voici mon topic pour découvrir mes autres comptes. Veuillez aussi me contacter sous ce compte pour mes autres personnages, vu que je suis plus souvent connecter avec Cassidy Green qu'avec les autre ;D

Lyan Rose

Terranide

Re : *clic*

Réponse 12 mercredi 13 mai 2015, 01:20:57

Je m'occupe de ta fiche demain.

Ce soir je suis un peu occupé, mais tout le monde dit qu'elle est bien et moi aussi dans ma courte carrière de modo je veux valider une fiche que tout le monde qu'il le dit qu'elle est cool.

Voilà.

(Grogne vers les autres modos en montrant les dents.)

Nouvelle fiche - Suivi RP/Trames

Thème [Standard] - Thème [Alternatif]

Ça se prononce "Layanne" fils de pute.

Oh, et ce kit génial a été fait par Connor. o/

Ailizen

Créature

Re : *clic* (Lyan passera demain, comme le Père Noël !)

Réponse 13 mercredi 13 mai 2015, 08:05:13

Bienvenue !
Là couleur rosée que tu utilises pour tes interventions te rend proprement illisible :(

- Ailizen's theme -
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Elisia Knightmare

Humain(e)

  • -
  • Messages: 57


  • FicheChalant

    Description
    Je suis une jeune fille de 17 ans au cheveux blanc, aux yeux clairs pouvant osciller entre le bleu ciel et le lilas. Je fais cent quatre-vingt-dix-sept centimètres de haut pour quatre-vingt-deux kilos.
    
    Bon, personne le remarque en règle général parce que tout le monde mate mes seins...
    
    Et non, je ne donnerais pas leur taille ni leur bonnet !

Re : *clic* (Lyan passera demain, comme le Père Noël !)

Réponse 14 mercredi 13 mai 2015, 09:01:06

Bienvenue,

Je confirme, le rose est un peu problématique à lire. Essaie un rose plus marqué ce sera plus facile.

Genre ça.

Et voici la balise :

[color=#FF1493][/color]
Sinon, toi aussi tu préfère pianoter sur ton baladeur. C'est cool.  Tu as l'air sympa comme fille. J'espère qu'on pourra causer un peu avant que je m'en aille. Ha et je peux avoir l'adresse du blog ?

Sinon j'ai bien aimé ta fiche. Elle fait un peu olé-olé et donne l'impression de parler à un hamster qui veut tout vous expliquer en même temps, mais tu as su bien construire ton récit et le rendre intéressant.

Par contre pour la mise en page, je te recommande le style "justify" ou de ne pas mettre le texte au milieu de la page c'est un peu spécial à lire.

M'enfin, on voit bien que tu es une fille spéciale et ça ressort bien, c'est géant.


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