Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[ABANDONNÉ] La Guerre pour Papua - ''The Big Coffin Hunters'' [Eris Langnar]

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Rhian Thoris

Humain(e)

Eldred Jonas. Ronald Burton Depape. Clay Renolds. Le légendaire trio de gunslingers, les outlaws des Badlands. Le Triumvirat de l’Affiliation. Les « Big Coffin Hunters », en référence au tatouage en forme de cercueil qu’ils portaient sur la main. Trois individus dont la tête était mise à prix par les autorités tekhanes. Les trois plus proches lieutenants du terrible John Farson, alias « The Good Man », Maître de l’Affiliation, et ennemi public numéro 1 de Papua. Farson était un terroriste notoire, initialement connu dans les Badlands pour avoir mené une insurrection civile, et avoir attaqué les fûts de pétrole et les pipelines tekhans. Les Badlands étaient le nom donné à une bande désertique serpentant entre Tekhos et Ashnard, une zone de non-droit, véritable Far West terran. Farson avait commencé sa carrière de criminel là-bas, et avait recruté les « Big Coffin Hunters », qui étaient alors des chasseurs de primes peu scrupuleux, n’hésitant pas à tuer des personnes innocentes, ou à voler leurs propres employeurs. Ils étaient menés par Eldred Jonas, dont la pauvre mère, paix à son âme, dut maudire le jour où elle mit au monde une telle progéniture. Eldred était un pistolero, extrêmement habile de ses pistolets, et dont on estimait qu’il avait tué des centaines d’âmes. Des trois, le plus vicieux restait cependant Depape, le second de Jonas. Depape était le plus intelligent, le spécialiste des chiffres, mais aussi un pervers sadique, à qui on prêtait des attirances cannibales et potentiellement nécrophiles. Reynolds, quant à lui, avait toujours été le fils spirituel d’Eldred.

Quand l’Affiliation avait envahi Papua, et avait libéré l’entité infernale connue sous le nom de Warlock, le Trio était arrivé. Ils avaient participé à l’effort de guerre, utilisant les cow boys et les gunslingers de l’Affiliation pour mener des razzias. Ils attaquaient des caravanes, de petits hameaux isolés, violant et pillant, ravageant et brûlant, en marge de l’armée principale ennemie, qui sévissait dans les provinces. La guerre civile faisait rage dans certaines contrées, et les spécialistes ashnardiens pensaient que Farson avait délégué la direction de ses forces à Jonas.

« Nous savons désormais où se cache Jonas », expliquait Anesu en pointant du doigt des positions sur une carte.

Anesua était un Maréchal ashnardien, nommé par le Conseil Impérial pour résoudre la situation conflictuelle à Papua. Son objectif était de chasser l’Affiliation, et d’appréhender John Farson. Rhian, qui peinait à se battre sur tous les fronts, avait volontiers accepté son aide, et elle écoutait l’homme lui résumer la situation. L’armée papuanne était une bonne armée, et, soutenue par des bataillons ashnardiens, elle avait rasé plusieurs camps ennemis, et avait appris qu’Eldrad Jonas se cachait dans une forteresse papuanne prise par l’Affiliation, Osmadth. C’était un puissant bastion, sur un plateau, entouré de pics escarpés et de ravins mortels. Le seul problème était qu’on ne pouvait prendre Osmadth sans sécuriser la région, et, pour cela, il fallait prendre la plus proche ville, Jericho.

Jericho était l’une des plus importantes villes du royaume, et la reprendre était donc important. Malheureusement, Jericho disposait de hauts remparts, et Papua n’avait plus beaucoup d’armes de siège. Anesu en faisait venir depuis d’autres provinces impériales, mais il faudrait attendre un peu avant que les trébuchets et les tours de siège n’arrivent.

« Et il nous est impossible de bloquer la ville, ce sont nos gens que ces bandits prennent en otage...
 -  Et ils subissent plus d’exactions à chaque jour qui passe, Majesté. »

Rhian serrait les dents à chaque fois qu’elle entendait parler des massacres commis par l’Affiliation. Ils avaient abattu les drapeaux papuans, et arboraient leur signe de ralliement, des drapeaux noirs avec un motif horrible : un horrible œil rouge sanguinolent. Rhian savait de quoi l’Affiliation était capable. Elle en avait personnellement fait les frais quand ces monstres l’avaient capturé*, après avoir tué son frère aîné, le Prince Herebos**. Elle avait été violée et torturée pendant des mois, avant de finir vendue à des Orcs, et d’être finalement sauvée par d’autres Ashnardiens***, qui avaient ensuite choisi de défendre Papua contre l’Affiliation et ses alliés.

« Si nous arrêtons Jonas, l’Affiliation sera dispersée...
 -  Et, en tout état de cause, ceci contraindra Farson à sortir de sa cachette. Si nous l’arrêtons, l’Affiliation cessera d’exister ! »

Les séances des conseils royaux ne parlaient maintenant quasiment que de la guerre civile. Tout le reste était secondaire, ce qui se comprenait. La guerre civile ravageait Papua, et la capitale était au bord du chaos. Surpeuplée à cause des réfugiés qui s’y entassaient, la capitale était aux abois. Rhian n’avait comme seul véritable soutien que sa mère, Khaora. Un soutien délicat, car les nobles avaient accusé Khaora d’avoir empoisonné son mari, le Roi Tomeyrus, afin de bénéficier du trône. Des accusations grotesques, mais qui avaient fait mouche. Si Rhian n’était pas revenue à Papua, elle était convaincue que le royaume aurait définitivement sombré. Les jours sombres étaient arrivés, et, devant le royaume aux abois, le Conseil Impérial avait envoyé des missives à la plupart des baronnies, colonies, et autres garnisons proches, leur demandant de sonner le ban pour protéger Papua.

La réunion se terminait, et Rhian remercia les membres de son conseil, puis s’assit lourdement sur son fauteuil, épuisée. Elle ferma les yeux, essayant d’obtenir un peu de paix, de calme...

*J’ai toujours voulu être à sa place, mais... Pas dans ces conditions.*

Ses nuits étaient hantées par les cauchemars liées aux traitements horribles qu’elle avait subi entre les mains des démons puis des Orcs. Et les jours défilaient à la vitesse d’une goutte de pluie, tant son agenda était surchargé. D’ici quelques minutes, elle allait recevoir une autre délégation ashnardienne. Une femme qu’on surnommait la Vipère des Sables, et qui commandait une garnison de soldats, les Scorpions Dorés, qui avaient commencé à agir dans certaines régions de Papua, libérant des hameaux, protégeant des caravanes. La Vipère avait exprimé le désir de s’entretenir avec Rhian, et, d’après les rapports des éclaireurs, elle arriverait aujourd’hui à la capitale.

Rhian n’avait pas estimé utile de la faire attendre, et, théoriquement, d’ici quelques minutes, la femme devrait venir dans cette pièce... Où Rhian allait devoir négocier l’aide de la Vipère.



* : Cf. RP « Slave » ;
** : Cf. RP « Désolation » ;
*** : Cf. RP « Of Monsters And Women ».
« Modifié: dimanche 16 août 2015, 17:05:12 par Rhian Thoris »

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Ashnard... Terre des démons et du sang, entrailles des batailles et terreur des soldats. Nul ne s'en sortait intacte. Pourtant, jusqu'à maintenant, mes Scorpions Dorées se sont plutôt bien débrouiller à combattre les monstres, libérer les pauvres villages des adversaires de cette 'Rhian' et me chargeant de protéger des caravanes de vivres et de soins. Quelques jours auparavant, j'avais envoyé une lettre à Rhian, demandant a m'entretenir avec elle. Je savais qu'elle était en position de difficulté et que peu de royaumes se bougeaient les fesses pour aider Papua. J'observais à travers ma carriole les landes désertiques d'où marchaient mes fiers Scorpions. Tous en armures dorées, enfin, aux yeux de chacun d'entre eux. Ceux que je considérais dans mon camp les voyaient en armures dorées, intimidantes tandis que ceux qui ne sont pas mes alliées ou que je ne les considérais pas comme telles, les voyaient en une armure de fer qui semblait en mauvais état. La vérité était qu'un enchanteur a mon service, enfin, avec qui j'ai couché de nombreuses fois, avait enchanter les armures de mes soldats afin de tromper l'ennemi. Et un sort funeste attendait ceux qui osaient révéler ce secret...

-Dame Eris, m'interpella un de mes généraux, Livai. Nous arriverons bientôt a la place forte de Rhian.


Je hochais la tête en guise de réponse, le congédiant poliment. Après une trentaine de minutes, nous arrivions à la ville ou se trouvait Rhian, immense. En suivant les indications, nous arrivions très vite au château de Rhian, immense. Nous étions accueillis très chaleureusement, bien que je savais que c'était juste pour me plaire. Pour m'attirer des faveurs... Tch.

Je marchais donc vers le bureau de Rhian et ouvris la porte doucement, voyant a quoi elle ressemblait. Elle était plutôt jolie, avec ses petits sous-vêtements dorés, sa fine silhouette, sa peau bronzée, ses hanches qui devaient en faire rêver plus d'un et je n'imaginais pas son fessier qui devait etre beau a regarder. Et bon a y mettre la main. Sa poitrine était plutôt généreuse, ses cheveux bruns qui semblaient soyeux et son joli visage anguleux. Une Succube comme moi, quoi. Sauf que moi, j'ai appris ces pouvoirs magiques. Sauf que moi, je suis humaine. Sauf que moi... J'étais 'normal'.

-Bonsoir, Rhian, dis-je d'une voix douce. Mon nom est Eris Langnar, fille de la famille Langnar, une des plus grandes familles du Sultanat. Peut-être même la plus grande, si vous voulez mon avis.


Je souriais a la femme devant moi. Elle était très jolie, en effet.
 
-Ravis de vous rencontrer. Vous avez reçu ma lettre, j'imagine? 

Et j'allais avoir ce que je voulais d'elle. Je me savais en posture de puissance, ici. Mon nom avait beaucoup de poids, au Sultanat des Sables blancs...

-Moi, j'ai reçu bien des rumeurs sur votre part.  Elles mentionnaient toutes votre beauté renversante. Je dois dire que ces personnes avaient torts...

Je m'asseyais sur une chaise, plaçant élégamment ma jambe gauche sur la cuisse de celle de droite. Ma tenue allait vraiment bien avec mon corps...

-Moi, je vous trouve beauté fatale, disais-je, le même sourire en coins.

Rhian Thoris

Humain(e)

Il était dans l’intérêt de beaucoup de provinces impériales que Papua continue à exister. Le commerce n’était pas quelque chose que les Ashnardiens avaient énormément développé, et ce alors même que le commerce était la meilleure manière d’obtenir de l’argent. Partant de là, Ashnard se lançait progressivement dans le développement d’un marché interne, propre aux frontières de l’Empire. Papua, dans ce domaine, était une nation importante. Se trouvant dans des terres relativement ingrates, les Papuans s’étaient très rapidement tournés vers le commerce avec des contrées plus fertiles, afin de pouvoir obtenir de la nourriture, en échange de gisements de minerais. Si le territoire papuan n’était pas très propice à l’exploitation agricole, le royaume pouvait se targuer d’avoir des mines renfermant des richesses. Ses carrières de pierre permettaient de soutenir les lourdes forteresses ashnardiennes dans les colonies militaires, à la lisière de l’Empire. Ses gisements de fer permettaient de fournir aux grandes forges ashnardiennes de quoi forger des armures et des armes. En échange, Papua récupérait de la nourriture. Depuis la capitale, une vaste mer intérieure permettait à Papua de commercer avec d’autres importantes provinces impériales. Rhian savait que c’était surtout en raison de cela que les autres provinces viendraient en aide au royaume, soit en leur transférant des biens, soit en envoyant des troupes. La Princesse soupçonnait que c’était pour cette raison mercantile que les Scorpions Dorés étaient venus l’aider.

La région d’où ces soldats étaient originaires était éloignée de Papua, et n’avait aucune relation commerciale. Leur aide était donc aussi surprenante que bienvenue, et Rhian avait accepté cet entretien, tout en ayant très peu d’informations sur la troupe des Scorpions Dorés. Tous ses espions étaient occupés à obtenir des renseignements sur l’état de la guerre civile, et ses diplomates négociaient avec les alliés habituels de Papua pour qu’ils lui viennent en aide. L’Affiliation était un ennemi redoutable, la preuve que la guerre durable entre Ashnard et Nexus permettait à des forces privées de pouvoir menacer des royaumes entiers. Le monde était en train d’évoluer, et Rhian l’avait bien compris, au cours de ses mois de captivité.

On lui annonça l’arrivée d’Eris Langnar, la Vipère, la responsable des Scorpions Dorés. Rhian l’accueillit dans la salle de conseil, devant plusieurs documents et autres registres, destinés à faire croire que cet entretien avait été préparé. La vérité était qu’elle venait de prendre un calmant pour enterrer rapidement sa migraine naissante. La femme finit par arriver, et Rhian se releva, en la saluant, avant de se rasseoir.

*Concentre-toi, Rhian, un nouvel allié n’est pas chose à négliger !*

Clairement... Rhian cligna des yeux à plusieurs reprises. Eris la dévisageait, et Rhian en fit de même. La Princesse restait bisexuelle, et, après des mois passés entre les mains de démons ou d’Orcs, revoir le beau sexe avait quelque chose de rafraîchissant et de revigorant... Et, dans sa situation difficile, c’était une sorte de détente, de petite pause. Elle vit ainsi les généreux mamelons d’Eris, enserrés dans une étroite tenue seyante et agréable.

Une femme plutôt belle, et, alors que Rhian pensait entamer sur le soutien militaire des Scorpions Dorés, Eris la complimenta sur sa beauté.

*La joie des différences sexuelles... J’aurais craché sur un homme me disant ça, mais, avec une femme, ça passe mieux.*

C’était injuste, mais le monde était ainsi fait.

« Beauté fatale ? Je dois admettre que, pour une entrée en matière, c’est... Original. »

Rhian manquait de finesse politique, elle manquait de cette expérience dont sa mère savait faire preuve... Après tout, elle avait à peine eu le temps de revenir à Papua qu’elle avait appris que son père était moribond, et qu’elle allait donc avoir, sur ses maigres et frêles épaules, la charge d’un royaume en état de guerre civile. Indéniablement, il fallait un fort caractère pour pouvoir, avec tout ce qu’elle avait vécu, continuer à se battre.

« Mais, pour vous répondre à votre question, chère Dame Langnar, j’ai reçu votre missive... Et, comme vous pouvez le constater vous-même, elle a requis toute ma fatale attention. »

Elle sourit élégamment devant cette petite note d’humour, et sortit justement, parmi ses papiers, la lettre en question. Puisqu’Eris voulait flirter... Ce serait toujours plus agréable que ses conversations usuelles, tournant entre la guerre, les exactions commises par l’Affiliation, ou la hausse des impôts locaux pour financer l’armée.

« Je me demandais à quoi ressemblerait une personne avec une plume aussi belle et aussi agréable à lire. Je dois admettre que votre verve est à la hauteur de votre plume, pleine de charmes. »

C’était une manière polie, et un peu poétique, de lui retourner le compliment.

Eris était aussi une femme tout à fait charmante.

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Eris Langnar

Humain(e)

Elle me dit donc que, pour une entrée en la matière, c'était original. Elle manquait vraiment de finesse, cette petite. Mais je n'allais pas lui en vouloir, moi-même, je rouille un peu là-dessus aussi, parfois. Mais quand même... Elle semblait avoir beaucoup de force en elle. Selon mes informateurs, elle avait beaucoup subi des viols. De la part de démons et d'Ashnardiens. Moi, j'aurais surement était briser. Et si ELLIPSIS avait était vivant... Il aurait perdu la tête. Il aurait vengé sa femme, sa vipère. Pour répondre à ma question, elle dit qu'elle avait en effet reçu ma missive. Elle avait même porté sa fatale attention sur cette missive. Sa petite touche d'humeur m'arrachait donc un gloussement charmant. Même en temps de guerre, cette Rhian pouvait avoir de l'humour... Mon mari ELLIPSIS, lui, était aussi sérieux qu'un dragon voulant protéger son trésor.

Elle sourit élégamment, sortant de ses papiers ladite lettre que je lui avais envoyé. Ces lèvres me donnaient quand même envie de l'embrasser... Pulpeuse. Petite et attirante. Mais je savais me contrôler. Et je crois qu'elle a bien compris qu'en effet, je voulais un peu flirter. Hihi. Si elle savait ce que je pouvais faire...

Elle dit donc qu'elle se demandait a quoi pouvait une personne avec une si belle écriture et agréable a lire. Je souriais toujours, le même regard séducteur porté dans celui de Rhian. Elle admettait que mes verves étaient a la hauteur de ma personne, de ma plume. Remplis de charme... Je me levais de ma chaise et, élégamment, je m'asseyais sur le rebord de son bureau en amazone.

-il est normal d'avoir une belle écriture, chez moi, dis-je d'un ton séductrice. J'ai beaucoup de ... Doigté, on va dire.

Je passais ma main sur ma cuisse, remontant légèrement ma robe et dévoilant mes belles jambes, continuant de me caresser la cuisse, comme pour dire 'Cherche bien et, un trésor, tu trouveras...'

-Je pourrais peut-être vous montrer quelques-uns de mes trucs, quand ce sera plus calme... Mais passons, voulez-vous ?


Je replaçais mes cheveux noirs derrière mon dos. Ces cheveux pouvaient parfois être d'un tel embarras... Mais ca faisait partie de mon charme.

-J'ai bien sur aider votre peuple, Rhian. Mes Scorpions sont très bien entraîner et comme vos hommes, vos éclaireurs ont pu le remarquer... Ils résistent plutôt bien au monstre. Des hommes expérimentés. Nous avons amené avec nous diverses armes, magiciennes et autres choses pour vous aider. Mais... Je voudrais quelque chose en échange.

Je passais ma langue sur mes lèvres.

-Cette chose se trouverait, selon mes informateurs, dans les ruines Papuasiennes...

Rhian Thoris

Humain(e)

Cette mystérieuse Eris avait le sang chaud... Rhian la vit s’asseoir sur le rebord du bureau, en position d’amazone, offrant à Rhian une superbe vue sur les seins de la femme, ainsi que sur ses jambes. Elle jouait avec elle, amenant la Princesse à se demander si la région d’où Eris était originaire n’avait pas des mœurs sexuelles relâchées... Ou alors, Eris avait entendu parler du harem se trouvant dans le Palais royal. Rhian l’ignorait, et, en tout état de cause, elle pouvait au moins apprécier les formes agréables d’Eris. Khaora lui aurait dit de se méfier, elle lui aurait dit que cette belle étrangère cherchait à la prendre de haut, la prenant pour ce que Rhian était : une souveraine inexpérimentée, et facile à manipuler. Rhian ne dit rien, laissant Eris poursuivre ses allusions, jusqu’à ce que la femme suggère d’entrer dans le vif du sujet.

La Princesse acquiesça, en hochant la tête :

« Comme vous voulez... »

Elle resta assise sur le coin de la table, remuant ses interminables cheveux, et lui expliqua que sa maison pouvait lui offrir, outre des troupes, du matériel de guerre, comme des armes. C’était quelque chose d’utile, dans la mesure où les mines d’Al-Ketim étaient inaccessibles. En conséquence, les armes étaient plus difficiles à forger, et Papua ne pouvait compter que sur les armes offertes par les guildes marchandes. Malheureusement, même en temps de guerre, les armes n’étaient pas gratuites, et chaque achat d’armes supplémentaires alourdissait la dette de Papua, une dette qui, sur le long terme, se ferait ressentir par une hausse des impôts. Une solution envisageable à court terme, donc, mais désastreuse sur le long terme.

Cependant, les propositions d’Eris n’étaient pas gratuites. Elle voulait quelque chose... Quelque chose qu’elle avait mentionné dans sa missive. Un artefact bien particulier. Papua était un royaume ayant une riche histoire, et quantité de trésors archéologiques enfouis dans les profondeurs du désert. Il y avait des artefacts magiques très puissants, mais, dans sa missive, Eris n’avait pas précisé de quoi il s’agissait. Partant de là, Rhian n’avait pu mener aucune recherche pour retrouver des traces de cet artefact.

« Papuannes, précisa-t-elle rapidement. Pour le reste... J’ai effectivement cru comprendre que votre prix était l’un de nos artefacts. »

Elle avait lâché cette phrase avec un certain ton ironique dans la voix, comme pour signaler que, toute idiote qu’elle soit, elle savait tout de même lire.

« Néanmoins, pour que je puisse vous aider, il va falloir m’en dire plus. Qu’est donc cet artefact ? Pourquoi le recherchez-vous ? Je suppose que vous comprendrez aisément que je ne peux pas, faute de ces informations, donner un accord de principe sur quoi que ce soit... »

Les informations divulguées par Eris étaient tout simplement trop parcellaires pour ça, pour l’heure.

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Elle précisait qu'il fallait dire 'Papuanne' et non 'Papuasienne'. Bon, j'avais fait une erreur de prononciation... Génial. Je devais surement paraître idiote devant elle, maintenant. Mais elle n'avait pas l'air de refuser les plaisirs que j'offrais, elle matait mes seins et mes jambes... Parfait. Elle lâchait, sur un ton ironique, qu'elle avait lu qu'un de nos prix était un de leurs anciens artefacts magiques. Mais, pour qu'elle puisse m'aider, je devais lui en dire plus. Le nom de l'artefact, ma raison du pourquoi je recherchais cette chose. En effet, elle ne pouvait pas m'aider si je ne lui donnais pas de précisions.

D'un lent mouvement, je me mis à quatre pattes sur sa table, faisant attention a ne pas faire tomber de dossier et me rapprochait de Rhian. Je jouais du regard avec celle-ci, l'air affamer. Pas littéralement, bien sûr, mais elle avait de tout pour qu'on puisse la désirer ardemment. Sauf que moi, je savais me contrôler. Enfin, presque. Je rapprochais donc doucement mon visage du sien, mes yeux améthyste plongeant dans ceux de la princesse.

-L'objet de mes désirs... Fait aussi partie de votre histoire. Ce serait un morceau de Pierre de Foudre. Vous connaissez sans doute cette histoire, n'est-ce pas, Rhian? Celui de Nomeydas Thorris, libérant les Géants de Lumières. Et avant que vous me le demandiez... ELLIPSIS, paix a son âme, était grandement intéresser par l'Histoire. Surtout de votre royaume qui en est très riche. Il appréciait votre royaume, voulant même faire du commerce avec eux, voire même une alliance militaire. Et moi aussi, je suis friande d'histoire, Rhian. Je ne voudrais pas que votre pays disparaisse sous la botte des Ashnardiens, des monstres et des démons. Comme mon mari ne voudrait pas que ce pays disparaissent. Et étrangement, votre royaume est presque au bord de la destruction, avec le Trio qui fout la merde partout et le Warlock qui est maintenant réveillé... Cela ne ressemblerait pas à l'histoire du Warlock et de Nomeydas Thorris? Papua était aux bords de la destruction quand les Géants se réveillèrent... Et regarder maintenant. Le Warlock est réveillé. Et s'il est réveillé... Les Djinns noires le seraient surement aussi. Si je ne me trompe pas, en tout cas.

Je collais doucement ma joue à la sienne, murmurant a son oreille.

-Je voudrais aussi autre chose, Rhian. Mais ça, je suis sure que vous le fournirez sans peine.

Je reculais ma tête et déposai doucement un baiser sur son front pour ensuite replonger mon regard dans celui de Rhian.

-Alors... Allez vous m'aider a trouver ce morceau de Pierre?

Rhian Thoris

Humain(e)

À la surprise de Rhian, Eris grimpa à quatre pattes sur la table. C’était… Très inhabituel. Les techniques diplomatiques de cette femme étaient peu usuelles, et la Papuanne ne savait guère quoi y penser. La Princesse la laissa se rapprocher d’elle, bien consciente qu’elle avait besoin du soutien militaire et économique de cette belle et puissante femme. La Vipère lui expliqua que ce qu’elle recherchait était… L’un des Fragments de la Pierre de Foudre. Rhian écarquilla les yeux, surprise par cette révélation. Un Fragment… Rien que ça. Eris lui expliqua que son mari s’était renseigné longuement sur l’histoire de Papua, sur ses légendes, et sur les Géants de Lumière.

L’Histoire avait tendance à se répéter. L’avenir, quand on voyait Papua, n’était qu’un long passé. Le Warlock avait ravagé la région, et n’avait pu être vaincu que quand Nomeydas avait réussi à récupérer la Pierre de Foudre, et à la brandir au sommet de la Tour. Un éclair avait ensuite frappé la Pierre, réveillant la Tour, et d’antiques et légendaires guerriers, les Géants de Lumière. Ces êtres fantasmagoriques avaient broyé le Warlock, et, maintenant, il était réveillé… D’aucuns auraient pu croire que c’était faux, car beaucoup considéraient ces légendes comme étant de simples contes… Mais Rhian, elle, avait vu le Warlock. Les Djinns Noirs étaient effectivement là. Les rapports étaient formels. Ils étaient aussi puissants que ce que les légendes en disant, et Papua était en train de mourir. Au moins, Eris avait fait un bon relevé… Et elle continuait doucement à échauffer Rhian, lui offrant la vue de ses seins, son visage caressant sensuellement le sien.

*Cette fois, je suis sûre qu’elle a entendu parler de notre harem…*

Khaora était connue pour être une femme aux mœurs légères, et Rhian avait hérité de ce tempérament. Eris en profitait largement, mais ce n’était pas pour autant que Rhian allait perdre le nord. Ce que cette femme demandait… Il lui manquait des éléments d’information sur le Warlock, et sur la Pierre de Foudre.

« Cette ‘‘autre chose’’ ne risque pas de poser problème… » lança ensuite Rhian.

Un sourire sur le coin des lèvres, sa main se releva, et caressa la joue de la femme, puis glissa sur son menton, caressant doucement sa chaude peau.

« Mais, pour ce qui est du Fragment… Je pense que, malgré vos justes éléments, vous manquez d’informations sur la Pierre de Foudre »

Elle s’humecta les lèvres, et reprit rapidement, en restant assise devant Eris, sa main continuant à caresser sa joue, se rapprochant de son oreille, qu’elle frottait également.

« La Pierre de Foudre a été rompue en plusieurs Fragments, et ces derniers sont totalement inertes. Si vous en avez un sans les autres, ce ne sera rien de plus qu’un vulgaire bout de caillou, sans valeur… Et, même en ayant reforgé la Pierre, son intégralité ne vous sera d’aucune utilité, car sa seule fonction, d’après les légendes, est de réveiller les Géants de Lumière. »

Rhian avait maintenant tendance à croire sincèrement le contenu des légendes sur la question. Elle caressait maintenant une partie des cheveux de la femme, les glissant entre ses doigts, recouverts par ses bijoux dorés.

« Autrement dit, un Fragment ne vous sera d’aucune utilité… Mais, si ce sont des artefacts magiques que vous cherchez, Papua en a de nombreux à vous offrir… Ce qui serait bien la moindre des choses pour l’aide dont vous faites preuve à notre égard. »

Elle lui sourit encore, et reposa ensuite sa main sur la table, et pencha très légèrement la tête sur le côté :

« Et tu as de très beaux cheveux… » rajouta-elle ensuite, un sourire sur le coin des lèvres.
« Modifié: mardi 28 avril 2015, 09:11:55 par Rhian Thoris »

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Elle écarquillait les yeux, surprise de ma révélation. Elle aussi, devait croire au contenu des légendes. Comme moi. Et je lui faisais de l'effet, tout comme elle me faisait de l'effet. Nous nous comprenions mutuellement, c'est bien. Un peu de sexe en cette guerre peut apaiser les esprits stressés. Un peu d'amour pouvait calmer n'importe qui, en ces temps troublés. Elle répondit que 'cette autre chose' ne poserait pas problème. Bien sûr qu'il ne poserait pas problème, me dis-je intérieurement. Tout ce dont nous avions besoin... Était de laisser notre passion prendre feu.

Sur son visage se formait un sourire, relevait sa main et la portais à mes joues, me caressant mon beau visage. Elle la caressait un moment pour ensuite la glisser vers mon menton. Le contact de ses mains contre ma peau était agréable, tout autant agréable que ses caresses. Elle dit que, pour ce qui était du Fragment, malgré mes justes arguments, je manquais sérieusement d'information. Oui, je manquais d'information, mais, au moins, j'en avais. De sa remarque, elle ne me soutirait qu'un petit sourire, agréant sur ce point. Je manquais beaucoup d'informations.

Elle continuait, racontant que la Pierre de Foudre était rompue en plusieurs fragments et que ces derniers seraient inactifs. Et même si j'en avais un, ce ne serait qu'un petit bout de caillou parmi tant d'autre, sans valeur et que même si je la reforgeais, que je la ré assemblerais, elle ne me sera d'aucune utilité puisque sa seule fonction serait de réanimer les Géants. Ça aussi, je le savais. Mais n'avait donc t-elle pas compris que je voulais préserver ce royaume de massacre ?

Elle arrêtait de caresser ma joue, caressant ensuite mes doux cheveux parsemés de bijoux. Elle devait apprécier surement la joyeuseté de ceux-ci. Il faut remercier ma mère, pour cela. Une femme d'une beauté exceptionnelle avec un grand cœur. Je me demande comment Père a pu la séduire... Il était si méchant avec moi, Père. Il ne me laissait que peu de liberté, me devant me plier comme un esclave à ses désirs. 'Fais un sourire plus convainquant, fais ceci, fait cela !',  il me gavait a force !

Elle me dit que, par contre, il y avait des tas d'artefacts magiques qui m'attendaient dans les ruines Papuanne. Elle me sourit encore, reposa sa main sur le bureau et pencha la tête de coté, me complimentant sur mes beaux cheveux. Je souriais et m'asseyais sur le rebord du bureau de Rhian en évitant les documents.

-Premièrement, ce n'est pas pour moi que je veux cette pierre. Je voudrais honorer la mémoire de mon mari. Il aimait ce royaume. Et moi aussi, j'aime bien ce royaume. Ce serait dommage de voir quelque chose de beau partir en fumée dans les flammes de la guerre. Je voudrais bien vous aider à retrouver ces fragments. Comme ça, ce serait plus facile pour 'l'héritier' de Nomeydas de rappeler les Géants. Mes informateurs récoltent tout ce qu'ils peuvent sur les fragments, d'ailleurs...

Je mis pied à terre, me rapprochai de la chaise de Rhian

-Deuxièmement... Il y a en effet quelques artefacts qui me plairaient bien. Mais, excepté l'un des Fragments, il y a bien quelque chose. Cet artefact se nomme 'Le fragment d'Elorya'. Une pierre d'allure étrange... Elle a la forme d'un œil, nimbée de flamme...


Je mis doucement mes mains autour de son cou, continuant de jouer du regard avec Rhian. La sensation de ses cheveux était presque égale au mien.

-Troisièmement... Merci. Tu as de très beaux cheveux, aussi. Et... Un très beau corps.

Je rapprochais mon visage du sien. Elle était très belle, surtout vu comme ça...

-Ma position ne te dérange pas, j'espère ? Lui demandais-je d'un ton aguicheur. Je sais très bien m'adapter aux contraintes qu'on peut m'imposer... Dehors comme au lit.

Rhian Thoris

Humain(e)

Oui il était agréable de se sentir belle, de se sentir désirée et appréciée par de belles femmes. Après ce que Rhian avait vécu entre ses geôliers, elle avait peur de s’être brisée, peur qu’on ne voit, en elle, le signe des mois de captivité. Toute la difficulté qu’il y avait à avoir son poste, c’était qu’il fallait faire bonne figure, et donner l’impression que rien, absolument rien, ne pouvait vous atteindre. C’était un jeu compliqué et délicat, subtil et complexe, fonctionnant sur l’apparence. En tant que Princesse héritière de Papua, Rhian se devait de conserver un visage digne et une apparence sûre et fière. Il en allait de l’intégrité du royaume... Et voir cette femme flirter avec elle était donc d’autant plus agréable. Posant un pied sur le sol, Eris était au bord de la table, son corps proche du sien, extrêmement proche. Rhian inhalait son parfum, son odeur, et observait ce corps magnifique, tandis qu’elle s’expliquait.

Elle n’avait aucun intérêt à récupérer le Fragment, et voulait juste aider Papua. Soit... Rhian ne comprenait pas trop pourquoi elle avait demandé à avoir un Fragment, alors, si elle ne voulait pas s’en servir, mais elle n’allait pas discuter des intentions et des objectifs de la Vipère des Sables. À défaut du Fragment de la Pierre de Foudre, Eris était intéressée par un autre artefact : le Fragment d’Elorya. Le nom ne lui disait rien, et elle allait devoir faire des recherches. La Bibliothèque du Palais recensait tous les trésors et artefacts magiques récupérés dans les temples et les vestiges archéologiques de Papua. Si Eris avait autant d’informations précises sur cet artefact, c’était qu’il devait figurer dans les registres de la Couronne. Bien sûr, elles auraient pu y aller tout de suite... Mais Rhian avait autre chose en tête, et était plus ou moins sûre que c’était également le cas pour Eris. Cette femme ne pouvait pas envoyer autant de signaux, et si rapidement, sans avoir d’arrière-pensées derrière la tête. Rhian sentit ainsi les mains d’Eris se poser sur son cou, et elle sourit lentement, appréciant le compliment sur ses cheveux, ainsi que sur son corps.

Eris termina à la chauffer en lui demandant si sa position la gênait, ce qui fit sourire la Princesse, dont l’une des mains caressa l’une des jambes de la femme, remontant vers son bassin et vers ses hanches.

« Oui... Oui, ta posture me gêne, en vérité... Mais je pense que, comme ça... »

Sa main appuya sur ses hanches, et elle amena Eris vers elle. La belle et voluptueuse femme glissa du rebord, et ses cuisses tombèrent sur les siennes. En quelques secondes, Eris se retrouva ainsi assise, en amazone, sur les cuisses de Rhian, qui lui sourit, et déposa ses lèvres sur son épaule, avant d’embrasser l’encolure de ses seins, déposant un baiser à hauteur de son sein droit, près de la lanière de cuir protégeant son sous-vêtement.

« Comme ça, ma jolie, c’est bien mieux... Non ? »

Rhian la tenait par les hanches, ceinturant son corps contre le sien. Son visage était à hauteur des généreux seins de la femme, et, pour l’heure, Rhian pensait à autre chose qu’au Fragment d’Elorya, ou même à la guerre. Comment l’expliquer simplement ? Rhian avait envie de se détendre, d’oublier pendant une heure ou deux la guerre, la misère... Ce n’était pas très convenable pour ses sujets, mais il fallait aussi parfois savoir se montrer un peu égoïste. Elle ignorait si Eris faisait ça pour la piéger ou simplement parce qu’elle était sincère, mais elle aimait se dire qu’elle était belle, et que, maintenant qu’elle n’était plus tenue à ces stupides fiançailles, elle pouvait se laisser aller, et disposer de son propre corps exactement comme elle l’entendait.

« Nous pouvons aller consulter les registres pour nous renseigner sur cet artefact... Ou je peux te montrer toute l’hospitalité papuanne, a fortiori avec de si charmantes femmes venant pour me porter assistance... »

Elle ponctua cette assertion par un baiser sur l’un des seins de la femme.

« Que souhaites-tu ? »

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Elle semblait bien aimer ma position. Et elle ne le cachait pas. Rhian semblait tout apprécier de moi, mon corps, ma façon de parler, tout. Et quand je lui avais demandé si ma position la gênait, je lui arrachais un sourire. Et une de ses mains se mit à me caresser la jambe, remontant vers mon bassin et ensuite vers ma cuisse. Oh, elle savait jouer, la petite Rhian. Et elle était douée de ses mains pour la caresse. Elle dit qu'en vérité, sur un ton séductrice que ma position la dérangeait. Alors, elle appuyait sa main sur ma hanche, me collait contre elle et me fit m'asseoir en amazone en moins de quelques secondes sur ses cuisses. Oh, comme j'avais envie de voir le trésor que cachaient ses cuisses. Et elle aussi avait hâte de regarder mon trésor. Elle était vraiment pressée de commencer... Comme moi. Toujours avec ce sourire, elle déposait un baiser sur mon sein droit. Précisément vers la lanière de cuire retenant mes superbes seins.

Elle me demanda si maintenant, cela me convenait. Je hochais la tête doucement, la laissant faire ce qu'elle voulait. Elle me tenait fermement, mais gentiment contre elle, sa tête a la hauteur de mon buste généreux. Elle m'offrit deux choix, soit on pouvait aller consulter le registre maintenant pour voir l'artefact, soit je pouvais profiter de l'hospitalité papuanne, en compagnie de charmantes femmes. Oh... Une petite perverse que nous avons là ! Et elle me donnait encore plus envie, en embrassant mon sein ainsi.

-Oui... J'aimerais bien profiter de l'hospitalité légendaire papuannes, surtout le vôtre. Je ponctuais mon affirmation quant à sa demande d'un langoureux baiser, mêlant ma langue à la sienne. Elle savait embrasser aussi, d'ailleurs. Elle me dévorait les lèvres doucement...

Je rompis le baiser gentiment, l'accompagnant ensuite dans le bâtiment. Elle allait m'emmener dans son joli petit harem, assez garni. Et j'avais hâte... Durant le chemin, j'avais passé mon bras autour du sien, posant ma tête contre son épaule. Après un moment, nous arrivions enfin au harem personnel de Rhian, composé de plusieurs belles femmes et demoiselles, toutes portant des tenues provocatrices et attirantes. Que de belles femmes bien fournies...

-Ainsi, la légendaire hospitalité papuanne était donc vrai... Un joli harem... Dis-je d'un ton aguicheuse. Je portais doucement ma main aux fesses de Rhian, malaxant ceux-ci. Oh mon dieu, ce fessier... Exquis. Comme elle et ses femmes.

-Allez, montre moi donc cette... Hospitalité.

D'un simple mouvement avec mon autre main, je retournais Rhian vers moi, l'embrassant ardemment.

Rhian Thoris

Humain(e)

Le baiser avec cette femme sonna comme une merveilleuse introduction avant la suite de leur programme. Avec un sourire sur le coin des lèvres, Rhian avait sur le goût de ses lèvres la bouche de cette femme, cette délicieuse Vipère, qui, en vérité, n’avait pas la langue crochue. Son baiser avait été magnifique. Après cela, Rhian marcha avec elle, ,le long des couloirs du Palais, heureuse et allégée. C’était comme si un poids sur ses épaules venait de disparaître. Oui, marcher ainsi avec cette femme était particulièrement agréable, comme une sorte de seconde jeunesse... Ce qui était amusant, car Rhian était toujours jeune. Mais, après Malk, après Azul, et avec la guerre qui occupait la majorité de ses journées, Rhian avait le sentiment d’avoir vieilli de plusieurs années. Son corps, cependant, était là pour se rappeler à elle. Rhian était encore jeune, et avait des gènes démoniaques dans les veines, un héritage maternel. Or, Khaora lui avait expliqué que ces gènes allaient lui poser problème au niveau de sa libido, et de ses hormones. C’était normal et naturel, et c’était aussi pour ça que Khaora avait instauré un harem. Sa famille comprenait beaucoup de succubes et d’Incubes, et les gènes avaient fini par se mélanger.

Rhian marchait le long des couloirs, arrivant dans les cours intérieures, longeant d’élégants et agréables bassins. Le Palais royal était un endroit très beau, avec une architecture avancée et sophistiquée. Il était la preuve que les Papuans avaient toujours été doués avec l’architecture et la maîtrise de la pierre. Le savoir-faire architectural papuan était prodigieux, et, tout en marchant, Rhian en parlait. Certes, elles avaient l’intention de faire l’amour, mais elles étaient des femmes de haute stature... Et, puisque la capitale tenait encore debout, autant en profiter. On trouvait des architectes papuans jusqu’au sein de la capitale impériale. Certains d’entre eux avaient travaillé sur plusieurs ailes du Palais Impérial. Une autre raison pour laquelle ces barbares ne devaient pas saccager le patrimoine papuan.

« Et encore, ma chère, vous n’avez pas encore été le long des Jardins Aquatiques de Nibihim... »

Elles continuaient à marcher, jusqu’à atteindre un grand hall intérieur, avec un escalier en marbre menant à une grande porte rouge close, et surveillée par deux gardes. Le Palais comprenait de nombreuses ailes, et, derrière cette porte, il y avait le Harem. Il était au centre du Palais, et était une minuscule cité interne, avec quelques jardins, une fontaine, et des chambres multiples. Les deux gardes, impassibles, s’écartèrent un peu, en ouvrant les portes.

« Nous y voilà... »

Le Harem était une sorte de grand octogone avec, au centre, un grand jardin à ciel ouvert. On put entendre des rires et des gloussements quand les deux femmes avancèrent le long du couloir. Elles descendirent quelques petites marches, rejoignant le jardin central, avec un bassin au milieu, et une fontaine.

« Je te présente le Harem royal, Eris... Tu peux être honorée, rares sont les personnes que moi ou ma mère invitons ici... »

C’était un grand honneur d’être là. Toutes les filles du Harem n’étaient pas là, mais Rhian présenta celles qui étaient dans le jardin :

  • Farah était une femme venue de la province d’Al-Malakim. Elle était la fiche d’un riche tisserand, une femme métisse, car sa mère était une Ashnardienne de régions froides que son père avait séduit lors d’un voyage d’affaires. Il avait réussi à la convaincre de venir à Papua, et sa mère s’occupait de la gestion comptable des activités de l’atelier. Farah avait réussi à rejoindre le Harem sans trop de problèmes ;
  • Amina était une artiste qui venait de la ville de Nishim, l’une des Trois Cités. Aimant la lyre et les chants, elle avait réussi à rejoindre le Harem en faisant montre de ses talents linguaux exceptionnels ;
  • Tara Zindan était une femme de haut lignage, puisqu’elle était l’une des filles volages de l’une des familles marchandes de Kalim, la deuxième ville de Papua. Ayant multiplié les amants et les morts mystérieuses, Tara avait fini par faire l’objet d’une enquête, et, pour éviter qu’un procès ne vienne entacher la réputation de sa famille, elle avait fini au Harem. Rhian ne savait pas trop jusqu’à quel point elle pouvait lui faire confiance, mais elle avait foi dans le jugement de sa mère, qui lui avait dit qu’elle était fiable ;
  • Sanaa était une belle beauté que Papua avait acheté il y a quelques années sur le marché d’Ashnard, à l’occasion d’une visite diplomatique. La courtisane de luxe avait fait l’objet d’une riche vente aux enchères, et Papua avait réussi à la prendre face à plusieurs autres concurrents intéressés, comme Mélinda Warren.



Les quatre femmes se tenaient là, observant le duo avec des sourires charmants. Rhian avait fait l’amour avec chacune d’entre elles, et elle sentit un frisson supplémentaire la traverser quand Eris lui pinça ses fesses. Rhian soupira de plaisir, et répondit au baiser de la femme, en lui offrant un baiser langoureux et intense. Sa main s’appuya sur ses cheveux, se crispant dessus, et sa langue s’enfonça dans sa bouche.

« Hum... ! »

Rhian en profita pour lui rendre la pareille, venant poser l’une de ses mains sur les fesses d’Eris... Qui avait aussi un bien joli cul. Rhian finit par tirer sur la lèvre inférieure de la femme, la mordillant un peu, avant de lui sourire malicieusement.

« Délicieuse... Alors, dis-moi... Toutes ces femmes appartiennent au trésor de la Couronne... Et elles seront toutes ravies de nous faire l’amour... Et toi ? »

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Le harem était sublime. Il était situé dans un jardin à ciel ouvert, des rires et des gloussements étaient souvent entendues dans ce Harem. Il avait la forme d'un octogone, plutôt grand et parsemés de fleurs. Nous descendions quelque marche et rejoignions une sorte de grand bassin en son centre, une fontaine d'où jaillissait de l'eau. Rhian me présentait le Harem royal, me disant d'être honorée, car peu de personnes pouvaient y entrer. En effet, il y avait de quoi se sentir honorée, avec un si beau harem ! Le mien était situé dans une sorte de grande salle d'où de la fumée s'en échappait, c'était souvent des aphrodisiaques. Ou de la drogue assez forte, mais pas assez pour endommager le cerveau ou quel qu'autre organe du corps. Elle me présentait donc les quatre femmes du Harem, de très belles femmes.

Farah, une femme aux prunelles bleus-grise avec des cheveux corbeaux, quelques mèches vermillions contrastant bien avec le noir. Elle avait un corps attirant, des seins charnus et voluptueux et de beaux bijoux.

Armina, une artiste venant de Nishim. Elle avait des yeux ciels, des cheveux bruns et une bien belle peau. Aussi charmante et séduisante que Rhian.

Tara était quant à elle une femme de haute noblesse, une fille de volage d'une des familles marchandes de Khalim. Ses amants multipliés ainsi que les disparitions mystérieuses, elle avait fini ici, en sécurité. Elle avait des cheveux noirs et des yeux chocolat, portant une belle tenue comme la mienne.

Et enfin, Sanaa, une beauté que Rhian avait achetée dans un marché d'Ashnard. Je comprenais pourquoi elle l'avait acheté. Elle avait de beaux cheveux de feu, des yeux magnifiques.

Elles nous observaient, un sourire charmant aux lèvres. On devait surement leur faire envie. Quand j'avais pincé les fesses de Rhian, elle soupirait de plaisir en ayant des frissons. En échange, elle m'offrait un baiser langoureux et intense, voire sauvage. Et elle pinçait mes fesses en retour, ce qui eut pour résultat que de m'exciter encore plus. Elle agrippait doucement mes cheveux, enfonçant sa langue dans ma bouche. Après un moment, elle me mordillait la lèvre inférieure, ayant un petit sourire malicieux.

Mes lèvres étaient délicieuses, en effet. Comme les siennes. Toutes ces femmes appartenaient au Trésor de la Couronne Papuanne, et toutes seraient ravies de nous faire l'amour.

-Moi ? Voyons donc, Rhian... Je suis déjà excitée de leur faire l'amour, moi aussi.

Je souriais encore plus et d'une main leste, je me défis de mon soutien-gorge que je laissais aussitôt tomber a terre. Et je recommençais de plus belle a embrasser la belle princesse Papuanne, avec passion. D'un signe de main, j'invitais le quatuor de belles femmes à venir nous rejoindre. Elles vinrent toutes, un sourire aux lèvres avec quelques gloussements. Rapidement, je sentis leur main se poser sur mon corps, nous caressant moi et Rhian, entres elles surtout.

-Oooh...

La belle Farah me fit défaire du reste de mes vêtements, laissant tomber ma robe a terre, dévoilant mes fesses. Farah déposait des baisers sur mon fessier, les massant au passage. Quant à Amina, elle s'occupait de déshabiller Rhian en massant ses seins aux passages. Les deux autres, Tara et Sanaa, étaient à mes côtés, continuant de me faire de belles caresses.

-Rhian... Je ne savais pas qu'elles étaient toutes aussi délicieuses...

Je gémissais soudainement, Rhian ayant eu envie de jouer avec ma poitrine.

-Oui... Gémissais-je de plaisirs.

Rhian Thoris

Humain(e)

Le Harem avait une fonction bien précisé au sein du Palais, et c’était bien pour ça qu’il était aussi fermé, et seulement accessible aux membres de la famille royale, ou à leurs invités, strictement choisis. À l’intérieur de l’octogone, il n’y avait plus de discussions politiques, plus de débats. C’était une parenthèse dans le monde, le seul cadeau, pour ainsi dire, que la Couronne s’offrait. Ce n’était pas un salon de thé, mais le lieu de l’expression du désir, une sorte de chambre close, presque plus intime encore que la chambre à coucher du Roi. Le harem était une tradition papuanne, qu’on retrouvait aussi dans les manoirs et les palais des seigneurs et des grandes maisons. C’était une sorte de règle tacite partagée par les Papuans, une sorte de sanctuaire réservé au plaisir et à la détente. Les femmes de Rhian n’étaient pas prisonnières du Harem, et elles avaient le droit de sortir se promener dans la capitale. De fait, la pratique papuanne tendait à se méfier de ces courtisanes, en apparence innocentes. On ne comptait plus le nombre d’espionnes ou de tueuses rentrant dans le sanctuaire, afin d’occire leur propriétaire malheureux. Ici, c’était Khaora qui se chargeait des nominations, et Rhian, maintenant, y contribuait. Le Harem n’était pas une chose à négliger, car la qualité de ce dernier illustrait souvent de la puissance du propriétaire. Des pratiques dénoncées par l’Ordre Immaculé, mais Papua tenait à ses traditions, et le royaume n’avait rejeté le sexe, ou son importance.

Rhian avait donc embrassé les belles lèvres d’Eris, et cette dernière retira son soutien-gorge, le faisant tomber sur le sol, tout en restant contre elle. Les deux femmes étaient toutes belles, et, en les voyant s’embrasser, les quatre filles s’approchèrent en gloussant.

« Et bien, Princesse, vous nous ramenez de magnifiques femmes à chaque fois » susurra la belle Sanaa.

Sanaa, avec ses bijoux faisant office de soutien-gorge, était connue pour être une kleptomane notoire, car elle appréciait la luxure et les objets rutilants. Farah, une femme assez expérimentée, se lova dans le dos de la belle Eris, et joua avec les attaches de la robe, tout en embrassant la peau de la femme.

« Une peau douce et fine... Tout comme je les aime... »

Elle mordilla un peu la peau d’Eris, confirmant son penchant pour le sexe intense et passionnel, et fit tomber sa robe, avec les bijoux la retenant, ne laissant plus à Eris que son bas, qu’elle ôta également. Ses mains se déplacèrent ensuite pour pétrir ses seins, tandis qu’elle restait dans son dos. Elle pétrit pendant quelques secondes ses seins, pinçant ses tétons, écartant ses seins l’un de l’autre, puis embrassa le dos de la femme, léchant et mordillant sa peau, jusqu’à fléchir les genoux, et atteindre ses fesses. Elle déposa des baisers sur chacune des deux fesses de la femme.

Les autres esclaves ne restaient nullement en retrait, car elles comptaient bien savourer le gâteau qu’on leur offrait. Amina, avec sa longue robe rouge, et son parfum exquis, se trouvait dans le dos de Rhian, et ôta son manteau violet transparent, puis soupesa ses seins, hésitant à ôter ses bijoux. Rhian disposait d’une tenue très particulière, qui valait plusieurs dizaines de milliers de pièces d’or. C’était une tenue traditionnelle, que toutes les Reines avaient un jour porté. Ses mains s’attachèrent à retirer les épaulières de Rhian, qui faisaient aussi de serre-cou. Elle y allait précautionneusement, car, mine de rien, cette tenue était en or forgé, et pouvait donc être très tranchante. Rhian, elle, se laissait faire, comme toujours quand elle était entre les mains de ces nymphes du désir. Elle finit par se retrouver avec le cou et les épaules nues, et la femme retourna ensuite masser ses seins.

Restant proche d’Eris, Rhian se mit à soupirer, tout en voyant, devant elle, un singulier spectacle. Tara et Sanaa se tenaient respectivement à gauche et à droite d’Eris, et se lovaient contre elle, chacune venant l’embrasser à tour de rôle, fourrant leurs langues dans sa bouche.

« Voilà ce qu’on appelle une invitée de luxe, signala Tara avec un sourire sur le coin des lèvres.
 -  Magnifique... »

Quand l’une n’embrassait pas ses lèvres, l’autre mordillait son cou, et, tandis qu’elles s’occupaient d’elle, une main saisit le poignet de Rhian, la rapprochant d’elles. Ce fut au tour de Rhian d’embrasser Eris, et ses deux mains se crispèrent sur ses mamelons, tandis qu’elle sentit plusieurs mains la caresser, filant le long de son dos et de ses hanches, la faisant couiner quand elles s’attardaient sur ses zones érogènes. Ses courtisanes étaient terribles pour ça... Et ô combien bienvenues. Elles étaient si bonnes qu’elles lui ôtaient du doute.

« Méfie-toi, Eris... Quand on entre ici, on n’a jamais envie d’en ressortir... »

DC d’Alice Korvander.

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Eris Langnar

Humain(e)

Oui, Saana avait raison. Que de belles femmes étaient dans ce Harem. Rien de plus, rien de moins. Leur compliment me flattait l'ego... Et celle-ci m'avait mordillé la peau, confirmant qu'elle était du genre a tout donner quand il était temps de faire l'amour. Et l'autre compliment flattait encore plus mon ego déjà bien grand... Une belle peau douce et fine. Après plusieurs moments, Rhian finissait par enfin m'embrasser, les autres femmes étant trop occupées à nous caresser et a s'embrasser entre elles. Oui, une invitée de luxe... Sauf que cet invitée n'allait pas faire partie du Harem de Rhian. Non, j'étais libre de mes choix et j'avais mon propre harem, qui plus est. Rhian pétrissait mes seins, particulièrement mes mamelons. Elle m'avertissait qu'une fois entrée dans ce Harem, je n'avais plus envie d'y entrer.

-Hihi... Ce serait plutôt amusant, resté a jamais dans ce harem. Mais j'ai mon harem a moi aussi, alors, vois-tu... Compte sur moi que je vais sortir d'ici. Mais pas avant d'avoir goûter a tous ces magnifiques délices que papuanne, dis-je avec un rictus.

Je me mis à l'embrasser avec plus de passions et, avec ma main droite, je caressais doucement son entrejambe avec mon index sans l'y entrer, voulant la taquiner un peu et avec ma main gauche, je donnais une fessée à la belle Sanaa. Elle se mit à glousser alors qu'elle me mordillait le cou tandis que Tara me caressais l'entrejambe. Mon dieu, elles étaient douées...

-Han... Oui, continuez... Dis-je entre deux gémissements.

Décidément, Rhian et moi allions devenir bonnes amies.

-Si je devais encore venir ici, je devrais faire venir mes femmes de mon harem... Plus on est nombreux, plus on rit.

Rhian Thoris

Humain(e)

Rhian n’allait pas conserver Eris dans son harem... Oh, elle avait tous les talents nécessaires pour y rester, mais elle était une étrangère... Et l’idée n’était pas de l’enfermer ici, de toute manière, juste de lui offrir un moment de détente, et de lui montrer toute la gratitude dont les Papuans étaient capables. Rhian l’avait embrassé goulûment, enfonçant sa langue dans sa bouche, et les femmes autour continuaient à jouer avec elles. Amina continuait à caresser le corps de Rhian, le corps magnifique de sa belle Princesse. Toutes avaient été si heureuses de la voir revenir, si ravies de voir qu’elle n’était pas morte... Khaora avait pleuré en la voyant, et Rhian avait passé de nombreuses nuits à se laver du souvenir des hommes l’ayant violé, à nettoyer son corps et son esprit des griffes démons, remplaçant leurs langues baveuses et crasseuses par la volupté douce et infinie des courtisanes du Harem. Amina adorait la palper ainsi, sentant les formes parfaites de Rhian. La Princesse était belle, une beauté renversante et à peine croyable, si belle qu’elle en était presque intimidante. La complexe tenue sur son corps se défaisait progressivement, à coups de caresses, de baisers, et de frottements de poitrines contre son dos.

Eris répondait aux baisers de Rhian, et la belle Papuanne écarta les jambes en sentant sa main s’approcher de ses cuisses. Un nouveau cliquetis métallique venait de libérer l’accès à son intimité, permettant ainsi à la main d’Eris de s’y glisser. Des frissons traversèrent tout le corps de Rhian, qui vint mordiller la bouche de la belle Eris, tirant un peu dessus. Le contact de cette femme était magnifique, ses lèvres terribles. Rhian aimait énormément ce moment, son corps y trouvant beaucoup de plaisir... Et il en allait de même pour ses courtisanes, qui se faisaient plaisir à caresser le corps d’Eris, à le lécher, ou à se sentir touchées par elle. Il en allait ainsi de Farah, qui se délectait des fesses de la femme, fourrant sa langue dans sa croupe, venant chercher sa rondelle.

Sanaa caressait d’une main les cheveux de Farah, et, de l’autre, le corps de Rhian, rejoignant les mains d’Eris et d’Amina. Toutes s’amusaient ensemble, et Eris, en soupirant, leur avoua que, la prochaine fois, elles amèneraient les femmes de son harem.

« Voilà qui est bien présomptueux... Vu l’état dans lequel nous allons vous laisser, vous n’aurez pas besoin de mains supplémentaires pour obtenir l’extase... »

Toutes les femmes de ce harem se connaissaient, faisant régulièrement l’amour ensemble, perfectionnant leurs techniques avec des maîtres de l’érotisme. On trouvait de tout à Terra, et Papua avait des spécialités en matière érotique. Le sexe n’était tout simplement pas à négliger dans les relations humaines. C’était une logique simple, que Rhian appliquait précisément en ce moment même. Cependant, elle devait aussi jouer avec les concubines du Harem, ce que ces dernières vinrent à lui rappeler.

En effet, une main vint la saisir au menton, et, tandis que Sanaa venait embrasser Eris, Tara, elle, l’embrassa à son tour, fourrant sa langue joueuse dans sa bouche. Ces femmes n’avaient même pas besoin de se parler entre elles pour savoir comment agir, elles le faisaient intuitivement, et avec un talent indéniable.

Rhian adorait ça, tout simplement.

DC d’Alice Korvander.

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