Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Emménagement et cohabitation [Gaby]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Calliope Tick

Humain(e)

Emménagement et cohabitation [Gaby]

vendredi 06 février 2015, 15:57:12

Depuis l'explosion de l'appartement de Gabriel, quelques jours plus tôt, Calliope et lui avaient beaucoup discutés. Ils se donnaient une chance, en tant que coup, et elle lui avait naturellement proposé de venir s'installer chez elle. C'était un studio, placé un peu à égale distance de tout, largement assez grand pour eux deux. La disposition n'était pas mauvaise non plus. En entrant, après le petit hall d'entrée, il y avait une porte vers le salon-salle à manger. Spacieux, et sobre. Calliope ne l'avait pas trop décoré. Un bar à l'américaine séparait la cuisine de la salle à manger. Une seconde porte, dans le hall, menait dans un couloir. D'un côté, la chambre de la rousse, avec un grand lit deux places, et un dressing. Une porte coulissante menait à une grande salle de bain aussi. Et de l'autre côté du couloir, une pièce vide, qui lui servait pour le moment de débarras. Pourtant, la pièce était grande aussi, et ferait un parfait bureau. Mais elle n'avait pas vraiment le courage de l'aménager de suite.

Ce jour-là, c'était le jour J. Celui où Gabriel emménageait. Ouvrant la marche, Calliope venait de montrer le garage où il pourrait ranger moto et voiture. Elle avait montré aussi la cave. Qui ne servait à rien pour le moment, mais qui était là. Et, les clés à la main, elle commença à déverrouiller la porte du studio. Troisième étage, avec ascenseur, ça allait. Ce n'était pas trop mal placé.

« Bon, et bien voilà. A droite, tu as, salon, salle à manger et cuisine. A gauche, d'un côté chambre et salle de bain, de l'autre une pièce que j'utilise pour l'instant comme débarras, et au fond du couloir, les toilettes. Tu n'as plus qu'à faire comme chez toi. »

Son sourire s'étira sur ses lèvres, alors qu'elle refermait derrière Gabriel. Allant directement dans la cuisine, elle prit une tasse qu'elle rempli de lait chocolaté, avant de la mettre au micro-onde.

« Tu veux quelque chose à boire ou a manger ? »



Spoiler: plan de l'appartement. (cliquer pour montrer/cacher)

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 1 samedi 07 février 2015, 01:00:32

Ils avaient quelques jours pour réfléchir… ils avaient parlé… ils avaoient surtout baisés jusqu'à en avoir mal de partout sous les courbatures, mais parler n'avait pas été unitule, après tout, pourquoi ne pas essayer ensemble… y avait toujours la possibilité du divorce, après, non ? Après tout, c'était pour ça que le divorce avait été créé.. ; et se laisser une chance c'était déjà partir dans la bonne irection… aussi tant qu'à faire une fois en avoir parlé, autant éviter de tergiverser, on pourrait changer d'avis !

Il n'avait pas grand-chose niveau affaires qui avaient survécu de cette journée terriblement pleine, aussi, il n'avait pas cherché bien loin, il s'était décidé à racheter, pour la plupart, du neuf, un neuf nouveau :  réfaction de la garde robe entre autre, parce que ça avait brûlé, et juste un carton avait échappé au bordel que ça avait causé avec des affaires un rien inutiles genre pas une bouteille d'alcool, non mais la clef usb du film qu'ils avaient tourné, ça par contre ça avait survécu, ainsi que de petites saloperies au passage…

Il avait rangé les véhicules et avait sorti ses deux cartons d'affaire et ses quelques fringues en vrac dans une bassine… il posa tout dans l'ascenceur avec elle et monta le reste à pied… il n'était pas fou, si l'ascenceur cédait, ce serait de sa faute et celle de ses dons… il eut un petit sourire en arrivant avant elle en haut… il avait couru omme un dératé dans les écaliers pour ça, comme un gosse… il haletait mais avait sur le visage ce sourire de gosse qui le caractérisait souvent…

IL rentra avec elle esiffla.. c'était joli… il retira ses pompes par principe et regarda un peu… juste du blanc et du noir, sobre et calme, une couleur assez lumineuse pour donner l'impression d'être plus lumineux… il l'écouta en s'éloignant un peu dans le couloir, observant un peu comment ça se passait… c'était grand, trouvait-il… bien plus que chez lui… quanft à faire comme chez lui… ouais, c'est vrai, ça c'était un détail à prendre en compte… il se tourna vers Calliope et la rejoignit dans la uisine alors qu'elle se préparait un truc chaud…

« Merci ça ira... »

IL sourit et observa un peu les lieux avant de finalement s'approcher d'elle et lui susurrer dans le creux de l'oreille, sur un ton taquin ;

« Alors, madame Valmy ? Ça fait quoi de se retrouver sous le toit conjugal ? »

I eut un petit rire amusé avant de venir la peloter doucement pour lui lancer.

« Et je ne me sentirai chez toi que quand nous aurons tout, et je dis bien tout, inauguré... »

Il lui embrassa la nuque, l'enlaçant et la serrant contre lui… putain, ça faisait du bien d'avoir l'impression den ne pas être seul...

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 2 jeudi 02 avril 2015, 18:58:23

Le micro-onde était en marche. La lumière à l’intérieur éclairait la tasse qui tournait, et qui tournait encore. La présence de Gabriel derrière elle la fit sourire.

« Eh bien, Mr mon mari, je trouve qu’il manque un truc. Un truc à faire, bien sûr… »

Elle se cala contre lui, frissonnant doucement. Un petit rire secoua ses épaules quand celui qui était à présent officiellement son époux lança l’idée d’inaugurer absolument tout l’appartement. C’était exactement ce à quoi elle pensait. Le micro-onde sonna à cet instant. Sa tasse était prête. Elle se pencha légèrement, ouvrant la porte de l’appareil en se frottant -à peine- contre le mâle derrière elle.

« Tout, vraiment tout ? »

Son sourire était taquin. Prenant la tasse chauffée entre ses mains, la rousse se releva tout à fait, et se cala de nouveau contre le policier. Portant la tasse à ses lèvres, elle but une longue gorgée du lait chocolaté, et soupira d’un air satisfait. Elle la finit en quelques gorgées, et la reposa sur le plan de travail avant de se retourner vers le blond.

« Tu crois que l’on devrait s’y mettre maintenant ? »

Un petit sourire amusé se glissait sur ses lèvres. Amusé, et gourmand. Elle ne se lassait pas. Même s’ils avaient passé un bon nombre de nuits à se découvrir, encore et encore. Son corps avait faim du sien. Ses soupirs l’appelaient, et ses sourires étaient là pour le tenter. Ses lèvres, encore humides du chocolat tiède qu’elle venait de boire, vinrent effleurer celle de son amant.

« On a toute la journée. Et la suivante. Et ainsi de suite. »

Elle taquina, de la pointe de sa langue, la commissure des lèvres de Gabriel. Collée contre lui, sa poitrine s’écrasant contre son torse, elle souriait.

« Qu’en dis-tu ? Souffla-t-elle avec un regard brillant de malice. »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 3 jeudi 23 avril 2015, 23:38:01

Oh, niveau truc à faire, ils avaient largement de quoi s'occuper, ne pensait-elle pas ? Allons, la connaissant, il se doutait bien  qu'elle avait déjà d'innombrables idées…    oh plus, tant d'idées et plus… il sourit et regarda la jeune femme dans les yeux alors qu'elle buvait son chocolat chaud, approuvant apparemment son idée… mais bon, à votre avis, pensait-il vraiment qu'il puisse en être autrement ? Non, pas si on connaissait un peu calliope, la moindre proposition qui puise déboucher sur une forme ou une autre de coït. Oh, il ne le lui reprohait pas !  Loin de là !

« Évidemment, tout !  Tu sais bien que je ne fais jamais les choses à moitié ! »

C'était bien vrai !  Il n'était pas le plus grand adepte de la demie mesure, mais ça elle appréciait un minimum, non ? Il ne put s'empêcher un petit sourire un rien amusé, mais ses yeux exprimaient complètement autre chose, ou du moins, autre chose ayant un peu de lien avec la situation :  de la lubricité…

« Et oui, vu kla taille de l'endroit, je crois qu'il va falloir s'y attaquer assez tôt… À moins… à moins que tu ne te sentes pas en forme... »

Il l'enlaça alors qu'elle se collait contre lui. Il profita d'un moment où la langue dradait hord de ses lèvres pour l'attraper, joueur, avec ses dents sans la mordre. Il tiradoucement dessus avant de la relacher t de l'embrasser avec fougue, à pleine bouche. Ses lèvres avaient encore le goût du chocolat chaud… c'était délicieux…

« Tu as tout ce temps… moi je reprends le boulot demain pour la garde de nuit… donc bon… chacun son emploi du temps… pour ça qu'il faut s'y attaquer maintenant… mais d'abord, il y a une question en suspend, et on ne fera rien avant qu'on soit d'accord là dessus. Je t'avais donné un choix à faire, et j'aimerai connaître ta réponse. »

Il la repoussa doucement avant de finalement lui sourire et plonger son regard malicieux dans le sien.

« Je ne t'empêche pas d'aller voir ailleurs, et tu ne m'en empêhe pas, on reste assez libres là dessus, nous étions d'accord. Mais je t'ai demandé de choisir. Les capotes, c'est avec moi ou avec les autres… Je te fais confiance, mais pas aux autres… qui sait quelles saloperies ils pourraient te refiler... »

Il croisa les bras sur son torse.

« Tu as choisis ? »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 4 lundi 11 mai 2015, 20:36:37

Ses petites provocations verbales amusaient Calliope. Plus encore, elles l’excitaient. Collée contre son amant, et désormais époux s’il fallait en croire l’anneau qui ornait son doigt, la rousse  sourit  tandis qu’il mordillait sa langue. Un baiser passionné suivit ensuite, et la jeune femme se laissa fondre entre les bras de Gabriel, ses mains l’entourant, l’agrippant, comme pour ne plus jamais le lâcher. Il la repoussa néanmoins doucement alors qu’il reprenait la parole, et la jeune femme calma son désir de se plaquer contre lui pour l’écouter. Ses lèvres esquissaient un sourire doux, qui s’élargit légèrement à la suite de ses paroles.

Il lui rappelait le choix qu’il lui avait donné. Ses prunelles pétillèrent alors qu’elle se rapprochait de lui, sensuellement. Elle avait choisi oui. Elle préférait mille fois le sentir lui, tout entier, en elle, qu’avec une capote. Elle avait déjà résolu de garder quelques capotes dans son sac, en tout temps, au cas où. Elle savait qu’elle avait du mal à résister à l’appel du sexe maintenant, depuis qu’elle s’était libérée de son blocage avec Alastar. Elle était reconnaissante à Gabriel d’avoir accepté de lui laisser cette liberté, comme elle la lui laissait. Mais malgré tout, les autres ne représenteraient jamais autant que le blond pour elle. Elle était encore indécise sur ses sentiments réels, mais une chose était sûre. Outre le sexe, où ils avaient une complicité du tonnerre, elle était attachée à lui. Elle l’appréciait réellement, et se sentait bien en sa compagnie.

« Tu seras le seul à profiter de moi sans protection, vint-elle lui susurrer à l’oreille alors qu’elle le poussait doucement jusqu’à ce qu’il heurte le frigo avec douceur. »

Ses mains s’empressaient de venir se glisser sous le tissu pour le convaincre de sa sincérité, pour l’informer de son désir latent. Elle avait un grand sourire aux lèvres alors que son regard exprimait tout le sérieux qu’elle avait en lui répondant ainsi, chose que son corps ne pouvait lui faire ressentir. Elle s’attelait maintenant à faire glisser ses lèvres dans son cou, glissant sur ses clavicules pour l’y mordiller doucement.

« Maintenant que la question est réglée, mon tendre époux, que diriez-vous de consommer une nouvelle fois cette union… Sur le congélateur par exemple ? »

Elle s’écarta de lui avec malice pour venir hisser ses fesses sur le congélateur à côté du frigo. Il s’ouvrait sur le dessus, et représentait donc un petit cube parfaitement à hauteur pour des ébats délicieux. Le tissu fin de sa jupe remonta sur ses cuisses nues alors qu’elle écartait doucement les jambes, faisant de la place pour son amant. Elle ne portait qu’un string dessous, qu’il serait facile d’écarter pour avoir accès à son bijou intime. Un string qu’il serait même aisé d’arracher si l’envie les prenait.

« Alors, monsieur mon mari, qu’en dites-vous ? »

Aguicheuse, ainsi assise sur le congélateur, la rousse passait ses mains agiles sur le corsage lacé de son chemisier.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 5 mardi 12 mai 2015, 11:46:19

Le choix qu'il lui avait imposé avait son sens ! En fait, c'était un peu un test qu'il avait caché pour Calliope. Tout simplement, et sa réponse mettrait en avant quelque chose de simple : protégerait-elle son  couple ou ses conquêtes ? Pas dans le sens où elle mettrait  une capote pour protéger son couple ou pour protéger ses conquêtes mais l'inverse. Qui favoriserait-elle ? Il lui sourit et la regarda alors qu'elle lui annonçait le résultat de son choix. Un résultat qui lui sembla plus que logique, en fait, et même plus, un choix qui lui sembla plein de bon sens. Et puis , si elle avait dit l'inverse, autant être honnête,k il l'aurait très mal pris ! Con, n'est-ce pas ? Il lui fit un sourire ravi et vint l'embrasser avec une fiévreuse passion.

Il ne remit à aucun moment la sincérité de son choix. Pas besoin à son avis. Dans le couple, il y avait besoin de confiance, et commencer à remettre en doute chaque parole de Calliope n'aurait servi à rien, d'autant que là, il fallait tester le congélo ! Il sourit et regarda la jeune femme avec un petit sourire alors qu’elle s'écartait pour se hisser sur le congélateur. E, fait, il se demandait si, aux vues de sa hauteur, il n'avait pas été prévu pour ça… pile poil la bonne hauteur…

« Ma foi… c'est un bon début... »

Il lui fit un petit sourire et l'embrassa doucement alors qu'elle commençait à délacer son corsage… il avait une idée… une idée qui pouvait s'avérer plus qu'amusante… et dans sa prunelle brilla la malice de son idée alors qu'il reprenait la parole en lui saisissant sans violence les poignets pour l'empêcher de continuer…

« Non, ne l'enlève pas… je te parie que j'arrive à te l'enlever… avec les dents... »

Beau défi, non ? Il approcha ses lèvres de son cou qu'il embrassa et mordilla avant de glisser contre sa peau jusqu'au corsage de son chemisier et commencer, avec lenteur, une lenteur exagérée faite pour la faire languir, à délacer le cordage. Elle pouvait ainsi sentir son souffle sur sa peau  parfois ses lèvres aussi. Il regardait la jeune femme, essayant de ne pas la lâcher des yeux, amusé. Il sourit, amusé. Et il ne s'arrêta que quand le corsage fut complètement délacé…

« Pas mauvais hein ! »

Il saisit la chemise par le base et lentement, en glissant sa joue contre son ventre il la fit remonter le long de son corps pour l'en débarrasser, lâchant la chemise quand ses lèvres furent en dessous pour l'embrasser, avant de reprendre sa lente ascension. C'était un exercice délicat, il le reconnaissait, mais bon… il trouvait ça amusant !  Dès qu'il eut fini de faire passer la tête de la jeune femme il se laissa glisser à genoux pour atteindre son entrecuisses, soufflant dessus avant de saisir le string et tirer dessus pour s'amuser de savoir celui-ci se glisser entre les lèvres intimes de la jeune femme, il lui susurra néanmoins.

« Je ne suis pas van des strings… ça en cache pas assez pour être vraiment sexy et ça en dévoile pas assez non plus… c'est frustrant ! »

Il se remit à tirer jusqu'à ce que dans un craquement de tissu, s'enfonçant toujours dans les chairs intimes de la belle, il cède. C'est alors qu'il passa à l'attaque, prenant d'assaut son intimité.

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 6 mardi 12 mai 2015, 13:34:14

Son sourire se fit amusé et coquin quand Gabriel proposa d’enlever le corsage avec les dents. C’est avec une bonne volonté non cachée que la rousse le laissa tenter. Elle frissonnait au passage de ses dents, de sa langue, même si le contact avec sa peau n’était pas toujours immédiat. Son souffle la faisait frémir d’envie, alors qu’elle creusait le dos pour s’offrir à l’expertise de son amant. Ses doigts se crispaient par moment sur le bord du congélateur tandis qu’elle expirait bruyamment, excitée par les manœuvres de Gabriel. Finalement, il n’y eut plus aucuns liens qui maintenaient le chemisier fermé, juste du tissu rendu lâche par l’absence de soutien. Le blond arrangea très vite l’affaire, alors que la rousse le félicitait de son adresse, et fit remonter le tissus sur son ventre, faisant se bloquer les mots dans la gorge de la belle. Un soupir termina sa phrase. Elle aimait sentir l’homme contre elle. Que ce soit ses doigts, ses dents, ou sa joue. Elle ferma même un peu les yeux, avant d’embrasser tendrement le flic, et esquissa un sourire satisfait alors que le tissu finissait sa course par terre.

Mais son époux n’en avait pas fini avec elle. Elle sentit la caresse de son souffle contre son intimité échauffée, et bientôt, le tissu du string frotta contre ses lèvres moites. Attrapant de nouveau les bords du congélateur, elle soupira doucement tandis qu’il continuait son petit manège. Un petit rire salua ses paroles.

« Attends-toi à être frustré quelques fois alors, parce que je dois avoir quelques string dans mes sous-vêtements. »

Le policier continua d’agacer sa fleur avec le sous-vêtement, jusqu’au moment où il tira dessus et que le tissu céda. Un frisson de volupté parcourut le corps de la belle qui se cambra légèrement. Ses doigts s’étaient crispés sur le rebord du congélateur. Un petit gémissement lui échappa très vite, alors que son amant venait à présent taquiner son intimité.

« Oh, Gabriel, lâcha-t-elle en écartant encore plus ses cuisses. »

Elle aimait ça, ces petites attentions, cette situation. Elle était heureuse, et comblée. Et le plaisir qui montait, à cet instant, alors que son amant prenait soin d’elle, prenait soin de son désir, de ses besoins… Elle fit glisser une main du rebord du congélateur pour la faire monter le long d’un bras de l’homme, se coulant doucement dans son cou, se mêlant à sa chevelure. Elle crispa ces mêmes doigts, par instant, alors que la montée du plaisir augmentait d’un cran.

Elle s’arqua encore un peu tandis que ses reins brûlaient d’une flamme délicieuse. Elle sentait les contraction de ses chairs, et la chaleur qu’elle dégageait. Elle s’entait l’humidité qui s’était transformé en gouttes ruisselantes de son plaisir féminin.

« Mmm… Si tu continues, je…. Je ne vais pas tenir longte… longtemps. »

Sa voix était hachée par le plaisir montant, et sa tête se renversa en arrière alors que ses gémissements gagnèrent en intensité. Le nom du policier quitta ses lèvres à de nombreuses reprises alors qu’elle ressentait pleinement le plaisir se faire plus fort, plus intense.

« Gabriel, je… Je veux te sentir en moi. Je veux que… Tu me possède pleinement ! »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 7 mardi 12 mai 2015, 22:45:52

Leurs jeux étaient toujours amusant, quant à sa provocation sur les string, il ne put s'empêcher un petit sourire amusé avant de finalement lui lancer, sur un ton tout aussi amusé, quoiqu'il ne s'agissait que d'une demie provocation...il avait bien envie de le faire…

« Alors je te les arracherai un par un... »

Il retourna à l'assaut de son intimité avec passion, avoir envie, avec désir, avec plaisir. Très souvent, Gabriel était égoïste dans son plaisir, il aimait se faire plaisir, faisant souvent  son affaire avant de se barrer, comme si il avait davantage à faire à un sac à foutre qu'à une femme… oui, réducteur et misogyne. Il lui fit un petit sourire avant de reprendre ses attentions, intensément, passionnément. Avec elle donnait, peu importe qu'elle veuille lui donner la réciproque (même si elle la lui donnait, cette réciprocité). Il s'abandonnait avec elle.. non, il s'abandonnait pour elle, tout simplement… elle était une des très rares exceptions aux yeux de Gabriel.

Il avait posa ses mains sur ses genoux, des mains fermes et fortes qui imposaient un assez bon écartement des cuisses de la jeune femme, l'empêchant de les écarter plus, mais lui empêchant de les lui refermer autour du visage… il n'aimait pas trop cette idée… et certaines femmes aimaient… par contre, sentir sa main sur sa nuque, crispée, dans ses cheveux, comme un remerciement et un aveu, un aveu d'avoir bien plus… et il s'acharnait.

« Ne pas tenir longtemps ? Je t'ai connue plus endurante, je n'ai même pas commencé à vraiment jouer... »

Elle devait voir ce qu'il entendait pas là, elle avait été mise au courant de son petit « don » non ? Il sourit, l’œil amusé alors qu'il venait embrasser son pubis pour finalement reprendre la  lutte avec son intimité la plus complète la plus virulente. Hors de question de s'arrêter avant la fin de la première partie des réjouissances ! Il lui fit un petit sourire alors qu'elle demandait plus… il n'allait pas se faire prier !

« Oh mais avec plaisir, princesse ! »

Il sourit et se redressa,  ouvrant son pantalon sans prendre la peine de faire descendre complètement le jean, laissant juste sortir le service trois pièces pour coller sa verge contre son intimité, la frotter un peu avant de s'enfoncer. Vite, fermement, sans brutalité néanmoins alors qu'il n'arrêtait pas de la museler d'un baiser fougueux en l'enlaçant. Il ne fit pas de mouvements, il sourit alors qu'il restait fiché ainsi en elle !

« Comblée ? »

Il commença les vas et viens. Trop lents. Volontairement.

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 8 mercredi 13 mai 2015, 14:30:27

Quand il affirma n’avoir pas commencé à jouer, elle le crut sans hésiter. Il lui avait fait part de ses dons, et elle avait même expérimenté un peu. Elle pouffa, mordillant sa lèvre, alors que le plaisir se faisait inquisiteur, puissant et délicieux. Ses doigts s’étaient refermés sur les cheveux de l’homme, lui communiquant mieux que des mots à quel point elle aimait ce qu’il faisait. Haletante, elle adorait sentir sa langue contre elle, jouant avec son intimité offerte et qui commençait à être ruisselante. Son corps se tordait sous ce délicieux traitement, et elle ne réussit qu’à gémir ses paroles suivantes.

« Je suis… Oooh… Plus endurante… Pour le reste… Mmm… Mais ces gâteries… Aaaah… Avant toi, peu l’ont fait… Ohoui… Je n’ai pas… Appris à résister… A pareille torture… »

Un sourire éclairait ses lèvres entrouvertes. Oh oui, c’était une torture. Une délicieuse torture qu’il lui prodiguait avec passion. Elle ne pouvait pas résister, et elle le supplia presque de venir en elle avant qu’elle ne bascule définitivement du côté du plaisir sans fin et sans fond. Fort heureusement, il ne la tortura pas plus longtemps. Elle le sentit se redresser et, sous ses paupières à demi baissées, Calliope le vit se préparer rapidement avant de venir se frotter contre son intimité ruisselante et de venir la cueillir d’un coup de rein.

Ses lèvres s’ouvrirent contre les siennes, et il la bâillonnait d’un baiser aussi chaud que l’étaient leurs ébats. Ses mains revinrent sur son corps, passant sur ses épaules pour venir se crocheter dans son dos. Il ne bougeait pas en elle, s’étant contenté de s’y ancrer avec fermeté. Son gémissement se termina contre ses lèvres, alors qu’elle ondulait ses hanches.

« Comblée ? Oh… Oui… Et plus encore… »

Elle haussa le bassin pour venir initier les coups de reins, chaude comme la braise. Ses muscles se contractaient déjà autour de l’organe virile tant elle avait été excitée et embrasée par ses petites attentions auparavant.

Forçant ses paupières à se soulever, elle jeta un regard brillant de luxure à celui qui était devenu son époux. Les circonstances de leur rencontre était encore un peu floues, et gardaient de leur mystère, mais malgré les épreuves, elle ne regrettait pas. Elle qui croyait ne jamais rencontrer un homme aussi compréhensif… Elle n’allait pas le lâcher de sitôt, c’était certain.

D’ailleurs, en sentant le membre masculin, raidi entre ses cuisses, fichée au fond de son intimité, elle se lécha la lèvre, gourmande. Elle avait déjà en tête la suite des évènements, et elle ne doutait pas que ce qu’elle envisageait de faire après l’étreinte lui convienne parfaitement. Il se montrait tendre et prévenant avec elle, Calliope pouvait bien en faire autant et lui rendre le plaisir au centuple. Elle adorait, par ailleurs, contenir entre ses lèvres ce sexe gonflé qu’elle sentait écarter ses chairs.

« Oh oui, Gabriel… »

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 9 jeudi 14 mai 2015, 00:30:58

Ses commentaires le faisait sourire… un plaisir que peu lui avaient fait ? Sans doute parce que devant son air plein de lubricité, on était plus tenté de se faire plaisir que de lui faire plaisir… il lui fit un petit sourire alors qu'elle parlait de torture… et qu'elle ne savait pas vraiment à quel point elle voyait juste… s'il utilisait ça… il pouvait pousser ça dans les limbes d'un plaisir à la limite de la jouissance… oui, c'est cela…

« Chacun ses faiblesses… et maintenant je connais la tienne... »

Il sourit et l'embrassa de nouveau alors qu'elle avouait être complètement comblée… il lui fit un petit sourire taquin, l’œil plein d'envie alors qu'il venait saisir la peau du cou de la jeune femme entre ses dents, mordillant sa peau avec douceur et délicatesse, mais y imprimant sans le moindre doute un petit souvenir, voilà qui était clair. Oh, il ne la « marquait » pas comme sienne, il n'en avait pas besoin. Elle était déjà sienne, non ?

Il se mit à aller et venir en elle, faisant presque plus attention au plaisir de la jeune femme qu'au sien, chose qui était complètement invraisemblable le connaissant un peu !  IL fit un petit sourire avant de se décider à commencer à se montrer un peu plus ferme dans ses mouvements, mais pas violent, toujours tendre, comme… comme si il lui faisait l'amour… tout simplement. Il lui faisait l'amour avec tendresse et une passion torride aussi douce qu'enivrante…

« J'adore…. Si tu adores... »

Il continuait ses mouvements lents et plein de prévention à son égard alors qu'il lui chuchotait sur un ton aimant.

« C'est… c'est peut-être la première fois que je fais ça comme ça…. »

Ni la position, ni la personne, juste… juste la manière… en fait, oui c'était cela… même lors de son dépucelage ça avait été… différent… là il expérimentait directement… étrange pour vous sans doute, mais bon, que voulez-vous qu'il dise ? Que voulez-vous qu'il fasse ? Il expérimentait quelque chose qui lui semblait parfait… parfait pour la femme parfaite… bête non ? Il sourit et 'l'embrassa alors qu'il la ceinturait d'un bas possessif et que son autre main venait jouer avec le bouton de rose qui ornait le haut de ses lèvres intimes…

« Et si tu veux de la torture, je t'en promet plein, plein, plein… tellement que tu ne sauras plus où donner de la tête, que tune voudras jamais me quitter... »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 10 dimanche 26 juillet 2015, 16:48:16

Un sourire salua la réplique de Gabriel, tandis que Calliope lâchait un nouveau gémissement quand il mordilla son cou. Oh, ce point était aussi très sensible pour elle. Il faisait ressortir la femelle en elle, véritablement. C’était l’instinct animal. Inconsciemment, son corps s’arc-bouta doucement contre lui pour venir épouser ses formes, se caler contre lui, comme le ferait une femelle dans le monde animal. Elle se soumettait à son bon-vouloir, à ses douces caresses, à sa virilité de mâle affirmée.

Ses allées et venues, lorsqu’il plongeait en elle avant d’en ressortir, faisaient fourmiller son corps de mille et une sensations, toutes plus agréables les unes que les autres. Elle adorait cette tendresse qu’il mettait dans leurs ébats. Il était rare, avant Gabriel, qu’elle apprécie cette marque de respect. Oh, bien sûr, elle l’avait toujours désiré. Mais la plupart de ses précédents amants n’étaient pas… Ils étaient faux, lorsqu’ils essayaient. Avec eux, elle préférait largement la bestialité. Ça, au moins, ce n’était pas mimé. Elle préférait l’honnêteté, même lors des parties de jambes en l’air. Depuis qu’elle avait rencontré Gabriel, elle appréciait nettement mieux ces étreintes plus douces, plus langoureuses. Elle connaissait enfin la signification du terme « faire l’amour », et elle adorait ça. Comme lui, c’était bien la première fois qu’elle se laissait aller à laisser transparaître ses sentiments pendant qu’ils s’étreignaient. Des sentiments profonds, véritables. A défaut d’une fidélité charnelle, elle était sans conteste fidèle sentimentalement au blond.

« Oh, et bien, je fais plus qu’adorer ça… Tu dois kiffer ta race, souffla-t-elle avec un petit rire. »

Elle gémit contre ses lèvres alors qu’il venait l’embrasser, appréciant cette marque de possessivité dont il faisait preuve, et n’était pas en reste pour ce qui était de lui rendre cette étreinte buccale. Les doigts qui agaçaient son clitoris faisaient naître d’autres sensations, encore. Son plaisir bondit d’un coup, la laissant presque haletante alors que le contact entre leurs lèvres se rompait.

« Oh, Gabriel… Un gémissement interrompit sa phrase, alors qu’elle arquait les reins quand une petite décharge, due aux attentions dont son bouton de plaisir était la cible, irradia son corps. Même sans toutes ces tortures, je ne veux pas te quitter. »

Sa déclaration était sincère. Jusqu’ici, elle n’avait jamais réellement cru pouvoir s’attacher de la sorte à un homme. Pourtant, depuis leur rencontre, elle découvrait des sentiments qui ne cessaient de croître. Elle était heureuse avec lui, sans compter les heures de sexe intense qui l’épuisaient mais qui la comblaient. Avec lui, elle oubliait ses tracas. Elle savait que, de son côté comme du sien, ils se laissaient tenter par l’acte charnel, avec d’autres. Mais elle était aussi sûre d’une chose : Ce qu’elle éprouvait pour lui, elle ne pourrait l’éprouver pour un autre. Elle était pratiquement sûre que, de son côté à lui, c’était un peu la même chose. Mieux : Elle lui faisait entièrement confiance. Sans réserve. Elle ne voulait rien lui cacher, et espérait qu’il en allait de même de son côté.

« Oh oui… Continue… »

Ses gémissements reprenaient le dessus sur ses pensées, et elle effaça toute trace de réflexion de son esprit, se laissant porter par les sensations grisantes qui l’enivraient sous les doigts et les coups de reins de son amant.

Gabriel Valmy

E.S.P.er

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 11 jeudi 08 octobre 2015, 21:10:38

Gabriel n’avait pas pour habitude de ne pas jouer les « mâles » dominants, à ma limite du bestial… mais là… là il ressemblait à un gros chat qui voulait se caler, roulé en boule sur les genoux de la personne qu’il affectionnait, tout simplement !  Il lui fit un petit sourire ravi alors qu’elle confirmait tout à fait ce qu’elle lui disait. Il n’aimait pas des masses l’expression, mais le fait était là, il kiffait sa race. Mais ce n’était pas juste l’impression de lui remplir l’entrecuisse, c’était… ben en fait il savait pas pourquoi, mais c’était différent. Sans qu’il ne comprenne pourquoi, ou sans qu’il veuille chercher à comprendre pourquoi, d’ailleurs… en fait, il se contentait de ce statu quo : il n’avait pas besoin de savoir et il savourait la situation ainsi, comme elle se présentait. Il n’avait pas besoin de plus.

« T’as même pas idée… » [/b][/i]

Il continuait à jouer avec son corps autant que possible, de mille et une manières, cherchant à multiplier les baisers un peu partout, comme pour les petites morsures légères, toujours à la recherche de points plus sensible, savourant l’étau de son entrecuisse avec tous ses sens, lâchant finalement son petit bouton de rose pour l’enlacer, oui, il était possessif, à outrance… chose paradoxal dans la mesure où il estimait n’appartenait à personne… enfin, c’était ce qu’il pensait avant… maintenant si on lui demandait… ben, il resterait sans doute comme un con à buguer… Enfin bon, la question ne se posait pas, n’est-ce pas…

« En même temps, qui te fait croire que je te laisserai me quitter ? Tu es toute à moi… non ? » [/b][/i]

Bon, d’un autre côté, lui aussi il rendait les armes face à elle, alors qu’importe sa réponse ! Ses reins, son bassin bougeaient dans une lenteur presque exaspérante pour elle, peut-être mais il voulait savourer ça. Il voulait ressentir chaque contact aussi longtemps et aussi intensément que possible ! Lentement, ses mains se détachaient de sa taille, l’une d’entre elle venant doucement serre ses mains, portant lesdites mains à ses lèvres pour les embrasser doucement, lui mordiller les doigts, jouer avec, cessant tout mouvement en elle, sortant même d’elle pour doucement la faire descendre de son perchoir. Ça pouvait sembler bête mais… il y avait un sacré espace à couvrir, non ? »

« J’en ai marre de me taper tout le travail, même si le travail est une beauté comme toi… à toi de bouger un peu ! » [/b][/i]

Il lui fit un clin d’œil avant de l’entrainer dans une étreinte, se laissant presque tomber en arrière sur le sol, sans n’en avoir rien à foutre. Même pas mal ! Il voulait lui aussi qu’on s’occupe de lui, et ne pas être seulement celui qui s’occupe d’elle. Envie légitime, non ? »

Calliope Tick

Humain(e)

Re : Emménagement et cohabitation [Gaby]

Réponse 12 lundi 06 juin 2016, 20:00:59

Oh, elle espérait bien qu’il se battrait pour qu’elle ne le quitte pas. Un sourire amusé effleura ses lèvres alors qu’elle lâchait des soupirs de volupté. Elle se crispa autour de lui tandis qu’il avait adopté un rythme si lent qu’elle brûlait d’envie de hurler, de le supplier d’aller plus vite, plus fort. Elle se contenta malgré tout de gémir à nouveau, sa main s’abandonnant à celle du policier. Elle eut envie de l’embrasser, à le voir ainsi tendre avec elle. La rousse se sentait fondre contre lui. Jamais elle n’avait éprouvé cette intensité, alors même que leur rythme n’était pas effréné.

Gloussant à ses paroles, Calliope se laissa étreindre, s’accrochant à lui avec ferveur, et ses hanches se frottant contre lui. Elle lui offrit un sourire tendre, et se pencha sur lui alors que ses genoux se posaient de part et d’autre de son corps, sur le sol. Ses cuisses serraient ses hanches avec douceur, et elle lécha délicatement son cou, remontant pour lui voler un baiser rapide mais intense, pour aussitôt redescendre dans son cou et venir mordiller sa clavicule. Elle poussa sur ses muscles, et se souleva pour venir guider le sexe raidi entre ses lèvres moite, abaissant doucement son bassin pour savourer la pénétration. Pendant quelques secondes, elle avait hésité à venir le surprendre en le glissant au fond de l’écrin de sa gorge, mais elle gardait cette gâterie pour la suite.

L’enserrant au fond de son corps, dans cette moiteur torride qui l’habitait, la rousse redressa la tête, puis le buste, se positionnant presque à angle droit sur lui. Ses mains se posèrent sur son torse et elle se servit de cet appui pour venir lever à nouveau son bassin, commençant à coulisser lentement sur la vigueur tendue de Gabriel. Elle s’y enfonçait et s’en relevait d’abord lentement, tendrement, sans quitter le regard de son amant. De son mari.

« Je vais te combler, ô mon époux, glissa-t-elle avec un sourire taquin. Tu ne pourras plus jamais te relever tant je vais m’occuper de ton cas, rajouta-t-elle en gloussant. »

Son gloussement s’étrangla sur la fin, devenant un gémissement langoureux alors qu’elle venait de joindre à nouveau leurs bassins. Elle cessa bientôt ce rythme langoureux, et torturant, alors que ses reins réclamaient plus. Ses hanches se soulevaient plus férocement avant de revenir avec autant d’ardeur contre lui. Son appui était impeccable, et bientôt, la rousse se surprit à gémir plus fort, plus sourdement.

« Gabriel, soupira-t-elle entre deux gémissements. Oh c’est si bon ! »

Et elle redoubla de ferveur à faire coulisser l’épée de chair de son amant et époux. Elle commença même à le griffer doucement, alors que la frénésie n’était pas loin, à mesure que le plaisir grimpait et emplissait son être d’une délicieuse félicité.


Répondre
Tags :