Nouvelle religion [Kamori Seika]

La jeune Seika avait enfin trouver chaussure a son pied (bon il est un peu tôt pour dire ça), sa partenaire lui offrait beaucoup de plaisir et la jeune femme comme hypnotisée par celle-ci, succomba a son charme et a son enveloppe charnelle. La vie suivait son cours, Kerrigan l'avait emmenée dans un logis se situant hors de la ville, dans un terrain totalement inconnu aux yeux de Kamori, la nonne ne s'approchait jamais des zones militaires car elle craignait que les hommes qui y figuraient dans ces camps ne la prenne pour une espionne et ne l'enferme a fond de cale et que si ça n'était pas le cas, ils auraient certainement fait feu sur elle... Outre ses moments agréables qu'elle avait passée en compagnie de sa nouvelle maîtresse, elle remarquait que bien entendue que quelque semblait un peu perturber Sarah... Comme si un danger imminent planait sur sa tête. La jeune femme partagea une dernière couche avec la fille-alien en sentent le gourdin heurter son intimité et poussa un long cri de plaisir avant de s'évanouir d'épuisement, toutefois elle fut encore consciente et respirait doucement. Sarah la fit sortir du lit en retirant les tentacules qui la maintenait immobile et la fit sortir du domicile jusqu'à la rue en lui apprenant qu'elle ne pouvait pas être en sécurité plus longtemps que ça dans le périmètre et quelle allait devoir changer d'emplacement. Toutefois la prêtresse-Jaeger se posa des questions de a quoi ressemblerait la fille de la célèbre Kerrigan, le résultat arriva juste après.

Elle fut stupéfaite de voir un être-vivant qui avait des traits de similitude semblable a un manticore (ces bête de légende avec des parties animaux) mais elle s’inquiéta l'espace d'un instant en pensant que cet fille n'en ferait qu'une bouchée de l'humaine quand elle l'entendit dire "appétissante" mais heureusement qu'il ne s'agissait que d'une façon de parler, peut-être qu'elle voulait dire qu'elle trouvait la bonne sœur assez joli a son gout dans le sens propre du terme.

Je... Je comprend... et bien... je te reverrais a la fourmilière alors.

La jeune femme baissa ses bras le long de son corps alors que la seconde partie du corps de Sheoldred s'ouvrit avec sa gueule garnie de dent, une volée de tentacules en surgit aussitôt et vint se nouer autour du corps de la nonne en ligotant ses bras et ses jambes, coupant toute fuite et échappatoire et la ramena dans la bouche du monstre, il fit tout noir a l'intérieure, et l'odeur qui y régnait a l'intérieur fut tellement pestilentiel et repoussante que n'importe qui aurait perdue connaissance, mais Seika fut déjà une habituée de ce genre de cas et même qu'elle déjà atteinte des zones de non-retour autrefois et se mit a respirer lentement puis normalement. Elle avait atterrit sur la langue du monstre, ses seins sentirent la matière gluante et molle qui provenait de la salive qui la fit pousser vers le fond de la gorge, elle tomba sur ses talons et se servit de ses cuissardes pour retrouver son équilibre, le corps toujours ligoté, elle ne pouvait se mouvoir dans l'estomac de la créature mais comme cet dernière commençait à avoir faim (elle n'avait rien avaler en quittant la maison), elle ouvrit donc grand la bouche comme si elle savait exactement ce qui allait se produire et elle attendit calmement le début de cet orgie.

« Elle est très productive, Mère… »

Sarah n’en doutait pas, et sourit en voyant Sheoldred. Elle avançait le long de son nid. C’était une grande pièce violette avec des excroissances et des veines tentaculaires. Sarah était assise sur son trône, au milieu d’une orgie continuelle et bestiale. Des œufs verts poussaient ici et là, et ses Formiens couchaient régulièrement avec des prisonnières et des esclaves… Zerglings, Hydralisks, Xénomorphes… Des séances de sexe continuelles, tandis que Sheoldred, elle, se tenait devant Sarah, portant, dans son ventre, le corps de Kamori, ainsi que celui de deux autres femmes. Ses trois captives ne s’étaient encore jamais rencontrées, vivant dans son ventre… Kampori était baisée depuis maintenant plusieurs jours par de gros tentacules s’enfonçant dans tous ses trous, et par une multitude incalculable de langues caressant et léchant son corps dans tous les sens. Il n’y avait tout simplement pas un seul centimètre du corps de Kamori qui ne soit pas léché ou frotté, quand les parois internes de Sheoldred écrabouillaient et pressaient son corps. Kamori accouchait en elle, et les larves sortaient par les canaux de Sheoldred, pour se retrouver ensuite dans le Bassin génétique de la Ruche.

Ce Bassin génétique central était une immense piscine verdâtre en forme de sphère. Cette grande piscine hébergeait toutes les larves de la Ruche de Kerrigan. Elles grandissaient et évoluaient à l’intérieur. Le Bassin génétique abritait le patrimoine génétique des Formiens, tout un code génétique qui flottait, et qui était ce liquide vert. Il ensemençait les larves, leur donnant la forme souhaitée… Zergling, Hydralisk, Brutalisk, ou autres créatures étaient conçues ainsi. La conception des Formiens était quelque chose de très complexe, en soi bien plus difficile qu’une procréation humaine, car elle ne se limitait pas qu’à la simple procréation dans le ventre d’une femme. Ce n’était que la première étape, et il fallait ensuite que la larve évolue et grandisse. Elle terminait le processus dans une phase de chrysalide, dans un œuf, telle une chenille devenant un papillon.

Sarah voyait ainsi toute sa Ruche, jambes écartées, sa verge violette disparaissant dans la bouche et dans la gorge d’une belle scientifique en combinaison moulante bleue, que les Formiens avaient capturé il y a des mois quand elle faisait des prélèvements dans les grottes souterraines entourant la Fourmilière. Son ventre légèrement arrondi témoignait des multiples larves grouillant dans son ventre.

« Fais-là sortir, Sheoldred… Je pense qu’elle est assez restée dans ton ventre… »

Dans le ventre de Sheoldred, on avait parfois tendance à s’y faire, et, quand on en sortait, la seule envie était parfois d’y retourner. C’était comme une sensation de bonheur perpétuelle, d’aliénation totale, car seul le sexe dominait et régnait en maître. Sheoldred se concentra, et elle cracha tout simplement Kamori, qui rebondit sur le sol, son corps de latex recouvert de salive. Elle était restée là-dedans pendant de nombreux jours, et on pouvait logiquement supposer qu’elle soit… Fatiguée.

« Te voilà dans ton nouveau chez toi, Kamori… Es-tu ravie de découvrir ta nouvelle maison ? »

D’ores et déjà, un Zergling s’approchait d’elle, sa longue langue violette venant lécher ses jambes…

Seika avait désormais franchi la zone de non-retour et dans les jours qui suivirent, elle est devenue une mère porteuse de plusieurs bestioles visqueuse et avait donner naissance à d'autre couvées supplémentaire, elle sentait des gémissements  durant son viol collectif et elle sut juste après qu’enfaîte elle n'était pas seule mais comme il faisait un noir totale, elle n'arrivait pas avoir de qui il pouvait bien s'agir. Elle dut ingurgiter des litres de liquide nutritionnel et parfois au gout repoussant... Mais elle le savait bien, l'intérieur de son logis était comme matelassé au toucher (les organes) remuait nonchalamment à l'infini et mis à part l'odeur nauséabonde et les effets gluants, c'était nickel ! les filaments entortillait vilainement les seins de la nonne pendant que les bras plus épais faisait le plus gros du travail en pénétrant directement dans l'organe génitale de Kamori. La jeune femme poussa un cri étouffé quand elle sentit la pénétration qui s'effectuait en profondeur et faillit défaillir mais resta toujours lucide, un tentacule s'engouffra par la voie orale et lui aussi s'enfonçait au fond de la gorge nerveusement en nourrissant la prêtresse-Jaeger avec de la cyprine juteuse. Même si il y faisait une obscurité opaque à tel point que l'on ne distinguait rien le plaisir en tout cas fut intense.

ARGHHHHHH...... aaaannnaaahhhhhhhh....

(...)

Seika laissa donc les tentacules l'engluer une nouvelle fois car il était l'heure de germer les larves rosâtre dans son abri qui lui sert de ventre. Sheodred était donc la fille de Sarah ? Avec quel genre de monstre, Kerrigan a t-elle du coucher pour donner naissance à un être aussi colossal et effrayant ? là encore elle n'en savait rien, Seika ignorait encore beaucoup de chose au sujet de sa maîtresse, peut-être que son hôtesse là lui dévoilera le moment venu, qui sait ? En attendant, elle était vraiment exténuée, heureusement que son viole se poursuivait pendant qu'elle tombait en syncope, ses nerfs lâchent comme si elle avait plonger dans le coma, les tentacules les plus continuèrent de la défoncer, "de l'inonder" et de l'engrosser avec les bactéries qui se démultiplièrent par milliers avant de grandir dans la cavité stomacale et ensuite une fois formé, tous les embryons en sortirent puis ainsi de suite. La jeune femme sentit soudainement que tous les bras graisseux et filaments tentaculaire s'écartait de son corps, elle se demanda ce qui se passait... puis un rai de lumière se forma par un trou puis un organe vint la saisir sur un tapis couvert de salive humide et la conduisit vers la luminosité, tandis que son "tapis brun" approchait et le trou s'agrandit pour déboucher sur l'extérieur, elle ne sentit plus le confort délicat des organes de Sheoldred mais plutôt une surface dure et couvert ça et là de cailloux et de quelques copeau de bois avec de l'herbe. Elle entendit alors une voix familière en face d'elle et elle comprit qu'il s'agissait de sa maîtresse, elle fut drôlement heureuse de la voir et lui répondit doucement:

Oui maîtresse... j'en suis contente...    

La Traqueuse-combattante aperçut une bête qui se dirigeait vers elle, la créature sorti une langue d'une étrange couleur et vint lécher sa jambe, comme si elle la nettoyait d'une façon originale ou que elle cherchait à l'identifier, la jeune femme avança péniblement a quatre patte et s'allongea sur le dos, elle attrapa la tête du monstre avec ses mains gantée et fit approcher son visage bestiale de la sienne, elle ouvrit la bouche et fit introduire sa langue au fond de sa gorge en écartant ses un peu jambes pour lui permettre l'accès à son intimité.

J'ai besoin d'un peu d'énergie corporelle bestiale.. aide-moi..

Seika avait besoin de se requinquer et donc plutôt que d'aller se reposer dans une chambre vacante, elle préféra essayer de se rétablir a l'ancienne mode en adoptant cet posture devant son nouveau foyer.

Le Zergling était, au sein de la Ruche, une sorte d’unité de base. Rapide et facile à produire, il était une unité peu résistante, dont le seul avantage était d’être rapide, ce qui le rendait utile pour mener des assauts rapides et kamikazes contre des structures adverses faiblement défendues, des convois, ou des patrouilles. C’était leur utilité militaire, mais, ici, loin du front, toute unité formienne avait une utilité commune : se reproduire Ce Zergling allait se faire plaisir, et, comme Sarah s’y attendait, Kamori ne se trouva nullement effrayée par l’idée de coucher avec cette bête à la gueule puante et baveuse. Le Zergling n’était pas très beau, Sarah devait bien l’admettre, ce qui faisait que, généralement, ses prisonnières préféraient coucher avec elle ou avec ses filles… Voire avec des Formiennes. De manière générale, les monstres et les tentacules les attiraient moins, et il fallait donc un véritable travail de fond pour les amener à accepter ce qui, à leurs yeux, était inacceptable. Sarah le savait très bien, et voir Kamori appeler le Zergling était donc… Jouissif.

« Hmmm… !! »

La belle scientifique gémit en sentant effectivement la verge de la Reine grossir, manquant l’étouffer. Sarah soupira, basculant légèrement son corps en arrière, et sa main se crispa sur la chevelure de la femme. Elle ne perdait pas une miette du spectacle qu’offrait sa nouvelle pondeuse. Couchée sur le dos, elle invita la bête à venir, et le Zergling se posa au-dessus d’elle… Et, là, Kamori entreprit de l’embrasser, ce qui amena, entre ses cuisses, la verge du monstre à pointer, son sexe durcissant rapidement. Il frottait les cuisses de la femme, et, quand elle l’embrassa, en léchant sa grande gueule, le Zergling poussa un long grognement. Cette poupée violette en latex jouait avec le feu, elle jouait avec les pulsions et l’excitation sexuelle du Formien, au risque de s’en mordre les doigts.

Kerrigan sourit donc, et le Zergling, sans plus attendre, enfonça sa grosse verge dans l’intimité de la femme, la déchirant avec une joie primaire et dévorante. La créature poussa un grognement, sa bave heurtant le visage de Kamori, sa langue pendant hors de sa bouche. Il entreprit de lécher sa belle peau, sa queue caudale claquant sur le sol. Son corps s’enfonçait lourdement et profondément en elle, son pieu lui défonçant le vagin.

« Oui, ouiiii… »

Sarah soupirait et gémissait, et enfonçait encore un peu plus la bouche de sa captive sur son sexe.

Qu’est-ce que ce spectacle pouvait être beau !

La prêtresse-Jaeger n'avait jamais imaginer qu'elle baiserait avec un monstre qui se trouvait sous la coupe de sa maîtresse, le plaisir fut si intense et le monstre n'avait aucune douceur dans ses gestes, la douleur se fit ressentir immédiatement en voyant sa région anale se déformer par une forme qui cherchait comme qui dirait a s'extirper de sous la chair. Kamori poussa un hurlement avec son visage couvert de bouillasse salivaire avec le mucus mousseux du Zergling qui humidifia le sol. La nonne ne put qu'apercevoir l'étendue de son spectacle, sa maîtresse était entrain de défoncer une demoiselle qui devait avoir la vingtaine environ, il semblerait qu'elle avait été un peu embêté de la réaction de son esclave sexuelle, elle n'en saura pas plus pour le moment car elle était au prise avec un des familiers de la fille-alien. La Traqueuse-combattante n'en pouvait plus et ne cherchait qu'a essayer de faire durer la scène de viole mais faute de quoi, elle ne pouvait pas revenir en arrière. Cela dura plus d'une heure, durant toute la manœuvre elle se rappela de tous les moments qu'elle avait passer au coté de toute forme de créature et pourtant, elle ne fut pas infecté par aucune bactérie quelconque, ni forme de virus superficiel. Seika s'écarta difficilement du Zergling, elle se servit de ses jambes en plaçant les talons de ses cuissardes noires macules sur le visage de la créature en prenant bien appuie sur celui-ci et d'un bon coup de rein, elle fit éjecter l’énorme queue couverte de cyprine bestiale.

Hannnn... hmmm....    

Elle resta allonger sur le dos pendant une bonne minute avec son bras gauche qui masquait son regard, les seins plastifié de la demoiselle montrant des signes d'exténuation à chacun de ses mouvements, elle se retourna sur le coté et se mit à quatre patte et se mit à ramper péniblement vers Kerrigan. L'alien qui s'était bien occuper de Seika s'était assoupie sur ses quatre pattes et gnognait bizarrement alors qu’enfaîte il fut endormie, ce fut grâce à cet astuce que la bonne soeur put s'écarter tranquillement sans prendre le risque de l’éveiller malgré la curieuse position dans laquelle le monstre somnolait en laissant sa queue dans la partie anale de Seika. La nonne rampa jusqu'à sa maitresse et s'écroula de fatigue sur la poitrine de l'esclave à la combinaison bleue qu'était entrain de violer actuellement Sarah, tandis que ses paupières s'abaissèrent sur ses yeux.

« Elle est très endurante, ma Reine...
 -  Je sais. C’est pour ça que je l’ai ramené avec moi.
 -  Les larves qu’elle a mis au monde sont très endurantes, et deviendront assurément des Formiens viables et bien portants. »

Le diagnostic d’Irina, la dernière Cérébrate de Sarah, confirmait déjà ce que la Reine des Lames pensait, mais elle ne fit aucune remarque négative. Avant d’être évoluée pour devenir l’une de ses Filles, Irina avait été une scientifique, et ce côté scientifique se retrouvait toujours en elle, avec cette fascination profonde pour les Formiens. Elle était originaire de Tekhos, et avait réussi à rejoindre la ligne de front, le Containment Point, ce nom donné à l’ensemble des bases militaires entourant la Fourmilière, en faisant valoir son doctorat et ses multiples thèses sur les Formiens. Irina était une femme intelligente, originellement une entomologiste, et elle était fascinée par la biologie, et pensait que les Formiens étaient une espèce intelligente parfaite. C’est de cette manière qu’Irina avait fini par la rejoindre, et Sarah l’avait transformé, faisant d’elle une Cérébrate. À ce titre, son rôle était de seconder Sarah, comme une lieutenante. Elle agissait au nom de l’Annexienne.

Irina se spécialisait pour la reproduction formienne, et pour les Chasseurs xénomorphes. Ces magnifiques créatures avaient toujours fasciné Irina, et étaient sans doute le cœur de son attirance pour les Formiens. Elle copulait maintenant fréquemment avec eux, et, dans la pièce où les femmes se tenaient, plusieurs Xénomorphes se trouvaient là... Ceux d’Irina, ses propres enfants. Devant elle, il y avait la dernière invitée de Sarah, la prêtresse, Kamori Seika.

Elle était retenue dans le vide par des tentacules, et était attachée à une Aiguille. Ce terme désignait une structure formienne ayant pour but de produire des Formiens aériens. Il s’agissait d’une sorte de structure en forme de méduse géante, avec une cascade de multiples tentacules, tous reliés à une plateforme en hauteur, ressemblant à une sorte de sphère. Plusieurs femmes étaient prisonnières des tentacules. Après que Kamori se soit écroulée, sous l’effet de la fatigue, Sarah l’avait laissé se reposer dans un incubateur, où elle avait pu accoucher en paix du bébé donné par le Zergling. Elles se tenaient face à une ouverture dans la paroi, d’où elles pouvaient voir la femme.

L’Aiguille se trouvait dans une immense grotte, à côté d’autres Aiguilles, et de Formiens remuant le long de murs organiques, ou volant au plafond. On ne voyait, de fait, pas le sol de cette grotte, ni le plafond. Les tentacules retenaient Kamori à hauteur des chevilles et des poignets, ainsi qu’à hauteur de son ventre. Irina l’observait avec un léger sourire.

« Est-ce qu’elle pourra finir dans un de mes nids, après ? Une femme aussi endurante devrait être capable de produire de beaux Xénomorphes... »

Sarah sourit lentement, amusée. Celle-ci, elle s’y attendait, et, fort heureusement, elle avait, pour Irina, une bonne nouvelle.

« À ton avis, ma chérie, pourquoi donc crois-tu que je t’ai invité, hum ? »

Kamori était séparée d’elle par plusieurs mètres, et les deux femmes attendaient patiemment son réveil... Et les nouveaux bébés qu’elle allait pouvoir se mettre à pondre.

Kamori était devenue un robot infatiguable et pourtant, elle n'a toujours pas perdu son humanité, malgré les nombres de fois ou sa maîtresse ou ses sujets l'ont fait engrossir pour mettre bas à des petits, elle resta toujours elle-même. Sa carrière de nonne en avait pris un sacré coup et il est certains qu'avec les pêchés qu'elle avait commise, elle ne gagnerait pas pas sa place au paradis et donc elle n'aura pas droit à la vie éternelle. Jusqu'à maintenant elle n'a fait que coucher avec plusieurs espèce différente et son ventre (malgré la douleur des contractions) à pu voir le jour avec plein de bestiole différente les unes que les autres. La jeune femme ne reçoit pas malheureusement de traitement de faveur pour les défavorisés comme elle... Elle avait pour obligation d'être obéissante en plus de se montrer docile mais en retour, elle n'obtenait rien et n'était juste qu'un outil de travail (qu'on jettera probablement un jour quand elle aura plus son utilité) mais cela restait à voir après tout sa patronne qui avait le droit de décider de son sort ne pouvait dépendre que de sa bonne volonté, donc Seika ne pouvait être autoriser à la décevoir... Mais comme la jeune femme semblait encore plongé dans les vapes, elle était pas tout a fait consciente mais elle entendit parler de "Xénomorphe" ou quelque chose comme ça, elle ne savait rien à propos de ces noiuvelles créatures qui lui était encore inconnu jusqu'à maintenant mais elle se demanda à quoi devait ressembler ces droles de bestioles, monstre ou alien, cela ne faisait aucune différence puisqu'elle allait mettre au monde un bébé, des larves ou pondre des oeufs, cela revena au même.

(...)

La prêtresse-Jaeger n'arrivait pas à se mouvoir pleinement, elle comprit qu'elle fut solidement maintenue pour sa prochaine procréation, elle ne savait pas encore en quoi consistait le briefing de sa mission suivante mais elle attendit que le scénario débute, elle ignora comment l'objectif en cours va se dérouler et ne se posa pas la question mais c'est pas en jouant la comédie de la belle au bois dormant qu'elle allait profiter de l'action mis à part perdre du temps, elle ouvrit alors ses paupières et regarda partout, elle remarqua qu'elle fut suspendue dans les airs mais cela ne la dérangeat pas tellement, elle attendit seulement le début du contact avec ce fameux alien qui devait normalement s'occuper d'elle.

La belle Kamori ne tarda pas à émerger du sommeil réparateur dans laquelle elle avait été plongée, sous le regard ravi d’Irina et de Sarah. La perspective d’avoir cette belle pondeuse, forte et belle, en son nid, excitait énormément Irina, ce que Sarah arrivait à ressentir. Irina était une femme ayant dépassé la trentaine, mais elle restait encore un bébé aux yeux de Kerrigan. Elle était devenue très récemment une Cérébrate, après avoir, pendant des années, fantasmé sur le fait de devenir une Formienne. Les techniques formiennes d’assimilation du patrimoine génétique humain avaient permis de réussir ce tour de force : transformer une simple humaine en Formienne. Les techniques s’amélioraient de plus en plus, et Kerrigan, de fait, avait surtout transformé Irina en raison de ses fortes connaissances scientifiques et biologiques sur les Formiens. Elle avait de faibles pouvoirs psychiques, et c’était pour ça qu’elle était essentiellement assignée à la production de Xénomorphes. Son esprit n’avait pas à se disperser pour s’occuper des autres troupes de la Nuée, et il était donc plus facile de les contrôler... Surtout quand elle était amoureuse d’eux. Le grand secret d’Irina n’avait pas tenu longtemps face aux pensées de Sarah, tout comme les doutes de Kamori. Face à une télépathe, face à une Annexienne qui avait jadis été une Psi-10, on ne pouvait pas faire grand-chose. Sarah savait qu’Irina avait toujours aimé les Xénomorphes... L’amour n’était pas qu’esthétique, celui d’Irina était avant tout scientifique. Face aux imperfections du patrimoine génétique humain, elle avait été bluffée par le code génétique des Chasseurs xénomorphes. De pures perfections, comme les araignées. Maintenant qu’elle était devenue Formienne, Irina pouvait les étudier d’au plus près, et, naturellement, les enfantait... Autant de choses que Kamori allait avoir la joie de découvrir.

La prêtresse était inquiète pour son âme, craignant de ne plus goûter au Paradis. De telles croyances étaient typiquement humaines. Kerrigan savait qu’il y avait une vie dans l’au-delà. Quand un Formien mourrait, il ressuscitait. Si jamais Kerrigan devait mourir, son code génétique, conservé dans les entrailles de la Fourmilière, lui permettrait, tôt ou tard, de renaître. La mort n’effrayait pas les Formiens, ce qui pouvait autant être une faiblesse qu’un point fort. Ils ne craignaient nullement de mourir, car ils savaient que leur vie n’avait que peu de valeurs devant la cause collective, devant une raison qui dépassait leurs égos individuels. Le collectivisme à l’état pur était la définition et la marque de fabrique de la Fourmilière.

Restant silencieuse, Kamori attendait... Et elle n’eut pas trop longtemps à entendre. L’Aiguille sentit la femme être réveillée, et les tentacules la maintenant se resserrèrent un peu, puis d’autres s’approchèrent. Des tentacules roses, certains légèrement humides, vinrent à l’assaut de son corps. Un tentacule se serrait autour de son cou, visant à l’étouffer suffisamment pour qu’elle ouvre la bouche. Un tentacule en profita pour s’enfoncer en elle, venant violer sa gorge, optant rapidement pour une série de violentes et intenses gorges profondes. Un autre s’enfonça entre ses cuisses, venant pénétrer son vagin, et un autre s’approcha de son fondement, s’enfonçant en elle, remontant jusqu’à son colon.

« Il est temps que ton ventre produise de nouvelles larves, Kamori... Sois une gentille fille, et offre-toi à la Nuée ! »

Les tentacules remuaient lourdement en elle. Ils étaient recouverts d’un liquide ressemblant à une sorte de bave, et qui avait pour effet de lubrifier les parois que les tentacules frottaient. Sous les mouvements de ces trois tentacules, le corps de Kmaori se mit à se tendre d’avant en arrière.

Sarah n’en avait pas encore fini avec elle, et, en fermant les yeux, elle lui envoya un message télépathique, afin de la rassurer :

*[MT] Ne te préoccupe pas du regard que ton Dieu pose sur toi, Kamori... Car, maintenant, je suis ta nouvelle religion. C’est moi ta Déesse. Ainsi, ne songe qu’à obtenir ma propre satisfaction ! [/MT]*

Irina, sous ce spectacle, avait un petit sourire enfantin sur les lèvres...

...Elle aussi, elle mouillait.

Le métier d'incubatrice dans cet fameuse fourmilière allait très bien pour l'ancienne nonne, d'ailleurs en parlant d'elle la demoiselle fut plongée au pays des cauchemars et semblait nager en plein rêve visqueux, elle fut tellement lamentable que même si sa mentor devait la croiser un jour, elle en aurait si honte de lui toucher un mot qu'elle refuserait de la voir ni de lui adresser la parole pour le restant des jours. La jeune femme s'éveilla plus tard de ses nuits angoissées par des  mouvements tentaculaire et la fit sortir de sa torpeur, là encore les vers avec leurs salives répugnantes qui l'en recouvrait physiquement lui firent subirent le geste typique et régulier, son corps ne ressentit rien tout comme ses muscles. Un tentacule se contracta contre sa gorge, signe que quelque chose devait normalement s'insérer par la voie orale et elle eut raison car en plus de se faire pénétrer ça et là sur son intimité, la réponse lui vint juste après. Ce manège dura bien des heures et le plaisir en fut comme toujours aussi intense, elle ne savait plus exactement a combien de progéniture devait s'élever le nombre de petits qu'elle a du faire naître depuis son entrée dans le nid mais il était sure qu'elle en avait dépasser le chiffre. Pendant son accouplement tentaculaire, une étrange voix féminine lui parvint télépathiquement en tête, il s'agissait de sa maîtresse qui lui envoyait un message qui disait qu'elle n'avait plus à s'en faire pour ses croyances religieuse  et que désormais, elle ne devait se tourner et ne qu'adorer uniquement que Sarah et personne d'autre, facile à dire qu'a faire mais pourquoi ne pas tenter d'inverser les rôles ? c'est vrai quoi cela fait un moment qu'elle avait ce plan en tête mais elle ne put jamais le mettre a exécution car tout simplement sa conscience mentale en fut tout le temps ébranlée par son quotidien... De plus, elle avait un compte a régler avec la demoiselle formienne car Kamori n'avait toujours digérer sa dernière défaite contre celle-ci et elle fut presque sure qu'elle a du user de fin stratagème durant son dernier combat, sinon elle n'aurait pas gagner aussi facilement et la nonne n'aurait pas reçu une défaite en pleine poire ! Quoiqu'il en soit, elle devait réagir et elle devait réfléchir a un nouveau plan tout en rentrant dans le jeu de la prolifération et de la naissance de nouvelles créature du chaos.

Je comprend et je ne vous décevrais jamais, maîtresse...

Pendant qu'elle se faisait violer comme d'habitude avec des ligaments qui s’incrustèrent dans ses organes génitaux et que d'autres filaments tentaculaires lui entortillèrent les seins de sa poitrine, la prêtresse-Jaeger rougit en déformant une vilaine expression qui peignât son visage, elle se laissa défoncer volontairement sans déployer la moindre signe de résistance mais elle resta surtout très calme pour être sure que son ennemie ne détectait rien d'alarmant en elle car si Kerrigan pouvait lui envoyer des messages mentaux, il était sure qu'elle la percerait à jour si Seika détenait des idées sombres qui pourrait la contrarier et surtout la décevoir et en ce moment, qui sait ce qu'elle pourrait faire d'elle, elle pourrait très bien mourir ou tout simplement que sa maîtresse lui administrerait un autre genre de traitement... Elle ne devait qu'attendre, tôt ou tard, le vent se tournera et là elle aura tout le loisir de se déchainer contre celle qui l'a mise dans cet état et lui faire regretter sa venue au monde. 

En fouillant profondément dans l’esprit de Kamori, Sarah aurait pu réaliser que cette dernière la narguait… Mais elle n’y pensa tout simplement pas, en se disant que, de toute manière, même si Kamori aurait voulu se révolter, elle en aurait été bien incapable. Elle venait d’offrir à Irina un cadeau, mais la Cérébrate n’allait pas pouvoir en profiter tout de suite. Pour l’instant, les tentacules de l’Aiguille se faisaient plaisir, remuant profondément dans le corps de Kamori. Comme les autres Formiens avant eux, ils savouraient ce corps de latex, cette délicieuse poupée dont la peau crissait à chaque fois que les tentacules la prenaient. Grouillant contre elles, ils étiraient ses bras et ses jambes, les enserrant fermement, les écartant, tout en continuant à la violer. Les gorges profondes se multipliaient, entre sodomies et pénétrations vaginales brutaux et rapides. C’était de gros tentacules qui la pénétraient régulièrement, et, pour la nourrir, des tentacules en forme de seringues venaient se planter dans sa chair, diffusant des éléments nutritifs l’aidant à se tenir éveillée. Et, sans arrêt, ils jouissaient en elle, faisant gonfler son ventre. Quand elle était sur le point d’accoucher, un tentacule se retira, laissant à Kamori le soin de pondre ses larves, qui tombaient alors dans un vide noirâtre. Elles atterrissaient en contrebas, dans un liquide verdâtre, une rivière conduisant les larves dans les bassins génétiques où elles seraient fertilisées. Et, dès qu’elle avait fini d’accoucher, un tentacule retournait s’enfoncer dans son vagin, et le spectacle se poursuivait, inlassablement, son corps remuant lentement, entouré de tentacules roses.

Combien de temps se fit-elle ainsi prendre ? Difficile à dire… Petit à petit, les tentacules se multipliaient, un peu plus nombreux, et très chauds, très affectueux… Ils répandaient sur elle une sorte de traînée liquide assez gluante, et se frottaient contre ses paumes, l’invitant à les caresser, encore et encore. Les tentacules de l’Aiguille se concentraient sur cette femme, car elle engrossait rapidement, et, surtout, donnait à chaque fois naissance à beaucoup de grosses larves, fortes et puissantes. Un véritable spectacle, qui continua encore et encore, pendant plusieurs jours.

Si Kamori tournait la tête, et observait les environs, elle pourrait voir d’autres personnes, prisonnières comme elle, donnant régulièrement naissance à des larves. L’Aiguille abritait beaucoup de personnes, et Kamori continuait à se faire prendre, soit en étant en position horizontale, ou en position verticale. Toutes les positions possibles étaient bonnes à prendre, et l’Aiguille continuait à la prendre, sans relâche, jusqu’à ce que Kamori finisse par tomber dans le coma, son corps épuisé par une telle activité physique. Elle s’affaissa ainsi lentement le long des tentacules, sombrant dans un sommeil réparateur…

…

« Debout ! »

L’autoritaire voix arracha Kamori du sommeil. La jeune prêtresse n’était plus dans l’Aiguille, ce dont elle put très vraisemblablement se rendre compte assez vite. Plus aucun tentacule ne la prenait, mais elle était toujours retenue par les poignets et par les chevilles, près d’un mur, faisant face à un curieux spectacle. Sous son nez, il y avait un gros œuf, avec une sorte de bouche en forme de croix à son extrémité, pointée face à la femme. Où se trouvait-elle ? Comme pour répondre à cette question, des bruits de pas se firent entendre sur la gauche de Kamori, et une main bleuâtre vint caresser son ventre.

C’était Irina, qui se mordilla les lèvres de plaisir en contemplant sa nouvelle proie, sa main remontant pour caresser son visage.

« Tu as bien dormi, ma chérie ? J’espère que tu es en pleine forme, toi et ton ventre magnifique… »

Irina caressait ce dernier, et embrassa la femme dans le creux du cou.

« …Car, toi et moi, nous avons un programme très chargé… »

voilà quelques semaines qu'elle avait été conduite a la fourmilière mis a part que les gestes d'attouchement sexuel se reproduisait a l'infini et comme d'habitude, il n'y avait certes aucun changement, la demoiselle fut engrossée pendant des heures et des heures et a chaque fois, elle donnait naissance a une nouvelles portée de larves dégoûtante, il n'y avait seulement le quotidien qui se déroula comme d'habitude et toujours sur l'heure de notre monde, un jour ne pouvant plus se mouvoir et étant contrainte de stopper temporairement ses activités, elle pensa un instant qu'elle aura droit a quelques jours de détente bien méritée mais manque de bol, la bénéficiaire n'avait pas cet chance et on lui raccourcit le temps qui lui fut attribuer pour uniquement une journée, c'est ainsi qu'elle pu enfin dormir avec un sommeil agité mais réparateur, elle rêva qu'elle fut enfin rentrer au bercail après avoir quitter ce cauchemar éternel en retrouvant les siens et surtout sa maîtresse Sakuya, elle fut contente de la retrouver après toute ces années d'attente... Elle la prit dans ses bras sans vouloir la relâcher, elle la regarda longuement depuis le jardin de l'arrière-cour de l'église sous la lumière baignant du soleil du midi puis brusquement, tout s'évapora et fut remplacé par un climat hostile et malsaine, la lumière disparut et fut remplacé par la maigre clarté d'une pénombre, elle et sa mentor furent aussitôt happé par des ligaments vivants et ligoter comme une proie prise au piège sur une toile d'araignée, tandis que quelque chose de gros et d'épais glissa bizarrement sous le pubis, les deux femmes se sentaient nerveuse et angoissée par ce spectacle et se resserrent l'une contre l'autre, tandis qu'une queue suivi d'une autre paire apparurent sur le banc et s'enfoncèrent par les fesses, les deux sœurs rougirent au même moment alors que leurs seins se compressent entre elles. Puis l'obscurité prit le dessus et le festin sexuel commençait pour les deux nonnes, Kamori qui se sentait tellement excitée défit le justaucorps qui masquait la lourde poitrine de sa mentor et lui léchouilla un sein alors qu'Enjou s'agrippait fermement a son apprenti comme si elle craignait qu'elle se fasse engloutir par une bestiole et elle couina quand elle sentit la langue adverse venir la lécher sur sa zone sensible, malheureusement tout début avait une fin et pouvait parfois s’interrompre pour une raison inconnue.

Hmm... ? qu'y a t-il ? ...

La Traqueuse-combattante s'éveilla doucement de son mauvais rêve par une voix féminine et sec et elle se fit caresser par la fille de sa nouvelle maîtresse, elle se tourna ensuite devant un drôle de pot qui fut placer devant elle, un objet organique bien entendue, mais elle ignora a quoi il pouvait bien servir, pendant qu'Irina était entrain de la parcourir sensuellement sur son cou, elle ne quitta pas l’œuf des yeux, elle fit un signe affirmatif de tête et de demanda si la créature qui pullulait a l'intérieur de cet œuf ne serait pas cet bestiole qui s'extirpait violemment du corps de sa victime en repoussant d'un féroce mouvement de tête les os de la cage thoracique ? Sakuya n'en savait rien mais espérait qu'elle pourrait goûter a cet nouvelle montée d'adrénaline et même si cela devait se produire, la nonne ne pouvait que penser si elle disposait ou non de capacités spéciaux de régénération rapide (vu qu'elle avait accouchée d'innombrables monstres, peut-être que maintenant, elle était mi-humaine vu qu'elle aurait du recevoir de l'A.D.N de monstre en elle), tout cela était vraiment excitant surtout !

Irina adorait les Formiens, et elle adorait tout particulièrement les Xénomorphes. Quand elle n’était encore qu’une chercheuse au service de Tekhos, elle avait mené des expériences et des recherches scientifiques sur les Xénomorphes. Ces chasseurs noirs étaient originaires de l’espace, où ils étaient connus de nombreux systèmes stellaires. De redoutables chasseurs stellaires, impitoyables et meurtriers, avec un esprit de ruche, tout en étant très autonomes les uns des autres. C’est en rejoignant les Formiens qu’Irina avait découvert l’origine de ces créatures : une planète solitaire et dévastée où on leur avait voué un culte, avant de disparaître. Même les Formiens, en réalité, ignoraient le passé lointain des Xénomorphes, mais ils avaient réussi à en capturer plusieurs, et à analyser leur patrimoine génétique, puis à l’exploiter, et à l’utiliser. L’esprit d’assimilation de la Nuée avait fonctionné à l merveille, même si l’esprit très indépendantiste des Xénomorphes faisait que, même en étant sous l’autorité d’un Annexien, ils avaient parfois du mal à obéir. C’était pour cette raison que Sarah avait fait d’Irina une Cérébrate, et l’avait affecté presque exclusivement à la surveillance, à l’éducation, et à l’entretien des Chasseurs xénomorphes. Alors qu’elle caressait sa nouvelle pondeuse, Irina avait, dans son ventre, des larves xénomorphes en train de pousser.

L’œuf devant Kamori était en train de se réveiller, et, bientôt, elle allait être ensemencée. Irina caressait son beau ventre en latex, ses hanches, son corps. Elle sentait l’odeur du sexe sur elle, permanente, ne faisant plus qu’un avec son être... Encore une fois, la Reine des Lames avait su trouver une magnifique proie pour la cause, pour la Nuée... Il y avait de quoi être ravie, et, à chaque fois, Irina s’émoustillait des cadeaux que sa Mère lui faisait.

« Dans leur version originelle, les Xénomorphes, quand ils engrossent une femme, naissent au monde en perforant sa cage thoracique, ce qui est mortel... »

Irina se déplaça un peu, et caressa du bout des doigts l’œuf. Il était chaud, et quelque chose palpitait à l’intérieur.

« Fort heureusement, le technogénéticien de la Nuée de la Reine des Lames, Abathur, a modifié cette chose. Les larves xénomorphes sortent désormais par l’orifice traditionnel... Mais en mettre une au monde est très éprouvant, ma belle... Ce n’est pas qu’une simple larve de quelques centimètres... »

Irina estimait nécessaire de la préparer un peu. L’œuf était en train de s’ouvrir... Une fumée s’échappa de ce dernier, délivrant une odeur assez pestilentielle, mais chargée de phéromones. Abathur n’était pas encore très performant pour ce qui concernait les goûts sensoriels humains, ce qu’Irina avait déjà pu réaliser par elle-même.

« Mon Facehugger va venir se coller à ton visage, et te violera la bouche et la gorge, afin de faire pousser en toi la larve... Puis, quand ce sera fait, soit au bout d’un ou deux jours, il s’écrasera sur le sol... Ensuite, tu devras encore tenir quelques jours, et un beau bébé jaillira de ton magnifique ventre. »

Contrairement aux autres Formiens, où on pouvait produire plusieurs larves, un Xénomorphe était long à produire, car on ne pouvait les faire qu’à l’unité, et la période d’incubation durait plusieurs jours, avec trois étapes : la maturation de l’œuf, la gorge profonde par le Facehugger, puis l’accouchement.

« Mais ne t’inquiètes pas, tu n’auras pas le temps de t’ennuyer... Sois prête, ma chérie, il arrive... »

Kamori avait une vue plongeante sur l’œuf, et pouvait voir les couches supérieures de ce dernier fondre. Une improbable créature arriva alors, ressemblant à une sorte d’araignée blanchâtre, qui fit fondre le cœur d’Irina : un Facehugger ! La créature n’attendit guère, et bondit vers Kamori, et se plaqua à son visage avec force, entourant sa tête par ses six petites pattes arachnéennes. Sa « bouche ventrale » se plaqua contre le visage de Kamori, et, depuis cette dernière, un gros tentacule s’enfonça dans la bouche de Kamori, épousant la forme d’une verge, et se perdit dans sa gorge, puis commença des mouvements d’avant en arrière.

Irina, en se mordillant les lèvres, bras croisés, observait pour l’heure ce spectacle... Elle interviendrait après.

La Traqueuse-combattante n'en croyait pas ses oreilles, elle n'avait encore jamais vu ce type de monstres auparavant et d'après ce que la dénommée Irina lui apprenait, cet bestiole n'allait pas lui faire de cadeau, et juste après avoir effleurer ce drôle d'oeuf au toucher, une sorte d'ouverture hermétique s'écarta comme des pétales de fleurs en laissant dévoiler le contenue de l'oeuf, quelque chose bougea dedans et tandis que sa patronne finissait a l'instant de s'expliquer sur les différentes de gestation de cet nouvelle espèce inconnu. Un petit son bizarre figeât alors la prêtresse-Jaeger, elle ne savait pas ce qui allait émerger mais elle ne pouvait pas se mouvoir non plus car ses liens la retenait solidement et lui coupait tout tentative de fuite possible. Elle ne s'y était pas préparer et décidément ces démons de formiennes n'avait pas leurs langue dans leur poches pour flanquer la frousse a leurs nouvelle résidente ! Kamori fut tellement émotionnellement et troublée a la fois qu'aucune voix en sortit de sa gorge, quelque chose se mit soudainement a frémir, Seika put distinguer des sortes de pattes mince et longues qui avait la forme de doigt squelettiques blanc clair mais elle ne vit pas grand chose durant ces quelques secondes qui lui semblait interminables... Brusquement, le "Facehugger" s'extirpa comme une un prédateur qui bondissait a vive allure sur sa proie et sauta droit sur le visage de la nonne sur un saut bien calculé, Kamori n'eu pas le temps de détourner sa tête de coté et fut complètement a la merci de la créature, la bestiole se plaqua littéralement sur son visage et ses pattes jaunes s'accrochèrent sur le contour de la figure sur ses cheveux mauves désordonnée, tandis que la queue de l'alien s'enroula autour du cou de l'humaine pour être sure de ne pas lâcher prise, la Bunen étouffa un cri mais ne rien émettre parce le monstre avait sorti un sorte de long tube de sa face ventrale et le fit entrer jusqu'au fond de la trachée de la jeune femme.

HHHHHHMMMMMMMM.... hhhhmmmmm...

La purificatrice pouvait sentir une étrange matière glisser sur sa langue pour disparaître par le fond de la gorge et bien sure son épaisseur était assez importante pour savoir que même ses dents furent bloqué a cause de ce conduit glauque, elle pouvait toujours bouger la tête mais son crâne eut cependant un point de mouvement limité a cause du poids du Facehugger et aussi a cause de sa fatigue, la demoiselle ne voyait rien et la lumière du jour disparut, elle dut garder les paupière fermées en n'attendant que la créature l'avait enfanter, les palpitation de cet sorte d'arachnides doublèrent alors de cadence, pendant que le viol orale fut en cours de traitement, elle ne savait pas combien de temps mais ce qui est sure c'est qu'elle ne succomberait pas mais elle devra tenir jusqu'au bout, le cordon qu'avait introduit le monstre en elle déversait tout doucement voire lentement un liquide amniotique mais elle ignora ce que pouvait contenir cet consistance qui sortit de l'ordinaire mais naturellement, la seule personne qui connaissait cet infos ne pouvait qu'être que celle qui la gardait prisonnière en prenant plaisir a s'amuser avec celle-ci.

C’était le miracle de la vie. Tout simplement. En voyant le Facehugger violer la bouche de Kamori, Irina voyait l’accomplissement de la vie. Il était merveilleux et formidable de voir comment la vie trouvait toujours un moyen de s’affirmer, même si le cas des Xénomorphes était très particulier. Leur origine était sujette à caution, et, ce qu’Irina avait remarqué, c’était qu’un Xénomorphe ne pouvait pas se reproduire sans fertiliser une autre espèce. C’était étrange, car la sélection naturelle voulait qu’une espèce incapable de se reproduire entre ses propres membres finisse par disparaître. Pour autant, les Xénomorphes existaient, et avaient jadis été une espèce civilisée, si on en croyait les ruines archéologiques retrouvées ici et là sur certaines planètes mortes. Leur passé était nimbé de mystères, et même les Formiens n’avaient pas la réponse. Tout ce que la Fourmilière pouvait fournir sur cette race, qui passionnait Irina en tout point, était un éclairage génétique. Ce qu’Irina avait ainsi découvert, c’est qu’il existait plusieurs types de Xénomorphes, l’ensemble formant une société très structurée :

• Les Drones, constituant les Xénomorphes classiques, dont la fonction était un peu globale. Ils étaient les ouvriers, trouvant des proies, tuant leurs ennemis. Exclusivement de sexe masculin, les Drones avaient ainsi pour but de surveiller un territoire en tuant tout étranger, ou en capturant toute proie utile pour le nid ;
  
  
• Les Runners, des sortes de Xénomorphes se déplaçant à quatre pattes, et qui étaient utilisés pour sortir des territoires sécurisés. Les recherches d’Irina avaient permis d’établir qu’ils pouvaient avoir servi de messagers entre plusieurs colonies, ou plus vraisemblablement d’éclaireurs, envoyés pour chercher de nouvelles colonies. Ils étaient, eux aussi, exclusivement de sexe masculin ;
  
  
• Les Reines. Une Reine était à la tête d’une colonie, dirigeant tous les autres. Les Reines étaient exclusivement de sexe féminin. Elles étaient bien plus grandes que les Drones, beaucoup plus dangereuses, et étaient aux Xénomorphes ce que l’Annexien était à la Horde de Formiens : un chef. Si on tuait la Reine, toute la colonie se désagrégeait, car l’esprit indépendantiste et cruel des Xénomorphes se réveillait.

Des études passionnantes, qui avaient confirmé à Irina que les Xénomorphes étaient une créature biologiquement parfaite, nonobstant leur impossibilité à se reproduire par eux-mêmes, qui faisait d’eux une espèce de prédateurs par excellence. Une race marquée par un fort dimorphisme sexuel, comme les araignées, dans la mesure où les Xénomorphes femmes étaient appelées à devenir Reines, et qu’on ne pouvait donc trouver qu’une seule Xénomorphe au sein d’une Ruche. Si une autre femelle poussait, la Reine en place voudrait immédiatement la tuer afin d’éviter qu’elle ne devienne une rivale.

Irina voyait donc Kmaori gémir en se tortillant lentement, et la Cérébrate se rapprocha. Le Facehugger était vivant, et la main d’Irina caressa son dos, avant qu’elle ne dépose quelques baisers sur lui. Une bave s’échappa de son ventre, recouvrant ainsi le visage de Kamori, coulissant le long de son menton, destinée à protéger sa peau d’éventuelles irritations liées à cette ponction intense et agressive.

« Oh, ma belle... » soupira Irina.

Elle posa ses mains sur ses hanches, et fit pousser une verge entre ses cuisses, qu’elle utilisa pour pénétrer la femme, enfonçant son membre dans son corps tout en soupirant, griffant sa tenue en latex... Ou, plutôt, sa peau en latex.

« Haaaaaaaaaaaaa... Ouuuuiiii !! »

Contrairement à sa Mère, Irina était une fille très expressive, et elle comptait bien s’occuper avec tout l’amour possible de la belle Kamori !

La chaleur que la jeune femme recevait sur son visage fut si intense qu'on pouvais dire que celle-ci suait a grosse goutte, mais plus encore elle ne pouvait rien voir de ce qui se passait car sa vue fut totalement masquer par cet espèce de bestiole vivante, jamais elle n'aurait cru se retrouver un jour dans une pareil situation mais il fallait qu'elle s'instruise auprès de d'autres enseignant et expérimentée en la matière qu'était l'art et les mystères encore non répertoriée du domaine sexuel. Elle avait couchée et accouchée avec différente créature variable et mit au monde plein de petits monstres répugnantes les unes que les autres mais faire naître un alien en captivité fut sa première expérience quelle trouva enrichissante mais pour pour le moment la nonne n'était pas sortie de l'auberge, elle sentit le monstre déverser en elle le liquide embryonnaire qui devait servir a mettre bas a sa nouvelle progéniture mais le "Face-hugger" le fit très lentement et ne le finissa pas en une seule giclée. Elle ne pouvait pas non plus définir l'anatomie de base d'un de ces monstres une fois qu'ils auront atteint l'age adulte (étant donné quelle n'en avait jamais vu) mais elle se faisait une petite idée via son imaginaire. La prêtresse-Jaeger sentait que les membres de son corps s'engourdissait au fur et a mesure qu'elle se trouvait immobile avec ces lianes et sa circulation sanguine en prit un coup... Elle agita désespérément ses mains face a sa maîtresse Irina en bougeant ses doigts gantés pour lui faire comprendre qu'elle n'en pouvait plus sinon son cerveau ne serait plus irrigué par le sang et elle pourrait faire une syncope et  tombé dans le coma avant de faire germer l'alien dans son organisme, elle ignora si celle-ci l'a remarquer ou non mais elle espéra qu'elle l'avait vu et qu'elle l'a libérera si possible et de poursuivre la manœuvre en étant allonger au sol sans aucune entrave supplémentaire...

(...)

La Bunen sentit encore quelque chose se passer de nouveau, cet fois-ci cela se déroula sur le bas-du-corps, alors que l'angoisse l'envahit, une forme bizarre semblait vouloir la pénétrer d'abord doucement puis petit a petit avec plus de vigueur, la jeune femme ne pouvait s’empêcher de sentir l'excitation monter a vitesse grand V et elle sut juste après qu'il s'agissait d'Irina, il faudrait qu'elle y aille mollo parce que sinon, elle risquerait de lui déchirer son organe génitale mais au moins, elle partageait déjà un moment d'extase et elle ne s'en plaignait pas, au contraire elle le savourait très bien mais sa position inconfortable ne lui permettait pas malheureusement de se sentir plus a l'aise dans ses mouvements et elle avait besoin de plus d'espace et de liberté pour se faire.