Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

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Dextra-Senestra

Humain(e)

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    Description
    Deux jeunes lycéen de Seïkusu, un petit frère au coeur sur la main et une grande soeur insupportable et jalouse.
    
    Senestra est un jeune homme athlétique, travaillant dans un restaurant italien et versé dans la pop culture japonaise. Il vit avec son pc quand il n'a rien à faire.
    
    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 45 mercredi 04 mars 2015, 17:38:17

« Hmmm... »

L'entendre gémir le faisais frissonner de plaisir, savoir qu'elle appréciait ce qu'il lui faisait étant en soi une victoire pour l'homme qui était de plus en plus conquis par la jeune femme en face de lui. Il s'amusait avec le corps d'Amélie, pouvait ressentir à quel point elle était réceptive, et dans le fond cela lui permettait d'être de plus en plus osé, ses mordillements, ses lèches et ses baisés sur sa poitrine commençant à devenir bien plus insistant qu'avant, à mesure que sa confiance en lui grandissait. Quand il sentit sous le tissu du soutien-gorge rose de l'étrangère que sa poitrine s'était un peu durcie, et que ses tétons venaient à pointer fièrement dû à l'excitation, il ne put s'empêcher de venir glisser sa main sous la mince protection, et ses doigts vinrent palper avec envie ce bel orbe de chair à la douceur captivante, ses doigts venant caresser à la fois sa peau chaude et l’extrémité durcie, sur laquelle il perd d'ailleurs un long temps à jouer avec du bout des doigts.

Emporté dans son envie de lui faire plaisir, il fut surprit en sentant les doigt frais de la jeune femme se poser lentement autour de son sexe palpitant, frissonnant avant de la regarder avec un léger sourire, le contact étant tout aussi agréable qu'il était attendu. Et les gémissements qu'elle poussait l'hésitation dont elle aussi pouvait faire preuve de temps à autre, c'était si... si...invitant  ? Excitant ? Il ne savait pas comment le définir, cette impression qu'il ne pouvait plus se détacher d'elle tant le désir était fort, qu'il ne pouvait plus s'arrêter parce que son corps s'était de toutes manières détacher de lui pour agir à sa façon, sans attendre de nouveaux ordres de la part de son cerveau. Il voulait plus que tout qu'elle soit à lui, qu'elle ne pense plus à rien d'autre que lui tandis que lui-même ne pensait plus à rien d'autre qu'à elle, toujours plus hardi dans ses avances, toujours plus sur dans ses gestes, jusqu'à ce qu'il ne puisse clairement plus revenir en arrière, enivrés par le contact de l'autre et le besoin de se sentir avec, peau contre peau.

« Haaaa... Ouiii, ouiii, haaaannn... Encore, Senestra, encore, hummmm...
 -  Je ... Je ne risque pas de m'arrêter, répond-t'il avec un sourire heureux. Bien au contraire. »

Il s'écarte un tout petit peu d'elle, puis use un tant sois peu de ses abdos pour se maintenir droit tout en libérant le bras qui lui servait de trépied un peu plus tôt, et va pour dégrafer le soutien-gorge de sa belle demoiselle, ses doigts glissant dans le dos de la jeune femme avec délicatesse jusqu'à ce qu'il trouve l'intersection si problématique selon les ragots sur le net et les quelques commentaires rageurs de Dextra. Très honnêtement, c'est clairement par chance, mais il met un temps infime à trouver la technique pour ôter la protection de tissu d'Amélie, et il la retire lentement pour libérer la belle poitrine de l'étrangère, posant le tissu sur son lit avant de revenir à l'assaut de cette chair délicieuse, un main à nouveau pour le soutenir et l'autre sur l'un des deux seins, l'autre subissant déjà de petits coups de langue bien concentrés sur son téton excité. Toutefois, et c'est peut-être à la fois pour le meilleur comme pour le pire, mais il a encore et toujours plus envie d'elle, et malgré leur élégance, les beaux attributs d'Amélie ne sont plus assez pour le satisfaire, même si il continue de les stimuler avec envie.

« Cela ta plait... ma douce Amélie ?... Moi j'adore. Tu es si belle, si délicieuse, ça me rend dingue. »

Il sourit et cesse ses caresse un moment pour aller caresser doucement son visage, et venir l'embrasser avec passion, le regard enfiévré par son désir pour elle plongé dans le sien, et sa langue venant délicatement cueillir la sienne pour la faire danser avec douceur entre leurs lèvres. Et pour le coup il cesse encore une fois de se servir de son autre-bras comme maintien pour venir caresser doucement le bas-ventre de la jeune femme, sans pour autant encore aller vers son jean, ne prodiguant que quelques caresses le temps que le long baiser leurs fasse perdre encore un peu plus leur souffle, puis quand il s'écarte, il l'observe tendrement en faufilant lentement ses doigts sous le vêtement de la femme qui le passionne temps, cherchant à titiller encore un peu plus son désir. Finalement sa main se glisse dans son pantalon pour venir caresser, au travers de son tissu aux couleurs de l'Union Jack, l'intimité de la belle demoiselle, si bien qu'il sent rapidement l'humidité dont est affecté cette mince surface de tissu et sourit, venant la taquiner un peu.

« Tu es... dans un sacré état, n'est-ce pas ? »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 46 samedi 07 mars 2015, 03:15:36

Le sexe était quelque chose qui impressionnait Amélie, et, par ce mot, elle entendait, outre le sexe en lui-même, le membre phallique. Ce sexe masculin l’effrayait et l’attirait, provoquant en elle répulsion et fascination, sans qu’elle ne puisse vraiment se l’expliquer. Elle se tenait contre lui, et laissa l’homme continuer à la déshabiller. Avec Senestra, elle avait bien compris que tout serait lent, mais ce n’était pas pour la déranger. De cette manière, elle avait le temps d’apprécier, de sentir le désir et la frustration monter. C’était tout ce qu’elle souhaitait. Lentement, l’homme réussit à retirer son soutien-gorge, peinant à le dégrafer, et, quand la tenue glissa, Amélie soupira lentement. Ses seins étaient étonnamment lourds et douloureux, et, quand Senestra s’y attaqua, Amélie ne put s’empêcher de gémir, fermant les yeux en sentant ses seins être comblés... Puis son gémissement mourut quand l’homme releva la tête, et l’embrassa.

« Hmmmmm... !! » soupira-t-elle.

Les joues rouges, elle répondit à son baiser, sa main venant se crisper sur ses cheveux. Soin corps se serrait contre le sien, et elle pouvait sentir les muscles de l’homme sur son corps, la serrant et l’empoignant. C’était... Particulièrement agréable, délicieux et jouissif. La Française soupirait longuement, et, une fois le baiser rompu, elle se coucha sur le lit, et laissa les mains de l’homme caresser son corps. Les sentir frotter sa peau était particulièrement délicieux, toujours très agréable. C’était la preuve qu’elle était belle, la sensation qu’elle était désirable, qu’elle était un beau bourgeon ne demandant qu’à éclore, une fleur qui ne demandait qu’à être récoltée. L’homme finit par glisser sa main sous son jean, la rapprochant de son string, également rose, tout comme son soutien-gorge. Amélie continuait à soupirer, et se sentait de plus en plus joueuse.

Il se mit à lui parler, en constatant que sa culotte était en train de s’humidifier, de chauffer lentement.

« Tu es... dans un sacré état, n'est-ce pas ? » demanda-t-il simplement.

Elle lui sourit, et, sans répondre sur le coup, roula sur le lit, se délaissant des doigts de l’homme. Amélie se retrouva debout, et, face à l’homme, entreprit de rapidement défaire son jean. Le vêtement glissa le long de ses jambes, et elle finit en petite culotte. Sa respiration était lourde et profonde, et, effectivement, elle portait un string rose avec le motif du drapeau anglais dessus. Elle s’humecta les lèvres, et retourna sur le lit, se couchant sur le ventre, s’étalant sur le lit, puis tourna la tête vers l’homme, un sourire sur les lèvres. Amélie ne disait toujours rien, et remua les jambes.

« Autant que toi, je dirais, Senestra... »

Elle n’avait quasiment jamais fait l’amour, en fait, sa seule expérience sexuelle se limitant à un viol. Ce qu’elle vivait ici était un exorcisme. Et c’était à Senestra qu’elle le devait.

« Comment tu trouves mes fesses, Sen’ ? » demanda-t-elle alors.

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

Humain(e)

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 47 jeudi 12 mars 2015, 00:58:12

Le désir du jeune homme commençait doucement à prendre le pas sur sa naturelle timidité, au point que celle-ci se mit lentement à s'effacer quand il eut vraiment à sa disposition le corps de la belle, sa poitrine rebondie, sa taille fine, qu'il caressait, palpait et taquinait avec autant de fascination que de douceur. Pour l'homme qui avait une habitude sérieuse à se laisser guider par les autres en de nombreuses occasions, jugeant souvent que rien de ce qu'il ne choisirait saurait satisfaire tout les parties, il était pour le coup bien directif dans ses mouvements, sans pour autant se faire pressant. Disons qu'ils faisaient finalement des choix car il sentait qu'il ne pouvait pas se permettre de décevoir la charmante jeune femme avec qui il se trouvait, et que cela passait obligatoirement par le fait de faire des choix, plus ou moins valables, plus ou moins intéressants, mais qui au moins puisse les satisfaire tout les deux, alors que l'excitation les gagnait avec force.

Quand il la taquina sur son état, il se serait bien amusée de la voir rougir, de la voir gênée, mais cela ne semblait pas vraiment exister en cette belle demoiselle, relativement forte de caractère dans le fond, et elle lui renvoya plutôt un de ses sourire à faire fondre la glace, touchant le jeune homme en plein coeur alors que ses joues rosirent de nouveau, tel un effet boomerang. D'ailleurs même si il la caressait, elle s'écarta de lui sans violence, et il se demanda honnêtement ce qu'elle avait en tête quand elle le fit, avant de la voir lentement se déshabillée devant lui, laissant tomber le jean au sol et s'en séparant sans la moindre gêne alors que lui était encore pleinement habillé, même si ses affaires étaient en partie ouvertes, notamment son pantalon d'où sortait une verge fièrement dressée, et désormais particulièrement douloureuse tant elle était dure d'excitation, la vu du corps quasiment nue de la jeune femme la rendant d'autant plus désirable qu'il sentait qu'elle était encore en train de jouer avec lui !

« Autant que toi, je dirais, Senestra... »

Ce n'était pas faux, il n'y avait bien que sa retenue et sa politesse qui l'empêchait de sauter sur Amélie vu son état actuel, car nombres d'hommes de son âge ne se serait surement même pas questionner dans de tels situations, et auraient vite fait de la jeune femme le fourreau de leur lame. Sauf que voilà, là il s'agissait du jeune lycéen, et quand elle le taquinait, quand elle s'interdisait à lui, quand elle se mettait hors de sa portée pour lui faire envie encore et toujours, alors il jouait le jeu, attendant au loin, la dévorant du regard, laissant son coeur battre comme un fou et ses mains tremblées d'envies de la récupérer contre lui pour se l'approprier. Même là, tout juste allongée près de lui, elle était à la fois lointaine et proche, elle l'invitait à venir conquérir son corps et en même temps elle semblait vouloir autre chose, quelques jeux dont il ne comprenait pas la pleine profondeur. Mais une chose est sure, cette frustration d'être coupée mais d'avoir toujours l'objet de ses désirs à porter, cela rendait l'homme tellement désireux que le charme opérait sans mal, le paralysant d'envie.

« Comment tu trouves mes fesses, Sen’ ?
 -  Tes fesses ...? »

Il rosit et écartes instinctivement le regard, cela le mettant bien dans l'embarras pour le coup. Il se rappelait avoir lu un livre en littérature étrangère où l'un des protagonistes demandait ce genre de choses à un autre alors qu'ils dégustaient une liaisons des plus douteuses, mais il ne se souvenait pas de la réponse qu'il avait faites, et en plus il se doutait que si la jeune femme était sur le lit à le provoquer ainsi, ce n'était surement pas pour recevoir une réponse que n'importe quel intello un peu siphonné du ciboulot pourrait lui sortir quasiment immédiatement. Donc elle attendait quelque chose de personnelles, mais il ne savait pas quoi dire qui ne soit ni vulgaire, ni pervers, ni bateau, ayant vraiment du mal dés qu'il s'agissait d'exprimer un avis, alors si en plus il fallait rajouter le fait que ce soit un peu érotique et sensuel, il était perdu.

« Eh bien... Elles sont encore trop couvertes à mon goût, mais elles me semblent bien belles et ... »

Il s'approche doucement d'elle pour la surplomber, sa main allant caresser l'une de ses fesses délicatement alors qu'il vient expirer chaudement à son oreille :

« ... si douces au toucher. »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 48 dimanche 15 mars 2015, 01:56:23

Délurée, Amélie se laissait aller, sans désormais sentir cette gêne habituelle qu’elle s’attendait normalement à recevoir quand la question tournait sur le sexe. Si Senestra l’avait su, il aurait probablement chaleureusement remercié Mishi, dont les multiples anecdotes et remarques sexuelles lui avaient permis de la décoincer, et de lui ouvrir les yeux sur tout le côté burlesque du sexe. Mishi était une prostituée, mais n’éprouvait aucune honte à l’idée de sucer des queues... Et ce d’autant plus que, généralement, elle ne suçait pas grand-chose. Il suffisait qu’elle appose ses lèvres pour que l’homme, déjà tremblant d’excitation à l’idée de coucher avec une inconnue, ne balance la sauce. Mimi’ l’avait rassuré, et Amélie pensait que, si elle était presque nue dans la chambre de cet inconnu, étalée sur son lit, c’était en partie à cause de ça. Mentalement, elle-même était en train de la remercier. Tournant le dos à Senestra, elle restait couchée sur le lit, en sentant, en elle, les tréfonds du plaisir naître et pousser, comme des graines qui se seraient transformées en arbres.

La Française se mordillait les lèvres en remuant de droite à gauche. Outre le fait qu’elle allait faire l’amour, et que ceci l’excitait énormément, ce lit confortable était aussi très agréable. Il n’avait rien à voir avec le matelas de leur refuge. Il était dur, solide, ferme, sans aucune bosse, et sentait bon. Ici, il n’y avait pas de risques de se réveiller en sentant des rats lorgner sur vos couvertures. Amélie frottait son nez contre l’oreiller, et sentit l’homme se rapprocher de sa croupe, de ce délicat fessier, recouvert par sa culotte rose fluorescente. Elle le sentait s’approcher de lui, son souffle sur sa peau, et entendit ce dernier lui parler :

« Et bien... Elles sont encore trop couvertes à mon goût, mais elles me semblent bien belles et ... »

Il laissa sa phrase en suspens, et Amélie sourit, tête penchée sur le côté. Ses belles dents blanches étaient rayonnantes, et il se redressa contre elle. Sa main s’appuya sur ses fesses, et elle soupira, sentant ensuite sa bouche s’approcher de son oreille, son torse glissant contre son dos.

« ...Si douces au toucher.
 -  Hmmm... » gémit-elle en entendant sa réponse.

Elle se pinça les lèvres, encore, et se tortilla de gauche à droite, prisonnière de ce dernier. Elle était coincée entre lui et le lit, coincée entre le marteau et l’enclume, entre son désir et le sien. On pouvait l’entendre soupirer. Cette main insolente sur ses fesses était provocante, perverse... Et terriblement jouissive. Amélie se mordilla les lèvres, puis se pencha sur le côté.

« Et bien... Tu n’as qu’à la retirer, Senestra, si cette ficelle te gêne tant... »

Tout simplement.

DC d’Alice Korvander.

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    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 49 lundi 16 mars 2015, 10:27:27

Ses mains étaient attirées par le corps de la demoiselle à ses cotés, et plus le temps passait plus il devenait particulièrement compliqué de s'empêcher de revenir à l'assaut, d'apposer à nouveau ses doigts sur sa chair réchauffée par le désir, de se rapprocher à nouveau des courbes délicieuses qu'elle possédait. Senestra n'arrivait tout bonnement pas à se tenir, il était envahi par une envie des plus dévorantes envers la belle Amélie et malgré le fait qu'il était honnêtement une des personnes qui normalement à le plus grand mal à agir selon ses propres volontés, à cause notamment de sa timidité et son respect des autres, il n'arrivait tout bonnement pas à rester calme quand il la voyait le provoquer, le taquiner, il fallait absolument qu'il réagisse, qu'il lui réponde avec plus d'audace qu'elle même n'avait fait preuve. Et là, à l'avoir sous lui, à la sentir avoir de plus en plus de mal à respirer normalement, tout aussi excitée que lui à la sensation de leurs deux corps l'un contre l'autre, il était au bord de perdre le contrôle à nouveau... Et elle n'allait pas l'aider franchement !

« Et bien... Tu n’as qu’à la retirer, Senestra, si cette ficelle te gêne tant...
 -  Si même toi tu m'invites à le faire, je ne vais pas me gêner, en effet. »

Comme une petite pique avant de s'y atteler, il lui mordille cette oreille si proche de ses lèvres, passant légèrement sa langue dessus avant de se relever lentement pour l'observer de nouveau à une certaine distance, rougissant de plus belle en contemplant de nouveau la beauté de la française dans son ensemble, son coeur ayant même l'occasion de bondir un grand coup dans sa poitrine en lui rappelant que c'était l'une des premières choses qui l'avait fait craquer quand ils s'étaient rencontrés. L'étrangère l'avait charmée, pas qu'à moitié d'ailleurs, et même si il lui avait fallut un certain temps pour s'en rendre compte et osé l'accepter pour chercher à la conserver à ses cotés pour un moment de plus, il était vrai que désormais qu'il l'avait pour lui il ne savait plus vraiment quoi faire, surtout quand Amélie lui faisait encore découvrir à quel point elle le tenait en partie sous son pouvoir. Car oui, vu son état, il ne doutait pas que l'on puisse presque parler de sorcellerie quand au charme que la française possédait.

Puis il revint à la réalité et se rapprocha de nouveau d'elle, venant embrasser la courbure du dos de sa demoiselle alors que ses mains glissèrent doucement le long de ses hanches avant d'attraper le tissu du dernier vêtement qu'elle portait encore, commençant à l'attirer lentement vers le bas pour dévoiler les dernières parties du corps de la jeune femme que le lycéen n'avait pas encore put contempler. Ses baisers descendirent au même rythme jusqu'à ce qu'il arrive à ses fesses, l'homme se relevant alors pour finir son mouvement et faire quitter le sous-vêtement des jambes de la jeune femme allongée sur le lit, l'ayant donc finalement mise complètement à nue devant lui. Cette simple tellement excitante fit parcourir dans son corps de longs frissons, et il imaginait très bien l'état d'Amélie aussi, si bien qu'un peu joueur, il se déplaça pour se mettre au dessus d'elle, à quatre pattes pour ne pas être collé à elle, puis main vint passer lentement le long de sa colonne vertébrale, l'homme cherchant à la faire frissonner.

« Alors ? Qu'est-ce que ça fait d'être mise à nue ma belle Amélie ? »

L'écoutant répondre, il commença à ôté son propre haut, qu'il trouvait décidément bien trop gênant à force de devoir le porter alors qu'il ne voulait que sentir le corps de sa belle demoiselle contre le sien, et ce n'était d'ailleurs pas la plus simple des expériences à faire, l'homme se débattant un peu avec ce simple vêtement étant donné que l'enlever à une seule main n'était pas des plus pratiques. Cela fait, il le jeta sur le sol près du lit et s'approcha lentement d'elle pour se plaquer contre son dos, son torse au contact de la peau de la demoiselle, frottant légèrement le temps qu'il s'installe au dessus d'elle et vienne embrasser tendrement son épaule, sa main libre venant caresser le flanc de la charmante française en remontant, le bout de ses doigts venant alors frôler les seins de la femme avec douceur. Il commençait à avoir du mal à respirer normalement, l'excitation étant à son comble, et pourtant il ne voulait pas encore faire cesser ce doux instant de jeux et de taquineries, cherchant à nourrir encore et toujours le plaisir de son "invitée".

« Aurais-tu d'autres questions Amélie ? Ou dois-je poser les miennes ? »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 50 lundi 23 mars 2015, 01:24:48

Allongée sur le lit, Amélie sentait l’homme se presser contre elle. Elle prenait des risques avec lui, car elle lui offrait l’accès à son sanctuaire, à l’endroit le plus intime qui puisse être chez une femme. Ses lèvres se posaient sur son dos, l’embrassant lentement, et, pendant ce temps, ses doigts jouèrent sur la ficelle de sa culotte, tirant en arrière. Amélie se crispa un peu en sentant le tissu glisser le long de ses fesses, et se pinça les lèvres, poussant un léger soupir de plaisir, partiellement étouffée par l’oreiller. Le string rose glissa ensuite le long de ses jambes, lentement. Senestra la découvrait, l’explorait, et, pendant ce temps, il se déshabilla également. En tournant la tête, désormais nue, Amélie put le voir ôter ses vêtements du haut, dévoilant son torse glabre et alléchant à voir. Elle sourit, et laissa ensuite l’homme retourner sur son corps. Il s’installait lentement sur elle, délicatement, comme s’il avait peur de lui faire mal, de l’abîmer, de la froisser. Il s’étala sur elle, et, encore une fois, elle sentit une bosse se frotter contre ses fesses. Sa bouche se rapprocha ensuite de son épaule, et il l’embrassa encore, tendrement. Elle était toujours couchée sur le dos, et remua un peu en sentant une main se relever, pour aller empoigner l’un de ses seins, la faisant soupirer longuement. Un délicieux murmure qui s’échappa de ses lèvres.

« Alors ? Qu'est-ce que ça fait d'être mise à nue ma belle Amélie ? lui demanda-t-il.
 -  Hmmm…, gémit-elle. C’est… Agréable. Surtout sur des draps aussi confortables… »

La Française continuait à soupirer et à remuer sur le lit, sentant le plaisir éclater, alors que l’homme se lovait dans son dos, attentif et impatient. Il était de plus en plus excité, ce qu’elle pouvait clairement sentir dans le souffle approfondi de sa voix. Il avait du mal à respirer, emballé qu’il était par le corps magnifique qui se trouvait contre lui. Amélie ne pouvait que le comprendre, car elle-même sentait les oscillations, les excitations, formant comme des impulsions vibrantes et pulsantes. Sa respiration emballée et nerveuse était le signe de son emballement.

Il finit par enchaîner, alors qu’Amélie, elle, se faisait à l’idée qu’elle allait faire l’amour. Est-ce que ça l’effrayait ? Oui, bien entendu, mais… Pas autant qu’elle l’aurait cru. Elle s’était attendue à être tétanisée, totalement bloquée, ou, inversement, dans un état de grande agressivité. Au lieu de ça, si, certes, sa respiration était emballée, elle arrivait tout de même à conserver son calme, une certaine maîtrise d’elle-même. Se pinçant les lèvres, la jeune femme se détendait, et ses seins, eux, lui faisaient mal. Ses tétons pointaient vers l’avant, glissant entre les doigts de son amant, qui portait encore son pantalon, dissimulant ainsi l’accès à cette verge, qu’elle ne pouvait s’empêcher de visualiser dans sa tête… Ça, ainsi que ce qui allait vraisemblablement se passer après. Il était maintenant bien trop tard pour faire marche arrière, elle allait devoir suivre le rythme, ou être larguée en plein vol.

« Aurais-tu d'autres questions Amélie ? Ou dois-je poser les miennes ? »

D’autres questions ? Quelles questions avait-elle déjà posé ? Son esprit s’embrouillait, et elle se retourna lentement, délicatement, laissant l’homme toujours contre elle, son torse heurtant ses seins, la chair rencontrant la chair. Leurs yeux se croisèrent, et ses mains se posèrent sur ses épaules. Entrouvrant les lèvres, elle remonta sa main pour empoigner ses cheveux, et l’embrassa, pour seule et unique réponse. Un baiser onctueux et savoureux, où elle se mit à soupirer et à gémir, et dans lequel elle n’hésita aucunement à glisser sa langue, jouant avec celle de Senestra.

« Hmmmm… »

Amélie finit par rompre le baiser au bout de longues seconds, et lui sourit tendrement :

« Je crois en avoir fini avec les miennes, Sen’… »

Pour elle, l’heure des mots était passée, elle n’avait rien dans sa tête qui puisse avoir la forme de mots.

DC d’Alice Korvander.

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 51 mercredi 25 mars 2015, 18:41:21

« Hmmm… C’est… Agréable. Surtout sur des draps aussi confortables… »

Il souriait, heureux de l'entendre dire cela, le rassurant aussi un peu étant donné que la femme semblait perpétuellement sur un fil tendu, naturellement, Et finalement il n'en prit qu'une peu plus ses aises au dessus d'elle, frottant sensuellement leurs corps à mesure qu'il prenait plaisir à se placer au dessus d'elle, à prendre possession du corps de celle qu'il convoitait. Son coeur battait la chamades, et étant donné les réactions et les propos de celle qui se trouvait en dessous de lui, il ne doutait pas qu'elle était bien de le même état de fébrilité que lui, tiraillée entre ce désir si profondément ancré en elle, et cette crainte de ce qui allait se produire quand ils allaient enfin faire le pas pour s'unir, surement l'une des choses qui rendait Dextra particulièrement hésitant à l'instant. Mais comme il l'avait assumé plus tôt, il comptait bien mené lui même la danse pour le coup. Il voulait être celui qui allait la conforter, la mettre en confiance, puis la ravir de toutes les façons dont elle pouvait l'espérer. Il était dédié corps et âme à elle, et allait tout faire pour ne pas la décevoir.

C'était aussi un peu pour cette raison qu'il avait demandé si elle avait encore quelques questions à lui poser, si elle était encore hésitante sur quelques points et qu'elle désirait en parler avant qu'ils ne passent vraiment tout les deux à l'acte, encore une fois pour la simple et bonne raison qu'il était prévenant envers celle qu'il appréciait tant. Il avait commencé à la comprendre un peu mieux depuis qu'ils étaient tout les deux dans cette chambre, c'était quelqu'un d'aussi forte et fière que fragile, même si tout cela était clairement bien caché derrière une bonne dose d'orgueil et d'estime de soi, rendant le tout bien difficile à voir au premier regard, c'était une chose qui une fois découverte rendait la jeune femme encore plus touchante qu'auparavant, et c'était notamment ce qui donnait tant envie au jeune homme de la protéger, de la combler aussi. Elle était précieuse, quelqu'un qui ne cherchait pas la protection mais la méritait, une protection émotionnelle, à la solitude, ou aux durs maux qu'elle devait connaître au dehors.

Et un nouveau baiser vint effacer tout sa belle pensée bien structurée, la rappelant à l'ordre :

« Hmmmm… »

D'accord, il avait compris le message, l'heure n'était plus aux questionnements, ni encore à la moindre petites demande à peine insinuée, le temps était à l'acte, et comme il l'avait lui-même si bien dit, il était de son devoir d'être celui qui engagerait le mouvement. Toutefois il ne coupa clairement pas court au baiser au profit de ce rappel à l'ordre silencieux qu'elle lui faisait, profitant avec envie et désir de cette chair goût cerise qu'elle venait si tendrement de lui offrir, répondant aux passions de la belle sans hésitation tandis qu'il usa de sa main libre pour commencer à se libérer de son pantalon tout aussi maladroitement qu'il avait put le faire avec le string d'Amélie, semblant clairement avoir du mal à déshabiller d'une seule main. Quand enfin ils se séparèrent l'un de l'autre pour se regarder sans un mots, le jeune homme crut encore une fois qu'elle allait le happé dans son doux regard, et son coeur ne fit qu'un bond dans sa poitrine pour un court instant, laissant le jeune homme entre deux mondes le temps que la française lui réponde.

« Je crois en avoir fini avec les miennes, Sen’…
 -  Alors je crois que je n'ai qu'une question à posé dans mon cas, mon adorée Amélie... »

Il se redresse pour le coup et finit d'ôter ses vêtements, rejetant d'abord au loin son pantalon des plus banales pour le laisser choir au sol lourdement, puis d'enlever de la même manière son caleçon, libérant son sexe de ce carcan de tissu pour finalement apparaître tout à fait nu devant sa  belle compagne. Dans le fond, il était plutôt pas mécontent de ne pas être un de ceux qui complexait énormément sur leurs capacités sexuelles, n'ayant du coup pas de problèmes à se révéler devant la charmante française, et ne doutant pas des prouesses qu'il allait pouvoir mettre en oeuvre pour elle, sachant q'il fera de toutes manières tout ce qu'il peut pour le bonheur de celle chère à son coeur. se rapprochant d'elle comme plus tôt pour aller lui parler à l'oreille, il préféra même jouer un tout petit peu avant, venant mordiller gentiment ce petit bout de chair à portée de ses lèvres tout en passant le bout de sa langue dessus, puis chuchotant avec tout le désir qu'il avait en lui de prendre possession d'elle.

« Te sens tu prête pour ce qui va suivre, ma belle ? »

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 52 dimanche 29 mars 2015, 01:41:50

Les choses sérieuses étaient bien entamées. Maintenant nue, Amélie était face à lui. Si Senestra n’avait pas encore pu le voir, quand son regard se porterait sur le sexe de la Française, il pourrait constater qu’Amélie était épilée. Elle suivait discrètement les consignes de Misha sur la question de l’épilation. Cette dernière lui avait expliqué comment faire, et Amélie, quand elle était seule dans leur repaire, avait, elle aussi, utilisé un rasoir… Le sien, pas celui de Mimi’, même si elle utilisait ensuite la mousse et les produits de sa copine. Elle s’était ainsi épilée, et le faisait régulièrement, sans trop savoir pourquoi. Elle se disait que ça la calmait, que ça l’aidait à se détendre, à relativiser. La peur du sexe était toujours là, palpable, résiduelle. Amélie était en train de l’exorciser, et, allongée sur le lit, attendant comme une Déesse devant son dévot, elle vit Senestra se déshabiller, achevant de retirer ses ultimes vêtements, se présentant ainsi à elle dans le plus simple appareil. Le regard de la belle Française, dont les cuisses étaient toujours fermées, glissa du torse de l’homme pour se poser sur son sexe, sur ce bout qui dépassait du corps, et qui pointait vers elle. Elle frissonna devant ce membre, papillonnant des yeux, se pinçant les lèvres. Une onde remua dans son cœur, et elle serra nerveusement les poings, se tassant un petit peu… Mais juste un petit peu.

*N’aie pas peur, Amélie, sois forte !*

Elle devait être forte, oui, ce n’était qu’un sexe, et Senestra était aussi dangereux qu’une crème glacée… C’était ça, oui. C’était comme un gros gâteau au chocolat avec de la crème anglaise sur le tout. Amélie vit l’homme s’approcher, filant sur le lit, puis s’allongea sur elle. De nouveaux frissons traversèrent tout son corps, la parcourant de part en part, sans qu’elle ne puisse déterminer s’il s’agissait de frissons de désir ou de peur… Probablement un mélange des deux. Elle sentit le torse de Senestra heurter ses seins, et se pinça les lèvres, relevant les mains pour les appuyer sur les épaules. Il était nu, elle aussi… Mais elle se sentait beaucoup moins effrayée que ce qu’elle aurait cru être. Senestra se lovait contre elle, es mains se crispaient sur sa peau, et elle sentit sa bouche s’approcher de son oreille, jouant avec elle, avant de lui faire une proposition, de poser sa dernière question :

« Te sens-tu prête pour ce qui va suivre, ma belle ? »

Prête ? Non. De fait, elle ne voyait pas comment, dans ce monde-ci ou dans un autre, on pouvait être « prêt » pour ce genre de choses. Amélie n’avait reçu aucune formation particulière, elle n’avait aucune compétence spécifique, et elle ne voyait pas où elle aurait pu en recevoir une. Le sexe était quelque chose de profondément privé, intime, et, dans ce domaine, il était vain d’y rechercher une quelconque éducation ailleurs. Non, elle n’était pas prête, mais le dire ne servirait à rien, car, que ce soit avec lui ou avec quelqu’un d’autre, elle ne le sera jamais.

Elle cligna donc des yeux, et releva sa main, venant caresser ses cheveux. Le froid qu’elle avait ressenti en étant nue laissait maintenant place à une certaine chaleur. Senestra était couché contre elle, couché contre elle… Cette idée, magnifique, papillonnait dans sa tête. Il était sur elle, tout contre son corps, ses seins s’enfonçaient dans son torse, et elle tira sur ses cheveux, déplaçant sa tête, afin de pouvoir l’embrasser. Ses jambes étaient à gauche et à droite du corps de Senestra, et, surtout, elle pouvait sentir une bosse à hauteur de son ventre. Son sexe glissait et s’appuyait contre sa peau. Elle enfonça sa langue dans sa bouche, en gémissant de plaisir.

Amélie le rompit ensuite, et leurs nez se frottèrent délicatement. Elle lui sourit ensuite, soufflant sur ses lèvres, sentant également, sur les siennes, la respiration précipitée de son amant.

« Oui… Oui, je le suis, Sen’… »

Elle n’avait jamais été plus prête que maintenant.

DC d’Alice Korvander.

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Dextra-Senestra

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    Deux jeunes lycéen de Seïkusu, un petit frère au coeur sur la main et une grande soeur insupportable et jalouse.
    
    Senestra est un jeune homme athlétique, travaillant dans un restaurant italien et versé dans la pop culture japonaise. Il vit avec son pc quand il n'a rien à faire.
    
    Dextra est une jeune fille aux abords compliqué, jugeant autrui et extrêmement amoureuse de son petit frère. Versée dans l'occultisme, elle aime à pratiquer quand son frère a le dos tourné.

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 53 lundi 30 mars 2015, 12:12:47

Il la sentait de plus en plus anxieuse, un peu mal dans le fond et même si il se doutait des raisons il savait tout comme elle qu'il allait être bien compliquée de s'arrêter à ce stade là de leur relation, aussi cherchait-il une façon de la rassurer, et la question qu'il avait posé prenait un peu ce parti, l'homme cherchant dans le fond à s'assurer qu'elle puisse se sentir bien si ils allaient plus loin. Après tout, comme elle l'avait pensée plus tôt, l'homme était surement plus tendre qu'un ours en guimauve, et en ce sens il ne pourrait pas lui faire le moindre mal, si bien qu'il ne se sentirait surement pas capable de faire quoi que ce soit si il sentait Amélie comme bloquée par la possibilité qu'ils s'unissent, alors il restait interdit pour l'instant, attendant que la jeune femme lui offre la réponse fatidique qui allait, ou non, leur permettre d'aller chercher ce plaisir mutuel vers lequel ils tendaient tout les deux. De manière peu étonnante, il n'eut pas du tout de réponse immédiate quand il posa sa question, et c'est donc avec tendresse qu'il attendit, cherchant dans les yeux de sa belle demoiselle une quelconque décision.

L'un contre l'autre, tout les deux en suspend entre le désir de le faire et leurs appréhensions personnelles, c'était surement un tableau aussi tendre qu'excitant qui se dépeignant dans la chambre du jeune homme, et quand Senestra vit le premier élan de la demoiselle pour lui répondre, il eut presque du mal à respirer, ne sachant pas vraiment où donner de la tête dans la situation actuel. Il sentit la douce main de sa belle parcourir ses cheveux et rougit un peu, ne s'attendant pas à ce geste tendre à ce degré là de leur désirs, et finalement quand elle vint chercher ses lèvres avec les siennes, le jeune homme ne put résister, l'embrassant avec ce fond d'amour qui naissait en son coeur alors qu'elle même venait chercher sa langue de la sienne pour faire renaître au fond de l'homme ce désir supérieur à tout doute. Ils s'embrassèrent longuement, d'un seul mais passionné baiser, et quand finalement il se séparèrent, le jeune homme avait le souffle d'autant plus court que son coeur battant à tout rompre dans sa poitrine l'empêchait de maîtriser sa respiration, tout comme sa belle dont il ressentait le vif souffle sur ses lèvres.

« Oui… Oui, je le suis, Sen’…
 -  D'accord... ma toute belle.. »

Lentement il se redressa, étant un peu déçu d'avoir à se séparé du corps de celle qui faisait battre de plus en plus son coeur, et l'observant dans son ensemble à la fois aussi frêle que touchante, il se sentit comme absorbé par l'apparente fragilité de son amante, ne sachant vraiment comment elle avait put lui paraître si forte plus tôt maintenant qu'il la voyait dans toute sa vulnérabilité. Et ça le troublait autant que cela lui donnait envie d'être là pour elle, ne comprenant pas vraiment comment son coeur fonctionnait pour le coup. Enfiévrée par son observation, à genoux devant elle, il prit son sexe en main et le plaça bien devant l'intimité de la jeune fille, encore un peu hésitant malgré tout, surtout en voyant toute la maîtrise que pouvait présenter la jeune fille pour ne pas avoir peur de lui, de sa masculinité, mais finalement il se fit une raison et se rappela des doux mots qu'elle lui avait répondue : oui elle était prête, et ce serait un comble si c'était lui désormais qui hésitait juste parce qu'il voulait la préserver de ses craintes. Au loin les doutes, il avait désormais bien plus important à offrir à la belle française.

D'un geste lent, il fit glisser l’extrémité de son gland en elle, commençant un long mouvement de hanche pour faire avancer progressivement son membre entre les chairs délicieuses de la jeune femme, gémissant doucement en sentant peu à peu son chibre enveloppé par l'intimité délicieuse d'Amelie. S'arrêtant à mi-chemin pour laisser un peu de temps à la demoiselle pour s'habituer, se doutant qu'elle n'avait clairement pas l'habitude de le faire, il vient avec délicatesse se pencher sur elle pour revenir lui offrir un tendre baiser, sa main allant ce coup-ci dans la belle chevelure de la jeune femme pour mener sa tête à la sienne, de manière un peu mimétique avec ce qu'elle avait fait plus tôt. Et il se remit à avancer ses hanches doucement à mesure que leur doux baiser se prolongeait, allant pour s'enfoncer jusqu'au bout, peut-être un peu maladroitement dans le fond, mais avec tout la douceur qui le caractérisait. Quand il se sépare de ses lèvres, c'est pour donner un dernier mais subit coup de hanche, cherchant à la surprendre, et ainsi bute au fond d'elle en gémissant. Il a chaud, il tremble un peu, mais se sent bien, et regarde Amélie et ses joues rouges avec une tendresse toute amoureuse.

« Ah... ah... bon... j'y vais... ma si douce Amélie. »

Posant l'une de ses mains sur les hanches de sa belle demoiselle, il commence à bouger son membre en elle dans de lents vas-et-viens alors que ses lèvres descendent dans le coup de la belle, venant déposer baisers après baisers, flattant son corps de la tendresse que l'homme ressent pour elle, cherchant à la combler de toute cette douceur pour qu'il n'y ai pas la moindre crainte capable d'atténuer le bonheur du moment aux yeux de la belle. Lui en tout cas nage en plein bonheur, son coeur bat comme il n'avait jamais battu, et tout son corps est ardent, attiré par celui de la charmante demoiselle qu'il étreint et cherche à combler de multiples caresses et attentions. Des mouvements lents, mais profondément amoureux, peut-être un aveu à demi-mots de ce qu'il ressent envers cette femme tout contre lui, après tout, il ne cherche plus vraiment à se comprendre après tout. Il souhaite tout simplement la combler, cette amante toute aussi forte que fragile, toute aussi piquante qu'attendrissante.

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 54 mercredi 01 avril 2015, 01:50:27

Amélie était face à l’homme, et les choses allaient devenir sérieuses entre eux. Il n’était plus question de partir en retrait, de passer à autre chose… Il allait la prendre, et elle le savait. Elle l’appréhendait, bien évidemment, mais la crainte qu’elle pouvait ressentir était éloignée, maintenant. Elle était diffuse, atténuée par quantité d’autres émotions et sentiments. Amélie frissonnait de plaisir et d’envie. Elle voulait que l’homme vienne, là, maintenant, qu’il la prenne, qu’il s’enfonce en elle, qu’ils s’unissent pour ne faire plus qu’un… C’était tout ce qu’elle souhaitait, tout ce qu’elle demandait, tout ce qu’on pouvait lire dans la prunelle de ses yeux. Sur elle, Senestra remua un peu, se déplaçant, afin de rapprocher son sexe du sien, et elle se mordilla les lèvres, retenant son souffle en sentant ce qui allait arriver sur elle. Il allait la prendre, lui faire joyeusement l’amour, la saillir, mais il  n’allait pas faire que ça. Senestra ne pouvait évidemment pas le savoir, mais son action allait aussi exorciser Amélie de ce qu’elle avait vécu, elle allait la purifier de toute la souffrance qu’elle avait vécu il y a des lustres, à l’autre bout du monde.

Se mordillant les lèvres, la Française sentit donc le sexe caresser ses cuisses. Ce membre turgescent effleura ses lèvres intimes, elle soupira, ne pouvant s’empêcher de ressentir un frisson de peur, ce qui eut pour effet de crisper ses ongles sur ses épaules. Elle les relâcha ensuite, au bout de quelques secondes, et crispa un peu ses cuisses… Avant de le laisser passer.

« Hunnn… !! »

La Française soupira longuement, se lovant contre le corps de l’homme, griffant maladroitement sa peau. Il la prenait délicatement, au début, avant de lentement accroître le rythme, s’écrasant contre elle. En soupirant, Amélie le laissait faire, incapable de pouvoir le repousser. Le plaisir… Le plaisir éclata en elle à toute allure. Elle avait pensé souffrir au début, mais cette souffrance se noya presque instantanément dans un océan de désir, et elle se cramponna contre Senestra, presque comme si elle voulait s’enfoncer dans son corps. La Française se pressait à lui, appréciant les mouvements de ses reins, sentant son corps s’écraser contre le sien, l’étouffant sur le lit.

Sentir cet homme en elle était un véritable bonheur, quelque chose de jouissif. Son corps remuait d’avant en arrière, sa verge s’enfonçant en elle. Ses mains se crispèrent sur ses cheveux, et elle soupira, encore et encore, haletant de plaisir. Ses seins étaient tendus, gorgés de plaisir, comme le reste de son corps… Sentir Senestra se presser contre elle était jouissif, et Amélie, clairement, était en train de mouiller.

« Aaaaah… O-Ouiii… V-Viens, Sen’… Haaaaaannnn… Haaaaaannnn !! »

Le plaisir était bel et bien là, fort et intense, magnifiquement jouissif et délicieux.

Elle en voulait plus, plus et encore plus, jusqu’à se laisser pleinement aller, et s’abandonner au plaisir et à la jouissance.

DC d’Alice Korvander.

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 55 vendredi 03 avril 2015, 16:15:24

« Hunnn… !! »

Il voyais bien qu'elle avait un peu de mal à le contenir, il ne se doutait pas vraiment de ce qu'avait connue la française, avait bien vu ses appréhensions et ses doutes, mais ne pensait pas non plus qu'il puisse s'agir d'une sainte, si bien qu'il fut étonné qu'elle ai eut autant de mal à le prendre en elle, se demandait si il faisait vraiment bien de s'unir à elle pour le coup, avant de voir le bonheur sur le visage de sa belle demoiselle. Elle était heureuse, il le voyait, et cela le rassura profondément , si bien qu'il put enfin ressentir tout le plaisir qui l'inondait une fois qu'il était en elle, qu'il pouvait enfin profiter de son corps pleinement, qu'il pouvait être avec elle, tout les deux ressentant ce terrible plaisir qui effaçait les doutes et les comblait chacun de cette joie intense. Ils avaient passés le cap, l'un comme l'autre était désormais aller au plus loin de ce qu'il pouvait espérer de l'autre, et désormais le long bal de leur corps allait s'opérer. Honnêtement, si le jeune homme pensait autrefois être obnubilé par Amélie, il découvrait désormais le vrai sens de ces mots.

Les griffures dans son dos ne furent qu'un autre rappel du bonheur de sa belle, et le jeune homme se mordilla légèrement la lèvre tandis qu'il se déplaçait en elle, tendrement, les petits gémissements de la française emplissant la pièce et ses pensées à mesure qu'il faisait bouger ses hanches pour la sentir perdre de sa maîtrise, remarquant bien que sa belle demoiselle n'en était que plus heureuse quand il oubliait de se questionner pour lui offrir tout le plaisir qu'elle attendait. leurs hanches claquaient entre elle, il avait le souffle court, il avait envie d'aller encore plus vite mais ne voulait pas non plus que les choses aillent trop vite, dégustant chacun des instant qu'ils partageaient, la sensation du corps de la belle jeune femme se lovant contre lui le faisant tout simplement trembler de désir pour cette étrangère qui avait percée son coeur. Sa peau et la sienne frottant l'une contre l'autre, la poitrine d'Amélie se pressant contre son torse, ses mains qui s'accrochaient à son dos au points que ses ongles rentraient dans sa chair... Tout cela constituait la plus délicieuse des expériences qu'ils n'avaient jamais connue.

« Aaaaah… O-Ouiii… V-Viens, Sen’… Haaaaaannnn… Haaaaaannnn !!
 -  C'est ... haa... C'est tellement bon Amélie... Haan... hmmm... Si tu savais comme je t'adore... »

Il ne sait même pas comment il arrive encore à bouger son corps tant il a du mal à respirer, et pourtant il ne cesse pas, passant et repassant en elle avec la même force, la même ardeur, la même envie qu'au premier instant où il l'avait prise, si ce n'était encore plus qu'auparavant, comme si tout son désir pour la jeune femme ne faisait que croître à mesure du temps qu'il passait contre elle. N'y tenant plus, il embrasse la gémissante française sous lui avec une passion incontrôlée, sa langue allant chercher la sienne dans un baiser enfiévré alors que ses hanches bougeaient d'elle-même, chaque passage le faisant tout autant tremblé de plaisir que lui donnant l'énergie de poursuivre, autant pour lui que pour l'ardent plaisir qu'Amélie semblait ressentir, le corps tendu et transpirant de sa belle semblant être dans une telle agonie de bonheur que le jeune homme ne pouvait que se sentir obligé de continuer. Si il avait eut peur de la blesser, tout s'était déjà envolé au loin, maintenant la seule chose qui était importante, c'était cette Amélie perdue dans ses sensations mais en pleine jouissance.

« Amélie ... haa... Ma si ravissante... Haaan... Amélie... »

Une main sur ses hanches pour l'aider à aller de plus en plus vite en elle, afin de la combler, son autre main vint sur ses seins fermes et tendus par le plaisir, qu'il massa avec désir, complètement hypnotisé par le corps de celle qu'il appelait sa belle, et si il pouvait les suçoter sans se tordre complètement il l'aurait surement déjà fait, mais il comptait attendre un peu avant de se perdre à nouveau au coeur de cette délicieuse poitrine. Continuant ainsi pendant un moment, il finit presque par se sentir limité, et attrapant les cuisses de la demoiselle, il les écarta d'autant plus, relevant presque le fessier de la belle pour amener ses jambes vers le haut de son corps, avant de reprendre ses passages en elle avec d'autant plus de puissance et de vélocité qu'auparavant, ses cheveux lui collant aux tempes suite au rythme qu'il maintenait. Et il continuait, passages après passages, à la contempler, gémissante de bonheur, tandis que lui même n'arrivait plus à contenir ses propres expressions de plaisir en l'entendait se laisser aller à ce point.

Il était fou d'elle, fou de ce plaisir, et plus que tout il sentait cette folie approcher lentement de son paroxysme, le plaisir se rependant dans tout son corps, le faisant approcher de ses limites. Ce qui ne l'empêchait toutefois pas de continuer.

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 56 jeudi 09 avril 2015, 01:48:21

Entre eux deux, les choses se précisaient, maintenant. Elles s’affinaient et s’orientaient vers des doses de plaisir maximales. Amélie était en train de se réconcilier avec elle-même, de se réconcilier avec un passé trouble et difficile. Senestra la pénétrait, et cette pénétration lui faisait oublier ce qu’elle avait subi. Il y avait bien des manières de réagir face à un viol. On en finissait brisée en mille morceaux, comme Amélie, mais on pouvait se reconstruire. Cette reconstruction, Amélie l’avait eu en fuyant la France, en allant dans un endroit où elle était sûre de ne plus jamais tomber sur Victor et sur les autres membres dégénérés de sa famille. Elle l’avait eue en se rapprochant de Mishi et de Zetsu, en partageant son fardeau avec d’autres personnes. Elle ne l’avait jamais dit à Mishi, elle n’avait jamais dit ce qu’elle avait subi, mais Mishi n’avait pas eu besoin de le savoir... Elle aussi, elle avait été violée par son beau-père, à Tokyo. C’était pour ça qu’elle avait fui. Au début, elle voulait rejoindre sa tante, à Kumamoto, mais le routier avec qui elle était tombée avait abusé d’elle, et elle s’était enfuie dans une station d’autoroute, près de Seikusu. Son histoire, Mishi le lui avait dit, et Amélie avait compris que, aussi terrible que soit sa souffrance, elle n’était rien par rapport à celle de Mishi... Ou, en tout cas, pas pire. Comment s’apitoyer sur son sort, face à tout ce que Mimi’ avait vécu ? Elle avait été abusée par son beau-père, qui battait sa femme régulièrement, ainsi qu’elle, et un routier avait voulu faire d’elle une prostituée... Malgré tout ça, elle avait réussi à rejoindre Seikusu, et Zetsu l’avait retrouvé, alors qu’elle furetait dans les poubelles des restaurants. Quand on avait une telle histoire en tête, on se forçait... Amélie était convaincue que, si elle faisait l’amour avec quelqu’un, alors le charme s’opérerait... Et ce serait une victoire supplémentaire sur Victor... Mais elle n’avait jamais trouvé quelqu’un en qui elle aurait pu avoir suffisamment confiance pour se lâcher. Jusqu’à Senestra.

L’homme s’enfonçait en elle, et Amélie sentait d’étonnantes sensations de plaisir. C’était comme si tout n’était plus que plaisir, mais un plaisir inouï, intense, bien plus violent que de simples caresses, ou du plaisir qu’on ressentait en léchant une bonne glace, par exemple. Non, celui-là était... Woaw ! Il explosait dans les entrailles d’Amélie, remontait dans tout son organisme. Comment aurait-elle pu croire que le sexe était aussi bon ?! Ohlàlà ! Amélie se crispait à l’homme, sentant ses coups de reins contre son corps, sentait son sexe s’enfoncer dans le sien. Son corps remuait d’avant en arrière, et elle soupirait, haletait, couinait... Amélie, dont l’humeur était un véritable yo-yo, était ici en mode « Sommet de l’Himalaya », tant elle était heureuse et comblée. Senestra la prenait longuement et joyeusement, s’enfonçant en elle, encore et encore, encore... Les minutes défilaient à la vitesse des secondes, et le plaisir, dominateur, conquérait tout.

« Haaaa... Haaa !! »

Oh, bon sang, si c’était bon ! L’homme alla pétrir l’un de ses seins, tout en soulevant ensuite ses hanches. Il s’occupait de son corps, le palpait, et, en sentant ses jambes se relever, Amélie les replia alors, et les enroula autour du bassin de l’homme, restant ainsi légèrement redressée. Elle se cramponnait ainsi contre son corps, et le laissait venir en elle... Le plaisir montait, montait, encore, encore, encore et encore... Amélie soupirait, commençant peu à peu à partir au loin...

« Se... Seeen’, haaaa... Haaaannnn... »

Et c’est ainsi qu’Amélie connut son premier véritable orgasme, en se sentant partir, partir très loin...

Comme si elle était en train de caresser des doigts les ailes des Anges.

DC d’Alice Korvander.

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Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 57 mercredi 22 avril 2015, 11:52:15

Le jeune homme ne savait plus dans le fond quoi penser de tout cela, mais si il savait bien quelque chose c'est que cet instant, qu'il partageait de manière aussi passionnée avec la belle Amélie, était l'un des moments les plus puissants, les plus enivrant qu'il avait vécu, qu'il avait ressenti de toute sa courte vie, et si son corps ne pouvait plus s'arrêter, si son coeur battait autant à tout rompre dans sa poitrine à chacun des doux gémissements qu'elle poussait, c'était bien parce qu'elle était à cet instant tout ce qu'il avait de plus précieux à son goût, à tel point quand il en perdait toute notion de logique. Il se voulait à elle, il la voulait pour lui, il la possédait autant qu'elle même était en train de l'avoir pleinement seulement pour elle malgré tout ce qu'il s'était passé, et pour cela, rien que pour cela, l'homme était au comble du bonheur à mesure que le plaisir montait en lui, terrible, puissant, aveuglant, mais divin, si divin que pour rien au monde il ne pourrait cesser ce qui était en train de se dérouler, cette merveilleuse union entre elle, lui, leurs doutes et leurs sentiments sur l'instant.

Quand il sentit les jambes de sa belle s'enrouler autour de ses hanches, c'est un flot d'envie qui l'enroba, un flot de désir, un aveu de la ravissante étrangère en face de lui qui lui disait de ne plus se limiter seulement à ce qu'un amant ferait, mais à ce que pourrait offrir le seul et l'unique de sa vie, et même si le lycéen se doutait au plus profond de lui qu'Amélie, dans peu de temps, lui échapperas surement pour retourner à sa vie d'errance dans les grandes rues de Seïkusu, elle lui offrait à l'heure actuelle le droit de s'approprier tout d'elle, jusqu'à la plus infime parcelle de sa peau, jusqu'à la plus profonde parcelle de ce qu'elle ressentait. Et lui, jeune homme perdu dans ce qu'il avait de plus fort en lui, tout l'amour qu'il pouvait offrir à autrui, à la fois dans son innocence et sa pureté, ressentait enfin le bonheur en train d'effacer toute limite pour le laisser aussi simple qu'il pouvait toujours l'être, un jeune damoiseau épris, et prêt à tout pour le bonheur de celle qu'il étreignait, tandis que ses limites se faisait de plus en plus précise, et de plus en plus proche.

« Haaaa... Haaa !!
 -  Mhhn ... han ... Amélie je ... »

A quoi bon prévenir qu'il était au bord de la jouissance, au bord de ce grand bond qui mettrait tout autant fin à ce beau rapprochement qu'ils avaient, autant qu'il leur offrirait le meilleur des dénouements possible suite à ce sentiment qui les avait tout les deux embrasés et poussés dans les bras de l'autre ? Il sentit la belle jeune femme perdre de ses forces, commencer à faiblir, à se tendre tandis que son corps suivait un rythme irrégulier, fébrile, incroyable, et lui-même se mettait à connaître une telle sensation, jusqu'à ce que son esprit devienne parfaitement vide, blanchit par le soudain plaisir de sa tendre et chère, effacé soudainement par les cris de bonheur qu'elle poussa dans la petite chambre du lycéen perdu dans le bonheur et le plaisir charnel... Elle venait d'atteindre l'orgasme, elle venait de ressentir ce dont elle avait tant besoin de connaître, et Senestra sentit lui-même que son être était proche de la même explosion de sensation et de bonheur, se retenant encore un peu avant de choisir de se retirer pour ne pas créer le moindre problème...

Mais fatigué, tremblant et fébrile, le simple fait d'être "emprisonner" par les jambes de la jeune femme l'en empêchèrent, il se mordit la lèvre, incapable de se décider, pourtant incapable de se retenir plus longtemps, et de manière bien maladroite, il se rapprocha d'elle, se colla à elle, l'embrassa au passage avec une tendresse et un amour tout honnête, tout sincère, et fit le dernier mouvement qu'il se pouvait de faire, sentant dés lors le bonheur l'envahir, le surpasser, le terrasser... et la jouissance venir. Se relâchant en elle sans un mot, sans un terme, juste la sensation à la fois coupable et heureuse qui s'exprima dans son rapprochement, dans son tendre baiser, il jouit en elle sans s'arrêter, libérant son corps de ce poids monstrueux qu'était le plaisir en perdant toute maîtrise tandis que le fruit de sa jouissance se répandait en Amélie par petits jets maladroit. Et il s'écarta juste après légèrement, quelques centimètres de rien du tout, juste assez pour qu'il puisse la contempler, rouge de bonheur, encore perdue dans sa propre jouissance, et qu'il vienne avec un mouvement d'une infinie douceur caresser sa joue, et nourrir les sentiments en son coeur de la vision d'un ange qui se trouvait sous lui, et dont il était terriblement épris.

« Je... Tu es merveilleuse Amélie, tout simplement merveilleuse... »

Et il vint lui offrir un énième, toujours empli de ce sentiment d'amour qu'il ressentait, baiser.

Amélie

Humain(e)

Re : Charité chrétienne [Dextra-Senestra]

Réponse 58 jeudi 23 avril 2015, 02:05:30

L’orgasme... Ce sentiment incroyable, qu’elle n’aurait jamais pensé ressentir... Il venait de la traverser de part en part, la laissant sonnée, étalée sur le carreau... Elle se serait crue en feu, dévorée par une soif inextinguible... Mais, en réalité, tout son corps était calme, au repos, ainsi que son esprit. Pour être honnête, Amélie, en ce moment, se sentait terriblement fatiguée. Coucher était éprouvant, bien plus qu’elle ne l’aurait cru. Ses jambes relâchèrent Senestra rapidement, et elle s’écarta de lui, afin de pouvoir respirer. Curieux... Elle ignorait ce qu’elle avait, mais... Amélie se sentait sereine, et totalement ailleurs. Son regard se perdait au loin, dérivant le long du plafond. Clignant à nouveau des yeux, elle laissa les secondes s’écouler, ainsi que les minutes. Amélie respirait bruyamment. La Française était toute secouée, face à des sensations qu’elle n’avait jamais ressenti auparavant, ou même jamais pu imaginer ressentir. En soupirant encore, elle finit par se retourner, et regarda l’homme.

« Woow... C’était... »

Elle soupira encore, puis retourna se coucher sur le dos, et posa une main sur sa tempe, avant de se mettre à rire. Un bref gloussement, frénétique, qui venait de s’échapper de ses lèvres sans même qu’elle y réfléchisse.

« Putain, soupira-t-elle en français, avant de retourner au japonais. C’était super... Vraiment. »

Amélie réalisait qu’elle n’avait jamais vraiment découvert le sexe avant ce moment. Ce qu’elle avait vécu avec Victor, et avec son frère... Ce n’était pas le sexe, ça, ce n’était qu’une froide perversion. Même Mishi avait tort. Elle lui disait que le sexe n’était rien, rien de plus que quelques mouvements buccaux et quelques caresses de la main. C’était.. En fait, Amélie ne savait pas vraiment comment expliquer clairement ce qu’elle avait ressenti durant ce moment. C’était fou, c’était démentiel... Tout son corps était parti, et... Si elle devait trouver un mot pour résumer ça, elle en avait bien un : « aliénation ». Le sexe n’était rien de plus que ça, un magnifique moment d’aliénation, une bulle dans laquelle tout rebondissait, un trou émotionnel qui engloutissait tout, comme une espèce de trou noir. La Française avait tout oublié, et était maintenant de retour, ressentant les sensations de son corps, la fatigue, et les bruits alentours... Le son rauque de sa respiration, celui de son amant...

Sa main caressait distraitement son ventre. Elle était en sueur, et aventurait ses doigts près de ses cuisses, sursautant en sentant un liquide s’en échapper. Senestra... Il avait joui en elle. Elle cligna des yeux en le comprenant, et en se faisant à cette idée. Un homme avait joui en elle... Mishi le saurait. Sur ce point, les femmes avaient une sorte de sixième sens, et Amélie se mordilla les lèvres, en fermant les yeux. Elle aurait pu craindre d’avoir peur après avoir goûté au sexe, d’éprouver du dégoût pour elle-même... Mais le seul sentiment qui dominait était une vague énorme et vibrante de plaisir.

Oui... Elle était heureuse !

« Merci, Sen’... Merci. »

C’était la seule chose utile qu’elle trouvait à dire, car c’était tout ce à quoi elle pensait en ce moment.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

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